Anti Nouvel Ordre Mondial

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    A lire absolument : Ingénierie sociale et mondialisation

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    Message  GarfieldLove 15/11/2009, 17:19

    http://www.legrandsoir.info/IMG/pdf/IS_M.pdf

    C'est un texte qui agite le web depuis le début de l'été. Il est signé du «Comité invisible», le mystérieux collectif auteur de «l'Insurrection qui vient», et se dissémine de blogs mal-pensants en sites subversifs, y suscitant enthousiasme débridé ou agacement hystérique.


    Dédié « fraternellement » à Alain Bauer, le fameux conseiller ès criminologie et lutte anti-terroriste de l'Elysée à l'origine de l'arrestation de Julien Coupat et de ses camarades de Tarnac, il est sobrement intitulé «Ingénierie sociale et mondialisation». En exergue de ce libelle d'une quarantaine de pages paranoïaques et brillantes, on peut lire l'article 35 de la «Déclaration des droits de l'homme et du citoyen» de 1793, couramment attribuée à Hérault de Seychelles :

    « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
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    Message  thetruthwillsetufree 16/11/2009, 18:34

    merci Smile ca explike comment on nous manipule et ce ne sont pas les moyens qui manquent. Dommage que l'on ne nous enseigne pas ce genres de choses a la fac...mais bon, c'est bien a l'ecole que le lavage de cerveau commence. No comment silent
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    Message  GarfieldLove 17/11/2009, 07:33

    Lit alors "les responsabilitées des dynasties bourgeoise"

    Tu verras que c'est pas nouveau
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    Message  Bardamu 16/5/2019, 07:44

    Un article de l'Express à lire entre les lignes et dans lequel Jacquou la Fripouille nous laisse mesurer l'ampleur de sa duplicité et de sa chutzpah Diablerit

    Lui qui a quasiment engendré l'homoncule Macron et qui l'a porté au pouvoir en parle aujourd'hui, en toute connaissance de cause, comme faisant partie d'une élite arrogante (pour reprendre ses termes !). Tout cette duplicité n'est pas pour nous étonner, pas plus que ce que nous pouvons constater au travers du cas de Branco (une autre création attalienne !) https://novusordoseclorum.1fr1.net/t8590-le-mouvement-spontane-des-gilets-jaunes#91884 ou le cas tout aussi pervers du "soutien" de Médiapart (Edwy Pleinel ) aux Gilets Jaunes !!



    Saura-t-on faire l’économie de la révolution ?


    Jacques Attali, publié le 11/05/2019 à 08:30 , mis à jour à 16:40:37

    Tous les pays d’Occident, la France en particulier, et bien d’autres pays du monde, sont au bord de révolutions brutales, dont les conséquences seront désastreuses pour des décennies ; ou très positives, si on sait les anticiper et régler intelligemment à l’avance les contradictions qu’elles traduisent.

    Une révolution (je ne parle pas ici de révolutions scientifiques, artistiques, intellectuelles, toujours bienvenues ; mais de révolutions politiques) se déclenche toujours quand un régime ne sait plus assurer à ceux qu’il prétend servir le bien-être auxquels ils estiment avoir droit, et quand il ne fait plus assez peur pour se maintenir par la force. Alors, les révoltes deviennent des révolutions.

    Ces révolutions commencent par inspirer des espoirs fous, dérapant souvent ensuite dans des dérives sanglantes, entraînant des contrerévolutions plus sanglantes encore ; jusqu’à ce que, des années, ou des décennies plus tard, les ambitions de la révolution initiale soient retrouvées, et ses idéaux servis, dans un contexte raisonnable et équilibré.

    Rares sont les peuples qui ont réussi à faire l’économie de la révolution et de la contrerévolution, pour en arriver directement au régime le plus réaliste, conciliant le souhaitable et le possible.

    Aujourd’hui, toutes les conditions sont réunies pour que se déclenchent un jour prochain, dans plusieurs pays, des révolutions d’une extrême violence.

    Les régimes en place semblent en effet incapables de résoudre les difficultés et les frustrations, réelles ou ressenties, d’un grand nombre de citoyens : un travail absent, non rémunérateur, ou aliénant ; des services publics délabrés ; des territoires ruraux oubliés ; une agriculture en plein désarroi ; un environnement dégradé ; une précarité croissante ; des vies personnelles en miettes.

    Ces régimes, se sentant menacés, se crispent et accordent de plus en plus de privilèges aux classes dominantes et à leurs enfants, rendant plus fous de colère encore ceux qui en sont exclus.

    Quand ces colères ne sont que celles des plus pauvres, soumis et faibles, rien ne se passe. Quand elles atteignent, comme aujourd’hui, les classes moyennes, et quand celles-ci en déduisent qu’elles n’ont plus rien à perdre, la révolution devient possible.

    On voit très bien la forme qu’elle pourra prendre bientôt, en France et dans d’autres pays d’occident : les peuples ne se contenteront plus du dégagisme soft, qui a conduit à remplacer une classe politique discréditée, par une autre, qui se prétendait nouvelle, mais qui n’était, en fait, qu’un autre avatar de la précédente, et qui n’a pas mieux réussi. Les peuples se révolteront contre tous ceux qui sont pensés comme ayant du pouvoir,dans les entreprises et les cités ; et en particulier contre leur capitale. Ils s’abandonneront alors à des chefs autoritaires, sortis des rangs du peuple, (ou à des pseudostars populistes, mêlant le simulacre au réel) avec la promesse d’accorder à tous les privilèges anciennement réservés aux élites et de protéger les peuples des menaces du monde. Mêlant ce qui s’est déjà annoncé en Italie, en Ukraine, et en Hongrie.

    On peut être sceptique et refuser de penser que de telles révolutions soient possibles. Mon intuition est que tout se met en place pour qu’elles le deviennent. Très bientôt. Les révoltes, les colères, les manifestations d’aujourd’hui n’en sont pas des substituts. Ils en sont des signes précurseurs.

    Comme à chaque révolution de ce genre, ceux des puissants d’aujourd’hui qui échapperont aux foudres des nouveaux dirigeants émigreront, en attendant que ces révolutions échouent, ce qui ne manquera pas d’arriver, après un temps plus ou moins long.

    La contrerévolution sera encore une fois terrible, d’autant plus terrible que les privilégiés auront eu peur, ou qu’ils auront perdu des leurs et des biens dans la révolution.

    Même si on n’apprend jamais rien de l’Histoire, on pourrait faire l’économie de ces désastres annoncés ; en organisant la nation comme elle le sera, quoi qu’il arrive, après les ravages de la révolution et de la contrerévolution : une nation beaucoup plus juste, beaucoup plus empathique, ouverte au monde, capable de penser aux intérêts des générations suivantes.

    Pour y parvenir, il faudrait que les arrogantes élites d’aujourd’hui, veuillent bien laisser une part importante du pouvoir à ceux qui en sont le plus privés ; en particulier, aux femmes issues des territoires fragiles de la république, de la campagne et des quartiers : elles portent, mieux que personne, l’espoir de l’avenir. Sans violence, sans concession.

    j@attali.com
    https://blogs.lexpress.fr/attali/2019/05/11/saura-t-on-faire-leconomie-de-la-revolution/



    En corrélation avec cet énième enfumage  attalien, un article très synthétique sur la subversion dont je conseille une lecture attentive, l'essentiel y est dit sur les techniques utilisées par les ingénieurs de l'ordo ab chaos et du solve et coagula !




    Subversion

    Posté le 11 mai 2019 par Pierre-Yves Lenoble dans Articles

    « L’être qui ne sait pas dominer ses impulsions instinctives devient facilement esclave de ceux qui lui proposent de les satisfaire », Gustave Le Bon.


    Nous nous proposons dans ce court article de dresser en quelques points généraux les différents types de techniques de subversion, c’est-à-dire de répertorier les principales méthodes de conditionnement, de démoralisation, de domestication et de manipulation des masses ou des individus, mises continuellement en pratique de nos jours à l’échelle planétaire.

    Il nous faut rappeler tout d’abord que l’intégralité des groupes humains, des plus archaïques aux plus modernisés, sont en tous temps et en tous lieux élaborés, représentés et commandés par une poignée d’élites agissantes qui donnent le ton au reste du peuple, par définition passif.

    Ainsi, dans les sociétés traditionnelles, c’est toujours la classe sacerdotale (l’autorité spirituelle, représentant la Sagesse) qui est située tout au sommet de la hiérarchie sociale et qui a pour rôle prioritaire de contrôler et de légitimer aux yeux de tous une classe guerrière de sang (le pouvoir temporel, la Force) ; de fait, le gouvernement est mis en avant et est clairement rendu visible (à coup de rites participatifs et de symboles forts).

    A l’inverse, dans le monde moderne, le pouvoir réel est détenu par une hyper-classe seulement économique (banksters, marchands, haute bourgeoisie affairiste), qui est parasitaire et invisible car dépourvue de toute légitimité ontologique (elle n’a pas de connaissance spirituelle ni de courage physique) et qui est obligée de se cacher derrière des hommes de paille achetés (politicailleux, journalopes, armées, hauts fonctionnaires, petits bourgeois).

    En clair, on peut dire que les élites du monde traditionnel mettent en œuvre une ingénierie sociale positive ou anagogique visant à maintenir une unicité générale et à tirer l’ensemble du groupe  »vers le haut » ; en revanche, les élites modernes secrètes et leurs agents subversifs, afin de maintenir leur pouvoir illégitime et leur rapacité, sont obligées de développer une ingénierie sociale négative ou catagogique visant à affaiblir, à duper et à diviser le peuple.

    D’un coté, on se trouve en face d’un modèle organiciste et ordonné, dirigé par des forces vitalistes et conservatrices, de l’autre, devant un modèle inorganiciste et chaotique, investi par des bacilles sociaux se nourrissant de la pourriture générale. D’un coté, le pouvoir est symboliquement assimilable à un cœur vivifiant, de l’autre à un ténia mortifère…

    Dressons donc une petite liste, non-exhaustive et sans ordre particulier, des principales méthodes — littéralement diaboliques — employées par nos pseudo-élites actuelles en vue de se maintenir au sommet de la pyramide sociale et d’asseoir de plus en plus leur pouvoir sur le reste du groupe ; pour illustrer notre propos, nous donnerons également de simples exemples récents et factuels :


    -Détruire les croyances, les coutumes et les traditions ancestrales en les réformant (ex : Vatican II), en les moquant (ex : Piss Christ), en les transformant en simple folklore (ex : Noël), en les singeant (ex : multiplication des églises évangéliques), en les métissant (ex : syncrétisme, New-Age) et en les vandalisant (ex : destructions, abandons, transformations ou profanations d’églises et autres lieux saints).

    -Affaiblir les corps et les âmes via des attaques génétiques (ex : malbouffe, vaccins ou chemtrails) et épigénétiques (ex : pollution sonore, enlaidissement du paysage, augmentation des facteurs de stress, Tvlobotomisation).

    -Remettre en question toutes les normes anthropologiques et toutes les limites naturelles sous couvert d’un progressisme mensonger (ex : féminisation de la société, homosexualité, métrosexualité, transgenre, transhumanisme, GPA/PMA), détruire le mariage traditionnel et déconstruire les rapports hommes/femmes en jouant sur la suggestibilité, l’hypergamie et l’inconstance féminines (ex : féminisme, indépendance financière des femmes, différenciation entre reproduction et sexualité, hyper-sexualisation), et, en règle générale, contrôler mentalement et façonner les comportements des individus pour en faire malignement des idiots utiles, des esclaves volontaires et autres zombies suicidaires.

    -Connaître le mieux possible tous les individus composant le groupe en vue de les surveiller et de les influencer massivement (ex : Facebook, Big Data, l’intelligence artificielle sachant que le mot anglais « intelligence » est un faux-ami qui signifie « renseignement », ou encore l’intervention de spin doctors retourneurs d’opinions, caméras dans les domiciles). « Une armée sans agents secrets est exactement comme un homme sans yeux ni oreilles », disait Sun Tzu à ce sujet.

    -Créer de toutes pièces des problèmes et organiser des stratégies de la tension afin d’instaurer un climat général de peur et de suspicion incapacitant, et enfin de légitimer le renforcement du contrôle coercitif de la société et la répression des moutons récalcitrants (ex : attentats sous faux drapeaux, fausses crises économiques, accusations mensongères contre des états concurrents), mettre en place des oppositions contrôlées et  »trianguler » les conflits sociaux (ex : Gauche/Droite, fachos/antifachos, chrétiens/musulmans, bien-pensance/mal-pensance), inventer des boucs émissaires ou des héros sans omettre de toujours passer pour la victime ou le sauveur (ex : associations victimaires, migrant sauveur d’enfant, hagiographie du colonel Beltrame) : on répand des virus sociaux à doses homéopathiques pour renforcer les défenses auto-immunes du système et le  »flicage » renforcé du troupeau.

    -Changer la signification des mots (ex : le mot « révolution » signifie maintenant une fuite en avant alors qu’il veut dire étymologiquement revenir sur ses pas ; sans compter les oxymores du type « tri sélectif » ou les contradictions du style « couple homosexuel » au lieu de parler d’une paire, sans parler des mots édulcorés comme « mal-entendant » (sourd), « hommes de petite taille » (nain), « SDF » (clochard)… etc.), appauvrir le vocabulaire et alléger les programmes scolaires (ex : Twitter, langage SMS, novlangue, anglicismes) afin de façonner un cadre mental général et d’établir un paradigme collectif sous total contrôle.

    -Encourager le peuple à se complaire dans la médiocrité générale (ex : Wikipédia, vulgarisation du savoir, allègement des programmes scolaires), promouvoir la fainéantise (ex : allocations, salaire universel), favoriser les comportements addictifs autodestructeurs et la bassesse (ex : promotion des drogues, des jeux et de la pornographie) en vue de rabaisser l’intelligence générale, de supprimer le bon sens, de diminuer la concentration, d’interdire tout esprit d’initiative et de faire chuter le niveau de décence commune.

    -Divertir, abrutir et distraire continuellement les individus pour leur faire perdre du temps, leur faire oublier le sens des priorités, leur détourner l’attention et leur faire croire faussement qu’ils sont acteurs de leur vie pourtant dépourvue d’intérêt (ex : télévision, cinéma, événements sportifs, concerts, tourisme), créer un climat général de frivolité insouciante, de gains faciles et de séductions voyeuristes (ex : jeux télévisés débilitants, télé-réalité infra-intellectuelle, talk-shows adolescents) et faire en sorte de tout tourner en dérision (ex : « Le petit journal », « Les guignols », humour  »Canal+’) afin d’attaquer les fondements et de dessouder les murs porteurs de la société en vue de la rendre plus vulnérable et malléable.’

    -Dissoudre les anciens liens de solidarité (familles, corporations, communautés villageoises), augmenter de façon exponentielle le nombre de sous parties au sein du groupe afin de le complexifier, de le diviser contre-lui-même, de le rendre plus malléable et d’accroître la confusion générale (ex : explosion du nombre des partis politiques, des associations, des -ismes et autres économies de pensée, lourdeurs administratives inutiles), enlaidir les paysages et les œuvres humaines (ex : plug anal place Vendôme, uniformisation et cubification de l’architecture), et attaquer l’identité des individus en détruisant leurs racines ethnico-culturelles pour en faire des  »hommes hors-sol » (ex : politiques de vagues migratoires à grande échelle, uniformisation des modes de vie).

    -S’adresser au public comme à des enfants en bas âge (ex : présentateurs et voies-off à la télévision), jouer sur l’émotif immédiat plutôt que sur la réflexion patiente (ex : affaire du petit Aylan, « Je suis Charlie »), mélanger le vrai et le faux (ex : théories du complot faisant intervenir les petits hommes verts pour les discréditer), donner des injonctions contradictoires (ex : défendre la biodiversité animale ou végétale tout en promouvant le métissage anthropologique), « se cacher dans la lumière » (ex : on met avant une affaire de corruption ou de pédophilie afin d’en cacher des centaines d’autres) pour provoquer une dissonance cognitive généralisée.

    -Répéter avec insistance des mots-clés et des formules choc agissant sur les consciences comme des mantras hypnotiques, afin d’imposer la pensée unique et la bien-pensance (ex : « démocratie », « liberté », « changement », « vivre-ensemble », « progrès »), mettre en avant des faits divers insignifiants et autres détails futiles (ex : les bouchons autoroutiers en été, retards de trains, les soldes).

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