Le plan Juifs
« Peuple énergique, vivace, d’un orgueil infini, se considérant comme supérieur aux autres nations, le peuple Juif voulut être une puissance. Il avait instinctivement le goût de la domination puisque par ses origines, par sa religion, par sa qualité de race élue qu’il s’était de tout temps attribuée, il se croyait placé au dessus de tous. Pour exercer cette sorte d’autorité, les Juifs n’eurent pas le choix des moyens. L’or leur donna un pouvoir que toutes les lois politiques et religieuses leur refusaient. Détenteurs de l’or ils devenaient les maîtres de leurs maîtres, ils les dominaient ... Ils entrèrent dans les sociétés mo¬dernes non comme des hôtes, mais comme des conquérants ... Ils firent la seule conquête pour laquelle ils étaient armés ... » (page 223)
« Le jour ou le Juif a occupé une fonction civile, l’État Chrétien a été en péril ... L’entrée des Juifs dans la société a symbolisé la destruction de l’État, de l’État Chrétien, bien entendu ». (id. p. 361)
Citons S. P. Chajès, un B’nai B’rith, dans L’Almanach national Juif, année 5682.
« Notre impérialisme est le seul qui puisse impunément défier les siècles, le seul qui n’ait pas à craindre de défaite, qui sans s’égarer et invinciblement marche à son but d’un pas lent mais ferme ».
L’un des chef du Judaïsme, Alfred Nossig, écrit dans Integrales Judentem (Le Judaïsme intégral) :
« La communauté Juive est plus qu’un peuple au sens moderne politique du mot. Elle est la dépositaire d’une mission historiquement mondiale, je dirais même cosmique, que lui ont confiée ses fondateurs Noë et Abraham, Jacob et Moïse ...
« Elle forme un noyau inconscient de notre être, la substance commune de notre âme ...
« La conception primordiale de nos ancêtres a été de fonder non une tribu mais un ordre mondial destiné à guider l’humanité dans son développement.
« Voilà le vrai, l’unique sens du choix des Hébreux en tant que peuple élu ... Gesta naturæ per Ju¬deos, voilà la formule de notre histoire ... Ordre spirituel destiné à guider le développement de l’hu¬manité. (pp.1 à 5)
« Déjà approche le temps de la reconnaissance et de la fraternité des peuples. Déjà flambe à l’hori¬zon l’aurore de NOTRE JOUR ». (id p. 21)
Et il précise, ce qu’il n’est pas inutile de méditer après l’arrivée au pouvoir des marxistes en France :
« Le socialisme et le mosaïsme ne sont nullement des programmes qui s’opposent. Entre les idées fondamentales des deux doctrines, il y a au contraire, une concordance frappante ... Le mosaïsme est le socialisme dégagé des utopies et de la terreur du communisme, ainsi que de l’ascèse du Christia¬nisme ...
« Le mouvement socialiste moderne est pour la plus grande partie une oeuvre des Juifs. Ce furent les Juifs qui y imprimèrent la marque de leur cerveau ...
« Le socialisme mondial actuel forme le premier stade de l’accomplissement du mosaïsme, le début de la réalisation de l’état futur du monde annoncé par nos prophètes.
« Ce n’est que lorsqu’il y aura une ligue des nations ... que nous pourrons espérer que les Juifs se¬ront à même de développer sans entrave en Palestine leur état national.
« C’est pourquoi tous les groupes Juifs quels qu’ils soient, Sionistes ou adeptes de la Diaspora, ont-ils un intérêt vital à la victoire du socialisme ; ils doivent l’exiger non seulement par principe, non seu¬lement à cause de son identité avec le mosaïsme, mais aussi par principe tactique ... » (68, 71, 74, 79)
Citons le Jewish World, du 9 février 1883 :
« Le grand idéal du Judaïsme n’est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l’enseignement Juif et que dans une fraternité universelle des nations ... un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent ... Ils font plus par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l’activité publique, ils sont en train de couler graduel¬lement les pensées et les systèmes non Juifs dans des moules Juifs ».
Et aussi le discours prononcé à Prague, en 1869, par le rabbin Reichhorn sur la tombe du grand rab¬bin Siméon Ben Ihuda :
« Tous les cent ans, nous les Sages d’Israël, nous avons accoutumé de nous réunir en Sanhédrin, afin d’examiner nos progrès vers la domination du monde que nous a promise Jehovah, et nos conquêtes sur la chrétienté ennemie.
« Cette année, réunis sur la tombe de notre vénéré Siméon Ben Ihuda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapprochés du but et que ce but sera bientôt atteint.
« L’or a toujours été la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus puissant pour ceux qui le possèdent et l’objet d’envie de ceux qui ne le possèdent pas. Avec l’or, on achète les consciences les plus rebelles, on fixe le taux de toutes les valeurs, le cours de tous les pro¬duits ; on subvient aux emprunts des états qu’on tient ensuite à sa merci.
« Déjà, les principales banques, les bourses du monde entier, les créances de tous les gouverne¬ments sont entre nos mains.
« L’autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, on arrive à les faire admettre comme vérité. Le théâtre1 rend des services analogues. Partout, le théâtre et la presse obéissent à nos directions.
« Par l’éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous y sèmerons le désordre. Impuissants, ils subiront la loi de notre banque, toujours amie, toujours dévouée à notre cause.
« Nous pousserons les Chrétiens aux guerres, en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se mas¬sacreront et déblaieront la place où nous pousserons les nôtres.
« La possession de la terre a toujours procuré l’influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale, de l’égalité, nous morcellerons les grandes propriétés. Nous en donnerons des fragments aux paysans qui les désirent de toutes leurs forces et qui seront bientôt endettés par l’exploitation. Nos capitaux nous en rendront maîtres. Nous serons à notre tour des grands propriétaires et la possession de la terre nous amènera le pouvoir. Efforçons-nous de remplacer l’or par le papier-monnaie. Nos caisses absor¬beront l’or et nous réglerons la valeur du papier, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de persuader les foules. Nous les répandrons parmi les peuples pour leur énumérer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l’or et par la flatterie, nous gagnerons le prolétariat. Celui-ci se chargera d’anéantir le capitalisme aryen. Nous promettrons aux ouvriers des salaires qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous élèverons en même temps le prix des choses nécessaires, tellement que nos profits seront encore plus grands.
« De cette manière, nous préparerons les révolutions que les Chrétiens feront eux-mêmes et dont nous récolterons les fruits.
« Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prêtres ridicules et odieux, leur religion aussi ridicule et odieuse que leur clergé. Nous serons alors maîtres de leurs âmes. Car notre pieux atta¬chement à notre religion, à notre culte, en prouvera la supériorité, ainsi que celle de nos âmes.
« Nous avons déjà établi des hommes dans toutes les situations importantes. Efforçons-nous de fournir aux goym, des avocats et des médecins. Les avocats sont au courant de tous leurs intérêts. Les médecins, une fois dans les maisons, deviendront des confesseurs et des directeurs de conscience.
« Mais, surtout, accaparons l’enseignement. Par là, nous répandrons les idées qui nous sont utiles et nous pétrirons les cerveaux à notre gré.
« Si l’un des nôtres tombe malheureusement dans les griffes de la justice, courons à son aide. Trou¬vons autant de témoignages qu’il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons nous-mêmes les juges.
« A l’heure voulue, fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la société, nous asservira définitivement les Aryens ».
Citons enfin l’appel de Crémieux aux Juifs du monde lors de la fondation de l’Alliance Israélite Uni¬verselle :
« L’union que nous désirons fonder ne sera pas une union française, anglaise, irlandaise ou alleman¬de, mais une union juive universelle.
« D’autres peuples et races sont divisés en nationalités ; nous seuls n’avons pas de citoyens, mais exclusivement des coreligionnaires.
qu’ar¬rive le moment où la lumière de la foi juive, la seule religion de la raison, brillera sur le monde entier.
« Dispersés parmi les autres nations, qui depuis un temps immémorable furent hostiles à nos droits et à nos intérêts, nous désirons premièrement être et rester immuablement Juifs.
« Notre nationalité, c’est la religion de nos pères, et nous ne reconnaissons aucune autre nationa¬lité.
« Nous habitons des pays étrangers, et ne saurions nous inquiéter des ambitions changeantes de pays qui nous sont entièrement étrangers, pendant que nos problèmes moraux et matériels sont en danger.
« L’enseignement juif doit s’étendre à toute la terre ; Israélites ! Quelque part que le destin vous conduise, dispersés comme vous l’êtes sur toute la terre ; vous devez toujours vous regarder comme faisant partie du peuple élu.
« Si vous vous rendez compte que la foi de vos pères est votre unique patriotisme ;
« Si vous reconnaissez qu’en dépit de nationalités que vous avez adoptées vous restez et formez toujours et partout une seule et unique nation ;
« Si vous croyez que le Judaïsme est la seule et unique vérité religieuse et politique ;
« Si vous êtes convaincus de cela, Israélites de l’univers, alors, venez, entendez notre appel, et en¬voyez nous votre adhésion ».
Les Protocols des Sages de Sion
Il convient également d’étudier les Protocols des Sages de Sion (18).
Roger Lambelin en donne l’origine :
« Les Associations sionistes tinrent un congrès à Bâle en 1897, et y jetèrent les bases d’un program¬me de conquêtes dont les succès précédemment obtenus justifiaient l’amplitude. Ce programme n’in¬diquait pas seulement des objectifs successifs à atteindre ; il préconisait aussi les méthodes à suivre, les règles tactiques à observer. Les diverses sections du congrès rédigeaient des procès-verbaux de leurs séances, appelés protocols, destinés à être communiqués à certains initiés et à conserver la trace de ces conciliabules secrets ».
Dans le compte-rendu de la première séance, il est déclaré, page 42 et 43 (19) :
« Par la loi de nature, le droit réside dans la force.
« La liberté politique est une idée, non une réalité ...
« L’idée de la liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure ... »
Dans la huitième séance la proclamation que le peuple juif est le peuple élu et que les non-juifs n’ont qu’une intelligence bestiale (p.65 — 66)
« Par notre influence, l’application des lois des Goïm s’est trouvée réduite au minimum ; leur prestige est miné par les interprétations libérales que nous y avons introduites. Les questions les plus importan¬tes de principes politiques et moraux sont résolues par les tribunaux dans le sens que nous leur prescri¬vons ; ils jugent les procès du point de vue que nous leur faisons suggérer par des hommes de paille, par l’opinion de la presse, ou par d’autres moyens auxquels nous n’avons pas l’air de participer. Les séna¬teurs et l’administration supérieure suivent aveuglément nos conseils et nos indications. Je vous donne ici une nouvelle preuve de la pauvreté du cerveau bestial des goïm, incapable d’analyse et d’observation et plus encore de prévoir les conséquences d’un tel état de choses.
« L’esprit des goïm est purement bestial : il voit mais ne prévoit point et ses inventions sont exclu¬sivement d’ordre matériel. Il découle clairement de tout cela que la nature elle-même nous a prédesti¬nés pour diriger les goïm et gouverner le monde ; »
Dans la neuvième séance (p.66 à 69) :
« En remaniant les lois dans un sens libéral, on s’habitue à y introduire de nouvelles exigences, en¬suite l’inexécution de ces lois conduit au relâchement, puis à l’anarchie. C’est alors qu’étant fait sou¬verains de l’univers, rois en réalité, quoique non couronnés, nous pourrons affermir notre despotisme, déjà puissant parce qu’il est invisible, et, partant, irresponsable. Au lieu de nous incomber, la respon¬sabilité appartiendra à ceux des représentants des peuples qui, inconsciemment, et bien entendu, sans en connaître le but, exécutent notre programme ... En cas de protestation contre nos ordres, ils se¬raient condamnés au repos éternel ... » (et on rappelle la mort des présidents Carnot, Félix Faure et Mac Kinley envoyés ad patres par le couteau, le poison ou la balle).
« C’est grâce à la presse que nous avons ramassé l’or, bien qu’il fallut parfois le prendre dans des torrents de sang et de larmes, mais la fin justifie les moyens. Cette presse qui « incarne le triomphe de la liberté du caquetage ». « Il nous en coûte le sacrifice de beaucoup des nôtres, et chacune de ces victimes vaut devant Dieu des milliers de goïm. »
Dans la dixième séance (p.70 et 71) :
« Aux temps où les peuples considéraient leurs souverains comme une pure manifestation de la volonté divine, ils se soumettaient sans murmures à l’autorité des monarques, mais du jour où nous leur avons suggéré la notion de leurs propres droits, ils commencèrent à considérer leurs souverains comme de simples mortels, l’onction sacrée cessa d’être regardée comme divine par le peuple auquel nous avons enlevé sa foi ; dès que nous eûmes ébranlé la croyance en Dieu le pouvoir fut jeté au ruis¬seau, il devint la propriété publique dont nous nous emparâmes. ... Nous sommes trop puissants, il faut compter avec nous. Les puissances ne peuvent conclure le moindre traité sans que nous y participions secrètement. « Le Seigneur a dit : « Par Moi règnent les rois ». Nos prophètes nous ont dit que nous avons été choisis par Dieu Lui-même pour régner sur toute la terre. C’est pourquoi Dieu nous a doués de génie. Il faut que nous puissions mener à bonne fin notre tâche qui est la conquête du monde par des moyens pacifiques ».
Et ils préconisent la corruption de l’opinion publique et la destruction de l’initiative personnelle en dressant les Goïm les uns contre les autres :
« Sur un tel terrain, l’inimitié des Goïm les amènera à se trahir entre eux à notre profit. La différence des points de vue est la meilleure créatrice des malentendus et des haines. Par ce moyen, nous sèmerons les dissensions dans tous les partis ; nous désagrégerons toutes les forces collectives qui refusent de nous obéir et de se soumettre à nous, et nous découragerons toute initiative personnelle susceptible d’entraver notre oeuvre ...
« Tout cela, à la fin des fins, nous servira à lasser les Goïm à ce point que nous les obligerons à nous offrir le pouvoir international, pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est susceptible d’englober sans heurts toutes les forces gouvernementales du monde et de former un Supergouver¬nement ».
Dans la onzième Séance (p.74 à 80) :
« Le plan du gouvernement doit résider dans un seul cerveau ... Seul le Souverain doit le connaî¬tre, ses administrateurs doivent, sans les discuter, exécuter les parties qui leur en sont communiquées quand il est besoin ... »
« Quand nous eûmes contaminé l’organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l’ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d’une maladie mortelle : la décomposition du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie.
« Le libéralisme engendre des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n’est guère autre chose qu’une école de discorde, de querelles, de mésintelligence, de dis¬sentiments, d’agitations stériles ; de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l’activité de l’État.
« La tribune, comme la presse, a condamné les gouvernements à l’inaction et à l’impuissance ; par là même, ils devinrent inutiles ; c’est ce qui, dans beaucoup de pays déterminera leur chute. Il devint alors possible d’inaugurer l’ère républicaine ; nous remplaçâmes le représentant de la nation par sa propre caricature : un Président de République, pris dans la foule, au milieu de nos créatures, de nos esclaves ... Telle fut la première mine posée sous les États des peuples goïm
« Nous machinerons l’élection de présidents ayant dans leur vie un Panama quelconque ; avec ces tares dans leur passé, ils seront de fidèles exécuteurs de nos ordres, redoutant la révélation des dites tares et intéressés à conserver les privilèges du poste de président.
« La Chambre des Députés aura à élire, à protéger et à défendre les présidents, mais nous la priverons du droit de proposer des lois et de les modifier, car ce droit sera la prérogative du président responsable, dont le pouvoir deviendra, bien entendu, la cible de toutes les attaques ; mais nous lui accorderons pour se défendre, le droit d’en appeler directement à la décision du peuple (C’est-à-dire d’avoir recours à un plébiscite), sans passer par l’intermédiaire de ses représentants car le peuple, c’est-à-dire la majorité de la foule, est notre serviteur aveugle.
« Nous accorderons au président le droit de proclamer la loi martiale ; nous motiverons ce droit par le fait que le président, en tant que chef de toutes les armées du pays, en peut disposer pour défendre la constitution républicaine, dont la protection lui incombe, puisqu’il en est le représentant responsable.
« Il est évident que sous un pareil régime, la clef du Saint des Saints sera entre nos mains ; sauf nous-mêmes, personne ne pourra diriger le pouvoir législatif.
« De plus, on retirera à la Chambre le droit d’interpellation sur les mesures gouvernementales à pren¬dre, sous prétexte de sauvegarder le secret politique, secret dont le président aura la responsabilité ...
« Nous obligerons de réduire à quelques mois la durée des sessions parlementaires permanentes. En outre le président de la république, en sa qualité de chef du pouvoir exécutif, aura le droit de convoquer ou de dissoudre les Assemblées parlementaires, et en cas de dissolution d’ajourner la convocation d’un nouveau parlement ...
« Le président de la République interprétera à notre gré celles des lois existantes qui peuvent être interprétées de différentes façons. Il pourra aussi les annuler en cas de nécessité ...
« Par ces moyens, nous annulerons, petit à petit tout ce que nous avons été contraints d’instituer jusqu’à présent et nous procéderons, lorsque sonnera l’heure de remplacer les gouvernements par notre pouvoir autocrate, à l’abrogation imperceptible de toute constitution.
« Il est possible que notre Souverain autocrate soit reconnu Souverain de tout l’univers, même avant l’abrogation des Constitutions. Cette reconnaissance peut avoir lieu au moment où les peuples, exaspé¬rés par les désordres et la faillite morale de leurs gouvernements quels qu’ils soient, s’écriront : « Dépo¬sez-les tous, et donnez-nous un seul chef, un Roi de l’univers, fut-il du sang de Sion, qui saura nous unir et abolira les causes de nos discordes, à savoir : les frontières, les nationalités, les religions et les dettes nationales ; un roi, enfin, qui nous ramènera le calme et la paix que nous ne pouvons obtenir avec nos gouvernements et nos représentants qui nous sacrifient toujours à leurs intérêts personnels.
« ... Afin de pouvoir exprimer de tels désirs, il faut troubler sans cesse les rapports des peuples entre eux et avec leurs autorités gouvernementales. Tout le monde sera ainsi épuisé par les discordes, l’hos¬tilité réciproque, les rivalités, et même par le martyre et par l’extermination des peuples connus pour leur longanimité, par la famine, par l’inoculation de maladies contagieuses, dont le contrepoison n’est connu que de nos savants, par la misère, afin que les goïm, n’entrevoyant pas d’autre issue, se rendent à notre domination financière et à celle de nos monopoles. Il ne faut pas leur laisser de répit ... » (20)
Dans la douzième Séance (pp. 80 à 82), sous le titre : Les Bases de la nouvelle Constitution, et avec comme sous- titre : Moyens et détails de notre Révolution :
« Nous nous occuperons des détails du plan, ce qui est indispensable pour effectuer dans le sens qui nous est favorable, le changement du mécanisme des machines gouvernementales.
« Éclaircissons les questions qui concernent la liberté de la presse, le droit des associations, la liberté de conscience, les droits électoraux et tant d’autres questions qui devront disparaître du répertoire hu¬main, ou bien, être radicalement modifiées dès le lendemain de l’avènement au pouvoir du Souverain international.
« C’est à ce moment là que, d’un seul coup, il faudra promulguer tous nos décrets et les appliquer rigoureusement ...
« Il nous est nécessaire qu’au moment de son avènement, à l’heure même de sa proclamation, les peuples, encore ahuris par le coup d’État et saisis par la stupéfaction et la terreur, comprennent que notre puissance est si invulnérable et si forte qu’en aucun cas nous ne compterons avec eux et ne prendrons en considération leurs protestations ou leurs avis ... Il faut qu’ils sachent que nous avons pris d’un seul coup ce qu’il nous fallait du pouvoir lequel nous ne partageons avec personne. Alors de crainte et de terreur, ils fermeront volontairement les yeux et attendrons les événements ... »
Dans la treizième Séance (pp. 83 à 89) :
« La presse sert à exciter furieusement les passions utiles à nos desseins ou à l’égoïsme des partis. Nous la musellerons définitivement ...
Et ils avouent les procédés qu’ils ont utilisé (page 88) :
« Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d’ordre ... Aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa sou¬mission à nos directives et à notre mot d’ordre. La misère, la vanité, l’orgueil et autres défauts sont les gages de l’obéissance d’un journaliste qui court après le succès et la cause de la soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clefs qui ouvrent l’entrée du domaine littéraire : Ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer ».
Dans la quatorzième Séance (page 91) :
« Tant qu’il ne sera pas sans danger de confier des postes officiels en vue à nos frères juifs, nous les donnerons à des hommes dont le passé et le caractère sont tels qu’un abîme les sépare du peuple, et qu’au cas où ils contrarieraient nos intérêts ou enfreindraient nos ordres, ils seraient exposés aux pour¬suites judiciaires ou à l’exil pour les abus dont ils se sont rendus coupables et que l’on découvrirait de sorte qu’ils seront obligés de défendre nos intérêts comme les leurs ».
Dans la quinzième Séance (pp. 91 à 96) :
« Quand nous aurons conquis définitivement le pouvoir au moyen des coups d’État, préparés par¬tout simultanément, pour le même jour ; après qu’on aura reconnu une fois pour toutes l’incapacité des gouvernements existants des Goïm ... Nous exterminerons toute graine d’insurrection et de conspira¬tion contre notre gouvernement.
« D’abord nous exécuterons sans pitié tous ceux qui ne prendront pas les armes en faveur de l’éta¬blissement de notre pouvoir.
« La fondation d’une société secrète sera punie de mort, tandis que les sociétés secrètes déjà exis¬tantes, qui nous sont connues et ont servi, seront dissoutes ; nous exilerons sur des continents éloignés ceux des Maçons qui en savent trop long ... ou bien, nous réduirons leur nombre ...
« Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l’individualité humaine l’unité symbolique du collectivisme. On peut compter à coup sûr qu’ils ne comprennent pas que cette idée suggérée par nous va à l’encontre de la loi fondamentale de la Nature qui, depuis la Création, enfante chaque être différent de tous les autres dans le but de donner à chacun son individualité. Le fait que nous avons pu amener les Goïm à un tel aveuglement prouve à quel point leur développement céré¬bral est comparativement inférieur au nôtre ; leur cerveau est au niveau de celui des animaux ; c’est la preuve de notre élection et c’est là ce qui nous donne la garantie du succès.
« Vous voyez par cet exposé combien nos Sages étaient clairvoyants lorsqu’ils élaboraient les plans d’asservissement des Goïm et nous donnaient cette maxime de ne pas nous arrêter devant les moyens, nous recommandant de ne pas tenir compte du nombre des victimes sacrifiées à la réalisation de notre cause utile et sérieuse. Nous n’avons pas compté les Goïm qui tombaient sur notre chemin, mais, en revanche, nous avons gardé les nôtres et leur avons donné dans le monde une situation à laquelle ils ne pouvaient même pas songer au moment où nos Sages avaient composé un millier d’années d’avance un plan d’action. Le nombre restreint de victimes que nous avons eu, malgré tout, à sacrifier parmi les nôtres, a sauvé notre race de la destruction.
« La mort est une fin inévitable pour chacun de nous ; mieux vaut la hâter pour ceux qui entravent notre oeuvre que pour nos frères qui en sont les artisans ».
Dans la seizième Séance (pages 96 à 101) :
« ... Toute clémence est un relâchement permettant au criminel d’escompter l’impunité.
« Notre absolutisme sera logique à tous égards, et, partant inflexible dans tous ses règlements ... Nous supprimerons le droit d’appel ... un tel gouvernement a, sur les ignorants, le droit du plus fort. Il doit en user pour diriger l’humanité vers le régime désigné par la Nature elle-même, celui de l’obéissance ... Nous serons donc cet être supérieur : le plus fort ; nous le serons de façon absolu, sacrifiant, sans hésiter, tous ceux qui nuiront à nos plans ou enfreindront nos règlements, parce que la tâche éducatrice consiste à exterminer le mal et toute opposition par des châtiments exemplaires. « Le jour où le roi d’Israël, le roi de la maison de David, posera sur sa tête la couronne offerte par l’Europe, il deviendra le patriarche du monde ... »
Dans la dix-septième séance (pages 101 à 103) :
« Nous mettrons bien en relief les erreurs des gouvernements des Goïm ; nous soulèverons contre eux un tel dégoût que les peuples préféreront la tranquillité et la paix dans l’esclavage aux droits de la fameuse liberté qui les a tant martyrisés durant des siècles et qui a épuisé les sources mêmes de l’exis¬tence humaine ...
« Nos philosophes discuteront et critiqueront toutes les lacunes des croyances des Goïm ; mais les Goïm ne pourront en user à l’égard de notre religion, car personne n’en connaît les secrets, sauf nos talmudistes et nos rabbins, et ceux-là ne les trahiront jamais parce que c’est en eux que réside toute la force de notre pouvoir sur nos ouailles.
« C’est surtout dans les pays dits avancés que nous avons créé une littérature stupide, ordurière et répugnante ...
Dans la dix-huitième séance (pages 103 à 106) :
« ... Ce qui concerne la politique n’est accessible qu’à ceux qui la dirigent depuis des siècles, suivant un plan déterminé, à ceux qui l’ont créée et mise en usage comme on le fait d’un char dans lequel on mène les gens qui ne savent pas où ils vont.
« Mais pour qu’ils ne s’adonnent pas trop au travail cérébral et ne soient pas entraînés à agir, nous avons organisé pour eux toutes sortes de lieux de plaisir qu’ils s’empressent de visiter ... . Nous dé¬tournerons ainsi définitivement les esprits de la discussion dont nous désirerons nous occuper exclu¬sivement. Les hommes, se déshabituant de plus en plus d’avoir une opinion indépendante dans les questions sociales, se mettront à l’unisson avec nous, parce que nous serons les seuls à lancer des idées nouvelles, par l’intermédiaire de ceux avec lesquels nous ne semblerons pas être du même avis.
« Quand notre pouvoir sera reconnu et le gouvernement international établi, le rôle des utopistes sera terminé ; mais, pour l’instant, ils sont encore utiles, parce qu’ils orientent les esprits vers des théo¬ries fantastiques, soi- disant avancées, et les détournent de la réalité. Nous avons réussi à tourner toutes les têtes par l’idée du progrès. Il ne s’en est pas trouvé une seule chez les Goïm capable de s’apercevoir qu’il n’y a qu’une seule vérité, qu’en tant que vérité, elle ne peut progresser ; que le progrès est un éloi¬gnement de la vérité afin que personne ne puisse la connaître, sauf nous, les élus de Dieu, les gardiens de la vérité sur le mystère des relations humaines et de leur bien, de cette vérité que nous tenons ca¬chée jusqu’au moment de notre victoire définitive et de notre conquête pacifique de l’univers.
« Qui donc se doutera ... que toutes ces erreurs ont été créées et machinées par notre programme éducatif, selon le plan politique élaboré par nos Sages, Salomon à leur tête, pour la conquête pacifique de l’univers au profit de notre couronne — celle de la maison du roi David.
« Il ne sera pas désirable pour nous que subsiste une autre religion que la nôtre, celle qui n’adore qu’un seul Dieu a qui est lié notre destin et, par nous, le destin du monde entier, puisque, d’après notre religion, nous sommes le peuple élu de Dieu. C’est pourquoi nous devons nous efforcer d’effacer de la terre, AVANT L’ARRIVÉE DE CE JOUR, toutes les autres religions » (21).
Dans la dix-neuvième séance (pages 106 à 109) :
« Au temps de notre règne, dans le but de détruire toutes les forces collectives excepté la nôtre, nous commencerons par rendre inoffensives les universités qui sont les premiers degrés du collectivisme. Nous rééduquerons leur personnel dans un esprit nouveau ...
« Toutes les sources de l’enseignement seront centralisées entre les mains du gouverne¬ment ...
« A présent que nous sommes en force, nous n’avons pas besoin de Goïm penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tout temps, consommateurs avides de tous les biens terres¬tres ».
Dans la vingtième séance (pages 110 à 113) :
« Si pendant notre règne, nous avons à renforcer les moyens de protection de notre pouvoir, nous provoquerons un mécontentement simulé dans divers groupements ... C’est ainsi que nous aurons le fil pour motiver des perquisitions ... Nous nous débarrasserons ... de nos adversaires, en donnant pour raison qu’ils s’étaient rendus à l’appel d’agents provocateurs.
« Le prestige du pouvoir exige que chacun puisse se dire : « Si le Roi le savait ! ... » ou bien : « Le Roi le saura ».
« Bien entendu, nous avons prêché le contraire aux Goïm, et nous voyons bien maintenant où nos conseils les ont conduits ».
« Nous serons sans pitié pour les crimes politiques, car si nous admettons les circonstances atténuan¬tes pour les crimes de droit commun, il n’y aura aucune excuse pour ceux qui s’occupent de questions auxquelles si ce n’est le gouvernement, nul ne peut rien comprendre ».
Dans la vingt et unième séance (pages 115 à 117) :
« Notre pouvoir sera glorieux parce qu’il sera puissant ... (il) sera l’arbitre de l’ordre dans lequel réside le secret du bonheur des peuples. Le prestige de cette puissance leur inspirera une adoration mys¬tique ; ils s’inclineront devant elle ; la véritable force conserve toujours son droit ».
Et dans l’édition de Nilus : « UNE VRAIE PUISSANCE NE DOIT CéderDEVANT AUCUN DROIT, PAS MÊME DEVANT CELUI DE DIEU ».
Dans la vingt-deuxième séance (pages 117 et 118) :
« Le souverain qui remplacera tous les gouvernements aujourd’hui existant et agissant dans les so¬ciétés démocratisées par nous, QUI ONT RENIÉ JUSQU’A LA NOTION DU POUVOIR DIVIN ET DU SEIN DESQUELLES SORT LE FEU DE L’ANARCHIE, notre souverain devra avant tout étein¬dre cette flamme dévorante ; c’est pourquoi il sera obligé d’exterminer de telles sociétés ...
« Cet élu de Dieu, chargé de mission divine, écrasera les forces insensées, guidées par l’instinct et non par la raison, par la bestialité et non par l’humanité ; ces forces qui se manifestent par le pillage et la rapine, sous le masque des principes de la justice et du droit.
« Ces mêmes forces ont détruit partout l’ordre social ; mais leur rôle ne sera terminé que le jour où, grâce à leur destruction, on pourra instaurer le trône du Roi d’Israël.
Dans la vingt-troisième séance (pages 118 à 120) :
« Je passerai aujourd’hui à la question des moyens à employer pour fortifier les racines dynastiques du Roi David (22) jusque dans les couches les plus profondes de la terre. Notre procédé consistera dans les mêmes principes qui ont assuré à nos Sages la direction de toutes les affaires mondiales, c’est à dire la direction de l’éducation de la pensée humaine et l’organisation de toute la politique mondiale.
« Plusieurs membres de la famille de David seront préparés pour régner et pour gouverner les peu¬ples. On préparera les Rois pour les peuples et leurs successeurs seront choisis non par droit d’hérédité directe, mais en raison de leurs capacités. Ils seront initiés aux mystères les plus secrets de la politique, c’est à dire à nos plans de gouvernement, en prenant toute précaution pour que nul autre qu’eux ne les puisse connaître. La tâche de gouvernement ne peut être confiée à des non-initiés aux-dits mystères et à l’art de les mettre en pratique sans que personne n’en pénètre le but ...
« Les plans d’action du moment actuel, et a plus forte raison ceux de l’avenir, seront inconnus même des hommes qu’on appelle les proches conseillers de notre Roi qui, seul, avec ses maîtres, ses initiateurs, saura ce qui est préparé pour un avenir prochain.
« Tous verront le Souverain maître de lui-même par son inébranlable volonté ; il sera comme la per¬sonnification du destin aux voies inconnues. Nul ne sachant quel but visent les ordres du Roi, n’osera faire obstacle à ce qui est préparé d’avance dans le secret.
« Je répète qu’il est évidemment indispensable que l’intelligence du Souverain soit à la hauteur de la majesté du plan gouvernemental ; c’est pour cela qu’il ne montera sur le trône qu’après avoir été soumis par nos Sages à une épreuve intellectuelle. «
Dans la vingt-septième séance (pages 140 à 145) :
« Nous avons enchaîné les peuples aux durs travaux par la misère plus fortement qu’ils ne l’avaient été jadis par le servage et l’esclavage dont ils parvinrent à s’affranchir tandis qu’ils ne sauraient se libérer de la misère. Les droits inscrits par nous dans la Constitution sont pour les masses purement fictifs et non réels. Ces droits sont l’expression d’une idée tout à fait impossible à réaliser.
« Qu’importe au travailleur courbé sous le poids de son labeur, ou au prolétaire opprimé par son sort que les bavards aient reçu le droit de pérorer, les journalistes le droit d’écrire toutes sortes de stupidités à côté de questions sérieuses, si le prolétariat ne tire de la Constitution d’autre profit que celui de ramas¬ser les miettes de notre table, que nous lui jetons pour qu’il vote nos lois et élise nos agents. Les droits républicains sont pour le travailleur une amère ironie, car la nécessité du travail quotidien l’empêche en réalité d’en tirer aucun avantage, tandis qu’ils lui enlèvent la garantie d’un salaire fixe et assuré en l’obligeant à dépendre des grèves organisées tantôt par les patrons, tantôt par les camarades, que nous excitons quand nous avons besoin de détourner les esprits des affaires courantes et d’introduire im¬perceptiblement quelques mesures qui nous soient favorables.
« Sous notre direction, les peuples et les gouvernements ont exterminé l’aristocratie qui était leur appui, leur défense et qui — dans son propre intérêt — avait pourvu à leurs besoins. C’est pourquoi ils sont tombés aujourd’hui sous le joug de profiteurs enrichis et de parvenus qui pèsent sur le travailleur comme un fardeau impitoyable.
« Nous nous présentons comme les libérateurs des travailleurs en leur proposant d’entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d’anarchistes et de communistes (23), que nous soutenons toujours au nom de notre prétendu principe de solidarité fraternelle, la Maçonnerie sociale. L’aristocratie qui, de droit, bénéficiait du travail de l’ouvrier, avait intérêt à ce qu’il fut bien nourri, en bonne santé et vigou¬reux.
« Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile parce que les privations l’asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
« La famine confère au capital des droits plus puissants sur le travailleur que n’en a jamais conféré à l’aristocratie le Pouvoir du Souverain. Par la misère et par les haines qu’elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.
« Quand viendra l’heure du couronnement de notre maître universel, DE LA FAMILLE DE DAVID, ces mêmes mains balayeront tout ce qui pourrait lui faire obstacle ...
« Les hommes ignorant les exigences de la nature et l’importance de chaque caste voudraient sortir de leur milieu, parce qu’ils ressentent de l’inimitié envers toute condition qui leur semble supérieure à la leur.
« Cette inimitié s’accentuera davantage lorsqu’éclatera la crise économique qui arrêtera les transac¬tions financières et toute la vie industrielle. Cet événement jettera simultanément dans la rue et dans tous les pays d’Europe d’immenses foules de travailleurs.
« Vous comprenez avec quelle joie ils se précipiteront pour verser le sang de ceux qu’ils ont jalousés dès l’enfance.
« Ils ne toucheront pas aux Nôtres, parce que, connaissant le moment de l’attaque, nous prendrons des mesures pour nous défendre comme nous l’avons fait au temps de la commune de Paris. » où l’hô¬tel de Rothschild a été gardé par les révolutionnaires.
« Nous avons convaincu les Goïm que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre Des-potisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révolutions : il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
« A mesure que nous inculquions aux Goïm des idées de libéralisme, les peuples s’aperçurent qu’au nom de la Liberté, le Pouvoir faisait des concessions ... ils se ruèrent contre le Pouvoir ; mais semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent à d’innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d’un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.
« Depuis ce moment, nous les conduisons de déception en déception pour que finalement ils re¬noncent à tout en faveur du Roi despote, issu du sang de Sion, que nous préparons pour le monde.
« Actuellement, en tant que force internationale, nous sommes invulnérables : si un État goïm nous attaque, d’autres nous soutiennent. La bassesse illimitée des peuples goïm rampant devant la force, sans pitié pour la faiblesse et pour les moindres fautes et indulgents pour les crimes, refusant de se soumettre à un régime juste, mais patients jusqu’au martyre devant la violence d’un audacieux Despotisme, voilà ce qui nous assure l’invulnérabilité ...
« Le mot « liberté » met en conflit l’humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la Nature. C’est pourquoi, à notre avènement au Pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang ... »
Enfin, dans la septième séance (pages 62 et 63) :
« Nous avons déjà pris soin de discréditer le clergé des goïm et de ruiner ainsi sa mission qui aurait pu nous être un obstacle. L’influence des prêtres sur les peuples va décroissant tous les jours.
« La liberté de conscience est partout proclamée, par conséquent il n’y a plus que quelques années qui nous séparent de l’effondrement de la foi chrétienne, notre plus redoutable adversaire par ses théo¬ries sur le surnaturel et la vie future ... Nous avons à ce point restreint le champ d’action du cléricalisme que son influence s’exercera à rebours de ce qu’elle a fait jusqu’ici (24).
« Quand sonnera l’heure de procéder à la destruction de la cour Pontificale, le doigt d’une main invisible indiquera aux masses le Vatican, et lorsque celles-ci se précipiteront à l’assaut nous nous pré¬senterons comme ses soi-disant protecteurs pour empêcher une trop forte effusion de sang. Cet acte nous ouvrira les portes ; nous pénétrerons dans la place et nous n’en sortirons qu’après avoir sapé toute la puissance qu’elle contient.
« Le Roi des Juifs sera ce que naguère avait été le Pape. Il deviendra le Patriarche universel de l’Égli¬se Internationale, INSTITUÉE PAR NOUS ... » (25)
Enfin, (pages 148 à 151), après avoir décrit par le fameux serpent symbolique la conquête du monde par les chefs de Sion (à ne pas confondre avec le mouvement sioniste), le traducteur précise que les Procès verbaux des séances et le tracé du plan « ont été soutirés des coffres secrets de la Grande Chan¬cellerie Sioniste » (réalisation commencée depuis l’an 929 avant Jésus-Christ) et donne les précisions suivantes :
« Pour que cette marche se fasse sans entraves, les mesures suivantes ont été prises, afin de former et d’éduquer les Juifs pour que cette oeuvre difficile soit habilement exécutée.
« Avant tout, on obtint, par des artifices, l’isolement des Juifs, afin que nul ne pénètre dans leur milieu et n’y surprenne les secrets de leur travail patriotique, si nuisible pour les pays qui les ont hospi¬talisés. On leur déclare, prophétiquement, qu’ils sont les élus de Dieu Lui-même pour posséder la terre comme un royaume indivisible, En outre, on leur inculque l’idée que seuls les Juifs sont les enfants de l’Éternel et qu’ils sont les seuls dignes d’être appelés des Hommes, que le reste des humains ne furent créés que comme bêtes de somme et des esclaves des Juifs, et que la figure humaine ne leur a été donnée que pour rendre leurs services moins dégoûtants aux Juifs, services nécessaires pour bâtir le trône de Sion sur tout l’Univers. (Voir Sanh., 91, 21 et 1051)
« En plus de cela, on les a persuadés qu’ils étaient des êtres supérieurs, sortes de surhommes, qu’ils ne pouvaient se marier à des représentants de la race du bétail qu’étaient les autres peuples, n’étant en comparaison avec les Juifs que des bêtes. De telles idées, enseignées dans les écoles publiques et se¬crètes, et dans les familles Juives, furent la cause de la haute opinion de leur supériorité sur le reste de l’humanité, la cause de leur propre divinisation, comme étant de droit les fils de Dieu. (Voir : Jihal., 67, 1 ; Sanh., 58, 2)
« Cet isolement des Juifs a été également aidé par le système du Kahal, qui oblige tout Juif de soutenir ses congénères, indépendamment ce l’assistance que ceux-ci reçoivent de la section locale de Sion ...
« L’influence des idées citées plus haut détermina la vie matérielle des Juifs. Considérant tous les non-Juifs comme leurs bêtes de somme (Voir : Orach-Haïm, 14,1 ; Eben-Gaetzer, 44, 8-24 ; lébamot, 98, 25 ; Xétubot, 3, 34 ; Sanhédrin, 74, 30 ; Kiduchin, 68) créées pour glorifier Sion, les Juifs les traitent comme des animaux ; ils regardent la propriété et même la vie de ces peuples comme leur propre bien et en disposent à leur gré, quand ils peuvent le faire impunément. Leur administration sanctionne ces ac¬tes par l’absolution de tous les crimes commis par les Juifs à l’égard des non-Juifs ; cette absolution a lieu le jour du lom-Kipour (Nouvel An Juif) ; tout en les absolvant, on les autorise à en faire autant l’année qui commence. En plus de cela, voulant exciter l’intolérance et la haine de son peuple envers les autres, l’administration de Sion permettait, de temps à autre aux Chrétiens de découvrir certaines ordonnances du Talmud et créait ainsi l’antisémitisme. Les manifestations antisémites servaient la cause de Sion en attisant dans les coeurs des Juifs la haine contre les autres peuples et en provoquant chez quelques hom¬mes, utiles à leur cause, la pitié envers une race, soi-disant, injustement persécutée ; ce sentiment a attiré beaucoup de personnes dans les rangs des serviteurs de Sion.
« L’antisémitisme, en persécutant et terrorisant la population juive (les chefs de Sion n’ont jamais souffert de l’antisémitisme, ni en ce qui concerne leurs lois, leur autonomie ou l’intégrité de leur insti¬tution), la maintenait dans la subordination à ses chefs qui ont su défendre à temps leur peuple, ce qui n’a rien d’étonnant, puisqu’ils ont lancé eux- mêmes contre lui les antisémites, comme des limiers, qui faisaient rentrer leur troupeau, le rendant obéissant et prêt à exécuter aveuglement les ordres de Sion. Mais le plus grand mérite de l’antisémitisme devant Sion est celui d’avoir dispersé le peuple juif dans tous les coins du monde, ce qui a permis de créer une union sioniste universelle. Actuellement, cette union a levé son masque, car elle a conquis la situation du Super-Gouvernement vers laquelle elle se dirigeait, manoeuvrant à son gré, imperceptiblement, pour les non-Juifs, tous les fils qui relient les Chan¬celleries du monde entier. A présent, le trône solide est élevé pour Sion, il ne reste qu’à y faire asseoir le Roi d’Israël.
« Ce royaume n’aura pas de frontière, parce qu’il a su se situer internationalement ...
« ... Le régime gouvernemental le plus souhaitable pour Sion est le régime républicain, parce qu’il laisse la pleine liberté d’action aux armées de Sion : aux anarchistes de la pensée et à ceux de l’action, appelés socialistes ».
La traduction de ces documents est indiquée : Traduit du français, 1901, le 9 décembre.
Quelles meilleures preuves d’authenticité des Protocols d’une part que leur entière conformité avec tous les documents émanants des plus hautes autorités juives, et d’autre part que leur réalisation rigou¬reuse de la plupart des projets qui y étaient annoncés, depuis leur publication à date certaine par leur dépôt à Londres en 1906 ! ...
Tel est l’effroyable tyrannie que le gouvernement Juif talmudiste mondial a la prétention de vouloir imposer au monde.
C’est clair, précis. Les illusions, devant ces textes, ne sont pas permises. Et pour y parvenir, on veut que les hommes deviennent des robots incapables de raisonner et qu’on pourra mener ainsi comme des moutons. Le Talmud ne dit-il pas que seuls les Juifs sont des hommes, que les autres ne sont que du bé¬tail ... et qu’en conséquence tout est permis à leur égard. On comprend alors la loi Veil sur l’avortement, puisque les petits chrétiens en gestation ne sont, à leurs yeux, que de futures petites bêtes sur lesquelles ils ont droit de vie et de mort ...
De tous les documents qui précèdent et qui émanent des plus hautes autorités juives, il résulte donc qu’il y a péril extrême pour des Pays chrétiens à ce que des Juifs, s’ils sont talmudistes, ce qu’on ne peut jamais savoir, soient ministres ou occupent des postes importants dans les ministères comme aussi dans l’armée, l’affaire Dreyfus l’a montré.
Faut-il rappeler quelques noms de Juifs membres de précédents ministères : Blum (26), Mendés-Fran¬ce, Debré, Stirn, Léo Hamon, Lionel Stoléru, Maurice Schuman, etc.. ... Il serait fort utile d’étudier leur action. Il faudrait aussi rechercher les inspirateurs des lois les plus perverses et les plus dangereuses au point de vue national. Nous n’en citerons que deux : la loi Crémieux sur le divorce et la loi Veil sur l’avor¬tement, sans oublier toutes les lois anti-cléricales inspirées par la Franc- Maçonnerie télécommandée par les Juifs, eux-mêmes inspirés par Lucifer ...
Rappelons qu’un des ministres socialistes actuels, Mexandeau, avait déclaré en 1977 à Tribune Juive, que si les traitements des professeurs et maîtres de l’Enseignement privé n’étaient plus assurés par l’État, du moins les écoles juives bénéficieraient d’un traitement de faveur ...
A l’étranger, mentionnons les faits suivants :
C’est le juif Princip qui a assassiné l’Archiduc Héritier François-Ferdinand d’Autriche.
C’est le juif Kerensky qui succéda à l’Empereur Nicolas II et ouvrit la voie aux Soviets. Il s’appelait Aaron Kirbiz.
C’est le juif Sverdlof qui, de Moscou, a commandé l’ignoble assassinat de la Famille Impériale de Russie à Ekaterinenbourg et que cette abominable boucherie a été exécutée par les juifs Yourovski et Golostcheguine.
C’est le juif Helphand, appuyé par le demi-juif Bethmann-Hollweg, qui a obtenu de Ludendorf la traversée de l’Allemagne en wagon plombé par Staline en vue de déclencher la révolution russe.
Ce sont les juifs Bela Kun et Tibor Szamuelly qui étaient les chefs du sanglant bolchevisme hongrois. Ce sont les juifs Liebknecht, Rosa Luxemburg et Kurt Eisner qui dirigeaient le spartakisme allemand. Etc. ... En fait quinze millions de juifs — une race et une religion — dirigent le reste du monde pour leur seul profit ! Quelle disproportion !
Bernard Lazare, juif, reconnaît dans son livre sur L’histoire de l’anti-sémitisme et ses causes (page 135) :
« Partout ils voulaient rester juifs et partout ils obtenaient des privilèges leur permettant de fonder un État dans l’État ».
Ajoutons, pour éclairer les événements actuels du Liban et l’action du Gouvernement Begin en Israël que les chefs du judaïsme mondial ont toujours été plus ou moins hostiles à l’établissement d’un État Juif en Palestine. Citons le Jewish World, de février 1883 :
« Le grand idéal du judaïsme n’est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l’enseignement juif et que dans une fraternité universelle des nations — un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent.
« En tant que peuple cosmopolite les Juifs font plus. Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l’activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les systèmes non juifs dans des moules juifs » (27). Et ce pour aboutir au règne du Roi d’Israël et à son Gouvernement mondial, et donc pas seulement sur la petite Palestine ... qui constitue plutôt un obstacle à la réalisation du plan juif d’asservissement du monde entier ...
Prochainement, je vous parlerai de : LA FRANC-MAÇONNERIE FONDÉE ET DIRIGÉE PAR LE POUVOIR JUIF mais aussi des BRAS DE LA PIEUVRE LUCIFÉRIENNE (Roger Vigneron poursuit : « Au XIIème Siècle, les Templiers ont rapporté de Palestine en Europe le Dépôt de Moïse, qu’ils sont allés chercher dans le Temple ruiné de Jérusalem. Et c’est la possession de ce trésor et en particulier de L’ARCHE D’ALLIANCE, qui leur a permis d’infléchir, durant trois siècles, le sort des nations dites chrétiennes. « Par ailleurs, les moyens financiers n’ont jamais manqué aux Templiers, qui ont été les BANQUIERS DE L’EUROPE. Il poursuit, et cela nous oblige à ouvrir l’oeil : « L’Ordre Rénové du Temple, m’a dit le Grand-Maître, n’est pas le refuge des nostalgiques du passé. Il est la structure puissante capable d’accueillir tous ceux qui ne veulent pas subir passivement les événe¬ments qui accablent le monde. Par une formation initiatique et son enseignement pratique, l’Ordre per¬met à ses membres de saisir les moyens propres à oeuvrer pour rendre au monde la grande LUMIERE qu’il a perdue ») mais aussi des (LES BILDERBERGERS — LA TABLE RONDE— LE COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS, THE TRILATERAL COMMISSION, AmnestyInternational, MARXISME : SOCIALISME & COMMUNISME, LES SECTES — LES DROGUES HALLUCINOGéNES, LeYoga, LE ROTARY, LE REARMEMENT MORAL (R.A.M.), LA GNOSEDEPRINCETON,LEG.R.E.C.E.(GroupementdeRechercheetd’étudepourlaCivilisationEuropéenne) & ses publications Nouvelle école & éléments, LE SCOUTISME, L’EXPRESSION CORPORELLE, LA JAMAA, LE PENTECOTISME & LE RENOUVEAU CHARISMATIQUE, L’ARMEE DE MARIE, Les Cathares — Le Saint Graal — Les Templiers — Le Prieuré de Sion — Les Francs-Maçons. ;
A très bientot
« Peuple énergique, vivace, d’un orgueil infini, se considérant comme supérieur aux autres nations, le peuple Juif voulut être une puissance. Il avait instinctivement le goût de la domination puisque par ses origines, par sa religion, par sa qualité de race élue qu’il s’était de tout temps attribuée, il se croyait placé au dessus de tous. Pour exercer cette sorte d’autorité, les Juifs n’eurent pas le choix des moyens. L’or leur donna un pouvoir que toutes les lois politiques et religieuses leur refusaient. Détenteurs de l’or ils devenaient les maîtres de leurs maîtres, ils les dominaient ... Ils entrèrent dans les sociétés mo¬dernes non comme des hôtes, mais comme des conquérants ... Ils firent la seule conquête pour laquelle ils étaient armés ... » (page 223)
« Le jour ou le Juif a occupé une fonction civile, l’État Chrétien a été en péril ... L’entrée des Juifs dans la société a symbolisé la destruction de l’État, de l’État Chrétien, bien entendu ». (id. p. 361)
Citons S. P. Chajès, un B’nai B’rith, dans L’Almanach national Juif, année 5682.
« Notre impérialisme est le seul qui puisse impunément défier les siècles, le seul qui n’ait pas à craindre de défaite, qui sans s’égarer et invinciblement marche à son but d’un pas lent mais ferme ».
L’un des chef du Judaïsme, Alfred Nossig, écrit dans Integrales Judentem (Le Judaïsme intégral) :
« La communauté Juive est plus qu’un peuple au sens moderne politique du mot. Elle est la dépositaire d’une mission historiquement mondiale, je dirais même cosmique, que lui ont confiée ses fondateurs Noë et Abraham, Jacob et Moïse ...
« Elle forme un noyau inconscient de notre être, la substance commune de notre âme ...
« La conception primordiale de nos ancêtres a été de fonder non une tribu mais un ordre mondial destiné à guider l’humanité dans son développement.
« Voilà le vrai, l’unique sens du choix des Hébreux en tant que peuple élu ... Gesta naturæ per Ju¬deos, voilà la formule de notre histoire ... Ordre spirituel destiné à guider le développement de l’hu¬manité. (pp.1 à 5)
« Déjà approche le temps de la reconnaissance et de la fraternité des peuples. Déjà flambe à l’hori¬zon l’aurore de NOTRE JOUR ». (id p. 21)
Et il précise, ce qu’il n’est pas inutile de méditer après l’arrivée au pouvoir des marxistes en France :
« Le socialisme et le mosaïsme ne sont nullement des programmes qui s’opposent. Entre les idées fondamentales des deux doctrines, il y a au contraire, une concordance frappante ... Le mosaïsme est le socialisme dégagé des utopies et de la terreur du communisme, ainsi que de l’ascèse du Christia¬nisme ...
« Le mouvement socialiste moderne est pour la plus grande partie une oeuvre des Juifs. Ce furent les Juifs qui y imprimèrent la marque de leur cerveau ...
« Le socialisme mondial actuel forme le premier stade de l’accomplissement du mosaïsme, le début de la réalisation de l’état futur du monde annoncé par nos prophètes.
« Ce n’est que lorsqu’il y aura une ligue des nations ... que nous pourrons espérer que les Juifs se¬ront à même de développer sans entrave en Palestine leur état national.
« C’est pourquoi tous les groupes Juifs quels qu’ils soient, Sionistes ou adeptes de la Diaspora, ont-ils un intérêt vital à la victoire du socialisme ; ils doivent l’exiger non seulement par principe, non seu¬lement à cause de son identité avec le mosaïsme, mais aussi par principe tactique ... » (68, 71, 74, 79)
Citons le Jewish World, du 9 février 1883 :
« Le grand idéal du Judaïsme n’est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l’enseignement Juif et que dans une fraternité universelle des nations ... un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent ... Ils font plus par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l’activité publique, ils sont en train de couler graduel¬lement les pensées et les systèmes non Juifs dans des moules Juifs ».
Et aussi le discours prononcé à Prague, en 1869, par le rabbin Reichhorn sur la tombe du grand rab¬bin Siméon Ben Ihuda :
« Tous les cent ans, nous les Sages d’Israël, nous avons accoutumé de nous réunir en Sanhédrin, afin d’examiner nos progrès vers la domination du monde que nous a promise Jehovah, et nos conquêtes sur la chrétienté ennemie.
« Cette année, réunis sur la tombe de notre vénéré Siméon Ben Ihuda, nous pouvons constater avec fierté que le siècle écoulé nous a rapprochés du but et que ce but sera bientôt atteint.
« L’or a toujours été la puissance irrésistible. Manié par des mains expertes, il sera toujours le levier le plus puissant pour ceux qui le possèdent et l’objet d’envie de ceux qui ne le possèdent pas. Avec l’or, on achète les consciences les plus rebelles, on fixe le taux de toutes les valeurs, le cours de tous les pro¬duits ; on subvient aux emprunts des états qu’on tient ensuite à sa merci.
« Déjà, les principales banques, les bourses du monde entier, les créances de tous les gouverne¬ments sont entre nos mains.
« L’autre grande puissance est la presse. En répétant sans relâche certaines idées, on arrive à les faire admettre comme vérité. Le théâtre1 rend des services analogues. Partout, le théâtre et la presse obéissent à nos directions.
« Par l’éloge infatigable du régime démocratique, nous diviserons les chrétiens en partis politiques, nous détruirons l’unité de leurs nations, nous y sèmerons le désordre. Impuissants, ils subiront la loi de notre banque, toujours amie, toujours dévouée à notre cause.
« Nous pousserons les Chrétiens aux guerres, en exploitant leur orgueil et leur stupidité. Ils se mas¬sacreront et déblaieront la place où nous pousserons les nôtres.
« La possession de la terre a toujours procuré l’influence et le pouvoir. Au nom de la justice sociale, de l’égalité, nous morcellerons les grandes propriétés. Nous en donnerons des fragments aux paysans qui les désirent de toutes leurs forces et qui seront bientôt endettés par l’exploitation. Nos capitaux nous en rendront maîtres. Nous serons à notre tour des grands propriétaires et la possession de la terre nous amènera le pouvoir. Efforçons-nous de remplacer l’or par le papier-monnaie. Nos caisses absor¬beront l’or et nous réglerons la valeur du papier, ce qui nous rendra maîtres de toutes les existences. Nous comptons parmi nous des orateurs capables de persuader les foules. Nous les répandrons parmi les peuples pour leur énumérer les changements qui doivent réaliser le bonheur du genre humain. Par l’or et par la flatterie, nous gagnerons le prolétariat. Celui-ci se chargera d’anéantir le capitalisme aryen. Nous promettrons aux ouvriers des salaires qu’ils n’ont jamais osé rêver, mais nous élèverons en même temps le prix des choses nécessaires, tellement que nos profits seront encore plus grands.
« De cette manière, nous préparerons les révolutions que les Chrétiens feront eux-mêmes et dont nous récolterons les fruits.
« Par nos railleries, par nos attaques, nous rendrons leurs prêtres ridicules et odieux, leur religion aussi ridicule et odieuse que leur clergé. Nous serons alors maîtres de leurs âmes. Car notre pieux atta¬chement à notre religion, à notre culte, en prouvera la supériorité, ainsi que celle de nos âmes.
« Nous avons déjà établi des hommes dans toutes les situations importantes. Efforçons-nous de fournir aux goym, des avocats et des médecins. Les avocats sont au courant de tous leurs intérêts. Les médecins, une fois dans les maisons, deviendront des confesseurs et des directeurs de conscience.
« Mais, surtout, accaparons l’enseignement. Par là, nous répandrons les idées qui nous sont utiles et nous pétrirons les cerveaux à notre gré.
« Si l’un des nôtres tombe malheureusement dans les griffes de la justice, courons à son aide. Trou¬vons autant de témoignages qu’il en faut pour le sauver de ses juges, en attendant que nous soyons nous-mêmes les juges.
« A l’heure voulue, fixée d’avance, nous déchaînerons la révolution qui, ruinant toutes les classes de la société, nous asservira définitivement les Aryens ».
Citons enfin l’appel de Crémieux aux Juifs du monde lors de la fondation de l’Alliance Israélite Uni¬verselle :
« L’union que nous désirons fonder ne sera pas une union française, anglaise, irlandaise ou alleman¬de, mais une union juive universelle.
« D’autres peuples et races sont divisés en nationalités ; nous seuls n’avons pas de citoyens, mais exclusivement des coreligionnaires.
qu’ar¬rive le moment où la lumière de la foi juive, la seule religion de la raison, brillera sur le monde entier.
« Dispersés parmi les autres nations, qui depuis un temps immémorable furent hostiles à nos droits et à nos intérêts, nous désirons premièrement être et rester immuablement Juifs.
« Notre nationalité, c’est la religion de nos pères, et nous ne reconnaissons aucune autre nationa¬lité.
« Nous habitons des pays étrangers, et ne saurions nous inquiéter des ambitions changeantes de pays qui nous sont entièrement étrangers, pendant que nos problèmes moraux et matériels sont en danger.
« L’enseignement juif doit s’étendre à toute la terre ; Israélites ! Quelque part que le destin vous conduise, dispersés comme vous l’êtes sur toute la terre ; vous devez toujours vous regarder comme faisant partie du peuple élu.
« Si vous vous rendez compte que la foi de vos pères est votre unique patriotisme ;
« Si vous reconnaissez qu’en dépit de nationalités que vous avez adoptées vous restez et formez toujours et partout une seule et unique nation ;
« Si vous croyez que le Judaïsme est la seule et unique vérité religieuse et politique ;
« Si vous êtes convaincus de cela, Israélites de l’univers, alors, venez, entendez notre appel, et en¬voyez nous votre adhésion ».
Les Protocols des Sages de Sion
Il convient également d’étudier les Protocols des Sages de Sion (18).
Roger Lambelin en donne l’origine :
« Les Associations sionistes tinrent un congrès à Bâle en 1897, et y jetèrent les bases d’un program¬me de conquêtes dont les succès précédemment obtenus justifiaient l’amplitude. Ce programme n’in¬diquait pas seulement des objectifs successifs à atteindre ; il préconisait aussi les méthodes à suivre, les règles tactiques à observer. Les diverses sections du congrès rédigeaient des procès-verbaux de leurs séances, appelés protocols, destinés à être communiqués à certains initiés et à conserver la trace de ces conciliabules secrets ».
Dans le compte-rendu de la première séance, il est déclaré, page 42 et 43 (19) :
« Par la loi de nature, le droit réside dans la force.
« La liberté politique est une idée, non une réalité ...
« L’idée de la liberté est irréalisable, parce que personne ne sait en user avec juste mesure ... »
Dans la huitième séance la proclamation que le peuple juif est le peuple élu et que les non-juifs n’ont qu’une intelligence bestiale (p.65 — 66)
« Par notre influence, l’application des lois des Goïm s’est trouvée réduite au minimum ; leur prestige est miné par les interprétations libérales que nous y avons introduites. Les questions les plus importan¬tes de principes politiques et moraux sont résolues par les tribunaux dans le sens que nous leur prescri¬vons ; ils jugent les procès du point de vue que nous leur faisons suggérer par des hommes de paille, par l’opinion de la presse, ou par d’autres moyens auxquels nous n’avons pas l’air de participer. Les séna¬teurs et l’administration supérieure suivent aveuglément nos conseils et nos indications. Je vous donne ici une nouvelle preuve de la pauvreté du cerveau bestial des goïm, incapable d’analyse et d’observation et plus encore de prévoir les conséquences d’un tel état de choses.
« L’esprit des goïm est purement bestial : il voit mais ne prévoit point et ses inventions sont exclu¬sivement d’ordre matériel. Il découle clairement de tout cela que la nature elle-même nous a prédesti¬nés pour diriger les goïm et gouverner le monde ; »
Dans la neuvième séance (p.66 à 69) :
« En remaniant les lois dans un sens libéral, on s’habitue à y introduire de nouvelles exigences, en¬suite l’inexécution de ces lois conduit au relâchement, puis à l’anarchie. C’est alors qu’étant fait sou¬verains de l’univers, rois en réalité, quoique non couronnés, nous pourrons affermir notre despotisme, déjà puissant parce qu’il est invisible, et, partant, irresponsable. Au lieu de nous incomber, la respon¬sabilité appartiendra à ceux des représentants des peuples qui, inconsciemment, et bien entendu, sans en connaître le but, exécutent notre programme ... En cas de protestation contre nos ordres, ils se¬raient condamnés au repos éternel ... » (et on rappelle la mort des présidents Carnot, Félix Faure et Mac Kinley envoyés ad patres par le couteau, le poison ou la balle).
« C’est grâce à la presse que nous avons ramassé l’or, bien qu’il fallut parfois le prendre dans des torrents de sang et de larmes, mais la fin justifie les moyens. Cette presse qui « incarne le triomphe de la liberté du caquetage ». « Il nous en coûte le sacrifice de beaucoup des nôtres, et chacune de ces victimes vaut devant Dieu des milliers de goïm. »
Dans la dixième séance (p.70 et 71) :
« Aux temps où les peuples considéraient leurs souverains comme une pure manifestation de la volonté divine, ils se soumettaient sans murmures à l’autorité des monarques, mais du jour où nous leur avons suggéré la notion de leurs propres droits, ils commencèrent à considérer leurs souverains comme de simples mortels, l’onction sacrée cessa d’être regardée comme divine par le peuple auquel nous avons enlevé sa foi ; dès que nous eûmes ébranlé la croyance en Dieu le pouvoir fut jeté au ruis¬seau, il devint la propriété publique dont nous nous emparâmes. ... Nous sommes trop puissants, il faut compter avec nous. Les puissances ne peuvent conclure le moindre traité sans que nous y participions secrètement. « Le Seigneur a dit : « Par Moi règnent les rois ». Nos prophètes nous ont dit que nous avons été choisis par Dieu Lui-même pour régner sur toute la terre. C’est pourquoi Dieu nous a doués de génie. Il faut que nous puissions mener à bonne fin notre tâche qui est la conquête du monde par des moyens pacifiques ».
Et ils préconisent la corruption de l’opinion publique et la destruction de l’initiative personnelle en dressant les Goïm les uns contre les autres :
« Sur un tel terrain, l’inimitié des Goïm les amènera à se trahir entre eux à notre profit. La différence des points de vue est la meilleure créatrice des malentendus et des haines. Par ce moyen, nous sèmerons les dissensions dans tous les partis ; nous désagrégerons toutes les forces collectives qui refusent de nous obéir et de se soumettre à nous, et nous découragerons toute initiative personnelle susceptible d’entraver notre oeuvre ...
« Tout cela, à la fin des fins, nous servira à lasser les Goïm à ce point que nous les obligerons à nous offrir le pouvoir international, pouvoir qui, par ses tendances et sa préparation, est susceptible d’englober sans heurts toutes les forces gouvernementales du monde et de former un Supergouver¬nement ».
Dans la onzième Séance (p.74 à 80) :
« Le plan du gouvernement doit résider dans un seul cerveau ... Seul le Souverain doit le connaî¬tre, ses administrateurs doivent, sans les discuter, exécuter les parties qui leur en sont communiquées quand il est besoin ... »
« Quand nous eûmes contaminé l’organisme gouvernemental par le libéralisme, ce poison mortel, tout l’ensemble de la vie politique des États fut modifié ; tous furent atteints d’une maladie mortelle : la décomposition du sang. Il ne reste plus qu’à attendre la fin de leur agonie.
« Le libéralisme engendre des gouvernements constitutionnels qui remplacèrent les autocraties. Une constitution n’est guère autre chose qu’une école de discorde, de querelles, de mésintelligence, de dis¬sentiments, d’agitations stériles ; de tendances de partis, de tout ce qui sert à affaiblir l’activité de l’État.
« La tribune, comme la presse, a condamné les gouvernements à l’inaction et à l’impuissance ; par là même, ils devinrent inutiles ; c’est ce qui, dans beaucoup de pays déterminera leur chute. Il devint alors possible d’inaugurer l’ère républicaine ; nous remplaçâmes le représentant de la nation par sa propre caricature : un Président de République, pris dans la foule, au milieu de nos créatures, de nos esclaves ... Telle fut la première mine posée sous les États des peuples goïm
« Nous machinerons l’élection de présidents ayant dans leur vie un Panama quelconque ; avec ces tares dans leur passé, ils seront de fidèles exécuteurs de nos ordres, redoutant la révélation des dites tares et intéressés à conserver les privilèges du poste de président.
« La Chambre des Députés aura à élire, à protéger et à défendre les présidents, mais nous la priverons du droit de proposer des lois et de les modifier, car ce droit sera la prérogative du président responsable, dont le pouvoir deviendra, bien entendu, la cible de toutes les attaques ; mais nous lui accorderons pour se défendre, le droit d’en appeler directement à la décision du peuple (C’est-à-dire d’avoir recours à un plébiscite), sans passer par l’intermédiaire de ses représentants car le peuple, c’est-à-dire la majorité de la foule, est notre serviteur aveugle.
« Nous accorderons au président le droit de proclamer la loi martiale ; nous motiverons ce droit par le fait que le président, en tant que chef de toutes les armées du pays, en peut disposer pour défendre la constitution républicaine, dont la protection lui incombe, puisqu’il en est le représentant responsable.
« Il est évident que sous un pareil régime, la clef du Saint des Saints sera entre nos mains ; sauf nous-mêmes, personne ne pourra diriger le pouvoir législatif.
« De plus, on retirera à la Chambre le droit d’interpellation sur les mesures gouvernementales à pren¬dre, sous prétexte de sauvegarder le secret politique, secret dont le président aura la responsabilité ...
« Nous obligerons de réduire à quelques mois la durée des sessions parlementaires permanentes. En outre le président de la république, en sa qualité de chef du pouvoir exécutif, aura le droit de convoquer ou de dissoudre les Assemblées parlementaires, et en cas de dissolution d’ajourner la convocation d’un nouveau parlement ...
« Le président de la République interprétera à notre gré celles des lois existantes qui peuvent être interprétées de différentes façons. Il pourra aussi les annuler en cas de nécessité ...
« Par ces moyens, nous annulerons, petit à petit tout ce que nous avons été contraints d’instituer jusqu’à présent et nous procéderons, lorsque sonnera l’heure de remplacer les gouvernements par notre pouvoir autocrate, à l’abrogation imperceptible de toute constitution.
« Il est possible que notre Souverain autocrate soit reconnu Souverain de tout l’univers, même avant l’abrogation des Constitutions. Cette reconnaissance peut avoir lieu au moment où les peuples, exaspé¬rés par les désordres et la faillite morale de leurs gouvernements quels qu’ils soient, s’écriront : « Dépo¬sez-les tous, et donnez-nous un seul chef, un Roi de l’univers, fut-il du sang de Sion, qui saura nous unir et abolira les causes de nos discordes, à savoir : les frontières, les nationalités, les religions et les dettes nationales ; un roi, enfin, qui nous ramènera le calme et la paix que nous ne pouvons obtenir avec nos gouvernements et nos représentants qui nous sacrifient toujours à leurs intérêts personnels.
« ... Afin de pouvoir exprimer de tels désirs, il faut troubler sans cesse les rapports des peuples entre eux et avec leurs autorités gouvernementales. Tout le monde sera ainsi épuisé par les discordes, l’hos¬tilité réciproque, les rivalités, et même par le martyre et par l’extermination des peuples connus pour leur longanimité, par la famine, par l’inoculation de maladies contagieuses, dont le contrepoison n’est connu que de nos savants, par la misère, afin que les goïm, n’entrevoyant pas d’autre issue, se rendent à notre domination financière et à celle de nos monopoles. Il ne faut pas leur laisser de répit ... » (20)
Dans la douzième Séance (pp. 80 à 82), sous le titre : Les Bases de la nouvelle Constitution, et avec comme sous- titre : Moyens et détails de notre Révolution :
« Nous nous occuperons des détails du plan, ce qui est indispensable pour effectuer dans le sens qui nous est favorable, le changement du mécanisme des machines gouvernementales.
« Éclaircissons les questions qui concernent la liberté de la presse, le droit des associations, la liberté de conscience, les droits électoraux et tant d’autres questions qui devront disparaître du répertoire hu¬main, ou bien, être radicalement modifiées dès le lendemain de l’avènement au pouvoir du Souverain international.
« C’est à ce moment là que, d’un seul coup, il faudra promulguer tous nos décrets et les appliquer rigoureusement ...
« Il nous est nécessaire qu’au moment de son avènement, à l’heure même de sa proclamation, les peuples, encore ahuris par le coup d’État et saisis par la stupéfaction et la terreur, comprennent que notre puissance est si invulnérable et si forte qu’en aucun cas nous ne compterons avec eux et ne prendrons en considération leurs protestations ou leurs avis ... Il faut qu’ils sachent que nous avons pris d’un seul coup ce qu’il nous fallait du pouvoir lequel nous ne partageons avec personne. Alors de crainte et de terreur, ils fermeront volontairement les yeux et attendrons les événements ... »
Dans la treizième Séance (pp. 83 à 89) :
« La presse sert à exciter furieusement les passions utiles à nos desseins ou à l’égoïsme des partis. Nous la musellerons définitivement ...
Et ils avouent les procédés qu’ils ont utilisé (page 88) :
« Il existe déjà de nos jours dans le journalisme une solidarité maçonnique qui a son mot d’ordre ... Aucun journaliste ne peut être du nombre des célébrités littéraires si son passé ne garantit pas sa sou¬mission à nos directives et à notre mot d’ordre. La misère, la vanité, l’orgueil et autres défauts sont les gages de l’obéissance d’un journaliste qui court après le succès et la cause de la soumission à cette solidarité maçonnique en question. Ce sont là les clefs qui ouvrent l’entrée du domaine littéraire : Ce domaine est resté fermé à un certain nombre de grands esprits, qui insoumis à nos ordres, ne purent y pénétrer ».
Dans la quatorzième Séance (page 91) :
« Tant qu’il ne sera pas sans danger de confier des postes officiels en vue à nos frères juifs, nous les donnerons à des hommes dont le passé et le caractère sont tels qu’un abîme les sépare du peuple, et qu’au cas où ils contrarieraient nos intérêts ou enfreindraient nos ordres, ils seraient exposés aux pour¬suites judiciaires ou à l’exil pour les abus dont ils se sont rendus coupables et que l’on découvrirait de sorte qu’ils seront obligés de défendre nos intérêts comme les leurs ».
Dans la quinzième Séance (pp. 91 à 96) :
« Quand nous aurons conquis définitivement le pouvoir au moyen des coups d’État, préparés par¬tout simultanément, pour le même jour ; après qu’on aura reconnu une fois pour toutes l’incapacité des gouvernements existants des Goïm ... Nous exterminerons toute graine d’insurrection et de conspira¬tion contre notre gouvernement.
« D’abord nous exécuterons sans pitié tous ceux qui ne prendront pas les armes en faveur de l’éta¬blissement de notre pouvoir.
« La fondation d’une société secrète sera punie de mort, tandis que les sociétés secrètes déjà exis¬tantes, qui nous sont connues et ont servi, seront dissoutes ; nous exilerons sur des continents éloignés ceux des Maçons qui en savent trop long ... ou bien, nous réduirons leur nombre ...
« Nous leur avons fait enfourcher un dada, le rêve de substituer à l’individualité humaine l’unité symbolique du collectivisme. On peut compter à coup sûr qu’ils ne comprennent pas que cette idée suggérée par nous va à l’encontre de la loi fondamentale de la Nature qui, depuis la Création, enfante chaque être différent de tous les autres dans le but de donner à chacun son individualité. Le fait que nous avons pu amener les Goïm à un tel aveuglement prouve à quel point leur développement céré¬bral est comparativement inférieur au nôtre ; leur cerveau est au niveau de celui des animaux ; c’est la preuve de notre élection et c’est là ce qui nous donne la garantie du succès.
« Vous voyez par cet exposé combien nos Sages étaient clairvoyants lorsqu’ils élaboraient les plans d’asservissement des Goïm et nous donnaient cette maxime de ne pas nous arrêter devant les moyens, nous recommandant de ne pas tenir compte du nombre des victimes sacrifiées à la réalisation de notre cause utile et sérieuse. Nous n’avons pas compté les Goïm qui tombaient sur notre chemin, mais, en revanche, nous avons gardé les nôtres et leur avons donné dans le monde une situation à laquelle ils ne pouvaient même pas songer au moment où nos Sages avaient composé un millier d’années d’avance un plan d’action. Le nombre restreint de victimes que nous avons eu, malgré tout, à sacrifier parmi les nôtres, a sauvé notre race de la destruction.
« La mort est une fin inévitable pour chacun de nous ; mieux vaut la hâter pour ceux qui entravent notre oeuvre que pour nos frères qui en sont les artisans ».
Dans la seizième Séance (pages 96 à 101) :
« ... Toute clémence est un relâchement permettant au criminel d’escompter l’impunité.
« Notre absolutisme sera logique à tous égards, et, partant inflexible dans tous ses règlements ... Nous supprimerons le droit d’appel ... un tel gouvernement a, sur les ignorants, le droit du plus fort. Il doit en user pour diriger l’humanité vers le régime désigné par la Nature elle-même, celui de l’obéissance ... Nous serons donc cet être supérieur : le plus fort ; nous le serons de façon absolu, sacrifiant, sans hésiter, tous ceux qui nuiront à nos plans ou enfreindront nos règlements, parce que la tâche éducatrice consiste à exterminer le mal et toute opposition par des châtiments exemplaires. « Le jour où le roi d’Israël, le roi de la maison de David, posera sur sa tête la couronne offerte par l’Europe, il deviendra le patriarche du monde ... »
Dans la dix-septième séance (pages 101 à 103) :
« Nous mettrons bien en relief les erreurs des gouvernements des Goïm ; nous soulèverons contre eux un tel dégoût que les peuples préféreront la tranquillité et la paix dans l’esclavage aux droits de la fameuse liberté qui les a tant martyrisés durant des siècles et qui a épuisé les sources mêmes de l’exis¬tence humaine ...
« Nos philosophes discuteront et critiqueront toutes les lacunes des croyances des Goïm ; mais les Goïm ne pourront en user à l’égard de notre religion, car personne n’en connaît les secrets, sauf nos talmudistes et nos rabbins, et ceux-là ne les trahiront jamais parce que c’est en eux que réside toute la force de notre pouvoir sur nos ouailles.
« C’est surtout dans les pays dits avancés que nous avons créé une littérature stupide, ordurière et répugnante ...
Dans la dix-huitième séance (pages 103 à 106) :
« ... Ce qui concerne la politique n’est accessible qu’à ceux qui la dirigent depuis des siècles, suivant un plan déterminé, à ceux qui l’ont créée et mise en usage comme on le fait d’un char dans lequel on mène les gens qui ne savent pas où ils vont.
« Mais pour qu’ils ne s’adonnent pas trop au travail cérébral et ne soient pas entraînés à agir, nous avons organisé pour eux toutes sortes de lieux de plaisir qu’ils s’empressent de visiter ... . Nous dé¬tournerons ainsi définitivement les esprits de la discussion dont nous désirerons nous occuper exclu¬sivement. Les hommes, se déshabituant de plus en plus d’avoir une opinion indépendante dans les questions sociales, se mettront à l’unisson avec nous, parce que nous serons les seuls à lancer des idées nouvelles, par l’intermédiaire de ceux avec lesquels nous ne semblerons pas être du même avis.
« Quand notre pouvoir sera reconnu et le gouvernement international établi, le rôle des utopistes sera terminé ; mais, pour l’instant, ils sont encore utiles, parce qu’ils orientent les esprits vers des théo¬ries fantastiques, soi- disant avancées, et les détournent de la réalité. Nous avons réussi à tourner toutes les têtes par l’idée du progrès. Il ne s’en est pas trouvé une seule chez les Goïm capable de s’apercevoir qu’il n’y a qu’une seule vérité, qu’en tant que vérité, elle ne peut progresser ; que le progrès est un éloi¬gnement de la vérité afin que personne ne puisse la connaître, sauf nous, les élus de Dieu, les gardiens de la vérité sur le mystère des relations humaines et de leur bien, de cette vérité que nous tenons ca¬chée jusqu’au moment de notre victoire définitive et de notre conquête pacifique de l’univers.
« Qui donc se doutera ... que toutes ces erreurs ont été créées et machinées par notre programme éducatif, selon le plan politique élaboré par nos Sages, Salomon à leur tête, pour la conquête pacifique de l’univers au profit de notre couronne — celle de la maison du roi David.
« Il ne sera pas désirable pour nous que subsiste une autre religion que la nôtre, celle qui n’adore qu’un seul Dieu a qui est lié notre destin et, par nous, le destin du monde entier, puisque, d’après notre religion, nous sommes le peuple élu de Dieu. C’est pourquoi nous devons nous efforcer d’effacer de la terre, AVANT L’ARRIVÉE DE CE JOUR, toutes les autres religions » (21).
Dans la dix-neuvième séance (pages 106 à 109) :
« Au temps de notre règne, dans le but de détruire toutes les forces collectives excepté la nôtre, nous commencerons par rendre inoffensives les universités qui sont les premiers degrés du collectivisme. Nous rééduquerons leur personnel dans un esprit nouveau ...
« Toutes les sources de l’enseignement seront centralisées entre les mains du gouverne¬ment ...
« A présent que nous sommes en force, nous n’avons pas besoin de Goïm penseurs, mais il nous faut des travailleurs, ces matérialistes de tout temps, consommateurs avides de tous les biens terres¬tres ».
Dans la vingtième séance (pages 110 à 113) :
« Si pendant notre règne, nous avons à renforcer les moyens de protection de notre pouvoir, nous provoquerons un mécontentement simulé dans divers groupements ... C’est ainsi que nous aurons le fil pour motiver des perquisitions ... Nous nous débarrasserons ... de nos adversaires, en donnant pour raison qu’ils s’étaient rendus à l’appel d’agents provocateurs.
« Le prestige du pouvoir exige que chacun puisse se dire : « Si le Roi le savait ! ... » ou bien : « Le Roi le saura ».
« Bien entendu, nous avons prêché le contraire aux Goïm, et nous voyons bien maintenant où nos conseils les ont conduits ».
« Nous serons sans pitié pour les crimes politiques, car si nous admettons les circonstances atténuan¬tes pour les crimes de droit commun, il n’y aura aucune excuse pour ceux qui s’occupent de questions auxquelles si ce n’est le gouvernement, nul ne peut rien comprendre ».
Dans la vingt et unième séance (pages 115 à 117) :
« Notre pouvoir sera glorieux parce qu’il sera puissant ... (il) sera l’arbitre de l’ordre dans lequel réside le secret du bonheur des peuples. Le prestige de cette puissance leur inspirera une adoration mys¬tique ; ils s’inclineront devant elle ; la véritable force conserve toujours son droit ».
Et dans l’édition de Nilus : « UNE VRAIE PUISSANCE NE DOIT CéderDEVANT AUCUN DROIT, PAS MÊME DEVANT CELUI DE DIEU ».
Dans la vingt-deuxième séance (pages 117 et 118) :
« Le souverain qui remplacera tous les gouvernements aujourd’hui existant et agissant dans les so¬ciétés démocratisées par nous, QUI ONT RENIÉ JUSQU’A LA NOTION DU POUVOIR DIVIN ET DU SEIN DESQUELLES SORT LE FEU DE L’ANARCHIE, notre souverain devra avant tout étein¬dre cette flamme dévorante ; c’est pourquoi il sera obligé d’exterminer de telles sociétés ...
« Cet élu de Dieu, chargé de mission divine, écrasera les forces insensées, guidées par l’instinct et non par la raison, par la bestialité et non par l’humanité ; ces forces qui se manifestent par le pillage et la rapine, sous le masque des principes de la justice et du droit.
« Ces mêmes forces ont détruit partout l’ordre social ; mais leur rôle ne sera terminé que le jour où, grâce à leur destruction, on pourra instaurer le trône du Roi d’Israël.
Dans la vingt-troisième séance (pages 118 à 120) :
« Je passerai aujourd’hui à la question des moyens à employer pour fortifier les racines dynastiques du Roi David (22) jusque dans les couches les plus profondes de la terre. Notre procédé consistera dans les mêmes principes qui ont assuré à nos Sages la direction de toutes les affaires mondiales, c’est à dire la direction de l’éducation de la pensée humaine et l’organisation de toute la politique mondiale.
« Plusieurs membres de la famille de David seront préparés pour régner et pour gouverner les peu¬ples. On préparera les Rois pour les peuples et leurs successeurs seront choisis non par droit d’hérédité directe, mais en raison de leurs capacités. Ils seront initiés aux mystères les plus secrets de la politique, c’est à dire à nos plans de gouvernement, en prenant toute précaution pour que nul autre qu’eux ne les puisse connaître. La tâche de gouvernement ne peut être confiée à des non-initiés aux-dits mystères et à l’art de les mettre en pratique sans que personne n’en pénètre le but ...
« Les plans d’action du moment actuel, et a plus forte raison ceux de l’avenir, seront inconnus même des hommes qu’on appelle les proches conseillers de notre Roi qui, seul, avec ses maîtres, ses initiateurs, saura ce qui est préparé pour un avenir prochain.
« Tous verront le Souverain maître de lui-même par son inébranlable volonté ; il sera comme la per¬sonnification du destin aux voies inconnues. Nul ne sachant quel but visent les ordres du Roi, n’osera faire obstacle à ce qui est préparé d’avance dans le secret.
« Je répète qu’il est évidemment indispensable que l’intelligence du Souverain soit à la hauteur de la majesté du plan gouvernemental ; c’est pour cela qu’il ne montera sur le trône qu’après avoir été soumis par nos Sages à une épreuve intellectuelle. «
Dans la vingt-septième séance (pages 140 à 145) :
« Nous avons enchaîné les peuples aux durs travaux par la misère plus fortement qu’ils ne l’avaient été jadis par le servage et l’esclavage dont ils parvinrent à s’affranchir tandis qu’ils ne sauraient se libérer de la misère. Les droits inscrits par nous dans la Constitution sont pour les masses purement fictifs et non réels. Ces droits sont l’expression d’une idée tout à fait impossible à réaliser.
« Qu’importe au travailleur courbé sous le poids de son labeur, ou au prolétaire opprimé par son sort que les bavards aient reçu le droit de pérorer, les journalistes le droit d’écrire toutes sortes de stupidités à côté de questions sérieuses, si le prolétariat ne tire de la Constitution d’autre profit que celui de ramas¬ser les miettes de notre table, que nous lui jetons pour qu’il vote nos lois et élise nos agents. Les droits républicains sont pour le travailleur une amère ironie, car la nécessité du travail quotidien l’empêche en réalité d’en tirer aucun avantage, tandis qu’ils lui enlèvent la garantie d’un salaire fixe et assuré en l’obligeant à dépendre des grèves organisées tantôt par les patrons, tantôt par les camarades, que nous excitons quand nous avons besoin de détourner les esprits des affaires courantes et d’introduire im¬perceptiblement quelques mesures qui nous soient favorables.
« Sous notre direction, les peuples et les gouvernements ont exterminé l’aristocratie qui était leur appui, leur défense et qui — dans son propre intérêt — avait pourvu à leurs besoins. C’est pourquoi ils sont tombés aujourd’hui sous le joug de profiteurs enrichis et de parvenus qui pèsent sur le travailleur comme un fardeau impitoyable.
« Nous nous présentons comme les libérateurs des travailleurs en leur proposant d’entrer dans les rangs de nos armées de socialistes, d’anarchistes et de communistes (23), que nous soutenons toujours au nom de notre prétendu principe de solidarité fraternelle, la Maçonnerie sociale. L’aristocratie qui, de droit, bénéficiait du travail de l’ouvrier, avait intérêt à ce qu’il fut bien nourri, en bonne santé et vigou¬reux.
« Tandis que, au contraire, nous avons tout intérêt à voir notre ouvrier affamé et débile parce que les privations l’asservissent à notre volonté et que, dans sa faiblesse, il ne trouvera ni vigueur ni énergie pour nous résister.
« La famine confère au capital des droits plus puissants sur le travailleur que n’en a jamais conféré à l’aristocratie le Pouvoir du Souverain. Par la misère et par les haines qu’elle suscite, nous manoeuvrons les masses et nous nous servons de leurs mains pour écraser ceux qui nous gênent.
« Quand viendra l’heure du couronnement de notre maître universel, DE LA FAMILLE DE DAVID, ces mêmes mains balayeront tout ce qui pourrait lui faire obstacle ...
« Les hommes ignorant les exigences de la nature et l’importance de chaque caste voudraient sortir de leur milieu, parce qu’ils ressentent de l’inimitié envers toute condition qui leur semble supérieure à la leur.
« Cette inimitié s’accentuera davantage lorsqu’éclatera la crise économique qui arrêtera les transac¬tions financières et toute la vie industrielle. Cet événement jettera simultanément dans la rue et dans tous les pays d’Europe d’immenses foules de travailleurs.
« Vous comprenez avec quelle joie ils se précipiteront pour verser le sang de ceux qu’ils ont jalousés dès l’enfance.
« Ils ne toucheront pas aux Nôtres, parce que, connaissant le moment de l’attaque, nous prendrons des mesures pour nous défendre comme nous l’avons fait au temps de la commune de Paris. » où l’hô¬tel de Rothschild a été gardé par les révolutionnaires.
« Nous avons convaincu les Goïm que le progrès les conduirait au règne de la Raison. Notre Des-potisme sera de nature à pouvoir pacifier par de sages rigueurs toutes les révolutions : il éliminera le libéralisme de toutes nos institutions.
« A mesure que nous inculquions aux Goïm des idées de libéralisme, les peuples s’aperçurent qu’au nom de la Liberté, le Pouvoir faisait des concessions ... ils se ruèrent contre le Pouvoir ; mais semblables à tous les aveugles, ils se heurtèrent à d’innombrables obstacles et se précipitèrent à la recherche d’un guide : tombant entre nos mains, ils déposèrent leur mandat aux pieds de nos agents.
« Depuis ce moment, nous les conduisons de déception en déception pour que finalement ils re¬noncent à tout en faveur du Roi despote, issu du sang de Sion, que nous préparons pour le monde.
« Actuellement, en tant que force internationale, nous sommes invulnérables : si un État goïm nous attaque, d’autres nous soutiennent. La bassesse illimitée des peuples goïm rampant devant la force, sans pitié pour la faiblesse et pour les moindres fautes et indulgents pour les crimes, refusant de se soumettre à un régime juste, mais patients jusqu’au martyre devant la violence d’un audacieux Despotisme, voilà ce qui nous assure l’invulnérabilité ...
« Le mot « liberté » met en conflit l’humanité avec toutes les puissances, même avec celles de Dieu et de la Nature. C’est pourquoi, à notre avènement au Pouvoir, nous devrons effacer le mot même de « liberté » du vocabulaire humain, comme étant le symbole de la force bestiale qui transforme les foules en fauves altérés de sang ... »
Enfin, dans la septième séance (pages 62 et 63) :
« Nous avons déjà pris soin de discréditer le clergé des goïm et de ruiner ainsi sa mission qui aurait pu nous être un obstacle. L’influence des prêtres sur les peuples va décroissant tous les jours.
« La liberté de conscience est partout proclamée, par conséquent il n’y a plus que quelques années qui nous séparent de l’effondrement de la foi chrétienne, notre plus redoutable adversaire par ses théo¬ries sur le surnaturel et la vie future ... Nous avons à ce point restreint le champ d’action du cléricalisme que son influence s’exercera à rebours de ce qu’elle a fait jusqu’ici (24).
« Quand sonnera l’heure de procéder à la destruction de la cour Pontificale, le doigt d’une main invisible indiquera aux masses le Vatican, et lorsque celles-ci se précipiteront à l’assaut nous nous pré¬senterons comme ses soi-disant protecteurs pour empêcher une trop forte effusion de sang. Cet acte nous ouvrira les portes ; nous pénétrerons dans la place et nous n’en sortirons qu’après avoir sapé toute la puissance qu’elle contient.
« Le Roi des Juifs sera ce que naguère avait été le Pape. Il deviendra le Patriarche universel de l’Égli¬se Internationale, INSTITUÉE PAR NOUS ... » (25)
Enfin, (pages 148 à 151), après avoir décrit par le fameux serpent symbolique la conquête du monde par les chefs de Sion (à ne pas confondre avec le mouvement sioniste), le traducteur précise que les Procès verbaux des séances et le tracé du plan « ont été soutirés des coffres secrets de la Grande Chan¬cellerie Sioniste » (réalisation commencée depuis l’an 929 avant Jésus-Christ) et donne les précisions suivantes :
« Pour que cette marche se fasse sans entraves, les mesures suivantes ont été prises, afin de former et d’éduquer les Juifs pour que cette oeuvre difficile soit habilement exécutée.
« Avant tout, on obtint, par des artifices, l’isolement des Juifs, afin que nul ne pénètre dans leur milieu et n’y surprenne les secrets de leur travail patriotique, si nuisible pour les pays qui les ont hospi¬talisés. On leur déclare, prophétiquement, qu’ils sont les élus de Dieu Lui-même pour posséder la terre comme un royaume indivisible, En outre, on leur inculque l’idée que seuls les Juifs sont les enfants de l’Éternel et qu’ils sont les seuls dignes d’être appelés des Hommes, que le reste des humains ne furent créés que comme bêtes de somme et des esclaves des Juifs, et que la figure humaine ne leur a été donnée que pour rendre leurs services moins dégoûtants aux Juifs, services nécessaires pour bâtir le trône de Sion sur tout l’Univers. (Voir Sanh., 91, 21 et 1051)
« En plus de cela, on les a persuadés qu’ils étaient des êtres supérieurs, sortes de surhommes, qu’ils ne pouvaient se marier à des représentants de la race du bétail qu’étaient les autres peuples, n’étant en comparaison avec les Juifs que des bêtes. De telles idées, enseignées dans les écoles publiques et se¬crètes, et dans les familles Juives, furent la cause de la haute opinion de leur supériorité sur le reste de l’humanité, la cause de leur propre divinisation, comme étant de droit les fils de Dieu. (Voir : Jihal., 67, 1 ; Sanh., 58, 2)
« Cet isolement des Juifs a été également aidé par le système du Kahal, qui oblige tout Juif de soutenir ses congénères, indépendamment ce l’assistance que ceux-ci reçoivent de la section locale de Sion ...
« L’influence des idées citées plus haut détermina la vie matérielle des Juifs. Considérant tous les non-Juifs comme leurs bêtes de somme (Voir : Orach-Haïm, 14,1 ; Eben-Gaetzer, 44, 8-24 ; lébamot, 98, 25 ; Xétubot, 3, 34 ; Sanhédrin, 74, 30 ; Kiduchin, 68) créées pour glorifier Sion, les Juifs les traitent comme des animaux ; ils regardent la propriété et même la vie de ces peuples comme leur propre bien et en disposent à leur gré, quand ils peuvent le faire impunément. Leur administration sanctionne ces ac¬tes par l’absolution de tous les crimes commis par les Juifs à l’égard des non-Juifs ; cette absolution a lieu le jour du lom-Kipour (Nouvel An Juif) ; tout en les absolvant, on les autorise à en faire autant l’année qui commence. En plus de cela, voulant exciter l’intolérance et la haine de son peuple envers les autres, l’administration de Sion permettait, de temps à autre aux Chrétiens de découvrir certaines ordonnances du Talmud et créait ainsi l’antisémitisme. Les manifestations antisémites servaient la cause de Sion en attisant dans les coeurs des Juifs la haine contre les autres peuples et en provoquant chez quelques hom¬mes, utiles à leur cause, la pitié envers une race, soi-disant, injustement persécutée ; ce sentiment a attiré beaucoup de personnes dans les rangs des serviteurs de Sion.
« L’antisémitisme, en persécutant et terrorisant la population juive (les chefs de Sion n’ont jamais souffert de l’antisémitisme, ni en ce qui concerne leurs lois, leur autonomie ou l’intégrité de leur insti¬tution), la maintenait dans la subordination à ses chefs qui ont su défendre à temps leur peuple, ce qui n’a rien d’étonnant, puisqu’ils ont lancé eux- mêmes contre lui les antisémites, comme des limiers, qui faisaient rentrer leur troupeau, le rendant obéissant et prêt à exécuter aveuglement les ordres de Sion. Mais le plus grand mérite de l’antisémitisme devant Sion est celui d’avoir dispersé le peuple juif dans tous les coins du monde, ce qui a permis de créer une union sioniste universelle. Actuellement, cette union a levé son masque, car elle a conquis la situation du Super-Gouvernement vers laquelle elle se dirigeait, manoeuvrant à son gré, imperceptiblement, pour les non-Juifs, tous les fils qui relient les Chan¬celleries du monde entier. A présent, le trône solide est élevé pour Sion, il ne reste qu’à y faire asseoir le Roi d’Israël.
« Ce royaume n’aura pas de frontière, parce qu’il a su se situer internationalement ...
« ... Le régime gouvernemental le plus souhaitable pour Sion est le régime républicain, parce qu’il laisse la pleine liberté d’action aux armées de Sion : aux anarchistes de la pensée et à ceux de l’action, appelés socialistes ».
La traduction de ces documents est indiquée : Traduit du français, 1901, le 9 décembre.
Quelles meilleures preuves d’authenticité des Protocols d’une part que leur entière conformité avec tous les documents émanants des plus hautes autorités juives, et d’autre part que leur réalisation rigou¬reuse de la plupart des projets qui y étaient annoncés, depuis leur publication à date certaine par leur dépôt à Londres en 1906 ! ...
Tel est l’effroyable tyrannie que le gouvernement Juif talmudiste mondial a la prétention de vouloir imposer au monde.
C’est clair, précis. Les illusions, devant ces textes, ne sont pas permises. Et pour y parvenir, on veut que les hommes deviennent des robots incapables de raisonner et qu’on pourra mener ainsi comme des moutons. Le Talmud ne dit-il pas que seuls les Juifs sont des hommes, que les autres ne sont que du bé¬tail ... et qu’en conséquence tout est permis à leur égard. On comprend alors la loi Veil sur l’avortement, puisque les petits chrétiens en gestation ne sont, à leurs yeux, que de futures petites bêtes sur lesquelles ils ont droit de vie et de mort ...
De tous les documents qui précèdent et qui émanent des plus hautes autorités juives, il résulte donc qu’il y a péril extrême pour des Pays chrétiens à ce que des Juifs, s’ils sont talmudistes, ce qu’on ne peut jamais savoir, soient ministres ou occupent des postes importants dans les ministères comme aussi dans l’armée, l’affaire Dreyfus l’a montré.
Faut-il rappeler quelques noms de Juifs membres de précédents ministères : Blum (26), Mendés-Fran¬ce, Debré, Stirn, Léo Hamon, Lionel Stoléru, Maurice Schuman, etc.. ... Il serait fort utile d’étudier leur action. Il faudrait aussi rechercher les inspirateurs des lois les plus perverses et les plus dangereuses au point de vue national. Nous n’en citerons que deux : la loi Crémieux sur le divorce et la loi Veil sur l’avor¬tement, sans oublier toutes les lois anti-cléricales inspirées par la Franc- Maçonnerie télécommandée par les Juifs, eux-mêmes inspirés par Lucifer ...
Rappelons qu’un des ministres socialistes actuels, Mexandeau, avait déclaré en 1977 à Tribune Juive, que si les traitements des professeurs et maîtres de l’Enseignement privé n’étaient plus assurés par l’État, du moins les écoles juives bénéficieraient d’un traitement de faveur ...
A l’étranger, mentionnons les faits suivants :
C’est le juif Princip qui a assassiné l’Archiduc Héritier François-Ferdinand d’Autriche.
C’est le juif Kerensky qui succéda à l’Empereur Nicolas II et ouvrit la voie aux Soviets. Il s’appelait Aaron Kirbiz.
C’est le juif Sverdlof qui, de Moscou, a commandé l’ignoble assassinat de la Famille Impériale de Russie à Ekaterinenbourg et que cette abominable boucherie a été exécutée par les juifs Yourovski et Golostcheguine.
C’est le juif Helphand, appuyé par le demi-juif Bethmann-Hollweg, qui a obtenu de Ludendorf la traversée de l’Allemagne en wagon plombé par Staline en vue de déclencher la révolution russe.
Ce sont les juifs Bela Kun et Tibor Szamuelly qui étaient les chefs du sanglant bolchevisme hongrois. Ce sont les juifs Liebknecht, Rosa Luxemburg et Kurt Eisner qui dirigeaient le spartakisme allemand. Etc. ... En fait quinze millions de juifs — une race et une religion — dirigent le reste du monde pour leur seul profit ! Quelle disproportion !
Bernard Lazare, juif, reconnaît dans son livre sur L’histoire de l’anti-sémitisme et ses causes (page 135) :
« Partout ils voulaient rester juifs et partout ils obtenaient des privilèges leur permettant de fonder un État dans l’État ».
Ajoutons, pour éclairer les événements actuels du Liban et l’action du Gouvernement Begin en Israël que les chefs du judaïsme mondial ont toujours été plus ou moins hostiles à l’établissement d’un État Juif en Palestine. Citons le Jewish World, de février 1883 :
« Le grand idéal du judaïsme n’est pas que les Juifs se rassemblent un jour dans quelque coin de la terre pour des buts séparatistes, mais que le monde entier soit imbu de l’enseignement juif et que dans une fraternité universelle des nations — un plus grand Judaïsme en fait — toutes les races et religions séparées disparaissent.
« En tant que peuple cosmopolite les Juifs font plus. Par leur activité dans la littérature et dans la science, par leur position dominante dans toutes les branches de l’activité publique, ils sont en train de couler graduellement les pensées et les systèmes non juifs dans des moules juifs » (27). Et ce pour aboutir au règne du Roi d’Israël et à son Gouvernement mondial, et donc pas seulement sur la petite Palestine ... qui constitue plutôt un obstacle à la réalisation du plan juif d’asservissement du monde entier ...
Prochainement, je vous parlerai de : LA FRANC-MAÇONNERIE FONDÉE ET DIRIGÉE PAR LE POUVOIR JUIF mais aussi des BRAS DE LA PIEUVRE LUCIFÉRIENNE (Roger Vigneron poursuit : « Au XIIème Siècle, les Templiers ont rapporté de Palestine en Europe le Dépôt de Moïse, qu’ils sont allés chercher dans le Temple ruiné de Jérusalem. Et c’est la possession de ce trésor et en particulier de L’ARCHE D’ALLIANCE, qui leur a permis d’infléchir, durant trois siècles, le sort des nations dites chrétiennes. « Par ailleurs, les moyens financiers n’ont jamais manqué aux Templiers, qui ont été les BANQUIERS DE L’EUROPE. Il poursuit, et cela nous oblige à ouvrir l’oeil : « L’Ordre Rénové du Temple, m’a dit le Grand-Maître, n’est pas le refuge des nostalgiques du passé. Il est la structure puissante capable d’accueillir tous ceux qui ne veulent pas subir passivement les événe¬ments qui accablent le monde. Par une formation initiatique et son enseignement pratique, l’Ordre per¬met à ses membres de saisir les moyens propres à oeuvrer pour rendre au monde la grande LUMIERE qu’il a perdue ») mais aussi des (LES BILDERBERGERS — LA TABLE RONDE— LE COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS, THE TRILATERAL COMMISSION, AmnestyInternational, MARXISME : SOCIALISME & COMMUNISME, LES SECTES — LES DROGUES HALLUCINOGéNES, LeYoga, LE ROTARY, LE REARMEMENT MORAL (R.A.M.), LA GNOSEDEPRINCETON,LEG.R.E.C.E.(GroupementdeRechercheetd’étudepourlaCivilisationEuropéenne) & ses publications Nouvelle école & éléments, LE SCOUTISME, L’EXPRESSION CORPORELLE, LA JAMAA, LE PENTECOTISME & LE RENOUVEAU CHARISMATIQUE, L’ARMEE DE MARIE, Les Cathares — Le Saint Graal — Les Templiers — Le Prieuré de Sion — Les Francs-Maçons. ;
A très bientot