Source : MARQUIS de laFRANQUERIE, 1984, Lucifer & et le pouvoir occulte : la Judéo-Maçonnerie, les Sectes, le Marxisme, la Démocratie, Synagogue de lucifer & contre-Eglise, (ouvrage nom mis dans le commerce, réservé seulement aux amis de l’auteur) Ouvrage hors commerce tiré à 2000 exemplaires Exemplaire, N° 000753
Le Bilderberger Group fut lancé par l’israélite polonais Joseph Retinger. Il est un autre bras de la pieu¬vre luciférienne. On assure que ce serait dans sa réunion en Savoie quelques mois avant qu’elle ne se produisit, que toute l’affaire des pétroles arabes aurait été décidée ...
On pourrait vraisemblablement le rapprocher d’un autre groupe secret, lui aussi, LA TABLE RON-DE, dont le siège était en Angleterre et qui, le 30 mai 1919, avait jeté les base du COUNCIL ON FO-REIGN RELATIONS, qui, lui, siège à Washington et est un des instruments du Gouvernement Mon-dial et dont le but poursuivi est le triomphe de la révolution. La plupart des hommes politiques influents dans le monde font ou ont fait partie du COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS. Le Président Roo¬sevelt notamment qui, avec Churchill, établit en 1941 la CHARTE DE L’ATLANTIQUE, et qui le 2 septembre 1943 partageait le monde en déclarant : « A la Chine l’Extrême-Orient ; le Pacifique aux États-Unis l’Afrique et l’Europe partagées entre l’Angleterre et la Russie.
« L’Organisation des Nations Unies (O.N.U.) est le fruit du Council on Foreign Relations ».
Eisenhower, Kennedy, Nixon en étaient membres comme le plupart des dirigeants américains. Le président en est David Rockefeller, fondateur en 1973 de la Trilatérale. Le mouvement est financé par Ford, Carnegie, Rockefeller, etc. ...
Une autre organisation, fondée en 1921, Le Foreign Policy Association (F.P.A.), Association de Poli-tique Etrangère fusionna en 1950 avec un autre organisme fondé par le Council on Foreign Relations, et demeuré sous sa dépendance, les World Affairs Council (W.A.C.) Comité des Affaires Mondiales. Le World Affairs Council a publié le 24 octobre 1975, sous le signature de Henry Steele Commager, une Déclaration d’Interdépendance adressée au monde entier en vue de l’établissement d’un Gouvernement Mondial, et qui marche la main dans la main avec une autre ramification du Council on Foreign Relations : L’Aspen Institute for Humanistic Studies (Institut Aspen pour les Études concernant l’Humanité) qui, sous l’impulsion de son président, Robert O. Anderson, a obtenu la création en décembre 1974, de la Commission Nationale pour la Défense de l’Interdépendance. Sur trente deux membres de cette Commis¬sion, treize sont affiliés au Council on Foreign Relations, dont le fameux Zbigniew Brzezinski, le grand ami et collaborateur de l’ancien président des Etats-Unis, Jimmy Carter. Tout se tient et s’enchevêtre, toujours dans le même but : le Gouvernement Mondial Luciférien (81).
Revenons au Bilderberger Group dont le rôle est essentiellement politique et international. Parmi ses membres, morts ou vivants, citons entre beaucoup d’autres : Spaak, van Zeeland, Mansholt, en Belgi¬que ; le prince Bernard des Pays-Bas et Joseph Luns, en Hollande ; le duc d’Édimbourg, Wilson chef des Travaillistes comme aussi Heath l’ancien chef des Conservateurs, en Angleterre ; Otto Wolf, en Allema¬gne ; Dean Acheson, Mac Cloy, Walter Lipman, Fulbricht, Robert Murphy, et bien entendu Kissinger, aux États-Unis ; Pompidou, Deferre, Baumqartner, Pierre Dreyfus, Jacques Rueff, Guy Mollet, Mau¬rice Faure, Jacques Baumel, Duchet, Olivier Guichard, Antoine Pinay, Pleven, la Malène, Teitgen, sans oublier Lecanuet, l’écrivain André Maurois, Giscard, pendant sa présidence y aurait eu son représentant : le fils d’une Blum, en France ; Lesage au Canada ; etc. ... le tout coiffé par la haute finance internationale : Rockefeller, Warburg, Kuhn, Loeb, Carnegie, Ford, les représentants des Rothschild, etc. ... Tous noms cités par Pierre Virion (82).
Les derniers avatars du Prince Bernard des Pays-Bas, président du Bilderberger Group, avaient en¬traîné la mise en sommeil momentanée de leur réunion annuelle. Cette réunion a repris à Torquay, en Angleterre, du 21 au 23 avril 1977 et a désigné le remplacement de l’ancien président trop compromet¬tant : Lord Home (Alec Douglas Home), ancien ministre des Affaires Étrangères et Premier Ministre de Grande Bretagne, a été désigné.
Pierre Hofstetter donne le nom de quelques-uns des invités : Henry Kissinger, le chancelier de la République Fédérale Allemande, Helmut Schmid ; le président de la république (française) Valéry Gis¬card d’Estaing ; le ministre des finances, travailliste, Denis Healy, Mme Marguerite Tatcher chef du parti Conservateur anglais ; le millionnaire socialiste Harok Lever, conseiller financier du premier ministre du Royaume Uni Callaghan ; sir Eric Roll, un directeur de la Banque d’Angleterre ; le banquier Sig¬mund Warburg ; le Vice-Chancelier d’Autriche Harnes Androsch ; le ministre canadien de la Santé Marc Lalonde ; le ministre danois de l’Economie Per Haekkerup, le ministre grec des Affaires Étrangè¬res Constantin Savropoulos ; le premier ministre d’Irlande Geir Haligrimson ; le premier ministre de Suède Thorbjorn Faildin ; le ministre italien de l’Intérieur Francisco Corriga ; et bien entendu le puis¬sant banquier et roi du pétrole David Rockefeller, l’un des principaux animateurs du groupe » (83).
THE TRILATERAL COMMISSION
Sous le titre, Une nouvelle synarchie : la Trilatérale, avec le sous-titre, la génération spontanée en politi¬que, Jacques Bordiot, spécialiste en la matière, écrit :
« Lors du remaniement du cabinet Jacques Chirac, le 12 janvier 1976, dans la liste des nouveaux ministres, figurait un certain M. Raymond Barre que, dans son numéro de février, Lectures Françaises, présentait en ces termes : « Professeur d’Economie politique placé au Commerce Extérieur on ne sait trop pourquoi ».
« Aussi, lorsque le 27 août, après la démission de M. Chirac, le Président Valéry Giscard d’Estaing confia à ce même M. Barre le double portefeuille de Premier Ministre, de Ministre de l’Economie et des Finances, les commentateurs politiques ne surent pas dissimuler leur étonnement, pour ne pas dire leur stupeur ».
« D’où sortait-il, celui là ? Si encore il avait fait partie des anonymes de l’U.D.F., de l’un des corpus¬cules d’Indépendants, voire de quelque gauche modérée ou de la comateuse S.F.I.O passe encore ! On eut admis un vrai socialiste du P.S ...
« Mais non : le nouveau chef du gouvernement ne se targuait-il pas de n’appartenir à aucun parti ? Autrement dit politiquement parlant, rien, zéro, du vent ...
« A peine commençait-on à s’habituer à cette anomalie qu’un deuxième événement du même ordre venait secouer le monde politique.
« Le 4 novembre 1976, M. Jimmy Carter, 52 ans, démocrate du Sud, était élu président des Etats-Unis par 51% des suffrages, alors que son principal adversaire, le républicain Gérald Ford, président sortant n’en recueillait que 49%.
« Pourtant, lorsque le 12 décembre 1974, M. Carter avait posé sa candidature à l’investiture dé-mocrate pour les élections présidentielles, toute la presse l’avait aussitôt baptisé : Jimmy who ? (Jimmy qui ?).
« ... Alors, la victoire de M. Jimmy Carter ? Génération spontanée, vous dit-on ... Et si, dans les deux cas, cette inconsistance politique n’était qu’une façade, un trompe-l’oeil ? » (84)
Ce n’était, en effet, dans l’un comme dans l’autre cas, qu’un trompe-l’oeil. Au début de 1976, lors d’une conférence qu’il fit en Belgique, l’auteur de cette étude reçut de Washington un document impor¬tant concernant THE TRILATERAL COMMISSION, document qui annonçait les deux événements : à savoir le prochain Premier Ministre serait M. Raymond Barre en France et qu’aux Etats-Unis le pro¬chain président serait M. Jimmy Carter parce que telle était la volonté de la Commission Trilatérale. Afin de prendre date, il montra le document à de nombreux amis. Force fut bien de constater quelques mois après que l’auteur de la note était bien renseigné.
Depuis, l’ancien grand-Maître du Grand Orient de France est entré dans le Ministère Barre et deux membres de la Trilatérale ont surgi à des postes-clé : Jean-Paul Lecat a été Ministre de la Culture et de la Communication — poste capital pour diriger et manoeuvrer l’opinion publique — et M. Crépeau, marxisant est devenu le chef du Parti radical de gauche et depuis l’arrivée au pouvoir de Mitterrand et des socialo-communistes, ministre ... ...
Qu’est-ce donc que la Trilatérale ?
C’est la dernière en date des organisations du Pouvoir occulte. Dans son bulletin intérieur, Trialogue, la Trilatérale se présente : « La Trilatérale Commission fut fondée en 1973 par de simples civils de l’Europe Occidentale, du Japon et de l’Amérique du Nord pour propager l’idée d’une plus étroite coopération entre ces trois régions du monde sur leurs problèmes communs. Elle cherche à améliorer la compréhension de ces problèmes par l’opinion publique, et à créer dans ces régions l’habitude et l’expérience du travail en commun » (85).
Que cela recouvre-t-il en réalité ?
Un hebdomadaire italien Europa, prétend que les fondateurs de ce groupement, David Rockefeller et Brzezinsky n’auraient lancé la Trilatérale que pour en faire « le groupe de puissances intellectuelles et financières le plus fort que le monde ait jamais connu ».
C’est vraisemblable. En attendant de diriger totalement la politique du monde, elle fait pénétrer dans les sphères dirigeantes les idées suivantes :
« Les managers précèdent les politiques. Par leurs fonctions et leur approche réaliste, les dirigeants du secteur privé, industriels, universitaires, financiers, sont susceptibles d’élaborer des solutions prati¬ques aux problèmes mondiaux, puis de les proposer aux gouvernements.
« La concertation entre les trois grandes régions à la fois démocratiques et industrialisées (Europe, Japon, Amérique du Nord) peut seule favoriser l’établissement d’un ordre économique mondial ».
Le but est indiqué. C’est l’aveu !
Aussi, depuis sa fondation, la Commission Trilatérale, a-t-elle étudié les questions suivantes : système monétaire, coopération internationale, dialogue Nord-Sud, commerce mondial, énergie, fonctionne¬ment de la démocratie, etc. ... études publiées par les Documents du Triangle.
François Lebrette précise :
« Les critiques les plus vives furent toutefois réservées au Triangle Paper (rapport consacré à la dé¬mocratie). Rédigé sous la direction de M. Samuel Huntington, professeur à l’Université Harvard, ce do¬cument présente la première réflexion globale sur les dangers mis en lumière par l’affaire du Watergate. La plus originale aussi.
« Alors que la plupart des études américaines insistent sur l’aspect moral de l’affaire, M.Huntington s’intéresse à la vulnérabilité du pouvoir ainsi révélée. Sa conclusion : « L’extension indéfinie de la démo¬cratie n’est pas désirable. Certains problèmes de gouvernement surgissent d’un excès de démocratie.
« Parmi les solutions retenues, une, au moins, va à l’encontre de la tradition américaine : le droit au secret : « Un gouvernement doit avoir le droit et les moyens de retenir l’information » (86).
Très justement, J. Bordiot constate : « Le véritable objet de la Trilatérale était d’exercer une pression politique concertée sur les gouvernements des nations industrialisées pour les amener à se soumettre à leur stratégie globale. « Ou ces mots ne veulent rien dire, ou le but de la Trilatérale est l’instauration du gouvernement mondial ». (C’est nous qui soulignons)
Et il continue :
« Pour M. Valéry Giscard d’Estaing, déjà membre du Bilderberger Group alors qu’il était Ministre de l’Economie et des Finances du Président Pompidou, on a souligné qu’il s’en était retiré dès son acces¬sion à l’Elysée. Mais en oubliant soigneusement d’indiquer qu’il était régulièrement représenté à cha¬que réunion du Groupe par son ancien collaborateur aux Finances, Lionel Stoleru, Ministre et conseiller du Président de la République. Réunions auxquelles M. Stoleru rencontrait non moins régulièrement les énarques Jacques Attali et Pierre Uri, représentants tous les deux de M. François Mitterand. Hé ! Oui ... . C’est cela le capital-socialisme ... »
Il cite François Lebrette, qui écrivait le 10 janvier 1977, La Commission Trilatérale ... fut ainsi définie par M. Jacques Chirac, en décembre 1975 :
« C’est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l’une des plus éminentes. « C’est à l’occasion d’un dîner offert par M. Chirac, alors Premier Ministre, à la Commission Trilatérale réunie à Paris pour discuter d’une gestion internationale des matières premières ».
Puis, il cite à nouveau M. Lebrette qui précisait le 9 mai 1977 :
« Le ... grand succès de la Trilatérale fut l’instauration de rencontres régulières entre les dirigeants des principales puissances industrielles d’Europe, du Japon, et d’Amérique du Nord. L’initiative en fut prise par M. Giscard d’Estaing dès son arrivée à l’Elysée. Elle se concrétisait en novembre 1975 par le sommet de Rambouillet, minutieusement préparé par un ministre encore obscur, M. Raymond Barre, lui aussi membre de la Trilatérale. Et l’autre semaine, le Premier Ministre français réunissait discrète¬ment à Versailles les principaux responsables économiques et financiers des Etats-Unis, d’Allemagne Fédérale, de Grande Bretagne et du Japon. Pour préparer le sommet de Londres, comme l’avait fait quelques jours auparavant une autre société internationale discrète : le Groupe Bilderberger, réuni à Torquay encore en Grande Bretagne.
« La France joue ainsi le rôle de courroie de transmission, tant pour la Trilatérale que pour le Bilder¬berger, par le truchement du président de la République et du Premier Ministre ».
Et Jacques Bordiot conclut :
« Pouvait-il ignorer que MM. Henry Cabot-Lobge, le Général Marshall, Milton Katz, Averell Har-riman, George S. Franklin appartiennent au Council on Foreign Relations (C.F.R.) Pouvait-il ignorer que M. Henry Kissinger, ex-secrétaire d’État (Ministre des Affaires Étrangères des États-Unis), membre influent du C.F.R. et du Bilderberger Croup, venait d’adhérer à la Trilatérale et figurait parmi les mem¬bres de sa Commission exécutive ?
« Certes pas. Sans la Trilatérale, il ne serait rien, et il le sait. C’est elle qui l’a imposé à la France, pour surveiller le Président Valéry Giscard d’Estaing, jugé inconsistant, et l’obliger à se plier aux usa¬ges de la haute finance internationale ». (C’est nous qui soulignons) (87).
Revenons un peu en arrière et faisons un peu d’histoire :
Lors des Traités qui avaient mis fin à la première conflagration mondiale, Jacques Bainville avait déploré que l’Economique l’ait emporté sur le Politique. C’était, en effet, ouvrir la porte au Pouvoir occulte et à la Finance Internationale entre les mains des Juifs. Au livre de l’anglais Keynes, Les consé¬quences économiques de la paix, Bainville avait répliqué par Les Conséquences politiques de la paix, et Ch. Maurras par son Mauvais traité. Fatalement, cela devait aboutir progressivement à la réalisation des prin¬cipes énoncés par la Rose-Croix et Comenius (1592-1670) c’est-à-dire à tendre à l’unité politique et religieuse par la destruction de tous les Etats Nationaux, de toutes les indépendances nationales, qui assurait le triomphe du plan d’asservissement du monde au roi d’Israël ; plan qui, depuis des siècles, n’a pas varié.
En 1882, Saint-Yves d’Alveydre — l’un des hauts initiés — préconisait cette antériorité de l’Econo-mie sur la Politique et déclarait : « La vie économique vous donnera la base. Mais sur cette base vous devez élever le Conseil des Etats Européens ».
De par la volonté de Valéry Giscard d’Estaing — qui ambitionnait alors de devenir le président de la Communauté Européenne et l’on sait que son ambition est insatiable — le parlement français a ratifié l’élection au suffrage universel du Parlement Européen, et Raymond Barre — en plat valet qu’il est — a déclaré : « Nous n’avons pas à avoir peur de la puissance du suffrage universel, ni pour notre peuple, ni pour l’Europe ».
Déclaration qui ne surprendra pas puisque la Trilatérale dont il est un membre téléguidé, ne l’a fait ar¬river au pouvoir en France que pour achever sa domination ... En effet, cette ratification avance singuliè¬rement la réalisation du plan juif d’asservissement du monde — plan préconisé bien entendu tant par la plupart des sectes et par la franc-maçonnerie que par le Pacte Synarchique, la construction de l’Europe devant assurer ensuite rapidement la domination du Pouvoir occulte et du roi d’Israël sur le monde.
Sont membres de la Commission Trilatérale environ deux cents personnalités citons entre autres :
EN AMERIQUE :
L’ex-président Carter, l’ex-vice président Walter Mondale, les anciens ministres Michael Blumenthal, Harold Brown, Cyrus Vance, Zbigniev Brzezinski et dix huit membres qui occupent des postes-clés.
EN FRANCE :
Raymond Barre, Jacques Chirac, Edmond de Rothschild, Paul Delouvrier, président du Conseil d’Administration de l’Electricité et du Gaz de France, Pierre Estève (Union des Assurances de Paris), Pierre Jouvent (Péchiney-Ugine- Kulmann), Michel Gaudet (Fédération des Assurances), Roger Martin (Saint Gobain-Pont à Mousson), Michel Debatisse (Exploitants Agricoles), René Bonety (Confédéra¬tion Française des Travailleurs), Jacques de Fouchier (Banque de Paris et des Pays-Bas), Georges Ber¬tholin (Directeur Général honoraire de la Communauté Européenne et président de la Trilatérale Com¬mission pour l’Europe) etc. ... et président de l’Electricité et du gaz de France ...
On pourrait également citer les plus hautes personnalités étrangères en Allemagne, Italie, Angle¬terre, etc. ... En un mot les sommités politiques, les présidents des principales banques mondiales, les dirigeants des plus puissants groupes industriels, comme aussi de certains syndicats ... Ainsi le Pouvoir occulte tient à peu près tout dans sa main (88). C’est la réalisation du plan de la Trilatérale qui déclare vouloir « créer un ordre international qui ne soit en aucun cas anti-communiste ».
De fait, son action a — présentement — pour effet voulu de procurer à l’Union Soviétique et à ses satellites des usines clés en main (même pour des fabrications militaires) sans que jamais les Soviets les paient. On est arrivé ainsi à leur procurer de telles avances financières qu’on déclare maintenant impossible d’entraver la détente Est-Ouest quoique fasse l’U.R.S.S., sans quoi on se trouverait devant un Empire qui par rétorsion, risquerait de ne pas payer ses dettes ... Mais David Rockefeller est reçu à Moscou en ami. Tout cela n’a d’autre but que de préparer la troisième conflagration mondiale ... (89)
Le penseur de la Trilatérale est Brzezensky. Qui est-il donc ? En octobre 1977 les Editions de l’Herne ont publié un ouvrage de cet individu, Illusions dans l’équilibre des Puissances. L’ouvrage a été préfacé par Jean-Pierre Cot (90)
« Zbigniev Brzezenski né à Varsovie en 1928, Professeur à l’Université de Columbia ... Depuis 1973 à 1976, Directeur Général de la très influente Commission Trilatérale à laquelle appartiennent Jimmy Carter ainsi que dix sept membres du nouveau gouvernement américain ».
Dans sa préface Jean-Pierre Cot écrit :
« Zbig Brzezenski exerce une influence essentielle. Sa position institutionnelle le place au coeur de l’ensemble de l’équipe Carter. Conseiller spécial du Président pour les affaires de sécurité, il voit Carter tous les jours. Cette permanence dans l’accès marque d’une empreinte particulière ses conseils. Il prési¬de le Conseil National de Sécurité (N.S.C.), organisme de conception et de coordination de la politique de défense et diplomatie ... (p. 17)
« Brzezenski a été, en quelque sorte, le tuteur de Jimmy Carter. Il a fait faire ses premiers pas interna¬tionaux à l’ancien gouverneur de Georgie et n’a cessé de le conseiller depuis, élaborant ainsi avec lui ce qui allait devenir la politique étrangère du président Carter » (p. 18).
Et Cot explique le rôle de la Trilatérale : « Le cadre de cet apprentissage : la Commission Trilatérale. L’institution créée par le banquier David Rockefeller et dirigée par Brzezenski regroupe des élites diri¬geantes de l’Amérique, de l’Europe et du Japon, hommes d’affaires, ministres ou penseurs. Organisée pour resserrer les liens entre les puissances industrielles du monde occidental, la Trilatérale a tissé un réseau de relations personnelles entre les acteurs principaux du champ politique et économique. Le dessein avoué est sans conteste conservateur : maintenir la position prééminente de l’Occident capi¬taliste et industrialisé dans le monde. Mais la ligne de défense est établie avec souplesse, abandonnant l’accessoire pour résister sur l’essentiel » (p. 18)
Quelle est donc cette ligne de défense à la fois souple et résistante ? Pierre de Villemarest va le préci¬ser, avec son habituelle lucidité : « Il fallait faire comprendre à un certain capitalisme anglo-américain qu’une dose de socialisme imposée d’en-haut éviterait la Révolution dans la rue : que l’alliance du Ca¬pital international et du socialisme international ne gênerait ni l’un ni l’autre » (91).
Jean-Pierre Cot continue : « La Trilatérale a forgé sans conteste l’unité de vues de l’administration américaine en matière étrangère. Carter, Mondale, Vence Blumenthal et Young en faisaient partie avec quelques autres, assistant régulièrement à des réunions d’analyse sur l’état des relations internationales. Il en est sorti une équipe soudée par une perspective commune et largement inspirée par les concep¬tions de Brzezenski. (p. 18)
Et il précise : « Brzezenski propose d’institutionnaliser la Commission Trilatérale au niveau des gouvernements, en encourageant l’Europe à s’exprimer d’une seule voix, à égalité avec l’Amérique et le Japon ». (p. 26)
Notons également que Brzezenski avait placé auprès de Carter, comme Chef de l’Office des Affaires Mondiales du Conseil de Sécurité Nationale des Etats-Unis Jessica Tuchman, dont le rôle était d’ins¬pirer les idées du président américain. Juive comme il se doit et spécialiste des Droits de l’Homme, c’est elle qui a déclenché la campagne de Carter sur les droits humains ; mais, malgré les apparences, cette campagne n’est aucunement dirigée contre les Soviets, Brzezenski ne le tolèrerait pas (92), mais unique¬ment en vue de déclencher la troisième conflagration mondiale dont l’un des principaux buts est le destruction totale et définitive de tous les nationalismes, ceux de l’Est comme la Yougo-Slavie, comme ceux de l’Ouest, afin de parvenir au Gouvernement mondial du roi d’Israël.
Ajoutons que le 6 février 1977, le Washington Post, dans un article sur les antécédents de Brzezenski, notait qu’il avait pour ami intime et très ancien Henry Rosovsky, doyen de la Faculté des Arts et Scien ces de l’Université Harvard, mais qui est aussi le vice-président du Congrès Américain Juif, organisation par excellence du sionisme ... Or récemment ce Congrès préconisait l’établissement d’une Chambre Haute Juive qui serait composée des chefs des Communautés juives du monde entier. Ne serait-ce pas le signal que l’assaut final du Pouvoir Juif est imminent en vue d’établir ce Gouvernement mondial dic¬tatorial sous le pouvoir absolu du roi d’Israël ... et de sa Chambre Haute ? ...
Précisément, par la même voie des informations de la plus haute importance nous arrivaient d’Amé¬rique indiquant que le Pouvoir occulte, aurait décidé de déclencher rapidement la troisième conflagra¬tion mondiale afin d’asseoir définitivement cette domination.
Depuis, les événements d’Iran et la trahison de Carter à l’égard du Schah et l’arrivée au pouvoir d’un autre inconnu, l’ayatollah Khomeini — scandaleusement protégé par le gouvernement trilatéraliste français, alors que le Shah venait de signer avec la France des accords économiques fort intéressants, immédiatement dénoncés par le chef chiite — ce qui va augmenter encore la crise du chômage dans notre pays, preuve supplémentaire, s’il en était besoin, que nous assistons à une immense et tragique pièce montée ...
Deux conséquences mondiales très graves en sont la conséquence :
1° — la suppression à plus ou moins brève échéance des livraisons de pétrole à l’Occident, livraisons qui vont rapidement être dirigées vers la Russie soviétique et augmenter ainsi ses possibilités de ravitaillement en vue du conflit international qui va se déclencher ; suppression tragique pour les Puissances Occidentales car elles seront pratiquement dans l’impossibilité de se défendre ...
2° — le démantèlement du dernier bastion de l’Occident au Proche-Orient au profit encore et tou¬jours des Soviets ... qui vont même très vraisemblablement profiter de la destruction de l’armée du Shah pour saisir les secrets les plus sophistiqués de l’armement américain ... et aussi pour avancer une pointe vers la Mer d’Oman et l’Océan Indien ...
Enfin, à propos des derniers événements du Liban et de l’action israélienne dans ce pays, il est un fait qui ne doit pas être oublié : les chefs juifs internationaux ont toujours été réticents à l’égard de l’État d’Israël, car cet État constitue plutôt une gêne pour le règne juif sur le monde, car ce règne — dans leur pensée — ne doit pas être limité à un petit pays, mais étendu à l’univers entier ; d’où l’actuelle majorité hostile à l’état d’Israël des juifs américains ...
Mais, si vous suggérez que la trahison pourrait bien être installée un peu partout, on vous traite de fou ...
Non sans raison, Jacques Boislevant se demandait, alors que la communauté économique n’avait pu encore être instituée : « Pourquoi attendre encore ? Ne faut-il pas franchir l’étape politique et pourquoi pas, celle ultime du Conseil des Églises Nationales ? » (93)
Que les catholiques, et aussi tous les chrétiens, n’oublient jamais cette déclaration de Brzezenski en haine de l’Église :
« Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi ... Il représente une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l’homme » (94).
AmnestyInternational
Amnesty International a été fondée en 1961 par Sean Mac Bride et Peter Benenson avec comme but avoué d’être un « Mouvement impartial pour la défense des droits de l’homme et la libération des pri¬sonniers d’opinion » ... « qui n’ont pas fait usage de violence ». Elle assure avoir deux cent cinquante mille membres et des groupes d’action dans cent trente quatre pays. En outre « elle est aussi une puis¬sance internationale politiquement reconnue. Elle a statut consultatif auprès de l’Organisation des Na¬tions Unies, de l’Unesco, du Conseil de l’Europe ; statut coopératif avec la Commission inter- américaine des droits de l’homme, de l’Organisation des Etats Américains ; et statut d’observateur auprès de l’Organi¬sation pour l’Unité Africaine, etc. ... . sans oublier l’appui enthousiaste des Églises ...
Hugues Kéraly écrit très justement :
« Les dirigeants d’Amnesty International ont bâti un empire de MENSONGE sur la forêt des bonnes volontés. Ils exploitent la mission du secours aux personnes dans un dessein politique déterminé où la charité des autres sert de couverture à leurs multiples dextérités ... (C’est nous qui avons souligné mais l’auteur continue en gros caractères
« Les militants d’Amnesty International restent en effet la proie du mensonge à peu près constant, par omission, sélection ou invention des faits, selon qu’il s’agit de voiler dans le Monde la réalité du communisme ou de jeter l’opprobre sur les nations capables de lui résister ».
« Amnesty International n’a cessé depuis sa fondation de figurer le monde à l’envers de ce qui s’y passe en réalité ; elle entend nous faire croire que l’Ouest, de la Turquie à l’Amérique Latine, abriterait la pa¬trie du GOULAG, des bourreaux, des génocides, et l’Est celle des dissidents. Quand c’est l’affirmation exactement contraire qui pourrait contenir aujourd’hui une part de vérité. (Voir Europe de l’Est : Le communisme amnistié) » (95).
Quoi d’étonnant qu’Amnesty International fasse le jeu des Soviets et du communisme et falsifie les reportages concernant les pays susceptibles de gêner la Russie Soviétique et atténue systématiquement toutes les persécutions, les crimes et les génocides perpétrés par les Soviets et ses satellites puisque son fondateur est Prix Lénine de la Paix et que depuis 1979 elle a eu pendant plusieurs années un leader communiste australien, Derek Roebuck, comme l’un des principaux chefs de son organisation à Londres, notamment pour diriger ses enquêtes ...
La vérité est que les enquêtes impartiales effectuées par des chercheurs sérieux1 et ce, dans les diffé¬rents continents ont abouti souvent à la découverte de prétendus assassinés ou disparus qui avaient fui leur pays et se trouvaient parmi les brigades rouges terroristes et les assassins passés à l’étrange ... Mais le communisme n’est-il pas l’incarnation du mensonge pour parvenir à son but suprême. Lénine n’a-t-il pas fait un devoir de mentir aux militants communistes dès l’instant que l’intérêt du parti peut y trou¬ver un intérêt ... ?
MARXISME : SOCIALISME & COMMUNISME
Tout le mouvement marxiste — communisme aussi bien que socialisme — a pour idole Karl Marx (1817 † 1883). Or, le but réel de Kart Marx n’était aucunement la libération du prolétariat, du monde ouvrier, du peuple. Contrairement à ce que voudraient faire croire ceux qui se disent ses disciples, Il s’en moquait totalement ; il en voulait, au contraire la destruction en haine de Dieu par son asservissement à Lucifer (96). A vingt ans, en effet, il s’était donné à Lucifer et assistait à des messes noires. Il voulait entraîner l’hu¬manité dans l’abîme des ténèbres de l’enfer. Il écrit :
« S’il y a quelque chose capable de détruire, je m’y jetterai à corps perdu, quitte à mener le monde à la ruine. Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l’abîme. Je le fracasserai en mille morceaux à force de malédiction ».
A trente ans, il est lié avec les révolutionnaires les plus acharnés de tous les pays : Mazzini, Ruffini, Dubousky, Zalesky, Weitling, etc. ... Ils se réunissaient à Rome, derrière la Langara :
« Là était l’autel de Satan qui s’élevait en rival auprès des Temples du Tout-Puissant ; là le démon était adoré comme divinité suprême ; là il recevait les encens et les prières ; là on célébrait des mystères obscènes ; là on lui offrait des sacrifices monstrueux » (97).
Dans son excellent ouvrage, Le pouvoir occulte fourrier du communisme, Jacques Bordiot dans son chapitre, Les origines capitalistes du marxisme, écrit :
« Karl Heinrich (Herschel) Marx est né en 1818 à Trèves, en Rhénanie. Son père, fils de Rabbin, riche avocat converti au protestantisme « pour des raisons probablement plus politiques que religieu¬ses » était devenu Conseiller à la Cour. Sa mère, née Henriette Pressburg, était, elle aussi, fille de rabbin. Le milieu où s’écoula la jeunesse de Karl Marx, écrit Elie Halévy, était la haute bourgeoisie liée à l’aristo¬cratie ». Il épousa « Jenny von Westphalen, dont le grand père avait été ministre du duc de Brunswick pendant la Guerre de Sept Ans, et dont la grand’mère anglaise était apparentée aux ducs d’Argyll » (98).
Dans son Invocation d’un désespéré, il écrit encore :
« Il ne me reste plus désormais que la vengeance,
« Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
« Son sommet sera glacial et gigantesque.
« Il aura pour rempart la terreur de la superstition
« Pour maréchal, la plus sombre douleur ...
En haine du Christ, il écrit Oulanem, qui est l’anagramme d’Emmanuel. Et dans Le Menestrel, il re¬connaît :
« Les vapeurs infernales me montent au cerveau
« Et le remplissent jusqu’à ce que je devienne fou,
« Et que mon coeur soit complètement changé
« Regarde cette épée : le Prince des ténèbres me l’a vendue ».
Épée enchantée qui assure le succès et qu’il a achetée « au prix d’un pacte signé du sang pris à son poignet, selon lequel son âme après sa mort appartiendra à Satan », précise le Pasteur Wurmbrand (p. 16 de l’étude ci-dessus citée).
Dans La Vierge pâle :
« Ainsi j’ai perdu le ciel, je le sais très bien.
« Mon âme naguère fidèle à Dieu a été marquée pour l’enfer ».
C’est avec des lucifériens qu’il fonde la Première Internationale, avec Bakounine qui écrit de son côté :
« Dans cette révolution, il nous faudra réveiller le diable chez le peuple et exciter en lui les passions les plus viles » (99).
Et encore :
« Satan est le premier libre-penseur et sauveur de ce monde. Il libère Adam et imprime sur son front le sceau de l’humanité et de la liberté en faisant désobéir ».
Proudhon — encore à ce moment son ami — « adorait Satan ».
Le communard Flourens, lors de l’insurrection de 1871 à Paris, déclare :
« Notre ennemi, c’est Dieu. La haine de Dieu est le commencement de la sagesse. » (100)
Mazzini, qui connaissait bien Marx, reconnaît :
« Il a l’esprit destructeur et son coeur déborde plus de haine que d’amour pour les hommes. » (101).Avec raison, Lénine déclarait :
« Un demi siècle après lui, pas un seul marxiste ne peut se vanter d’avoir vraiment compris Marx. » (102)
Après une étude approfondie, le Pasteur Wurmbrand écrit :
« N’oublions pas que l’idéal de Marx était de descendre en personne aux abîmes de l’enfer et d’y entraîner avec lui l’humanité entière. « Pour Marx, le socialisme était uniquement un prétexte. Son véritable objectif était le plan diabolique d’anéantir l’humanité pour toujours. » (103)
On savait que les fondateurs du communisme — comme aussi du nazisme — avaient été en rela¬tions suivies avec des lucifériens notoires. (104)
« Marx a reçu de leur part la mission avouée de mettre par terre toute religion et toute morale. » (105)
Le monde ignore que Staline avait choisi, dans ses premiers écrits le pseudonyme de Demonoshvili, c’est à dire l’Émule du démon, et Beshvili, le Démoniaque (106).
Après avoir cité ces faits très caractéristiques, le Pasteur Wurmbrand ajoute :
« Si l’on veut en savoir davantage sur les rapports du marxisme et des sciences occultes, on peut se référer à l’ouvrage de Cheila Ostrander et Lynn Chrôder, Psychic discoveries behind the Iron Curtain, (Englowood Cliffs, N. J., Prenties Hall, 1970). On y découvrira avec stupéfaction que les Pays de l’Est communiste sont beaucoup plus avancés que ceux de l’Occident dans la recherche de toutes les forces occultes manoeuvrées par Satan (107).
Et, très judicieusement, il constate :
« Les crimes du communisme sont sans précédent. Quel autre système politique pourrait se vanter d’avoir mis à mort soixante millions d’hommes en un demi siècle, comme c’est le cas pour les Soviets. (Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag) Soixante autres millions ont été tués en Chine Rouge. Il y a des degrés dans le péché et la criminalité. Le comble du crime vient du comble de l’influence satanique sur le fondateur du communisme moderne. Les péchés du marxisme, comme ceux du nazisme, dépassent la mesure ordinaire. Ils sont démoniaques » (108).
Et il ajoute :
« Selon toute probabilité, les mouvements communistes eux-mêmes sont des organisations dé¬guisées d’un satanisme occulte. Cela expliquerait aussi que toutes les armes politiques, économiques, culturelles et militaires employées pour réduire le communisme se soient jusqu’ici avérées inefficaces », car « les moyens de combattre le satanisme sont spirituels et non d’ordre matériel » (109).
C’est la vérité même. En 1846, lors de son Apparition à la Salette, la Très Sainte Vierge avait an-noncé :
« En 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l’enfer : ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d’une telle manière qu’à moins d’une grâce particulière, ces personnes prendront l’esprit de ces mauvais anges. Plusieurs mai¬sons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d’âmes ».
Cela est maintenant réalisé, hélas ! Or, c’est en 1864 que Lassale mourut, lui qui préconisait une lé-gislation protectrice des travailleurs et une collaboration avec les autres classes. Cette mort ouvrit la voie à Marx, donc à la révolution et au satanisme. C’est en 1864, en effet, qu’eut lieu à Londres la fondation de la Première Internationale ... Depuis lors, la Reine du Ciel ne cesse de dire que l’arme pour vaincre le communisme est la récitation du Rosaire ...
GodWeLife
Le Bilderberger Group fut lancé par l’israélite polonais Joseph Retinger. Il est un autre bras de la pieu¬vre luciférienne. On assure que ce serait dans sa réunion en Savoie quelques mois avant qu’elle ne se produisit, que toute l’affaire des pétroles arabes aurait été décidée ...
On pourrait vraisemblablement le rapprocher d’un autre groupe secret, lui aussi, LA TABLE RON-DE, dont le siège était en Angleterre et qui, le 30 mai 1919, avait jeté les base du COUNCIL ON FO-REIGN RELATIONS, qui, lui, siège à Washington et est un des instruments du Gouvernement Mon-dial et dont le but poursuivi est le triomphe de la révolution. La plupart des hommes politiques influents dans le monde font ou ont fait partie du COUNCIL ON FOREIGN RELATIONS. Le Président Roo¬sevelt notamment qui, avec Churchill, établit en 1941 la CHARTE DE L’ATLANTIQUE, et qui le 2 septembre 1943 partageait le monde en déclarant : « A la Chine l’Extrême-Orient ; le Pacifique aux États-Unis l’Afrique et l’Europe partagées entre l’Angleterre et la Russie.
« L’Organisation des Nations Unies (O.N.U.) est le fruit du Council on Foreign Relations ».
Eisenhower, Kennedy, Nixon en étaient membres comme le plupart des dirigeants américains. Le président en est David Rockefeller, fondateur en 1973 de la Trilatérale. Le mouvement est financé par Ford, Carnegie, Rockefeller, etc. ...
Une autre organisation, fondée en 1921, Le Foreign Policy Association (F.P.A.), Association de Poli-tique Etrangère fusionna en 1950 avec un autre organisme fondé par le Council on Foreign Relations, et demeuré sous sa dépendance, les World Affairs Council (W.A.C.) Comité des Affaires Mondiales. Le World Affairs Council a publié le 24 octobre 1975, sous le signature de Henry Steele Commager, une Déclaration d’Interdépendance adressée au monde entier en vue de l’établissement d’un Gouvernement Mondial, et qui marche la main dans la main avec une autre ramification du Council on Foreign Relations : L’Aspen Institute for Humanistic Studies (Institut Aspen pour les Études concernant l’Humanité) qui, sous l’impulsion de son président, Robert O. Anderson, a obtenu la création en décembre 1974, de la Commission Nationale pour la Défense de l’Interdépendance. Sur trente deux membres de cette Commis¬sion, treize sont affiliés au Council on Foreign Relations, dont le fameux Zbigniew Brzezinski, le grand ami et collaborateur de l’ancien président des Etats-Unis, Jimmy Carter. Tout se tient et s’enchevêtre, toujours dans le même but : le Gouvernement Mondial Luciférien (81).
Revenons au Bilderberger Group dont le rôle est essentiellement politique et international. Parmi ses membres, morts ou vivants, citons entre beaucoup d’autres : Spaak, van Zeeland, Mansholt, en Belgi¬que ; le prince Bernard des Pays-Bas et Joseph Luns, en Hollande ; le duc d’Édimbourg, Wilson chef des Travaillistes comme aussi Heath l’ancien chef des Conservateurs, en Angleterre ; Otto Wolf, en Allema¬gne ; Dean Acheson, Mac Cloy, Walter Lipman, Fulbricht, Robert Murphy, et bien entendu Kissinger, aux États-Unis ; Pompidou, Deferre, Baumqartner, Pierre Dreyfus, Jacques Rueff, Guy Mollet, Mau¬rice Faure, Jacques Baumel, Duchet, Olivier Guichard, Antoine Pinay, Pleven, la Malène, Teitgen, sans oublier Lecanuet, l’écrivain André Maurois, Giscard, pendant sa présidence y aurait eu son représentant : le fils d’une Blum, en France ; Lesage au Canada ; etc. ... le tout coiffé par la haute finance internationale : Rockefeller, Warburg, Kuhn, Loeb, Carnegie, Ford, les représentants des Rothschild, etc. ... Tous noms cités par Pierre Virion (82).
Les derniers avatars du Prince Bernard des Pays-Bas, président du Bilderberger Group, avaient en¬traîné la mise en sommeil momentanée de leur réunion annuelle. Cette réunion a repris à Torquay, en Angleterre, du 21 au 23 avril 1977 et a désigné le remplacement de l’ancien président trop compromet¬tant : Lord Home (Alec Douglas Home), ancien ministre des Affaires Étrangères et Premier Ministre de Grande Bretagne, a été désigné.
Pierre Hofstetter donne le nom de quelques-uns des invités : Henry Kissinger, le chancelier de la République Fédérale Allemande, Helmut Schmid ; le président de la république (française) Valéry Gis¬card d’Estaing ; le ministre des finances, travailliste, Denis Healy, Mme Marguerite Tatcher chef du parti Conservateur anglais ; le millionnaire socialiste Harok Lever, conseiller financier du premier ministre du Royaume Uni Callaghan ; sir Eric Roll, un directeur de la Banque d’Angleterre ; le banquier Sig¬mund Warburg ; le Vice-Chancelier d’Autriche Harnes Androsch ; le ministre canadien de la Santé Marc Lalonde ; le ministre danois de l’Economie Per Haekkerup, le ministre grec des Affaires Étrangè¬res Constantin Savropoulos ; le premier ministre d’Irlande Geir Haligrimson ; le premier ministre de Suède Thorbjorn Faildin ; le ministre italien de l’Intérieur Francisco Corriga ; et bien entendu le puis¬sant banquier et roi du pétrole David Rockefeller, l’un des principaux animateurs du groupe » (83).
THE TRILATERAL COMMISSION
Sous le titre, Une nouvelle synarchie : la Trilatérale, avec le sous-titre, la génération spontanée en politi¬que, Jacques Bordiot, spécialiste en la matière, écrit :
« Lors du remaniement du cabinet Jacques Chirac, le 12 janvier 1976, dans la liste des nouveaux ministres, figurait un certain M. Raymond Barre que, dans son numéro de février, Lectures Françaises, présentait en ces termes : « Professeur d’Economie politique placé au Commerce Extérieur on ne sait trop pourquoi ».
« Aussi, lorsque le 27 août, après la démission de M. Chirac, le Président Valéry Giscard d’Estaing confia à ce même M. Barre le double portefeuille de Premier Ministre, de Ministre de l’Economie et des Finances, les commentateurs politiques ne surent pas dissimuler leur étonnement, pour ne pas dire leur stupeur ».
« D’où sortait-il, celui là ? Si encore il avait fait partie des anonymes de l’U.D.F., de l’un des corpus¬cules d’Indépendants, voire de quelque gauche modérée ou de la comateuse S.F.I.O passe encore ! On eut admis un vrai socialiste du P.S ...
« Mais non : le nouveau chef du gouvernement ne se targuait-il pas de n’appartenir à aucun parti ? Autrement dit politiquement parlant, rien, zéro, du vent ...
« A peine commençait-on à s’habituer à cette anomalie qu’un deuxième événement du même ordre venait secouer le monde politique.
« Le 4 novembre 1976, M. Jimmy Carter, 52 ans, démocrate du Sud, était élu président des Etats-Unis par 51% des suffrages, alors que son principal adversaire, le républicain Gérald Ford, président sortant n’en recueillait que 49%.
« Pourtant, lorsque le 12 décembre 1974, M. Carter avait posé sa candidature à l’investiture dé-mocrate pour les élections présidentielles, toute la presse l’avait aussitôt baptisé : Jimmy who ? (Jimmy qui ?).
« ... Alors, la victoire de M. Jimmy Carter ? Génération spontanée, vous dit-on ... Et si, dans les deux cas, cette inconsistance politique n’était qu’une façade, un trompe-l’oeil ? » (84)
Ce n’était, en effet, dans l’un comme dans l’autre cas, qu’un trompe-l’oeil. Au début de 1976, lors d’une conférence qu’il fit en Belgique, l’auteur de cette étude reçut de Washington un document impor¬tant concernant THE TRILATERAL COMMISSION, document qui annonçait les deux événements : à savoir le prochain Premier Ministre serait M. Raymond Barre en France et qu’aux Etats-Unis le pro¬chain président serait M. Jimmy Carter parce que telle était la volonté de la Commission Trilatérale. Afin de prendre date, il montra le document à de nombreux amis. Force fut bien de constater quelques mois après que l’auteur de la note était bien renseigné.
Depuis, l’ancien grand-Maître du Grand Orient de France est entré dans le Ministère Barre et deux membres de la Trilatérale ont surgi à des postes-clé : Jean-Paul Lecat a été Ministre de la Culture et de la Communication — poste capital pour diriger et manoeuvrer l’opinion publique — et M. Crépeau, marxisant est devenu le chef du Parti radical de gauche et depuis l’arrivée au pouvoir de Mitterrand et des socialo-communistes, ministre ... ...
Qu’est-ce donc que la Trilatérale ?
C’est la dernière en date des organisations du Pouvoir occulte. Dans son bulletin intérieur, Trialogue, la Trilatérale se présente : « La Trilatérale Commission fut fondée en 1973 par de simples civils de l’Europe Occidentale, du Japon et de l’Amérique du Nord pour propager l’idée d’une plus étroite coopération entre ces trois régions du monde sur leurs problèmes communs. Elle cherche à améliorer la compréhension de ces problèmes par l’opinion publique, et à créer dans ces régions l’habitude et l’expérience du travail en commun » (85).
Que cela recouvre-t-il en réalité ?
Un hebdomadaire italien Europa, prétend que les fondateurs de ce groupement, David Rockefeller et Brzezinsky n’auraient lancé la Trilatérale que pour en faire « le groupe de puissances intellectuelles et financières le plus fort que le monde ait jamais connu ».
C’est vraisemblable. En attendant de diriger totalement la politique du monde, elle fait pénétrer dans les sphères dirigeantes les idées suivantes :
« Les managers précèdent les politiques. Par leurs fonctions et leur approche réaliste, les dirigeants du secteur privé, industriels, universitaires, financiers, sont susceptibles d’élaborer des solutions prati¬ques aux problèmes mondiaux, puis de les proposer aux gouvernements.
« La concertation entre les trois grandes régions à la fois démocratiques et industrialisées (Europe, Japon, Amérique du Nord) peut seule favoriser l’établissement d’un ordre économique mondial ».
Le but est indiqué. C’est l’aveu !
Aussi, depuis sa fondation, la Commission Trilatérale, a-t-elle étudié les questions suivantes : système monétaire, coopération internationale, dialogue Nord-Sud, commerce mondial, énergie, fonctionne¬ment de la démocratie, etc. ... études publiées par les Documents du Triangle.
François Lebrette précise :
« Les critiques les plus vives furent toutefois réservées au Triangle Paper (rapport consacré à la dé¬mocratie). Rédigé sous la direction de M. Samuel Huntington, professeur à l’Université Harvard, ce do¬cument présente la première réflexion globale sur les dangers mis en lumière par l’affaire du Watergate. La plus originale aussi.
« Alors que la plupart des études américaines insistent sur l’aspect moral de l’affaire, M.Huntington s’intéresse à la vulnérabilité du pouvoir ainsi révélée. Sa conclusion : « L’extension indéfinie de la démo¬cratie n’est pas désirable. Certains problèmes de gouvernement surgissent d’un excès de démocratie.
« Parmi les solutions retenues, une, au moins, va à l’encontre de la tradition américaine : le droit au secret : « Un gouvernement doit avoir le droit et les moyens de retenir l’information » (86).
Très justement, J. Bordiot constate : « Le véritable objet de la Trilatérale était d’exercer une pression politique concertée sur les gouvernements des nations industrialisées pour les amener à se soumettre à leur stratégie globale. « Ou ces mots ne veulent rien dire, ou le but de la Trilatérale est l’instauration du gouvernement mondial ». (C’est nous qui soulignons)
Et il continue :
« Pour M. Valéry Giscard d’Estaing, déjà membre du Bilderberger Group alors qu’il était Ministre de l’Economie et des Finances du Président Pompidou, on a souligné qu’il s’en était retiré dès son acces¬sion à l’Elysée. Mais en oubliant soigneusement d’indiquer qu’il était régulièrement représenté à cha¬que réunion du Groupe par son ancien collaborateur aux Finances, Lionel Stoleru, Ministre et conseiller du Président de la République. Réunions auxquelles M. Stoleru rencontrait non moins régulièrement les énarques Jacques Attali et Pierre Uri, représentants tous les deux de M. François Mitterand. Hé ! Oui ... . C’est cela le capital-socialisme ... »
Il cite François Lebrette, qui écrivait le 10 janvier 1977, La Commission Trilatérale ... fut ainsi définie par M. Jacques Chirac, en décembre 1975 :
« C’est ce que nous appelons en France une société de pensée. Elle est l’une des plus éminentes. « C’est à l’occasion d’un dîner offert par M. Chirac, alors Premier Ministre, à la Commission Trilatérale réunie à Paris pour discuter d’une gestion internationale des matières premières ».
Puis, il cite à nouveau M. Lebrette qui précisait le 9 mai 1977 :
« Le ... grand succès de la Trilatérale fut l’instauration de rencontres régulières entre les dirigeants des principales puissances industrielles d’Europe, du Japon, et d’Amérique du Nord. L’initiative en fut prise par M. Giscard d’Estaing dès son arrivée à l’Elysée. Elle se concrétisait en novembre 1975 par le sommet de Rambouillet, minutieusement préparé par un ministre encore obscur, M. Raymond Barre, lui aussi membre de la Trilatérale. Et l’autre semaine, le Premier Ministre français réunissait discrète¬ment à Versailles les principaux responsables économiques et financiers des Etats-Unis, d’Allemagne Fédérale, de Grande Bretagne et du Japon. Pour préparer le sommet de Londres, comme l’avait fait quelques jours auparavant une autre société internationale discrète : le Groupe Bilderberger, réuni à Torquay encore en Grande Bretagne.
« La France joue ainsi le rôle de courroie de transmission, tant pour la Trilatérale que pour le Bilder¬berger, par le truchement du président de la République et du Premier Ministre ».
Et Jacques Bordiot conclut :
« Pouvait-il ignorer que MM. Henry Cabot-Lobge, le Général Marshall, Milton Katz, Averell Har-riman, George S. Franklin appartiennent au Council on Foreign Relations (C.F.R.) Pouvait-il ignorer que M. Henry Kissinger, ex-secrétaire d’État (Ministre des Affaires Étrangères des États-Unis), membre influent du C.F.R. et du Bilderberger Croup, venait d’adhérer à la Trilatérale et figurait parmi les mem¬bres de sa Commission exécutive ?
« Certes pas. Sans la Trilatérale, il ne serait rien, et il le sait. C’est elle qui l’a imposé à la France, pour surveiller le Président Valéry Giscard d’Estaing, jugé inconsistant, et l’obliger à se plier aux usa¬ges de la haute finance internationale ». (C’est nous qui soulignons) (87).
Revenons un peu en arrière et faisons un peu d’histoire :
Lors des Traités qui avaient mis fin à la première conflagration mondiale, Jacques Bainville avait déploré que l’Economique l’ait emporté sur le Politique. C’était, en effet, ouvrir la porte au Pouvoir occulte et à la Finance Internationale entre les mains des Juifs. Au livre de l’anglais Keynes, Les consé¬quences économiques de la paix, Bainville avait répliqué par Les Conséquences politiques de la paix, et Ch. Maurras par son Mauvais traité. Fatalement, cela devait aboutir progressivement à la réalisation des prin¬cipes énoncés par la Rose-Croix et Comenius (1592-1670) c’est-à-dire à tendre à l’unité politique et religieuse par la destruction de tous les Etats Nationaux, de toutes les indépendances nationales, qui assurait le triomphe du plan d’asservissement du monde au roi d’Israël ; plan qui, depuis des siècles, n’a pas varié.
En 1882, Saint-Yves d’Alveydre — l’un des hauts initiés — préconisait cette antériorité de l’Econo-mie sur la Politique et déclarait : « La vie économique vous donnera la base. Mais sur cette base vous devez élever le Conseil des Etats Européens ».
De par la volonté de Valéry Giscard d’Estaing — qui ambitionnait alors de devenir le président de la Communauté Européenne et l’on sait que son ambition est insatiable — le parlement français a ratifié l’élection au suffrage universel du Parlement Européen, et Raymond Barre — en plat valet qu’il est — a déclaré : « Nous n’avons pas à avoir peur de la puissance du suffrage universel, ni pour notre peuple, ni pour l’Europe ».
Déclaration qui ne surprendra pas puisque la Trilatérale dont il est un membre téléguidé, ne l’a fait ar¬river au pouvoir en France que pour achever sa domination ... En effet, cette ratification avance singuliè¬rement la réalisation du plan juif d’asservissement du monde — plan préconisé bien entendu tant par la plupart des sectes et par la franc-maçonnerie que par le Pacte Synarchique, la construction de l’Europe devant assurer ensuite rapidement la domination du Pouvoir occulte et du roi d’Israël sur le monde.
Sont membres de la Commission Trilatérale environ deux cents personnalités citons entre autres :
EN AMERIQUE :
L’ex-président Carter, l’ex-vice président Walter Mondale, les anciens ministres Michael Blumenthal, Harold Brown, Cyrus Vance, Zbigniev Brzezinski et dix huit membres qui occupent des postes-clés.
EN FRANCE :
Raymond Barre, Jacques Chirac, Edmond de Rothschild, Paul Delouvrier, président du Conseil d’Administration de l’Electricité et du Gaz de France, Pierre Estève (Union des Assurances de Paris), Pierre Jouvent (Péchiney-Ugine- Kulmann), Michel Gaudet (Fédération des Assurances), Roger Martin (Saint Gobain-Pont à Mousson), Michel Debatisse (Exploitants Agricoles), René Bonety (Confédéra¬tion Française des Travailleurs), Jacques de Fouchier (Banque de Paris et des Pays-Bas), Georges Ber¬tholin (Directeur Général honoraire de la Communauté Européenne et président de la Trilatérale Com¬mission pour l’Europe) etc. ... et président de l’Electricité et du gaz de France ...
On pourrait également citer les plus hautes personnalités étrangères en Allemagne, Italie, Angle¬terre, etc. ... En un mot les sommités politiques, les présidents des principales banques mondiales, les dirigeants des plus puissants groupes industriels, comme aussi de certains syndicats ... Ainsi le Pouvoir occulte tient à peu près tout dans sa main (88). C’est la réalisation du plan de la Trilatérale qui déclare vouloir « créer un ordre international qui ne soit en aucun cas anti-communiste ».
De fait, son action a — présentement — pour effet voulu de procurer à l’Union Soviétique et à ses satellites des usines clés en main (même pour des fabrications militaires) sans que jamais les Soviets les paient. On est arrivé ainsi à leur procurer de telles avances financières qu’on déclare maintenant impossible d’entraver la détente Est-Ouest quoique fasse l’U.R.S.S., sans quoi on se trouverait devant un Empire qui par rétorsion, risquerait de ne pas payer ses dettes ... Mais David Rockefeller est reçu à Moscou en ami. Tout cela n’a d’autre but que de préparer la troisième conflagration mondiale ... (89)
Le penseur de la Trilatérale est Brzezensky. Qui est-il donc ? En octobre 1977 les Editions de l’Herne ont publié un ouvrage de cet individu, Illusions dans l’équilibre des Puissances. L’ouvrage a été préfacé par Jean-Pierre Cot (90)
« Zbigniev Brzezenski né à Varsovie en 1928, Professeur à l’Université de Columbia ... Depuis 1973 à 1976, Directeur Général de la très influente Commission Trilatérale à laquelle appartiennent Jimmy Carter ainsi que dix sept membres du nouveau gouvernement américain ».
Dans sa préface Jean-Pierre Cot écrit :
« Zbig Brzezenski exerce une influence essentielle. Sa position institutionnelle le place au coeur de l’ensemble de l’équipe Carter. Conseiller spécial du Président pour les affaires de sécurité, il voit Carter tous les jours. Cette permanence dans l’accès marque d’une empreinte particulière ses conseils. Il prési¬de le Conseil National de Sécurité (N.S.C.), organisme de conception et de coordination de la politique de défense et diplomatie ... (p. 17)
« Brzezenski a été, en quelque sorte, le tuteur de Jimmy Carter. Il a fait faire ses premiers pas interna¬tionaux à l’ancien gouverneur de Georgie et n’a cessé de le conseiller depuis, élaborant ainsi avec lui ce qui allait devenir la politique étrangère du président Carter » (p. 18).
Et Cot explique le rôle de la Trilatérale : « Le cadre de cet apprentissage : la Commission Trilatérale. L’institution créée par le banquier David Rockefeller et dirigée par Brzezenski regroupe des élites diri¬geantes de l’Amérique, de l’Europe et du Japon, hommes d’affaires, ministres ou penseurs. Organisée pour resserrer les liens entre les puissances industrielles du monde occidental, la Trilatérale a tissé un réseau de relations personnelles entre les acteurs principaux du champ politique et économique. Le dessein avoué est sans conteste conservateur : maintenir la position prééminente de l’Occident capi¬taliste et industrialisé dans le monde. Mais la ligne de défense est établie avec souplesse, abandonnant l’accessoire pour résister sur l’essentiel » (p. 18)
Quelle est donc cette ligne de défense à la fois souple et résistante ? Pierre de Villemarest va le préci¬ser, avec son habituelle lucidité : « Il fallait faire comprendre à un certain capitalisme anglo-américain qu’une dose de socialisme imposée d’en-haut éviterait la Révolution dans la rue : que l’alliance du Ca¬pital international et du socialisme international ne gênerait ni l’un ni l’autre » (91).
Jean-Pierre Cot continue : « La Trilatérale a forgé sans conteste l’unité de vues de l’administration américaine en matière étrangère. Carter, Mondale, Vence Blumenthal et Young en faisaient partie avec quelques autres, assistant régulièrement à des réunions d’analyse sur l’état des relations internationales. Il en est sorti une équipe soudée par une perspective commune et largement inspirée par les concep¬tions de Brzezenski. (p. 18)
Et il précise : « Brzezenski propose d’institutionnaliser la Commission Trilatérale au niveau des gouvernements, en encourageant l’Europe à s’exprimer d’une seule voix, à égalité avec l’Amérique et le Japon ». (p. 26)
Notons également que Brzezenski avait placé auprès de Carter, comme Chef de l’Office des Affaires Mondiales du Conseil de Sécurité Nationale des Etats-Unis Jessica Tuchman, dont le rôle était d’ins¬pirer les idées du président américain. Juive comme il se doit et spécialiste des Droits de l’Homme, c’est elle qui a déclenché la campagne de Carter sur les droits humains ; mais, malgré les apparences, cette campagne n’est aucunement dirigée contre les Soviets, Brzezenski ne le tolèrerait pas (92), mais unique¬ment en vue de déclencher la troisième conflagration mondiale dont l’un des principaux buts est le destruction totale et définitive de tous les nationalismes, ceux de l’Est comme la Yougo-Slavie, comme ceux de l’Ouest, afin de parvenir au Gouvernement mondial du roi d’Israël.
Ajoutons que le 6 février 1977, le Washington Post, dans un article sur les antécédents de Brzezenski, notait qu’il avait pour ami intime et très ancien Henry Rosovsky, doyen de la Faculté des Arts et Scien ces de l’Université Harvard, mais qui est aussi le vice-président du Congrès Américain Juif, organisation par excellence du sionisme ... Or récemment ce Congrès préconisait l’établissement d’une Chambre Haute Juive qui serait composée des chefs des Communautés juives du monde entier. Ne serait-ce pas le signal que l’assaut final du Pouvoir Juif est imminent en vue d’établir ce Gouvernement mondial dic¬tatorial sous le pouvoir absolu du roi d’Israël ... et de sa Chambre Haute ? ...
Précisément, par la même voie des informations de la plus haute importance nous arrivaient d’Amé¬rique indiquant que le Pouvoir occulte, aurait décidé de déclencher rapidement la troisième conflagra¬tion mondiale afin d’asseoir définitivement cette domination.
Depuis, les événements d’Iran et la trahison de Carter à l’égard du Schah et l’arrivée au pouvoir d’un autre inconnu, l’ayatollah Khomeini — scandaleusement protégé par le gouvernement trilatéraliste français, alors que le Shah venait de signer avec la France des accords économiques fort intéressants, immédiatement dénoncés par le chef chiite — ce qui va augmenter encore la crise du chômage dans notre pays, preuve supplémentaire, s’il en était besoin, que nous assistons à une immense et tragique pièce montée ...
Deux conséquences mondiales très graves en sont la conséquence :
1° — la suppression à plus ou moins brève échéance des livraisons de pétrole à l’Occident, livraisons qui vont rapidement être dirigées vers la Russie soviétique et augmenter ainsi ses possibilités de ravitaillement en vue du conflit international qui va se déclencher ; suppression tragique pour les Puissances Occidentales car elles seront pratiquement dans l’impossibilité de se défendre ...
2° — le démantèlement du dernier bastion de l’Occident au Proche-Orient au profit encore et tou¬jours des Soviets ... qui vont même très vraisemblablement profiter de la destruction de l’armée du Shah pour saisir les secrets les plus sophistiqués de l’armement américain ... et aussi pour avancer une pointe vers la Mer d’Oman et l’Océan Indien ...
Enfin, à propos des derniers événements du Liban et de l’action israélienne dans ce pays, il est un fait qui ne doit pas être oublié : les chefs juifs internationaux ont toujours été réticents à l’égard de l’État d’Israël, car cet État constitue plutôt une gêne pour le règne juif sur le monde, car ce règne — dans leur pensée — ne doit pas être limité à un petit pays, mais étendu à l’univers entier ; d’où l’actuelle majorité hostile à l’état d’Israël des juifs américains ...
Mais, si vous suggérez que la trahison pourrait bien être installée un peu partout, on vous traite de fou ...
Non sans raison, Jacques Boislevant se demandait, alors que la communauté économique n’avait pu encore être instituée : « Pourquoi attendre encore ? Ne faut-il pas franchir l’étape politique et pourquoi pas, celle ultime du Conseil des Églises Nationales ? » (93)
Que les catholiques, et aussi tous les chrétiens, n’oublient jamais cette déclaration de Brzezenski en haine de l’Église :
« Le marxisme est une victoire de la raison sur la foi ... Il représente une étape vitale et créatrice dans le mûrissement de la vision universaliste de l’homme » (94).
AmnestyInternational
Amnesty International a été fondée en 1961 par Sean Mac Bride et Peter Benenson avec comme but avoué d’être un « Mouvement impartial pour la défense des droits de l’homme et la libération des pri¬sonniers d’opinion » ... « qui n’ont pas fait usage de violence ». Elle assure avoir deux cent cinquante mille membres et des groupes d’action dans cent trente quatre pays. En outre « elle est aussi une puis¬sance internationale politiquement reconnue. Elle a statut consultatif auprès de l’Organisation des Na¬tions Unies, de l’Unesco, du Conseil de l’Europe ; statut coopératif avec la Commission inter- américaine des droits de l’homme, de l’Organisation des Etats Américains ; et statut d’observateur auprès de l’Organi¬sation pour l’Unité Africaine, etc. ... . sans oublier l’appui enthousiaste des Églises ...
Hugues Kéraly écrit très justement :
« Les dirigeants d’Amnesty International ont bâti un empire de MENSONGE sur la forêt des bonnes volontés. Ils exploitent la mission du secours aux personnes dans un dessein politique déterminé où la charité des autres sert de couverture à leurs multiples dextérités ... (C’est nous qui avons souligné mais l’auteur continue en gros caractères
« Les militants d’Amnesty International restent en effet la proie du mensonge à peu près constant, par omission, sélection ou invention des faits, selon qu’il s’agit de voiler dans le Monde la réalité du communisme ou de jeter l’opprobre sur les nations capables de lui résister ».
« Amnesty International n’a cessé depuis sa fondation de figurer le monde à l’envers de ce qui s’y passe en réalité ; elle entend nous faire croire que l’Ouest, de la Turquie à l’Amérique Latine, abriterait la pa¬trie du GOULAG, des bourreaux, des génocides, et l’Est celle des dissidents. Quand c’est l’affirmation exactement contraire qui pourrait contenir aujourd’hui une part de vérité. (Voir Europe de l’Est : Le communisme amnistié) » (95).
Quoi d’étonnant qu’Amnesty International fasse le jeu des Soviets et du communisme et falsifie les reportages concernant les pays susceptibles de gêner la Russie Soviétique et atténue systématiquement toutes les persécutions, les crimes et les génocides perpétrés par les Soviets et ses satellites puisque son fondateur est Prix Lénine de la Paix et que depuis 1979 elle a eu pendant plusieurs années un leader communiste australien, Derek Roebuck, comme l’un des principaux chefs de son organisation à Londres, notamment pour diriger ses enquêtes ...
La vérité est que les enquêtes impartiales effectuées par des chercheurs sérieux1 et ce, dans les diffé¬rents continents ont abouti souvent à la découverte de prétendus assassinés ou disparus qui avaient fui leur pays et se trouvaient parmi les brigades rouges terroristes et les assassins passés à l’étrange ... Mais le communisme n’est-il pas l’incarnation du mensonge pour parvenir à son but suprême. Lénine n’a-t-il pas fait un devoir de mentir aux militants communistes dès l’instant que l’intérêt du parti peut y trou¬ver un intérêt ... ?
MARXISME : SOCIALISME & COMMUNISME
Tout le mouvement marxiste — communisme aussi bien que socialisme — a pour idole Karl Marx (1817 † 1883). Or, le but réel de Kart Marx n’était aucunement la libération du prolétariat, du monde ouvrier, du peuple. Contrairement à ce que voudraient faire croire ceux qui se disent ses disciples, Il s’en moquait totalement ; il en voulait, au contraire la destruction en haine de Dieu par son asservissement à Lucifer (96). A vingt ans, en effet, il s’était donné à Lucifer et assistait à des messes noires. Il voulait entraîner l’hu¬manité dans l’abîme des ténèbres de l’enfer. Il écrit :
« S’il y a quelque chose capable de détruire, je m’y jetterai à corps perdu, quitte à mener le monde à la ruine. Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l’abîme. Je le fracasserai en mille morceaux à force de malédiction ».
A trente ans, il est lié avec les révolutionnaires les plus acharnés de tous les pays : Mazzini, Ruffini, Dubousky, Zalesky, Weitling, etc. ... Ils se réunissaient à Rome, derrière la Langara :
« Là était l’autel de Satan qui s’élevait en rival auprès des Temples du Tout-Puissant ; là le démon était adoré comme divinité suprême ; là il recevait les encens et les prières ; là on célébrait des mystères obscènes ; là on lui offrait des sacrifices monstrueux » (97).
Dans son excellent ouvrage, Le pouvoir occulte fourrier du communisme, Jacques Bordiot dans son chapitre, Les origines capitalistes du marxisme, écrit :
« Karl Heinrich (Herschel) Marx est né en 1818 à Trèves, en Rhénanie. Son père, fils de Rabbin, riche avocat converti au protestantisme « pour des raisons probablement plus politiques que religieu¬ses » était devenu Conseiller à la Cour. Sa mère, née Henriette Pressburg, était, elle aussi, fille de rabbin. Le milieu où s’écoula la jeunesse de Karl Marx, écrit Elie Halévy, était la haute bourgeoisie liée à l’aristo¬cratie ». Il épousa « Jenny von Westphalen, dont le grand père avait été ministre du duc de Brunswick pendant la Guerre de Sept Ans, et dont la grand’mère anglaise était apparentée aux ducs d’Argyll » (98).
Dans son Invocation d’un désespéré, il écrit encore :
« Il ne me reste plus désormais que la vengeance,
« Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
« Son sommet sera glacial et gigantesque.
« Il aura pour rempart la terreur de la superstition
« Pour maréchal, la plus sombre douleur ...
En haine du Christ, il écrit Oulanem, qui est l’anagramme d’Emmanuel. Et dans Le Menestrel, il re¬connaît :
« Les vapeurs infernales me montent au cerveau
« Et le remplissent jusqu’à ce que je devienne fou,
« Et que mon coeur soit complètement changé
« Regarde cette épée : le Prince des ténèbres me l’a vendue ».
Épée enchantée qui assure le succès et qu’il a achetée « au prix d’un pacte signé du sang pris à son poignet, selon lequel son âme après sa mort appartiendra à Satan », précise le Pasteur Wurmbrand (p. 16 de l’étude ci-dessus citée).
Dans La Vierge pâle :
« Ainsi j’ai perdu le ciel, je le sais très bien.
« Mon âme naguère fidèle à Dieu a été marquée pour l’enfer ».
C’est avec des lucifériens qu’il fonde la Première Internationale, avec Bakounine qui écrit de son côté :
« Dans cette révolution, il nous faudra réveiller le diable chez le peuple et exciter en lui les passions les plus viles » (99).
Et encore :
« Satan est le premier libre-penseur et sauveur de ce monde. Il libère Adam et imprime sur son front le sceau de l’humanité et de la liberté en faisant désobéir ».
Proudhon — encore à ce moment son ami — « adorait Satan ».
Le communard Flourens, lors de l’insurrection de 1871 à Paris, déclare :
« Notre ennemi, c’est Dieu. La haine de Dieu est le commencement de la sagesse. » (100)
Mazzini, qui connaissait bien Marx, reconnaît :
« Il a l’esprit destructeur et son coeur déborde plus de haine que d’amour pour les hommes. » (101).Avec raison, Lénine déclarait :
« Un demi siècle après lui, pas un seul marxiste ne peut se vanter d’avoir vraiment compris Marx. » (102)
Après une étude approfondie, le Pasteur Wurmbrand écrit :
« N’oublions pas que l’idéal de Marx était de descendre en personne aux abîmes de l’enfer et d’y entraîner avec lui l’humanité entière. « Pour Marx, le socialisme était uniquement un prétexte. Son véritable objectif était le plan diabolique d’anéantir l’humanité pour toujours. » (103)
On savait que les fondateurs du communisme — comme aussi du nazisme — avaient été en rela¬tions suivies avec des lucifériens notoires. (104)
« Marx a reçu de leur part la mission avouée de mettre par terre toute religion et toute morale. » (105)
Le monde ignore que Staline avait choisi, dans ses premiers écrits le pseudonyme de Demonoshvili, c’est à dire l’Émule du démon, et Beshvili, le Démoniaque (106).
Après avoir cité ces faits très caractéristiques, le Pasteur Wurmbrand ajoute :
« Si l’on veut en savoir davantage sur les rapports du marxisme et des sciences occultes, on peut se référer à l’ouvrage de Cheila Ostrander et Lynn Chrôder, Psychic discoveries behind the Iron Curtain, (Englowood Cliffs, N. J., Prenties Hall, 1970). On y découvrira avec stupéfaction que les Pays de l’Est communiste sont beaucoup plus avancés que ceux de l’Occident dans la recherche de toutes les forces occultes manoeuvrées par Satan (107).
Et, très judicieusement, il constate :
« Les crimes du communisme sont sans précédent. Quel autre système politique pourrait se vanter d’avoir mis à mort soixante millions d’hommes en un demi siècle, comme c’est le cas pour les Soviets. (Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag) Soixante autres millions ont été tués en Chine Rouge. Il y a des degrés dans le péché et la criminalité. Le comble du crime vient du comble de l’influence satanique sur le fondateur du communisme moderne. Les péchés du marxisme, comme ceux du nazisme, dépassent la mesure ordinaire. Ils sont démoniaques » (108).
Et il ajoute :
« Selon toute probabilité, les mouvements communistes eux-mêmes sont des organisations dé¬guisées d’un satanisme occulte. Cela expliquerait aussi que toutes les armes politiques, économiques, culturelles et militaires employées pour réduire le communisme se soient jusqu’ici avérées inefficaces », car « les moyens de combattre le satanisme sont spirituels et non d’ordre matériel » (109).
C’est la vérité même. En 1846, lors de son Apparition à la Salette, la Très Sainte Vierge avait an-noncé :
« En 1864, Lucifer avec un grand nombre de démons seront détachés de l’enfer : ils aboliront la foi peu à peu et même dans les personnes consacrées à Dieu ; ils les aveugleront d’une telle manière qu’à moins d’une grâce particulière, ces personnes prendront l’esprit de ces mauvais anges. Plusieurs mai¬sons religieuses perdront entièrement la foi et perdront beaucoup d’âmes ».
Cela est maintenant réalisé, hélas ! Or, c’est en 1864 que Lassale mourut, lui qui préconisait une lé-gislation protectrice des travailleurs et une collaboration avec les autres classes. Cette mort ouvrit la voie à Marx, donc à la révolution et au satanisme. C’est en 1864, en effet, qu’eut lieu à Londres la fondation de la Première Internationale ... Depuis lors, la Reine du Ciel ne cesse de dire que l’arme pour vaincre le communisme est la récitation du Rosaire ...
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