Promenade dans le Paysage de Roger Dommergue Polacco de Menasce,
où il prophétise que les pouvoirs en place entrent dans la mode du TOUT SÉCURITAIRE : ou PROTECTION SUR TOUT, à coups de lois et autres joyeusetés de gardiennage du désordre. Cela remonte non pas à la seconde guerre mondiale, mais à la première, avec « l’entrée en piste » des banquiers et l’écroulement de nombreuses royautés, avec les problèmes du Traité de Versailles. (Voir à la fin de l’article une vidéo sous-titré en français et complémentaire de cette mode du tout sécuritaire). Le temps est loin où l’on pouvait glisser en toute confiance la clef de sa porte sous le paillasson.
LES MILLÉNAIRES DE LA BLESSURE DE VÉRITÉ
La liberté de toutes les expressions, sans exception aucune comme le préconise Voltaire et ses admirateurs, y compris et surtout la liberté d’expression de ceux dont on ne partage pas l’avis. De plus, l’histoire doit être écrite par les Historiens et pas par des Politiciens, dans une « démocratie » qui se respecte vraiment, si l’on veut prétendre être en pays de libre expression et de droits de l’Homme...
« La liberté d’expression démocratique inscrite dans les droits de l’homme, n’est valable que si ce que l’on dit plaît aux Juifs. Dans le cas contraire des juges asservis vous ruineront ». Roger Dommergue P.M. J'ajoute qu'il est toujours question d'argent là-dedans ! Non pas celui de l'accusé, mais de celui du plaignant.
Dès demain, vous n’aurez plus qu’Internet pour vous défendre, et crier tout haut votre innocence. Tout est infiltré...
Quelques « engins de mort » fabriqués par la finance internationale et relevé dans le livre de Roger Dommergue Polacco de Menasce : J’ai mal de la Terre(1). Encore merci Monsieur Dommergue, et merci à Tristan.
Révolution de 1789 par les riches bourgeois (la monarchie enjuivée) ayant pris le pouvoir, et qui font la révolution, pour y mettre la leur : celle de l’argent et de la toute puissante finance.
« Un aliment donné sans amour détruit soi-même et les autres. Un travail fait sans amour détruit soi-même et les autres. Sans l’amour l’intellect détruit tout ».
Je suis comme Tristan... et Jean Coulonval, et certains passages de R. Dommergue me font penser à mon papa émigré de Russie, suite à la prise de pouvoir par les bolcheviks juifs aidés de leurs banquiers juifs. D’autre part le ton de R. Dommergue est aussi fort et aussi original que celui de Coulonval. Je rappel ici que Roger Dommergue est de famille juive, c’est-à-dire ceux qui professent la foi de Moïse. Dommergue est seul et prophétique, comme l’était Jean Coulonval. L’un est Juif et de famille très riche, et l’autre est mystique et très pauvre.
À propos de Tristan :
« Ses camarades le persécutaient parce qu’il ne savait pas se défendre. Il avait de longues petites mains blanches aux articulations fragiles, ses poignets ne lui permettaient pas de porter un coup et puis il n’en avait jamais ressenti le besoin. Ce n’était pas le manque de courage moral, mais il ne voyait pas pourquoi et puis il savait que ses muscles et ses nerfs n’avaient aucune chance de vaincre dans des combats dont il ne distinguait pas la finalité. Le courage physique brutal lui était difficile. Le contact physique masculin lui était une répulsion. Aujourd’hui encore il pouvait imaginer s’opposer à l’épée, mais pas avec des poings ».
« Mais depuis Tristan avait compris. Tout cela a si peu d’importance. On n’apprenait rien à l’école, rien qui pût apprendre à être. Les premiers de classe rentraient à polytechnique ou à Normale Supérieure pour ne plus jamais en sortir. Ils ne faisaient jamais un pas vers la compréhension profonde de l’homme. Ils ne sont jamais avides d’absolu, impatients d’infini. Les plus grands esprits ont toujours été de médiocres écoliers.
Cela est facile à comprendre : Une éducation standard, jusqu’à vingt ou vingt-cinq ans investit la totalité du psychisme qui est alors mobilisé intégralement et stérilisé pour la maturation d’une mentalité originale qui, par une méditation personnelle se dirigerait vers la découverte géniale.
C’est pourquoi l’instruction doit être prudente, ne jamais être masturbatrice comme l’est par exemple la déformation vers l’agrégation qui fabrique des êtres standards. Shakespeare connaissait « peu de grec et moins de latin ». Le bulletin scolaire de Chopin, ce génie inégalable, portait cette annotation : « Elève absolument impossible mais génial ».
« Quoiqu’il en soit si vous rencontrez un jour un homme intelligent à l’université, dites-vous bien que ce ne sera pas du fait de son agrégation, mais malgré elle, et parce qu’il aura adhéré à la Franc-maçonnerie.
Le problème du jour est d’être à moitié ignoble ou de ne pas être. En 1984 il faudra être radicalement ignoble car tous les critères officiels seront pourrisseurs et toutes les valeurs seront inversées ».
« Le français le crispait (il s’agit de Tristan), l’explication de texte et la dissertation l’irritaient suprêmement. L’universitaire c’est la faillite de l’essentiel, le triomphe du minuscule, la cécité devant l’aveuglant. Il n’y a rien d’étonnant à ce que les agrégés deviennent massivement les apologistes et les disciples d’une idéologie qui a massacré deux cent millions d’êtres humains. A ce degré de réductionnisme toutes les folies sont possibles pourvu qu’elles soient officielles et à la mode ».
« Les gens heureux sont ceux qui ne ressentent rien et qui ne pensent pas car aller au fond des choses, c’est aller jusqu’à la souffrance. Plus l’être se rapproche du chou, plus il est heureux car il ne souffre pas. Un chou raisonneur dans un centimètre cube de mental est heureux. L’humanité est composée de choux raisonneurs : On en fait ce qu’on veut avec l’école, la radio, la télévision, une nourriture carencée et la vaccination systématique. On les dés-éduque, on les abêtit, on les massacre et ils en redemandent ».
« Des institutions crasseuses d’Eure et Loir, religieuses, bien sûr, car Tristan avait été baptisé après sa miraculeuse guérison. Un des directeurs d’une de ces institutions le prit un jour sur ses genoux et lui caressa les parties sexuelles à travers sa culotte. Il ne le fit qu’une fois ».
R. Dommergue parle de la fabrication de la peur par l’Église chrétienne : la peur du diable, et donc de la suppression du Paradis. Donc instituer la peur n’est pas nouveau, les pouvoirs en place ont remplacés le pouvoir vacillant de l’Église chrétienne par la peur du terrorisme, celle des microbes, etc. Cette peur du diable a été exacerbée par l’Église chrétienne au Moyen Age, et est fort bien décrite dans le livre de l’historien Jacques Le Goff : Un autre Moyen Age.
« Des années plus tard, il (Tristan) retrouverait cette psychologie dans Freud qui avait ignoblement sexualisé des sentiments tendres, des dévouements purs, des amours filiaux, aussi étrangers à la sexualité que l’Acropole l’est au crocodile ». (Il manque un pôle du courant chez Freud, comme écrivait Jean Coulonval, dans le sens où Freud ne raisonnait qu’en matérialiste)
« C’est alors que les événements se précipitèrent. Tristan était allé au commissariat de police pour y recevoir l’étoile de David que grand-maman chérie avait héritée.
L’étoile de David à la race Juive ? Cela est d’autant plus étonnant que les races n’existent pas : Il n’existe que les ethnies qui sont le résultat de l’adaptation hormonale à un environnement fixe pendant au moins huit à dix siècles. Or les Juifs ne sont pas une race puisqu’elles n’existent pas, ils ne sont pas une ethnie puisqu’ils n’ont jamais tous séjourné dans un lieu géographique permanent pendant huit à dix siècles.
Ce n’est donc ni dans le concept de race, ni dans la réalité ethnique qu’il fallait trouver la cause du particularisme juif constant dans le temps et l’espace. On ne pouvait pas non plus parler de « façonnage par la religion », car si l’influence de celle-ci n’est pas négligeable, elle n’est pas partie prenante dans ce particularisme. Les Juifs sont somatiquement bien différents d’un pays à l’autre et ils n’ont en commun parfois que certains traits caricaturaux et une mentalité qui n’a pas varié depuis cinq mille ans. Enfin tous les Juifs de la haute bourgeoisie financière se moquaient bien des enseignements de la Thora et ne mettaient jamais les pieds dans une synagogue. Ils ne gardaient de l’enseignement religieux que la pratique de la circoncision(2) au 8ème jour (une distorsion hormono-psychique comme l’appelle R. Dommergue)
Les Juifs commençaient à être gravement persécutés et Hitler qui n’acceptait radicalement pas leur rôle dans le Capitalisme comme dans le Marxisme. Il avait observé la République de Weimar où ils dominaient tout, la révolution bolchevique, horreur absolue et il décida donc de les parquer dans des camps. Il pensait que même les innocents ne tarderaient pas à engendrer d’autres financiers, d’autres Freud, d’autres Marx.
Il pensait donc que l’existence même de la planète et de l’homme étaient en jeu. Cinquante années plus tard l’actualité mondiale de « 1984 » d’Orwell démontrait que la république de Weimar était aux dimensions de la planète avec son chaos pornographique et migratoire de drogue, de chômage, de suicides des tout jeunes, sa boucherie des nouveaux-nés, ses 150 guerres, son gouvernement judéo-américain, et ses financiers du type Warburg, Rothschild, Soros, Hammer et consorts régnant dictatorialement sur la planète et les politiciens zombies de tous les partis ».
« Nous manipulons des crétins qui dirigent les masses que nous avons rendues folles (le financier, dans un film américain). Une des citations de R. Dommergue en tête du chapitre 14 consacré à la fameuse circoncision au 8ème jour de vie, 1er jour de la première puberté qui durera 21 jours ».
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« Satan est circoncis au huitième jour ».
« Satan, donne moi la paix du bonheur léthargique du spectateur des matchs de football. Des millions, des millions, indique-moi comment les gagner »
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« En 5000 ans d’un racisme inconnu jusqu’à eux, ceux qui pratiquent la circoncision au 8ème jour de la vie (cause fondamentale d’un traumatisme hormono-psychique qui rend compte de leur particularisme constant dans le temps et l’espace) ont fondé quatre religions révolutionnaires : Judaïsme, Islamisme, Christianisme, et Marxisme. Cette dernière, mystique athée, est le point culminant final et suicidaire du Judéo‑cartésianisme, terminant lui-même dans les fracas et la fureur le Judéo-Christianisme ».
Chirurgie de l’âme
« Les juifs sont manipulés par la circoncision qui est la seule cause de leur particularisme.
Cette chirurgie hormonale est une chirurgie de l’âme. Perturbant les 21 jours de la première puberté qui commence au 8ème jour, elle va leur constituer une mentalité spéculativo-parasitaire, incoercible. Nous aurons d’un côté les scientistes et les financiers hypophysaires (analytique et donc matérialiste) et de l’autre les exécutants virtuoses et les acteurs, romanciers thyroïdiens. La génitale interne étant lésée, nous aurons une moralité de clan mais une carence en synthèse et en sens moral. Telle est la réalité incontournable qui exclut l’anti-juivisme.
Victimes d’eux-mêmes, hypnotisés par un rite à caractère religieux dont ils ne soupçonnent pas la malfaisance, ils sont tout entier incrustés dans la malédiction.
Les Juifs se considèrent donc différents des autres, et ils le sont. De ce fait il est fatal qu’ils soient toujours et aujourd’hui plus qu’hier, un corps étranger parmi les nations ».
...
« Les 21 jours de la première puberté, qui commence au 8ème jour, est d’une extrême importance.
Il suffirait de supprimer la circoncision juive pour retourner aux valeurs traditionnelles, et voir disparaître le fléau mondial de la spéculation juive. La société ne se construit pas et ne suivit pas sans sens moral et sans synthèse ».
...
Ils entrèrent dans les sociétés non pas comme des hôtes modestes mais comme des conquérants. Ils s’emparent alors du commerce et de la finance, mais pas de façon aussi radicale et absolue qu’en l’an 2000. Ils ont un esprit de supériorité et une avidité pour l’argent qui les pousse à l’usure source épi-centrique de l’anti-juivisme de tous les temps et de tous les lieux. On les accueille d’abord sans préjugés, on leur octroie même des traitements de faveur qui consolident leur position. Leur prestige dans la richesse acquise au détriment de ceux qui les accueillent provoque une profonde aversion, le peuple s’exprime alors en pogroms et en expulsion du pays d’accueil. Telle fut partout et sans exception le cheminement de l’histoire juive. Aujourd’hui la situation est infiniment pire car leur hégémonie (domination) étant totale, les peuples sont réduits à la misère et à la dégénérescence.
Avec la victoire du prolétariat, les gouvernements de la République passeront aisément dans les mains juives. La propriété privée pourra facilement être supprimée par les dirigeants juifs qui administreront la richesse publique. Ainsi s’accompliront les promesses du Talmud selon laquelle les Juifs seront possesseurs des richesses de tous les peuples du monde.
Le socialisme est donc une énorme mystification juive car il ne vise pas à l’élévation du prolétariat et à l’adoucissement des injustices sociales mais à la domination juive mondiale : C’est ce qu’on appelle en l’an 2000 le mondialisme.
Deux paramètres d’apparence antinomique se complètent en fait : D’une part l’argent Juif et d’autre part le socialo-communisme Juif. Les Juifs ont été les fondateurs du capitalisme industriel et financier et collaborent de façon systématique à la centralisation extrême des capitaux qui facilitera leur socialisation. D’un autre côté ils sont les plus farouches adversaires du Capital. Il y a le Juif draineur d’or et le Juif révolutionnaire. Rothschild contre Marx, Marx contre Rothschild, géniale dialectique des frères ennemis qui produit les mouvements de l’histoire. A partir de la révolution juive et non française, ils sont devenus les maîtres de l’argent et par l’argent les maîtres du monde. L’essentiel des maîtres du Bolchevisme sont Juifs y compris Lénine, de mère juive : Trotsky, Sverdloff, Zinovef, Kameneff, Ouritski, Sokolnikoff etc. En Allemagne les dirigeants du spartakisme sont Juifs : Liebknecht, Rose Luxembourg, Kurth Eisner, Eugène Lévine. En France Léon Blum est Juif. En Espagne le maître absolu de Madrid dévastée par la guerre civile est Heinz Neumann, Juif allemand. Contrairement à ce que l’on pourrait croire la mentalité super-capitaliste et la mentalité socialiste ne s’opposent aucunement dans leur essence : Ils se fondent tous les deux sur une conception économico-matérialiste du monde.
La révolution a été fatale pour les premiers d’où la désintégration rapide de l’humanité,
mais a fait la fortune colossale des seconds, fortune artificielle, gigantesque et nécrosante. Le socialisme n’est pas la finalité de la révolution mais un moyen de destruction qui favorise la finance juive internationale. Les Juifs ont une fortune différente de celle des Goyim. Ils ne craignent pas le communisme mais en tirent profit. Ils sont capitalistes modernes c’est‑à‑dire spéculateurs et trafiquants d’argent.
Le prototype est donc le banquier avec son coffre et son portefeuille. Pour le Judaïsme le moyen le plus sûr de parvenir à la domination du monde est le socialo-communisme qui, en enlevant la propriété aux Goyim et en la centralisant dans les mains du parti dirigé par les Juifs, réalisera le projet Talmudique de rendre le Juif roi et prêtre du monde ».
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Pour en revenir à la fameuse étoile de David jaune, Norman G. Finkelstein, cité plus bas, précise dans son livre L’industrie de l’Holocauste, que nous savons que les première victimes politiques ne furent pas les Juifs mais les communistes, et que les premiers à être victimes d’un génocide ne furent pas les Juifs mais les handicapés. Toujours d’après Finkelstein, de nombreux travaux montrent que c’est la mise à mort inventée pour les Allemands handicapés qui fut infligée aux Juifs. Ne pas oublier que les nazis ont exterminé un demi-million de Tziganes, ce qui proportionnellement équivaut à peu près au génocide des Juifs.
« Chaque jour la police française soumise à l’occupant, contrôlait Madame de Gastine. Son mari fonctionnaire du Maréchal, obtint avec la complicité du chef de l’État, d’être nommé en zone libre. Le cas était fréquent et le nombre de Juifs qui évitèrent la déportation grâce au Maréchal est difficile à évaluer car il est considérable. On n’en parlera jamais après la guerre pas plus que des dizaines de millions exterminés dans un régime radicalement Juif de par ses idéologues, ses politiciens, ses financiers, ses administrateurs et ses bourreaux carcéraux et concentrationnaires tels que Kaganovitch, Frenkel, Yagoda, Firine, Ouritski, Sorenson, Abramovici, Apetter, Jejoff et cinquante autres Juifs.
Par contre on parlera sans arrêt des six millions de Juifs gazés par les Allemands alors qu’il est prouvé qu’ils n’était que trois millions trois cent mille en Europe occupée en 1941 et que le Cyclon B, acide cyanhydrique, est impropre à gazer mille ou deux mille personnes à la fois. Mais il faudra croire à ce dogme religieux sous peine d’une loi promulguée pour « crime de la pensée » qui est d’ailleurs la preuve par neuf de l’imposture ».
(Comme l’explique bien R. Dommergue : « On n’a pas besoin de loi totalitaire pour faire connaître une vérité : on la prouve à l’aide d’arguments et de preuves. Ceux qui contestent l’holocauste sont condamnés sans qu’on leur laisse une chance de prouver qu’ils ont raison ou tort ». En Russie, pourquoi les fils et filles de victimes des goulags des Juifs bolcheviks n’ont-il pas profité de cette opportunité, pour faire du business avec leurs dizaines de millions de morts ?! Au moins soixante millions. En tant que fils d’un émigré russe je puis naturellement mettre en parallèle les deux holocaustes. Les Russes ont juste fait un musée du goulag fort miteux et vide de visiteurs, mais il n'y a pas d’industrie de l’holocauste. D’ailleurs plus loin, R. Dommergue précise qu’à la fin de la deuxième guerre mondiale, l’Allemagne était en train de périr au nom des Droits de l’Homme, sous parfois cent cinquante mille mort en une nuit, et que par rapport à l’holocauste, cela n’était pas un crime de lèse-humanité. Et que dire des deux bombes atomiques américaines sur Hiroshima et Nagasaki au Japon. Il y eut beaucoup d’holocaustes depuis 1917 date de la Révolution russe)
« Si tout ceux qui se prétendent survivants le sont réellement - se demandait souvent ma mère - on se demande qui Hitler a bien pu tuer », déclare Norman G. Finkelstein dans son formidable livre : L’industrie de l’holocauste.
Norman G. Finkelstein de préciser aussi en donnant l’exemple du député suisse Jean Ziegler, que l’argent pillé par Hitler et ses hommes de mains ne diffère pas essentiellement de l’argent sanglant actuellement déposé en Suisse sur les comptes privés de dictateurs du Tiers Monde. « Des centaines de milliers d’enfants meurent chaque année de maladies et de dénutrition dans le Tiers Monde, parce que des tyrans dépouillent leur pays avec l’aide des requins de la finance suisse, et de la finance américaine. Ce sont les États-Unis qui ont d’ailleurs mis en place beaucoup de ces tyrans et ils sont maintenus au pouvoir par cette même nation qui les laissent dépouiller leur pays ». (Voir Ziegler, The Swiss, The Gold and the Dead)
Voir la vidéo si lucide d’un soldat américain exposant la vérité des guerres que déclenche son triste pays. Si tout se résume à l’argent pour ce pays, beaucoup de choses se résument au racisme ou DÉLIT DE SALE GUEULE.
Précision précieuse de R. Dommergue :
« Depuis quarante ans environ, tout le monde est hypnotisé par le dogme des six millions-chambres-à-gaz (et des). Personne n’y avait réfléchi, personne ne l’a remis en question.
Éclate l’affaire Faurisson en 1979 dans le journal Le Monde.
Certains commencent à réfléchir. On s’aperçoit, à la stupéfaction générale, que le Professeur n’a pas le droit de s’exprimer. Il a droit à de lourdes sanctions pénales, à des gaz lacrymogènes et à une tentative d’assassinat manquée in-extremis. Curieux régime démocratique, et curieuse application de la liberté d’expression stipulée dans les Droits de L’homme !
N’importe qui peut comprendre que s’il avait tort on lui aurait permis de s’exprimer librement ne serait-ce que pour l’écraser à la télévision, la presse, la radio, l’édition entre les mains juives. Même sans étudier le problème on comprend donc déjà qu’il s’agit d’une imposture dont nous possédons la preuve par neuf de par le comportement à l’égard de Faurisson et de tous les historiens dit « révisionnistes », alors que le terme est un pléonasme car tout historiens est par essence révisionniste sinon il n’est qu’un propagandiste stipendié ».
En ce qui concerne le « coup des chambres à gaz », il y a de quoi s’interroger naturellement, car à la lecture du précieux livre de Anne Applebaum sur les goulags des bolcheviks juifs, on voit clairement la stratégie phénoménale et la grande corruption des équipes de Staline et Lénine pour masquer au monde extérieur l’existence des goulags relevait jusqu’à de l’art : par exemple, maquillages de convois et d’environnement, musique et autres spectacles donnés dans les camps ou en dehors ; stratégie d’ailleurs reprise par les nazis... Il est connu que Staline, comme Hitler, était obsédé par le cinéma, en particulier par les comédies musicales de Hollywood... D’autres auteurs que Anne Applebaum parlent des pires ruses cruelles pour capturer les contres révolutionnaires ou Russes blancs ou, dans les camps, pour les faire mourir à petit feu. Il est aussi connu que dans les camps, la faim était soigneusement, scientifiquement et sadiquement entretenue, parce que la réglementation de la nourriture des détenus, après celle de leur temps et de leur espace de vie, était l’instrument de contrôle le plus important de l’administration des camps.
On sait que les goulags servaient de main d’œuvre corvéables à merci, selon le système cher à Pierre le Grand, et pour financer tout cela : dans un rapport de l’ambassadeur américain à Moscou, destiné à Roosevelt on peut lire : « Staline reconnaît que les 2/3 des plus grandes entreprises soviétiques ont été construites grâce à l’aide des financiers américains ». (A propos de Armand Hammer, dont l’avion personnel allait de son appartement de la Maison Blanche à celui du Kremlin sans formalités.).
Curieusement le même « cinéma » se reproduit avec le « coup du 11 septembre 2001 » : il est mal vu d’avoir des doutes, et encore plus mal vu de remettre carrément en cause la version officielle ! Il fleurit les camps de la FEMA, etc... Alors les chambres à gaz !...
Précision de Roger Dommergue : le mot antisémite n’a aucun sens, car les sémites n’ont rien à voir là-dedans, hormis les Juifs qui sont sémites, ce qui n’est pas la majorité : Le terme convenable est anti-juivisme.
« Il connaissait bien des personnes qui n’allaient jamais à l’Église et qui avaient du coeur. Qu’a fait l’Église depuis vingt siècles sinon de trahir les enseignements de la morale éternelle ? De préparer le monde au matérialisme de Rothschild et de Marx ? »
« C’est l’Église et les princes qui ont livré le peuple aux Juifs », disait Hitler. Et l’empereur Julien dit l’apostat, est allé plus loin : « si le Christianisme triomphe, dans deux mille ans le monde entier sera juif ».
« A moins qu’elles ne soient dans le feu de leur amour, aucune femme n’a de vertu » disait-il. « Même après des années de vie commune avec des enfants, elles sont capables pour un rien de changer d’homme comme de combinaison ». (Il s’agit de l'opinion d’un certain Jean-Louis)
« A tous les niveaux ils ont ce don déconcertant de restituer faits et circonstances sous forme de torsion et de désinformation. Freud et Marx sont exemplaires à cet égard. Elle avait ce don : Avilir, souiller tout ce qu’elle touchait, interpréter toujours dans le sens de l’ordure, dans celui d’une projection de sa propre mentalité, de ne jamais voir le côté souriant, aimable, sincère des choses. Freud était exemplaire. Il avait imposé sa propre névrose au monde entier ».... « C’est cette forme de pensée moderne que Tristan avait appelé le Judéo‑cartésianisme ».
...
« Il est quasiment impossible au plus grand nombre des humains de prendre conscience de la perversité gigantesque de la spéculation judéo-cartésienne.
Ils ne peuvent appréhender la synthèse destructive des financiers, des Marx, des Freud, des Oppenheimer, des S.T. Cohen, des Djérassi, de la médecine physico-chimique pathogène et tératogène, matérialiste, du mensonge inouï du progrès et de la démocratie qui n’est que leur dictature absolue sur les masses et leur dégradation progressive et implacable .
Et pourtant sous l’égide de cette démocratie, les droits de l’homme dont ils ont plein la bouche sont bafoués dans tous les pays du monde, sauf en ce qui les concerne. En plus les 2/3 de l’humanité meurent de faim.
La misère matérielle et spirituelle atteint son paroxysme sous la tyrannie polluante des politiques
rothschildo-marxistes, exercée sur les corps et les âmes, comme sur le sol de la planète, stérilisé par la chimie et perturbé par le déboisement.
Tout cela est occulte à la majorité des humains qui ont perdu toute intelligence synthétique et acceptent dans un déterminisme qui semble absolu et cosmique tout ce qui pourrit pourvu que ce soit officiel et ventilé par les media ».
« Il faut lire l’article du Rabbin Reifer qui dresse un réquisitoire implacable contre nous, les Juifs, expliquant l’inévitabilité de l’émergence de Hitler.
Cette politique mondiale désastreuse fut imposée par la finance juive USA qui finança d’ailleurs simultanément les Alliés et la révolution bolchevique ».
Pour terminer temporairement, maintenant beaucoup de personnes commencent tout de même à s’éveiller, et prennent conscience de la mondialisation et des derniers faits exposés courageusement par R. Dommergue. Comme les mêmes faits exposés à peu près à la même époque par Jean Coulonval.
« Depuis 5 000 ans nous parlons trop, parole de mort pour nous et pour les autres ». George Steiner, cité par R. Dommergue. Une phrase d’une lucidité étonnante.
Lire aussi le formidable livre de Shlomo Sand : Comment le peuple Juif fut inventé, Éditions Fayard.
http://www.fangpo1.com/ja/content/view/933/56/