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    Biographie d'un agent CIA mafieux nommé Nicolas Sarkozy de Nagy-Bosca...(du très lourd!)

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    Message  nex 27/3/2010, 14:21

    La fabrication du Président Nicolas Sarkozy

    Nicolas Sarkozy. Né en 1955, il est le fils d'un noble hongrois, Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, réfugié en France après avoir fuit l'Armée rouge, et d'Andrée Mallah, une juive originaire de Thesallonique. Après avoir eu trois enfants (Guillaume, Nicolas et François), le couple divorce.
    Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa se remarie avec une aristocrate, Christine de Ganay, dont il aura deux enfants (Pierre-Olivier et Caroline). Nicolas ne sera pas élevé par ses seuls parents, mais balloté dans cette famille recomposée.
    Sa mère est devenue la secrétaire d'Achille Peretti. Après avoir co-fondé le SAC, le garde du corps de De Gaulle avait poursuivi une brillante carrière politique. Il avait été élu député et maire de Neuilly-sur-Seine, la plus riche banlieue résidentielle de la capitale, puis président de
    l'Assemblée nationale.

    Malheureusement, en 1972, Achille Peretti est gravement mis en cause. Aux États-Unis, le magazine Time révèle l'existence d'une organisation criminelle secrète « l'Union corse » qui contrôlerait une grande partie du trafic de stupéfiants entre l'Europe et l'Amérique, la fameuse «
    French connexion » qu' Hollywwod devait porter à l'écran. S'appuyant sur des auditions parlementaires et sur ses propres investigations, Time cite le nom d'un chef mafieux, Jean Venturi, arrêté quelques années plus tôt au Canada, et qui n'est autre que le délégué commercial de Charles Pasqua pour la société d'alcool Ricard. On évoque le nom de plusieurs familles qui
    dirigeraient « l'Union corse », dont les Peretti. Achille nie, mais doit renoncer à la présidence de l'Assemblée nationale et échappe même à un « suicide ».

    En 1977, Pal Sarközy se sépare de sa seconde épouse, Christine de Ganay, laquelle se lie alors avec le n°2 de l'administration centrale du département d'État des États-Unis. Elle l'épouse et s'installe avec lui en Amérique. Le monde étant petit, c'est bien connu, son mari n'est autre que Frank Wisner Jr., fils du précédent. Les fonctions de Junior à la CIA ne sont pas connues, mais il clair qu'il y joue un rôle important. Nicolas, qui reste proche de sa belle-mère, de son demi- frère et de sa demi-sœur, commence à se tourner vers les États-Unis où il « bénéficie » des
    programmes de formation du département d'État.
    À la même période, Nicolas Sarkozy adhère au parti gaulliste. Il y fréquente d'autant plus rapidement Charles Pasqua que celui-ci n'est pas seulement un leader national, mais aussi le responsable de la section départementale des Hauts-de-Seine.

    En 1982, Nicolas Sarkozy, ayant terminé ses études de droit et s'étant inscrit au barreau, épouse la nièce d'Achille Peretti. Son témoin de mariage est Charles Pasqua. En tant qu'avocat, Me Sarkozy défend les intérêts des amis corses de ses mentors. Il acquiert une propriété sur l'île de beauté, à Vico, et imagine de corsiser son nom en remplaçant le « y » par un « i » : Sarkozi.
    L'année suivante, il est élu maire de Neuilly-sur-Seine en remplacement de son bel-oncle, Achille Peretti, terrassé par une crise cardiaque.
    Cependant, Nicolas ne tarde pas à trahir sa femme et, dès 1984, il poursuit une liaison cachée avec Cécilia, l'épouse du plus célèbre animateur de télévision français de l'époque, Jacques Martin, dont il a fait la connaissance en célébrant leur mariage en qualité de maire de Neuilly.
    Cette double vie dure cinq ans, avant que les amants ne quittent leurs conjoints respectifs pour construire un nouveau foyer.
    Nicolas est le témoin de mariage, en 1992, de la fille de Jacques Chirac, Claude, avec un éditorialiste du Figaro. Il ne peut s'empêcher de séduire Claude et de mener une brève relation avec elle, tandis qu'il vit officiellement avec Cécilia. Le mari trompé se suicide en absorbant
    des drogues. La rupture est brutale et sans retour entre les Chirac et Nicolas Sarkozy.

    En 1993, la gauche perd les élections législatives. Le président François Mitterrand refuse de démissionner et entre en cohabitation avec un Premier ministre de droite. Jacques Chirac, qui ambitionne la présidence et pense alors former avec Edouard Balladur un tandem comparable à
    celui de De Gaulle. Pompidou, refuse d'être à nouveau Premier ministre et laisse la place à son « ami de trente ans », Edouard Balladur. Malgré son passé sulfureux, Charles Pasqua devient ministre de l'Intérieur. S'il conserve la haute main sur la majiruana marocaine, il profite de sa
    situation pour légaliser ses autres activités en prenant le contrôle des casinos, jeux et courses en Afrique francophone. Il tisse aussi des liens en Arabie saoudite et en Israël et devient officier d'honneur du Mossad. Nicolas Sarkozy, quant à lui, est ministre du Budget et porte-parole du
    gouvernement.
    À Washington, Frank Wisner Jr. a pris la succession de Paul Wolfowitz comme responsable de la planification politique au département de la Défense. Personne ne remarque les liens qui l'unissent au porte-parole du gouvernement français.
    C'est alors que reprend au sein du parti gaulliste la tension que l'on avait connu trente ans plus tôt entre les gaullistes historiques et la droite financière, incarnée par Balladur. La nouveauté,
    c'est que Charles Pasqua et avec lui le jeune Nicolas Sarkozy trahissent Jacques Chirac pour se rapprocher du courant Rothschild. Tout dérape. Le conflit atteindra son apogée en 1995 lorsque Édouard Balladur se présentera contre son ex-ami Jacques Chirac à l'élection présidentielle, et
    sera battu..
    Rien ne va plus dans le parti gaulliste où les amis d'hier sont près de s'entretuer. Pour financer sa campagne électorale, Edouard Balladur tente de faire main basse sur la caisse noire du parti gaulliste, cachée dans la double comptabilité du pétrolier Elf. À peine le vieux Étienne Léandri
    mort, les juges perquisitionnent la société et ses dirigeants sont incarcérés. Mais Balladur, Pasqua et Sarkozy ne parviendront jamais à récupérer le magot.

    La traversée du désert

    Tout au long de son premier mandat, Jacques Chirac tient Nicolas Sarkozy à distance. L'homme se fait discret durant cette longue traversée du désert. Discrètement, il continue à nouer des relations dans les cercles financiers. En 1996, Nicolas Sarkozy ayant enfin réussi à clore une
    procédure de divorce qui n'en finissait pas se marie avec Cécilia. Ils ont pour témoins les deux milliardaires Martin Bouygues et Bernard Arnaud (l'homme le plus riche du pays).

    Dernier acte

    Bien avant la crise irakienne, Frank Wisner Jr. et ses collègues de la CIA planifient la destruction du courant gaulliste et la montée en puissance de Nicolas Sarkozy. Ils agissent en trois temps : d'abord l'élimination de la direction du parti gaulliste et la prise de contrôle de cet appareil, puis l'élimination du principal rival de droite et l'investiture du parti gaulliste à
    l'élection présidentielle, enfin l'élimination de tout challenger sérieux à gauche de manière à être certain d'emporter l'élection présidentielle.
    Pendant des années, les médias sont tenus en haleine par les révélations posthumes d'un promoteur immobilier. Avant de décéder d'une grave maladie, il a enregistré pour une raison jamais élucidée une confession en vidéo. Pour une raison encore plus obscure, la « cassette » échoue dans les mains d'un hiérarque du Parti socialiste, Dominique Strauss-Khan, qui la fait parvenir indirectement à la presse.
    Si les aveux du promoteur ne débouchent sur aucune sanction judiciaire, ils ouvrent une boîte de Pandore. La principale victime des affaires successives sera le Premier ministre Alain Juppé.
    Pour protéger Chirac, il assume seul toutes les infractions pénales. La mise à l'écart de Juppé laisse la voie libre à Nicolas Sarkozy pour prendre la direction du parti gaulliste.
    Sarkozy exploite alors sa position pour contraindre Jacques Chirac à le reprendre au gouvernement, malgré leur haine réciproque. Il sera en définitive, ministre de l'Intérieur.
    Erreur ! À ce poste, il contrôle les préfets et le renseignement intérieur qu'il utilise pour noyauter les grandes administrations.

    Assassinat du préfet Erignac

    Il s'occupe aussi des affaires corses. Le préfet Claude Érignac a été assassiné. Bien qu'il n'ait pas été revendiqué, le meurtre aimmédiatement été interprété comme un défi lancé par les indépendantistes à la République. Après une longue traque, la police parvient à arrêter un
    suspect en fuite, Yvan Colonna, fils d'un député socialiste. Faisant fi de la présomption d'innocence, Nicolas Sarkozy annonce cette interpellation en accusant le suspect d'être l'assassin. C'est que la nouvelle est trop belle à deux jours du référendum que le ministre de l'Intérieur organise en Corse pour modifier le statut de l'île. Quoi qu'il en soit, les électeurs
    rejettent le projet Sarkozy qui, selon certains, favorise les intérêts mafieux. Bien qu'Yvan Colonna ait ultérieurement été reconnu coupable, il a toujours clamé son innocence et aucune preuve matérielle n'a été trouvée contre lui. Étrangement, l'homme s'est muré dans le silence,
    préférant être condamné que de révéler ce qu'il sait. Nous révélons ici que le préfet Érignac n'a pas été tué par des nationalistes, mais abattu par un tueur à gage, Igor Pecatte, immédiatement exfiltré vers l'Angola où il a été engagé à la sécurité du groupe Elf. Le mobile du crime était
    précisément lié aux fonctions antérieures d'Érignac. Il était responsable des réseaux africains de Charles Pasqua au ministère de la Coopération.
    Une nouvelle affaire éclate : de faux listings circulent qui accusent mensongèrement plusieurs personnalités de cacher des comptes bancaires au Luxembourg, chez Clearstream. Parmi les
    personnalités diffamées : Nicolas Sarkozy. Il porte plainte et sous-entend que son rival de droite à l'élection présidentielle, le Premier ministre Dominique de Villepin, a organisé cette machination. Il ne cache pas son intention de le faire jeter en prison.

    En réalité, les faux listings ont été mis en circulation par des membres de la Fondation franco- américaine, dont John Negroponte était président et dont Frank Wisner Jr. est administrateur. Ce que les juges ignorent et que nous révélons ici, c'est que les listings ont été fabriqués à Londres
    par une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Villepin se défend de ce dont on l'accuse, mais il est mis en examen, assigné à résidence et, de facto, écarté provisoirement de la vie politique. La voie est libre à droite pour Nicolas Sarkozy.
    Reste à neutraliser les candidatures d'opposition. Les cotisations d'adhésion au parti socialistes sont réduites à un niveau symbolique pour attirer de nouveaux militants. Soudainement des milliers de jeunes prennent leur carte. Parmi eux, au moins dix mille nouveaux adhérents sont en réalité des militants du Parti trotskiste « lambertiste » (du nom de son fondateur Pierre Lambert). Cette petite formation d'extrême gauche s'est historiquement mise au service de la CIA contre les communistes staliniens durant la Guerre froide (Elle est l'équivalent du SD/USA de Max Shatchman, qui a formé les néoconservateurs aux USA). Ce n'est pas la première fois que les « lambertistes » infiltrent le Parti socialiste. Ils y ont notamment placé deux célèbres agents de la CIA : Lionel Jospin (qui est devenu Premier ministre) et Jean-Christophe Cambadélis, le principal conseiller de Dominique Strauss-Kahn.

    Des primaires sont organisées au sein du Parti socialiste pour désigner son candidat à l'élection présidentielle. Deux personnalités sont en concurrence : Laurent Fabius et Ségolène Royal. Seul le premier représente un danger pour Sarkozy. Dominique Strauss-Kahn entre dans la course avec pour mission d'éliminer Fabius au dernier moment. Ce qu'il sera en mesure de faire grâce aux votes des militants « lambertistes » infiltrés, qui portent leur suffrages non pas sur son nom,
    mais sur celui de Royal. L'opération est possible parce que Strauss-Kahn, d'origine juive marocaine, est depuis longtemps sur le payroll des États-Unis. Les Français ignorent qu'il donne des cours à Stanford, où il a été embauché par le prévot de l'université, Condoleezza Rice. Dès sa prise de fonction, Nicolas Sarkozy et Condoleezza Rice remercieront Strauss-
    Kahn en le faisant élire à la direction du Fonds monétaire international.

    Premiers jours à l'Élysée

    Le soir du second tour de l'élection présidentielle, lorsque les instituts de sondages annoncent sa victoire probable, Nicolas Sarkozy prononce un bref discours à la nation depuis son QG de campagne. Puis, contrairement à tous les usages, il ne va pas faire la fête avec les militants de son parti, mais il se rend au Fouquet's. La célèbre brasserie des Champs-Élysées, qui était jadis le rendez-vous de « l'Union corse » est aujourd'hui la propriété du casinotier Dominique Desseigne. Il a été mis à disposition du président élu pour y recevoir ses amis et les principaux donateurs de sa campagne. Une centaine d'invités s'y bousculent, les hommes les plus riches de
    France y côtoient les patrons de casinos.
    Puis le président élu s'offre quelques jours de repos bien mérités. Conduit en Falcon-900 privé à Malte, il s'y repose sur le Paloma, le yacht de 65 mètres de son ami Vincent Bolloré, un milliardaire formé à la Banque Rothschild.
    Enfin, Nicolas Sarkozy est investi président de la République française. Le premier décret qu'il signe n'est pas pour proclamer une amnistie, mais pour autoriser les casinos de ses amis Desseigne et Partouche à multiplier les machines à sous.
    Il forme son équipe de travail et son gouvernement. Sans surprise, on y retrouve un bien trouble propriétaire de casinos (le ministre de la Jeunesse et des Sports) et le lobbyiste des casinos de l'ami Desseigne (qui devient porte-parole du parti « gaulliste »).

    Nicolas Sarkozy s'appuie avant tout sur quatre hommes : Claude Guéant, secrétaire général du palais de l'Élysée. C'est l'ancien bras droit de Charles Pasqua. François Pérol ( qui vient de prendre du galon) , secrétaire général adjoint de l'Élysée. C'est un associé-gérant de la Banque Rothschild. Jean-David Lévitte, conseiller diplomatique , fils de l'ancien directeur de l'Agence
    juive. Ambassadeur de France à l'ONU, il fut relevé de ses fonctions par Chirac qui le jugeait trop proche de George Bush. Alain Bauer, l'homme de l'ombre. Son nom n'apparaît pas dans les annuaires. Il est chargé des services de renseignement. Petit-fils du Grand rabbin de Lyon,
    ancien Grand-Maître du Grand Orient de France (la principale obédience maçonnique française) et ancien n°2 de la National Security Agency états-unienne en Europe. Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l'indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé ministre des Affaires étrangères avec une double mission prioritaire : l'indépendance du Kosovo et la
    liquidation de la politique arabe de la France.

    Kouchner, un juif d'origine balte, a débuté sa carrière en participant à la création d'une ONG humanitaire. Grâce aux financements de la National Endowment for Democracy, il a participé aux opérations de Zbigniew Brzezinski en Afghanistan, aux côtés d'Oussama Ben Laden et des
    frères Karzaï contre les Soviétiques. On le retrouve dans les années 90 auprès d'Alija Izetbegoviç en Bosnie-Herzégovine. De 1999 à 2001, il a été Haut représentant de l'ONU au Kosovo.
    Sous le contrôle du frère cadet du président Hamid Karzaï, l'Afghanistan est devenu le premier producteur mondial de pavot. Le suc est transformé sur place en héroïne et transporté par l'US Air Force à Camp Bondsteed (Kosovo). Là, la drogue est prise en charge par les hommes
    d'Haçim Thaçi qui l'écoulent principalement en Europe et accessoirement aux États-Unis. Les bénéfices sont utilisés pour financer les opérations illégales de la CIA. Karzaï et Thaçi sont des amis personnels de longue date de Bernard Kouchner, qui certainement ignore leurs activités
    criminelles malgré les rapports internationaux qui y ont été consacrés.
    Pour complèter son gouvernement, Nicolas Sarkozy nomme Christine Lagarde, ministre de l'Économie et des Finances. Elle a fait toute sa carrière aux États-Unis où elle a dirigé le prestigieux cabinet de juristes Baker & McKenzie. Au sein du Center for International & Strategic Studies de Dick Cheney, elle a co-présidé avec Zbigniew Brzezinski un groupe de
    travail qui a supervisé les privatisations en Pologne. Elle a organisé un intense lobying pour le compte de Lockheed Martin contre l'avionneur français Dassault.

    Nouvelle escapade durant l'été. Nicolas, Cécilia, leur maitresse commune et leurs enfants se font offrir des vacances états-uniennes à Wolfenboroo, non loin de la propriété du président Bush. La facture, cette fois, est payée par Robert F. Agostinelli, un banquier d'affaires italo- new-yorkais, sioniste et néo-conservateur pur sucre qui s'exprime dans Commentary, la revue
    de l'American Jewish Committee.
    La réussite de Nicolas rejaillit sur son demi-frère Pierre-Olivier. Sous le nom américanisé « d'Oliver », il est nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d'un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden). Devenu le 5e noueur de deals dans le monde, il gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour.

    La côte de popularité du président est en chute libre dans les sondages. L'un de ses conseillers en communication, Jacques Séguéla, préconise de détourner l'attention du public avec de nouvelles « people stories ». L'annonce du divorce avec Cécilia est publiée par Libération, le journal de son ami Edouard de Rothschild, pour couvrir les slogans des manifestants un jour de grève générale. Plus fort encore, le communiquant organise une rencontre avec l'artiste et ex- mannequin, Carla Bruni. Quelques jours plus tard, sa liaison avec le président est officialisée et
    le battage médiatique couvre à nouveau les critiques politiques. Quelques semaines encore et c'est le troisième mariage de Nicolas. Cette fois, il choisit comme témoins Mathilde Agostinelli (l'épouse de Robert) et Nicolas Bazire, ancien directeur de cabinet d'Edouard Balladur devenu
    associé-gérant chez Rothschild.



    Quand les Français auront-ils des yeux pour voir à qui ils ont à faire ?


    Dispo en PDF ici
    Arrow http://dl.free.fr/dfwF9Izyn
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    Message  goldbi 27/3/2010, 16:02

    Dommage que Meyssan ne donne pratiquement aucune source, et fait facilement des raccourcis sans preuves, affirme d'autres choses elles aussi sans preuve, cet article pourrait démolir l'aura du président, mais avec si peu de sources, c'est carrément une blague pour un citoyen lambda qui n'est pas du tout initié, qui est motivé pour fouiller, et trouver des preuves pour étayer cet article, et en faire un nouveau, avec des bases sures ? qui puisse être diffuser à grande échelle ?
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    Message  Invité 27/3/2010, 17:47

    En fait sait on qui a écrit cet article? Smile
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    Message  nex 27/3/2010, 19:38

    Je l'ai reçus via mail, sans source
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    Message  Invité 27/3/2010, 19:45

    nex a écrit:Je l'ai reçus via mail, sans source

    Dommage.
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    Message  goldbi 28/3/2010, 11:45

    c'est thierry messan du réseau voltaire, l'article est sur son site Wink
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    Message  Invité 28/3/2010, 14:00

    http://www.voltairenet.org/article157210.html#article157210

    Voir les sources des ouvrages en bas de page.
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    Message  goldbi 28/3/2010, 14:18

    Le problème c'est que les 3/4 des sources en bas de page, sont le réseau voltaire, ou ses propres livres, alors que le principe d'une source c'est qu'elle soit au possible proche de l'objectivité pour étayer une argumentation, s'il prend ses écrits pour justifier ses écrits ...

    je dis ça parce que ce genre d'article parfaitement documenté, et vérifié, puis diffusé peut avoir l'effet d'une bombe ?

    parfois il affirme des choses qui sont sans doute vraies mais qui ne sont pas vérifiable, genre Jospin Agent de la CIA, et la justification c'est son origine trotskyste, je ne pense pas que tous les trotskystes étaient au courant des agissements de Trotsky, faut t'il encore prouver qu'il était lui aussi un agent des banquier de Wall Street.

    Je ne nie pas ce qu'il dit, mais un effort de sa part pourrait avoir plus d'impact.
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    Message  Aurelien 4/4/2010, 19:58

    Apparemment, le CV officiel du troll en chéf était bidonné, c'était même un cancre:


    Etudes exténuantes... d'un cancre et d'un menteur Mauvais élève comme son copain W! Etudes exténuantes... d'un cancre et d'un menteur "Répéter inlassablement des choses fausses pour qu'elle deviennent vraies".

    Lundi 29 mars 2009, Sarkozy, un sous doué à l'Elysée

    Mais pourquoi tant de haine envers le corps enseignant en général et les chercheurs en particulier?
    Tout simplement parce que Notre Majesté souffre du complexe du cancre parvenu. Président médiocre, il fut par le passé élève médiocre, bachelier médiocre et étudiant médiocre. Mais aucune trace de cette médiocrité dans son curriculum vitae.
    Et pour cause, il l'a customisé, l'animal. Officiellement Notre Souverain Eclairé serait titulaire d'une maîtrise de droit privé, d'un certificat d'aptitude à la profession d'avocat, d'un DEA de sciences politiques obtenu avec mention et aurait fait des études à l'Institut d'Etudes politiques de Paris. Waouh!

    Mais alors pourquoi est-il aussi nul?
    Tout simplement parce que la plupart de ces titres universitaires sont faux. Une enquête menée par Alain Garrigou, professeur de sciences politiques à Nanterre le prouve http://www.fondation-copernic.org

    En parcourant l'annuaire des anciens élèves de Sciences Po, il a pu constater que Sarkozy de Nagy Bosca n'y figure pas, ce qui signifie qu'il n'a pas mené ses études à leur terme et ne peut donc se parer du titre d'ancien élève réservé aux seuls diplômés.

    Et son DEA?

    Pourquoi n'en trouve-t-on aucune trace dans les archives de Paris-X- Nanterre?
    Tout simplement parce que si le candidat Sarkozy apparaît bien dans le procès verbal de la première session, il est ajourné pour ne pas s'être présenté à l'épreuve écrite terminale et n'avoir pas rendu son mémoire. Et son certificat d'aptitude à la profession d'avocat ?

    Obtenu sur le fil avec la note médiocre de 20 /40 (7/20 à la première épreuve et 13/20 à la seconde)
    Mais rappelons aussi, pour compléter le tableau, les notes obtenues au bac par le candidat 18917 en 1973 (Jury 80, lycée Molière) : 7/20 à l'épreuve écrite de français et 12 à l'oral (voilà pourquoi il s'exprime toujours dans un idiome approximatif), 9/20 en philo, 8/20 en maths (il a néanmoins su s'augmenter de 200% !), 10/20 en anglais ("magnifical" s'exclama-t-il un jour en présence de la reine d'Angleterre) et 11/20 en économie (on n'est pas sorti de la crise !).

    Avec 142 points sur 300, le médiocre petit candidat fut recalé et fut obligé de se présenter au repêchage. Ne nous étonnons donc plus des propos méprisants qui sortent donc de la bouche de ce vilain petit personnage médiocre et rancunier qui a tant souffert de ne jamais avoir été reconnu à sa juste valeur par ses professeurs.
    [b]

    http://www.alterinfo.net/Comment-transformer-un-cancre-en-President_a44580.html


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    antipropagande


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    Message  antipropagande 5/4/2010, 21:24

    Tout ca me fait penser depuis un bon moment qu'on aura sans doute en 2012 une élection présidentielle 100 % juive: Strauss Khan pour le PS et Sarkozy pour l' UMP. 100 % sioniste aussi. Du moins si les choses n' évoluent pas jusque la.
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    undercontrolimpossible


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    Message  undercontrolimpossible 15/4/2010, 06:45

    GarfieldLove
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    Message  GarfieldLove 15/4/2010, 07:06

    Quels sont leurs buts véritables ?


    L’argent et le pouvoir représentent les valeurs suprêmes, ainsi que de dominer le monde :


    Etendre constamment l’influence de leur Etat invisible pour parvenir à une tyrannie suprême sur le monde entier.
    Pour réaliser la domination des peuples, ils agissent dans plusieurs directions :
    - Ils ne peuvent contrôler les peuples économiquement que lorsqu’ils les ont soumis dans le domaine politique (un parti majoritaire- UMP pour le France)).
    - Ils propagent les fondements de la démocratie et les théories du libéralisme, qui transforment le prolétaire en terroriste dans les affaires intérieures et en pacifiste dans les affaires externes.
    - Sur le plan des mœurs, ils détruisent les fondements religieux et moraux par le biais de leurs main-mise sur les médias.

    Ils travaillent systématiquement à amener une double révolution : économiquement et politiquement.
    Ils ébranlent économiquement les Etats, jusqu’à ce que les entreprises sociales, devenues improductives, soient enlevées à l’Etat et soumises à son contrôle financier (PRIVATISATIONS).

    Au point de vue politique, il refuse à l’Etat les moyens de subsister, ruine la confiance que le peuple avait dans le gouvernement, répandent l’opprobre sur l’histoire et sur le passé ( notre culpabilisation durant la derniére guerre) et jette au ruisseau tout ce qui est grand en les discréditants par des scandales (actuellement la pédophilie).

    L'histoire bégaie :

    A ce moment la, commence la grande et dernière révolution. Au moment où ils conquirent la puissance politique, ils rejettent les derniers voiles qui les cachaient encore.
    Le "démocrate" et ami du peuple donne alors naissance au sanguinaire et tyran des peuples (cf : LENINE /STALINE).
    Au bout de peu d’années, ils exterminent les représentants de l’intelligence ( cf : purges Staliniennes), et ils rendent mûre le peuple pour le rôle d’esclaves, mis pour toujours sous leurs joug.


    Quiconque veut voir ces choses le peut.
    Quant à celui qui s’y refuse, rien de pourra le sauver.
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    Message  nex 15/4/2010, 16:59

    Portrait de Sarkozy en phobocratie

    Par Camille Laurens, écrivaine



    Si Sarkozy était une maladie mentale, ce serait la paranoïa.
    Tous les symptômes l'attestent, du plus banal au plus inquiétant.
    Ainsi, il a une très haute idée de lui-même, supporte mal la contradiction et se montre extrêmement susceptible.
    Sa persécution est sans limites et les offenses dont il s'estime victime sont exponentielles.
    Un badaud refuse de le saluer ? C'est un' « connard». Un autre crie : « Je te vois » ? C'est délit. Des ragots circulent ? C'est un complot.
    A la tête d'un pays qui l'a élu, il se méfie de ceux qui le constituent.
    Tout le monde est suspect : les parents d'être incompétents, les enfants d'être délinquants, les pauvres d"arnaquer les systèmes d'aide, les chercheurs de se la couler douce dans des labos où « i fait chaud et y'a de la lumière », les étrangers d'être des terroristes, les écrivains des grandes gueules et les bébés de la mauvaise graine.
    France d'en haut ou France d’en bas, c’est Vigipirate à tous les étages. Même les amis, parfois, sont des ennemis ou le deviennent : alors on les limoge, on les mute, on les lâche, on les dénonce, on les brime.
    Au contraire, les intimes bénéficient de privilèges régaliens, et leurs villas sont protégées des méchants aux frais du contribuable - le paranoïaque aime à montrer son pouvoir : « Je ne supporte pas qu'on s'en prenne à mes amis », résume-t-il dans belle ambiguïté syntaxique.
    Epris du grand style français, « quel est le con qui a merdé ? » ajoute-t-il. L’autocritique n'est pas sa tasse de thé, l'autoritarisme, si.
    Il dit ce qu'il pense, il fait ce qu’il veut, il emmerde le populo : il n'a pas de devoir de réserve. Mais il a peur de tout ce qui pense, de tout ce qui lui échappe. Il ne veut voir qu'une seule tête, sinon il la coupe, surtout quand elle dépasse la sienne - cela arrive.
    Cette maladie ne serait pas si grave si elle n'était terriblement contagieuse, et volontairement propagée.
    L’ambition du gouvernement semble être de refiler la peur à tout le monde comme on se passe la grippe : il convient de se méfier de son prochain et de se .protéger de son voisin. Le discours sécuritaire exploite à fond les inquiétudes particulières et les tracas individuels.
    Pour inoculer la peur et déclencher la haine, son symptôme, Sarkozy isole. La peur divise afin de mieux régner. Elle sépare la société en unités hostiles qui se soupçonnent du pire et s'accusent de tous les maux : par exemple, le parent déteste le prof en grève (qui va garder les enfants ?), mais le prof déteste le parent qui s'immisce (de quoi se mêle-t-il ?). Sarkozy, quand il parle aux Français, ne s'adresse pas à des citoyens, mais à des individus, à dès personnes privées - privées de confiance, surtout.
    Feignant de comprendre leurs peurs, il les alimente, l'idée-force étant de créer « une bonne insécurité ». « La peur doit changer de camp », dit son conseiller. Mais la voilà partout, il n'y a plus de « nous », seulement des « je », perdus, à qui on peut passer les menottes.
    C'est le fondement des dictatures, ces phobocraties : au début, il n'y a qu'un paranoïaque, puis tout le monde le devient.
    La peur règne sur un pays d'ennemis. Chacun achète alors une, poupée vaudou à l'effigie de Sarkozy, et y plante vite fait des épingles avant qu'elle ne soit interdite.
    Cependant, une société se juge à la manière dont elle traite ses fous.
    Si nous le sommes tous avec Sarkozy, trouvons-nous un traitement commun, un remède humain, une thérapie nationale.
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    Message  Invité 15/4/2010, 22:23

    HORRIBLE MENTEUR
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    Message  GarfieldLove 16/4/2010, 09:47

    Mentir est chez eux une seconde nature, ils ont le visage de leur ame.
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    Message  GarfieldLove 16/4/2010, 09:56

    Un survol de l’Histoire nous enseigne que cette derniere begaie:
    En 1338, l’empereur Louis de Bavière accorda aux bourgeois de Francfort « afin de protéger les usuriers de la ville et de veiller de meilleur cœur à leur sécurité » un privilège spécial, grâce auquel ils pourront obtenir des prêts à 32,5% par an, tandis qu’aux étrangers ils sont autorisés à prêter jusqu’à 43%. Le conseil de Mayence contracta un emprunt de mille florins et on leur permit de réclamer 52% . A Ratisbonne, à Augsbourg, à Vienne, et autres lieux, l’intérêt légal montait fréquemment à 86%. Mais les intérêts les plus vexatoires étaient ceux pour des prêts mineurs contractés à court terme, prêts auxquels étaient obligés de recourir les petits commerçants et les paysans. « Ils pillent et dépiautent le pauvre homme », dit le rimailleur Erasmem d’Erbach ( 1487) ; « cela devient vraiment intolérable, que Dieu ait pitié de nous. Les usuriers s’installent aujourd’hui en lieu fixe dans les villes les plus petites ;quand ils avancent cinq florins ils prennent des gages qui représentent six fois les sommes prêtées. Ensuite ils réclament les intérêts des intérêts puis encore ceux des intérêts nouveaux. Ainsi le pauvre homme se voit dépossédé de tout ce qu’il possédait ». Tritème , à la même époque dit : « il est facile de comprendre que chez les petits comme chez les grands, chez les hommes instruits comme chez les ignorants, chez les princes comme chez les paysans, il s’est enraciné une profonde aversion contre les usuriers… ».

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