Anti Nouvel Ordre Mondial

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Kyushi
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    Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH

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     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Empty Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH

    Message  Invité 26/8/2010, 21:06




    Les réalités et fantasmes du projet MONARCH
    Réseaux pédophiles, cultes sataniques, services secrets
    et désillusions[/b]


    Pour ceux qui sont familiers des multiples sujets qui taraudent les esprits torturés des « enquêteurs » conspirationnistes, le Projet "MK Monarch" (MK pour Mind Kontrol, parait-il) est sans doute une sorte de pierre philosophale, de holly graal capable de changer le plomb en or et d'ouvrir les portes des plus sombres mystères de cette foutue planète. En effet, tout homme ou femme qui trouverait les preuves indiscutables de l'existence officielle de ce projet, de ces tenants et aboutissants serait certainement l'individu le mieux informé et le plus puissant de cette bonne vieille terre et peut-être aussi la cible plus convoitée de tous les assassins sous influence.

    L'histoire est un mensonge que personne ne conteste.
    Napoléon Bonaparte

    Délire paranoïaque ?

    Pour les novices matière de « conspirationnisme » qui constituent peut-être 99,99% des lecteurs, Monarch est ce que l'on appelle une horrible étrangeté qui n'est pas supposée exister, une série d'occultes expériences de manipulation du comportement menées par une ou plusieurs des nombreuses agences de renseignements, laboratoires militaires ou section Delta qui forment la nébuleuse sécuritaire américaine. Pour parler en termes encore plus précis, Monarch désignerait l'ensemble des techniques de conditionnements psychologiques - de l'usage de drogue en passant par la torture, les électrochocs, le viol ou les armes psychotroniques - destinés à créer de toutes pièces à partir d'un individu lambda, de préférence un enfant, un futur petit soldat qui répondra à tous les ordres, même les plus pervers. Les gens qui auraient « inventé » Monarch auraient réussi à contourner l'obstacle de la volonté, de la conscience d'un individu pour envahir puis prendre possession de ce qu'une âme a de plus intime : son inconscient !

    Délire paranoïaque et conspirationniste que ces élucubrations me direz-vous ! Peut-être pas. Certainement pas à en croire des gens comme le journaliste John Rappoport ou encore John De Camp, ancien sénateur du Nebraska, avocat spécialisé dans les affaires de pédophilies et de culte satanique. Un personnage certes controversé mais assez crédible et qui a rassemblé plus que tous les autres auteurs (comme les improbables Mark Philips, David Icke etc..) un faisceau de présomptions qui les ont amenés à penser que MK Monarch est fondé sur une réalité tangible.

    Suite http://www.karmapolis.be/pipeline/monarch.htm
    Kyushi
    Kyushi


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    Date d'inscription : 30/08/2010

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    Message  Kyushi 1/4/2011, 22:41

    Merci pour cette vidéo Tonino, mais l'un des autres aspects du projet MK est également la formation d'assassins qui non seulement obéissent aux ordres (genre Hitman), mais sont formés à développer certaines capacités:


    Prélude:
    Le Guerrier Ultime: Robert Duncan O'Finioan
    Un entretien vidéo avec Duncan O'Finioan
    Kentucky, Novembre 2006

    Filmé, monté et réalisé par Kerry Cassidy et Bill Ryan

    Duncan O’Finioan: Comme je l'ai dit, nous sommes sensé vivre dans une société libre et civilisée. Ce n'est pas le cas. S'ils peuvent venir vous prendre, enfant, et vous transformer en tueur, vous utiliser, vous abuser, puis quand ils en ont fini avec vous, vous jeter. Cela ne devrait pas arriver.Duncan O'Finioan

    ... Je suis assis là et je commence à prendre ces pièces de puzzle et à dire: "Cela correspond, cela correspond, cela ne correspond pas". Et, je dis: ça, c’est une image. La femme se place devant et le gars se met derrière moi. Elle le regarde, sourit et dit: “On en tient un” et c'est là que tout a commencé.

    ... C'est là qu'ils font le choix de qui est bon à quoi, qui va être un soldat, qui va être un espion psychique…

    ... Tout le monde sait qu'Hitler voulait le soldat ultime, le super soldat, l'ultime guerrier. Hitler était également fortement impliqué dans les sciences ésotériques et le contrôle du mental. C'est à cette époque qu'ils ont commencé à combiner les deux, contrôle mental, super soldat, ultime guerrier. Ils ont commencé à tout mettre ensemble dans un projet et c'est là que je me suis retrouvé.

    ... Les coups de pied de ma jambe droite pouvaient atteindre 190 km/h. Ma puissance de frappe allait au-delà, de 810 à 880kg. Ça, ça explose des blocs de béton.

    ... Et j'ai mis trois balles dans le cœur d'un officiel d’une très haute agence de renseignements

    .... Ce type me saisit à la gorge et j’ai juste fait un pas latéralement et j’ai pointé les paumes de mes mains vers le bas, juste pointées vers le bas et j’ai poussé un cri perçant dans mon esprit. Le gars est monté en l’air et redescendu. Je ne l'ai jamais touché.

    ... Je regarde et il y avait George (Bush) Junior assis au comptoir avec les gardes du corps des services secrets, saoul comme une barrique avec les services secrets tentant de le ramener au calme. C’est à ce moment-là que je me suis complètement réveillé. Je ne me souvenais pas d’avoir conduit jusque là.

    Intégral:
    Début de l’entretien

    Kerry Cassidy: Revenons en arrière pour découvrir exactement comment vous êtes entré dans ce programme.

    D: Ils souhaitaient des gens à moitié amérindien, et à moitié celtique. Que ce soit des écossais, des irlandais, n'avait pas d'importance tant qu'ils étaient celtiques. La raison en est que les amérindiens et les Celtes sont deux des peuples de la Terre qui sont le plus prédisposés aux capacités paranormales ou psychiques. Et de plus ces 2 cultures pratiquaient le paranormal. C’est comme une mémoire génétique. C'est dans notre mémoire génétique. Je pensais que c'était fondamentalement pour ça jusqu'à ce qu’il y a deux ans je découvre que mon père était un agent de la CIA. Je ne m’en serais jamais douté. Mon père est mort depuis maintenant près de 15 ans. Mais avec cette nouvelle information me parvinrent d’autres morceaux d’informations, sur beaucoup de choses qui sont arrivées dans le passé, et maintenant tout se recoupe. Au fond ce qui s'est passé avec moi est qu’en 1966, j'avais 6 ans et mes deux parents m'ont mis dans le coffre et m'ont emmené en ville. C'était obscur, froid et enneigé, je n'oublierai jamais ce jour car il était vraiment particulier. Pourquoi sommes-nous allé dans ce magasin de matériel en cette fin d'après-midi ? Alors on entre dans le magasin, et à cette époque, ma mère et mon père ne se battaient pas, mais ils ne s'entendaient pas. J’avais été plusieurs fois dans ce magasin avec mon grand-père mais je n’avais jamais été à l’arrière du magasin : Il y a une porte là-bas, que si vous ne savez pas qu’elle est là, vous passez devant sans la remarquer. Nous empruntons cette porte et nous voilà avec 6 ou 7 autres enfants de mon âge. Ils étaient tous assis à ces sortes de tables de jardin d'enfants, sur ces petites chaises, et ils avaient tous les mêmes choses devant eux : ça ressemblait à des pièces de puzzle. Arrive alors cette dame qui détonait.

    Elle est grande, élégante, avec un manteau de fourrure. Nous sommes dans l’est du Kentucky, cela ne se voit pas dans le coin. Et elle a joué un rôle très important à partir de là. Je l'ai vue dans plusieurs de mes souvenirs. Et elle me donne un jeu, une pile de blocs, qui sont les pièces d’un puzzle. Et elle dit: "Je veux que tu fasses une image" et s'est éloignée. Alors, j'ai cherché ma mère du regard, et elle était avec un type en costume qui lui aussi ne devrait pas être là, et qui lui fait signer des documents. A six ans, j'ai été intrigué, mais à cet âge on ne s’interroge pas davantage. Donc, je suis assis là et je commence à prendre ces pièces de puzzle et à déclarer: "Cela correspond, cela correspond, cela ne correspond pas". Et, je dis: ça c’est une image. Elle le regarde, sourit et dit: “On en tient un” et c'est là que tout a commencé. On m'a donné quelque chose à boire, je me rappelle une sensation de somnolence, et c'est tout…

    K: Alors, êtes-vous rentré à la maison avec vos parents ?

    D: Non.

    K: Je vois.

    D: J'ai été embarqué directement. C'est ce que j'ai découvert plus tard. Une fois que je suis allé dormir avec tout ce que contenait la boisson (Kool-Aid, de la soude, ou n'importe quoi), je me suis « éteint ». Mon souvenir suivant était à 9 ans et demi.

    K: Donc, vous avez un blanc dans votre mémoire pour cette période.

    D: Mm hm, ouais. Maintenant, j'ai des souvenirs qui sont revenus, des bribes de souvenirs de ce qui s'est passé au cours de tout cela, certains très vifs, certains sur lesquels j'ai eu de la documentation, certains sont juste des souvenirs qui sont là.

    K: Alors, pourquoi vous souvenez-vous de vos neuf ans, que s’est-il passé ?

    D: Parce que j’ai eu un passage à l'hôpital local, ici, de l'Université du Kentucky. Ils ont un type de procédure que personne n’a jamais vraiment pu expliquer. Même en tant qu'adulte j'ai essayé d'obtenir les dossiers, et personne n’a pu me les fournir. A partir de là, j'ai eu quelques années en tant qu’enfant où tout semblait ok, avec beaucoup d'activités paranormales et tout ça.
    Et puis à 14 ans, c’était reparti.

    K: Reparti à l'hôpital ?

    D: Non : mes souvenirs, disparus.

    K: Oh, Ok, donc, rétrospectivement, vous avez le sentiment d’avoir été formé pour être soldat pendant ce temps-là ?

    D: Oui.

    K: Pouvez-vous décrire certains des entraînements pour nous ?

    D: La meilleure façon de le faire est de revenir en arrière une seconde.

    K: Bien sûr.

    D: Imaginez le Projet Talent, les recrues du Projet Talent qui sont envoyées à l'école. A l'école primaire, on nous a tous appris la même chose. C'est là que l'entraînement aux arts martiaux a commencé. J'ai de vifs souvenirs de 15-20 d'entre nous dans un groupe avec des adultes et ils nous ont formés comme si nous étions des adultes. C'était pas adapté aux enfants. Vous aviez six, sept ou huit ans, et ils vous bottaient le cul sévèrement. Je veux dire qu'ils vous battaient énormément, mais vous appreniez, ok.

    K: Mm hm.

    D: Une fois que c’est bon, la formation au paranormal peut commencer. C'est là qu'ils font le choix de qui est bon à quoi, qui va être un soldat, qui va être un espion psychique…

    K: Vous avez à ce moment-là l’équivalent d’une ceinture noire en karaté ?

    D: Même après j'ai continué, j'ai donné des cours, ouvert quelques centres. Je détiens une ceinture noire de cinquième degré aujourd'hui, légitimement un cinquième degré noir.

    K: Dans le monde réel, pour ainsi dire ?

    D: Bien sûr, bien sûr...

    K: Vous avez aussi dit quelque chose, dans une interview que j’ai lue, à propos de vous rappeler quand on a commencé à vous enseigner le karaté. C'est ainsi que vous déclenchez certains souvenirs plus anciens que tout cela ?

    D: Mm hm, en effet. Il y a eu un incident en particulier. J'ai un ami à moi qui est un ex-Béret de la marine. Il venait très régulièrement travailler avec moi quand il était chez lui en permission ou ce genre de choses. Une nuit, on s’entraînait, et lui c’était un gros gars costaud, capable de me barrer la route sans transpirer une goutte. Donc, nous sommes en train de nous entraîner, et j’utilise une telle technique (pour le faire chuter) que quand il s’est relevé du plancher, confus et en colère, il m’a dit “Où as-tu appris ça?” Et ça m'a frappé, je n’en n'avais pas la moindre idée, où avais-je appris cela? Il m’a dit que ça venait directement de la Ferme. Je n'avais que 19 ans. La Ferme ? De quoi parlait-il ? La Ferme d'élevage ? La ferme de porcs ? Je n’en n'avais pas la moindre idée. Il m’a dit que c’était le Centre d’Entraînement des Aptitudes de la CIA, La Ferme. Tout ça a commencé à faire un déclic. Et, j'ai vraiment commencé à avoir des souvenirs de 8 ou 9 ans en arrière quand j'ai eu un accident de voiture où je m’étais rompu trois disques du cou. Et, quand ils ont fini par me donner l'IRM, la résonance électromagnétique ne concordait pas avec l'implant crânien.

    K: Que vous aviez eu ?

    D: Quelque part, d'une manière ou d'une autre, j'ai un implant crânien. Et, je le dis parce que je l'ai sur un film. Et, quand ils m'ont mis dans la machine IRM, quand ils l’ont allumée, quand ça a commencé à tourner...

    K: D’accord….

    D: Imaginez une douleur atroce. Imaginez qu’en même temps vous voyez un millier d'écrans de télévision et ils viennent tous vers vous. Sur chacun de ces écrans de télévision il y a une image. Chaque image est un souvenir et ça continue à rentrer, à rentrer, à rentrer …

    K: C'est incroyable.

    D: C'est comme ça que j'ai commencé à retrouver la mémoire totale.

    K: Et maintenant, est-ce vrai que vous criiez et que l'IRM a sauté ?

    D: La machine elle-même a pris feu. C'est ce qui m'en a fait sortir. Parce que je suis là avec rien d'autre que mes sous-vêtements et une robe (d’hôpital), me tenant la tête et hurlant au meurtre, et je remarque bien la fumée, et les techniciens sortir, les infirmières sortir, qui veulent faire tout ça et me sortir de là, ils allument les extincteurs et tout et tout...

    K: Alors, avez-vous encore l’implant crânien à ce jour?

    D: C'est toujours là. C'est juste que, d’après ce que je comprends, il ne marche plus.

    K: Qu'est-ce qui vous fait penser qu’il ne marche plus?

    D: Parce que je n'ai plus été utilisé. Je n'ai plus eu de trou de mémoire de trois ou quatre jours dans une semaine. Ils se sont arrêtés. Celui-ci est un point mort en plein centre de mon cerveau. Il ressemble à un grain de riz et il est en plein centre de mon cerveau. Il est exactement là.

    K: C'est aussi petit ?

    D: C'est aussi petit.

    K: Wow.

    D: Et je l'avais vérifié par des sources indépendantes qui l’ont observé. «Vous avez un problème, ça doit être enlevé». Mec, tu vas mourir. Je dis, « non, c'est bon ». Je ne leur dis pas ce que c’est. Je voulais juste leur avis - entendre ce qu'ils avaient à dire.Je ne dis rien à moins d’en avoir la preuve, ou si j'ai quelqu'un qui est prêt à signer une déposition en affirmant qu'il était là, qu’il a vu et qu’il sait. Si je n'ai pas de preuve, je vais dire: «Voilà ce que je pense».

    K: Ok. Alors, lorsque vous étiez un enfant et que vous alliez à l'hôpital, vous disiez...

    D: Mm hm.

    K: Qu’est-ce qui s’est passé avec votre corps à cette époque ? Savez-vous ce qui s'est passé ?

    D: Je me souviens avoir traversé une procédure, OK, et je me souviens de mon réveil et de la machine, et cela devait être en 1969, et je me souviens que la machine, de la taille de cette table, est comme venue m’envelopper, ils la faisaient descendre sur moi et ça allait être chaud et je n'étais pas censé me réveiller, je devais être complètement drogué. Eh bien, je me suis réveillé au milieu de tout ça et je me souviens des dizaines de tuyaux, pendant de chaque côté autour moi, qu’ils branchaient là les uns après les autres… Maintenant, qu'est-il arrivé? Je ne sais pas.

    K: Alors, aviez-vous une force hors du commun ou avez-vous remarqué des changements radicaux dans votre perspective face à la réalité ? Je veux dire, à 14 ans, cela devait être dur à dire. Mais, le temps ayant passé, pensez-vous vous être développé à un rythme différent que celui d'autres enfants en partie à cause de tout ça ?...

    D: Ouais, je pense que oui. J'ai toujours été plus fort, plus rapide, plus endurant que n’importe qui et il en était de même pour chacun d'entre nous qui sortions de ces projets. Cela fait partie de la structure du Super Soldat. Ils veulent que le super soldat soit juste Super - au-delà de la normalité, plus rapide, plus fort, plus d'endurance, de tolérance à la douleur, etc. etc. et ainsi de suite. C'est ce qu'ils veulent.

    K: Alors, pouvez-vous nous dire quelles capacités vous aviez à la pointe de votre performance, si on peut l'appeler ainsi ? De quoi pensez-vous que vous étiez capable?

    D: Des capacités physiques, oui, que j'ai gardées. Les capacités paranormales, J'en ai gardées quelques-unes. Les principales capacités paranormales apparaissent quand la personnalité ultime apparaît. Une des choses qu'ils nous ont faites était de nous donner cette personnalité ultime. Nous avons été formés à la personnalité ultime. J'ai des témoins qui m'ont vu exploser de gros sacs lourds d’un coup de poing. Vous n'êtes pas censé pouvoir faire ça. Ma vitesse et ma puissance de frappe ont été mesurés à Burlington, dans le Wisconsin, dans une installation là-haut qui n’y est plus maintenant, où ils faisaient tous les tests pour les sportifs professionnels, les équipes de football et tout ça. Ma puissance de frappe, à cette époque était mon poids : 175 livres (environ 90 kg).

    K: De quand parlons-nous ? Il y a combien d'années ou en quelle année, en gros ?

    D: En 1984, au printemps de 1984. Le résultat du test était irréel. Ma puissance de frappe était plus lourde et plus forte que celle d'un boxeur super poids lourd. Mon coup de pied était encore plus puissant et rapide. Les coups de pied de ma jambe droite pouvaient atteindre 190 km/h. Ma puissance de frappe allait au-delà, de 810 à 880 kg. Ça, ça explose des blocs de béton.

    K: Ok, maintenant au sujet de vos capacités psychiques, quelles étaient-elles ?

    D: Ma principale aptitude psychique est celle que j'ai conservée dans cette personnalité, d'être capable d’entrer dans l'esprit de quelqu'un, d'être en mesure de prévoir les événements en temps réel et quand je dis entrer dans l'esprit de quelqu'un, je ne veux pas dire lire leur esprit, lire ou entendre leurs pensées. C'est plus comme ce que certaines personnes avec qui je travaille appellent « l’Appel d’Images ». On voit des images de leurs pensées. Comme, vous pourriez avoir soif et penser à un soda. Je vais vous regarder et je vais voir une canette de Pepsi. C'est ce qui se passerait. Et, ce type de capacités donnée à un combattant, un soldat ou un assassin, imaginez à quel niveau ça le porte.

    K: Donc, avez-vous maintenant des souvenirs absolus des moments où vous étiez dans l’autre personnalité?

    D: J'ai des témoins de cela, oui.

    D: Vous voyez, ce qui se passé, c'est que je suis censé ne me souvenir de rien maintenant. D'accord?

    K: Je l'imagine.

    D: Les gens qui commencent à se souvenir ont généralement une cinquantaine ou une soixantaine d’années. Ok, beaucoup trop vieux pour vraiment faire quelque chose, je ne dis pas que 60 ans c’est vieux, mais dans cette société, du moment où vous êtes âgé d’environ 60 ans n’importe où ici, les gens vous rayent de la société.

    K: Alors quel âge avez-vous maintenant parce que je suis incapable de le dire?

    D: 46. J’ai 46 ans.

    K: Uh huh.

    D: Tout le monde me dit que je ne fais pas 46, c'est l'un des autres traits que nous avons.

    K: La longévité?

    D: Ouais.

    K: Ok.

    D: La plupart des personnes qui commencent à avoir des souvenirs, quand ces souvenirs reviennent, les personnalités de ces gens commencent à s’entremêler. Ils ne sont plus la personnalité A et la personnalité B. Elles commencent à se mixer. Alors, quand tous ces souvenirs commencent à venir se mêler avec les autres souvenirs, ils deviennent fous.

    K: La plupart des gens?

    D: Oui. La plupart de ces personnes se suicident. Bon, et ceux qui ne le font pas se retrouvent dans des asiles.

    Bill Ryan: Est-il possible Duncan, que beaucoup de ces gens soient programmés pour se suicider?

    D: Oui.

    Bill Ryan: Une sorte d'autodestruction quand ils ne sont plus utiles? D: Yes.

    K: Donc, vous avez en quelque sorte vaincu le système ?

    D: Oui.

    K: Vous avez dû lutter. Alors, qu’est-ce qui vous fait tenir ? Qu’est-ce qui, pensez-vous, vous aide à vous maintenir ?

    D: Après l'accident de voiture, nous avons déménagé dans le nord de l’Etat, dans le New Jersey. Je n’étais plus censé pouvoir soulever plus de 2,3kg. Je ne devais plus être capable de tenir mon bras au dessus de ma tête. C’est dire comme l’accident avait été sérieux. Deux heures du matin, je suis assis dans mon appartement du New Jersey et cette petite voix entre en jeu. «C’est quoi ton putain de problème ? Qu’est-ce qui ne va pas avec toi ? Tu es une poule mouillée. Tu vas abandonner ? Tu as été un combattant toute ta vie ? Lève-toi et bats-toi ». J'ai commencé à faire des pompes cette nuit-là. Un an plus tard, j’allais bien.

    K: Donc, en gros, vous avez récupéré de vos blessures?

    D: La blessure est toujours là. Je peux aller voir un neurologue dès maintenant et le laisser me passer aux rayons X : ils me regarderont et me diront que j'ai besoin de passer en chirurgie aujourd'hui, mais je refuse d'y aller. La douleur est toujours là. Je vis avec la douleur 24/24h, 7j/7 et, encore une fois, si cela ne m'était pas arrivé quand j’étais gamin, ouais, je prendrais sans doute des pilules contre la douleur sur une base régulière.

    K: Mais, vous ne le faites pas

    D: Je ne prends rien.

    K: Maintenant, je suis intriguée par ce tatouage sur votre bras. Il semble très beau. Est-ce que vous l’avez obtenu au Vietnam?

    D: Non, c’est censé être une œuvre unique, de ma conception.

    K: Vraiment.

    D: En fait, c'est quelque chose qui m'est venu dans un rêve.

    K: Wow.

    D: Et, je l'ai conçu, et ...

    K: Est-ce un dragon?

    D: C'est un dragon. J'ai eu cette artiste de tatouage qui l’a fait pour moi et il est resté unique en son genre pour quelques années, et tout d'un coup j'ai commencé à le voir ailleurs. Elle a mis son travail sur son site Web. Et je suis allé dans les magasins Wal-Mart du coin il y a environ six mois et ce dessin était sur la couverture d'un roman de poche. Identique.

    K: Et, vous l'avez conçu?

    D: Et je l'ai conçu.

    K: Wow, cool. C’est vraiment bien. Donc, en qu'est-ce qui est arrivé au Vietnam, parce que vous avez une histoire vraiment étonnante à ce sujet?

    D: J'ai été au Nord-Vietnam à deux reprises à ce que je sache. Certaines de ces zones (de souvenir) sont encore troubles parce que, comme je l'ai dit, je continue à découvrir d’autres choses chaque jour.

    K: Ok.

    D: Une fois quand j'avais douze ans. Bon. Je connais des gens qui disent que c'était en 1972, que j’étais au Vietnam, que c’était en 1972. En fait, ce n’était pas le Vietnam, c’était le Cambodge. Nous n'étions pas supposés être au Cambodge. Un corps de Marines de la Navy et un corps de Marines de FORECON ont été cloués au sol par les Khmers rouges au Cambodge. Ils ont appelé des renforts pour que quelqu'un les sortent de là. Et, je vous dis exactement ce qu'un capitaine du corps de Marines FORECON et un capitaine de Marines de la Navy m’ont dit. Maintenant, j'ai mes propres souvenirs de tout ça, mais ils proviennent de mon point de vue. Je vais vous le raconter selon leur point de vue. Un hélicoptère noir, de type Huey, atterrit : 12 enfants en sortent. Ouais, il y a encore une ou deux choses. [émotions...]

    K: Prenez votre temps. Nous avons tout le temps au monde. Je peux comprendre.

    D: Je sais. Longue histoire courte ...

    [long silence, très émotionnel maintenant]

    Nous sommes sortis de l'hélico, avons formé un demi-cercle, et nous nous sommes tous tenus la main. Il y avait ...

    K: Étaient-ils tous des garçons ?

    D: Non.

    K: Étaient-ils tous environ du même âge ?

    D: Ouais, j’étais le plus âgé.

    K: Donc, tous d’environ douze ans?

    D: Entre neuf et douze ans. J'étais chef d'équipe. Nous nous sommes tenus les mains, avons levé nos bras, et nous les avons tous tués.

    K: Qui avez-vous tué ?

    D: Tous les soldats Khmer rouge sur 30km.

    K: Comment se fait-il que vos pouvoirs étaient capables de cibler l’opposant et pas ...?

    D: Je n'étais pas le ... J'étais comme la batterie principale, mais je ne suis pas celui qui a ciblé.

    K: Vous-même ne déteniez pas la puissance ? Vous tous étiez la puissance.

    D: Quelqu'un d’autre s’occupait de viser.

    K: C’était tous les enfants qui visaient ou juste l’un d’entre eux ?

    D: L'un des autres enfants.

    K: Ah ouais, ok.

    K: Connaissiez-vous les autres gosses ?

    D: J'en connais un à l’heure actuelle.

    K: Cette personne va-elle se faire connaître ou pas?

    D: Non, pas elle.

    K: Sont-ils même conscients d'être l'un d'entre eux?

    D: Oui.

    K: Ils le sont ?

    D: Ouais.

    K: Wow. Eh bien, nous apprécions vraiment que vous partagiez ça avec nous, parce que c'est de toute évidence quelque chose d’énorme et les gens n'aiment pas beaucoup parler du côté négatif des pouvoirs de l'esprit, mais cela est manifestement l'une des applications possible et il n'y a vraiment aucune raison de le cacher.

    D: Ce n'est pas ça... C'est drôle. J'ai fait beaucoup de choses qui n'étaient pas de mon fait, qui ne venaient pas de moi, de mes décisions. Certaines de ces choses ont apporté une réaction émotionnelle, d'autres pas. Certains sont du style "Et alors ?" Et sur d’autres je n'ai aucun contrôle, je traverse quelques émotions, et puis je suis très bien avec elles. Je ne peux pas pleurer sur commande. Croyez-moi j'ai essayé (rires). Mais, de la façon dont ça a m’été expliqué, c’est parfaitement logique. Douze enfants, imaginez douze piles connectées. Avec une seule pile, vous n’avez rien. Ajoutez-en une 2ème, vous obtenez une secousse. Mettez-en trois, vous obtenez une brûlure. Mettez-en douze, et vous serez électrocuté. C'est fondamentalement ce que nous avons fait. Les douze d'entre nous liés et associés à travers tout, en une sorte de demi-cercle ... à partir du centre, parce que j'étais au centre. Comme ça (illustre avec ses mains)... ... vers l’extérieur. C'est ce qui s'est passé.

    K: Et c’était quelque chose pour laquelle vous autres aviez été formés. Avez-vous une mémoire de tout? Quelque chose vous est-il revenu de vos entraineurs ?

    D: Vous vous rappelez de cette dame au magasin de fournitures ? Ouais, elle a figuré en très bonne place quand j'étais jeune. Dans le souvenir suivant que j'ai d'elle, elle porte une blouse de laboratoire. Et je suis dans cette maison, qui m’a été décrite comme un manoir, et j'ai quelques idées d’où se cache ou se cachait ce lieu, mais je n'ai aucune preuve. Il y a un. .. Je suis dans un couloir, il y a des carreaux verts et blancs, tout simplement énormes, des carreaux de 12 x 12 au sol. Et je fais quelque chose qui est un trait commun à tous ceux sortis d’ici. Nous ne mettons pas un genou à terre ou quelque chose comme ça - nous nous accroupissons. Cela n'a aucun sens à certains égards, mais pour nous ça en avait. Nous nous accroupissons sur la pointe de nos pieds, les bras ballants. Presque comme un animal. Environ 5 mètres plus loin se trouve un petit seau d'eau. Et ce que je fais, c'est que je soulève le seau, j’essaie de le retourner, et je le repose doucement.

    K: Soulever avec votre esprit ou avec vos mains?

    D: C’est exact, juste avec mon esprit.

    K: Je vois.

    D: Et ce que je fais c’est que je le soulève, je le fais tourner à mi-chemin, et juste là il tombe. Je n’ai pas réussi, je regarde autour et cette dame est derrière moi avec son calepin, prenant des notes, et j'ai essayé d'obtenir une réaction en essayant d'être agréable: «J’y suis presque parvenu, j’y étais presque», et en gros elle a juste regardé vers le bas en grommelant et s’est éloignée. Il n'y avait aucune gentillesse dans tout cela.

    K: Donc, OK, vous avez dit que vous vous rappeliez être allé deux fois au Vietnam. Quelle a été la deuxième fois ?

    D: La deuxième fois, tout ce dont je me souviens, c'est d’avoir été abattu. Nous allions décoller dans un Black Hawk. Désolé, ce n'était pas un Black Hawk, ça c’était dans un autre incident. C’était un Huey, et nous étions à environ 5 mètres du sol lorsque nous avons reçu un tir antiaérien et nous avons crashés, et ce capitaine de la Navy dont je vous ai parlé est celui qui m'a sorti de l'hélico.

    K: Et ce type est le témoin dont vous nous avez parlé au sujet de l'incident au Vietnam avec les enfants ?

    D: Correct.

    K: Et il en était en charge de… Où était-il à l'époque?

    D: Le plus simple pour vous parler de ce type - Toute sa famille était dans la CIA. Bon. Il fut l'un des plus décorés et détenait un record de tués au Vietnam. Ses talents de tireur d'élite étaient sans égal. Et, en même temps, il était aussi un capitaine de navire, il est allé cinq ou sept fois au Vietnam.

    K: On n'avait pas interféré avec sa conscience/personnalité comme avec vous?

    D: Il a quelques souvenirs, mais pas au même point que moi ou que d’autres gars.

    K: Alors, comment vous-êtes-vous retrouvés ?

    D: Quand mes souvenirs ont commencé à revenir, j'ai commencé à le chercher.

    K: Parce que vous vous rappeliez de qui il était quand vous aviez douze ans ?

    D: Oui. Je me suis souvenu de son visage et je savais qu’étant qui il était, il allait seulement se trouver dans certains milieux, et donc j'ai commencé à fréquenter ces milieux et je l'ai finalement trouvé. Nous nous sommes assis à une table dans un casino et avons commencé à échanger des histoires. Voilà ce qui s'est passé.

    Bill Ryan: Est-il prêt à se présenter et être enregistré ?

    D: Il l’est, oui.

    Bill Ryan: Vous le recommanderiez ?

    D: Oui, absolument.

    K: Ok, Alors, pouvez-vous nous en dire un peu plus? J'imagine que vous étiez un remote viewer (quelqu'un capable de vision à distance/ dans le futur)?

    D: Oui, mais pas le meilleur.

    K: Donc vous étiez physiquement entrainés, vous avez été « affiné » mentalement. Quel était votre titre ? En d'autres termes, vous avez dit que certains étaient des espions psychiques, que certains étaient des guerriers…

    D: Mon problème, et ce sont des équipes très fortes qui me l’ont dit, c’est que je me bats contre les capacités physique. Je ne les laisse pas aller, je les combats pour je ne sais quelle raison, je les bloque moi-même. J’ai été diplômé du Projet Talent....

    K: Quel âge aviez-vous alors?

    D: Cela devait être vers la moitié de mes 18 ans. J'étais devenu un soldat, un soldat avec des capacités psi. Comme je l'ai dit je ne suis pas l’une de ces personnes qui pourrait vous dire qu'elle a été mise dans une salle totalement noire et pouvait deviner ce que quelque politicien à 6500km de là mangeait au petit déjeuner. Je connais certaines personnes pouvant le faire, mais pas moi. Certaines personnes le peuvent, mais pas moi.

    K: Connaissiez-vous Joseph McMoneagle ?

    D: Ce nom me dit quelque chose. On me l'a déjà demandé avant, mais je ne suis sûr de rien.

    K: Où étiez-vous basé à votre avis ? Vous n'étiez pas basé dans le Kentucky.

    D: Non, non, je me rappelle être allé dans différents centres d’entraînement. Je sais avoir passé trois ans à Saint-Thomas, sur l'île de Saint-Thomas dans les îles Virgin, et ça m’a été certifié il y a trois ans : je vais dans le coin pour voir quelques personnes, et ils me regardent en disant qu’ils ne m’ont pas vu depuis que j’étais gosse.

    K: Ce que je veux dire, c'est qu’après vous avoir formé, où vous ont-ils utilisés ? Vous en avez la moindre idée ?

    D: Après le Vietnam, j'ai quelques souvenirs très vifs de quelques assassinats. J'ai des souvenirs d’avoir été sur des bases militaires et j’ai reçu la confirmation que j'étais à la station de Norfolk, Norfolk, Virginie, par un homme s’occupant du radar qui était en poste là quand j’étais avec mon équipe. Et il m'a contacté parce qu'il a vu ma photo, et il m'a raconté des choses étant réellement arrivées alors que je croyais que c’étaient juste des rêves/souvenirs et il me disait ça sans que je ne lui dise rien.

    K: Étiez-vous un assassin ?

    D: Oui, je l'étais.

    K: Comment assassiniez-vous les gens et quelle genre de personnes assassiniez-vous ? En avez-vous une idée? Étaient-ce des gens en temps de guerre?

    D: Non.

    K: Étaient-ils Américains?

    D: Certains, oui. Un assassinat, dont je me souviens très bien parce que c'était le dernier, la dernière fois que je faisais quelque chose pour le gouvernement, c’était à Washington DC, et j'ai mis trois balles dans le cœur d'un officiel d’une très haute agence de renseignements.

    K: Avez-vous un souvenir conscient de cela?

    D: De celui-là, oui. Je n'ai jamais su son nom. On m'a donné une photo, une cible, ses habitudes. J’ai fais le travail, c'est tout.

    K: Vous souvenez-vous d’opérations qui ont eu lieu dans d'autres pays?

    D: Oui, en France.

    K: En France?

    D: Oui.

    K: C'est intéressant.

    D: C’est le vif souvenir que j’en ai, on m’a également montré une photo de moi assis dans un petit café près de la Tour Eiffel. Je n'ai pas connaissance d’avoir été en France à cette époque, mais le gars me montre des Photos 8 x 10 en noir et blanc où j’apparais, en train de boire quelque chose dans une tasse avec de la vapeur qui s’en échappe. Je me rappelle que je faisais un travail, mais je ne me souviens pas de quoi il s'agissait. Un appât a été envoyé à l'intérieur du café et ce que femme avait à faire était de sortir le gars du bar, avec de la chance pas dans son état normal - si possible en état d'ébriété. Et mon travail consistait à l'attraper, obtenir les informations, puis le tuer. Je me rappelle de l'avoir attrapé, mais le souvenir s’estompe après.

    K: Maintenant, vous devez voir des films, non?

    D: Non. Je ne peux pas.

    K: Il ya beaucoup de violence dans les films, beaucoup de scènes de ce genre de choses, et je me demandais si cela pouvait déclencher certains de vos souvenirs.

    D: C’est le cas, ils le font. J'aime la lutte. En fait, j'avais l'habitude d'intégrer des techniques de lutte professionnelle dans mon enseignement, quand j'étais un instructeur. Ce n'est pas de la violence en soi. Le dernier film que j'ai essayé de regarder de ce genre est Bourne Identity (La Mémoire dans la Peau). Je n'ai pas pu voir la moitié. Car je change totalement.

    K: Ok, vous voyez votre personnalité changer?

    D: Ma personnalité change, et Dieu aide quiconque regarde le film avec moi, bien qu’en général je me lève et je me barre. Les films de science-fiction ne me dérangent pas, mais tout ce qui concerne les Black Ops (opérations secrètes) du gouvernement, la CIA, la NSA, les exécutions secrètes, je ne peux pas.

    K: Avez-vous le souvenir d'autres planètes? Je sais que cela peut paraitre un peu étrange…

    D: Non, en fait, non. Il y a une chose que certains d'entre nous partagent et c’est une peur et une appréhension profondes de la planète Mars. Invoquer la planète Mars pour nous, c'est juste comme regarder un de ces films. Il y a quelque chose à propos de Mars, qui changeait notre comportement entier à cette époque. Je connais une personne qui dit catégoriquement qu’on ferait mieux de laisser Mars tranquille. Laissez Mars tranquille.

    K: « Le laisser tranquille », c’est-à-dire ne pas en parler ou ne pas y aller ?

    D: Ne pas y aller, parce qu'ils sont en train de réveiller quelque chose.

    K: Sur Mars?

    D: Mm hm.

    K: Avez-vous toujours des capacités psychiques?

    D: Bien sûr.

    K: Donc, vous devez avoir des pensées en associations avec Mars. Êtes-vous prêt à en parler, parce que je sais que vous nous avez dit que vous aviez des maux de tête parfois après certaines de ces rencontres où vous divulguez et remontez le temps dans votre esprit et vos histoires.

    D: J’en ai déjà un bon, là. Les maux de tête font partie du conditionnement. C'est un faux mal de tête, c'est un mal de tête programmé.

    K: Je voulais savoir si vous aviez vu certaines machines spéciales ?

    D: Oui, c’est souterrain.

    K: Avez-vous vu une certaine espèce d'êtres là-bas ?

    D: Oui, ils sont en stase.

    Bill Ryan: Comme une sorte d'hibernation artificielle induite ?

    D: Oui (hochant la tête), merci.

    K: Ce ne sont pas des humains qui sont en stase ?

    D: Non.

    K: Ce sont les êtres?

    D: Ils sont très grands et ils ont les traits longs.

    K: Ils ressemblent à des Égyptiens?

    D: Oui. Assez bien.

    K: Vous parlez beaucoup de colère dans le récent entretien que vous avez donné sur votre site ?

    D: Oui.

    K: Pouvez-vous nous en dire un peu plus à ce sujet, nous la décrire et comment vous y faites face ?

    D: A un moment c’était de la rage pure. Lorsque ces souvenirs sont revenus et que je me suis assis et que j’ai commencé à mettre ensemble toutes les choses qui ont commencé quand j'avais 6 ans, tout ce qui m’a été fait, ce que j'ai été forcé de faire, c'était de la pure rage. Ma première réaction fut d'aller à DC et de juste péter un câble. Bon. Eh bien, comme le dit le proverbe, je suis fou mais pas idiot, et en tant que combattant j'ai été formé à canaliser ma colère, ne pas laisser ma colère me canaliser et c'est ce que j'ai commencé à faire. Ainsi, au lieu de devenir tellement enragé que je ne peux plus rien faire, j'ai retourné cette colère pour que quand je suis tellement enragé, je veuille au contraire faire quelque chose, et je suis resté comme ça.

    K: Alors, est-ce pour cela que vous avez commencé à écrire des livres?

    D: Non, en fait quand j'ai commencé à écrire, c’était comme pour faire ma propre thérapie, juste pour tout faire sortir, et je n'avais encore jamais rien écrit, et quelqu'un en a lu un peu et m’a dit que c’était très bon, que je devais continuer, ce que j’ai fait.

    K: Vous avez un livre qui sort, c'est ça?

    D: Oui, Deadly Awakening (Mortel Réveil). Il s'agit de tout ce dont nous venons de parler ici, plus tous les « chemins de traverse » que nous n'avons pas eu le temps d’évoquer. Ils vont soit disant en faire un film, ce qui m'a complètement pris au dépourvu.

    K: Eh bien, c'est merveilleux, c'est très excitant.

    Bill Ryan: En termes de raconter votre histoire à un public plus large, que souhaiteriez-vous voir résulter de tout cela ?

    D: Je voudrais voir suffisamment de gens se réveiller, marcher sur Washington, et dire stop à ces projets et tenir les gens pour responsables. Il n’y aura de recours collectif contre ces gens. Il n'y aura pas de poursuites judiciaires. C'est ok, je l’ai accepté depuis des années. Toute autre personne impliquée doit l'accepter. Juste les tenir pour responsables et arrêter le processus.

    Bill Ryan: Pensez-vous que cela se passe encore aujourd'hui ?

    D: Oui, absolument je le pense.

    Bill Ryan: Avez-vous une idée sous quelle forme ces projets continuent ? Ils ont dit que dans les années 60 il y avait environ un millier d'enfants et qu’il n’en reste seulement qu’environ 60 ?

    D: En 1966, il était supposé y avoir 1000 enfants qui ont été pris dans mon groupe. Il n'y en a qu'environ 20 d'entre nous, maintenant. Je pense que je dois l’expliquer. Nous étions vraiment, à 6-7 ans, poussés à la défense pour survivre. Nos personnalités ont été divisées. Tout enfant normal, toute personne normale ne pourrait pas faire les choses que nous avons faites, dans un état d'esprit normal. Donc, ils ont dû scinder nos personnalités pour avoir page blanche avec une nouvelle personnalité qui est sans rime ni raison, sans concept du bien ou de mal, sans aucun concept. Alors ils en ont fait ce qu’ils voulaient. C'est ainsi qu’ils ont scindé ma personnalité. Maintenant, je ne sais pas, je suis sûr qu'ils ont fait identiquement la même chose à d'autres, mais je sais pour fait qu'ils n'ont pas fait la même chose à chacun. Il y avait des techniques différentes pour des enfants différents. De la façon dont ils me l’ont décrit lorsque j'étais enfant "Ce sont vos traitements", une terminologie presque médicale. Imaginez, à six ans ... et le plus drôle est que je peux le décrire avec très peu d'émotion parce que ça m’est arrivé, ce n’est pas quelque chose que j'ai fait.
    Vous êtes attaché nu sur une chaise en bois, les bras comme ça, vous êtes attaché, ici, ici et ici. Les bouts de vos doigts sont étalés et des choses y sont insérées, ainsi vous ne pouvez pas faire cela (il bouge ses mains et ses doigts sur la table) et je sais que vous l’avez remarqué, parce que je l'ai vu dans votre esprit et dans vos yeux, j'ai une phobie en ce qui concerne le bout de mes doigts. Ce qu’ils ont fait c’est qu’ils ont inséré des aiguilles sous mes doigts. Ça fait déjà assez mal, puis ils raccordaient ces aiguilles en haut sur du courant électrique et ils allumaient. Le Waterboarding (simulacre de noyade) c’est quand vous noyez une personne puis que vous la « ramenez », puis que vous la noyez à nouveau et ainsi de suite. Dans mon cas, ils le firent des deux façons, attaché à une chaise et en m’aspergeant à l’aide d’un boyau d'arrosage jusqu’à ce que je ne puisse plus respirer et puis ils me faisaient revenir à moi. J’ai le souvenir d’avoir la tête trempée. C'est pourquoi je n'aime pas nager.

    K: Quel aurait été le but de tout cela?

    D: Provoquer la douleur - une douleur intense. Qu'advient-il lorsque le corps et le psychique affrontent une quantité de douleur qu'ils ne peuvent tolérer, c’est le noir, vous vous évanouissez, vous perdez connaissance. Eh bien, les Allemands avaient apporté plus d'une drogue avec eux. Une fois injectée (une de celles-ci), elle bloque les récepteurs. Vous ne pouvez pas perdre connaissance, vous ne pouvez même pas vous forcer vous-même à vous évanouir. Ainsi, une fois que le psychique arrive à un point où il n’en peut plus, vous avez deux choix, basculer dans une autre personnalité, et vous survivrez, ou mourir.

    K: Ok, je comprends, lorsque la douleur devient trop insoutenable, la seule façon de survivre et de rester stable est en fait d'aller ailleurs mentalement ?

    D: Exactement.

    K: Et vous allez si loin que vous créez une autre personnalité?

    D: Justement, vous créez un individu totalement séparé d’où ils peuvent tirer la personnalité ultime : un moment je suis moi et à l’instant suivant, je suis quelqu'un d'autre. Maintenant, je suis de retour à moi. C'est comme ça qu'ils vous voulaient.

    K: Vous avez vu The Manchurian Candidate (Un Crime dans la Tête)?

    D: Non.

    K: Vous ne l’avez jamais vu ?

    D: Non.

    K: Ok, bon, si je me réfère à ce film, vous savez de quoi je parle?

    D: Ouais. Je sais ce qu'est un 'Manchurian Candidate', ouais.

    K: Vous savez de quoi il s'agit, ok. Est-il possible que vous puissiez être activé par un appel téléphonique d'aujourd'hui ?

    D: La dernière fois que j’ai effectué un travail, c'est ce que c'était, j'ai reçu un appel téléphonique au beau milieu de la nuit. Est-ce que je peux être activé maintenant? Je ne crois pas. Ils ont fait cramer la puce.

    K: Ok, vous croyez que c'est une tonalité, ou des mots? Avez-vous une idée de ce que c'est? C’est de la musique ?

    D: Je pense que c'est une combinaison et je pense qu’il y a plus d’une combinaison. Pour avoir une combinaison sécurisée, il faut une combinaison contenant plus qu'un numéro, donc je pense que c’est ce qu'ils ont fait, ce qu’ils ont mis en place ... Il doit y avoir un système de contrôle, d’équilibre, de sécurités, de telle sorte que si vous regardez la télévision et que tout d'un coup vous entendez le mot en question ou quoique ce soit, et que vous vous énervez et vous mettez à tuer tout le monde, alors vous commenceriez à voir ça arriver un peu partout, donc il doit y avoir une sécurité intégrée pour empêcher que cela se produise, aussi ai-je toujours pensé qu’il s’agissait d’une combinaison de mots, de tonalités, de chiffres, ce que vous voulez. Ce qui s'est passé durant cette nuit c’est que je suis allé me coucher, ma femme et moi étions au lit, le téléphone sonne, je l’attrape, décroche et le met à mon oreille, pas plus de trois secondes ne se sont écoulées que je raccroche, je remets le téléphone en place, je me lève, je m'habille et je pars. Je suis parti trois jours et trois nuits, et à cette époque, nous habitions exactement à 18km de l'aéroport par lequel vous êtes passés pour venir ici. Quand je suis revenu trois jours plus tard il y avait seulement 36km supplémentaires au compteur de la voiture. J’étais allé à l'aéroport.

    K: Mais vous n'avez aucun souvenir de l'endroit où vous êtes allé?

    D: Je suis allé à DC et j’ai éliminé cet individu.

    K: En quelle année était-ce ?

    D: 1985.

    K: Donc, c'était il y pas mal de temps.

    D: Ouais. Et, voici quelque chose que je vais vous dire que je ne voulais pas mettre sur bande. Je suis assis dans ce restaurant mexicain, un très joli restaurant mexicain à deux étages, et j'entends quelqu'un rire. C'était avant que le désormais président soit gouverneur du Texas. Je regarde et il y avait George (Bush) Junior assis au comptoir avec les gardes du corps des services secrets, saoul comme une barrique avec les services secrets tentant de le ramener au calme. C’est à ce moment-là que je me suis complètement réveillé. Je ne me souvenais pas d’avoir conduit jusqu’ici... je regarde autour de moi, et je me dis: « Où diable suis-je ici ?» mais il (Bush) était encore là, et je n’avais qu’une impulsion - le tuer. L'achever. Et j'avais une arme dans ma poche. Et pour je ne sais quelle raison, j’ai combattu mon impulsion et je ne l’ai pas tué.

    K: En d'autres termes, vous vous rappelez de qui il est maintenant, mais à l’époque vous ne saviez pas qui il était ?

    D: A l'époque je n'avais pas la moindre idée de qui il était. J'étais assis là quelque temps plus tard et je regardais les nouvelles annonçant que le gouverneur Bush avait posé sa candidature à la présidence et je le regardais et je pensais "Sacré ...".

    Bill Ryan: Était-ce avant qu'il ne devienne président?

    D: Oui.

    Bill Ryan: D’accord.

    D: Des années auparavant.

    Bill Ryan: Alors, dans ce contexte, peut-être cela a-t’il encore plus de sens ?

    D: Oui, ça le rend encore plus effrayant.

    K: Qu’en est-il des bases souterraines ? Croyez-vous avoir déjà été dans une de ces bases ? Y Avez-vous déjà été ?

    D: Je sais où il y en a une, ici, dans cet État. Quand j'étais vers la fin de mon l'adolescence, surtout les dernières années, ce dont je me souviens, c’est que la ferme où nous vivions était située dans une vallée et il y avait d'anciens chemins d'exploitation forestière qui parcouraient toute la vallée. Je courais bien 8km à monter et descendre les collines sur une bonne route. Il y avait aussi quelques mines épuisées vers le sud-est là-bas. Un jour, je les traverse en courant et je décide de descendre la colline pour jeter un coup d’œil. Aussitôt que je commence à descendre, je sens les vibrations dans le sol, alors je me baisse pour mettre mon oreille plus près du sol de la façon dont mon grand-père m'avait appris, je me relève et cette petite voix dit "Dégage d’ici", et alors que je rebrousse chemin en courant, un hélicoptère se pose. Je n’y suis plus jamais retourné, mais les jours suivants, deux choses se sont produites à la fois. Mon père avait un ami. Son nom était Paul Preston. Paul Preston était, et est toujours quelqu'un que j'achèverais bien avec extrême préjudice. Je m'en fous de dire cela. Quand j'avais quatorze ans, nous nous apprêtions à travailler les champs, nous avions une ferme et je travaillais sur un tracteur. Nous habitions à environ 1,5km de la vieille route, en retrait de la route principale, et je pouvais sentir un véhicule arriver sur la route avant qu'il ne soit à mi-chemin. Je m'arrête et je regarde attentivement, et je pouvais voir cette camionnette gris-argent remonter dans l'allée, toute neuve avec une antenne UHF sur le dessus. Je n'avais jamais rien vu de tel. Encore une fois, c’était le Kentucky au milieu des années 70, personne n’avait autant d'argent, c'était avant le boom du charbon, avant la crise de l'énergie, avant que l'on puisse gagner 20$ de l’heure, les gens étaient chanceux s’ils pouvaient toucher un salaire minimum. Bon. Et ce mec sort de cette camionnette sur laquelle je remarquais qu'il y avait des plaques texanes. J'avais entendu mon père parler de ce gars-là, qu'ils étaient amis d'enfance et puis cela m’a été confirmé plus tard qu'ils étaient dans la CIA ensemble et que Paul Preston avait été chef de station dans plusieurs domaines. Il descend de la camionnette, m'appelle par mon nom. Je n'avais jamais rencontré ce gars, à ma connaissance, et à ce moment j'ai eu deux pensées : l'une était de courir, car ce mec c’était des mauvaises nouvelles, ce mec était dangereux, courir ; l'autre était de le tuer avant qu'il ne me tue. Je n'avais que quatorze ans, mes cheveux étaient plus longs que maintenant, et mon père sort de la maison, ils se serrent la main, se tapent dans le dos, accolade et tout ça. M. Preston regarde mon père d’un air très grave, et lui dit qu’ils doivent parler. Mon père change d'expression, et ils disparaissent pendant une vingtaine de minutes. Pendant ce temps-là, je prends la boîte à outils et j'essaie de faire marcher le tracteur, la charrue de printemps, ce genre de trucs. Vingt, trente minutes plus tard, Paul Preston sort de la maison, il ne me parle pas, il est de mauvaise humeur, grimpe dans le van et s’en va. J'ai à peine vu mon père le reste de cette journée parce que c’était tôt le matin, et ça allait encore. Vous n’auriez pas voulu être près de lui pour le reste de la journée, c’était un Irlandais colérique. Eh bien cette nuit-là, ok, ma mère avait l'habitude de s'asseoir sur le perron la nuit et je dormais à l'étage. Elle est arrivée cette nuit-là vers dix ou onze heures, criant à mon père qu'il y avait quelque chose au-dessus de la maison et le temps qu’il sorte, ça avait disparu et j’ai pu entendre leur conversation. Elle a dit que c’était plus grand que la maison, que c’était rond avec des lumières tout autour. Je ne savais rien au sujet des OVNI. Je ne connaissais rien à ce sujet. Je connaissais l'agriculture, les arts martiaux, je savais comment me battre, pister, chasser, etc etc, mais je ne savais rien à ce sujet. Donc, la nuit suivante, cela arrive de nouveau. Le troisième jour, quelque chose m’est arrivé. Tout le temps, je travaillais et je m'entraînais, je travaillais et je m'entraînais… Je travaillais plus dur que jamais auparavant. Je pense que ça impliquait que je devais me coucher tôt, car c'est exactement ce que j'ai fait, je suis allé me coucher tôt. Cette nuit-là, je vais au lit, je reste allongé là, je ne sais pas combien de temps, mais je me sens comme en feu, et alors que je m’éveille instantanément, je ne peux plus bouger. Tout ce que je peux faire, c'est ouvrir les yeux, et tout l’étage au-dessus est baigné de lumière et je peux voir une silhouette bipède debout près du lit. Je distingue une tête, je distingue les bras, je peux voir les jambes, et c'est tout et je sais qu'il me parle, qu’il me dit quelque chose et je me souviens ensuite que mon père me secoue par les épaules avec mes frères, parce qu’ils ont vu la lumière et ont cru que le premier étage était en feu. C'est tout ce que dont je me souviens. Ensuite, je ne me rappelle plus de rien jusqu’à ce que j'aie presque 18 ans.

    K: Vous voulez dire que vous n’avez aucun souvenir d’entre vos 14 et 18 ans ?

    D: Je n'ai pas eu de permis de conduire jusqu'à mes presque dix-huit. J’aurais du l’avoir quand j'avais seize ans. Je ne l’ai pas eu avant dix-huit ans parce que je n'étais pas là pour le passer.

    K: Vous souvenez-vous à quoi ressemblait l’Être, en dehors des 2 bras et des 2 jambes ?

    D: C'est tout ce que j'ai pu voir, un torse, deux bras, deux jambes, et une tête, non pas une tête de forme ovale, mais une tête en forme de tête, une tête de forme normale. J’ai estimé sa hauteur à environ 3 mètres, il était blanc également, mais d’une nuance de blanc plus pâle que le reste du blanc dans la pièce. Je pense que tout ça va ensemble, la visite de Paul Preston, l’engin au-dessus de la maison, encore une fois je pense que tout est lié.

    K: Et la colère de votre père peut-être aussi ?

    D: Ouais, je pense qu’il a cru, pour une raison quelconque, que j’étais en dehors de tout ça et que, pour une raison quelconque, Paul Preston est venu lui dire que non. Je ne pense pas qu’il ait eu le choix en la matière. La seule colère que je ressens contre eux est de ne pas s'être manifestés et de ne m'avoir rien dit, surtout quand adulte, je commençais à avoir des retours de souvenirs et je demandais d’où ça venait. Je sais que ce n'est pas ce qui s'est passé, quelque chose n'allait pas. Je crois que je mérite mieux comme réponse que "Pas possible de le dire" et puis s'en aller. La première chose que j'ai fait quand mes souvenirs ont commencé à revenir, c’est que j'ai commencé à rechercher de vieux amis. Et, j’allais leur demander où ils étaient et qu'est-ce qu’ils avaient fait au cours des années, 73, 74, 75. J’avais le souvenir d’avoir fait des choses et chacun d'entre eux, à un moment précis, disaient «nous avons fait ça». « Je m’en rappelle » (disais-je) et alors ils disaient « comment pourrais-tu ? Tu n’étais pas là». Et un gars est même allé jusqu'à dire «nous sommes allés jusqu'à la ferme pour venir te chercher, un jour, pour voir si tu avais envie de t'en aller, nous n'avions plus de nouvelles de toi, et ton père nous a fait décamper." Ce que j’avais de ces années étaient de faux souvenirs. Les souvenirs que j'avais du camping, d’aller au Diary Queen, vous savez ce genre de choses, ont été implantés.

    K: Vous avez également écrit que l‘un de vos bras était « branché » ?

    D: Le bras droit. Oui, l'implant se trouve ici (il montre la partie supérieure droite de son omoplate). Je sais que c’est là pour deux raisons précises : l’une est qu’un gars a placé un compteur dessus et l’a détecté ainsi, l’autre est que ça démange, et ce que c’est, c’est ce que j’appelle un ‘améliorateur’ qui augmente la force physique et la vitesse, avec comme des sortes de fils électriques qui courent de là jusqu’à mes doigts, et c'est seulement dans cette épaule, ce n'est pas dans tout le corps. Ce sont la main et le bras avec lesquels j’ai explosé de nombreux sacs lourds. En fait, il y a eu cet incident où j'ai attrapé et soulevé en l’air un gars qui faisait bien 18kg de plus que moi, et quand j'ai réalisé ce que j'avais fait, je l’ai laissé retomber. Je ne sais comment tout ce circuit est relié, je ne connais vraiment pas cette science, mais je sais que c'est lié aux scénarios de combat et de fuite, quand il y a du danger, ça se déclenche, si je me sens menacé, ça se déclenche. Le lancer d’énergie, ouais, ça m’a vraiment foutu la trouille quand c'est arrivé. J'avais un travail à Lexington, l'endroit s’appelait à l'époque The Kitchen Community. Ce n'était pas une cuisine. Ce que c’était, c’était une installation pour les sans-abri, les indigents, ce genre de choses. Nous avions des cabinets de médecins, nous avions des bureaux de services sociaux, des douches, des vêtements, tout ça, mais c’était aussi un refuge pour les dealers, les escrocs, les agresseurs, les violeurs, les assassins, ce que vous voulez, ils venaient là. Nous pouvions avoir de soixante à une centaine de personnes dans l'installation à la fois, j’étais chef de la sécurité et nous avons eu une bagarre qui a éclaté, ce n'était rien, nous avions trois ou quatre bagarres par jour, ok, mais là nous avions deux filles impliquées. Elles se battent pire que les hommes, ok. Et mon collègue a plaqué l’une d’elle au sol, j’étais en train de plaquer l’autre au sol, et quand je dis la plaquer au sol, j'étais juste assis là, avec un bras sur son épaule. Ça la faisait rire. Ce que je sais c’est qu’ensuite, je regarde en l’air et je vois ce très grand homme debout au-dessus de moi et il a trois ou quatre amis avec lui et il me sert cette rengaine, "je te donne jusqu'à... pour la relâcher ou c’est moi qui m’en charge ". Eh bien, j'ai basculé, je suis sur au sol, je lève les yeux, je vois que je suis en infériorité numérique, vaincu. J’ai changé. Normalement, j’aurais juste du rouler hors du passage, me lever, commencer à l’injurier en le repoussant en arrière, et le jeter dehors à travers la porte, mais non, je me suis levé et je l'ai frappé et les témoins disent que je l'ai frappé non pas une, mais douze fois en l'affaire d'une seconde. Ça lui a brisé le cou. Son cou était aussi gros que mes jambes et ça lui a cassé le cou. Eh bien, quand ça s'est produit, toute l'installation est devenue folle furieuse. La moitié d'entre eux venaient vers moi et mon partenaire et l'autre moitié s'en servait comme d'une excuse pour ‘attraper’ ceux qu'ils n'aimaient pas, et c'est durant ce moment que s’est passé quelque chose que je ne peux pas expliquer. C'était comme si j’étais sorti de l'espace et du temps, tout est passé en noir et blanc, tout est passé au ralenti. C'est comme si j’avais tout le temps au monde pour aller du point A au point B, parce que ce gars ne bouge pas. Ok, et c'est comme si je me promenais devant les gars et Bam, bam, bam, je les descendais, et puis je suis saisi. Ce type me saisit à la gorge et j’ai juste fait un pas latéralement et j’ai pointé les paumes de mes mains vers le bas, juste pointées vers le bas et j’ai poussé un cri perçant dans mon esprit. Le gars monte en l’air et redescend. Je ne l'ai jamais touché. Et quand c’est arrivé, ça a mis fin à toute la bagarre. Je me tiens là et je regarde autour et je prends tout à coup conscience que tout le monde ici me fixait et que pendant ce temps les flics avaient été appelés. Donc, voici qu’arrivent les flics, voici les ambulances, les ambulanciers, et j'ai parlé à l'un des flics pour le rapport. La moitié d'entre eux sont emmenés à l'hôpital, l'autre moitié d'entre eux n'y ont pas droit, d'autres sont conduits en prison. Et je suis allé au bar le plus proche que j'ai pu trouver, et je me suis assis là, parce que je ne savais pas quoi faire. Je savais que quelque chose s'était passé. Je savais que c'était vrai parce que les gens venaient vers moi me dire « Qu’est-ce-que vous avez fait ? », « Comment vous avez fait ça ?» Et je n'ai pas de réponse pour eux. Je ne sais pas.

    K: En quelle année cela s’est-il produit ?

    D: 1989 ou 1990. J’essaie... J'ai eu tant de jobs, durant tout ce temps, durant ces années, et l’on m’a dit que c’est un autre aspect révélateur de nous autres qui sommes issus de ces Black Operations. Je sais par expérience personnelle que ce pouvait sembler être la meilleure place qui me soit arrivée pour deux ou trois mois et puis soudain un patron ou un superviseur viendrait trouver un problème et nous serions virés. Ce que j'ai découvert au cours des années est que ce n'est pas unique à moi. Ils veulent vous garder en-dessous du seuil de pauvreté, maintenir votre esprit occupé sur d'autres choses.

    K: D’accord, la survie, la survie quotidienne de sorte que vous ne puissiez pas aller plus loin dans votre propre mémoires des choses.

    D: Et, il y a également une autre raison à cela, et plus d'une personne me l’a dit : qui écoute quelqu'un qui est fauché ? Tout le monde écoute quelqu'un qui est riche, et je pense que ces deux choses participent à cela.

    Bill Ryan: Il y a un incident que vous avez également rapporté que vous avez décrit comme une sorte de téléportation où vous êtes passés à travers un mur et aviez un témoin.

    D: Oui, absolument.

    Bill Ryan: De quoi vous rappelez-vous ?

    D: Ca me fout la trouille à chaque fois que j'y pense. C'était dans une maison dans l’Oklahoma et j'aidais une amie à moi à déménager et j'étais dans cette chambre à coucher et elle était dans la cuisine. Pour moi, de passer du lit à la porte d'entrée aurait impliqué de descendre, traverser en coupant par un couloir, descendre, traverser un couloir. Eh bien, comme je le disais elle était dans la cuisine, c'était une ligne droite : cuisine, salle de séjour, porte d'entrée, il n’y avait ni porte, ni mur entre. Eh bien, elle lisait et faisait ses affaires dans la cuisine et je dormais à poings fermés, et son plus jeune fils se lève en criant et va à la porte d'entrée essayant de sortir. Il est 2 ou 3 heures du matin. Elle bondit et commence à courir pour l’attraper. J'entends le cri, je me souviens de m’être redressé sur une épaule, et voir dans mon esprit le gosse arriver en direction de la porte, passer la porte. Elle a dit que j’étais sorti d’à travers le mur devant elle et que tout ce qu'elle avait pu faire c’était de s'arrêter et dire ‘Whoa’. Et, je pense que quoique j’aie pu faire, si je m’étais retrouvé coincé dans ce mur, cela aurait été marrant. Mon grand-père, du côté de la mère de ma mère, était un cherokee pure souche et il m'a donné le nom de Plume Grise et un jour je lui ai demandé, j'ai dit “Papy, qu’est-ce-que veut dire Plume Grise ” ? Et il a dit que “j'étais un intermédiaire” et il avait un accent et je lui ai demandé ce qu’il voulait dire et il a dit “Tu marches entre les mondes” et c'était avant que je sache quoique ce soit. J'ai vu le 11 septembre deux semaines avant que ça n’arrive. Je l’ai évoqué sur quelques forums du Net et on a ri de moi. Je vivais à Delaware à ce moment-là, directement sur la rive est, pas très loin à pieds de la plage. J’avais un voyage planifié vers Boston, quelques jours avant, parce que nous allions le faire par la route, je reçois un coup de téléphone et c'est une voix digitalisée métallique qui dit de repousser le voyage, dans un délai de deux jours, plus ou moins un jour, car quelque chose de gros va arriver à New York et qu’on ne voudrait pas être pris dedans.

    K: Maintenant, avez-vous eu d'autres prémonitions qui ne se sont pas encore réalisées ?

    D: Ouais, j'ai vu ce pays presque coupé en deux, je veux dire physiquement coupé en deux. Encore une fois, je vivais au Delaware et je me reposais juste, c'était une de ces périodes où une minute je suis ici et la minute suivante je suis là, regardant d'en haut les États-Unis. C'était avant que je sois au courant du super volcan et tout ça, mais j'ai vu cette zone allant du Canada jusqu’au Mexique, toute la partie Ouest du pays qui se détachait du reste des États-Unis et ce que je vois ressemble à un fleuve de feu descendant tout le long jusqu’en bas.

    K: Et avez-vous une idée de quand ça allait arriver ?

    D: Bientôt, très bientôt.

    K: Donc faites-vous des plans pour vous et votre famille à cause de ce que vous rêvez ou voyez ?

    D: Ouais.

    K: Vous avez trouvé un endroit sûr ?

    D: Il ne va pas vraiment y avoir d’endroit sûr. La meilleure préparation que je connaisse est d’être capable d'être mobile. Il n'y a d'endroit sûr pour personne…
    J'ai commencé à m’afficher publiquement quand je vivais au Delaware après qu’on ait attenté à ma vie.

    K: Quand était-ce approximativement ?

    D: 2002. J'avais d'autres choses qui étaient arrivées, mais rien avec quoi je puisse faire quelque rapprochement. Maintenant, je fais un rapprochement. J'étais dehors à faire du jogging, et c'était l'hiver, et j'entends une moto. Une moto ? Êtes-vous déjà allé sur la côte Est en hiver quand le vent souffle ? C'est glacial. Et je suis en train de faire mon jogging et j'entends une moto et je dresse les oreilles, mes cheveux commencent à se dresser, et je passe d'une allure de course à une allure plus légère et je vois la moto, la moto toute noire, aucun insigne, juste toute noire, avec deux motards habillés de noir avec des visières opaques noires. Je vais dans cette direction et ils vont dans cette direction (directions opposées). Tout se passe si lentement, j'essaie de comprendre comment au monde la moto tient debout. Et alors qu’elle se rapproche, j’imagine des scénarios, j’ai des poids aux poignets et aux chevilles, ok… j'attends de le voir sortir un flingue, alors je vais me dégager, me jeter, rouler en avant, donner un coup de pied dans la roue arrière, essayer de prendre l’avantage. Le gars ouvre en effet son manteau, passe ses mains dedans - c'est le conducteur. Tout ce que je le vois en sortir c’est ses deux doigts, qu’il pointe vers moi en faisant ça (il imite un coup de feu avec la main) puis « rengainer ». J’ai cru que c'était juste un avertissement, bon, et ils s’en vont lentement en descendant la route empruntant l’itinéraire pour aller vers le nord. Je n’avais pas fait dix pas, que je me suis mis à vomir, de la bile, de tout, j’ai du ramper jusqu’à chez moi, j’ai été malade pendant trois jours, je suis allé finalement chez le docteur et il a dit que j’avais une sorte d’infection virale inconnue. Il m'a vraiment tiré dessus... mais pas avec un flingue.

    La moitié des gens qui entendent ce que j’ai à dire considèrent tout ça en pensant que ce n’est qu’un gros tas de mensonges de merde : « il est impossible que ce genre de chose puisse arriver », etc. etc. etc. Eh bien, je donnerai une réponse que j'ai donnée à un gars une nuit, lors d’une émission radio. J’aimerais bien que cela soit vrai, que je puisse être capable de prendre un comprimé quotidien et d’avoir une vie agréable, mais je ne peux pas parce que c'est arrivé et je ne connais pas toute l'histoire moi-même, et peut-être que je ne la connaitrais jamais. Ce qui m'est arrivé et je veux parler de la personnalité multiple, c’était juste la partie visible de l'iceberg, ok. Je me rappelle des raclées, d’avoir été jeté nu dans un réfrigérateur, une chambre froide, parce que je n’avais pas réussi à bien faire quelque chose, mais ça n’arrivait pas qu’à moi, mais à nous tous dans ce groupe en particulier, et ce genre de truc ne devrait pas arriver. Nous nous considérons comme étant une société libre civilisée. Il n'y a rien de civilisé là-dedans, il n'y a rien de libre là-dedans. Il y a la force dans le nombre. Je voudrais bien voir, je veux dire allez, vous avez un million d'homme marchant sur Washington rassemblé par quelqu'un dont le gouvernement se moque. Pourquoi nous ne pourrions-nous pas faire la même chose ? Ce truc doit s'arrêter. Vous savez, les gens, comme je dis, nous sommes censés vivre dans une société libre civilisée. Ce n’est pas le cas. Quand ils peuvent venir et vous prendre alors que vous êtes enfant, vous transformer en tueur et vous utiliser ensuite et abuser de vous et quand ils en ont fini, vous jettent, et vous avez demandé précédemment ce que je voudrais voir sortir de tout cela et dans mes films/vidéos ou autre à venir.

    Je veux m'asseoir dans une chaise comme celle-ci à Washington DC, devant le Sénat au complet, et exiger des réponses.

    Je l'ferais en un battement de cœur (sans sourciller). J'suis pas timide.

    Source en francais:
    http://projectcamelot.or
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    Message  ForceTranquille 1/4/2011, 23:45

    Merci Kyushi, il existe une vidéo de cette interview, je l'avais vue mais je ne sais plus où.
    Cet homme est un exemple de ce qu'ils peuvent faire. Voilà à quoi servent aussi de nombreuses recherches en psychologie, à détruire. Bien que l'on ait tendance à penser naïvement que la recherche du comportement humain ne peut apporter que de bons fruits. Hé bien non.

    Dans ta vidéo Tonino on voit Carla Bruni, amie ou ex amie de Karen Mulder. Ca me met donc un doute : Carla Bruni serait-elle victime de contrôle mental elle aussi? Est-elle un esclave sexuel offert en cadeau à Nicolas Sarkozy pour le remercier de servir les intérêts de l'élite et non du peuple?
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    Message  Kyushi 1/4/2011, 23:57

    Et voici la vidéo, mais en anglais seulement:



    PS: Merci paralleye pour la version VOSTFR ^^


    Dernière édition par Kyushi le 2/4/2011, 00:48, édité 1 fois
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    Message  paralleye 2/4/2011, 00:41

    L'interview/vidéo dont vous parlez existe en VOSTFR :

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    Message  al_ankabout 2/4/2011, 01:03

    Rien "d'extraordinaire", mais je vous suggère ce manga intitulé "Spriggan", ca mélange différents genre, dont "Monarch"... et d'autres choses encore, le scénario est intéressant je trouve...
    Toujours intéressant d'étudier ces questions à travers la culture, et surtout les mangas!

    https://www.nautiljon.com/animes/spriggan.html

    L'unité d'élite en question, les "Spriggan" compte un membre "Monarché" convoité par le gouvernement US



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    Message  Invité 2/4/2011, 13:37

    ForceTranquille a écrit:

    Dans ta vidéo Tonino on voit Carla Bruni, amie ou ex amie de Karen Mulder. Ca me met donc un doute : Carla Bruni serait-elle victime de contrôle mental elle aussi? Est-elle un esclave sexuel offert en cadeau à Nicolas Sarkozy pour le remercier de servir les intérêts de l'élite et non du peuple?

    Je mettrais ma main a couper que cette carla b. est sous controle mental.

    Observez la bien quand elle s'exprime en interview ca saute au yeux.
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    Message  Invité 2/4/2011, 13:56

    Meme impression que vous concernant M.Karlita, m'intéressant à ces sujets traitant de controle mental depuis quelques années cela me parait évident Smile
    Comme le dit Tonino suffit de l'observer, avec son regard vidé de son ame et sa gestuelle zombifiée elle est complètement gaga la lady..., et je trouve l'idée d'une offrande au Tzar Kozy pour sa contribution au N.O.M tout à fait plausible vue les moeurs de ses dégénérés... Suspect

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    Message  Kyushi 2/4/2011, 14:31

    Effectivement cette hypothèse est assez probable.
    En revanche, je me pose la question de la "marche arrière".
    En effet, si il y a parfois des "accidents" comme pour Duncan O'Finoan, je me demande si il est possible de libérer quelqu'un d'un tel contrôle.
    Sont ils condamnés à rester zombifiés ainsi ?
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    Message  pétale 2/4/2011, 15:06

    TTerrifiant tous ça affraid

    Carlita c'est vrai que je lui ai toujours trouvé un air bizarre, que je ne savais pas définir. Maintenant je comprend ça saute aux yeux en effet !!
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    Message  fleurdesprés 2/4/2011, 15:11

    Ken Mulder en tout cas pour sa part , elle avait fait des révélations en racontant qu'elle avait été violée et qu'elle avait été "sous controle mental"
    http://www.crashdebug.fr/index.php/diversifion/657-flashback-laffaire-karen-mulder
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    Message  Invité 2/4/2011, 17:38

    Kyushi a écrit:Effectivement cette hypothèse est assez probable.
    En revanche, je me pose la question de la "marche arrière".
    En effet, si il y a parfois des "accidents" comme pour Duncan O'Finoan, je me demande si il est possible de libérer quelqu'un d'un tel contrôle.
    Sont ils condamnés à rester zombifiés ainsi ?

    Tu sais il y aura toujours quelque chose d'incontrôlable dans le psychisme humain.

    Les psychiatres réduisent l'intelligence de l'homme a un cerveau mais l'âme humaine est bien plus que cela.
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    Message  ForceTranquille 2/4/2011, 19:23

    Tout le monde peut s'en sortir. Ils n'arrivent jamais à contrôler totalement une personne. Mais bien sûr c'est extrêmement difficile. Il y a eu des expériences de la CIA pour récréer une personnalité. Leur logique a été de dire qu'il faut détruire la personnalité existente, faire table rase, pour en forger une nouvelle.

    Ce qu'ils ont réussis à faire, c'est détruire des gens qui sont tombés dans l'infantilisme suite aux tortures visant à leur dérober leur personnalité, et qui ont perdus la mémoire. Par contre gros échec, ils ne sont pas parvenus à recréer. Ces types se prennent pour Dieu, aveuglés par leur science, mais Dieu est plus puissant.

    C'est tout un travail de reconstruction pour ces gens. L'une d'entre elle qui en est sortie vivante doit aujourd'hui noter tout ce qu'elle fait pour se souvenir, sa mémoire est défaillante à jamais, mais, au moins, elle a conservé ce qu'elle a de plus précieux : son identité. Bon elle a subi des trucs vraiment atroces, il y a différents degrés de torture.

    Ce que je vous dis c'est dans le bouquin de Naomi Klein, "La stratégie du choc".

    Et une preuve que le contrôle n'est pas total, Karen Mulder qui craque sur un plateau de télé, parlant de ses sévices. Mais bien sûr, ils ont essayés de la faire passer pour folle. En 2009, un article est tombé sur elle car elle aurait menacé sa chirurgienne esthétique, et à partir de cela ils ont parlé de ses "délires avec des complots" et l'ont décrite comme folle à enfermer.
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    Message  nex 2/4/2011, 19:56

    Kuyshi dit:

    " je me demande si il est possible de libérer quelqu'un d'un tel contrôle.
    Sont ils condamnés à rester zombifiés ainsi ?"



    à lire: du lourd à archiver.. pour qui ? mystère... scratch

    L'exposé GREENBAUM:

    http://www.futurquantique.org/?p=40
    http://quantumfuture.net/fr/greenbaum.htm



    _________________
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    Saint Grégoire le Grand
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    Message  Kyushi 2/4/2011, 20:14

    Merci pour vos réponses, même si je me doute que l'esprit est plus puissant que cela, l'entreprise de destruction de la personnalité fait de gros dégâts.

    Mais dans tout ces cas il s'agit de libération des victimes par elles-même et par Dieu.
    Je me demande juste quelle genre d'action pourrait être envisagée pour libérer du Mind Control une personne en étant victime, et qui n'a pas eu de "faiblesse" lui permettant de retrouver sa personnalité.

    PS: Ouah merci nex, je vais lire tout ca Smile désolé si il y a la réponse à ma question précédent ce PS dans tes liens ^^"
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    Message  nex 2/4/2011, 21:48

    Je publie ici l'exposé Greenbaum, sujet de première importance.


    Voici l’exposé de D.C.Hammond, intitulé à l’origine "Hypnosis in MPD: Ritual Abuse"[1] mais plus généralement connu sous l’intitulé d’ "Exposé Greenbaum", donné lors de la Quatrième Conférence annuelle de la Région de l’Est, sur les sévices et les personnalités multiples, le jeudi 25 juin 1992, au Radisson Plaza Hotel, Mark Center, Alexandria, Virginie (USA).

    Manifestation sponsorisée par le Center for Abuse Recovery & Empowerment, du Psychiatric Institute of Washington, D.C.
    L’enregistrement et la transcription en ont été disponibles pendant un certain temps auprès de Audio Transcripts à Alexandria, Virginie. Des enregistrements et transcriptions d’autres sessions de la conférence sont toujours en vente mais, ô surprise, pas ceux-ci. La transcription qui suit provient d’un enregistrement privé de la conférence originale.
    La chose la plus remarquable à propos de cet exposé est le peu de bruit qu’il a fait depuis. Nous recommandons aux lecteurs d’être persévérants dans leur lecture, au moins jusqu’à l’endroit où il est expliqué pourquoi ce message est intitulé "Exposé Greenbaum".
    Dans l’introduction nous trouvons des informations concernant la biographie de D. Corydon Hammond: B.S. M.S. Ph.D (Psychologie de conseil) diplômé de L’Université de l’Utah
    Diplômé en Hypnose clinique, auprès de l'American Board of Psychological Hypnosis
    Diplômé en Thérapies sexuelles auprès de l’American Board of Sexology
    Chef de Clinique et membre du jury d’examen auprès de l’American Board of Sexology
    Diplômé en Thérapies matrimoniales et sexuelles auprès de l’American Board of Family Psychology
    Licencié en Psychologie, Licencié en Thérapies matrimoniales, Licencié en Thérapies familiales, Etat de Utah
    Chercheur associé, Professeur de Médecine de Réhabilitation auprès de la Utah School of Medicine
    Directeur et Fondateur de la Sex and Marital Therapy Clinic, University of Utah.
    Professeur-associé adjoint en Psychologie éducationnelle, University of Utah, Vérificateur d’articles soumis à l’American Journal of Clinical Hypnosis
    Editeur-conseil et Membre fondateur, Comité des Publications, Vérificateur de l’ Ericsonian Monograph, The Journal of Abnormal Psychology
    1989 Prix présidentiel du Mérite, American Society of Clinical Hypnosis
    1990 Prix pour le secteur urbain, American Society of Clinical Hypnosis
    Président de l’American Society of Clinical Hypnosis



    L’Exposé:

    Nous aurons de nombreux sujets à traiter aujourd’hui et je voudrais tout d’abord vous donner un aperçu de ce que je voudrais que nous abordions.
    Tout d’abord, je voudrais demander combien d’entre vous ont déjà suivi au moins un cours ou un séminaire sur l’hypnose? Puis-je voir les mains? Magnifique. Cela va nous faciliter la tâche.
    Bon. Je vais commencer par vous parler de la formation à la transe et de l’utilisation des phénomènes hypnotiques chez une population affectée par des Troubles de la Personnalité Multiple (MPD[2]), je parlerai aussi de l’exploraton de l’inconscient, des méthodes pour ce faire, le recours à l’imagerie et aux techniques d’imagerie symbolique pour gérer les symptômes physiques, la surcharge des apports, et d’autres choses encore.
    Avant la fin de la journée, je voudrais aborder quelque chose que je pense avoir été complètement négligé dans le domaine des troubles dissociatifs, c’est-à-dire des méthodes d’apaisement en profondeur de l’hyper-excitation automatique suscitée chez ces patients.
    Nous passerons un temps considérable à parler de la régression d’âge et de l'abréaction dans l’analyse des traumatismes. Je vous donnerai, concernant un patient ne souffrant pas de MPD, un aperçu de ce genre de travail et ensuite j’extrapolerai à partir de ce que je trouve de très similaire et très différent dans des cas de MPD.
    Je voudrais ajouter à ce propos que j’ai eu bien des scrupules, au fil des ans, à enregistrer des cas de MPD ou de sévices rituéliques, en partie parce que je trouve que c’est un peu utiliser les patients, et je trouve que cette population a déjà assez été utilisée. C’est une des raisons pour lesquelles je choisis généralement de ne pas mettre mon travail sur vidéo.
    Je voudrais également parler des stratégies hypnotiques de prévention des rechutes, et de la thérapie post-intégration utilisée de nos jours.
    Enfin, j’espère trouver une petite heure pour parler spécifiquement des sévices rituéliques, de la programmation du mental et du lavage de cerveau -- comment cela est fait, comment aller en profondeur -- ce qui est un sujet que j’ai refusé pendant longtemps d’aborder en public. Je l’ai fait pour de petits groupes et au cours de consultations, mais récemment j’ai décidé qu’il était grand temps que quelqu’un se décide à en parler. Nous en parlerons donc aujourd’hui.
    [Applaudissements]
    A Chicago, lors du premier congrès international où le thème des sévices rituéliques a été abordé, je me souviens que j’ai pensé: "Comme cela est étrange et intéressant". Je me rappelle que beaucoup de gens ont écouté la description d’un cas considéré par quelqu’un comme très particulier et rare, et tous les gens sont venus ensuite en disant: "Mince alors, vous en traitez un vous aussi? Vous habitez à Seattle"... Eh bien moi j’habite à Toronto... Moi je viens de Floride... Et moi je viens de Cincinnati." Je ne savais que penser.
    C’est peu de temps après cela que je me suis trouvé devant mon premier patient en “sévices rituéliques”. C’était quelqu’un que je traitais déjà, mais nous n’avions pas encore été aussi loin. Certains éléments de ce cas m’ont rendu très curieux d’en savoir plus sur les techniques de contrôle du mental, d’hypnose, et autres techniques de lavage de cerveau.
    J’ai donc commencé à étudier les écrits disponibles sur le lavage de cerveau, et c’est ainsi que j’ai fait la connaissance d’un auteur ayant écrit un des meilleurs livres dans ce domaine.
    J’ai ensuite décidé de faire un sondage, et parmi les gens de la ISSMP&D [International Society for the Study of Mulptiple Personality and Dissociation] j’ai choisi une vingtaine de thérapeutes dont je pensais qu’ils en voyaient probablement davantage que quiconque et je les ai interviewés.
    Le protocole d’entretien que j’ai suivi a suscité pratiquemnent toujours la même réaction. Ces thérapeutes disaient: "Vous posez des questions auxquelles je n’ai pas de réponse. Vous posez plus de questions spécifiques que je n’en ai jamais posé à mes patients". Bon nombre de ces thérapeutes ont dit: "Laissez-moi aller poser ces questions et je reviendrai vous donner les réponses". Nombreux sont ceux qui non seulement sont revenus avec des réponses, mais ils ont aussi ajouté: "Vous devriez parler à ce patient ou à ces deux patients". Je me suis retrouvé avec une note de plusieurs centaines de dollars à la fin des interviews téléphoniques.
    J’en ai tiré un certain aperçu de toute une variété de méthodes de lavage de cerveau utilisées partout dans le pays. J’ai commencé par percevoir certaines similitudes. Alors qu’au début, je ne connaissais pas l’étendue de ces choses, j’ai commencé à me rendre compte que des tas de gens racontaient les mêmes choses et qu’il devait y avoir un certain degré de communication quelque part.
    Et puis, il y a environ deux ans et demi, mes recherches ont soudain fait un bond en avant. Ma source me disait un tas de choses dont je savais qu’elles étaient exactes, à propos du lavage de cerveau, mais cette personne m’apportait également un nouveau matériau dont j’ignorais totalement l’existence.
    C’est alors que j’ai décidé de vérifier chez trois patients victimes de sévices rituéliques que je traitais à cette époque. Deux d’entre eux avaient ce qui avait été décrit, et il était certain qu’il n’y avait eu ni induction ni contamination.
    Ce qui est fascinant, c’est qu’alors que j’étais en consultation téléphonique avec une thérapeute avec laquelle je collaborais depuis de nombreux mois sur un cas de MPD qui se trouvait dans un autre Etat, je lui ai demandé d’enquêter sur un certain nombre de choses. Elle m’a répondu: "Et que sont ces choses?" J’ai dit: "Je ne vous le dirai pas, parce que je veux éviter toute possibilité de contamination. Revenez simplement me dire ce que le patient a dit."
    Elle m’a rappelé deux heures plus tard: "Je viens d’avoir une double séance avec ce patient et il y avait une partie de lui qui disait: 'Oh, nous sommes tellement excités. Si vous saviez ce qui se passe, vous savez, comment les programmeurs du Culte entrent à l’intérieur, et notre thérapie ira beaucoup plus vite”.
    Depuis, de nombreux autres patients ont eu la réaction d’avoir besoin de pisser comme des mérinos d’inquiétude et de peur plutôt qu’à l’idée que c’était une chose merveilleuse. Mais ce qui est intéressant c’est qu’elle a demandé ensuite: "quelles sont ces choses?" C’étaient les mots exacts, les mêmes réponses que m’avaient données ma source.
    Depuis, j’ai répété tout cela un peu partout dans le pays. J’ai donné des consultations dans onze Etats et un pays étranger, dans certains cas par téléphone, dans d’autres cas en personne, parfois en donnant des informations préalables au thérapeute, lui disant: "Faites attention à la manière dont vous allez formuler ceci. Formulez-le de telle manière, afin d’éviter de contaminer". Pour d’autres je me suis abstenu de toute information du thérapeute afin qu’il ne puisse interférer.
    Quand on commence à récolter les mêmes renseignements hautement ésotériques dans différents Etats et pays, de la Floride à la Californie, on commence à penser que quelque chose d’immense est en train de se passer, quelque chose de très bien coordonné, très systématique et très communicatif.
    Je suis donc passé de l’état de neutralité de quelqu’un qui ne sait que penser de tout cela, à l’état de quelqu’un qui croit vraiment que les sévices rituéliques sont une réalité et que les gens qui le nient sont ou bien des naïfs (comme ceux qui nient l’Holocauste) ou bien des salauds.
    [Applaudissements]
    Pendant longtemps j’ai dit à un groupe choisi de thérapeutes que je connaissais bien et à qui je faisais confiance: "Diffusez, mais ne dites pas mon nom. Ne dites pas d’où ça vient. Mais voilà l’information. Partagez-la avec d’autres thérapeutes si vous pensez que c’est approprié, et j’aimerais recevoir votre feedback". Des gens posaient des questions ­ lors de conférences ­ et disaient qu’ils étaient désireux d’en savoir davantage. Quant à moi personnellement, et quelques autres avec qui j’avais partagé les informations, nous nous tenions loin de toute préoccupation, de toute menace personnelle, de toute menace de mort.
    J’ai finalement décidé d’en finir avec ceux-là. S’ils voulaient ma peau, ils pouvaient la prendre. Il était temps de partager davantage d’informations avec les thérapeutes. Nous avons réussi parce que nous avons agi avec grande prudence, sans hâte, en procédant à des vérifications en divers endroits, et nous avons trouvé les mêmes choses.
    Je vais donc vous dire comment les choses se passent avec la programmation concernant les sévices rituéliques. Je ne pourrai certainement pas vous dire en 45 ou 50 minutes tout ce que vous voulez savoir, mais je vais vous dire l’essentiel pour pouvoir aller en profondeur et entreprendre un travail à un niveau inédit.
    Honnêtement, je ne peux pas dire combien de patients ont cela. Cela doit tourner autour d’au moins 50%, peut-être même 75%. Je dirais que probablement les deux tiers de vos patients en sévices rituéliques l’ont.
    Quelle est, selon moi, la caractéristique principale?
    Si depuis l’enfance ils ont été élevés dans un culte traditionnel ou s’ils ne font pas partie d’une lignée, je veux dire par là si aucun parent n’a été un membre de ce culte mais que de nombreux membres de ce culte ont approché ce patient depuis la petite enfance, il se peut qu’ils en soient affectés aussi. J’ai vu plus d’un patient ayant subi des sévices rituéliques, qui avaient manifestement eu tous les éléments rituels dont on entend parler. Ils semblaient très sincères. Ils parlaient de toutes les choses typiques dont on parle dans ces populations, mais n’avaient pas de programmation avec vérification permanente en profondeur. Je pense que dans un cas que je traitais personnellement la patiente avait en quelque sorte opéré un schisme et que ces gens se livraient à leurs petites affaires et ne dépendaient plus d’un groupe principal.
    [Pause]
    Voilà comment cela semble avoir commencé. A la fin de la deuxième guerre mondiale, Allen Dulles et d’autres personnes de la communauté du Renseignement se trouvaient déjà en Suisse en train de prendre des contacts pour s’allier avec des scientifiques nazis. A la fin de la guerre, ils n’ont pas seulement été chercher des scientifiques capables de fabriquer des fusées, mais aussi des médecins nazis qui avaient fait des recherches sur la programmation du mental dans les camps.[3]
    Ils les ont fait venir aux Etats-Unis. Parmi eux il y avait un jeune garçon, un adolescent, qui avait été élevé dans la tradition juive hassidique et le mysticisme cabalistique, ce qui devait probablement avoir de l’attrait pour les membres du culte, car vers le début du siècle Aleister Crowley avait introduit des éléments de la Cabale dans du satanisme. Je soupçonne qu’un lien s’est créé entre eux. Mais il a sauvé sa peau en collaborant et en étant un de leurs assistants dans le cadre des expériences faites dans les camps de la mort. Ils l’ont emmené avec eux.
    Ils ont alors entrepris des recherches dans le domaine du contrôle du mental pour le Renseignement militaire, dans des hôpitaux militaires aux Etats-Unis. Les gens qui sont venus, les médecins nazis, étaient des satanistes. Par la suite, le garçon a changé son nom, l’a américanisé, a obtenu un diplôme de médecin, a pratiqué la médecine, et a poursuivi le travail qui semble être au coeur de la programmation par ce culte de nos jours. Son nom est connu de nombreux patients dans tout le pays.
    [Pause]
    Ce qu’ils font à la base, c’est qu’ils prennent un enfant et ils commencent le travail de base, semble-t-il, vers environ deux ans et demi, quand l’enfant a déjà été rendu dissociatif. Ils le rendent dissociatif non seulement par des sévices, comme des abus sexuels, mais aussi en faisant des choses comme de placer un piège à souris au bout de ses doigts et en ordonnant aux parents: "vous n’entrez pas avant que l’enfant ait cessé de crier. Alors seulement vous entrez et l’enlevez."
    Ils commencent de manière rudimentaire vers deux ans et demi et passent à la vitesse supérieure vers six ans ou six ans et demi, poursuivent pendant toute l’adolescence, avec des renforcements périodiques dans l’âge adulte.
    Fondamentalement, au cours de la programmation l’enfant est placé sur une civière. Il a un goutte-à-goutte dans une main ou un bras. Il est attaché, nu. Des fils électriques sont placés sur sa tête pour surveiller l’électroencéphalogramme. Il voit une lumière pulsante, souvent rouge, parfois blanche ou bleue. Le plus souvent on lui administre ce que je crois être du Demerol. Parfois ce sont d’autres drogues, selon le type de programmation. Je crois qu’ils en ont fait une science et ils ont appris à en donner tant toutes les vingt-cinq minutes, jusqu’à ce que la programmation soit achevée.
    Une douleur est décrite, dans une oreille, généralement la droite, où il semble qu’une aiguille soit placée, et des bruits étranges et désorientants sont entendus dans cette oreille pendant qu’une stimulation lumineuse induit le cerveau à adopter un certain train d’ondes cérébrales grâce à une lumière pulsant à une certaine fréquence (à comparer aux lunettes actuellement mises en vente par Sharper Image et autres magasins du genre).
    Puis, après un certain temps, quand ils sont dans un certain état d’ondes cérébrales, la programmation commence. Programmation orientée vers l’autodestruction et l’avilissement de la personne.
    Chez une patiente, maintenant âgée d’environ huit ans, qui a subi bien des choses, la programmation a commencé dans des installations militaires. Cela est assez fréquent. J’ai traité et suis intervenu dans des cas qui ont fait partie de ce projet original de contrôle du mental, et dans de nombreux cas la programmation s’est faite sur des sites militaires. Nous trouvons de nombreux liens avec la CIA.
    Cette patiente était alors dans une école du Culte, une école privée où plusieurs sessions de ce genre avaient lieu pendant la semaine. Elle entrait dans une pièce, et on lui plaçait les fils et tubes. Ils faisaient toutes sortes de choses. Quand elle est arrivée à l’état altéré souhaité il n’a plus été nécessaire de la surveiller au moyen d’électroencéphalogrammes, et elle plaçait elle-même ses électrodes, une dans le vagin, par exemple, quatre sur la tête. Parfois c’était sur d’autres parties du corps.
    Ils commençaient alors et lui disaient: "tu es fâchée sur quelqu’un du groupe". Elle disait: "Non, je ne le suis pas” et ils lui envoyaient alors un choc violent. Ils disaient la même chose jusqu’à ce qu’elle obéisse et ne donne plus de réponses négatives. Puis ils poursuivaient: "Et parce que tu en veux à quelqu’un du groupe" ou bien "Si tu en veux à quelqu’un du groupe, tu te feras du mal à toi-même. Tu comprends?" "Oui, mais je ne veux pas". Chocs à nouveau, jusqu’à obéissance. Puis ils en rajoutaient: "et tu te feras du mal en te coupant. Tu comprends?" Elle avait beau dire “oui”, ils disaient alors: "nous ne te croyons pas" et ils lui envoyaient un choc de toute façon.
    Et ils continuaient de la sorte. Elle a dit qu’elle pensait qu’ils partaient pendant environ trente minutes, pour aller fumer, ou autre chose, et puis ils revenaient. Ils passaient en revue ce qu’ils avaient fait et puis arrêtaient, ou bien ils passaient en revue ce qu’ils avaient fait et faisaient de nouvelles choses. Elle a dit que les séances pouvaient durer une demi-heure ou trois heures. Trois fois par semaine, selon elle.
    La programmation sous l’influence de drogues dans un certain état d’ondes cérébrales, et avec ces bruits dans une oreille, et eux qui parlent dans l’autre oreille, généralement la gauche, associée aux fonctions non-dominantes de l’hémisphère droit, et eux qui parlent, tout cela demande une concentration intense, une focalisation intense. Parce que, souvent, ils doivent mémoriser et répéter certaines choses, à la lettre près, afin d’éviter punitions, chocs, et d’autres choses encore.
    Voilà comment se passe essentiellement, la programmation. D’autres ont aussi recours à d’autres techniques de lavage de cerveau. Parfois, ils utilisent des éléments d’hypnose très communs. Il peut y avoir une isolation sensorielle, dont nous savons qu’elle accroît la suggestibilité chez tout le monde. L’isolation sensorielle totale, la suggestibilité, a augmenté de manière significative, d’après les recherches. Il n’est pas rare pour eux d’y avoir recours, y compris dans des caissons d’isolation sensorielle, avant qu’ils fassent certaines choses.
    [Pause]
    A présent, comme nous n’avons pas beaucoup de temps devant nous, je vais vous donner autant d’informations pratiques que possible.
    Je vais rechercher si oui ou non quelque chose de ce genre est présent par signaux idéomoteurs donnés avec un doigt.[4]
    Quand ils sont prêts, je dis "Je veux que le point central de votre centre intérieur prenne le contrôle des signes donnés avec le doigt". Ne demandez rien à l’inconscient. Le cas pour lequel vous enquêtez sur des sévices rituéliques s’adresse au centre intérieur. Ce centre a été créé par le Culte. "Et je veux que le point central de votre centre intérieur prenne le contrôle de la main dont un doigt fera signe, et de ce qu’il faut pour que le doigt du “oui” se lève. Je veux demander à ton centre intérieur si une partie de ton corps, n’importe quelle partie de Mary", le nom de la personne examinée, "a une idée de ce que sont Alpha, Béta, Delta ou Thêta."
    Si vous obtenez un “oui” alors attention au drapeau rouge, vous pourriez avoir en face de vous quelqu’un qui fait l’objet d’un lavage de cerveau et d’une programmation intensifs.
    Je dirais alors: "Je veux qu’une partie intérieure qui sait ce que sont Alpha, Béta, Delta, et Thêta monte à un niveau où tu peux me parler, et quand tu y seras, dis-moi : “J’y suis'".
    Je ne demanderais pas si une partie est désireuse de le faire. Personne ne veut vraiment parler de cela. Je dirais simplement: "Je voudrais que la partie qui peut me parler de cela s‘avance".
    Sans les guider, demandez-leur ce que sont ces choses.
    J’ai eu des consultations où je suis intervenu. Parfois je reçois un “oui” à cela, mais quand j’ai procédé à l’exploration il est apparu qu’il s’agissait d’une espèce de réponse de complaisance ou bien, dans deux ou trois cas, de quelqu’un qui voulait faire croire qu’il faisait l’objet de sévices rituéliques, et peut-être disaient-ils vrai d’une certaine façon, mais une enquête méticuleuse montrait qu’ils n’avaient pas ce que nous recherchions.
    Je vais vous dire de quoi il s’agit. Supposons que tout le premier rang ici soit occupé par des multiples, et qu'elle a un alter ego nommé Helen, elle en a un nommé Mary, elle en a un nommé Gertrude, elle en a un nommé Elizabeth, et elle en a un nommé Monica. Tous ces alter ego peuvent avoir fait l’objet d’une programmation, désignée, disons par alpha-zéro-zéro-neuf. Quand un membre du culte prononce: "Alpha-zéro-zéro-neuf" ou fait un certain geste de la main pour l’indiquer, il fait appel à cette même partie chez n’importe lequel d’entre eux, même si les noms sont différents de ceux qui vous sont connus.
    Les Alphas semblent représenter la programmation générale. Les Bétas semblent être des programmes sexuels. Par exemple, comment procéder à une fellation, comment accomplir le contact sexuel lors de rituels, cela concerne l’exhibition de pornographie enfantine, la mise en scène de pornographie enfantine. Les Deltas sont des tueurs entraînés à tuer lors des cérémonies.
    Il y a aussi de l’auto-mutilation mélangée à ces mises à mort, à ces meurtres. Les Thêtas sont des tueurs psychiques.
    Vous savez, de ma vie je n’avais jamais entendu ces deux mots associés. Je n’avais jamais entendu parler de "tueurs psychiques", mais quand vous êtes devant des gens dans divers états, et aussi des thérapeutes qui enquêtent et demandent; "Qu’est-ce que Thêta?" et que les patients répondent: "tueurs psychiques", on a tendance à conclure que certaines choses sont très systématiques et très répandues.
    Cela provient de leur croyance en des facultés et pouvoirs psychiques, y compris la faculté de communiquer psychiquement avec "la mère", et y compris la faculté de provoquer psychiquement une thrombose cérébrale suivie de mort, chez quelqu’un.
    Il s’agit aussi d’une sorte de programmation plus orientée vers l’avenir.
    Et puis il y a Omega. Généralement je n'inclus pas ce mot dans ma première question au sujet de la partie intérieure qui est au courant de ce que sont Alpha, Béta, Delta, Thêta, parce qu’Omega va les secouer plus encore.
    Omega c’est la programmation de l’auto-destruction. Alpha et Omega, le commencement et la fin. Cela peut aller de l’auto-mutilation au suicide.
    Gamma paraît concerner la protection du système et le leurre, ce qui vous donnera de fausses informations, des voies sans issue, des demi-vérités, une protection de différentes choses intérieures. Il peut également y avoir d’autres lettres de l’alphabet grec.
    Je vous recommanderais de revoir tout l’alphabet grec, et si vous avez constaté que certains éléments sont présents et qu’ils vous ont donné certaines bonnes réponses, je ne saurais le répéter assez souvent; NE LES GUIDEZ PAS. Ne dites pas : "Est-ce que ce sont les tueurs?" Laissez-les donner la réponse, s’il vous plaît. Quand vous avez fait tout cela et qu’il semble que cela est présent, alors prenez votre alphabet grec et, au moyen de signaux idéomoteurs, parcourez tout l’alphabet et dites: "Est-ce qu’il y a à l’intérieur une programmation associée à Epsilon, Omicron", etc. jusqu’au bout.
    Il peut y avoir une certaine systématisation sur l’une ou l’autre lettre, mais moi je n’en ai pas conscience. J’ai trouvé, par exemple, dans un cas, que Dzêta concernait la production de films montrant des mises à mort, dans lesquels cette personne était impliquée. Chez une autre personne, Omicron concernait leurs liens et associations avec des passeurs de drogue, avec la Mafia, le gros business et des chefs de gouvernement. Donc il y a une certaine individualisation, je pense, pour certains.
    Certains de ces programmes sont des appels au retour: "reviens au Culte", "retour au culte ".
    C’est là que réside la faiblesse du système. Ils ont implanté des codes de fermeture et d’effacement de sorte que, si un ennui survient, ils puissent mettre fin ou effacer quelque chose. Ces codes sont parfois des phrases particulières ou un petit refrain. Parfois il y a des nombres parfois suivis d’un mot. Il y a là une individualisation certaine. J’avais d’abord espéré que si je parvenais à mettre la main sur certaines elles pourraient fonctionner sur d’autres personnes. Pas de changement. Cela est très peu probable, à moins qu’ils aient été programmés pratiquement en même temps au sein d’un même petit groupe. Des trucs que j’ai vus font penser qu’ils transportent des ordinateurs portables, les programmeurs, qui contiennent encore tout de qu’ils ont fait vingt ou trente ans auparavant: les noms des alter ego, les programmes, les codes, etc.
    Ce qu’on peut obtenir, ce sont les codes d’effacement, et je demande toujours: "Si je dis ce code, qu’est-ce qui va se produire?' Vérifiez une deuxième fois: "Y a-t-il une partie intérieure qui possède des informations différentes?" Surveillez les signaux idéomoteurs; et ce que j’ai trouvé c’est que quand on parvient à effacer des programmes en donnant les codes appropriés, alors on affaiblit le ressenti.
    On peut effacer Omega, et c’est souvent par là que j’ai commencé parce que c’est là qu’il y a le plus grand risque. Ensuite je recherche dans tout l’Omega, ce qui a été des altérations Omega, avec le patient, de sorte qu’on décompresse, et cela redonne au patient tous les souvenirs associés à toute la programmation faite “sous Omega” et toutes les parties d’alter ego qui ont été affectées par l’Oméga en abréaction fractionnée.
    Ils utilisent la métaphore de (et c’est leur métaphore à eux) robots. C’est comme une carcasse de robot qui se met en place sur l’alter ego de l’enfant, pour le faire agir comme un robot. De temps en temps, à l’intérieur on est confronté à des robots.
    Ce que j’ai trouvé dans mon travail antérieur, et j’accélère maintenant parce que je l’ai confirmé suffisamment de fois, c’est qu’on peut dire au noyau intérieur: "Noyau, je veux que tu regardes, -- il y a un robot qui bloque le passage, il bloque la progression. Va voir, regarde derrière la tête et dis-moi ce que tu observes derrière la tête ou sur la nuque". Je dis cela sans idée de guider, et ce qu’on me dit communément c’est qu’il y a des fils ou un interrupteur.
    Alors je leur dis: "Prends les fils ou pousse sur l’interrupteur, ça va immobiliser le robot et donne-moi le signal “oui” quand tu l’auras fait."
    Très vite, on reçoit le signal “oui”.
    "Bien. Maintenant que le robot est immobilisé, je veux que tu ailles voir à l’intérieur du robot et que tu me dises ce que tu vois". C’est généralement un ou plusieurs enfants. Je leur fais retirer les enfants. Je fais un peu de magie hypnotique et je demande au noyau d’utiliser un laser et de désintégrer le robot complètement. Ils sont en général très surpris que cela marche, et bon nombre de thérapeutes aussi.
    [Pause]
    Ce sont les diverses couches de ce truc qui posent problème. Je vais aller jusqu’au rétro-projecteur pour vous en donner une idée.
    Nous avons ici d’innombrables alter ego. Je vais vous parler d’une chose fascinante que j’ai vue. Je me souviens être venu visiter certains cas, certains cas difficiles au cabinet de deux des plus habiles thérapeutes en MPD du pays, qui se rendent à toutes les réunions internationales, et qui ont donné des conférences dans de nombreux pays. Nous avons travaillé et j’ai examiné certains de leurs patients. Ils ont été abasourdis devant certaines choses, parce qu’ils n’en avaient jamais entendu parler.
    Nous avons donc travaillé avec certains patients et je me souviens d’une femme qui avait été hospitalisée pendant trois années, et qui l’était toujours. Une autre hospitalisée avait fait une année de travail intensif avec les meilleures thérapies MPD qu’on puisse imaginer (abréaction, intégration, facilitation de coopération, ergothérapie, etc. mise par écrit au jour le jour) pendant une année d’hospitalisation, suivie d’une année de thérapie en ambulatoire pendant deux ou trois heures par semaine.
    Chez ces deux patientes nous avons découvert que tout cet admirable travail n’avait rien fait d’autre que de s’adresser aux alter ego, et n’avait pas touché à la programmation mentale. En fait, celle-ci n’était pas seulement intacte, mais nous avons en plus trouvé que pour la patiente non hospitalisée, la mère de celle-ci, qui résidait dans un autre Etat, surveillait toutes les séances par téléphone, et qu’elle avait encore intactes des suggestions qui lui avaient été faites, de tuer un jour son thérapeute.
    Une des choses que je vérifierais très soigneusement: je suggérerais que vous demandiez au noyau, pas simplement à l’inconscient, mais au noyau:,"Est-ce qu’il y a une partie, à l’intérieur, qui continue à être en contact avec des gens associés au culte? Est-ce qu’il y a une partie à l’intérieur, qui se rend aux rituels du culte ou aux réunions? Est-ce qu’il y a un enregistreur à l’intérieur de Mary" (si c’est le nom de la patiente), "Un appareil enregistreur à l’intérieur, pour qu’on puisse retrouver les choses qui ont été dites aux séances?"
    Cela ne veut pas dire qu’ils sont surveillés. Nombre d’entre eux l’ont simplement.
    "Est-ce qu’il y a quelqu’un qui interroge une identité intérieure sur ce qui se passe pendant nos séances de thérapie?"
    J’ai le sentiment très inconfortable, si je me base sur mon expérience, que quand on y regarde de près, on trouve que la plupart des victimes de sévices rituéliques dans ce pays voient leur thérapie surveillée.
    Je me souviens d’une femme d’environ vingt-quatre ans, venue en disant que son père était sataniste. Ses parents avaient divorcé alors qu’elle était âgée de six ans. Après cela, quand son père l’avait en visite, il l’avait emmenée à des rituels jusqu’à l’âge de quinze ans. Elle disait qu’elle n’y avait plus été depuis qu’elle avait quinze ans".
    Son thérapeute l’a crue sur parole. Nous nous sommes assis dans mon bureau. Nous avons procédé à une mise sous hypnose, et la séance a duré deux heures, pendant lesquelles nous l’avons interrogée. Nous avons trouvé la présence d’une programmation. En outre, nous avons découvert que chaque séance de thérapie était “débriefée”, qu’en fait, ils lui avaient ordonné de se sentir malade et de ne plus se rendre aux rendez-vous que je lui donnais. A une autre il avait été dit que j’étais un “culte” et que si elle venait, je saurais qu’on lui avait dit de ne pas venir, et que je la punirais.
    Si quelque chose de significatif surgit chez un patient qui est surveillé (de ce que j’ai appris, c’est qu’on les torture en leur administrant des électrochocs) je crois que s’il est dans une telle situation il n’est pas possible de proposer une thérapie qui veuille dire quelque chose, à part apporter un soutien moral, montrer qu’on se soucie de la personne, et lui dire qu’on sera là pour la soutenir. Mais je ne tenterais pas de travailler en profondeur ni de déprogrammer, parce que je pense que tout ce que je ferais ce serait de les faire torturer et blesser, à moins de les faire entrer dans une institution de soins offrant toute garantie de sécurité, de sûreté, pendant une période assez longue pour pouvoir faire le travail nécessaire.
    J’ai le sentiment que quand vous enquêterez, vous trouverez qu’il y a probablement plus de 50% de ces patients, s’ils appartiennent à une lignée, c’est-à-dire si la mère, le père ou les deux sont impliqués, qui seront surveillés en permanence.
    [Pause]
    Maintenant, quand on va au-delà des alter ego, on arrive à la programmation sous les lettres grecques: Alpha, Béta, Delta, Thêta, etc. et puis il y a les programmes de backup. Il y a en général un code d’effacement de ces programmes: un code qui efface tout simplement tous les back-ups. J’obtiens donc le code pour, disons, l’Omega et pour tous les backups Omega simultanément. Après avoir demandé: "Qu’est-ce qui se passe si je dis ceci?". Et j’indique le code, et ensuite je dis: "Qu’est-ce que vous ressentez?" Ils décrivent souvent le bourdonnement d’un ordinateur, des choses qui s’effacent, des explosions internes, toutes sortes de choses intéressantes.
    J’ai un jour vu revenir un thérapeute qui a dit: "Mon Dieu, je n’ai jamais rien dit à propos de robots; elle a parlé de robots qui se désintègrent."
    Je me souviens d’une thérapeute qui m’a accompagné à plusieurs ateliers d’hypnose et à des consultations sur des situations de crise en MPD. Je lui ai dit d’enquêter sur les Alpha, Béta, Delta, Thêta. C’est ce qu’elle a fait. Elle est revenue en me disant: "J’ai obtenu une indication, c’est bien là. De quoi s’agit-il?" Je lui ai répondu: "Je ne dirai rien. Retourne approfondir".
    Nous avons fixé un rendez-vous pour une semaine environ plus tard. Elle est revenue en disant: "J’ai demandé ce qu’était Thêta et elle a répondu: “des tueurs psychiques”. J’ai demandé ce qu’était Delta et elle a dit des tueurs'". Bon.
    Je lui ai donc parlé de cela pendant deux heures. Elle a rappelé et a dit: "Ca m’a semblé trop fantastique. J’ai entendu tout ça et je me suis dit est-ce que Cory est surmené par son travail?'" Je suis embarrassé de répéter cela, mais elle a dit: "Je te tenais en grande estime professionnelle, mais cela paraissait être vraiment trouble, et je me suis demandée: 'Est-ce qu’il a une dépression nerveuse ou quoi?' Mais je te respectais trop pour te poser des questions là-dessus. J’ai posé des questions à une autre patiente en MPD et elle ne présentait rien de tout ça”.
    Elle s’est alors mise à décrire ce qu’elle faisait avec ce patient, et a décrit sa méthode travail, par exemple l’effacement, et des choses comme des robots qui se désintègrent. Elle a dit: "Je ne lui avais pas parlé de ces choses."
    Eh bien, voilà où est le problème. Il y a plusieurs couches et je pense que certaines d’entre elles sont destinées à nous faire tourner en rond éternellement. Ils se figurent que probablement, dans la plupart des cas, nous n’irons pas au-delà des alter ego qu’ils ont mis en place.
    Pour créer un “candidat mandchou” on divise le mental. Cela fait partie des choses qui intéressent la communauté du Renseignement. Quand on a besoin d’un assassin, on va chercher quelqu’un qui va le faire, et on divise son mental.
    Ça me fascine, des cas comme l’assassinat de Robert Kennedy, où Bernard Diamond, quand il a examiné Sirhan Sirhan, a découvert qu’il était totalement amnésique en ce qui concernait l’assassinat de Robert Kennedy, mais que sous hypnose il s’en souvenait. Mais en dépit de suggestions qu’il se souviendrait quand il reprendrait conscience, il n’a pu se souvenir de rien une fois la séance d’hypnose terminée. J’aurais bien aimé examiner Sirhan Sirhan.
    Il semble qu’en dessous de cela il y ait d’autres couches. L’une d’entre elles serait appelée "Programmation Verte (Green Programming)". N’est-il pas intéressant de noter que le nom du praticien soit Dr. Green (Vert)?
    Une question à poser, non contaminante, après que j’aie identifié certaines de ces choses et qu’ils m’aient donné des réponses saisfaisantes, c’est: "Si un médecin devait être associé à cette programmation et si le nom de ce médecin était une couleur, comme le Dr Chartreuse ou quelque chose comme cela, si son nom était une couleur, de quelle couleur s’agirait-il?"
    Il est vrai de que temps en temps d’autres couleurs ont été mentionnées, par trois ou quatre patients dont je soupçonnais qu’ils dissimulaient d’une certaine manière, et dont je crois qu’ils n’étaient pas atteints. Dans un cas j’ai obtenu une autre couleur et j’ai découvert par la suite qu’il s’agissait d’un médecin dont le nom était une couleur, et qui avait reçu une formation, trente années auparavant, par le Dr Green (Vert) et il surveillant en partie la programmation de cette femme sous la surveillance de ce médecin.
    Je me rappelle qu’une femme n’a rien pu trouver. Aucun alter ego ne voulait parler. J’ai dit: "Bon" et nous sommes passés à autre chose. Environ deux minutes plus tard elle a dit: "Green. Vous voulez parler du Dr Green (Vert)?"
    Nous avons trouvé cela partout. Il semble y avoir une Programmation Verte en dessous de tout ça, et je soupçonne que plus on descend, plus on trouve des programmes moins nombreux mais plus ciblés.
    Eh bien, toute Programmation Verte, c’est Ultra-Vert et Arbre Vert. Du mysticisme cabalistique est mêlé à tout ça. Si vous voulez travailler dans cette direction il vous faudra acquérir quelques ouvrages sur la Cabale. Par exemple, Qabala, avec "q", écrit par Dion Fortune. Un autre, The Kabbalah de Ann Williams-Heller.
    Je ne connaissais rien à la Cabale[5]. C’était intéressant. Un patient venu en avance et qui avait dû attendre un temps considérable dans ma salle d’attente, il y a deux ou trois ans, avait très soigneusement dessiné en détail un arbre cabalistique multicolore. J’avais mis deux mois à comprendre de quoi il s’agissait. Finalement, je l’ai montré à quelqu’un qui m’a dit: "Tu sais quoi? Ça ressemble terriblement à l’arbre de la Cabale". Alors ça a fait tilt dans ma tête et je me suis souvenu de textes ésotériques dans un vieux livre que j’ai été rechercher. C’était la biographie du Dr Green.
    Ce qui est intéressant au sujet de l’Arbre Vert, c’est que son nom était à l’origine Greenbaum. Et que signifie "Greenbaum" en allemand? Arbre Vert. Cet arbre-là, l’Arbre Vert.
    J’ai aussi eu des patients qui ne semblaient pas savoir que son nom original était Greenbaum, mais qui disaient que certaines personnalités intérieures étaient nommées M. Greenbaum.


    Dernière édition par nex le 2/4/2011, 21:58, édité 2 fois


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     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Empty Re: Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH

    Message  nex 2/4/2011, 21:52

    Je voudrais à présent vous donner certaines informations au sujet des identités intérieures, et qui pourront vous être utiles si vous avez à enquêter sur ce genre de choses, parce que mon expérience est qu’une identité vous donnera certaines informations et puis n’aura plus rien à dire, se mettra sur la défensive ou bien prendra peur, et s’arrêtera. Alors vous accusez le coup, vous arrêtez les frais, vous partez dans une autre direction, et vous trouvez une autre identité. Je vais vous dire les noms des personnalités à appeler, et dont il faut demander s’il y a une identité répondant à ce nom.
    A propos, quand je scrute les patients et que je tâte le terrain, je lance quelques fausses indications, et je demande: "Y a-t-il à l’intérieur, une identité de tel ou tel nom"? Pour vérifier s’il y a ou non authenticité. Par exemple, en plus du noyau je demande: "Y a-t-il à l’intérieur une identité nommée Sagesse?" La Sagesse fait partie de l’Arbre de la Cabale. J’ai souvent trouvé que la Sagesse est utile et donne un tas de renseignements. "Y a-t-il à l’intérieur une identité nommée Diana?" Je peux lancer tout un tas de choses. "Y a-t-il à l’intérieur une identité nommée Zelda?" Jusqu’à présent, je n’en ai pas rencontré une seule! Juste pour voir quels types de réponses je vais avoir. J’essaie de procéder avec prudence. Diana est une identité qui, dans le système cabalistique, est associée à une identité nommée Fondement. Vous serez très intéressés de savoir cela.
    Vous vous souvenez de la Process Church (ou Eglise du Jugement Dernier)? La femme de Roman Polanski, Sharon Tate, a été assassinée par la Famille Manson, dont les membres faisaient partie de l’Eglise du Jugement Dernier? Des tas de gens en vue, d’Hollywood, y étaient associés, mais alors ils se sont fait oublier, vers 1978 disent les livres, et ont disparu.
    Eh bien, ils sont tous en bonne santé et résident dans le sud de l’Etat de Utah. Il y a un épais dossier au Ministère de la Sécurité Publique de l’Utah, qui contient de nombreux documents prouvant qu’ils sont allés s’installer dans le sud de l’Utah, au nord de Monument Valley, y on acheté un ranch de cinéma dans le désert, l’ont rénové, agrandi, construit des annexes, et établi un système de surveillance étroite: très peu de gens en sortent, personne n’y entre, et ils ont tous changé de nom. Il y a un mot clé dans leur nom: "Fondation". La Fondation. Il y a d’autres mots encore.
    La Fondation fait partie de l’Arbre. Donc si vous demandez: "Y a-t-il à l’intérieur quelque chose qui est connu comme La Fondation?". Je demande parfois d’autres choses pour déstabiliser les gens: "Y a­t-il quelque chose qui est connu comme étant le Souterrain?". Eh bien, ça leur dira peut-être quelque chose. Ou bien: "Est-ce qu’il y a quelque chose qui est connu comme les Murs?" On peut poser des tas de questions pour passer les choses au crible.
    J’ai aussi découvert qu’il y a souvent une identité connue sous le nom de "Maître Noir" une identité nommée "Maître Programmeur" et qu’il y a à l’intérieur, des opérateurs d’ordinateur.
    Combien d’entre vous ont trouvé des choses relatives aux ordinateurs chez leurs patients? Ce sont en général des opérateurs d’ordinateurs: Computer Operator Black (Noir), Computer Operator Green (Vert), Computer Operator Purple (Pourpre). Parfois ils ont des nombres à la place, parfois ils sont appelés Directeurs des Systèmes Informatiques. Il est possible de trouver celui qui est à la tête. Il y aura une certaine source d’information pour vous. Je demande à l’intérieur: "Y a-t-il à l’intérieur une identité nommée Dr. Green?" Vous verrez qu’il y en a bien une, s’ils ont ce type de programmation. C’est en tout cas ce que j’ai trouvé.
    Habituellement, après un peu de travail et de remise au point, vous pouvez les retourner et les aider à réaliser qu’ils étaient en fait une identité d’enfant jouant un rôle et qu’ils n’avaient pas eu le choix mais qu’ils l’ont à présent. Voyez-vous, ils ont joué leur rôle très, très bien, mais ils n’ont pas à continuer à le jouer devant vous parce qu’ils sont en sûreté ici, et qu’en fait "Si le Culte découvrait que tu m’as parlé, que tu m’as communiqué des informations, dis-moi, qu’est-ce qu’ils te feraient?"
    Soulignez bien que la seule issue passe par vous et qu’ils doivent coopérer, communiquer des renseignements et vous aider, et qu’ainsi vous pourrez les aider.
    Ainsi, toutes ces identités peuvent vous donner diverses informations. Notez qu’ils ont essayé de protéger cela très soigneusement. Je vais vous donner un exemple avec Ultra-Vert.
    Je pensais que ce genre de programmation n’affectait que des membres d’une lignée. Je l’ai découverte aussi dans des gens ne faisant pas partie d’une lignée, mais les choses sont légèrement différentes. Ils ne veulent pas que ce soit la même chose. Je ne pense pas que vous allez trouver des choses très profondes comme de la programmation Ultra-Verte et probablement même pas de la programmation Verte chez des gens qui ne font pas partie d’une lignée. Mais laissez-moi vous expliquer quelque chose que j’aie découvert d’abord chez un patient “non lignée” et ensuite chez un patient de lignée.
    Nous progressions, et une patiente était proche de la guérison, proche de l’intégration finale dans une “non-lignée”, quand elle a soudain commencé à avoir des hallucinations, ses doigts sont devenus comme des marteaux, et autres choses de ce genre. J’ai donc mis en place une passerelle d’affect, nous sommes revenus en arrière, et nous avons trouvé que ce qui se passait c’était qu’ils lui avaient suggéré que si elle guérissait, elle allait devenir folle.
    Pour ce faire, ils l’avaient attachée et lui avaient administré du LSD alors qu’elle était âgée de huit ans. Quand elle a commencé à avoir des hallucinations ils lui ont demandé quelle était la nature de ces hallucinations de manière à pouvoir les utiliser, de la bonne manière éricsonienne, les mettre à profit et ensuite combiner les effets de la drogue avec de puissantes suggestions. "Si tu arrives à ce point, tu deviendras folle. Si tu te réintègres et guéris complètement tu deviendras folle, comme ceci, et tu resteras enfermée dans une institution pendant tout le reste de ta vie”.
    Ils ont fait ces suggestions de manière répétée et vigoureuse. Pour finir, ils ont introduit d’autres suggestions: "Plutôt que de laisser cela se produire, il vaudra mieux que tu te tues."
    Chez une patiente de lignée, au moment où je commençais à rechercher des matériaux plus profonds, la patiente s’est mise à éprouver des symptômes similaires. Nous sommes revenus sur nos pas et avons trouvé que des choses identiques lui avaient été faites.
    Cela s’appelait la "Green Bomb (Bombe Verte)". B-O-M-B-. Il y a des tas d’intéressantes choses qui sont reliées intérieurement et qui utilisent des mots jouant avec le nom du Dr Greenbaum, son nom au départ.
    Dans ce cas-ci, on lui avait fait tout ça alors qu’elle avait neuf ans, mais pour elle c’était différent. Sa suggestion à elle c’était l’amnésie: "Si tu te rappelles jamais quelque chose à propos de Ultra-Green et Green Tree tu deviendras folle. Tu vas devenir comme un légume et tu seras enfermée pour toujours". Et les suggestions finales: "Et il vaudra mieux que tu te tues plutôt que cela ne t’arrive si tu t’en souviens".
    A l’âge de douze ans, trois années plus tard, ils ont eu recours à ce qui ressemble à un entretien à l’Amytol pour tenter de briser l’amnésie pour voir s’ils y parvenaient. Ils n’ont pas réussi. Alors ils l’ont à nouveau attachée et lui ont administré quelque chose sans doute pour paralyser son corps, lui ont administré du LSD, en dose encore plus forte, et ont renforcé toutes les suggestions.
    Une chose similaire a été faite quand elle a eu seize ans.
    Voilà quelques-uns des pièges dans lesquels on tombe. Il y a un certain nombre de cas chez lesquels ils ont combiné les effets de drogues puissantes avec des suggestions pour nous empêcher de découvrir ce qu’il y a dans les profondeurs.
    Qu’y a-t-il tout au fond?
    Je n’en sais pas plus que vous mais je peux vous dire que j’ai rencontré de nombreux thérapeutes qui étaient dans l’impasse avec ce genre de cas. En fait, quelqu’un ici à qui j’avais donné ces informations de base dans l’Ohio il y a quelques mois, a dit que cela ouvrait toutes sortes de choses chez un patient qui n’avait fait aucun progrès jusque là. C’est une chose fréquente.
    Je pense qu’il est possible d’atteindre des niveaux plus profonds et que si nous parvenons à traiter des choses à ces niveaux profonds cela peut détruire aussi tout ce qui se trouve au-dessus. Mais nous n’avons encore aucune certitude.
    Avec certains de mes patients, nous avons beaucoup travaillé sur ce qui se trouve au niveau du dessus. Je vais vous dire comment nous avons procédé.
    Nous prenons et effaçons un système comme l’Oméga par exemple. Nous avons ensuite une forte abréaction de tous les souvenirs et ressentis dans une abréaction fractionnée associée à ces identités. Généralement je leur dis: "Maintenant que nous avons fait ceci, est-ce qu’il y a d’autres souvenirs et ressentis que les identités qui étaient Oméga ont encore?" La réponse est généralement "Non". Alors je dis: "En général je découvre qu’à ce moment-ci la plupart, sinon toutes les identités qui étaient Oméga n’éprouvent plus aucun désir ou besoin d’être différentes, car elles réalisent que vous en avez été séparée, et elles veulent revenir auprès de Mary et redevenir une avec elle". Maintenant j’utilise souvent ce concept (qui provient d’un patient) de revenir faire un avec le patient. "Retourne d’où tu viens" est une autre phrase que j’utilise dans ces cas. "Y a-t-il à l’intérieur des identités Oméga qui ne se sentent pas à l’aise ou qui ont des réserves ou des soucis à ce sujet?" S’il y en a, nous en parlons. Nous les traitons. Quelques-unes peuvent ne pas se réintégrer. D’après mon expérience la plupart du temps elles se réintègrent, et nous avons déjà réintégré vingt-cinq identités d’un coup dans un MPD complexe polyfragmenté.
    Je pense qu’il est vital de faire abréagir les ressentis avant d’aller plus avant. Et chez de nombreux patients l’ordre ne paraît pas avoir d’importance, mais j’ai vu quelques cas où cela l’était. Si ce n’est pas important je vais généralement à l'Oméga, puis au Delta parce qu’ils ont le plus grand potentiel de violence, ensuite Gamma pour se débarrasser des auto-illusions. Ce que je fais, avant de supposer ou faire quoi que ce soit, c’est que, une fois que nous en avons terminé avec l'Oméga et que nous leur avons montré qu’il est possible de réussir, que quelque chose peut se produire et qu’ils peuvent éprouver du soulagement par la suite, je leur dis: "Je veux demander au noyau ­ par l’intermédiaire des doigts ­ s’il y a un ordre particulier dans lequel les programmes doivent être effacés?" La plupart du temps c’est "non." Il y a des cas où cela a été "oui."
    Je recommande d’en faire une, deux, ou trois parce que cela produit alors du soulagement et une sensation d’optimisme chez le patient. Mais je recommande de tâter le terrain pour ce qui se passe à un niveau plus profond, et d’obtenir leur façon de voir les choses et leurs recommandations quant à l’ordre dans lequel il faut aller. Question?
    Q: Quel est en général l’âge et le sexe de ce type de personnes?
    Dr.H: Je sais que cela se trouve chez des hommes aussi bien que chez des femmes. La plupart des patients que je traite pour des MPD dus à des sévices rituéliques sont des femmes cependant. Je sais qu’il y a aussi certains hommes chez qui on a trouvé cela.
    Il y a quelque temps, je parlais avec un petit groupe de thérapeutes. Je leur ai parlé un peu de ces choses. Au beau milieu de la conversation, une des travailleuses sociales est devenue toute pâle, elle réagissait manifestement à quelque chose. Je l’ai questionnée et elle m’a répondu: "Je suis en train de travailler avec un garçon de cinq ans. Il se fait que ces dernières semaines il a parlé d’un Dr Green". J’ai été un peu plus loin, j’ai mentionné certaines de ces choses, et elle s’est remise à secouer la tête. J’ai dit: "Qu’est-ce qu’il y a?" Et elle a dit: "Il m’a spontanément parlé de robots et d’Oméga."
    Je pense que vous trouverez des variantes de cela et qu’ils font des changements, probablement toutes les quelques années, et peut-être régionalement, pour nous égarer de diverses façons, mais il y aura probablement toujours quelques éléments de base.
    J’ai vu cela chez des gens ayant atteint la quarantaine, et aussi chez des gens dont les parents étaient très, très haut placés dans la CIA, et d’autres choses de ce genre. J’en ai eu certains qui ont fait partie, à l’origine, du Monarch Project ce qui est le nom du projet du Renseignement National. Une question dans le fond?
    Q: Je ne comprends toujours pas comment on commence, comment on trouve comment effacer. Comment obtient-on ces informations?
    Dr.H: Je dirais: "Je veux le noyau, si nécessaire en utilisant la communicaton télépathique que vous avez pour lire dans le mental" parce qu’ils croient à ce genre de choses. Alors je les utilise. “J’ai été formé aux techniques ericsoniennes... pour obtenir les codes d’effacement de tous les programmes Oméga. Quand vous l’aurez fait, je veux que le doigt du “oui” se lève". Et puis je leur demande de me les dire: "Y a-t-il des backups aux programmes Oméga?" "Oui." "Okay? Combien de backups y a-t-il?" "Six," Les chiffres varient. "Est-ce qu’il y a un code d’effacement pour tous les programmes de backup?" "Non." "Est-ce qu’il y a un code d’effacement qui combine tous les backups en un seul?" "Oui." "Obtenez-moi ce code et quand vous l’aurez refaites le signal ‘oui’". Je peux aller quasiment aussi vite dans certains cas où il n’a pas de forte résistance. Question?
    Q: Oui, pouvez-vous me dire s’il y a des risques pour le thérapeute?
    [Rires]
    Dr.H: Vous devrez demander.
    Q: Oui je voudrais savoir ceci. Quelle sorte de détails recevez-vous puisque vous êtes en contact avec tellement de gens? Pas seulement les menaces, mais aussi les blessures, des problèmes de famille. C’est une de mes questions. La deuxième est: savez-vous si l’une ou l’autre personne que vous avez traitée ­ ou d’autres ­ à ce niveau de dissociation et de traumatisme, s’est remise? Réintégrée? Est entière et heureuse?
    Dr.H: J’ai eu un multiple, qui n’est pas de lignée, un multiple complexe qui a eu ce genre de programmation, où beaucoup ont eu accès au patient en tant que voisins, et où le médecin... à ce propos, vous découvrirez que de nombreux médecins sont impliqués. Ils ont été envoyés à l’école de médecine pour pouvoir prescrire des drogues pour se soigner eux-mêmes, avoir accès aux technologies médicales, et être au-dessus de tout soupçon. Quelques-uns, en fait dans l’Utah, ont été épinglés. Dans l’Utah nous avons maintenant deux enquêteurs à plein temps qui s’occupent de découvrir les sévices rituéliques, leur juridiction s’étend à l’Etat tout entier, et ils dépendent du bureau du Procureur Général et ne font que cela.
    [Applaudissements]
    Lors d’un sondage fait dans l'Utah en janvier par le plus grand journal et chaîne de télévision, il a été trouvé que quatre-vingt-dix pourcent des citoyens de l’Utah croient que les sévices rituéliques sont quelque chose d’authentique, réel. Ils ne pensent pas tous que cela se passe fréquemment. Voilà ce qu’il ressort de deux années de travail de la Governor Commission on Ritual Abuse, qui a procédé à des interviews, parlé, rencontré les gens, récolté les données.
    Et quand certains disent qu’il n’y a aucune preuve, qu’on n’a jamais retrouvé de cadavre, eh bien cela est faux. Le corps d’un enfant a été retrouvé dans l'Idaho.
    L’été dernier nous avons eu un procès où deux personnes ont été inculpées pour meurtre au premier degré, et l’été d‘avant deux personnes avaient été arrêtées et chez qui on avait retrouvé un doigt et la tête d’une adolescente dans le réfrigérateur et elles ont été condamnées pour meurtre au premier degré à Detroit.
    Il y a eu des procès et des corps.
    Pour revenir au risque. Je ne connais aucun thérapeute à qui il ait été fait du mal. Mais des patients nous informent qu’il viendra un temps où nous pourrions courir le risque d’être assassinés, tous ceux à qui ils ont parlé, et même des membres de leurs propres familles qui ne sont pas actifs. On peut spéculer. Qui peut être sûr? Je ne pense pas qu’il n’y ait aucun risque. Une question dans le fond?
    Q: Il me semble qu’il y ait une certaine similitude entre ces sortes de programmation et les gens qui affirment avoir été enlevés par des vaisseaux extraterrestres, qui ont subi des examens physiques, ont été reprogrammés, et autres choses de ce genre. Comme Cap Canaveral se trouve de l’autre côté de la péninsule de Floride pour moi, et que je ne pense pas qu’ils aient mentionné aucun vaisseau spatial récemment, je me demandais simplement s’il y avait un lien entre l’une et l’autre chose.
    Dr.H: Je vais partager mes spéculations, qui ne viennnent pas de moi d’ailleurs. Moi je n’ai pas eu à faire à ces gens. Mais je connais un thérapeute que je respecte et en qui j’ai toute confiance, que j’ai informé de tout cela il y a quelques années, et qui l’a trouvé chez de nombreux patients, qui croit fermement que ces gens sont en fait des victimes de sévices rituéliques qui ont été programmées avec cette sorte de choses pour détruire toute leur crédibilité.
    Si quelqu’un vient raconter qu’il a été enlevé par une soucoupe volante, qui est-ce qui le croira à l’avenir sur n’importe quel autre sujet?
    C’est une chose qui peut être pointée du doigt et dont on peut dire: "C’est ridicule."
    Tout ce que je sais, c’est que j’ai récemment eu une consultation par téléphone avec une thérapeute que j’avais informée de ces choses. Au cours de la 5e ou 6e interview elle a dit: "A propos est-ce que vous savez quelque chose à ce sujet?" J’ai dit: "pas vraiment" et puis j’ai partagé avec elle tout ce que je viens de vous dire. Si c’était moi qui étais en face de cet homme..." (qu’elle voyait depuis quelques mois) je demanderais à l’intérieur que le noyau prenne le contrôle des signaux avec le doigt et je poserais des questions sur Alpha, Béta, Delta, Thêta". C’est ce qu’elle a fait, et une semaine après elle est revenue en disant: "Dis-donc, tu étais en plein dans le mille. Il y a à l’intérieur une identité nommée Dr. Green. Il y a cette sorte de programmation."
    Q: Quelle est la différence entre cette sorte de programmes, les sévices cultuels et les sévices sataniques dans les espèces de cultes avec des bougies, et le...
    Dr.H: Ce type de programmation a lieu dans les cultes avec les bougies et tout le reste. Mon impression est que cela est tout simplement fait chez des gens auxquels ils ont un accès facile, ou qui sont de leur lignée, et où leurs parents sont, et où ils peuvent être élevés depuis le plus jeune âge. S’ils sont d’une lignée, ils sont la génération choisie. Sinon, ils sont utilisables et ils peuvent devoir mourir ou être malades.
    Il y aura des pièges sur le chemin s’ils sont d’une lignée qui, quand ils iront mieux, on les fera se tuer. Je vais en toucher quelques mots.
    Je crois que certaines personnes qui subissent des sévices rituéliques et n’ont pas cela ont été rituellement abusées mais font sans doute partie d’un groupe secondaire. Le satanisme se trouve au coeur de la philosophie générale, chapeautant le tout.
    Certains se demandent: "Pourquoi tout ça?" Je pense qu’il se pourrait qu’ils veuillent disposer d’une armée de canditats mandchous, des dizaines de milliers de robots mentaux qui se livreront à la prostitution, à la pornographie enfantine, au commerce de la drogue, au commerce international des armes, aux films avec morts en direct, toutes sortes de choses très lucratives et qui feront monter les enchères, et en fin de compte les mégalomanes du sommet penseront à créer un ordre satanique qui gouvernera le monde.
    Une dernière question. Ensuite je vous donnerai quelques détails et il nous faut avancer.
    Q: Vous avez suggéré qu’à un niveau élevé du Gouvernement des Etats-Unis on soutenait ce genre de choses. Je sais que nous n’avons pas le temps, mais pourriez-vous juste dire quelques mots à propos des témoignages qui peuvent confirmer cette suggestion?
    Dr.H: Il n’y a pas beaucoup de témoignages à ce sujet. Ils viennent de victimes qui sont des témoins en péril.
    Ce qui est intéressant c’est le nombre de gens qui ont décrit le même scénario et le nombre de gens qui ont travaillé ou ont des proches à la NASA, à la CIA dans l’armée, et parfois de très haut-gradés à l’armée.
    Je peux vous dire qu’un ami et collègue qui a rempli un espace équivalent à l’espace de la table au fond de la pièce avec des boîtes et des boîtes de documents déclassés, concernant les recherches en contrôle du mental effectuées par le passé et qui couvrent une période considérable, quelques dizaines d’années, et qui a lu plus de documents officiels sur le contrôle du mental que n’importe qui d’autre, a envoyé une lettre littéralement il y a deux semaines environ, demandant que toute l’information concernant le Projet Monarch soit déclassée afin que nous puissions en apprendre davantage.
    Maintenant je voudrais mentionner quelque chose, à propos de ce que mon expérience avec plusieurs patients m’a appris, et que vous pourriez rencontrer vers la fin du processus. Je sais que je vous jette un tas de choses en pagaille et à la hâte. Certaines de ces choses vous sont complètement étrangères et certains d’entre vous peuvent se demander: "Bon Sang se pourrait-il qu’il y ait quelque chose de vrai là-dedans?" Eh bien demandez. Découvrez-le chez vos patients et vous aurez de la chance si vous ne rencontrez rien de ce genre. Je vais vous décrire, si je peux trouver mon feutre, le système chez une patiente. Une patiente que j’ai traitée pendant un certain temps, une personne n’appartenant pas à une lignée.
    Nous avions fait ce que nous pensions être du bon travail et avions réussi l’intégration finale. Elle est revenue au début de l’année dernière pour me dire qu’elle avait certains symptômes. J’ai procédé à une enquête et j’ai trouvé une identité que nous avions intégrée. Cette identité a dit en substance: "Il y a autre chose dont je n’ai pas pu vous parler, vous m’avez intégrée, et donc j’ai dû me séparer."
    J’avais cherché des choses concernant Alpha, Béta, etc. par routine, je les avais trouvées, et j’ai dit à cette identité : ”Pourquoi ne m’as-tu rien dit à ce sujet?" Elle a répondu: "Nous avons fait des allusions mais elles sont passées au-dessus de votre tête. Désolée, mais nous savons que vous n’en saviez pas assez pour nous aider, mais maintenant nous savons que vous le pouvez."
    Alors les choses ont commencé à sortir. C’était intéressant. Elle a décrit tout le système (si je peux m’en souvenir à présent!) comme ceci. Le cercle représente le mal fait au corps, un système d’alter egos dont le but premier était de lui faire du mal: symptômes de Munchhausen, auto-mutilation, d’autres choses encore. Chacun des triangles représente un autre système encore. Elle a dit: "A part moi", cette identité-ci, "vous avez traité tout le cercle avec le travail que nous avons fait auparavant, mais vous n’avez pas touché au restant."
    Bon. Au millieu de tout ça il y avait encore un autre système contenant l’Arbre de la Cabale qui, comme certains d’entre vous le savent, ressemble approximativement à ceci, avec des lignes entre, etc. Voilà une représentation approximative. Cela représentait un autre système.
    Une fois que nous avons passé cela, elle a fait savoir que le tout était englobé dans une sorte de sablier. Je pensais que nous en étions à l‘intégration finale, mais je retrouvais d’autres identités.
    Cette personne avait un mari doté d’un regard d’aigle, qui était à l’affût de certaines choses dont nous avions découvert qu’elles étaient des indicateurs fiables. Souvent j’obtenais la preuve d’une dissociation après quelques jours. On les trouvait brusquement. Vous savez, nous avons continué à trouver de l’évidence de dissociation et je trouvais des identités. Finalement, je me suis mis en colère sur cette identité et j’ai demandé: "pourquoi est-ce qu’on me ment quand je pose ces questions idéomotrices?" Cette identité a répondu: "Parce que vous ne comprenez pas. Vous allez nous faire tous tuer."
    Nous nous sommes mis à parler et alors elle a dit: "Cela a été programmé de manière à ce que, si vous réussissez, si vous pensez que vous avez réussi, vous échouerez. Ils l’insèrent comme un moyen de se moquer de vous, et si vous parvenez à nous intégrer nous mourrons."
    Voici ce qu’elle a dit, ce que cette identité a dit : "Je suis un des douze disciples". Et j’ai vu cela chez d’autres: douze disciples dans ce sablier, et chacun d’entre eux doit mémoriser une leçon, qui sont des sortes de principes sataniques, des philosophies du genre "sois bon envers eux qui te font du mal, déteste ceux qui sont bons avec toi" etc. Il peut y avoir deux ou trois phrases de ce genre associées à chacune de celles qu’ils ont à mémoriser. Comme: "nous sommes comme des grains de sable qui tombent, et quand tombe le dernier grain de sable, il y a la mort." J’ai demandé: "Est-ce que la mort est une identité?" "Oui. Quand le dernier grain de sable tombe, le géant endormi s’éveille." Le géant endormi c’était la mort, qui devait les tuer au premier ou au sixième jour après le réveil, à moins que certaines choses ne soient faites, et nous en avons accompli certaines.
    Nous avons aussi découvert que la Mort a une soeur en backup, utilisée avec des miroirs pour créer l’identité de la soeur. Nous avons dû dépasser et traiter cela aussi.
    Il y avait certaines choses qu’il fallait faire, disaient-ils, pour intégrer. J’ai commencé par dire: "Oh, allons, ils t’ont déjà menti avant." Elle a dit: "attendez une minute. C’est bien ce qu’ils ont dit que vous diriez. Ils ont dit qu’aucun docteur ne croirait qu’ils en étaient réduits à ces extrémités pour nous rendre la santé et que c’était en partie la raison pour laquelle ils échoueraient." J’ai dit: "Eh bien redis-le-moi." Elle a dit: "Je dois m’habiller entièrement en rouge. Je dois avoir du Demerol sous la main, j’ai pris du Demerol. Un code doit être donné et ce doit être dans une pièce entièrement dans le noir. Cela doit se produire au premier ou au sixième jour après l’éveil de cette identité."
    Qu’avais-je à perdre? Je lui fais donner un peu de Demerol par un psychiatre. Nous avons utilisé le code. Mon bureau n’avait pas de fenêtres de toute façon. C’était assez facile. Oh, et il fallait allumer je crois quatre bougies. Bon. Nous l’avons fait et tout a bien été. Peut-être que tout aurait bien été sans tout cela, mais j’avais décidé de ne pas prendre de risque et de faire confiance à la patiente.
    Donc nous poursuivons, et nous trouvons encore une autre identité. Il y a la Mort et la Destruction, un autre backup aussi avec une soeur que nous devions dépasser. En fait, je pense qu’il y avait deux backups là.
    Intéressant: cette toute dernière identité était très agréable, faite spécialement de manière à ce qu’on ne veuille pas la perdre parce qu’elle était si adorable, aimante et douce. Et puis nous avons découvert qu’elle continuait à avoir ces ressentis d’obscurité et de noirceur intérieurs avec cette identité.
    Que trouvons-nous? Un rideau dit-elle: "Ils ont supposé que si vous arriviez à ce point vous [mot(s) manquant(s)] et tout au long du chemin nous avons rencontré ces choses à propos du LSD, de la programmation de la Bombe Verte. Le message était: "Il y a un rideau derrière lequel sont les sentiments et souvenirs qui restent, mais il ne peut être ouvert par le milieu. C’est comme un rideau de scène. Il doit être ouvert de cette façon" pour qu’il ne soit pas ouvert. Ils ont supposé que vous essayeriez de traiter tous les ressentis. Cela ne peut pas être ouvert avant d’avoir traité cette dernière identité et ils l’ont intégrée. Maintenant on dirait que nous avons une intégration qui tient la route.
    J’ai trouvé la Mort et la Destruction ainsi que le Sablier, dans des “non-lignée”. "L’arbre et le sablier, m’a dit un patient, ont été faits de sable parce que nous étions supposés mourir. Nous sommes utilisables. Nous sommes la génération non choisie"
    Parfois j’ai entendu dire que c’étaient des cristaux ou du sang qui remplissaient le sablier chez des gens de lignée.
    A propos, on peut faire des choses très simples, comme de placer le sablier sur le côté pour que rien ne s’écoule, et alors le temps s’arrête pour pouvoir faire certains travaux. Dispersez les grains de sable sur un rivage pour qu’ils ne puissent pas être comptés, ni le temps mesuré. J’ai reçu cette idée d’une victime de sévices rituéliques qui avait vu ce type de programmation, et qui était traitée par un autre thérapeute.
    Voilà donc quelques petites choses qui peuvent être utiles ou significatives. Nous parlons de choses très intenses qui se passent à des niveaux très profonds. Et cela nous dit deux choses.
    Une chose, c’est que cela me donne de l’espoir parce que cela s’adresse au matériel et permet de progresser plus que n’importe quoi comme nous l’avons vu chez les gens que nous traitons.
    La deuxième chose, c’est que ça me démoralise aussi, parce que bien qu’il y a de cela trois ans j’aie eu une assez bonne idée de l’étendue de ce qui avait été fait aux victimes, je n’avais aucune idée cependant de la profondeur, de l’étendue ou de l’intensité de ce qu’ils avaient fait.
    Je voudrais revenir sur cette autre question qui était, combien d’entre eux peuvent guérir?
    Nous ne savons pas. Dans les professions qui concernent la santé mentale, nous pensons généralement que deux tiers des patients verront une amélioration, peut-être même soixante-dix pourcent. Il y a très peu d’espoir de les guérir tous. Je pense qu’une des choses tristes qu’il faut bien admettre, c’est que bon nombre de ces patients ne guériront probablement jamais.
    Je crois personnellement que si on bousille leur seul espoir d’aller mieux, ils coupent le contact.
    Je connais des patients qui ont été dans d’autres Etats et qui ont simplement ordonné à des alter egos très profonds de prendre le téléphone, faire le numéro, et dire: "Voici notre nouvelle adresse et notre nouveau numéro de téléphone" pour être pris en charge localement. Je veux dire hospitalisés dans une institution pendant une longue période. S’ils font partie d’un culte qui se trouve près du lieu de leur résidence et s’ils sont toujours surveillés et embêtés, mon opinion est que nous ne pouvons pas les guérir et nous ne pouvons rien leur offrir d’autre que des soins humanitaires et un soutien moral.
    Bien des thérapeutes n’aiment pas entendre cela. C’est mon opinion. Je pense que s’ils ont la chance d’être assez riches pour s’offrir une protection, pour s’éloigner, et si nous pouvons alors travailler sans interférences, ils ont une chance de revenir à un semblant de normalité et de “vivabilité” avec un travail intensif.
    Je crois personnellement qu’aucun de ceux qui ont ce genre de programmation n’est encore guéri dans ce pays. Certains sont sur le bon chemin. J’ai un couple qui est assez loin dans le travail, ils ont accompli beaucoup, mais clairement ils ne vont pas encore bien.
    Q: Pourriez-vous nous dire quelques mots sur la relation avec cette sorte de choses et les jeux de rôles qui prolifèrent, comme Donjons et Dragons etc.?
    Dr.H: Eh bien il y a beaucoup de choses là pour influencer les gens. Vous voulez voir un grand film, un film intéressant qui influence les gens? Allez voir "Trancers II." Vous pouvez le louer en vidéo. Il est sorti l’automne dernier.
    Un soir où on désespérait de trouver quelque chose chez le loueur de vidéos. A neuf heures un vendredi soir. Tout était parti. J’ai loué quelques films et l’un d’eux était celui-là. Fascinant. On y parle de l’Ordre du Monde Vert. Oui. "Trancers II." Et quelle est la société de production? Full Moon Productions. Je n’avais pas perçu beaucoup d’influence dans "Trancers I", mais qui avait produit "Trancers I"? Alter Productions. Il y a autour de nous des tas de choses qui influencent.
    Vers la fin des années 1960, quelqu’un d’intéressant a parlé des Illuminati. Avez-vous jamais entendu parler des Illuminati en tant que Culte? Un de mes patients a amené le sujet il y a exactement deux ans. D’autres éléments ont depuis été apportés par d’autres patients. Cela paraît être le nom du leadership international mondial. Il semble y avoir des Conseils des Illuminati en plusieurs endroits du monde. C’est le nom de l’organe central international du culte paraît-il. Cela est-il vrai? Eh bien, je ne le sais pas. C’est intéressant: certaines personnes qui nous rejoignent et tentent de travailler sans être “sous influence” disent des choses très semblables.
    Vers la fin des années 1960 il y avait à Hollywood un vieil homme qui parlait de l’infiltration d’Hollywood par les Illuminati. Ce qui apparaît c’est que certains patients disent que tous ces trucs de hantise, d’horreurs, de possession, etc. etc. qui ont été popularisés ces vingt dernières années à Hollywood doivent servir à amollir le public de manière à ce que, quand un ordre satanique mondial prendra le pouvoir, tout le monde aura été désensibilisé à la plupart de ces choses, et en outre cela influencera des tas de gens. Est-ce vrai? Je ne peux vraiment pas le dire.
    Ce que je peux dire, c’est que je crois que la programmation aux sévices rituéliques est très répandue, systématique, très bien organisée, provient d’une informatisation pointue qui n’est rendue publique nulle part, qui n’apparaît dans aucun livre, aucune émission télévisée, mais que nous en avons trouvé partout dans ce pays et dans au moins un pays étranger. Je vais répondre rapidement à quelques questions et puis nous poursuivrons avec autre chose. Oui?
    Q: Est-ce que vous avez des techniques pour diminuer votre niveau d’incertitude, pour savoir si un patient est oui ou non encore “influencé”?
    Dr.H: Simplement que j’interroge plusieurs identités: Noyau, Diana, Sagesse, Maître Programmeur; j’interroge plusieurs identités intérieures et je les interroge sans cesse sur ces choses. A mesure qu’on travaille et qu’on va plus loin, je réinterroge pour savoir. Dans le fond?
    Q: Je me demande si vous avez entendu parler ou si vous savez quelque chose de la lignée de Martin Luther?
    Dr.H: La quoi?
    Q: La lignée de Martin Luther?
    Dr.H: Je ne sais rien de la lignée de Martin Luther. Je vais vous donner un petit truc rapide. Demandez-lui un code d’identification. Les gens ont un code d’identification. Il inclut leur date de naissance. Il peut inclure des endroits où ils ont été programmés et il comprend habituellement un nombre qui sera leur ordre de naissance, comme zéro-deux s’ils sont nés en deuxième lieu. Il inclut généralement un nombre qui représente le nombre de générations présentes dans le Culte s’il s’agit de lignées. J’en ai vu jusqu’à douze jusqu’à présent, douze générations.
    Q: J’ai vu un tas des choses que vous avez décrites aujourd’hui chez plusieurs patients. Je voudrais vous poser une question sur les sept systèmes. Vous avez mentionné quelque chose à propos des systèmes. Y a-t-il sept systèmes?
    Dr.H: Cela a été décrit chez certains patients en effet. Oui, les sept systèmes.
    Q: Et-ce que vous pouvez dire de quoi il s’agit ou faire un petit diagramme?
    Dr.H: Je ne crois pas que nous en savons suffisamment pour savoir de quoi il s’agit, honnêtement. Je pense que cela pourrait avoir quelque chose à voir avec les sept Arbres de la Cabale.
    Q: Est-ce que vous avez déjà trouvé des preuves de l’endroit où certaines de ces personnes ont été marquées, est-ce qu’il y a quelque chose en certains endroits de leur corps en rapport avec cela, dans des endroits intimes en particulier?
    Dr.H: Il y a certes des gens qui ont eu des tatouages, qui ont eu différentes choses, dont certaines ont été montrées dans des cas étudiés, mais ce sont peut-être des choses qu’ils se sont faites eux-mêmes ou qu’ils ont fait faire consciemment pour prouver quelque chose, mais cela n’apparaît pas “juste comme ça”. Je vais revenir sur cette dernière question, mais maintenant nous devons passer à autre chose, sinon nous n’y arriverons jamais. Je vous demande de garder votre question en suspens.
    Q: Ce n’est pas une question mais je voulais dire, en mon nom propre et peut-être au nom d’autres personnes qui sont ici, que je vous remercie très sincèrement pour avoir pris le temps de venir.
    [Applaudissements]
    Dr H: Un ami très cher, une autorité en la matière, dont je sais qu’il a reçu des menaces de mort, a lutté pour sa crédibilité professionnelle en croyant aux MPD mais il a été très critiqué pour y croire il y a dix ou quinze ans. Je sais qu’au fond de lui il sait que cela est vrai, mais il se contente de dire des choses comme: "Je ne serais pas surpris d’apprendre demain qu’il s’agit d’une conspiration internationale et je ne serais pas surpris d’apprendre demain qu’il s’agit d’un mythe et d’une rumeur”.
    Il essaie de garder un équilibre, et la raison en est que tout cela est controversé, il y a une campagne organisée en sous main, qui affirme que ce ne sont que de faux souvenirs qui ont été implantés, en même temps que de l’inceste et tout le reste, par l’ "Oprah" et par des livres comme "The Courage to Heal" et par des thérapeutes naïfs qui ont recours à l’hypnose. Tout cela fait l’objet de controverses.
    Mon opinion personnelle est que s’ils veulent me tuer eh bien qu’ils me tuent. Il y aura un fameux tas d’informations qui auront été mises de côté, qui iront à des journalistes d’investigation et à des agences d’investigation dans des domaines multiples, si cela arrive et, si cela se produit, un fameux tas de gens comme vous, j’espère qui, si j’ai un jour un accident, mettront tout en oeuvre pour mettre en route une enquête à grande échelle.
    Je pense qu’à un certain moment nous devons nous dresser comme une sorte de conscience morale, et j’ai essayé d’attendre qu’il y ait suffisamment de confirmations indépendantes pour pouvoir dire avec certitude que ceci est très répandu.
    Je sais que nous avons été aussi vite qu’un incendie dans une maison pour tenter de vous donner autant d’informations que je le pouvais. J’espère vous avoir donné matière à réflexion et quelques nouvelles idées, et j’ai apprécié votre compagnie.
    [Longs applaudissements



    [1] Hypnose en MPD: Sévices rituéliques (NdT)
    [2] Multiple-Personality Disorders (NdT)
    [3] Convaincu que les Scientifiques allemands pourraient aider les Américains dans leurs efforts d’après-guerre, le Président Harry Truman décida en septembre 1946 d’autoriser le projet “Paperclip”, un programme destiné à faire travailler des scientifiques allemands triés sur le volet pour l’Amérique pendant la « Guerre Froide » .
    Cependant, Truman avait expressément décidé d’exclure quiconque “avait été membre du parti Nazi et participé en son nom propre aux activités de celui-ci, ou avait activement soutenu le nazisme ou le militarisme.” Le War Department’s Joint Intelligence Objectives Agency (JIOA) (Agence pour les Objectifs Communs des Renseignements du Ministère de la Guerre) mena des enquêtes de fond sur les scientifiques. En février 1947, le directeur de la JIOA, Bosquet Wev, soumit pour examen, le premier lot de dossiers de scientifiques aux Ministères de l’Intérieur et de la Justice. Ces dossiers étaient accablants. Samuel Klaus, Représentant du Ministère de l’Intérieur auprès du Conseil de la JIOA, prétendit que tous les scientifiques dont le nom apparaissait dans ce premier lot étaient « d’ardents Nazis ”. Leur demande de visa fut rejetée. Wev écrivit un memorandum déclarant que “les intérêts supérieurs des Etats Unis avaient été bafoués par ceux qui « usaient leurs forces à fouetter le cheval crevé du Nazisme ». Il déclara également que le retour de ces scientifiques en Allemagne où ils pourraient être exploités par les ennemis de l’Amérique, “présentait un danger bien plus grave pour la sécurité du pays que n’importe quelle affiliation passée au parti nazi, ou n’importe quelle sympathie passée ou présente pour ce parti ».
    Lorsque la JIOA fut formée afin d’investiguer le passé des scientifiques et de monter les dossiers concernant les Nazis, le chef des Renseignements Nazis, Reinhard Gehlen, eut une entrevue avec Allen Dulles le Directeur de la CIA. Dulles et Gehlen sympathisèrent immédiatement: Gehlen était un maître-espion pour les Nazis et avait infiltré la Russie grâce à son vaste réseau de renseignement nazi. Dulles promit à Gehlen que son Unité de Renseignement était en sécurité à la CIA. Dulles fit ré-écrire les dossiers des scientifiques pour supprimer toutes les preuves susceptibles de les incriminer. Comme promis, Allen Dulles remit l’Unité de Rensignement Nazi à la CIA, ce qui ensuite permit d’entreprendre de nombreux projets-parapluie se basant sur la folle recherche nazie. (MK-ULTRA / ARTICHOKE, OPERATION MIDNIGHT CLIMAX). Pour 1955, plus de 760 scientifiques allemands avaient reçu la nationalité américaine et occupaient des postes éminents au sein de la communauté scientifique américaine. Nombre d’entre eux avaient été pendant longtemps des membres du parti nazi et de la Gestapo, avaient procédé à des expériences sur des êtres humains dans les camps de concentration, avaient utilisé de la main d’œuvre esclave, et commis encore d’autres crimes de guerre. Dans un exposé paru en 1985 dans le “Bulletin of the Atomic Scientists” Linda Hunt écrivait qu’elle avait examiné plus de 130 rapports sur des sujets se rapportant au Projet Paperclip ­et que chacun de ces rapports avait été « changé de manière à éliminer toute classification « menace à la sécurité ». Le Président Truman qui, dans le cadre du Projet Paperclip, avait explicitement ordonné de n’admettre aucun Nazi, ne fut naturellement jamais informé que sa directive n’avait pas été respectée.
    [4] Le IMR est une méthode d’exploration destinée mettre à jour des éléments réprimés, utilisée très fréquemment par les hypnothérapeutes. A un niveau subconscient, l’individu se souvient généralement de tout, même de ce qui est trop traumatisant à amener dans le conscient. Une suggestion de lever le doigt pour signaler la réponse en évitant de passer par le mental, et des questions demandant des réponses par “oui” ou par “non” sont alors posées.
    [5] Il est à remarquer que le nouveau “culte” à la mode parmi de nombreuses personnalités du monde des médias, s’appelle “Kaballah.” Ce groupe vend des cours offrant "une vie pleinement épanouie" plus "le contrôle des lois naturelles". Le fondateur de cette secte, Philip Berg, qui a troqué son nom contre celui de Feivel Gruberger, a été courtier en assurances à Brooklyn avant de devenir professeur de kabbale et écrivain. On dit que leur modèle “commercial” est la Scientologie - i.e. la vente agressive. Je pense que c’est bien plus sinistre que cela, au vu des informations contenues dans l’exposé Greenbaum.


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    Message  lethos 4/4/2011, 17:32

    Nex, j'ai tout lu, ça fait peur, c'est tout simplement affreux !
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    Message  Aurelien 6/4/2011, 08:31


    Chez Zadig et Voltaire, une marque rendue célébre par le troll en chef, il y a 2 thémes récurents, les têtes de mort et les papillons.

    Mais en y regardant de plus prés, on s'aperçoit qu'ils ne font qu'un et que le papillon ressemble assez à une tête de mort.

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH YMZ0701F_beige_2

    Est que ces signes sont des déclencheurs subliminaux ou s'agit il de simplement de signes de ralliement au reseau du contrôle psychique ?

    http://www.zadig-et-voltaire.com/eu/fr/


    Edit :
    Autres dessins bizarres sur le site de Zadig et Voltaire, leur égérie Erin Wasson, exhibe des lettres de l'alphabet sumérien sur son bras, manque plus que le démon Pazuzu.

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    http://www.zadig-et-voltaire.com/media/zadigs-world/erinmeetszadig2fr.jpg


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    Message  nemandi 6/4/2011, 10:19

    Aurelien a écrit:
    Edit :
    Autres dessins bizarres sur le site de Zadig et Voltaire, leur égérie Erin Wasson, exhibe des lettres de l'alphabet sumérien sur son bras, manque plus que le démon Pazuzu.

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    http://www.zadig-et-voltaire.com/media/zadigs-world/erinmeetszadig2fr.jpg

    De quelles lettres parles-tu?

    Parce que ce qu'il y a sur son bras droit, ça ressemble à de l'écriture occidentale.
    C'est de l'anglais: "this heart will start a riot in me".
    Ce qui donne, en gros: Ce cœur va provoquer une émeute en moi.

    Et sur son bras gauche, il y a deux dessins, mais là je ne connais pas la symbolique; est-ce de ceux là dont tu parles?
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    Message  ForceTranquille 6/4/2011, 10:22

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Crop-circle-papillon-2009-pays-bas

    No comment.
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    Message  nex 6/4/2011, 12:32

    Certains te diront qu'il s'agit de l'Homme nouveau passé de chenille à la chrysalide pour aboutir au papillon. Belle symbolique, on est tous à l'heure actuelle des chenilles processionnaires... à la queuleuleu ! J'éspère qu'il y a quelques chrysalides de planquées quelque-part Very Happy

    Je ne sais pas qui se cache derrière, mais ce glyphe est très impressionnant !


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    Message  Aurelien 6/4/2011, 17:07

    Nex a raison, a propos du crop circle, le papillon fait référence à l'homme nouveau qui est parvenu à se libérer de son état larvaire, on remarquera que cet homme est positionné au sommet d'un triangle et que la figure s'inspire de ce dessin de Léonard de Vinci qui représente l'être humain sous ses 2 aspects, du microcosme au macrocosme.
    Ceux qui ont fait ça, y connaissent un rayon au niveau symbolique, mais insinuer que le centre de l'homme se situe au niveau du sexe, c'est de la symbolique contre initiatique.

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Dessin-de-leonard-de-vinci


    @Nemandi
    Tu ne crois pas que le gand dessin sur son bras gauche ressemble à des lettres de l'un des alphabets sumérien ?
     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Jpg_al10

    http://www3.ac-nancy-metz.fr/eco-e-charlemagne-boust/IMG/jpg_alphabet_sumerien_0.jpg


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    Message  Bardamu 6/4/2011, 19:27

    C'est bien la phrase dont parle Nemandi "this heart will start a riot in me" écrite avec une police originale imitant graphiquement :

    l'écriture thaï

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Lannathai

    ou l'écriture sumérienne

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Actu061c

    Voire l'écriture gothique !

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Iy6yrw3v

    Par contre la tête de mort subliminale dans le papillon, il fallait la trouver ! Maintenant j'aimerais bien que l'on m'explique le lien entre ces images et le sujet du fil de discussion !


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    Message  paralleye 6/4/2011, 21:45

    nemandi a écrit:
    Aurelien a écrit:
    Edit :
    Autres dessins bizarres sur le site de Zadig et Voltaire, leur égérie Erin Wasson, exhibe des lettres de l'alphabet sumérien sur son bras, manque plus que le démon Pazuzu.

     Programmation Mentale MK-Ultra-MONARCH Erinme10

    http://www.zadig-et-voltaire.com/media/zadigs-world/erinmeetszadig2fr.jpg

    De quelles lettres parles-tu?

    Parce que ce qu'il y a sur son bras droit, ça ressemble à de l'écriture occidentale.
    C'est de l'anglais: "this heart will start a riot in me".
    Ce qui donne, en gros: Ce cœur va provoquer une émeute en moi.

    Et sur son bras gauche, il y a deux dessins, mais là je ne connais pas la symbolique; est-ce de ceux là dont tu parles?

    C'est subconscient tout ça.

    "Ce coeur va provoquer une émeute en moi"

    traduction :

    Ce message codé profond (ce "coeur"),va déclencher le stimulus mental (va provoquer une "émeute") qui va "réveiller" la personnalité multiple qu'on a enfuie en profondeur chez l'individu programmé (en moi).

    Ce genre de langage à double sens (lecture entre les lignes) est très fréquent chez eux.

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