La fameuse Déclaration Balfour (du nom du ministre britannique des affaires étrangères) par laquelle l'Angleterre promis la Palestine aux juifs (à Lionel Rothschild) servit en fait à convaincre les Juifs américains de pousser les États-Unis dans la guerre de 1914-17. (Et c'est ainsi que cette sale guerre devint la Première Guerre mondiale.) Ce fait est confirmé par un mémo à la British Commission of Palestine écrit par James Malcolm, qui était intimement lié à cette fameuse lettre. Par ailleurs, l'auteur Samuel Landman (secrétaire du leader sioniste Chaim Weizmann) confirme cette déclaration de Malcolm dans son ouvrage Great Britain, the Jews and Palestine:
La seule manière (ce qui fut démontré par la suite) d'amener les États-Unis à entrer dans cette guerre était de s'assurer la coopération des Juifs sionistes en leur promettant la Palestine, enrôlant et mobilisant ainsi en faveur des alliés le pouvoir jusqu'alors insoupçonné des Juifs sionistes en Amérique et ailleurs, sur la base d'un contrat quid pro quo.
the only way (which proved so to be) to induce the American President to come into the War was to secure the co-operation of Zionist Jews by promising them Palestine, and thus enlist and mobilize the hitherto unsuspectedly powerful forces of Zionist Jews in America and elsewhere in favour of the Allies on a quid pro quo contract basis.