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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique

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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Empty Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique

    Message  GarfieldLove 4/10/2010, 08:20



    La carrière de Sigmund Shlomo Freud illustre comment un culte satanique, les Illuminati, jette son sort morbide sur l’humanité.

    Les Illuminati sont le fruit de l’hérésie juive sabbatéenne du 17e siècle.

    Sigmund Freud (1856-1939) était un sabbatéen qui a vendu ses croyances satanistes perverties au monde sous le couvert de la science et de la médecine. Les médias et le système éducatif contrôlés par les Illuminati l’ont salué comme un grand prophète.

    Le sabbatéens étaient un culte sexuel qui se livrait à toutes les perversions sexuelles imaginables, dans le but de cracher à la face de Dieu. C’est ce que les satanistes pratiquent: l’inceste, la pédophilie, les orgies, l’homosexualité, tout ce qui n’est pas naturel et sain.

    Freud et ses soutiens du B’nai Brith (Illuminati) ont convaincu le monde que le désir sexuel (libido) est la principale motivation de la vie humaine, et que le sexe est une panacée universelle. Il ont enseigné que la répression des pulsions sexuelles est nuisible et se traduit par des névroses. Il ont enseigné que les hommes souffrent de l’ »angoisse de castration« , et les femmes de l’ »envie du pénis« .

    Comme initiation à l’inceste et à la pédophilie, il a enseigné que les enfants ont des désirs sexuels pour leur parent du sexe opposé, et ressentent de l’hostilité pour leur parent du même sexe. À l’extrême, son « complexe d’Œdipe« , dit qu’un garçon veut inconsciemment tuer son père et violer sa mère.

    Le philosophe Karl Popper a déclaré que la psychanalyse freudienne était aussi peu scientifique que la lecture des lignes de la main. Il a dit que le complexe d’Œdipe Freudien n’avait absolument aucun fondement scientifique.

    Typique d’un sataniste, Freud a nié la dimension spirituelle de l’homme, notre soif de Dieu, qui est illustrée par des absolus spirituels tels que l’harmonie, l’amour, la vérité et la beauté. La Kabbale enseigne que Dieu n’a pas de caractéristiques. Influencé par la Kabbale, Freud a enseigné que Dieu n’est que la projection d’une figure paternelle imaginaire conçue dans le but de nous amener à refouler nos pulsions sexuelles.

    Selon Wikipedia, Freud « est considéré comme l’un des plus importants penseurs de la première moitié du 20e siècle, en termes d’originalité et d’influence intellectuelle. »

    APPRENDRE D’UN SATANISTE (ou LECONS TIREES D’UN SATANISTE)

    Après avoir rejoint le maçonnique B’nai Brith en 1897, la carrière avortée de Freud a connue une ascension fulgurante.

    Le professeur de psychologie David Bakan décrit la psychanalyse freudienne comme un dérivé de la Kabbale Lurianique et du Zohar. La Kabbale Lurianique est une formulation gnostique du 2ème siècle qui a été reprise par l’hérétique juif Sabbataï Tsevi. [Sigmund Freud et la tradition mystique juive, (Beacon Press, Boston 1958)]

    Freud a discuté de Kabbale avec un rabbin nommé Chaim Bloch en 1920. Le rabbin a dit au professeur Bakan que les deux hommes ont commencé à débattre lorsque Freud a suggéré que Moïse avait été un pharaon égyptien, et non un Juif. Freud est parti en claquant la porte, laissant le rabbin seul dans son cabinet. C’est alors que Bloch a repéré des livres sur les étagères qui permettaient d’identifier Freud comme un disciple de Sabbataï Tsevi, (le fondateur des sabbatéens.)

    Freud a remercié les membres de la Loge B’nai Brith pour leur soutien. En effet, plusieurs membres de la loge ont fourni le cadre qui a fondé la fraude appelée psychanalyse.

    Selon E. Michael Jones, l’Association psychanalytique de Freud a été structurée comme une société secrète. (Libido dominandi, p. 122) Il est probable qu’elle poursuivait les mêmes buts secrets que le B’nai Brith, à savoir subvertir, exploiter, et asservir.

    Les lettres de Freud ont révélé qu’il prenait ses clients pour des cons.

    Il s’est comparé lui-même au lion qu’il avait vu dans un dessin animé. Le lion jette un oeil à sa montre au moment du repas et demande: « où sont mes nègres? » Freud disait que ses patients étaient ses « nègres ». (Jones p. 116)

    Refusant une invitation à voyager, Freud a écrit qu’une cliente riche « pourrait aller mieux en mon absence. »

    « Mon humeur dépend en grande partie de mes gains. L’argent c’est du gaz hilarant pour moi », écrit-il. (116)

    Surnommée la « cure parlante », la psychanalyse était une escroquerie. Comme l’écrit Michael Jones, moyennant paiement, des gens riches recevaient l’absolution pour leur plaisirs coupables et la permission de continuer.

    Jones estime que la psychanalyse est fondée sur le rituel initiatique Illuminati, et est une forme de contrôle mental.

    « Les deux étaient fondées sur le fait que les patients ou adeptes se livrent à un examen de conscience approfondi, quasi-confessionnel, au cours duquel ils donnaient aux contrôleurs Illuminati, ou au psychothérapeute, des détails sur leur vie personnelle qui pourraient ultérieurement être utilisés contre eux. Tant l’illuminisme que la psychanalyse aboutissaient à une forme dissimulée de contrôle mental, par laquelle le contrôleur s’informait de la passion dominante des adeptes et les manipulaient en conséquence. » (p.127)

    L’essentiel ici est que les psychiatres, qu’ils le sachent ou non, font partie de cette société secrète satanique. Le véritable objectif des Illuminati c’est de rendre les gens malades et de leur soutirer leur argent. Cela expliquerait pourquoi les psychiatres mettent des millions de personnes, y compris les enfants, sous calmants. Voir aussi: « L’art soviétique du lavage de cerveau. »

    Le modèle de la société secrète peut s’appliquer à la profession médicale dans son ensemble, ainsi qu’à d’autres professions.

    Freud a été un précurseur d’Alfred Kinsey, le pervers qui s’est tué en essayant de se masturber. Kinsey remplissait son célèbre rapport parrainé par Rockefeller avec les modèles de comportement de ses collègues homosexuels. Ainsi, il convainquit les Américains que la promiscuité et la déviance étaient la norme.

    De même Freud a eu une aventure avec la sœur de sa femme, Minna Bernays, qui est tombée enceinte. Ses théories psychiatriques à propos de l’inceste et du sexe ont été des tentatives de se disculper. De façon ironique, Adam Weishaupt, l’organisateur des Illuminati, a également mis sa belle-sœur en cloque.

    Freud a traversé une période où il a été séduit par les effets bénéfiques de la cocaïne. Lorsqu’il s’est aperçu que des amis étaient devenus dépendants, il y aurait renoncé. Cependant Wikipédia rapporte (voir également la version française): « Certains critiques ont suggéré que la plus grande partie de la théorie psychanalytique de Freud était un sous-produit de son addiction à la cocaïne. »

    CONCLUSION

    L’exemple de Sigmund Freud montre que la culture moderne est contrôlée par une secte satanique, dont le but est de dégrader et asservir l’humanité. Nous avons été trompés au nom de la science et de la médecine.

    Les satanistes promeuvent les excès sexuels et la perversion dans le but d’asservir l’humanité. « Tout est acceptable », est le mot d’ordre sataniste. Freud a donné à la société carte blanche pour se comporter comme une meute de porcs sauvages.

    Le sexe libre foule aux pieds le mariage et la famille, institutions indispensables à la stabilité sociale et à la santé. Elle avilit toute relation humaine au plus bas dénominateur commun, le sexe. Elle présente le sexe et la « promiscuité » comme des passerelles uniques vers le développement personnel et le bonheur.

    Durant les 200 dernières années, le « progrès » et les « lumières » ont été mesurés en termes d’augmentation de la licence sexuelle, jusqu’à aujourd’hui, nous nous prosternons devant les bouffonneries obscènes des manifestants gays obèses, et dénudés des « Gay Pride« .

    C’est ce qu’on appelle le « progrès » en termes sataniques. Nous sommes les victimes d’un complot diabolique multi-générationnel qui devient de plus en plus insolent à mesure que le temps passe.

    source :
    http://www.henrymakow.com/freud_sabbatean.html

    annexe :

    http://translate.google.fr/translate?u=http://gyllenegryningen.blogspot.com/2009/04/sabbatian-qabalah-and-its-relation-to.html&sl=de&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

    source :

    http://infoguerilla.fr/?p=5624#more-5624
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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Empty Re: Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique

    Message  lorelianeGTQ 4/10/2010, 20:03

    j'ai souvent discuter avec des freudiens, dans mon plaisir personnel de les defier mentalement j'en ais rendu plusieurs fou au point des leurs faire raconter n'importe quoi; attaque personnel, changement de sujet, ad nihilo...

    Ces gens, ou devrais-je dire les gens baigner dans ce genre de pensée ont en commun d'être devenu des êtres très limité et faible mentalement..ausssi du point de vue de l'intellect...C'est pas pour paraître prétentieux que je dit ça, mais c'est vrai que la plupart des gens aujourd'hui ont une conception des choses qui m'incite à les provoquer dans leurs hérésies...et par plaisir je veut dire en réalité consternation

    Le principale defaut en est leurs atheisme, et de par là toute leurs "éthique" et non plus moral, ne repose sur absolument rien, rien que du néant, il est donc facile de les prendre au depourvue..surtout sur le prétendu mérite de leurs "droit de l'homme"

    C'est bien triste n'empeche, car c'est de là que vient le fait qu'il prennent toujours plus sur eux dans ce que les pouvoirs leurs inflige de dégradant...Et le concept de maître/esclave bestial à particulièrement été mis en place par Freud, ainsi que toute les notions decrit plus haut sur le sex...

    Shlomo, tient je n'avait jamais vu ce nom là..comme Ben..mais pas de soucie, j'était au courant du reste Wink


    Quant à la psychanalyse, j'incite tout le monde à lire dans le chapitre, les mefaits de la psychanalyse, le très grand ouvrage de René Guénon, Le régne de la quantité, et les signe du temps, dispo dans la rubrique Guénon de ce forum Smile
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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Empty Les alumbrados ancètres des illuminatis

    Message  nonwo 4/10/2010, 20:21

    Paix et Miséricorde de DIEU

    @ MOBY les illuminatis ne sont pas nés d'hier ni d'avant-hier d'ailleurs ça vient de plus loin mes amis, proche de nous c'etait les alumbrados un plus loin les mages de babylone,etc... ils se sont toujours organisés en sociétés secrètes ils ont pris différentes formes à travers les âges ils ont infiltrés, phagocytés, digérés, adaptés à leur sauce tout ce qu'ils ont touchés.
    Enfin c'est plus complexe que cela mais je résume.
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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Empty Alumbrados

    Message  nonwo 5/10/2010, 01:45

    En 1512 un franciscain est déclaré « illuminé par les ténèbres de Satan »[2]. Mais c'est entre 1517 et 1524 qu'apparaissent vraiment les premiers Alumbrados en Nouvelle-Castille, autour d'Isabel de la Cruz à Guadalajara, Gaspar de Bedoya à Pastrana et Pedro Ruis de Alcaraz à Escalona près de Tolède. Ils appartiennent à la classe moyenne urbaine, et ce sont (probablement pour Bedoya) des conversos, c'est-à-dire des nouveaux chrétiens d'origine juive, à l'époque où s'affirme en Espagne le pouvoir inquisitorial et le concept de pureté de sang (Limpieza de sangre) qui les discriminera par rapport aux « vieux chrétiens ».

    Un autre groupe se forma à Salamanque autour de Francisca Hernandez, Gil Lopez, Antonio de Medrano et Bernardino Tovar[

    Leur doctrine n'est connue que par le procès d'Alcaraz, les sommaires de ceux de Bedoya et d'Isabel de la Cruz (en 1529), ainsi que par un édit inquisitorial du 23 septembre 1525, qui condamne 48 propositions attribuées aux Illuminés, en les reliant notamment à la Réforme protestante.

    Cette doctrine s'inscrit dans la lignée du succès en Espagne des œuvres d'Érasme. L'aspiration au recogimiento, c'est-à-dire intériorité retraite et recueillement et retraite, devient chez les illuminés le dejamiento : l'abandon à la grâce de Dieu. Ils s'opposent au monachisme, à l'existence de l'enfer, à la confession, aux rites traditionnels.
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    Message  Bardamu 5/10/2010, 10:13

    Ces infos sont intéressantes Nonwo mais pourrais-tu nous donner des sources, des références...
    Non seulement c'est une obligation mais ç'est aussi une aide appréciable pour qui veut approfondir les sujets et faire ses propres recherches !
    Merci Smile


    _________________
    Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
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    Message  nonwo 5/10/2010, 11:15

    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique 2010-111Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique 2010-112
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    Message  nemandi 5/10/2010, 16:33

    Je suis sur la lecture de "le livre noir de la psychanalyse" (isbn: 978-2-264-04447-1).
    Et voici sur quoi je tombe, à la page 488:

    "Pour Jacques Van Rillaer, la suggestion psychanalytique s'apparente à un véritable "conditionnement": la personne analysée se conforme au désir de l'analyste qui vérifie, dans les récits qu'elle élabore sur le divan, le bien-fondé de ses théories. Lacan a du reste beaucoup usé de son pouvoir de conditionnement auprès de ses patients, donnant au moindre rictus ou grognement une profonde signification.
    De façon générale, tout psychothérapeute conditionne son patient. L'essentiel est d'en être conscient pour éviter les dérapages. Le conditionnement peut-être bénéfique: il est en revanche nocif lorsque les théories et les interventions du thérapeute sont dogmatiques."

    C'est une véritable mine ce bouquin; Il démonte pièce par pièce, sans partir sur des éléments ésotériques (à l'heure ou j'en suis sur le bouquin), les mensonges de la psychanalyse...


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    Message  grebarne 5/10/2010, 17:25

    je suis allé voir la definition de sabbatéen:

    wiki: Sabbatéens

    Les Sabbatéens sont les disciples du messie juif auto-proclamé Sabbataï Tsevi, né dans l'empire ottoman, qui se convertit à l'Islam en 1666.

    Adeptes de la Kabbale et du Zohar, lesquels affirment l'existence d'une loi, ou d'une interprétation de la loi, cachée et secrète, les Sabbatéens ont interprété la conversion de leur chef comme un commandement à pratiquer une religion cachée et secrète. Leur conversion à l'islam ou au christianisme fut volontaire, nourrie par une interprétation mystique particulière.

    Le terme Sabbatéen est principalement utilisé aujourd'hui comme synonyme de Dönme, le seul groupe sabbatéen encore actif, vivant en Turquie.

    En pratique cependant, il a existé d'autres groupes sabbatéens, aujourd'hui disparus, comme les Frankistes polonais, disciples de Jacob Franck. Celui-ci, formé par les Dönme turcs, n'en développa pas moins certaines spécificités, comme la conversion au catholicisme en lieu et place de la conversion à l'islam.

    Sabbataï Tsevi se convertit a l'Islam en 1666 (666) étonnant non ?
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    Message  lorelianeGTQ 5/10/2010, 23:28

    Voici la source de nonwo, je m'en douter à cause des crochers :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Alumbrados

    C'est vrai que c'est un sujet intéressant, et je te remercie de me l'avoir fait decouvrir nonwo, mais pense bien comme le dit Bardamu à tes sources, pour les raisons qu'il indique, c'est très important.


    NB: remarque sur la date de "conversion" de Tsevi, 1666, j'ai lu cette phrase :

    Si l'on fait abstraction du chiffre 1 comme le préconisent quelques exégètes des Ecritures qui considèrent qu'il représente Dieu, " L'Unique "...

    Sur cette page (vers le milieux):

    http://conspiration.com.free.fr/mcd.htm

    Bien à vous



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    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Empty David Duke - Freud, le Sionisme et la Révolution Sexuelle

    Message  c.isme 26/5/2011, 16:52

    David Duke expose la volonté destructrice et la haine pour les Européens qui se cachent derrière la révolution sexuelle et la promotion de la pornographie orchestrée par la juiverie internationale.



    lien de téléchargement;
    http://www.the-savoisien.com/blog/index.php?post/2011/04/05/David-Duke-Freud%2C-le-Sionisme-et-la-R%C3%A9volution-Sexuelle-VOSTFR

    cliqué sur "David Duke - Freud, le Sionisme et la Révolution Sexuelle"
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    Message  AldousOrwell 26/5/2011, 18:56

    Merci c.isme pour la vidéo.


    Dernière édition par AldousOrwell le 12/1/2012, 22:52, édité 1 fois
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    Message  c.isme 27/5/2011, 05:00

    à 2 minutes sur la vidéo; Mtv Summer Redstone de son vrai nom Rothstein
    Je me demande si il a un lien avec
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Arnold_Rothstein


    Arnold Rothstein était un criminel de la Yiddish Connection et homme d'affaires américain. Il est né à Manhattan en 1882, dans une famille juive ashkénaze aisée, et est mort en 1928. Il était surnommé the Fixer, Mr Big, the Big Bankroll (la grosse liasse de billets), Mr Broadway, ou the Brain (le cerveau). Connu pour son élégance et sa sobriété, il est considéré par beaucoup comme le père du crime organisé nord-américain.

    Biographie

    Il a commencé sa carrière adolescent, comme gambler (joueur professionnel, aux dés, cartes et billard), sous l'aile de Monk Eastman, chef de l'un des deux gangs les plus puissants à New York au début du siècle. Puis, à l'âge de 20 ans, avec le soutien de Big Tim Sullivan, un politicien de Tammany Hall (l'organisation du Parti démocrate à New York), il devint bookmaker (preneur de paris), pour les courses de chevaux, les matchs de base-ball, les combats de boxe ou les élections politiques. En 1909, il acquit sa propre maison de jeu. Il en racheta et en revendit régulièrement par la suite, toujours dans un registre très luxueux, en particulier dans la ville thermale de Saratoga (dans l'État de New York), connue pour être largement investie par la Pègre. Cette ville finit par être son "domaine", toutes les autorités locales ayant été corrompues par ses soins.

    Après une affaire de corruption (à l'issue de laquelle un officier de la police, Charles Becker, qui se comportait en mafieux, finit sur la chaise électrique en 1915), Sullivan fut retrouvé mort sur une voie ferrée. Rothstein trouva un nouvel appui en la personne du boss de Tammany Hall Charles Murphy. Au cours des années 1910, la réputation d'Arnold Rothstein atteignit des sommets. Il était devenu l'intermédiaire le plus en vue entre le monde de la politique et des affaires et celui du crime, recevant des commissions pour divers services réciproques. Il fut également impliqué dans des opérations de courtage juteuses et illégales, en association avec des politiciens et des avocats. Le journaliste William Kennedy a écrit qu'il "avait enfourné de l'argent dans toutes les bouches jusqu'au cabinet de la présidence".

    Dans le milieu du jeu, son prestige avait traversé tous les États-Unis, notamment grâce à une technique qu'il perfectionna: il apportait une forte mise pour faire baisser les côtes trop élevées, afin de réduire les chances de jackpots pour les autres joueurs. Redevables, les bookmakers partageaient alors les gains avec lui. La légende attribue à Rothstein le trucage de la finale du championnat de base-ball en 1919, entre les Cincinnati Reds et les Chicago White Sox (l'équipe favorite dont certains joueurs furent achetés pour perdre), mais la justice le blanchit sur cette affaire devenue légendaire. Sur ce point, on peut voir qu'Arnold Rothstein a inspiré l'auteur américain F. Scott Fitzgerald pour son personnage de Meyer Wolfshiem qui apparaît dans Gatsby le Magnifique.
    Les premiers bootleggers

    Parallèlement, Rothstein était devenu le principal financier de la pègre. Ainsi, au début de la Prohibition, lorsque Waxey Gordon ("Gordon la rogne", alias Irving Wexler) vint le voir en 1920 pour financer une importation illégale d'alcool, il organisa avec lui la réception d'une cargaison de whisky anglais débarquée sur le littoral. Il devint donc le promoteur des premiers bootleggers (traficants d'alcool). Les gangsters rivaux étant les principaux obstacles, il engagea des hommes de main pour protéger les convois, parmi lesquels Lucky Luciano, Meyer Lansky, Bugsy Siegel, Frank Costello, Lepke Buchalter, Gurrah Shapiro et Legs Diamond (alias John Nolan). Par la suite, Rothstein investit également dans le trafic de drogue (opium et cocaïne).

    Début novembre 1928, il refusa d'honorer une dette de 300000 US$, perdue dans un pari sur un poker marathon. Le samedi 4 novembre, à 22:15, il quitta le restaurant Lindy's sur Broadway (à New-York), en alléguant un rendez-vous à la chambre 349 du Park Central Hotel, tout proche. A 22:47, il fut découvert avec un balle dans le ventre par Vince Kelly, liftier du même hôtel, dans le corridor de service du premier étage. Transporté au Polyclinic Hospital, il y mourut le lendemain matin, sans avoir révélé le nom de son agresseur.[1]

    Il a lancé la carrière d'hommes tels que Lucky Luciano, Meyer Lansky, Lepke Buchalter,
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    Message  ratman 15/7/2011, 18:01

    Freud a été un précurseur d’Alfred Kinsey, le pervers qui s’est tué en essayant de se masturber. Kinsey remplissait son célèbre rapport parrainé par Rockefeller avec les modèles de comportement de ses collègues homosexuels. Ainsi, il convainquit les Américains que la promiscuité et la déviance étaient la norme.

    http://infoguerilla.fr/?p=5624
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    Message  AldousOrwell 15/7/2011, 19:08

    Il existe un film sur Alfred Kinsey. A voir, mais je ne sais pas ce que ça vaut:

    **http://undeadlink.com/lien.php?id=2BU4X389

    (enlevez les **)
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    Message  lorelianeGTQ 15/7/2011, 23:06

    Il suffit de lire ce genre d'article pour se rendre compte que c'était là un grand malade mentale :

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Angoisse_de_castration

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Envie_du_p%C3%A9nis

    Au bucher Freud... et ses disciples sabatéens avec Razz
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    Message  c.isme 16/7/2011, 04:28

    un passage vidéo pour comprendre le plan.

    Rituels Occultes _ Roger Morneau 3/5
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    Message  DesEspoirs 16/7/2011, 16:25

    Mystères et secret du B’naï B’rith - Emmanuel Ratier.


    Freud et la tradition mystique juive.

    C'est pourquoi le B'naï B'rith prit à sa charge le devoir de rendre possible une
    renaissance de Freud en Autriche, car, pour nous, Freud ne fut pas seulement le grand chercheur, mais aussi l'homme juif qui, loin de tout lien confessionnel, et même en opposition à toute religiosité, a été cependant un Juif conscient et fut un fier B'naï B'rith. »

    Freud n'ignorait rien des thèses sionistes politiques et les approuvait, comme le démontre notamment une lettre qu'il envoya pour un compte-rendu en septembre 1902, avec son livre L'Interprétation des rêves, à Herzl, alors en charge de la rubrique littéraire de la Neue Fraie presse. En 1925, Freud devait également envoyer un tiré à part de son autobiographie à Lord Balfour, à la suite de son discours pour l'inauguration de l'université de Jérusalem. Il sera par la suite en contact régulier avec diverses associations sionistes comme le Keren Ha-Yesod ou la Kadima, dont son fils Martin Freud sera membre. Sigmund Freud lui-même en deviendra membre honoraire en 1936. Ses fils seront profondément sionistes : son fils, Ernst Freud, devenu architecte, partira en Palestine en 1927 pour y construire la maison de Haïm Weizmann. En 1924, un premier psychanalyste, Moshe Har-Even s'installe à Tel-Aviv. Dès 1933, se crée la première Société
    psychanalytique de Palestine, avec Max Eitingon, intime de Freud qui présidera à partir de 1926 la prestigieuse Association internationale de psychanalyse. Personnage à double vie, Eitingon était également un espion travaillant pour le compte de la Guépéou, la police secrète soviétique. Né en Russie en 1891, il était en effet le frère de Léonid Eitingon, haut
    responsable du G.P.U., plus connu sous le nom de général Kotov. Mandaté par Staline, ce même Kotov deviendra au Mexique l'amant de Carridal Mercader, et recrutera son fils, Ramon Mercader, lequel assassinera Trotski !

    Il ne faut pas oublier, même si le fait est toujours soigneusement passé
    sous silence par ses disciples, que Freud avait une attirance étonnante pour les pratiques magiques et occultes (6). Nous ne nous livrerons ici ni à une défense apologétique ni à une attaque virulente de la psychanalyse comme science médicale ou fausse science, mais tenterons plutôt de montrer les rapports entre les aspects « mystiques », « magiques » et « religieux » de la psychanalyse avec la philosophie juive et les enseignements du B'naï B'rith.
    Il ne faut jamais oublier que, comme l'a révélé Emil Ludwig, Freud ira jusqu'à
    pratiquement créer son propre ordre secret, analogue à ceux des fraternités maçonniques, avec réunions et langage secret.

    Divers apports inattendus ont nourri les recherches de Freud. Dans les années
    entourant 1880, Freud fut par exemple en rapport régulier (7) avec Adolph Jellinek. « le plus grand des prêcheurs juifs modernes », qui prêcha à Vienne, jusqu'à sa mort, en 1883. Il avait publié bon nombre d'ouvrages sur la kabbale et la mystique kabbalistique. Second apport chez Freud, le Dr Wilhelm Fliesse, avec lequel Freud entretiendra une importante correspondance de 1887 à 1901. Fliesse était un fervent de numérologie. Pour lui, le cycle mâle était de 23 jours, le cycle femelle de 28. La mort de Goethe était survenue au 30 156 e jour de sa vie, soit 1 077 cycles de 28 jours... féminin (type de bisexualité).

    Dans un passionnant essai, l'Américain David Bakan, après une étude méticuleuse et
    approfondie, conclut, de manière nullement hostile, que le « freudisme est un avatar de la mystique juive », un « travestissement laïcisé » de la mystique juive. Selon cet universitaire, qui évoque « l'hypothèse très convaincante » d'un « pacte avec le diable (…), Freud passa toute sa vie dans un ghetto virtuel, un monde composé presque exclusivement de Juifs ».

    De même, Manès Sperber [8] décrit la psychanalyse comme « la mise en psychologie de l'Ancien Testament » ; Marthe Robert, dans un essai pénétrant, voit dans son œuvre « en quelque sorte le dernier en date des commentaires du Talmud ». Quant à Percival Bailey, il voit en Freud un « rabbin laïc (9) ». Un autre spécialiste, le professeur Baruk, pourtant hostile au freudisme, arrive à une conclusion identique, estimant que la psychanalyse est « plutôt une religion qu'une science. Elle a ses dogmes, elle a ses rites, et surtout son interprétation presque mystique, en tout cas, fort peu contrôlée. Le propre de la Science, c'est que l'hypothèse doit ensuite être passée au feu de la vérification. Alors seulement, elle
    se transforme en fait scientifique. Dans la psychanalyse, l'hypothèse, c'est-à-dire
    l'interprétation fournie par son auteur, le médecin, doit être contrôlée par le résultat
    thérapeutique. Or, sur ce point, les résultats sont bien maigres. On ne connaît que très peu de cas d'obsessions guéris par la psychanalyse, malgré l'intense propagande de ses (10) disciples ».

    Comme l'écrit le préfacier de Bakan, le Dr F. Pasche, « pour Freud, le surmoi avait un
    visage, celui de Moïse, et un langage, les interdits et les injonctions du Décalogue. N'est-ce pas le dogme kabbalistique d'une énergie divine, créatrice, sexualisée qui est à l'origine du concept de libido ? N'en est-il pas de même des notions freudiennes d'instinct de mort, sécularisation de l'esprit du Mal — de bisexualité — le Dieu de la Kabbale est bisexuel - de l'inceste comme crime mythique, de l'assimilation de la connaissance à l'inceste, etc. »
    Mystique juive, Kabbale, numérologie : des termes peu courants pour aborder de nos
    jours la psychanalyse, mais qui étaient des banalités dans les années vingt et trente. Qu'est la
    Kabbale en effet, sinon l'étude symbolique des chiffres et des lettres ? Qu'est-ce que la psychanalyse, sinon une explication symbolique des chiffres et des lettres, l'interprétation des rêves, la Traumdeutung (la fameuse « Clé des songes », rêve des magiciens kabbalistes) ? Cette analogie ne devait pas échapper au B'naï B'rith, qui prit très tôt la défense de Freud et popularisa ses théories, alors même que son appartenance au B'naï B'rith était encore méconnue.

    A de nombreux égards, la méthode freudienne, particulièrement
    dans sa phase culminante, est une forte réminiscence du symbolisme qui sous-tend toute la philosophie kabbalistique. L'importance donnée aux éléments féminins et mâles, le jonglage avec les nombres, l'exploitation de toutes sortes de symboles pour s'adapter aux cas particuliers et de nombreuses autres indications ont leur contrepartie dans la psychanalyse.
    (... Comme l'explique Freud lui-même, en substance,) il est impossible de penser à un nombre ou même à un mot de manière totalement libre. Si on arrive à examiner
    précisément le processus de formation volontaire, on peut toujours prouver qu'il a été très strictement déterminé. » Roback esquisse alors, et de manière complexe pour les néophytes, les rapports entre les recherches freudiennes et les schèmes d'analyse des commentateurs bibliques, kabbalistes et mystiques : « Si on vous demande un nombre au hasard et que vous répondiez 37 826, Freud répondra qu'il y a un motif secret, une raison cachée à vous- même, qui vous a déterminé à donner ce nombre plutôt qu'un autre.

    En fait, Freud n'a pas adhéré à un système fixé de règles pour les analogies de nombres, mais les possibilités de manipulation dépassent, surpassent tout ce que les commentateurs juifs mystiques avaient offert jusque-là (...) On doit admettre que lorsqu'on compare les manipulations de nombres faites par les commentateurs juifs avec les conjectures
    extravagantes des chercheurs de la Zentralblatt für Psychoanalyse, fondée par Freud, les premières apparaissent comme du bon sens. »

    C'est pourquoi pour le Frère A. A. Roback, comme pour d'autres commentateurs par la suite, l'influence juive apparaît comme partout présente chez Freud, et la psychanalyse est vue à proprement parler, sans aucune notion péjorative, comme une science juive :

    Freud lui-même devait le déclarer : « Seul un Juif pouvait créer la psychanalyse. Dans l'un des Almanachs de l’Association internationale de psychanalyse, Freud

    Simple question : un fait a été totalement ignoré par les exégètes freudiens, en
    particulier Yerushalmi. Pourquoi Freud s'est-il intéressé à Moïse ? Ne serait-ce pas par ce que les B'naï B'rith, littéralement les Frères de l'Alliance, se réfèrent, comme on l'a vu, à deux alliances bien particulières : la première alliance avec Abraham, et la seconde alliance, conclue entre le peuple élu et Moïse, qui reçut les tables de la Loi mosaïque sur le Sinaï, établissant un pacte d'Alliance entre les tribus d'Israël, et créant par là les Fils de l'Alliance...

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    Message  Bardamu 16/7/2011, 18:10

    Remarquable trouvaille DesEspoirs cheers Merci !!


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    Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
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    Message  DesEspoirs 29/7/2011, 15:47

    Je reviens sur ce poste et sur mes trouvailles pour avoir votre avis sur le Monsieur en question, car après avoir lu vos "analyse" et les différents sujets et documents sur Freud je me pose des question sur sa sincérité et ses objectifs.
    Dans le livre d’Emmanuel Ratier "Mystères et secret du B’naï B’rith" on y découvre un Freud Frère B’naï B’rith, inspirait par la mystique kabbalistique et du proche des milieux sioniste pour résumé.
    Pour tout vous dire je me suis un peut embrouiller il y a quelques temps sur un forum car je trouvais cela un peut bizarre mais apparemment d'après certaines personnes, tout cela n'a rien de choquant ou en tout cas ne peut par remettre en cause le grand scientifique et ses "recherches".
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    Message  DesEspoirs 23/8/2011, 00:57

    Hallucinant bien qu'assez prévisible vue le personnage.

    Freud et la psychanalyse



    « une imposture à structure de géant[1] »



    par Godeleine Lafargue

    Docteur en philosophie



    Extrait du « Cahier Saint Raphaël » n° 71, juin 2003 : Psychanalyse, l'idole vacillante. (20B, pl. Dupleix, 75015 Paris). [http://acimed.free.fr]





    La liturgie, l’idéologie, les manipulations et les comportements des membres de la secte freudienne restaient ignorés du fait de la rétention des informations depuis 80 ans. A lire ce qui a paru des échanges épistolaires, on est pris d’un vertige et, ainsi que l’écrivait Ernest Gellner, « on est en droit de se demander si l’on étudie l’histoire d’une association scientifique ou si l’on s’est égaré dans Le parrain ». C’était, dira le psychanalyste français François Roustang, « au sens propre, une bande de délinquants, ou un gang de tueurs », ou encore « une horde sauvage », selon les termes de Freud, dont le but était l’élimination de la concurrence de sa pensée unique[2]« .



    Désinformation et totalitarisme de la pensée sont les deux mots clés définissant l’histoire de la psychanalyse freudienne. Cela dans un dessein précis : cacher l’une des plus grandes supercheries du siècle dernier. Freud le maître, Freud le plus grand chercheur, Freud thérapeute extraordinaire, voilà ce que nous entendons dire. Pourtant, ces éloges sont loin de la réalité. Jacques Bénesteau, dans son livre étonnant : Mensonges freudiens[3], nous livre les témoignages jusqu’alors cachés et bien gardés par les cerbères de la psychanalyse. Il nous donne la véritable image de cet homme fondateur d’une science qui n’a pas fini de faire des ravages. Fort heureusement, le voile commence à se lever et peut-être sommes-nous sur le chemin qui délivrera la psychologie d’un tel fléau.





    « Un médecin malgré lui[4] »



    « Échec » est le mot qui caractérise la carrière médicale de Freud. Ses recherches commencent en 1877 sur le problème des testicules de l’anguille. Après avoir disséqué plus de 400 spécimens de la bête, il ne trouve rien. Puis, en 1878 dans le laboratoire d’anatomie expérimentale de Stricker, il travaille avec acharnement durant six mois sur des glandes, sans aucun résultat. Stricker reprend son travail et réussit aussitôt. En 1879, il met au point une préparation chimique permettant d’isoler les tissus nerveux pour le microscope, sa découverte n’a aucun succès à l’extérieur du laboratoire. Freud finit quand même par obtenir son diplôme de Docteur en médecine en 1881, après 13 années d’études, il est en retard de trois années sur sa génération. Sa carrière est alors en panne : travaux biologiques et zoologiques avec Claus, assistant dans le laboratoire d’histologie de Brücke, deux semestres en chimie chez Ludwig, trois mois en chirurgie chez Billroth, six mois en médecine interne, quelques mois chez Meynert au service des maladies nerveuses, puis au laboratoire d’anatomie cérébrale, trois mois en dermatologie, quatorze en neurologie, cinq en ophtalmologie, trois semaines en pédiatrie. Freud touche à tout et ne trouve pas sa vocation. Il cherche la gloire. Il ne la trouve nulle part. En 1882, la théorie des neurones lui échappe ; mais l’échec le plus cuisant est sans doute celui de la découverte par Karl Koller de l’anesthésie locale par la solution muriatique de cocaïne. Freud travaillait avec lui dans le laboratoire de Stricker. Il passe à côté de la gloire en raison de son absence durant l’été, trop occupé avec Martha Bernays. Freud ne digère pas son échec. Il tente alors de faire d’autres découvertes sur les propriétés de la cocaïne, dont il est grand consommateur. De novembre à décembre 1884, il entreprend une série d’expériences pour évaluer les effets de l’alcaloïde dans la force musculaire grâce au dynamomètre d’Exner. Son rapport est publié le 31 janvier 1885, on y cherche vainement des renseignements sur le rapport entre les doses de cocaïne ingérées (il fut lui-même le sujet de son expérience) et les variations de la force. « C’était un travail d’amateur, bâclé dans l’urgence du besoin de se racheter et de rattraper le temps perdu »[5]. Vexé par ce deuxième échec, Freud essaye de compenser ses insuccès et ses déboires en affirmant avoir déjà appelé bien avant Koller l’attention sur les propriétés anesthésiques de la cocaïne au niveau local. Il affirmera en 1934 dans une lettre au Professeur Meller, lui avoir transmis son idée.



    Cependant, Freud n’en a pas fini avec la cocaïne. Il essaye, après ses expériences sur la cocaïne et la force musculaire, de guérir avec cette « potion magique » Ernst Fleishl von Marxow devenu morphinomane en raison d’un névrome sur le moignon d’un pouce amputé. Seule la morphine pouvait calmer à l’époque les douleurs des névromes (prolifération nerveuse terriblement douloureuse). Freud prétendit l’avoir guéri en quelques jours de sa dépendance à la morphine (dérivée de l’opium) grâce à l’injection de cocaïne. Or aux opiacées, il ajoutera chez ce patient la dépendance à la cocaïne. Peu lui importe, la cocaïne, c’est formidable, et il la recommande à tout le monde pour ses vertus euphorisantes et analgésiques, particulièrement dans les maux d’estomac. Le 18 juin 1884, il écrit son célèbre article Über coca, rédigé à la hâte, bourré de fautes d’orthographe, brouillon, se trompant sur la formule chimique de la cocaïne, mélangeant les dates et les noms. Pourtant, sa réputation devient internationale ; les deux continents font l’éloge de sa méthode de soins des morphinomanies par la cocaïne. Freud édifie alors la société savante du Procédé-Freud destiné à soigner la toxicomanie à l’opium et dérivés comme la morphine. Pendant ce temps, Fleischl est dans un état lamentable au bord suicide luttant à la fois contre la douleur, la morphine et la cocaïne. Freud le sait parfaitement, puisqu’il lui rend visite régulièrement. Il écrit à Martha : « avec Fleischl, les choses vont si mal que je ne puis me réjouir d’aucun succès[6] ». Après avoir enduré d’horribles souffrances pendant de nombreuses années, Fleischl finit par mourir en 1891, et son portrait ornera le mur du cabinet de Freud jusqu’à la fin de sa vie.





    Le syndrome génito-nasal (?).



    Après ces recherches sur la cocaïne, Freud finit par ouvrir un cabinet en 1886 et se présente à l’Académie des sciences pour présenter l’originalité et la révolution des thèses de Charcot sur l’hystérie masculine et la névrose traumatique. L’auditoire d’experts en sait plus que lui, et il ne démontre rien de nouveau puisque l’existence de l’hystérie masculine est enseignée déjà depuis 20 ans. Freud développe des idées démontrées fausses dans le passé comme le refoulement sexuel à l’origine de l’hystérie. Le texte de l’exposé a, bien entendu, disparu, mais avec des recoupements de différents documents historiques nous pouvons retrouver l’ensemble de la conférence. Le problème est, dira Freud à Fliess, qu’il n’est « en réalité pas du tout un homme de science, pas un observateur, pas un expérimentateur, pas un penseur. Je ne suis par tempérament rien d’autre qu’un conquistador – un aventurier, si tu préfères – avec toute la curiosité, l’audace et la ténacité caractéristiques d’un homme de cette trempe[7] » . Freud, en réalité, ne connaît rien à la psychiatrie, mis à part son stage de cinq mois chez Meynert en 1883, il n’a aucune expérience. « Il n’était pas psychiatre selon les standards de l’époque, et ne sera pas considéré comme tel par ses collègues ; mais il aspire toujours à ferrailler avec les psychiatres officiels, surtout les meilleurs[8] ».



    Notons enfin, pour clore l’évocation des échecs et des manipulations de Freud (et la liste pourrait être beaucoup plus longue) le cas de la pauvre Emma. Il faut savoir que toutes les lettres concernant cette patiente ont été supprimées ou consignées aux archives de la Library of Congress de Washington.



    En 1893, Freud adhère à la théorie de Fliess sur la névrose nasale. L’otorhino-laryngologiste établit une liaison entre les tissus érectiles des fosses nasales et les muqueuses génitales, supposés embryologiquement équivalents. Par cette liaison, il estime avoir démontré dans 130 cas le rapport entre le nez et les manifestations de névrose. « La névrose réflexe, explique Jacques Bénesteau, donne des tensions musculaires, céphalées, sensations de vertige, intolérance à l’alcool, cauchemars, problèmes d’estomacs, sexuels, respiratoires ou du rythme cardiaque. La source de ces maux est soit dans le nez, soit génitale. La masturbation est particulièrement redoutable[9] ».



    Au même moment, Freud traite une patiente, Emma Echstein pour des troubles hystériques de « conversion », des douleurs gastriques et une dysménorrhée avec hémorragies génitales depuis l’adolescence. La patiente rapporte ces perturbations à des facteurs organiques, mais Freud refuse de l’admettre et ne demande aucun examen médical car la cause est pour lui indiscutable une masturbation mal refoulée et conflictuelle. Freud reconnaît là une névrose nasale et fait examiner sa patiente par Fliess. Ils décident alors de l’opérer, c’est une première mondiale : une trépanation d’un os des fosses nasales doit guérir sa névrose. Il s’agit de l’ablation du cornet nasal moyen gauche. Un mois s’écoule la malade n’est toujours pas remise et souffre d’un œdème facial, d’hémorragies nasales, de sécrétions purulentes devenues fétides, de douleurs et d’un état infectieux. Le 8 mars 1895, Freud décide de la faire ausculter par un médecin ORL qui lui retire lentement, après inspection de la fosse nasale, une interminable bande de gaze d’au moins un demi-mètre oubliée par le professeur Fliess. C’est alors l’hémorragie foudroyante. Emma est hospitalisée et finit par se remettre au bout de quelques mois, mais plusieurs opérations sont nécessaires pour réparer les dégâts et la mettre hors de danger. Pour excuser cette faute médicale majeure, Freud affirme que ces saignements étaient hystériques et liés au désir sexuel inconscient d’Emma, celle-ci se laisse convaincre. Emma deviendra la première femme analyste, ce qui en dit long sur le pouvoir de persuasion de son maître. Cependant, Emma est peut-être guérie des conséquences de l’intervention chirurgicale, mais absolument pas de ses douleurs abdominales et des hémorragies génitales. Désespérée, elle finit par consulter un médecin qui lui retire un énorme abcès abdominal. Elle semble tirée d’affaire, mais Emma est toujours victime de saignements génitaux. On lui retire la totalité de l’utérus. Diagnostic fibromyome, tumeur bénigne du tissu musculaire utérin probablement responsable des hémorragies cycliques depuis l’adolescence. Emma Eckstein, cloîtrée, inactive et alitée en permanence depuis 1905, défigurée par la trépanation de 1895, mourra en 1924 d’un accident cérébral.



    Au sein de ces déboires, de ces fraudes, de ces erreurs et de cette inexpérience chronique va naître la psychanalyse…





    « Un conte de fée scientifique »[10]



    Au printemps 1896, Freud vient d’inventer la psychanalyse : « La nouvelle méthode révolutionnaire est simultanément un traitement et un moyen de connaissance des moyens et des origines inconscientes des psychonévroses[11] ». Dix ans après sa bévue à l’Académie des sciences, Freud se présente alors devant les autorités de la Société de psychiatrie et de neurologie de Vienne. Il y développe sa fameuse théorie appelée par la tradition « Théorie de la séduction », selon laquelle l’hystérie trouverait sa cause dans un traumatisme sexuel subi dans la petite enfance. Il expose alors pour la première fois la psychanalyse appliquée à une psychonévrose précise : l’hystérie. Cette théorie s’inspire de la méthode de Joseph Breuer[12], qui n’eut jamais eu aucun succès thérapeutique avéré. Dans 18 cas d’hystérie sur 20, selon une analyse minutieuse avec un minimum de 100 heures d’analyse pour chacun, celle-ci déboucherait invariablement sur des scènes d’abus refoulés. Freud serait parvenu à une guérison radicale par une psychanalyse complète. L’auditoire reste sceptique. Les psychiatres reconnaissent une part de sexualité dans les cas d’hystérie, mais ils ne donnent pas l’exclusivité à cette explication. Cependant, les soi-disant cas étudiés ne sont absolument pas développés dans sa conférence, Freud promet alors une explication clinique de sa théorie avec une analyse complète et détaillée. Mais jamais il ne le fera, et pour cause puisqu’il affirme lui-même avoir inventé ces cas cliniques[13]. Dans les lettres à Fliess nous apprenons que les cas de névrose sont devenus rares à sa consultation. À l’automne 1895, quelques mois avant sa conférence, il se plaint de n’avoir à sa consultation que deux névrosés qui ne progressent absolument pas. Comment peut-il se réclamer de 18 cas, avec plus de cent heures d’analyse pour chacun en quatre mois et demi ? Il faudrait qu’il ait vu ses patients six jours par semaine pendant 12 heures chaque jour. Or Freud ne travaille pas les jours fériés et suit d’autres malades à cette époque. Tout cela est décidément invraisemblable. Et le comble c’est l’abandon par Freud lui-même de la théorie de la séduction, en privé, bien évidemment. Il l’annonce le mardi 21 septembre dans une lettre à son ami Fliess. Entre autres raisons : les rechutes fréquentes et l’absence de succès thérapeutique. « En 1896, la théorie de la séduction reposait sur l’analyse complète de 18 patients. Dix-sept mois plus tard, il avoue que pas une seule analyse n’avait été menée à bien, et ne revendique plus aucun succès sur des hystériques qu’on recherche vainement[14]. »



    Les fondements de la psychanalyse sont bien fragiles, ce qui n’a rien d’étonnant puisqu’à cette époque Freud est un grand consommateur de cocaïne. Or une des conséquences de la prise de cette drogue est l’altération du sens de la réalité. D’ailleurs, note Jacques Bénesteau, il n’est pas étonnant que le rêve ait une part si importante dans la psychanalyse. A cet effet, il faut ajouter la conviction d’une intelligence inépuisable, une surestimation de soi, la dispersion de l’attention et de la mémoire. Comment découvrir une thérapie digne de confiance dans de telles conditions ? Mais bien évidemment toute allusion à la prise de cocaïne est dissimulée par Freud et ses cerbères. Freud est un véritable « charlatan », Frederick Crews affirme que « si un scientifique se comportait de cette façon aujourd’hui, il serait, bien entendu, renvoyé de son travail, perdrait ses fonds de recherche, et serait déshonoré le restant de ces jours[15] ».



    Seule la gloire et l’argent sont les mobiles de notre grand chercheur ! D’ailleurs, il déteste les malades, comme il le dit lui-même : « Les patients, c’est de la racaille, je leur tordrais bien le cou, à tous » ; « sachez, en effet, que, dans la vie, je suis terriblement intolérant envers les fous, n’y découvre que ce qu’ils ont de nuisible », et « le mieux est de les mettre sur un bateau et de les expédier, ils ne méritent pas le temps que nous leur donnons[16] » . Freud est décidément un médecin raté.



    Après l’échec de la théorie de la séduction, il fallait trouver autre chose, ici intervient le fameux Complexe d’Œdipe qui pourvoie aux abus sexuels de l’enfance. La cause de l’hystérie se situe maintenant dans le désir incestueux. Sophocle doit se retourner dans sa tombe, lui qui n’a jamais voulu faire apparaître d’élément sexuel entre Œdipe et Jocaste. Mais peu importe à notre thérapeute hors pair, il avoue lui-même ne s’être jamais documenté sur la légende d’Œdipe.



    Finalement, à partir de l’invention de la Méthode psychanalytique en 1896-1897, seulement six cas cliniques ont ensuite été un peu, mais très contradictoirement, explorés. Ce sont les cas retenus par Freud pour une publication dans le dessein de démontrer l’utilité de la psychanalyse. Personne ne comprend ce choix tant ces exemples sont peu significatifs.





    Les victimes du freudisme.



    Le premier cas est d’emblée éliminé, il s’agit d’un cas d’homosexualité. Or selon Freud : « La psychanalyse n’est pas appelée à résoudre les cas d’homosexualité[17] ». Le second concerne Dora en 1900. La pauvre n’a pas supporté les élucubrations du soi-disant psychiatre. Elle mettra fin à sa psychanalyse quelques semaines plus tard. Elle souffrait entre autres, comme Emma, de troubles digestifs, attribués encore une fois à la masturbation. Elle finit par mourir d’un cancer du colon. Freud admet l’échec, mais ne l’attribue absolument pas à une erreur de diagnostic ou à une faiblesse de la méthode, seule la malade est en cause.



    Nous avons ensuite le double cas du petit Hans en 1907 et 1909. Bien que théoriquement immunisé contre les états névrotiques par une éducation freudienne, le petit Hans souffre d’une névrose phobique à 5 ans : la peur de la morsure d’un cheval révèle l’angoisse de castration. Ce modèle d’équilibre en 1907 – développé dans un article de Freud – devient un modèle de perversité en 1908. Le 19 mai, Freud déclare avoir définitivement guéri l’enfant. Il n’a rencontré l’enfant que quelques instants, il dirige la psychanalyse par l’intermédiaire de son père. Les affirmations de l’enfant, qui ne comprend pas très bien les questions, sont interprétées par le père, puis corrigées par Freud pour éviter les contradictions. À dix-neuf ans, Hans ne se reconnaît pas dans le récit de son cas rédigé en 1909. Freud voit dans cette amnésie une nouvelle preuve de la résolution de la névrose infantile.



    Notre psychanalyste doit ensuite, pour le 26 avril 1908, préparer dans l’urgence une conférence de caractère historique pour démontrer à la face du monde l’efficacité thérapeutique de sa méthode. Freud se décide à présenter le cas de L’homme aux rats. Nous constatons une indiscutable et sérieuse divergence entre les notes cliniques et le cas officiel. « Ces distorsions manifestes font du cas officiel une confabulation intentionnelle et une transfiguration mythologique savamment orchestrée[18]. »



    C’est ensuite le cas de Daniel Paul Schreber, ancien président de la cour d’appel, qui sombra dans la folie. Malheureusement, Freud n’a jamais psychanalysé le malade. Il ne s’agit pas d’une psychanalyse au sens strict, mais d’un essai interprétatif des événements décrits par Schreber. Il s’agit encore une fois d’une reconstruction mythographique, Freud ayant délibérément rejeté les documents biographiques ou médicaux qui remettraient en cause son système de pensée unique.



    Enfin, le cas de L’homme aux loups considéré comme le plus démonstratif, qui suivit une psychanalyse durant 70 ans (on se demande où est la guérison !), par dix psychanalystes qui se sont relayés jusqu’à sa mort en 1979. Il aurait été guéri successivement de plusieurs maladies mentales. L’homme aux loups, ruiné par la révolution bolchevique fut subventionné par le mouvement psychanalytique. Freud lui fournissait des livres en quantité et organisait une collecte chaque année à Pâques. Puis, Kurt Eissler prend la relève et lui obtient une pension à vie sur les fonds des archives Freud, en plus d’analyses gratuites, en échange de son engagement pour la cause. Toutefois, il ne garda pas le silence jusqu’au bout et finit par avouer le mal que lui avait fait la psychanalyse. Il garda des troubles psychologiques durant toute sa vie. Six cas seulement sont à peu près étudiés sérieusement par Freud, six cas absolument contestables, ce qui en dit long sur l’efficacité de la Méthode psychanalytique. La psychanalyse est un procédé développé sans aucune objectivité scientifique. Elle tient du rêve, et des délires d’un homme imbu de lui-même, ne supportant pas l’échec, malhonnête, et sous l’influence de la cocaïne. La psychanalyse n’a jamais fait ses preuves et causa la perte de beaucoup de patients. Des malades parfois connus comme Marylin Monroe ont été victimes du freudisme, et se sont donné la mort, sans compter les psychanalystes eux-mêmes. Jacques Bénesteau nous donne une proportion étonnante : sur une population de 100 000 personnes, on estime qu’entre 10 et 30 personnes se donnent la mort. Sur les 350 psychanalystes officiellement recrutés en Europe centrale avant la seconde guerre mondiale, plus d’une vingtaine s’est suicidée. Nous pouvons en étant indulgent, considérer cette fréquence de 20 psychanalystes sur 350, contre environ 20 pour 100 000 dans la population générale. Ceci signifie qu’il y a 285 fois plus de suicides chez les psychanalystes que dans une population générale. C’est effarant ; mais l’est encore plus la renommée du freudisme devant tant d’inexpériences, de manque d’objectivité, de fantaisies, de fraudes et d’échecs thérapeutiques. Nous nous rendons compte alors de l’ampleur de la supercherie propre au système freudien. Beaucoup de lettres ou de conférences ont été supprimées par Freud ou cachées par sa fille et ses disciples. Tout ce qui peut desservir la cause est écarté. Malheur à celui qui, du temps de Freud, disait du mal du maître. Certains ont eu leur carrière détruite pour avoir osé critiquer le maître. Finalement tout comme Edmond Rostand disait du darwinisme qu’il était « un conte de fée pour grandes personnes », le freudisme est véritablement un « conte de fée pour scientifiques ». Ces deux fameuses révolutions ne sont que des impostures à la stature de géant.

    http://salve-regina.nuxit.net/Catechisme/Freud_et_la_psychanalyse.htm
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    Message  AldousOrwell 4/12/2011, 07:53

    La vie sans Freud

    Prenez Freud, l'ignoble Freud par exemple. Celui qui vous « fascine ». Le rebouteux d'Œdipes adipeux, dérêveur des apeurés, le troisième larron de cet effrayant trio de scélérats sur le monceau de crimes duquel nous vivons somnanbuliquement depuis près de cent ans ! Marx-Einstein-Freud : le trépied maudit si tanqué dans nos gâteaux intimes qu'on ne peut plus aujourd'hui en évaluer, sans transpirer, les empoisonnements. Toute la merde est sortie de ces trois anus, ne vous y trompez pas : le colombin total, les vingt-cinq centimètres marron ! Un jour peut-être on parviendra à imaginer ce qu'aurait pu être le XXème siècle sans ces Marx Brothers salauds de la déprime. La bombe, le complexe, le social : quoi rêver de mieux pour détruire un univers ?
    Prenez Freud donc et jetez le par terre en ricanant, pour toujours. C'est presque rien à faire, et quelle opération magique en même temps, vous basculez soudain vous êtes sauvé ! Et qui vous a permis de faire ce geste raisonnable ? Mais toute une série de vrais thérapeutes, d'authentiques médecins d'âme, des « artistes » qui vous lui foutent dans le cul au Sigmund, gros et bien veiné ! Qui encule Freud ? Mais le marquis de Sade, voyons ! Déjà Sade jadis avait réduit d'avance les prescriptions médiocres du toubib-bouddha à débiles babas. Que peut vous apprendre Freud quand vous avez lu Les Cent Vingt Journées de Sodome ? À l'école des petites truffes de terminale on ne leur omet pas le docteur Freud en philo ! Par contre je n'ai jamais vu un professeur réintégrer au programme le plus grand philosophe du XVIIIème siècle. Faut-il être con pour avoir ainsi plus peur d'un marquis que d'un docteur !
    Léon Daudet - Oui, le gros royaliste ! - avait écrit, il y a soixante ans, une petite phrase écrasée par des tombereaux de rigolades et de mépris, et qui se fait, je trouve, de plus en plus lancinante depuis quelques années : on finira par la trouver « génialement » vraie ... dans mille, deux mille ans peut-être : Freud est à l'introspection ce qu'Edmond Rostand est à la poésie. Le gros Daudet s'appuyait pour trouver Freud « limité » sur des exemples pris dans l'histoire des arts ! Autres paires de névroses et d'hystéries ! Il aurait été difficile à Freud d'enfermer les grands artistes "malades" cités par Daudet (Tolstoï, Beethoven, Nietzsche, La Fontaine, Goethe ) derrière ses grilles de concepts rigides ! Sigmund décortiquait les cervelles plus ou moins banales de clampins lambda. Pas si bête ! Il était incapable de s'approcher sans se brûler des brasiers de passions des gens géniaux. La psychanalyse ne soigne ou ne détruit que des cons !
    Vous n'êtes pas crédibles, vous en êtes encore à Freud ! Voilà ce qu'il faut dire. Reléguez l'âne Freud à sa petite place, au fond de la classe, près du radiateur ! Faites l'expérience, si vous croyez que j'exagère. Ça ne coûte rien. C'est pour la gloire des cochons ! La confiture dans l'oreille d'un sourd ! Et Freud n'est qu'un exemple ! On en trouvera d'autres !


    Marc-Édouard Nabe
    Extrait de « Billet doux n°3 » in Vertiges des Lettres n°5, décembre 1984. Repris dans Non, pp.22-27
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    Message  c.isme 10/12/2011, 20:29

    J'avais 4 ans et le Nabe se payait déjà notre ami Freud à 26 ans. C'est ce que l'on appelle une belle mise à l'amande. Fouet

    Merci AldousOrwell

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    Message  AldousOrwell 2/2/2012, 10:53

    Livre : Freud et l'occultisme, L'approche Freudienne Du Spiritisme, De La Divination, De La Magie Et De La Telepathie

    Par Christian Moreau

    Je ferais un compte rendu ici des éléments intéressants dans ce livre.

    Cependant, l'auteur ne vaut pas mieux que Freud puisque c'est un adepte de la "parapsychologie", une pseudo-science que Guénon avait déjà épinglé dans son dernier livre (le règne de la quantité) et ceci ne s'est que trop bien confirmé puisque cette pseudo-science est très en vogue dans les milieux New-age. Mais son livre est tout de même bon car il cite et rassemble les déclarations éparses de Freud, et au fond, c'est tout ce qui importe pour se faire son avis.

    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Freud-et-l-occultisme
    Le rôle joué par Freud dans notre possession satanique Freud-et-l-occultisme-verso



    Voilà le genre d'individu que l'on peut croiser dans les salon de "parapsychologie"....On retombe sur la pseudo-religion Théosophique, les OVNIS, etc etc

    Signes du retour de Maitreya? étoile, OVNI, Crop... par liloumace

    **********************************
    Pourquoi ces gens sont dangereux ? Consciemment ou inconsciemment...


    René Guénon - Résidus Psychiques
    Le Règne de la Quantité et les Signes des Temps - chapitre XXVII

    Pour comprendre ce que nous avons dit en dernier lieu à propos du «chamanisme» et qui est en somme la raison principale pour laquelle nous en avons donné ici cet aperçu, il faut remarquer que ce cas des vestiges qui subsistent d’une tradition dégénérée et dont la partie supérieure ou «spirituelle» a disparu est, au fond, tout à fait comparable à celui des restes psychiques qu’un être humain laisse derrière lui en passant à un autre état et qui, dès qu’ils ont été ainsi abandonnés par l’«esprit», peuvent aussi servir à n’importe quoi; qu’ils soient d’ailleurs utilisés consciemment par un magicien ou un sorcier, ou inconsciemment par des spirites, les effets plus ou moins maléfiques qui peuvent en résulter n’ont évidemment rien à voir avec la qualité propre de l’être auquel ces éléments ont appartenu antérieurement; ce n’est plus qu’une catégorie spéciale d’«influences errantes», suivant l’expression employée par la tradition extrême-orientale, qui n’ont gardé tout au plus de cet être [Note de Loup K.: l'être auquel ces éléments ont appartenu antérieurement] qu’une apparence purement illusoire.

    Ce dont il faut se rendre compte pour bien comprendre une telle similitude, c’est que les influences spirituelles elles-mêmes, pour entrer en action dans notre monde, doivent nécessairement prendre des «supports» appropriés, d’abord dans l’ordre psychique, puis dans l’ordre corporel lui-même, si bien qu’il y a là quelque chose d’analogue à la constitution d’un être humain.

    Si ces influences spirituelles se retirent par la suite, pour une raison quelconque, leurs anciens «supports» corporels, lieux ou objets (et quand il s’agit de lieux, leur situation est naturellement en rapport avec la «géographie sacrée» dont nous avons parlé plus haut), n’en demeureront pas moins chargés d’éléments psychiques et qui seront même d’autant plus forts et plus persistants qu’ils auront servi d’intermédiaires et d’instruments à une action plus puissante.

    On pourrait logiquement conclure de là que le cas où il s’agit de centres traditionnels et initiatiques importants, éteints depuis un temps plus ou moins long, est en somme celui qui présente les plus grands dangers à cet égard, soit que de simples imprudents provoquent des réactions violentes des «conglomérats» psychiques qui y subsistent, soit surtout que des «magiciens noirs», pour employer l’expression couramment admise, s’emparent de ceux-ci pour les manoeuvrer à leur gré et en obtenir des effets conformes à leurs desseins.

    Le premier des deux cas que nous venons d’indiquer suffit à expliquer, tout au moins pour une bonne part, le caractère nocif que présentent certains vestiges de civilisations disparues lorsqu’ils viennent à être exhumés par des gens qui, comme les archéologues modernes, ignorant tout de ces choses, agissent forcément en imprudents par là même.

    Ce n’est pas à dire qu’il ne puisse pas parfois y avoir encore autre chose: ainsi, telle ou telle civilisation ancienne a pu, dans sa dernière période, dégénérer par un développement excessif de la magie

    [note en bas de page: Il semble bien que ce cas ait été, en particulier, celui de l'Égypte ancienne.]

    et ses restes en garderont alors naturellement l’empreinte, sous la forme d’influences psychiques d’un ordre très inférieur.

    Il se peut aussi que, même en dehors de toute dégénérescence de cette sorte, des lieux ou des objets aient été préparés spécialement en vue d’une action défensive contre ceux qui y toucheraient indûment, car de telles précautions n’ont en soi rien d’illégitime bien que cependant le fait d’y attacher une trop grande importance ne soit pas un indice des plus favorables puisqu’il témoigne de préoccupations assez éloignées de la pure spiritualité, et même peut-être d’une certaine méconnaissance de la puissance propre que celle-ci possède en elle-même et sans qu’il soit besoin d’avoir recours à de semblables «adjuvants».

    Mais tout cela mis à part, les influences psychiques subsistantes, dépourvues de l’«esprit» qui les dirigeait autrefois et réduites ainsi à une sorte d’état «larvaire», peuvent fort bien réagir d’elles-mêmes à une provocation quelconque, si involontaire soit-elle, d’une façon plus ou moins désordonnée et qui, en tout cas, n’a aucun rapport avec les intentions de ceux qui les employèrent jadis à une action d’un tout autre ordre, pas plus que les manifestations saugrenues des «cadavres» psychiques qui interviennent parfois dans les séances spirites n’ont de rapport avec ce qu’auraient pu faire ou vouloir faire, en n’importe quelle circonstance, les individualités dont ils constituèrent la forme subtile et dont ils simulent encore tant bien que mal l’«identité» posthume, au grand émerveillement des naïfs qui veulent bien les prendre pour des «esprits».

    Les influences en question peuvent donc, en bien des occasions, être déjà suffisamment malfaisantes lorsqu’elles sont simplement livrées à elles-mêmes; c’est là un fait qui ne résulte de rien d’autre que de la nature même de ces forces du «monde intermédiaire» et auquel personne ne peut rien, pas plus qu’on ne peut empêcher l’action des forces «physiques», nous voulons dire de celles qui appartiennent à l’ordre corporel et dont s’occupent les physiciens, de causer aussi, dans certaines conditions, des accidents dont nulle volonté humaine ne saurait être rendue responsable; seulement, on peut comprendre par là la vraie signification des fouilles modernes et le rôle qu’elles jouent effectivement pour ouvrir certaines de ces «fissures» dont nous avons parlé.

    Mais en outre, ces mêmes influences sont à la merci de quiconque saura les «capter», comme les forces «physiques» le sont également; il va de soi que les unes et les autres pourront alors servir aux fins les plus diverses et même les plus opposées, suivant les intentions de celui qui s’en sera emparé et qui les dirigera comme il l’entend; et en ce qui concerne les influences subtiles, s’il se trouve que celui-là soit un «magicien noir», il est bien évident qu’il en fera un usage tout contraire à celui qu’ont pu en faire, à l’origine, les représentants qualifiés d’une tradition régulière.

    Tout ce que nous avons dit jusqu’ici s’applique aux vestiges laissés par une tradition entièrement éteinte; mais à côté de ce cas il y a lieu d’en envisager un autre: celui d’une ancienne civilisation traditionnelle qui se survit pour ainsi dire à elle-même, en ce sens que sa dégénérescence a été poussée à un tel point que l’«esprit» aura fini par s’en retirer totalement; certaines connaissances, qui n’ont en elles-mêmes rien de «spirituel» et ne relèvent que de l’ordre des applications contingentes, pourront encore continuer à se transmettre, surtout les plus inférieures d’entre elles mais, naturellement, elles seront dès lors susceptibles de toutes les déviations car elles aussi ne représentent plus que des «résidus» d’une autre sorte, la doctrine pure dont elles devaient normalement dépendre ayant disparu.

    Dans un pareil cas de «survivance», les influences psychiques antérieurement mises en oeuvre par les représentants de la tradition pourront encore être «captées», même à l’insu de leurs continuateurs apparents mais désormais illégitimes et dépourvus de toute véritable autorité; ceux qui s’en serviront réellement à travers eux auront ainsi l’avantage d’avoir à leur disposition, comme instruments inconscients de l’action qu’ils veulent exercer, non plus seulement des objets dits «inanimés», mais aussi des hommes vivants qui servent également de «supports» à ces influences et dont l’existence actuelle confère naturellement à celles-ci une bien plus grande vitalité.

    C’est bien là exactement ce que nous avions en vue en considérant un exemple comme celui du «chamanisme», sous la réserve, bien entendu, que ceci peut ne pas s’appliquer indistinctement à tout ce qu’on a l’habitude de ranger sous cette désignation quelque peu conventionnelle et qui, en fait, n’en est peut-être pas arrivé à un égal degré de déchéance.

    Une tradition qui est ainsi déviée est véritablement morte comme telle, tout autant que celle pour laquelle il n’existe plus aucune apparence de continuation; d’ailleurs, si elle était encore vivante, si peu que ce fût, une pareille «subversion», qui n’est en somme pas autre chose qu’un retournement de ce qui en subsiste pour le faire servir dans un sens antitraditionnel par définition même, ne pourrait évidemment avoir lieu en aucune façon.

    Il convient cependant d’ajouter que, avant même que les choses en soient à ce point, et dès que des organisations traditionnelles sont assez amoindries et affaiblies pour ne plus être capables d’une résistance suffisante, des agents plus ou moins directs de l’«adversaire»

    [note en bas de page: On sait que «adversaire» est le sens littéral du mot hébreu Shatan, et il s'agit en effet ici de «puissances» dont le caractère est bien véritablement «satanique».]

    peuvent déjà s’y introduire pour travailler à hâter le moment où la «subversion» deviendra possible; il n’est pas certain qu’ils y réussissent dans tous les cas, car tout ce qui a encore quelque vie peut toujours se ressaisir; mais si la mort se produit, l’ennemi se trouvera ainsi dans la place, pourrait-on dire, tout prêt à en tirer parti et à utiliser aussitôt le «cadavre» à ses propres fins.

    Les représentants de tout ce qui, dans le monde occidental, possède encore actuellement un caractère traditionnel authentique, tant dans le domaine exotérique que dans le domaine initiatique, auraient, pensons-nous, le plus grand intérêt à faire leur profit de cette dernière observation pendant qu’il en est temps encore car, autour d’eux, les signes menaçants que constituent les «infiltrations» de ce genre ne font malheureusement pas défaut pour qui sait les apercevoir.

    Une autre considération qui a encore son importance est celle-ci: si l’«adversaire» (dont nous essaierons de préciser un peu plus la nature par la suite) a avantage à s’emparer des lieux qui furent le siège d’anciens centres spirituels toutes les fois qu’il le peut, ce n’est pas uniquement à cause des influences psychiques qui y sont accumulées et qui se trouvent en quelque sorte «disponibles»; c’est aussi en raison même de la situation particulière de ces lieux, car il est bien entendu qu’ils ne furent point choisis arbitrairement pour le rôle qui leur fut assigné à une époque ou à une autre et par rapport à telle ou telle forme traditionnelle.

    La «géographie sacrée», dont la connaissance détermine un tel choix est, comme toute autre science traditionnelle d’ordre contingent, susceptible d’être détournée de son usage légitime et appliquée «à rebours»: si un point est «privilégié» pour servir à l’émission et à la direction des influences psychiques quand celles-ci sont le véhicule d’une action spirituelle, il ne le sera pas moins quand ces mêmes influences psychiques seront utilisées d’une tout autre manière et pour des fins contraires à toute spiritualité.

    Ce danger de détournement de certaines connaissances, dont nous trouvons ici un exemple très net, explique d’ailleurs, notons-le en passant, bien des réserves qui sont chose toute naturelle dans une civilisation normale mais que les modernes se montrent tout à fait incapables de comprendre puisqu’ils attribuent communément à une volonté de «monopoliser» ces connaissances ce qui n’est en réalité qu’une mesure destinée à en empêcher l’abus autant qu’il est possible.

    À vrai dire, du reste, cette mesure ne cesse d’être efficace que dans le cas où les organisations dépositaires des connaissances en question laissent pénétrer dans leur sein des individus non qualifiés, voire même, comme nous venons de le dire, des agents de l’«adversaire» dont un des buts les plus immédiats sera précisément alors de découvrir ces secrets.

    Tout cela n’a certes aucun rapport direct avec le véritable secret initiatique qui, ainsi que nous l’avons dit plus haut, réside exclusivement dans l’«ineffable» et l’«incommunicable» et qui, évidemment, est par là même à l’abri de toute recherche indiscrète; mais, bien qu’il ne s’agisse ici que de choses contingentes, on devra pourtant reconnaître que les précautions qui peuvent être prises dans cet ordre pour éviter toute déviation, et par suite toute action malfaisante qui est susceptible d’en résulter, sont loin de n’avoir pratiquement qu’un intérêt négligeable.

    De toute façon, qu’il s’agisse des lieux eux-mêmes, des influences qui y demeurent attachées, ou encore des connaissances du genre de celles que nous venons de mentionner, on peut rappeler à cet égard l’adage ancien: «corruptio optimi pessima», qui s’applique peut-être plus exactement encore ici qu’en tout autre cas; c’est bien de «corruption» qu’il convient de parler en effet, même au sens le plus littéral de ce mot, puisque les «résidus» qui sont ici en cause sont, comme nous le disions tout d’abord, comparables aux produits de la décomposition de ce qui fut un être vivant; et comme toute corruption est en quelque sorte contagieuse, ces produits de la dissolution des choses passées auront eux-mêmes, partout où ils seront «projetés» une action particulièrement dissolvante et désagrégeante, surtout s’ils sont utilisés par une volonté nettement consciente de ses fins.

    Il y a là, pourrait-on dire, une sorte de «nécromancie» qui met en oeuvre des restes psychiques tout autres que ceux des individualités humaines, et ce n’est assurément pas la moins redoutable car elle a par là des possibilités d’action bien autrement étendues que celles de la vulgaire sorcellerie et il n’y a même aucune comparaison possible sous ce rapport; il faut d’ailleurs, au point où en sont les choses aujourd’hui, que nos contemporains soient vraiment bien aveugles pour n’en avoir pas même le moindre soupçon!


    Dernière édition par AldousOrwell le 4/2/2012, 03:18, édité 1 fois
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    Message  Bardamu 2/2/2012, 11:53

    Merci AldousOrwell Bien

    Le crépuscule d'une idole de Michel Onfray

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    Message  stg45 15/2/2012, 23:19

    http://www.diatala.org/article-pedophilie-bruckner-et-finkielkraut-considerent-cette-pratique-comme-une-fantaisie-sexuelle-qu-on-98528740.html



    ceux que l’on ose nommer des philosophes comme Bruckner et Finkielkraut & Co, et qui lors de la Révolution sexuelle écrivaient au sujet de la pédophilie que c’est : « une fantaisie sexuelle qu’on devrait pouvoir s’autoriser », cet acte bestial sur des enfants à donc ses défenseurs et ses laudateurs qui, malheureusement encore aujourd'hui, s'expriment sur ce sujet dans les médias.

    La solution consiste à virer de notre vue et de nos oreilles ces dangereux personnages qui exhortent à ces pratiques pour violer au sens propre comme au sens figuré la pureté et l‘insouciance de nos enfants et à faire juger et condamner de l'autre côté les auteurs de ces crimes sexuels les plus graves ; voire à pratiquer une castration définitive, comme de nombreuses personnes le souhaitent, puisque la chimique ne marche que si le traitement est pris.


    « On évoque souvent la possibilité que les récits des enfants ou des adultes soient le produit de faux souvenirs… qu’en pensez-vous ?

    P. Dupuis : « Le faux souvenir est un concept inventé de pure pièce aux USA en 1992 par des parents accusés par leur fille d’inceste paternel. Il y avait à l’époque une vague énorme de dénonciations de crimes sexuels sur les enfants , et cette déferlante a dû effrayer la population des nombreux prédateurs sexuels. Il a fallu stopper ça. Ils ont créé la « False Memory Syndrome Foundation », organisme chargé de décrédibiliser la parole de l’enfant (comme l’affaire d’Outreau en France). Les « faux souvenirs » ou « souvenirs induits par le thérapeute » concernant des actes pédophiles n’existent tout simplement pas : il est impossible d’inventer ou d’imaginer de telles horreurs. » (Surtout impossible à des enfants, qui n’y comprennent rien je dirais)



    P. Dupuis : « On peut pardonner à Freud de s’être ainsi rétracté pour ne pas avoir à envisager le pire : son propre inceste par son père, et peut-être aussi par une de ses nounous. Mais quand on lit son étude sur l’hystérie, publiée en 1896, qui décrit avec précision et exactitude le mécanisme de transmission et de répétition de la violence sexuelle, on peut lui en vouloir d’avoir lâché ainsi brutalement une théorie vraie au profit d’un mensonge qui arrangeait tout le monde (sauf les victimes, je dirais) et qui a duré plus d’un siècle, retardant d’autant la possibilité de soigner efficacement la maladie mentale et d’éradiquer la perversion sexuelle, en particulier celle qui détruit les enfants dès leur plus jeune âge.

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