Traduction de l'article paru dans "Periodiek Contact", nº 1/96 janvier, février 1996
par FRANS DE HOON.
La vraie cause de la seconde guerre mondiale.
« C'est l’Amérique et le monde juif international qui nous ont précipités dans la guerre. »
( Chamberlain: lettre à sa sœur le 10 septembre 1939)
A
près 1945, les vainqueurs ont non seulement occupé l’Allemagne mais ils ont veillé aussi à ce que l’Histoire de ce pays soit désormais écrite uniquement et exclusivement selon leurs vues. Cela signifiait, exactement comme en 1918, que l’Allemagne et l’Allemagne seule, devait endosser la culpabilité d'avoir déclenché la guerre.
En accusant en même temps ce pays d'avoir assassiné en masse des femmes, des enfants et des prisonniers, ils ont réussi à exclure ce pays de la sphère des nations civilisées. En exigeant la reddition inconditionnelle, ce qui fait songer aux sombres usages moyenâgeux, les vainqueurs ont pu placer des politiciens et des responsables de leur choix, aux organes de diffusion imprégnant les allemands jusqu'à la moelle d'un sentiment de culpabilité de crimes qui leur sont prêtés. Toute tentative de révision de l’Histoire sera donc immédiatement liquidée comme ayant un caractère de revanche néonazie.
Il n'est encore jamais arrivé qu'un vainqueur avoue publiquement sa culpabilité lors du déclenchement d'une guerre. Il faut donc consulter l’Histoire pour découvrir la cause réelle du conflit. Nous constatons d'abord que dans le Daily express du 24/3/1933 le congrès juif mondial a déclaré la guerre économique a l’Allemagne.
Ensuite le 7/8/1933, Samuel Untermayer président de la "World Jewish Economic Federation", déclarait dans le New York Times:
« La guerre que nous avons décidé de mener contre l’Allemagne est pour nous une guerre sainte ».
Par la suite les milieux financiers de Wall Street agissaient de telle sorte que le rapport entre le dollar et le Reichmark était dévalué de 57% au préjudice de l’Allemagne. Il devint impossible à l’Allemagne d'acheter des matières premières, des denrées alimentaires et autres marchandises sur le marché international, qui était dominé par le dollar.
Hitler réagit immédiatement et résolument.
Il détacha le Reichmark de l'étalon or et introduisit la valeur travail.
Son principe partait de la constatation que ce n'était pas la valeur or, ou autre valeur, qui était déterminante pour la plus-value d'un produit mais seulement et uniquement le travail produit pour le fournir.
Par les conséquences du diktat de Versailles l’Allemagne était tombée dans la misère et ne disposait plus de devises, ce qui était aussi le cas de nombreux pays pauvres en Europe orientale et en Amérique du sud.
Hitler remplaça le commerce extérieur base sur la monnaie par un commerce de troc : marchandises contre marchandises de sorte que les devises tombaient en désuétude. ( Notons en passant dans un "entretien courtois" avec Jeffrey Robinson, paru dans le libre journal nº 79 du 17/10/1995 que la première activité économique mondiale était le pétrole, puis les devises, et enfin la drogue: Hitler avait une fois de plus tout compris. )
Associées aux nécessaires investissements publics, ces mesures eurent pour conséquences une fulgurante diminution du chômage, et une forte augmentation du commerce avec les pays concernés.
Cela amena stabilité et aisance dans le Reich ce qui fut très mal ressenti par les puissances de l'Ouest.
Ces puissances redoutaient que le nouveau système économique allemand basé sur la valeur travail puisse bien un jour avoir un très grand succès dans le monde et supplanter l'empire du dollar couplé à l’étalon or. Les puissances de l'ouest ne le voulaient à aucun prix et elles commencèrent à préparer la guerre contre l’Allemagne.
En Amérique la campagne d'excitation contre l’Allemagne se renforça. On attribua sa résurrection économique au réarmement. Les U.S.A. eux-mêmes commençaient la construction d'une flotte aérienne pour bombardements à longue distance: les forteresses volantes. Le programme prévu devait être réalisé pour 1939.
Le 4 mai 1935 le diplomate polonais, le comte Szembeck, informait Varsovie que la campagne d'excitation a la guerre contre l’Allemagne trouvait encore et toujours son point de départ dans les milieux juifs et francs-maçons.
Le 6 janvier 1938 il informa du fait que juifs et allemands émigrés attisaient l'opinion contre la nouvelle Allemagne du chancelier Hitler.
Le général britannique Fuller exprime dans un livre paru en 1937, le jugement suivant:
« Le système de financement régnant ne repose plus sur la capacité de production et l'argent en tant que moyen de nouvelle répartition est devenu une marchandise que l'on peut, comme toute autre marchandise, acheter et vendre. Ou autrement dit la maladie qui causera la ruine du monde se nomme l'usure.
La France et l’Angleterre sont alliées l'une à l'autre parce que toutes deux sont construites sur la puissance de l'argent et se trouvent sous la domination du système bancaire international. L’Allemagne s'est libérée de cette puissance internationale et devient objet de suspicion.
Elle opère avec le concept valeur-travail et c'est ce que le monde capitaliste veut éviter à tout prix. Déjà on s'active fébrilement à l'anéantissement de ce pays.
Les financiers n'ont rien à y perdre et tout à y gagner »…
Peu avant sa mort le gouverneur de la banque d’Angleterre a déclaré en 1939:
« Notre société telle qu'elle existe maintenant repose sur la base d'une ploutocratie décadente. La confiance en elle diminue de plus en plus. Comment pouvons nous, face à Allemagne, parler d'une société meilleure, avec plus de justice, aussi longtemps que nous souffrons nous-mêmes de ce mal d'argent.
Le système monétaire est fatal à l’état, il crée la pauvreté et il est la cause majeure de la guerre... »
Kristjan rakowski, qui avait été ambassadeur de l’Union soviétique à Londres et à paris, fut impliqué dans un procès stalinien en 1938. Au cours de ce procès il déclara:
« Une des raisons pour lesquelles Hitler doit être anéanti est que, intuitivement et en dépit de l'opposition technique de Schacht, il a mis au point un système social dangereux …
Obéissant uniquement à une nécessité, il a écarté le système international aussi bien que le système privé des capitaux. Hitler a été favorisé par le sort. En effet il ne possédait pas d'or et ne pouvait donc prendre pour base le système reposant sur le dollar dans son plan économique de gouvernement.
Les seuls atouts qu'il possédait étaient la compétence technique et la capacité de travail de sa nation. De la technique et du travail il a fait son capital. Il y avait dans ce principe quelque chose de si formidablement contre révolutionnaire qu'il parvint à surmonter dans les plus brefs délais, le chômage de sept millions de techniciens et d'ouvriers. »
Rakowski a aussi relevé que le système hitlérien de la valeur-travail ne possédait pas la base d'une théorie scientifique mais reposait uniquement sur la pratique.
Si d'autres nations devaient adopter ce système il ne faudrait pas longtemps pour que les scientifiques ne trouvent à l'étayer par la théorie. Dans ce cas plus rien n'arrêterait ce système. Pour prévenir ce danger il n'y avait que la solution d'une guerre pour anéantir l’Allemagne nazie…
Sebastian Haffner, un allemand émigré en Angleterre a admis, après la guerre dans son livre remarques sur Hitler ( armerkungen zu Hitler), que le miracle économique de 1933 était bien plus considérable que celui de 1948. Il dit aussi qu'il n'avait aucun rapport avec le réarmement et que la majorité du peuple allemand selon les référanda, soutenait fermement Hitler.
Qu'en était-il en fait de ce réarmement dont on nous parle tant? Il ressort de recherches faites après la guerre à l'université de Harward et au pentagone, que jusqu'au début de septembre 1939, pas une seule nouvelle fabrique d'armements n'a été construite.
L’Allemagne était alors tout au plus en état de soutenir une guerre de deux mois. A la lumière de ces constatations il faut admettre qu'il n'existait aucun plan du côté allemand pour conduire une guerre d'agression ou de conquête de longue durée.
D'ailleurs pourquoi une guerre?
La nouvelle Allemagne voulait-elle anéantir ses réalisations économiques, politiques et sociales par une guerre???
Après le déclenchement de la guerre et la victoire allemande sur la Pologne, pendant la "drôle de guerre" un entretien diplomatique fut pourtant encore engagé entre le Reich et les puissances de l'ouest.
A la fin de l'automne 1939 les britanniques firent connaître leurs conditions préalables de tout pourparler de paix.
Voici quelles étaient leurs exigences:
1/ Hitler devait être écarté, un nouveau gouvernement devait être forme qui donnerait satisfaction aux désirs Anglais.
2/ la politique économique et monétaire allemande devait être immédiatement abandonnée.
3/ Allemagne devait revenir a l'étalon or.
Il n'existe pas de document pour confirmer ces trois points, mais nous avons des repères convainquants:
Dans un discours prononcé en 1947, le capitaine j. Creaghscott a dit:
« Lors des échanges de télégrammes de la période 1939 1940 les britanniques se déclarent prêts à négocier la paix si Allemagne revenait a l'étalon or. »
Churchill aussi a déclaré pendant les pourparlers relatifs à la charte de l'atlantique qu'il rétablirait l'étalon or dès que Hitler serait vaincu.
La vraie cause de la guerre a donc été l'abandon de l’étalon or par l’Allemagne hitlérienne.
Le sort de petits pays comme la Pologne, n'a joué aucun rôle véritable et Chamberlain dans une lettre à sa sœur le 10 septembre 1939 alors qu'il était premier ministre, écrivait:
« C'est l’Amérique et le monde juif international qui nous ont précipités dans cette guerre. »
______________________________________
Tel est le mot de la fin : il s'agissait de rendre pérenne et renforcée la cryptodictature juive mondiale appelée par aberration sémantique démocratie: nous voyons d'ailleurs actuellement les manifestations obscènes de cette dictature de moins en moins "crypto".
Note de l’auteur.
Il y a bien eu un holocauste de ¬ 60millions de personnes pendant la seconde guerre mondiale, fomentée par les Juifs, qui avaient déclaré la guerre à Hitler depuis 1933 -voir presse U.S.A -, comme l’a reconnu lui-même, Chamberlain, premier ministre d’Angleterre, dans une lettre à sa sœur en 1939. Quant au nombre de victimes juives des camps d’Auschwitz Birkeneau, ils sont inclus dans le nombre de 150.000, toutes ethnies confondues de 1940 à 1945.Ce chiffre établi par les Révisionnistes (Faurisson) n’est pas loin de celui établi par les Exterminationistes( Jean Claude Pressac), qui en est actuellement à 700.000 Juifs, ce qui, bien qu’inexact, est en tout cas bien loin du chiffre de 6.000.000 outrecuidamment clamé depuis 20 ans.
Roger Dommergue Polacco de Ménasce.
Paroles de Hitler recueillies en 1933 par FRANCOIS DE BRINON :
« On m’insulte en continuant de répéter que je veux la guerre . Suis-je fou ? La guerre ? Mais elle ne réglerait rien ! Elle ne ferait qu’aggraver l’état du monde. Elle marquerait la fin de nos races qui sont des élites et dans la suite des âges on verrait l’Asie installée dans le continent et le Bolchevisme triomphant »…
Ce sont ceux qui voulaient la guerre qui ne cessaient de clamer que Hitler la voulait- alors que même son système économique en exigeait la négation. En L ‘an 2000 on peut constater qu’il avait raison. Nous sommes envahis par les Africains et Asiatiques par la volonté de Big Brother circoncis qui veut ainsi détruire toutes les ethnies, comme les nations et les religions : Plus tard Hitler proclama :
« Si je gagne cette guerre, je donnerai à mon peuple, à la Waffen S S et aux légions européennes 1000 ans de paix. Si je perds je ne verrai pas la défaite, et nos ennemis auront le chaos… » (Nous y sommes)
par FRANS DE HOON.
La vraie cause de la seconde guerre mondiale.
« C'est l’Amérique et le monde juif international qui nous ont précipités dans la guerre. »
( Chamberlain: lettre à sa sœur le 10 septembre 1939)
A
près 1945, les vainqueurs ont non seulement occupé l’Allemagne mais ils ont veillé aussi à ce que l’Histoire de ce pays soit désormais écrite uniquement et exclusivement selon leurs vues. Cela signifiait, exactement comme en 1918, que l’Allemagne et l’Allemagne seule, devait endosser la culpabilité d'avoir déclenché la guerre.
En accusant en même temps ce pays d'avoir assassiné en masse des femmes, des enfants et des prisonniers, ils ont réussi à exclure ce pays de la sphère des nations civilisées. En exigeant la reddition inconditionnelle, ce qui fait songer aux sombres usages moyenâgeux, les vainqueurs ont pu placer des politiciens et des responsables de leur choix, aux organes de diffusion imprégnant les allemands jusqu'à la moelle d'un sentiment de culpabilité de crimes qui leur sont prêtés. Toute tentative de révision de l’Histoire sera donc immédiatement liquidée comme ayant un caractère de revanche néonazie.
Il n'est encore jamais arrivé qu'un vainqueur avoue publiquement sa culpabilité lors du déclenchement d'une guerre. Il faut donc consulter l’Histoire pour découvrir la cause réelle du conflit. Nous constatons d'abord que dans le Daily express du 24/3/1933 le congrès juif mondial a déclaré la guerre économique a l’Allemagne.
Ensuite le 7/8/1933, Samuel Untermayer président de la "World Jewish Economic Federation", déclarait dans le New York Times:
« La guerre que nous avons décidé de mener contre l’Allemagne est pour nous une guerre sainte ».
Par la suite les milieux financiers de Wall Street agissaient de telle sorte que le rapport entre le dollar et le Reichmark était dévalué de 57% au préjudice de l’Allemagne. Il devint impossible à l’Allemagne d'acheter des matières premières, des denrées alimentaires et autres marchandises sur le marché international, qui était dominé par le dollar.
Hitler réagit immédiatement et résolument.
Il détacha le Reichmark de l'étalon or et introduisit la valeur travail.
Son principe partait de la constatation que ce n'était pas la valeur or, ou autre valeur, qui était déterminante pour la plus-value d'un produit mais seulement et uniquement le travail produit pour le fournir.
Par les conséquences du diktat de Versailles l’Allemagne était tombée dans la misère et ne disposait plus de devises, ce qui était aussi le cas de nombreux pays pauvres en Europe orientale et en Amérique du sud.
Hitler remplaça le commerce extérieur base sur la monnaie par un commerce de troc : marchandises contre marchandises de sorte que les devises tombaient en désuétude. ( Notons en passant dans un "entretien courtois" avec Jeffrey Robinson, paru dans le libre journal nº 79 du 17/10/1995 que la première activité économique mondiale était le pétrole, puis les devises, et enfin la drogue: Hitler avait une fois de plus tout compris. )
Associées aux nécessaires investissements publics, ces mesures eurent pour conséquences une fulgurante diminution du chômage, et une forte augmentation du commerce avec les pays concernés.
Cela amena stabilité et aisance dans le Reich ce qui fut très mal ressenti par les puissances de l'Ouest.
Ces puissances redoutaient que le nouveau système économique allemand basé sur la valeur travail puisse bien un jour avoir un très grand succès dans le monde et supplanter l'empire du dollar couplé à l’étalon or. Les puissances de l'ouest ne le voulaient à aucun prix et elles commencèrent à préparer la guerre contre l’Allemagne.
En Amérique la campagne d'excitation contre l’Allemagne se renforça. On attribua sa résurrection économique au réarmement. Les U.S.A. eux-mêmes commençaient la construction d'une flotte aérienne pour bombardements à longue distance: les forteresses volantes. Le programme prévu devait être réalisé pour 1939.
Le 4 mai 1935 le diplomate polonais, le comte Szembeck, informait Varsovie que la campagne d'excitation a la guerre contre l’Allemagne trouvait encore et toujours son point de départ dans les milieux juifs et francs-maçons.
Le 6 janvier 1938 il informa du fait que juifs et allemands émigrés attisaient l'opinion contre la nouvelle Allemagne du chancelier Hitler.
Le général britannique Fuller exprime dans un livre paru en 1937, le jugement suivant:
« Le système de financement régnant ne repose plus sur la capacité de production et l'argent en tant que moyen de nouvelle répartition est devenu une marchandise que l'on peut, comme toute autre marchandise, acheter et vendre. Ou autrement dit la maladie qui causera la ruine du monde se nomme l'usure.
La France et l’Angleterre sont alliées l'une à l'autre parce que toutes deux sont construites sur la puissance de l'argent et se trouvent sous la domination du système bancaire international. L’Allemagne s'est libérée de cette puissance internationale et devient objet de suspicion.
Elle opère avec le concept valeur-travail et c'est ce que le monde capitaliste veut éviter à tout prix. Déjà on s'active fébrilement à l'anéantissement de ce pays.
Les financiers n'ont rien à y perdre et tout à y gagner »…
Peu avant sa mort le gouverneur de la banque d’Angleterre a déclaré en 1939:
« Notre société telle qu'elle existe maintenant repose sur la base d'une ploutocratie décadente. La confiance en elle diminue de plus en plus. Comment pouvons nous, face à Allemagne, parler d'une société meilleure, avec plus de justice, aussi longtemps que nous souffrons nous-mêmes de ce mal d'argent.
Le système monétaire est fatal à l’état, il crée la pauvreté et il est la cause majeure de la guerre... »
Kristjan rakowski, qui avait été ambassadeur de l’Union soviétique à Londres et à paris, fut impliqué dans un procès stalinien en 1938. Au cours de ce procès il déclara:
« Une des raisons pour lesquelles Hitler doit être anéanti est que, intuitivement et en dépit de l'opposition technique de Schacht, il a mis au point un système social dangereux …
Obéissant uniquement à une nécessité, il a écarté le système international aussi bien que le système privé des capitaux. Hitler a été favorisé par le sort. En effet il ne possédait pas d'or et ne pouvait donc prendre pour base le système reposant sur le dollar dans son plan économique de gouvernement.
Les seuls atouts qu'il possédait étaient la compétence technique et la capacité de travail de sa nation. De la technique et du travail il a fait son capital. Il y avait dans ce principe quelque chose de si formidablement contre révolutionnaire qu'il parvint à surmonter dans les plus brefs délais, le chômage de sept millions de techniciens et d'ouvriers. »
Rakowski a aussi relevé que le système hitlérien de la valeur-travail ne possédait pas la base d'une théorie scientifique mais reposait uniquement sur la pratique.
Si d'autres nations devaient adopter ce système il ne faudrait pas longtemps pour que les scientifiques ne trouvent à l'étayer par la théorie. Dans ce cas plus rien n'arrêterait ce système. Pour prévenir ce danger il n'y avait que la solution d'une guerre pour anéantir l’Allemagne nazie…
Sebastian Haffner, un allemand émigré en Angleterre a admis, après la guerre dans son livre remarques sur Hitler ( armerkungen zu Hitler), que le miracle économique de 1933 était bien plus considérable que celui de 1948. Il dit aussi qu'il n'avait aucun rapport avec le réarmement et que la majorité du peuple allemand selon les référanda, soutenait fermement Hitler.
Qu'en était-il en fait de ce réarmement dont on nous parle tant? Il ressort de recherches faites après la guerre à l'université de Harward et au pentagone, que jusqu'au début de septembre 1939, pas une seule nouvelle fabrique d'armements n'a été construite.
L’Allemagne était alors tout au plus en état de soutenir une guerre de deux mois. A la lumière de ces constatations il faut admettre qu'il n'existait aucun plan du côté allemand pour conduire une guerre d'agression ou de conquête de longue durée.
D'ailleurs pourquoi une guerre?
La nouvelle Allemagne voulait-elle anéantir ses réalisations économiques, politiques et sociales par une guerre???
Après le déclenchement de la guerre et la victoire allemande sur la Pologne, pendant la "drôle de guerre" un entretien diplomatique fut pourtant encore engagé entre le Reich et les puissances de l'ouest.
A la fin de l'automne 1939 les britanniques firent connaître leurs conditions préalables de tout pourparler de paix.
Voici quelles étaient leurs exigences:
1/ Hitler devait être écarté, un nouveau gouvernement devait être forme qui donnerait satisfaction aux désirs Anglais.
2/ la politique économique et monétaire allemande devait être immédiatement abandonnée.
3/ Allemagne devait revenir a l'étalon or.
Il n'existe pas de document pour confirmer ces trois points, mais nous avons des repères convainquants:
Dans un discours prononcé en 1947, le capitaine j. Creaghscott a dit:
« Lors des échanges de télégrammes de la période 1939 1940 les britanniques se déclarent prêts à négocier la paix si Allemagne revenait a l'étalon or. »
Churchill aussi a déclaré pendant les pourparlers relatifs à la charte de l'atlantique qu'il rétablirait l'étalon or dès que Hitler serait vaincu.
La vraie cause de la guerre a donc été l'abandon de l’étalon or par l’Allemagne hitlérienne.
Le sort de petits pays comme la Pologne, n'a joué aucun rôle véritable et Chamberlain dans une lettre à sa sœur le 10 septembre 1939 alors qu'il était premier ministre, écrivait:
« C'est l’Amérique et le monde juif international qui nous ont précipités dans cette guerre. »
______________________________________
Tel est le mot de la fin : il s'agissait de rendre pérenne et renforcée la cryptodictature juive mondiale appelée par aberration sémantique démocratie: nous voyons d'ailleurs actuellement les manifestations obscènes de cette dictature de moins en moins "crypto".
Note de l’auteur.
Il y a bien eu un holocauste de ¬ 60millions de personnes pendant la seconde guerre mondiale, fomentée par les Juifs, qui avaient déclaré la guerre à Hitler depuis 1933 -voir presse U.S.A -, comme l’a reconnu lui-même, Chamberlain, premier ministre d’Angleterre, dans une lettre à sa sœur en 1939. Quant au nombre de victimes juives des camps d’Auschwitz Birkeneau, ils sont inclus dans le nombre de 150.000, toutes ethnies confondues de 1940 à 1945.Ce chiffre établi par les Révisionnistes (Faurisson) n’est pas loin de celui établi par les Exterminationistes( Jean Claude Pressac), qui en est actuellement à 700.000 Juifs, ce qui, bien qu’inexact, est en tout cas bien loin du chiffre de 6.000.000 outrecuidamment clamé depuis 20 ans.
Roger Dommergue Polacco de Ménasce.
Paroles de Hitler recueillies en 1933 par FRANCOIS DE BRINON :
« On m’insulte en continuant de répéter que je veux la guerre . Suis-je fou ? La guerre ? Mais elle ne réglerait rien ! Elle ne ferait qu’aggraver l’état du monde. Elle marquerait la fin de nos races qui sont des élites et dans la suite des âges on verrait l’Asie installée dans le continent et le Bolchevisme triomphant »…
Ce sont ceux qui voulaient la guerre qui ne cessaient de clamer que Hitler la voulait- alors que même son système économique en exigeait la négation. En L ‘an 2000 on peut constater qu’il avait raison. Nous sommes envahis par les Africains et Asiatiques par la volonté de Big Brother circoncis qui veut ainsi détruire toutes les ethnies, comme les nations et les religions : Plus tard Hitler proclama :
« Si je gagne cette guerre, je donnerai à mon peuple, à la Waffen S S et aux légions européennes 1000 ans de paix. Si je perds je ne verrai pas la défaite, et nos ennemis auront le chaos… » (Nous y sommes)