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    Encore un curieux médicament

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    ratman


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    Encore un curieux médicament Empty Encore un curieux médicament

    Message  ratman 1/2/2011, 20:56

    et effets secondaires encore plus curieux.



    Un Nantais
    porte plainte contre le laboratoire GlaxoSmithKline, après avoir pris un
    médicament Le Requip, dont les effets secondaires peuvent rendre les
    malades accro au sexe et au jeu.



    Certains médicaments
    présentent des effets indésirables qui peuvent gâcher toute une vie.
    C'est ce qui est arrivé à un patient, soigné pour la maladie de
    Parkison. Ce Nantais de 51 ans, marié et père de deux enfants, est
    devenu accro au sexe et au jeu tout au long de son traitement.

    Le
    médicament incriminé, le Requip, commercialisé par le laboratoire
    britannique GlaxoSmithKline, était censé stimuler sa production de
    dopamine.
    Mais au chapitre «effets secondaires», la molécule peut
    aussi provoquer chez le patient certains troubles psychiatriques :
    compulsion au jeu et augmentation de la libido figurent bel et bien
    parmi les différentes pathologies observées chez d'autres malades.

    S'exhiber sur internet, se travestir et se faire violer

    Le
    patient, dont les troubles ont totalement cessé à la fin de son
    traitement en 2005, a attaqué mardi le laboratoire GlaxoSmithKline
    devant le tribunal de grande instance de Nantes. Aujourd'hui ruiné et
    traumatisé par tous ses abus, l'homme a déjà fait trois tentatives de
    suicide. En deux ans de prises du Requip, il a quasiment dilapidé toutes
    les économies de son ménage, commis des vols et souffert d'une
    hypersexualité compulsive qui l'a conduit à s'exhiber sur internet, à se
    travestir et à se faire violer.

    Le plaignant réclame 450 000
    euros de dommages et intérêts au laboratoire, qu'il accuse d'avoir
    commercialisé un médicament «défectueux» et à son neurologue, qu'il
    poursuit pour avoir «manqué à son obligation d'information». Les effets
    indésirables n'ont été mentionnés sur la notice du Requip qu'en 2006,
    alors qu'ils étaient connus depuis plusieurs années.

    LeParisien.fr

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