et effets secondaires encore plus curieux.
Un Nantais
porte plainte contre le laboratoire GlaxoSmithKline, après avoir pris un
médicament Le Requip, dont les effets secondaires peuvent rendre les
malades accro au sexe et au jeu.
Certains médicaments
présentent des effets indésirables qui peuvent gâcher toute une vie.
C'est ce qui est arrivé à un patient, soigné pour la maladie de
Parkison. Ce Nantais de 51 ans, marié et père de deux enfants, est
devenu accro au sexe et au jeu tout au long de son traitement.
Le
médicament incriminé, le Requip, commercialisé par le laboratoire
britannique GlaxoSmithKline, était censé stimuler sa production de
dopamine.
Mais au chapitre «effets secondaires», la molécule peut
aussi provoquer chez le patient certains troubles psychiatriques :
compulsion au jeu et augmentation de la libido figurent bel et bien
parmi les différentes pathologies observées chez d'autres malades.
S'exhiber sur internet, se travestir et se faire violer
Le
patient, dont les troubles ont totalement cessé à la fin de son
traitement en 2005, a attaqué mardi le laboratoire GlaxoSmithKline
devant le tribunal de grande instance de Nantes. Aujourd'hui ruiné et
traumatisé par tous ses abus, l'homme a déjà fait trois tentatives de
suicide. En deux ans de prises du Requip, il a quasiment dilapidé toutes
les économies de son ménage, commis des vols et souffert d'une
hypersexualité compulsive qui l'a conduit à s'exhiber sur internet, à se
travestir et à se faire violer.
Le plaignant réclame 450 000
euros de dommages et intérêts au laboratoire, qu'il accuse d'avoir
commercialisé un médicament «défectueux» et à son neurologue, qu'il
poursuit pour avoir «manqué à son obligation d'information». Les effets
indésirables n'ont été mentionnés sur la notice du Requip qu'en 2006,
alors qu'ils étaient connus depuis plusieurs années.
LeParisien.fr
Un Nantais
porte plainte contre le laboratoire GlaxoSmithKline, après avoir pris un
médicament Le Requip, dont les effets secondaires peuvent rendre les
malades accro au sexe et au jeu.
Certains médicaments
présentent des effets indésirables qui peuvent gâcher toute une vie.
C'est ce qui est arrivé à un patient, soigné pour la maladie de
Parkison. Ce Nantais de 51 ans, marié et père de deux enfants, est
devenu accro au sexe et au jeu tout au long de son traitement.
Le
médicament incriminé, le Requip, commercialisé par le laboratoire
britannique GlaxoSmithKline, était censé stimuler sa production de
dopamine.
Mais au chapitre «effets secondaires», la molécule peut
aussi provoquer chez le patient certains troubles psychiatriques :
compulsion au jeu et augmentation de la libido figurent bel et bien
parmi les différentes pathologies observées chez d'autres malades.
S'exhiber sur internet, se travestir et se faire violer
Le
patient, dont les troubles ont totalement cessé à la fin de son
traitement en 2005, a attaqué mardi le laboratoire GlaxoSmithKline
devant le tribunal de grande instance de Nantes. Aujourd'hui ruiné et
traumatisé par tous ses abus, l'homme a déjà fait trois tentatives de
suicide. En deux ans de prises du Requip, il a quasiment dilapidé toutes
les économies de son ménage, commis des vols et souffert d'une
hypersexualité compulsive qui l'a conduit à s'exhiber sur internet, à se
travestir et à se faire violer.
Le plaignant réclame 450 000
euros de dommages et intérêts au laboratoire, qu'il accuse d'avoir
commercialisé un médicament «défectueux» et à son neurologue, qu'il
poursuit pour avoir «manqué à son obligation d'information». Les effets
indésirables n'ont été mentionnés sur la notice du Requip qu'en 2006,
alors qu'ils étaient connus depuis plusieurs années.
LeParisien.fr