Bradley Smith s'en prend encore à l'UNESCO
Le révisionniste américain Bradley Smith a décidé de ne pas lâcher le morceau au sujet du Symposium de l'UNESCO du 26 janvier.
Voici, traduit rapidement, ce qu'il écrit à nouveau, le 30 janvier, à Mme Irina Bokova, directeur-général de l'UNESCO:
Madame,
J'ai ici la copie de votre intervention à l'occasion de l'ouverture du Symposium sur la liberté d'expression qui s'est tenu à l'UNESCO le 26 janvier 2011 et j'en ai vu l'enregistrement vidéo.
Vous paraissez sincère quand vous dites: "Nous sommes d'accord pour dire que la liberté d'expression est un droit fondamental de l'homme qui sous-tend toutes les autres libertés civiles."
Malheureusement, la raison qui m'oblige à mettre en doute (pardonnez-moi) soit votre sincérité soit votre notion de l'atteinte à la liberté d'expression, c'est le fait que vous n'ayez jamais abordé la question de la loi Gayssot, qui, en France, a été spécialement conçue pour supprimer la liberté d'expression en faisant de la contestation des conclusions du Tribunal militaire international de Nuremberg de 1945-46 (art. 9) un délit.
Le siège de l'UNESCO se trouve à Paris. Je ne peux pas croire que vous ignoriez la loi Gayssot, qui fait de la contestation des propos d'un Tribunal militaire né il y a 65 ans un crime contre l'Etat.
J'ai l'impression que vous avez pris la décision, bien réfléchie, d'éviter d'aborder la question de cette agression évidente contre la liberté d'expression.
En agissant ainsi vous avez fait de vous, et de l'UNESCO lui-même, de simples spectateurs de cette corruption permanente de l'idée de la liberté d'expression par l'Etat français. Dans un contexte similaire, après la Deuxième Guerre mondiale, les gens qui avaient agi de la sorte étaient appelés du terme méprisant de "spectateurs".
Vous dites: "L'UNESCO cherche à sensibiliser les gens aux problèmes de l'Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Nous lançons une alerte dès qu'il y a violation." C'est alors que, en vous écoutant, j'ai commencé à m'impatienter:
Quand donc avez-vous, quand donc l'UNESCO a-t-il jamais "lancé une alerte" à propos des lois votées en Autriche, en Belgique, en République tchèque, en France, en Allemagne, en Hongrie, en Israël, aux Pays-Bas, en Suisse et dans d'autres pays qui ont criminalisé la contestation de certaines parties de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, enparticulier - mais pas uniquement - l'accusation de l'utilisation par les Allemands de chambres à gaz pour assassiner des centaines de milliers (des millions?) de civils innocents et sans armes?
Vous dites: "Trop de journalistes se retrouvent en prison pour de mauvaises raisons". Quelles sont les "mauvaises" raisons, pour vous? Il y a des hommes et des femmes qui sont aujourd'hui en prison en France, en Allemagne, en Autriche et en Espagne pour avoir contesté des lois d'Etat interdisant, là encore, la contestation de certains fragments de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale.
Je ne peux en conclure qu'une chose: c'est que vous êtes d'accord qu'ils y soient - ce qui explique pourquoi, dans chaque cas, vous avez évité une alerte de l'UNESCO. Et là, ce qui, dans ce contexte est plutôt honteux, vous citez George Orwell: "Si la liberté a quelque signification, cela implique le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre."
(...)
Vous dites: "La liberté d'expression signifie, en fait, le droit d'informer, quel que soit le contexte, quelle que soit la difficulté de la situation. La protection de ce droit fondamental de l'homme est un processus sans fin. Il faut en débattre continuellement, il ne faut jamais accepter que ce droit soit violé et il faut aider les Etats et les sociétés à aller de l'avant."
D'accord, Madame le secrétaire-général. Je suis d'accord. Commençons tout de suite à aller de l'avant.
A l'UNESCO, en France! Avec la loi Gayssot! C'est bien ça, votre tasse de thé, n'est-ce pas ?
Sincèrement vôtre
Bradley R. Smith
Committee for Open Debate on the Holocaust
PO Box 439016
San Ysidro, CA 92143
Tel: 209 682 5327
Web: www.codoh.com
Email: bsmith@prodigy.net.mx
__________________
SOURCE :
http://www.vnnforum.com/showthread.php?p=1231554
Le révisionniste américain Bradley Smith a décidé de ne pas lâcher le morceau au sujet du Symposium de l'UNESCO du 26 janvier.
Voici, traduit rapidement, ce qu'il écrit à nouveau, le 30 janvier, à Mme Irina Bokova, directeur-général de l'UNESCO:
Madame,
J'ai ici la copie de votre intervention à l'occasion de l'ouverture du Symposium sur la liberté d'expression qui s'est tenu à l'UNESCO le 26 janvier 2011 et j'en ai vu l'enregistrement vidéo.
Vous paraissez sincère quand vous dites: "Nous sommes d'accord pour dire que la liberté d'expression est un droit fondamental de l'homme qui sous-tend toutes les autres libertés civiles."
Malheureusement, la raison qui m'oblige à mettre en doute (pardonnez-moi) soit votre sincérité soit votre notion de l'atteinte à la liberté d'expression, c'est le fait que vous n'ayez jamais abordé la question de la loi Gayssot, qui, en France, a été spécialement conçue pour supprimer la liberté d'expression en faisant de la contestation des conclusions du Tribunal militaire international de Nuremberg de 1945-46 (art. 9) un délit.
Le siège de l'UNESCO se trouve à Paris. Je ne peux pas croire que vous ignoriez la loi Gayssot, qui fait de la contestation des propos d'un Tribunal militaire né il y a 65 ans un crime contre l'Etat.
J'ai l'impression que vous avez pris la décision, bien réfléchie, d'éviter d'aborder la question de cette agression évidente contre la liberté d'expression.
En agissant ainsi vous avez fait de vous, et de l'UNESCO lui-même, de simples spectateurs de cette corruption permanente de l'idée de la liberté d'expression par l'Etat français. Dans un contexte similaire, après la Deuxième Guerre mondiale, les gens qui avaient agi de la sorte étaient appelés du terme méprisant de "spectateurs".
Vous dites: "L'UNESCO cherche à sensibiliser les gens aux problèmes de l'Article 19 de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Nous lançons une alerte dès qu'il y a violation." C'est alors que, en vous écoutant, j'ai commencé à m'impatienter:
Quand donc avez-vous, quand donc l'UNESCO a-t-il jamais "lancé une alerte" à propos des lois votées en Autriche, en Belgique, en République tchèque, en France, en Allemagne, en Hongrie, en Israël, aux Pays-Bas, en Suisse et dans d'autres pays qui ont criminalisé la contestation de certaines parties de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale, enparticulier - mais pas uniquement - l'accusation de l'utilisation par les Allemands de chambres à gaz pour assassiner des centaines de milliers (des millions?) de civils innocents et sans armes?
Vous dites: "Trop de journalistes se retrouvent en prison pour de mauvaises raisons". Quelles sont les "mauvaises" raisons, pour vous? Il y a des hommes et des femmes qui sont aujourd'hui en prison en France, en Allemagne, en Autriche et en Espagne pour avoir contesté des lois d'Etat interdisant, là encore, la contestation de certains fragments de l'histoire de la Deuxième Guerre mondiale.
Je ne peux en conclure qu'une chose: c'est que vous êtes d'accord qu'ils y soient - ce qui explique pourquoi, dans chaque cas, vous avez évité une alerte de l'UNESCO. Et là, ce qui, dans ce contexte est plutôt honteux, vous citez George Orwell: "Si la liberté a quelque signification, cela implique le droit de dire aux gens ce qu'ils ne veulent pas entendre."
(...)
Vous dites: "La liberté d'expression signifie, en fait, le droit d'informer, quel que soit le contexte, quelle que soit la difficulté de la situation. La protection de ce droit fondamental de l'homme est un processus sans fin. Il faut en débattre continuellement, il ne faut jamais accepter que ce droit soit violé et il faut aider les Etats et les sociétés à aller de l'avant."
D'accord, Madame le secrétaire-général. Je suis d'accord. Commençons tout de suite à aller de l'avant.
A l'UNESCO, en France! Avec la loi Gayssot! C'est bien ça, votre tasse de thé, n'est-ce pas ?
Sincèrement vôtre
Bradley R. Smith
Committee for Open Debate on the Holocaust
PO Box 439016
San Ysidro, CA 92143
Tel: 209 682 5327
Web: www.codoh.com
Email: bsmith@prodigy.net.mx
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SOURCE :
http://www.vnnforum.com/showthread.php?p=1231554