Surpris ? Monsanto a écrit sa propre loi de protection
Cela ne devrait pas être une surprise pour bon nombre d’entre vous que de savoir que Monsanto a en fait, écrit sa propre loi de protection, cachée, enfouie au milieu d’un texte récemment passé par le sénat américain et signé comme Continuing Resolution de la loi budgétaire. Vous vous demandez, comment diable une entreprise majeure peut-elle écrire sa propre législation ?
Franchement, je pense qu’il est important de comprendre que le sénat entier a passé la loi contenant cette clause de protection, mais le politicien qui a donné à Monsanto le crayon pour écrire sa propre législation n’est autre que Roy Blunt, un sénateur républicain de l’état du Missouri. Comme le révèle le dernier article en date d’IB Times, ce politicien du Missouri a travaillé avec Monsanto pour écrire la loi de protection de Monsanto. Ceci fut confirmé par un rapport d’agence de presse de New York auquel je vais faire brièvement référence.
Comme vous le savez déjà sûrement, je ne suis pas de ceux qui jouent le jeu de la « droite » contre la « gauche », mais au contraire dénonce et montre du doigt la corruption là où elle est. là où on la trouve indépendamment de la couleur politique et de l’affiliation de parti. En l’occurence le sénateur Blunt admet avoir été complice de Monsanto, une corporation qui a été prise la main dans le sac de conditions de travail proches de l’esclavage, entreprise où les travailleurs ne peuvent pas sortir pour aller manger (ce entre autres bien pires choses..)
Ceci est un des crimes les plus apparents perpétré contre les citoyens américains qu’il m’est été donné de voir depuis un moment. Une population que Blunt a juré de servir. Ceci n’est en rien favorable au peuple américain et est un cas très sérieux qui je le pense n’est pas bien compris. Le passage de cette loi veut dire que maintenant Monsanto est immunisé contre toutes les cours de justice fédérales en regard de toute suspension ou action contre leurs cultures OGM qui ont été labellisées dangereuses pour les personnes ou l’environnement.
Ceci veut dire que des cultures qui furent approuvées puis ensuite prouvées être un danger pour l’environnement ou le public, seront immunisées contre toute action du gouvernement. En théorie, un milion d’études pourraient trouver que les dernières créations de Monsanto causeraient des cancers à grande échelle, sous cette loi, Monsanto pourra continuer à balancer sa « chose » au public.Les tribunaux fédéraux seraient ou seront sans pouvoir pour arrêter Monsanto, donnant de facto à Monsanto un pouvoir sur la branche entière du gouvernement fédéral. Food Democracy Now, une organisation activiste importante qui a organisée des pétitions pour combattre cette loi de protection de Monsanto, décrit la clause se greffant sur la loi:
« La loi de protection de Monsanto forcerait le ministère américain de l’agriculture å autoriser la plantation de toute culture OGM qui serait déjà sous procédure judiciaire, essentiellement donnant un accord d’arrière boutique pour toute nouvelle culture génétiquement modifiée qui serait potentiellement dangereuse pour l’humain et sa santé et/ou l’environnement. »
Super idée n’est-ce pas ?
Servir les Corporations, pas le peuple
Le sénateur Blunt et ceux qui ont passés en toute connaissance de cause la loi de protection de Monsanto (incluant le président Obama qui a signé le projet pour en faire une loi la nuit dernière), ont choisi de servir un cartel plutôt que le peuple. Ironique n’est-il pas, alors ques les entreprises sont légalement des personnes, une zone légale d’habitude utilisée pour éviter des peines de prison aux gros PDG et exécutifs des cartels qui sont impliqués volontairement dans la mort des consommateurs dans le monde entier.
Triste, vraiment. J’ai lu sur le sénateur Blunt, et il a cette tendance à constamment prendre parti pour les entreprises plutôt que pour le public. Même sur sa page Wikipédia, une ligne stipule que Blunt: « a pris parti de manière constante avec les compagnies pétrolières et autres grosses entreprises pollueuses contre un future plus propre et plus durable. » J’ai même été capable de trouver une citation de Blunt défendant sa décision de permettre à Monsanto d’écrire sa propre règlementation au travers de la loi de protection de Monsanto et sur sa relation avec l’entreprise en écrivant la clause:
« Ce qui y est dit est que si vous plantez une culture qui est légale à planter lorsque vous la plantez, alors vous en ferez la récolte. »
Je pense que Blunt est hypocrite quant à savoir quels « personnes » il sert. J’ai créé cette image pour dénoncer Blunt de cette décision ouverte de prendre position pour Monsanto contre le public:
Vous pouvez contacter le sénateur Blunt sur son site internet et lui faire savoir ce que vous pensez de sa décision de laisser Monsanto écrire sa propre loi de protection. Nous ne pouvons plus rester les bras croisés tandis que les géants de l’industrie comme Monsanto triomphent éhontement contre le peuple par le biais d’escroquerie et de mensonge. Partagez cet article et dénoncez publiquement tous les politiciens désireux de vendre leur âme à Monsanto.
La Russie avertit Obama: une guerre globale sur la disparition des abeilles menace
La Russie avertit Obama: une guerre globale sur la disparition des abeilles menace 15 mai 2013 Par Will Summer
Par Sorcha Faal, le 10 mai 2013
Les minutes alarmantes de la rencontre de la semaine passée entre le président Vladimir Poutine et le secrétaire d’état US John Kerry révèlent "l’extrême outrage" du dirigeant russe concernant la protection, par le régime Obama, des géants de l’agrochimie Syngenta et Monsanto face à une "apocalypse des abeilles" dont le Kremlin avertit qu’elle "mènera très certainement" à une guerre mondiale.
Selon ces minutes, publiées aujourd’hui au Kremlin par le ministère des ressources naturelles et de l’environnement de la fédération de Russie (MRNE), Poutine était si énervé du refus du régime Obama de discuter de ce sujet très grave qu’il déclina pendant trois heures de recevoir Kerry, qui avait voyagé jusqu’à Moscou pour une mission diplomatique programmée d’avance, mais se ravisa pour ne pas créer une scission encore plus grande entre les deux nations.
Au centre de cette dispute entre la Russie et les USA, annonce ce rapport du MRNE, sont les "preuves incontestées" qu’une gamme d’insecticides neuro-actifs liés à la nicotine, connue sous le nom de néo-nicotinoïdes, détruisent la population d’abeilles de notre planète, ce qui, laissé en l’état, pourrait anéantir la capacité de notre monde à faire pousser assez de nourriture pour nourrir ses populations.
Cette situation est devenue si sérieuse, rapporte le MRNE, que la Commission Européenne dans son ensemble a institué la semaine dernière une interdiction de précaution de deux ans (devant commencer le 1 décembre 2013) sur l’usage de ces pesticides "tueurs d’abeilles" à la suite de la Suisse, de la France, de l’Italie, de la Russie, de la Slovénie et de l’Ukraine, qui avaient déjà tous interdit l’usage d’organismes génétiquement modifiés des plus dangereux sur le continent.
Deux des néo-nicotinoïdes les plus redoutés sous le coup de cette interdiction sont Actara et Cruiser, fabriqués par la multinationale suisse de biotechnologie Syngenta AG, qui emploie plus de 26000 personnes dans plus de 90 pays, eu troisième rang mondial des ventes sur le marché commercial des semences agricoles.
Il est important de noter, dit ce rapport, que Syngenta, avec les géants de la bio-tech Monsanto, Bayer, Dow et DuPont contrôlent maintenant presque 100% du marché global de pesticides et de semences et plantes génétiquement modifiées.
Relevable également à propos de Syngenta, poursuit le rapport, en 2012 Syngenta fut condamnée en Allemagne pour avoir caché le fait que son maïs génétiquement modifié tue le bétail, et paya comme réparation d’une plainte collective $105 millions aux USA suite à la découverte de la contamination de l’eau potable de quelques 52 millions de citoyens états-uniens, dans plus de 2000 bassins aquifères avec son herbicide "changeur de genre" Atrazine.
L’épouvantable gravité de la situation, dit le MRNE, peut être constatée dans le rapport publié en mars dernier par l’American Bird Conservancy (ABC), où ils avertissent du danger dans lequel se trouve toute la planète, et où nous pouvons lire, notamment:
"En tant que composante d’une étude sur les effets de la classe d’insecticides les plus utilisés au monde, des produits chimiques similaires à la nicotine appelés les néo-nicotinoïdes, l’American Bird Conservancy (ABC) a appelé à une interdiction de leur usage et à la suspension de toutes leurs applications en attente d’un examen indépendant des effets de ces produits sur les oiseaux, les invertébrés terrestres et aquatiques, et d’autres organismes vivants.
Il est clair que ces produits chimiques ont le potentiel d’affecter des chaînes alimentaires entières. La persistance dans l’environnement des néo-nicotinoïdes, leur propension au ruissellement et à l’infiltration dans les eaux souterraines, et leur mode d’action cumulatif et grandement irréversible chez les invertébrés soulèvent des inquiétudes écologiques sérieuses,"
a dit Cynthia Palmer, co-auteure du rapport et directrice des programmes sur les pesticides pour ABC, l’une des organisations les plus éminentes des USA pour la conservation des oiseaux.
ABC a commandité le toxicologue environnemental de renommée mondiale le Dr. Pierre Mineau pour mener ces recherches. Le rapport de 100 pages, "L’impact des insecticides les plus usités de la nation sur les oiseaux", passe en revue 200 études sur les néo-nicotinoïdes dont des études menées par l’industrie elle-même et obtenues grâce au Freedom of Information Act US (loi sur la liberté de l’information, ndt). Le rapport évalue le risque toxicologique encouru par les oiseaux et les écosystèmes aquatiques, et comprend des comparaisons exhaustives avec les anciens pesticides que les néo-nicotinoïdes ont remplacé. Le document conlut que les néo-nicotinoïdes sont mortels pour les oiseaux et aux systèmes aquatiques dont ils dépendent.
"Un seul grain de maïs enduit d’un néo-nicotinoïde peut tuer un passereau," atteste Palmer. "Même un tout petit grain de blé ou sa canule raité avec le plus ancien des néo-nicotinoïde – dénommé imidacloprid – peut empoisonner un oiseau de manière fatale. Et aussi peu qu’un dixième de semence de maïs recouverte de néo-nicotinoïde par jour pendant la saison de ponte est tut ce qu’il faut pour perturber la reproduction."
Le nouveau rapport conclut que les taux de contamination par les néo-nicotinoïdes dans les eaux de surface et souterraines aux États-Unis et autour du monde ont déjà dépassé le seuil constaté être mortel pour beaucoup d’invertébrés aquatiques.
Rapidement suite à ce sévère rapport, dit le MRNE, un large groupe d’apiculteurs et d’écologistes états-uniens a porté plainte contre le régime Obama à cause de la poursuite de l’usage de ces néo-nicotinoïdes, affirmant: "Nous amenons l’EPA (Environmental Protection Agency, agence de protection de l’environnement US, ndt) devant les tribunaux à cause de son échec à protéger les abeilles des pesticides. Malgré nos meilleurs efforts pour prévenir l’agence des problèmes posés par les néo-nicotinoïdes, l’EPA a continué d’ignorer les signes d’avertissement clairs d’un système agricole en péril."
La gravité de ce qui est vraiment devenu le système agricole planétaire du fait de ces plantes et semences génétiquement modifiées et ces pesticides, poursuit le rapport, peut être comprise à travers la décision de la Commission Européenne la semaine dernière, qui fait suite à leur interdiction des néo-nicotinoïdes, où ils projettent de rendre illégales presque toutes les plantes et semences non-enregistrées auprès de l’Union Européenne, et nous pouvons lire, entre autres:
"L’Europe se précipite vers les bons vieux jours de 1939, 40… Une nouvelle loi proposée par la Commission Européenne rendrait illégales "la culture, la reproduction et le commerce" de toutes semences végétales qui n’aient pas été "testées, approuvées et acceptées" par une nouvelle bureaucratie de l’UE dénommée "l’agence de l’UE des variétés végétales.
Cela s’appelle la Loi sur le Matériel Reproductif Végétal, et entend rendre le gouvernement responsable de presque toutes les plantes et semences. Les jardiniers chez eux qui font pousser leurs propres plantes à partir de semences non-régulées seraient considérés comme des criminels sous cette loi."
Ce rapport du MRNE souligne que bien que cette action de l’UE paraisse draconienne, elle est néanmoins nécessaire pour purger le continent d’une poursuite de la contamination par ces "monstruosités de semences" engendrées par la génétique de laboratoire.
Ce qui rend encore plus perplexe dans tout cela, dit le MRNE, et qui provoqua la colère de Poutine envers les USA, sont les efforts fournis par le régime Obama pour protéger les bénéfices des producteurs de pesticides en face des dommages catastrophiques infligés à l’environnement. Comme le dit, entre autres choses, le Guardian News Service dans leur article du 2 mai intitulé "Les USA rejettent l’affirmation de l’UE que les pesticides sont la principale cause pour la chute de population des abeilles":
"L’Union Européenne a voté cette semaine une interdiction de deux ans de l’usage d’une classe de pesticides, connus sous le nom de néo-nicotinoïdes, qui a été associée avec la disparition des abeilles. Le rapport du gouvernement US, par contre, trouva des causes multiples à la disparition des abeilles mellifères."
Le MRNE ajoute que les "vraies" raisons derrière la protection accordée par le régime Obama à ces géants de la biotechnologie qui détruisent notre monde peuvent être trouvées dans l’article intitulé "Comment Barack Obama est-il devenu l’homme de Monsanto à Washington?" et qui lit, entre autres:
"Après sa victoire aux élections de 2008, Obama donna des postes-clés à des employés de Monsanto dans des agences fédérales ayant une influence considérable sur les thèmes alimentaires, la USDA (US Department of Agriculture, ministère de l’agriculture US, ndt) et la FDA (Food and Drug Administration, agence des aliments et des drogues, ndt): à la USDA, comme directeur du National Institute of Food and Agriculture (institut national de la nourriture et de l’agriculture, ndt), Roger Beachy, ancien directeur du Danforth Center de Monsanto. Comme commissaire adjoint de la FDA, le nouveau tsar des sujets de sécurité alimentaire, le notoire Michael Taylor, ancien vice-président des relations publiques de Monsanto. Taylor avait été instrumental dans l’obtention de l’approbation de l’hormone de croissance bovine fabriquée en laboratoire de biogénétique par Monsanto."
Encore pire, après que la Russie ait suspendu l’importation et l’utilisation du maïs transgénique de Monsanto suite à une étude suggérant un lien avec le cancer du sein et des dommages aux organes en septembre dernier, le Russia Today News Service a rapporté la réaction du régime Obama:
"La Chambre des Représentants US a passé en catimini un ajout de dernière minute à sa loi de prévision budgétaire agricole pour 2013 la semaine dernière – incluant une provision protégeant les semences génétiquement modifiées de litiges en cas de risques sanitaires.
Le texte, portant le titre officiel de "Farmer Assurance Provision" (provision d’assurance des fermiers, ndt), a été dénoncé par des opposants au lobbying biotechnologique comme le "Monsanto Protection Act", car il retirerait aux tribunaux fédéraux l’autorité pour faire immédiatement stopper la plantation et la vente de plantes et semences génétiquement modifiées en dépit de toutes considération sanitaires des consommateurs.
La provision, également décrite comme un "texte biotech", aurait dû passer par des comités agricoles ou juridiques pour examen. Au contraire, aucune audition n’a eu lieu, et le document était de toute évidence inconnu de la plupart des Démocrates (qui détiennent la majorité au Sénat) avant son approbation comme partie du HR 993, la loi de financement à court terme qui fut passée pour éviter une banqueroute du gouvernement fédéral."
Le 26 mars, Obama signa discrètement ce "Monsanto Protection Act" en loi, assurant ainsi que le peuple états-unien n’ait auucn recours contre ce géant de la biotechnologie alors qu’ils tombent malades par dizaines de millions, et que des millions en mourront certainement dans ce que ce rapport du MRNE appelle la plus grande apocalypse agricole de l’histoire humaine comme plus de 90% de la population des abeilles sauvages aux USA a déjà disparu, et jusqu’à 80% des abeilles domestiques ont également disparu.
USA : Monsanto fait payer des amendes aux agriculteurs bio
Le jugement est tombé, le géant de la biochimie Monsanto conserve le droit de poursuivre en justice les agriculteurs biologiques dont la production a été malencontreusement contaminée par les OGM sorti de ses laboratoires. C’est un paradoxe qui soulève l’indignation et l’incompréhension au sein de la population américaine. Monsanto, qui détient le fameux brevet pour l’herbicide Roundup et pour les semences génétiquement modifiées capables de résister à ce même désherbant, conserve le droit de poursuivre en justice n’importe quel agriculteur dont la production de maïs contiendrait plus d’1% d’OGM.
Belle ironie, sachant que ce sont les organismes génétiquement modifiés eux-mêmes qui contaminent les productions biologiques avoisinantes. Comme si cela ne suffisait pas de rendre les productions de ces agriculteurs invendables car non conformes aux exigences de l’agriculture biologique, Monsanto compte aussi s’enrichir sur la contamination dont elle est à l’origine.
Lundi, la cour d’appel fédérale des Etats-Unis a débouté le groupe d’une cinquantaine d’agriculteurs bio alliés dans une bataille juridique qui semble pencher en faveur du géant de la biochimie. Les juges américains ont statué en s’appuyant sur l’engagement pris par la société sur son site web, où elle explique en quelques lignes qu’une action en justice serait engagée uniquement dans le cas où plus d’1% de la production des agriculteurs biologiques contiendrait des OGM.
Aucune raison de s’inquiéter donc, si Monsanto a promis. Là en est bien la preuve, entre 1997 et 2010, la société a déposé 144 plaintes pour violation de brevet. Reste à savoir que la contamination par les OGM est parfaitement accidentelle, et que les agriculteurs n’ont pas forcément conscience que leur production est atteinte. Leur crainte de voir les avocats de Monsanto les traîner en justice pour violation de brevet est donc bel et bien fondée, mais la justice américaine continue à faire l’autruche.
Alors qui est à blâmer pour cette mascarade ? Certains pointent du doigt le lobby Monsanto, qui a maintes fois réussi à rallier juges et politiciens à ses côtés.
Dernier exemple en date, le « Monsanto Protection Act », ratifié fin mars, qui empêche la justice américaine de suspendre la vente ou la culture d’OGM, malgré la remise en cause de leur homologation.
Erratum : Il s'agit bel et bien de production de maïs et non de blé, veuillez nous excuser pour cette coquille. http://www.bioalaune.com/fr/actualite-bio/7414/usa-monsanto-fait-payer-des-amendes-aux-agriculteurs-bio
_________________ Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
Les dirigeants actuels : http://www.monsanto.com/global/fr/qui-sommes-nous/Pages/direction-de-lenterprise.aspx
_________________ Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
En France et partout dans le monde, médecins et chercheurs lancent l'alerte sur les effets des produits chimiques sur le développement des enfants. Augmentation des cancers infantiles, multiplication des anomalies de naissance ou des troubles hormonaux, explosion de l'autisme : toutes ces pathologies pourraient bien avoir des causes environnementales. Les pesticides apparaissent en première ligne dans les rapports des chercheurs. Six multinationales contrôlent ce secteur : Syngenta, Bayer, Monsanto, Dow, Basf et Dupont. Elles règnent presque sans partage sur un marché colossal qui pèse cinquante milliards d'euros. Pendant un an, l'équipe de «Cash Investigation» a suivi à la trace leurs molécules. Certaines, dangereuses, s'invitent dans l'air que les enfants respirent tous les jours. Elise Lucet France 2 #cashinvestigation
Toutes l'actualité de Cash Investigation http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/cash-investigation/ https://www.facebook.com/cashinvestigationfrance2
Les assassins de la planète
On compte parmi les néonicotinoïdes actuels :
l'acétamipride utilisé par Bayer (ex-Aventis CropSciences) dans le Chipco utilisé par DuPont dans l'Assail utilisé par BASF dans le Pristine
la clothianidine utilisé par Bayer dans le Poncho-Maïs
le dinotéfurane utilisé par Mitsui Chemicals dans le Dinotefuran
l'imidaclopride utilisé par Bayer dans le Gaucho utilisé par Bayer dans le Confidor
le nitenpyrame utilisé par Jiangsu Sword Agrochemicals dans le Nitenpyram
le thiaclopride utilisé par Bayer dans le Proteus
le thiaméthoxame utilisé par Syngenta dans le Cruiser2 utilisé par Syngenta dans l'Actara3
Traduction automatique (bien faite par google, très en progrès).
Aujourd'hui, une nouvelle étude surl'Université de Purdue dans l'Indiana a non seulement confirmé, une fois de plus, que la clothianidine tue les abeilles, mais aussi que la toxicité de la clothianidine est systémique dans toute la chaîne alimentaire, ce qui pourrait un jour conduire à la destruction catastrophique de la l'approvisionnement alimentaire.
L'étude, qui a été publiée dans le journal en lignePLoS ONE, a étudié les différentes méthodes et les itinéraires par lesquels une classe d'insecticides néonicotinoïdes connus sous le nom, ce qui inclut la clothianidine, nuisent abeilles. Ils ont découvert que les deux clothianidine et le thiaméthoxame, un autre composant des insecticides néonicotinoïdes, persistent à "des niveaux extrêmement élevés" dans " les résidus produits au cours de la plantation de cultures traitées avec ces insecticides, ce qui va à l'encontre des revendications de l'industrie que les produits chimiques sont biodégradables et ne sont pas un menace. L'équipe de recherche a également trouvé des composés du groupe des néonicotinoïdes dans le sol, y compris dans des domaines où les produits chimiques n'ont même pas été traitées, ainsi que sur diverses plantes et des fleurs visitées par les abeilles. Sur la base de leur analyse, les chercheurs impliqués dans l'étude ont déterminé que les abeilles activent le transfert du pollen contaminé par les cultures de maïs principalement néonicotinoïde-traités, et le ramènent à leurs ruches.Les abeilles transfèrent aussi des composés du groupe des néonicotinoïdes à d'autres plantes et aux cultures non traitées avec des produits chimiques, ce qui montre à quel point ces produits chimiques persistants sont vraiment dans l'environnement.Vous pouvez lire le rapport dans son intégralité pour vous-même sur le lien suivant: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3250423/ (en anglais !)
Cette recherche devrait clouer le couvercle du cercueil fermé du clothianidine», a déclaré Laurel Hopwood, présidente de laSierra Clubde l 'ingénierie génétique Équipe d'action, qui est une pétition au EPA pour finalement interdire ces produits chimiques, après des années de retard inutile.
"Malgré les nombreuses tentatives de l'industrie apicole et les organisations de conservation pour persuader l'EPA visant à interdire la clothianidine, l'EPA n'a pas réussi à protéger l'approvisionnement alimentaire pour le peuple américain."Sans les abeilles, qui sont maintenant en train de mourir à un rythme alarmant en raison de l'exposition à clothianidine et de divers autres insecticides et fongicides, un tiers ou plus de l'approvisionnement alimentaire seront détruits, y compris au moins 100 variétés de fruits et légumes qui dépendent des abeilles pour la pollinisation.
C'est pourquoi le Dr Neil Carman, Ph.D., conseiller scientifique deSierra Club, a lancé un appel à l'EPA d'interdire immédiatement l'utilisation de la clothianidine et les insecticides néonicotinoïdes autres pour des raisons de protection de l'approvisionnement alimentaire de la destruction irréversible.
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