C'est un article qui figure dans "la théorie de l'univers électrique" mais j'ai envie de le remettre dans un post spécifique ici pour que chacun s'amusent à déboulonner un mythe.
Je sais qu'il existe différent post sur Einstein au moins un sur son soutient au sionisme. Je ne sais pas trop ou mettre ça mais pourquoi pas ici. Donc si vous avez n'importe qu'elle information concernant les erreurs d'Einstein ou des vérités qui permettraient de détruire ce mythe à qui on devrait couper la langue faite vous plaisir en espérant avoir au final une belle compilation sur ce personnage.
A imprimer et à faire lire.
Je sais qu'il existe différent post sur Einstein au moins un sur son soutient au sionisme. Je ne sais pas trop ou mettre ça mais pourquoi pas ici. Donc si vous avez n'importe qu'elle information concernant les erreurs d'Einstein ou des vérités qui permettraient de détruire ce mythe à qui on devrait couper la langue faite vous plaisir en espérant avoir au final une belle compilation sur ce personnage.
source http://www.alterinfo.net/Pour-bien-percevoir-Einstein_a45564.html?print=1
Pour bien percevoir Einstein D. E. Scott jeudi 29 avril 2010
Pour le simple quidam, par réflexe, les mots « Einstein » et « relativité » sont automatiquement synonymes de « complexité, » d’« inintelligibilité, » et de l'idée que ça suppose des maths plutôt obscures. »
Thunderbolts, D. E. Scott, 27 avril 2010
Nous savons tous qu’Albert Einstein a inventé la Relativité Restreinte et son extension, la Relativité Générale. Mais de quoi s’agit-il ? Ces théories sont-elles justes ? Sont-elles utiles ? Faut-il être physicien ou mathématicien pour les comprendre ? En règle générale, toute recherche à la bibliothèque ou sur Internet pour obtenir une explication claire sur à quoi se résume la théorie de la relativité, tombe d’habitude rapidement dans un fouillis de concepts du style espace de Minkowsky, dilatation du temps et d’autres hypothèses, toutes impénétrables pour le non-initié. Ou du moins, elles l’étaient jusqu'à présent.
J'ai cherché pendant des années une explication simple à ces idées. Cette recherche fut désespérément stérile. J'ai pris conscience très tôt qu’à la fois la Relativité Restreinte et Générale sont controversées. Les opinions sur la question de leur validité sont acerbes de part et d’autre. D'un côté, les Cosmologistes et les Astrophysiciens acceptent, défendent et se servent des idées d'Einstein pour faire avancer leur travail. Ils revendiquent la réussite absolue de leurs modèles découlant du recours à ses théories. Ils dénigrent tous ceux qui se laissent aller à mettre en doute la solidité de leurs convictions.
Plusieurs sceptiques (1, 2) affirment avoir identifié des défauts dans la cuirasse de l'œuvre d'Einstein et dans la validité et la précision des expériences ultérieures qui l'auraient confortée. Seulement, la compréhension des chicanes et des répliques de l’argumentation nécessite une maîtrise en mathématiques du niveau universitaire dans le domaine de l’analyse tensorielle. Aussi, jusqu'à récemment, même le lecteur instruit et intéressé n'a pas vraiment pu les comprendre, et n’a donc aucune chance d’avoir une opinion éclairée. Tout cela changea pour moi avec la lecture d’un livre écrit par l'astronome Hilton Ratcliffe.
Hilton Ratcliffe
Dans le onzième chapitre de son premier ouvrage (3), Ratcliffe expose quelques questions, hypothèses et objectifs fondamentaux, qui motivèrent l’œuvre d'Einstein. Il le fait uniquement en prose, sans mathématiques (4). Ces pages me fournirent une clé pour forcer les concepts ésotériques qui m'échappaient depuis si longtemps. Ratcliffe commence par faire remarquer que l'un des postulats ou objectifs (ce point n'est pas très clair) primitifs d’Einstein, fut de démontrer l'impossibilité de l'existence d’un temps universel absolu et la simultanéité réelle des événements.
L'un des outils nécessaires pour évaluer l'argumentation d'Einstein réside dans le concept de « cadre de référence » [référentiel ou système de coordonnées] et ce qui arrive quand deux référentiels se déplacent relativement l’un par rapport à l’autre.
Les cadres de référence
Prenez trois règles graduées. Disposez-en deux à plat sur votre bureau, à angle droit l’une par rapport à l’autre. Posez maintenant la troisième règle verticalement à la jonction des deux premières et fixez le tout ensemble de sorte que les angles (de 90°) entre elles soient fixes. Baptisez les deux règles horizontales x et y. Appelez la règle verticale z. La position instantanée d'un objet (mouche, grain de poussière, etc) peut être décrite de manière unique par la mesure de sa distance le long de chaque règle, par exemple, x = 3 cm, y = 4 cm et z = 8 cm. La position de l'objet est définie. Le jeu de règles constitue donc un « référentiel » dans lequel il est possible de décrire la position d'un point quelconque. Tout changement de cette position mesure un « mouvement » de l'objet dans ce référentiel. Naturellement, les règles doivent être droites et leurs marques de graduation doivent être espacées régulièrement et elles ne doivent pas se déplacer les unes par rapport aux autres.
Figure 1. Exemple d’Einstein de deux coups de foudre s’abattant simultanément sur les points A et B.
Un autre référentiel (jeu de règles) peut être construit et placé sur un manège tournant. La position de tout objet (disons par exemple un insecte immobile posé sur le manège) peut être mesurée à la fois dans les deux référentiels. Dans l'un d'eux (celui du manège) la vitesse de l’insecte est nulle. L'autre référentiel décrira l’insecte comme se déplaçant en cercle. Quand l’un des référentiels se déplace par rapport à l’autre, différentes mesures de mouvement peuvent être enregistrées pour un même événement.
L’effet Coriolis
Le fameux effet Coriolis est un exemple de cela. Supposons que nous ayons un manège à l’arrêt sur lequel deux personnes se font face aux extrémités de l'un des diamètres du plateau. L’une d’elles lance un ballon directement vers l'autre personne qui l'attrape. Les deux référentiels (l’un fixé au sol et l’autre sur le manège) témoigneront que, vu de dessus, le ballon voyage en ligne droite.
À présent, faisons tourner le manège en sens contraire des aiguilles d'une montre (vu d'en haut) à une vitesse angulaire constante. Nous pourrons observer la trajectoire du ballon en plaçant au-dessus du manège une caméra de télévision braquée vers le bas. Or, si la caméra est fixée à la Terre immobile, nous verrons que, bien que le ballon aille au début directement vers l'autre personne, celle-ci sera déportée par la rotation hors de sa position initiale et ne sera plus là pour attraper le ballon quand il arrivera. Car le ballon se déplace toujours en ligne droite.
Si nous montons une autre caméra braquée vers le bas – celle-ci fixée sur le manège en rotation –, les deux personnes sembleront immobiles et la trajectoire du ballon paraîtra s’incurver vers la droite. Plusieurs présentations de Youtube font la démonstration de cet effet. (5) Il est important de réaliser que la perception qu’a l'observateur d’un événement dépend de son référentiel.
Exemple de relativité
Ratcliffe décrit une expérience proposée par Einstein. Elle implique un observateur en chemin de fer. Deux coups de foudre se produisent simultanément – l’un tombant du ciel vers le point A sur le sol, et l'autre sur le point B. À cet instant, il se trouve que train est placé de sorte que son extrémité avant passe sur le point A et son extrémité arrière sur le point B. La situation est montrée dans le schéma du haut de la figure 1 ci-dessus.
Le train se déplace à vitesse, v, constante vers la droite. En supposant que la lumière voyage à une vitesse finie, l'observateur au point M n’aura pas conscience de l’éclair avant que s’écoule le temps, T, [de sa propagation jusqu’à l’observateur]. Mais le train s'est déplacé vers la droite pendant cet intervalle de temps. Le schéma du bas montre la position du train après que le temps, T, soit passé. À présent en position Mnew, l'observateur voit l'éclair du coup de foudre B. Or, puisque la lumière de A doit venir de plus loin, il ne l’a toujours pas vue.
L'observateur conçoit donc que le coup de foudre B est arrivé avant le coup de foudre A. La raison en est naturellement dans le fait que le référentiel de l'observateur se déplace relativement au contexte inertiel fixe – la Terre. Einstein en arrive ensuite à conclure que, dans le référentiel de l'observateur, qui se déplace vers la droite, les deux événements n'étaient pas vraiment simultanés.
Pouvez-vous voir l'erreur ? S'il avait dit que la perception de l'observateur sur ce qui s'est passé était que le coup de foudre B s’est produit en premier, il aurait eu raison. Seulement, son interprétation énonce que, dans le référentiel en mouvement de l'observateur, les deux événements ne sont pas en réalité simultanés.
Einstein a confondu la perception de la réalité de l’observateur avec la réalité elle-même.
Une autre interprétation encore plus confuse et fausse de ce qui s'est réellement passé dans cette expérience, c’est que le temps, tel qu’il est mesuré par un chronomètre tenu par l'observateur, aurait ralenti. C'est parce que l'intervalle entre le coup de foudre B et son observation en Mnew a aussi diminué. Le chronomètre en mouvement mesure un peu moins de nanosecondes [puisqu’il avance vers l’événement] – comme ça, Einstein déclara, « Les horloges ralentissent dans un référentiel en mouvement. » Il s’agit bien évidemment de balivernes.
Ratcliff réfute facilement l'hypothèse selon laquelle une horloge en mouvement ralentirait, grâce à l'exemple suivant. Considérons deux horloges, A et B, se déplaçant l’une vers l’autre sur une ligne droite commune. Les Relativistes considèrent qu'une horloge se déplaçant dans un référentiel quelconque par rapport à une autre immobile, tourne plus lentement. En appliquant cela à A, B tournera plus lentement. En appliquant cela à B, A sera plus lente. Or, chaque horloge ne peut pas tourner plus lentement que l'autre. Cette idée est donc contradictoire.
Pour citer Ratcliffe, « L'erreur faite [par Einstein], celle qu’il commet constamment dans le développement de la théorie de la Relativité Restreinte, c'est qu'il confond ses référentiels et ne fait pas de correction pour les différents temps de trajet à vitesse constante des signaux couvrant des distances différentes. »
Plus important encore, j’ajouterais que, par erreur, Einstein ne s’étend pas sur la distinction entre perception de la réalité d'un observateur et réalité elle-même. La réalité existe. La réalité continuera d'exister même quand vous et moi serons morts et incapables de la percevoir.
Si Einstein avait observé l'expérience de Coriolis, qui implique le lancer d’un ballon dans un manège, il aurait conclu à tort que le ballon incurve vraiment sa trajectoire dans la « réalité » du référentiel en rotation. C'est ce que perçoit l'observateur. Mais ce n'est pas ce qui se passe dans la réalité. « Voir c'est croire » devient parfois « voir c'est induire en erreur. » Les perceptions d’un observateur ne doivent pas être indûment défendues comme ayant une validité égale à la réalité. Les perceptions sont souvent infidèles.
« Ma réalité est tout aussi valable que la tienne » n'est pas universellement vrai.
Conclusion
L’ouvrage The Virtue of Heresy de Ratcliffe fournit une critique solide à la portée de tous sur les erreurs fondamentales dans la logique de la Relativité Restreinte et Générale qui sont passées inaperçues dans le passé, même de gens dotés d’une expérience exceptionnelle en physique et en mathématiques. Il attaque les fondements de la théorie eisnteinienne avec clarté, contre-exemples, et décorticage fin de certains résultats imprécis de la « pensée expérimentale » qui furent construits à toute vitesse à l'appui de ces idées.
Ce livre est un atout qui a de l’impact. En le combinant aux analyses dévastatrices de Steve Crothers, sur les erreurs dans l’analyse tensorielle, qui se dressait jusqu’ici efficacement comme une barrière impénétrable à toute critique de la Relativité Restreinte et Générale, normalement les gens intelligents ne doivent plus se sentir intimidés.
Nous devons nous souvenir que le modèle erroné de la Terre au centre de l'Univers de Ptolémée a perduré pendant au moins mille ans. Mais c'était avant que les esprits curieux aient accès aux livres et à Internet. Désormais, peut-être que nous n’aurons plus à attendre longtemps avant que soient écartées les fausses théories de la relativité.
Notes
1. Stephen Crothers :
www.sjcrothers.plasmaresources.com/index.html
2. Sid Deutsch – Einstein's Greatest Mistake (Les plus grandes erreurs d’Einstein), iUniverse, 2006.
3. Hilton Ratcliffe, The Virtue of Heresy (Vertu de l’hérésie), 2008 : http://www.booksurge.com
4. Encore qu’en page 286 il houspille les défenseurs de la théorie électrique en disant : « Donnez-nous des chiffres ! Faites un résumé et dites-nous quelles formules appliquer systématiquement à l'étude du cosmos. »
5. www.youtube.com/watch?v=mcPs_OdQOYU&feature=related
Original : thunderbolts.info/tpod/2010/arch10/100427einstein.htm
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
A imprimer et à faire lire.
Dernière édition par c.isme le 17/4/2011, 22:39, édité 1 fois