Un agent des services secrets israéliens, détenu au secret sous un faux nom, dans une prison de haute sécurité, a été retrouvé pendu en 2010. L'omerta, imposée par le Mossad et le gouvernement, a été brisée par les médias australiens.
Ben Zygier a été rapatrié à Melbourne, où il a été enterré le 22 décembre 2010 - SMH.com Dans la cellule 15 de la prison Ayalon, près de Tel-Aviv, la plus célèbre d'Israël, il est impossible de se suicider. Bardée de caméras, elle a été conçue pour empêcher les détenus «importants» de se donner la mort. Yigal Amir, l'assassin d'Yitzhak Rabin, y a séjourné plusieurs années. Pourtant, en décembre 2010, un certain «M. X» est retrouvé pendu. Aussitôt, c'est la panique. Des agents d'un «service de sécurité» se précipitent dans la cellule. Pendant plusieurs heures, ils interdisent au personnel médical et pénitentiaire de s'approcher du corps pour mieux faire le «ménage». Puis plus rien. Depuis dix mois, ce prisonnier était maintenu dans l'anonymat.
Une sorte de «Masque de fer» israélien, comme son prédécesseur dans les geôles de Louis XIV. «Personne n'était autorisé à entrer en contact avec lui et seul un garde pouvait lui apporter sa nourriture. Je ne comprends pas comment il a pu se suicider avec quatre caméras le surveillant nuit et jour», affirme un gardien de la prison. Ce mutisme assourdissant va durer plus de deux ans. Il jette une ombre terrible sur les pratiques des services israéliens, qui avaient déjà été dénoncées dans les affaires Vanunu et Klinberg (lire les encadrés, p. 46 et 47). Ce n'est que la semaine dernière que cette omerta générale est brisée à des milliers de kilomètres de là. Les médias australiens révèlent que le détenu mort s'appelait Ben Zygier, un ressortissant australien de 34 ans issu d'une famille juive connue de Melbourne. Il aurait été enrôlé par le Mossad – les services secrets de l'Etat hébreu – et disposait de quatre passeports australiens sous différents noms.
La loi australienne autorise en effet les citoyens à changer très facilement de nom - Zygier l'avait fait trois fois - et donc, à obtenir à chaque fois des nouveaux papiers d'identité. Sioniste convaincu, il émigre en Israël en 1994 et fait son service militaire. Le Mossad le repère et le recrute. Six ans plus tard, il se marie à une Israélienne dont il a deux enfants. A plusieurs reprises, il retourne dans son pays d'origine, notamment pour y suivre des études de droit dans une université où Iraniens et Saoudiens sont légion.
Détenteur de quatre passeports Mais ses allers-retours en Israël et, surtout, ses différents passeports commencent à intriguer les renseignements australiens. Lorsqu'il revient en Israël, un journaliste australien, Jason Koutsoukis, briefé par des agents de son pays, l'interroge de but en blanc au téléphone sur son appartenance au Mossad. Interloqué, il nie tout en bloc. Ce même journaliste avait commencé à enquêter sur Ben Zygier en octobre 2009, à la suite d'une information des services australiens sur trois ressortissants de ce pays devenus citoyens israéliens et détenteurs de plusieurs passeports australiens.
Le Mossad aurait utilisé ce tour de passe-passe légal pour permettre à ces trois hommes de circuler dans des pays tels que l'Iran, la Syrie ou le Liban. Peu après, en février 2010, Ben Zygier disparaît de la circulation. Ynet, un site d'information israélien, révèle alors qu'un «M. X» est détenu au secret. Mais l'article est retiré mystérieusement au bout de quelques heures. Il faut ensuite attendre le «scoop» de la semaine dernière de la chaîne de télévision australienne ABC pour apprendre son décès et son appartenance au Mossad.
Les circonstances de la mort de Ben Zygier suscitent évidemment des interrogations sur le thème : «A-t-il été suicidé ?» Une juge a mis plus d'un an et demi pour rédiger un rapport concluant au suicide et ce document n'a pas convaincu la commission parlementaire chargée du contrôle des services de renseignements qui va à son tour mener une enquête. Avidgor Feldman, un avocat spécialisé dans les dossiers de renseignements, avait rencontré Zygier dans sa cellule deux jours avant son décès. Il affirme aujourd'hui n'avoir constaté «aucun signe de dépression pouvant laisser craindre un suicide». «Il semblait tout à fait rationnel, il venait d'avoir un deuxième enfant et réfléchissait aux différentes options judiciaires qui lui restaient», ajoute l'avocat. Selon lui, Ben Zygier aurait tenté de conclure un accord pour une peine allant de dix à vingt ans de prison.
En réponse aux soupçons sur les circonstances de sa mort, le ministre de la Sécurité intérieure, Yitzhak Aharonovitch, prétend que Ben Zygier aurait accepté «de son plein gré» d'être détenu sous un faux nom pour «sa propre sécurité, celle de sa famille et de l'Etat». Selon ce ministre, «il a bénéficié de tous les droits accordés aux autres prisonniers». «Israël n'est pas une dictature où les gens disparaissent du jour au lendemain. Ce n'est que dans les cas exceptionnels que l'on donne une fausse identité et qu'une interdiction de publication est imposée», assure un haut responsable du ministère de la Justice.
Traître ou agent double ?
Toute la question est de savoir si le régime d'isolement total imposé à Ben Zygier était réellement proportionné à la faute commise. Sur laquelle on ne sait rien. Ben Zygier était-il un traître au service de l'ennemi ? Un agent double ? Ou plus prosaïquement un bavard sous pression sur le point de révéler des informations «embarrassantes» sur ses activités au Mossad ? Mystère total. Selon un «haut responsable» cité par les médias israéliens, il serait «mort de honte». L'explication est un peu courte...
Que faisait Zygier au Mossad ? Les médias étrangers rappellent qu'un agent de ce service, doté d'un passeport australien, faisait partie de l'escouade des 27 agents qui ont participé le 20 janvier 2010 à l'élimination d'un chef militaire du Hamas, Mahmoud al-Mabhouh, dans un hôtel de Dubaï. A l'époque, les Australiens avaient protesté.
Pour le Mossad comme pour les grands services secrets, la question des passeports est cruciale. Pour «monter» une opération, de vrais passeports sont indispensables. La fabrication de faux est en effet devenue pratiquement impossible avec les nouveaux documents biométriques. A deux reprises déjà, le Mossad s'est fait prendre la main dans le sac pour des vols ou des détournements de passeports canadiens et néo-zélandais. Dans le cas de la Nouvelle-Zélande, trois Israéliens ont été arrêtés en 2004 pour avoir tenté de se procurer des fausses identités. Puis, en mai 2010, le chef de la délégation du Mossad en Australie a été expulsé pour les mêmes raisons.
Deuxième hypothèse : Ben Zygier aurait créé avec deux autres agents d'origine australienne une société à Milan pour exporter du matériel de communication par satellite infesté de virus destiné notamment à l'Iran. Mais rien de tout cela n'explique son arrestation, sa mise au secret et sa mort.
Troisième et moins glorieux scénario : Ben Zygier aurait eu la langue trop bien pendue et aurait confié à ses amis ses activités au sein du Mossad, autant d'indiscrétions qui seraient venues aux oreilles des services secrets australiens.
En Israël, les médias espèrent désormais que l'interdiction totale de publication de la moindre information sur l'affaire, imposée par un tribunal, va être enfin levée. En général, pour ce genre de dossier «sensible», les médias israéliens attendent que l'information soit publiée à l'étranger pour la reprendre. Histoire de contourner la censure, des journalistes israéliens informent souvent leurs collègues étrangers pour ensuite les citer sans être inquiétés... Mais cette fois ce petit jeu n'a pas marché. Dès qu'il apprend qu'ABC s'apprête à sortir l'histoire, le Premier ministre, Benyamin Netanyahou, convoque en toute hâte plusieurs rédacteurs en chef et, en présence de Tamir Pardo, le chef du Mossad, les presse de ne rien publier. Une situation totalement absurde. Le monde entier est au courant, seuls les Israéliens devraient être tenus dans l'ignorance. Le barrage ne tient que quelques heures. A la Knesset, trois députés d'opposition bravent la censure et demandent des explications à Yaakov Neeman, le ministre de la Justice, qui se défausse en affirmant n'être au courant de rien. Mais la brèche est ouverte.
La censure n'a pas pu intervenir sur le débat qui s'est déroulé en direct sur la chaîne de télévision parlementaire... Piteusement, les autorités donnent alors le feu vert aux médias : ils peuvent reproduire ce qui est publié à l'étranger, tout en maintenant une censure totale sur les raisons de l'arrestation de Ben Zygier. Officiellement, Israël se contente d'admettre l'évidence, à savoir qu'un prisonnier détenu sous un faux nom s'est suicidé. Pour le reste, le silence radio continue.
«Impératifs de sécurité»
Tous les commentateurs israéliens sont tombés à bras raccourcis sur la politique de censure du gouvernement accusé de «se tromper de siècle». «On ne peut plus faire barrage à l'information à l'heure d'Internet, de Facebook et de Twitter, nous ne sommes pas la Corée du Nord», souligne Nachman Shaï, un ancien porte-parole de l'armée. La générale Sima Vaknin-Gil, responsable de la censure militaire, est curieusement d'accord avec ce diagnostic. Elle souligne que l'interdiction de publication a été prise par un tribunal civil et non par ses services. Connue pour son approche plus «libérale» que celle des juges, elle souligne que, «dans le monde moderne, il est impossible dans la plupart des cas de cacher des choses. Personne ne sait mieux qu'[elle] qu'il est stupide de tenter d'arrêter ce qui a été publié à l'étranger». Détail important : la grande majorité des quelque 300 ordres d'interdiction de publier édictés chaque année pour des affaires de droit commun ou de sécurité sont le fait de juges qui ont tendance à se «mettre au garde-à-vous», selon l'expression de commentateurs, lorsque le Mossad ou le Shin Beth, le service de sécurité intérieure, invoquent des «impératifs de sécurité».
Au nom desquels d'autres «M. X» seraient détenus en Israël ? Nombreux se posent la question. Yitzhak Aharonovitch, le ministre de la Sécurité intérieure, assure qu'aucun prisonnier n'entre actuellement dans cette catégorie. Mais Rafael Eytan, un vétéran du Mossad, n'exclut pas cette possibilité. Selon lui, «la détention sous une fausse identité permet de gagner du temps, d'exfiltrer éventuellement des agents qui pourraient être menacés, de maintenir le secret sur [leurs] méthodes, et parfois de ne pas porter atteinte aux relations avec d'autres pays». Les durs de la droite, comme Benyamin Netanyahou – le Mossad dépend directement du Premier ministre –, ont adopté cette ligne de défense. «Il faut laisser les services faire tranquillement leur travail. La surexposition médiatique de leurs activités peut porter gravement atteinte à la sécurité d'Israël face à ses nombreux ennemis», explique le chef du gouvernement. Autrement dit : circulez, y a rien à voir !
KLINGBERG, L'AGENT QUI VENAIT DU FROID
Pendant près de dix ans, Marcus Klingberg a disparu dans une prison israélienne. Cet expert en armes bactériologiques d'origine polonaise et directeur adjoint de l'institut biologique de Ness Ziona, au sud de Tel-Aviv, a été arrêté en 1983. Jugé à huis clos pour espionnage au profit de l'Union soviétique, il a écopé de vingt ans de prison, dont la moitié à l'isolement total. La censure militaire a interdit la publication de la moindre information sur son incarcération et sa condamnation. Pour faire diversion, le Shin Beth a longtemps fait courir le bruit que le chercheur était traité pour une dépression nerveuse dans un hôpital psychiatrique «quelque part en Europe». Les autorités israéliennes ne lui ont accordé aucune remise de peine et il a été libéré en 2003. Les activités de l'institut de Ness Ziona sont considérées comme ultrasecrètes. Selon des experts militaires étrangers, cet institut servirait notamment à la production d'armes biologiques et chimiques.
VANUNU, L'ESPION NUCLÉAIRE
Mordechaï Vanunu a, lui aussi, été un moment détenu au secret. Cet ancien technicien dans la centrale de Dimona, considérée comme le centre névralgique du programme nucléaire israélien, a révélé, s'appuyant sur des photos et des croquis, les secrets de cette installation au Sunday Times en 1986. Quelques semaines plus tard, Mordechaï Vanunu, séduit par une agente dénommée Cindy, se rend avec elle à Rome où des agents du Mossad le droguent et le kidnappent dans un bateau à destination d'Israël. Pendant plusieurs mois, personne ne sait où il a disparu, jusqu'à ce que les autorités israéliennes annoncent son arrestation. Jugé à huis clos, il est condamné à dix-huit ans de prison assortis d'un régime d'isolement total. Une fois sa peine purgée, il n'en a pas fini, de payer. Depuis sa libération en 2004, il lui est interdit de quitter le territoire israélien ou de parler à des journalistes. Pour avoir enfreint cet ordre, il a refait plusieurs séjours en prison.
Ce sont les recherches israéliennes sur les armes chimiques et biologiques qui ont poussé historiquement la Syrie à rejeter la Convention interdisant les armes chimiques. C’est pourquoi la signature par Damas de ce document risque de mettre en lumière l’existence, et éventuellement la poursuite, de recherches sur des armes sélectives destinées à tuer les seules populations arabes. Réseau Voltaire | Damas (Syrie) | 15 septembre 2013 عربي Português italiano русский Español Deutsch
Le docteur Wounter Basson, lors de son second procès, en 2011. Il dirigea le programme secret de recherches en armes chimiques et bactériologiques conduit conjointement par Israël et l’Afrique du Sud de l’apartheid, de 1985 à 1994.
Les médias occidentaux paraissent stupéfaits du revirement des États-Unis face à la Syrie. Alors qu’ils annonçaient tous, il y a deux semaines, une campagne de bombardements et la chute inéluctable du « régime », ils restent sans voix devant la reculade de Barack Obama. C’était pourtant probable, comme je l’écrivais dans ces colonnes, l’engagement de Washington en Syrie n’a plus de mobile stratégique important (plus assez pour se salir les mains à la vue de tous officiellement en tout cas). Sa politique actuelle est d’abord guidée par le souci de conserver son statut d’hyper-puissance unique.
En prenant au mot, ce qui n’était à l’origine qu’une boutade de John Kerry, et en proposant l’adhésion de la Syrie à la Convention sur l’interdiction des armes chimiques, Moscou a satisfait la rhétorique de Washington sans que celui-ci ait à faire une guerre de plus, en période de crise économique. Les États-Unis conservent en théorie leur statut, même si chacun voit bien que c’est désormais la Russie qui mène le jeu.
Les armes chimiques ont deux usages : soit militaires, soit pour exterminer une population. Elles ont été utilisées lors des guerres de tranchées, de la Première Guerre mondiale à l’agression irakienne contre l’Iran, mais elles ne servent à rien dans les guerres modernes, dont le front est toujours mouvant. C’est donc avec soulagement que 189 États ont signé la Convention les interdisant, en 1993 : ils pouvaient ainsi se débarrasser de stocks dangereux et inutiles, dont la garde leur était onéreuse. Un second usage est l’extermination de populations civiles avant la colonisation de leur territoire. Ainsi en 1935-36, l’Italie fasciste conquiert une large partie de l’Érythrée en éliminant sa population au gaz moutarde. Dans cette perspective coloniale, de 1985 à 1994, Israël finança secrètement les recherches du docteur Wouter Basson au laboratoire de Roodeplaat (Afrique du Sud). Son allié, le régime d’apartheid, cherchait à y mettre au point des substances, chimiques et surtout biologiques, qui n’auraient tué que les individus selon leurs « caractéristiques raciales » (sic), qu’il s’agisse des Palestiniens en particulier et des Arabes en général, ou des personnes à la peau noire. La Commission Vérité et Réconciliation n’a pas été en mesure de déterminer les résultats obtenus par ce programme, ni ce qu’ils sont devenus. Tout au plus a t-elle montré l’implication dans ce vaste projet secret des États-Unis et de la Suisse. Il a été établi que plusieurs milliers de personnes sont mortes comme cobayes du docteur Basson.
Si l’on comprend les raisons pour lesquelles ni la Syrie, ni l’Égypte n’ont signé, en 1993, la Convention, l’opportunité offerte à Damas par Moscou de la rejoindre aujourd’hui est une aubaine : non seulement, elle met fin à la crise avec les États-Unis et la France, mais elle permet aussi de se débarrasser de stocks inutiles devenus de plus en plus difficiles à défendre. À toutes fins utiles, le président el-Assad a spécifié que la Syrie agissait à la demande de la Russie et non pas sous la contrainte des États-Unis ; une manière élégante de souligner la responsabilité de Moscou de protéger à l’avenir le pays d’une éventuelle attaque chimique israélienne.
En effet, la colonie juive de Palestine n’a toujours pas ratifié la Convention. Cette situation pourrait rapidement devenir un poids politique pour Tel-Aviv. C’est pourquoi John Kerry s’y rend aujourd’hui, dimanche, pour en discuter avec Benjamin Netanyahu. Si le Premier ministre du dernier État colonial est habile, il devrait sauter sur l’occasion pour annoncer que son pays reconsidérera la question. À moins, bien sûr, que Wouter Basson n’ait trouvé de gaz ethniquement sélectifs et que les faucons israéliens envisagent toujours d’en faire usage. Thierry Meyssan
Source Al-Watan (Syrie)
http://www.voltairenet.org/article180223.html
Je comprends bien les interrogations d'un Thierry Meyssan sur ce sujet mais j'avoue que moi aussi bien que convaincu qu'il y est eu ces recherches, un ciblage "éthniquement sélectifs" me paraissait hautement improbable techniquement. La maitrise des antidotes à des armes non sélectives étant bien moins dangereuses à tout les niveaux ou des armes chimiques et ou biologiques "activables" par des moyens militaires soit en diffusant une autre substante soit d'autres techniques reliées à un problème comme les chemtrails et les morgellons. Des moyens et techniques spéculatives diront certain mais pas du tout, bien qu'avec des substences chimiques cela soit plus réaliste qu'avec du biologique. Puis à chercher l'arme avec ciblage génétique la chose peut se retourner contre vous via l'escalade sur la recherche en armement. Une arme est comme une idée on peut bien la créer mais d'autres pourrons, à échéance, s'en servir contre vous même. Comme l'idéologie diabolisante du nazisme se retoune contre israel (et le système en général) depuis maintenant un petit bout de temps. On récolte ce que l'on sème.
La droite d’Israël s’attaque aux manuels scolaires Les partis conservateurs font pression pour supprimer l’histoire palestinienne des programmes scolaires. Par Jonathan Cook Mondialisation.ca, 22 octobre 2013 jonathan-cook.net/ Région : Moyen-Orient et Afrique du Nord Thème: Histoire, société et culture Analyses: LA PALESTINE
Ecole de Gaza – Les Palestiniens ont été chassés de Palestine, dépossédés de leurs terres, obligés depuis des générations de vivre dans des camps de réfugiés… Mais pour les occupants, il ne faut pas que cela soit dit. Le gouvernement de droite d’Israël et ses partisans sont accusés d’alimenter un climat d’intimidation et d’intolérance croissantes dans les écoles et au sein des organisations qui travaillent à une résolution pacifique du conflit israélo-palestinien.
Les récents efforts déployés par la droite pour museler les dissidents ont intégré la censure des manuels scolaires et la réduction au silence des organisations qui soulèvent des questions dérangeantes sur Israël et son passé, dans ce qui semble être une escalade dans la guerre pour les esprits des Israéliens.
Les groupes alliés au gouvernement ont tenté d’empêcher la récente tenue d’une conférence internationale à Tel Aviv qui a étudié les évènements qui entourent la création d’Israël en 1948, connue sous le nom de « Guerre d’indépendance » pour les Israéliens, et de « Nakba », ou « catastrophe », pour les Palestiniens.
Dans le même temps, il est apparu que l’une des organisations d’extrême droite impliquées, Im Tirtzu (organisation d’étudiants – ndt), avait lancé une campagne pour fermer l’organisation à l’origine de la conférence, Zochrot, l’accusant d’avoir violé la loi israélienne en « rejetant l’existence d’Israël ».
Zochrot transgresse le plus grand tabou d’Israël : le droit de millions de Palestiniens de revenir dans leurs foyers dont eux-mêmes et leurs ancêtres ont été expulsés en 1948. Mais de nombreux Israéliens s’opposent avec véhémence à une telle démarche parce qu’ils la considèrent comme entraînant la fin de la judéité de leur État.
Eitan Bronstein, fondateur de Zochrot, a déclaré que la conférence de deux jours avait été particulièrement menaçante pour la droite. « Pour la première fois, nous sommes allés plus loin que le simple droit théorique au retour » a-t-il dit. « Cette fois, l’accent a été mis très fort sur la façon dont nous pourrions faire entrer le retour dans la réalité. Des réfugiés nous ont même proposé des modèles simulés par ordinateur sur la façon dont il pourrait être mis en oeuvre sur le terrain ».
Le moment est embarrassant pour Israël alors que les pourparlers de paix longtemps gelés avec les Palestiniens viennent d’être relancés sous la pression des États-Unis. L’une des questions clés à résoudre est de savoir si les réfugiés doivent être autorisés à retourner dans les plus de 500 villages qu’Israël a détruits plus tard.
Plus généralement, les organisations d’extrême droite proches du gouvernement de Benjamin Netanyahu ont cherché à bloquer les financements pour les organisations considérées soit comme étant trop critiques à l’égard d’Israël, soit comme travaillant à la protection des droits humains des Palestiniens sous occupation.
Un apprentissage politisé
Durant l’été, un des partis de la coalition gouvernementale a adopté une loi pour bloquer ce type de financement de ce qu’il qualifie une activité « anti-Israël ». Une organisation d’extrême droite qui a aidé à la rédaction de ce texte, NGO Monitor, s’est servie de la conférence Zochrot pour mettre en avant l’illégitimité du financement étranger. Yitzhak Santis, un dirigeant de NGO Monitor, a déclaré que les commanditaires européens de la conférence avaient conspiré dans une initiative qui équivalait à « un appel à l’élimination d’Israël en tant qu’État-nation du peuple juif ».
Le gouvernement est lui aussi sous la critique pour ses efforts croissants visant à contrôler le programme scolaire afin de supprimer les références à la Nakba et de minimiser les droits des citoyens palestiniens d’Israël, lesquels représentent le cinquième de la population. Les révisions au programme d’instruction civique, que tous les élèves doivent étudier pour passer leur examen de fin d’études, ont été critiquées dans une étude qui doute que la démarche ultranationaliste du ministère de l’Éducation « soit même compatible avec un régime démocratique ».
Le nouveau manuel répercute la législation en cours d’élaboration par les membres de la coalition au pouvoir visant à conférer à Israël un caractère de patrie exclusive du peuple juif, et à faire ressortir que seuls les juifs ont droit à l’autodétermination en Israël. Halleli Pinson, professeur en pédagogie à l’université Ben Gourion à Beersheva, qui a conduit cette étude, a déclaré que de plus en plus, au sein des écoles d’Israël, s’instaurait un « régime de peur ».
« Les valeurs démocratiques, libérales et humaines sont maintenant considérées comme illégitimes par les responsables de l’Éducation », dit-elle. « Elles sont considérés comme sapant le statut d’Israël en tant qu’État juif. Maintenant, la perspective pour être promu dans l’Éducation, c’est d’être totalement à droite ».
Lors de la récente conférence sur le droit au retour, des universitaires locaux et internationaux ont débattu de projets concrets pour faire revenir les réfugiés palestiniens en Israël. Vu les restrictions pour entrer en Israël, peu de réfugiés palestiniens hors d’Israël ont pu venir y participer. Mais plusieurs réfugiés de l’intérieur, des Palestiniens avec la citoyenneté israélienne, y ont pris part. En dépit de leur citoyenneté, il leur est interdit, comme aux autres réfugiés, de revenir dans leurs villages. La conférence s’est tenue au Musée Eretz Israel, musée archéologique prestigieux de Tel Aviv.
« Se souvenir »
Zochrot, qui signifie « Se souvenir » en hébreu, est la première organisation à essayer d’éduquer les juifs israéliens à propos de la Nakba. Depuis sa fondation en 2002, elle a emmené des milliers d’Israéliens visiter des villages détruits, les panneaux restants en hébreu et en arabe pour identifier les rues, les cimetières et les immeubles disparus tels que les mosquées, les églises et les écoles, suscitant souvent l’hostilité des résidents juifs des lieux. Dans le cadre de sa mission, Zochrot a créé des dossiers Nakba pour les enseignants, bien que les responsables de l’Éducation les aient interdits dans les salles de classe. Le ministère a également tenté d’empêcher les enseignements de participer aux séminaires Zochrot pendant leur temps libre.
L’an dernier, Zochrot a créé une cinémathèque offrant des témoignages de vétérans israéliens de la guerre de 1948. Beaucoup s’expriment devant une caméra pour la première fois sur les crimes de guerre qui ont été commis, et les opérations de nettoyage ethnique. Le travail de l’organisation défie directement les efforts du gouvernement visant à supprimer les discussions sur les évènements qui entourent la fondation d’Israël. En 2008, peu avant de devenir Premier ministre, Netanyahu a déclaré qu’il mettrait un terme aux informations sur la Nakba. Se référant au programme scolaire, il indiquait : « La première chose que nous ferons sera d’en retirer la Nakba ».
Trois ans plus tard, le gouvernement de Netanyahu a adopté la loi qui interdit aux institutions publiques, dont les écoles et les bibliothèques, de recevoir des fonds d’État si elles se réfèrent à la Nakba. De par son importance et sa combativité croissantes dans les remises en cause du récit traditionnel d’Israël à propos de 1948, Zochrot s’est mis à dos le gouvernement et ceux qui le soutiennent, affirme Bronstein. « Comme il devient plus difficile d’ignorer notre action et que nous commençons à être plus connus, la droite s’est faite plus agressive dans les méthodes qu’elle utilise contre nous ». L’an dernier, la police a encerclé les bureaux de Zochrot, à Tel Aviv, le jour où les Israéliens célébraient leur « indépendance » et où les Palestiniens commémoraient la Nakba, pour empêcher ceux de Zochrot de participer à une initiative où ils devaient lire à haute voix, sur une place publique centrale, les noms des villages palestiniens détruits.
La police, qui a arrêté trois membres de Zochrot qui tentaient de franchir le cordon policier, a justifié son action sur le terrain en disant que le groupe risquait de se faire agresser par la foule sur la place. A la pointe de l’agression contre Zochrot il y avait un mouvement de jeunes d’extrême droite appelé Im Tirtzu. Bronstein dit que cette organisation a travaillé en étroite collaboration avec le gouvernement sur la rédaction de la loi contre la Nakba.
Des investigations conduites par des médias israéliens ont montré que le financement d’Im Tirtzu provient en partie de l’Agence juive, laquelle bénéficie d’un statut semi-gouvernemental en Israël. L’organisation est connue pour être proche des principaux ministres du gouvernement, notamment du ministre de l’Intérieur, Gideon Saar, qui était le conférencier d’honneur à sa conférence annuelle de 2010. Celui-ci a qualifié son action de « bénie » et d’« extrêmement primordiale ».
Des organisations d’extrême droite, dont Im Tirzu, auraient fortement fait pression sur le Musée Eretz Israel pour l’annulation de la conférence de Zochrot, et pour une campagne de boycott du musée si l’initiative avait lieu.
A la dernière minute, les dirigeants mal à l’aise du musée ont tenté de modifier les conditions de la tenue de la conférence. Ils ont exigé de Zochrot à la fois qu’elle paie des gardes supplémentaires pour la sécurité afin de protéger les lieux contre les protestations de la droite, et qu’elle cache les références sur les affiches et les invitations à « Sheikh Muwannis », ce village palestinien détruit sur lequel le musée s’est construit.
Zochrot a refusé et le musée a dû céder, mais seulement après que des avocats l’aient menacé de poursuite en justice pour rupture de contrat. Michael Sfard, représentant Zochrot, a qualifié les exigences du musée d’ « illégales » et déclaré qu’elles constituaient « une discrimination intellectuelle et idéologique ».
Un groupe « fasciste »
Les efforts d’Im Tirtzu pour bloquer la conférence venaient après des révélations, plus tôt dans l’année, selon lesquelles son directeur, Ronen Shoval, avait engagé des détectives privés pour espionner les organisations de gauche comme Zochrot. Les détectives avaient fait irruption dans les bureaux de Michael Sfard, un éminent avocat des droits de l’homme, et volé des documents relatifs à ces organisations.
Ces révélations ont surgi lors d’une affaire judiciaire où Im Tirtzu avait saisi la justice contre huit militants qui l’avaient qualifiée de « fasciste » sur Facebook. Dans un moment humiliant pour Im Tirtzu, et pour le gouvernement, le juge du dossier a soutenu les huit militants après avoir entendu des experts israéliens en matière de fascisme affirmer que leur description était justifiée.
Un autre groupe d’extrême droite, NGO Monitor, a travaillé étroitement avec le gouvernement pour tenter d’arrêter la principale source de financement par des gouvernements européens des organisations de gauche et des organisations des droits de l’homme en Israël. Bronstein a dit que NGO Monitor avait persuadé l’an dernier un financeur allemand, la Fondation EVZ, de retirer son argent.
Une tentative du gouvernement pour mettre au point une législation pour bloquer les fonds étrangers a été discrètement abandonnée en 2011, sous la pression des États-Unis et de l’Union européenne. Cependant, l’un des partenaires de la coalition du gouvernement Netanyahu, le parti du Foyer juif, a annoncé au cours de l’été qu’il relançait cette législation. Les organisations mettant en doute les prétentions démocratiques d’Israël ou apppuyant les enquêtes à l’encontre de soldats israéliens pour crimes de guerre seront exposées à la fermeture. Jafar Farah, directeur de Mossawa, une organisation de défense de la minorité palestinienne en Israël, a déclaré que de nombreux financeurs « avaient peur » maintenant à cause de cette campagne.
« Les financements commencent à se tarir pour les organisations des droits de l’homme et les organisations arabes en Israël, car cette campagne réussit dans son objectif d’intimidation des donateurs », a-t-il dit. Et d’insister sur la décision d’un donateur important, la Fondation Ford, qui arrête ses projets de financements en Israël à cause des pressions.
« Parti pris libéral »
Dans l’intervalle, le gouvernement a été durement critiqué récemment pour avoir permis à une autre organisation d’extrême droite, l’Institut pour une stratégie sioniste, de réviser les livres scolaires utilisés dans les écoles pour préparer les élèves à leur examen de fin d’études, dans le cadre des efforts visant à rendre leur programme plus ouvertement nationaliste. Le ministère de l’Éducation a organisé la révision des manuels en recherchant les symboles d’un « parti pris libéral », notamment les livres d’histoire qui se réfèrent à la Nakba. Le principal sujet de débats, cependant, a concerné les cours d’instruction civique, seule partie du programme à aborder les questions comme la démocratie, les droits de l’homme, l’égalité et les principes universels de citoyenneté.
L’an dernier, le superviseur du programme d’instruction civique du ministère de l’Éducation, Adar Cohen, a été limogé malgré une pétition qui s’y opposait de centaines d’enseignants en civisme. Il avait été critiqué par la droite pour avoir publié un manuel comprenant des références au rapport Goldstone, la mission d’enquête des Nations-Unies qui a critiqué Israël pour avoir commis ce qui lui semblait constituer des crimes de guerre durant l’agression contre Gaza dans l’hiver 2008-2009.
Asher Cohen, membre important de l’Institut pour une stratégie sioniste, a été nommé à la tête de la Commission pour l’Instruction civique du ministère. Fondé par des dirigeants de colons, l’Institut est fortement dépendant de financements venant d’organisations néoconservatrices à Washington.
À un autre membre de l’Institut, Aviad Bakshi, il a été donné la surveillance exclusive de la réécriture du principal manuel d’instruction civique, Être citoyens en Israël, après que la droite se soit plainte que le manuel critiquait trop le pays. L’étude conduite par Pinson, de l’université Ben Gourion, a fait le constat que la nouvelle édition penchait fortement vers une conception nationaliste d’Israël favorisant le caractère juif de l’État aux dépens des principes démocratiques.
« L’influence de l’Institut pour une stratégie sioniste est claire dans le nouveau manuel. La perspective est très inquiétante : ces minorités en Israël ne devraient pas avoir le droit d’influencer la sphère publique. » Le ministère de l’Éducation n’était pas disponible pour faire ses commentaires. Yousef Jabareen, directeur de Dirasat, centre de politique sociale à Nazareth, qui a commandé l’étude, a dit qu’il avait reçu de nombreuses plaintes de la part d’enseignants des écoles arabes d’Israël.
« Ils disent être arrivés à la conclusion qu’il est impossible d’enseigner le programme parce que son message s’oppose à l’égalité et à l’intégration », dit-il. « C’est particulièrement problématique parce que ce matériel est obligatoire et que les élèves ne peuvent terminer leurs études sans passer l’examen d’instruction civique ». Pinson indique que le manuel accuse aussi implicitement les citoyens palestiniens du pays de la discrimination qu’ils subissent, notamment des difficultés à trouver un emploi. Elle affirme que le message implicite sous-entend que « la minorité arabe est elle-même responsable de sa faible participation à la vie active ».
Jonathan Cook Article original en anglais : http://www.jonathan-cook.net/2013-10-07/israels-right-targets-textbooks/, le 7 octobre 2013. Traduction : Info-Palestine/JPP Jonathan Cook a remporté le Prix Spécial de journalisme Martha Gellhorn. Ses derniers livres sont Israel and the Clash of Civilisations : Iraq, Iran and the to Remake the Middle East (Pluto Press) et Disappearing Palestine : Israel’s Experiments in Human Despair (Zed Books). Voici l’adresse de son site : http://www.jkcook.net.
Israel's New Racism: The Persecution of African Migrants in the Holy Land
Publiée le 17 oct. 2013 About 60,000 African migrants have arrived in Israel since 2006, fleeing unrest in their home countries. But upon arrival in the ostensibly democratic country, the migrants have faced intense persecution and have been branded as "infiltrators" by right-wing politicians and activists.
Broché: 444 pages Editeur : MANUFACTURE DE LIVRES (18 novembre 2013) Collection : DOCUMENTS Langue : Français ISBN-10: 2358870633 ISBN-13: 978-2358870634 Dimensions du produit: 22,6 x 14 x 3,6 cm
Date de publication: 18 novembre 2013 | Série: DOCUMENTS
« Nous ne serons un État normal que lorsque nous aurons la première prostituée juive, le premier voleur juif et le premier policier juif ». Haim Nahman Bialik Loin des élucubrations antisémites propagées par les partisans d un « complot mondial » dont Israël serait le centre, la « mafia israélienne » n'est pas une structure comme Cosa Nostra ou la Ndrangheta. Les groupes criminels israéliens ne sont pas hiérarchisés et n ont aucune stratégie commune. Ils passent leur temps à essayer de se détruire l un l autre et, lorsqu ils opèrent à l étranger, leurs relations avec les communautés juives de la Diaspora sont inexistantes. Ou glaciales. Les organisations mafieuses israéliennes comptent pourtant parmi les plus violentes et les moins connues au monde. Elles sont le produit d une société profondément divisée, parcourue de violentes secousses sociales et en guerre depuis soixante-cinq ans. Racket, blanchiment d'argent, prostitution, ecstasy, MDMA, héroïne, trafic d'armes, contrebande de diamants...les activités de ces clans génèrent tellement de cash que la police, efficace contre le terrorisme palestinien, semble désarmée face à un crime structuré militairement et qui a réussi à corrompre des personnalités politiques de premier plan. Les réseaux criminels nés dans l État hébreu se sont développés avec lui en multipliant leurs métastases dans le tissu social. Certains de ces groupes se contentent d opérer à l intérieur des frontières israéliennes, mais la plupart étendent leurs activités à l étranger : aux États-Unis, en Europe ou en Afrique. À travers et des révélations et des détails inédits, ce livre retrace l histoire des mafieux « blancs et bleus » depuis 1948. Avec des personnages tels Zeev Rozenstein, «le Loup», «Don» Alperon, les frères Meïr et Itzhak Aberjil, Charlie Aboutboul, «Rico» Shirazi, Shalom Domrani, le «parrain en kippa» et quelques dizaines d autres, cette enquête décortique des organisations opaques et nous entraîne dans un monde de prédateurs bâtissant leurs empires grâce aux cadavres qu ils laissent derrière eux.
______________
Israël : le don du sang d'une députée noire refusé http://www.lepoint.fr/monde/israel-le-don-du-sang-d-une-deputee-noire-refuse-12-12-2013-1768659_24.php
Jewish Supremacists Demand Open Borders for USA, But Use DNA to Keep Israel Racially Pure http://davidduke.com/jewish-supremacists-demand-open-borders-for-usa-but-use-dna-to-keep-israel-racially-pure September 29, 2013
Dernière édition par c.isme le 14/12/2013, 00:23, édité 1 fois (Raison : Israël : le don du sang d'une députée noire refusé VS ADN juif le droit du sang)
Surprise durant la semaine de l'anniversaire de l'assassinat de JFK: Arnon Milchan, producteur juif d'Hollywood, a confirmé ce que nous savions en avouant publiquement avoir été à l'emploi du Mossad dans le cadre du développement du programme nucléaire d'Israël...
Tout le monde se souvient de lui comme le producteur des films Pretty Woman et Fight Club, mais personne ne mentionne le film JFK d'Oliver Stone, un film par ailleurs très divertissant mais qui passe cependant sous silence le conflit entre JFK et Ben-Gourion (le fondateur de l'État juif) concernant le programme nucléaire militaire israélien--que Ben-Gourion jugeait "sacré" parce qu'essentiel à "la survie du peuple juif"--un conflit si important qu'il poussa Ben-Gourion à démissionner de son poste avec fracas
Nous l'avions déjà souligné à l'époque de la sortie du livre CONFIDENTIAL:The Life of Secret Agent Turned Hollywood Tycoon Arnon Milchan, qui révélait en 2011 le passé d'Arnon Milchan comme agent du Mossad, confirmant les accusations formulées pour la première fois il y a vingt ans dans FINAL JUDGMENT de Michael Collins Piper.
Plus de détails sur Arnon Milchan et la production du film JFK: Israël admet que le producteur du JFK d'Oliver Stone, Arnon Milchan, était un agent du Mossad
Major film producer Arnon Milchan says he was a spy
Sur le blog des auteurs de CONFIDENTIAL http://amconfidential.blogspot.com Monday, December 2, 2013 Fox News on the Milchan Story: "This is a Movie in Itself!"
"Hollywood producer by day, Israeli spy by night. This is a movie in itself!"
QUELQUES VIDEOS EN ANGLAIS
Hollywood producer Arnon Milchan admits double life as Israeli spy
Hollywood Producer Arnon Milchan Claims Past as Israeli Spy | NewsLook
Pretty Woman' Producer Admits to Being Israeli Spy
https://www.youtube.com/watch?v=3Y2_Ck9zAcM
Fight Club' Movie Producer Says He's An Israeli Spy
EN FRANCAIS
Le producteur Arnon Milchan était l'espion israélien
HAARETZ FR--Hollywood: marchand d’armes pour l’Etat hébreu La télévision israélienne a révélé les liens entre l’univers clinquant du cinéma américain et les ventes d’armes à Israël, y compris dans le nucléaire.
PARIS MATCH--Le producteur était un espion israélien
HICHAM HAMZA--Un richissime producteur d’Hollywood confesse avoir été un agent secret d’Israël
Quand la réalité dépasse la fiction. Arnon Milchan, acteur influent de la production cinématographique américaine depuis une trentaine d'années, reconnaît avoir été un marchand d'armes et un trafiquant de l'industrie nucléaire au service de l'Etat d'Israël.
LE NOUVEL ÉCONOMISTE--L’espion qui produisait des films
L’homme que Hollywood célébrait était un des plus grands maîtres espions d’Israël, et il avait procuré à son pays, une quantité impressionnante de technologies américaines…
FRANCE 24--Un célébre producteur hollywoodien reconnaît avoir été un espion israélien
Dans une biographie non autorisée publiée en 2011, les auteurs Meir Doron et Joseph Gelman avaient révélé qu’Arnon Milchan était, jusqu'au milieu des années 1980, un agent du Lekem, une agence de renseignement israélienne top secrète spécialisée dans l'espionnage technologique. L’actuel président israélien, Shimon Peres, a reconnu dans la biographie avoir personnellement recruté Arnon Milchan.
TIMES OF ISRAEL--Hollywood : Arnon Milchan a-t-il été un sulfureux James Bond israélien ?
ACTUALITÉ ISRAEL--Arnon Milchan, producteur de Pretty Woman affirme avoir été un espion pour Israël !
]7SUR7--Un célèbre producteur hollywoodien était un espion israélien
TOTAL VINDICATION - AP: Hollywood's Arnon Milchan Says He Was A Spy
By ARON HELLER Associated Press
Stories about Hollywood producer Arnon Milchan's alleged double life have been circulating for years.
Now, the Israeli businessman behind hits like "Pretty Woman," ''Fight Club" and "L.A. Confidential" has finally come forth with a stunning admission — for years he served as an Israeli spy, buying arms on its behalf and boosting its alleged nuclear program.
In a far-reaching interview aired Monday with Israel's Channel 2 TV's flagship investigative program "Uvda," Milchan detailed a series of clandestine affairs in which he was involved and particularly how he helped purchase technologies Israel allegedly needed to operate nuclear bombs.
"I did it for my country and I'm proud of it," said Milchan, who ran a successful fertilizer company in Israel before making it big in Hollywood.
Even there, he says he continued with his clandestine work while maintaining close ties with Israel's leadership.
According to an unauthorized biography published two years ago, Milchan worked for Israel's now-defunct Bureau of Scientific Relations, known as Lekem, which worked to obtain information for secret defense programs. The bureau was disbanded in 1987 after it was implicated in the spying affair for which Jonathan Pollard, a civilian intelligence analyst for the U.S. Navy, was sentenced to life in prison.
Milchan also says other big Hollywood names were connected to his covert affairs.
"When I came to Hollywood I detached myself completely from my physical activities to dedicate myself to what I really wanted — filmmaking," he said. "(But) sometimes it gets mixed up."
The 68-year-old Milchan founded the New Regency film company and has produced more than 120 movies since the 1970s, working closely with directors such as Martin Scorsese, Roman Polanski, Sergio Leone and Oliver Stone. He forged an especially close relationship with Robert De Niro, who along with actors Russell Crowe and Ben Affleck, is featured in Uvda's broadcast.
"I had heard but I wasn't sure," De Niro said, of Milchan's activities. "I did ask him once and he told me that he was an Israeli and of course he would do these things for his country."
Posted by Confidential at 2:22 PM
The New York Times Rejects Repeated Requests for an Article on Israel's Channel 2 Milchan Report... Says Uvda's Report is "Nothing New" and Based Entierly on The Book 'Confidential'.
Ha'aretz: Hollywood is Always on the Lookout for Blockbuster Stories, and This Coming Monday it will get the Juicy Details
Based on The Book 'Confidential', Israel's Channel 2 Delivers an Explosive Investigative Report on the Life of Arnon Milchan in Prime Time
Nationally Syndicated Columnist, Cal Thomas, Mentions 'Confidential' in his new Column about Jonathan Pollard
Israel's Channel 2 to Air Lengthy Interview with Arnon Milchan, Possibly about Subjects Raised in 'Confidential'
Hollywood Reporter: Milchan Confirms the Claims in 'Confidential'
THE HOLLYWOOD REPORTER--Arnon Milchan Admits to Arms Dealing in the '70s
Jewish “Dual Loyalty”? No, Jewish Single Loyalty!
Israeli Duplicity and Espionage against America
JTA--‘Fight Club’ producer: I was an Israeli operative
THE TELEGRAPH--Hollywood film producer confirms he was Israeli spy Arnon Milchan claims other big Hollywood names were connected to his covert affairs
TIMES OF ISRAEL--Hollywood producer Arnon Milchan reveals past as secret agent Filmmaker, long rumored to be a real-life James Bond, talks about how he helped Israel’s alleged nuclear-bomb program
BBC--Hollywood producer Arnon Milchan says he spied for Israel
Arnon Milchan appeared in Los Angeles, California, on 18 September 2008 Arnon Milchan, shown in a September 2008 file photo, said he had long had to beat back Hollywood rumours he was an arms dealerA Hollywood producer behind hit films such as Pretty Woman and Fight Club has said he spied for Israel in support of its nuclear programme.
‘Pretty Woman,’ ‘Fight Club’ Producer Arnon Milchan: I Was an Israeli Spy Milchan, who has produced more than 120 films since 1977, said on Israel’s investigative show “Uvda” Monday that even as he was negotiating Hollywood deals, he was also buying equipment and arms on Israel’s behalf.
THE DAILY MAIL-- 'I'm proud of what I did': Hollywood producer reveals his double life as an arms dealer and Israeli spy - and says the late Sydney Pollack participated too
Movie tycoon Arnon Milchan, who owns New Regency Films and produced Fight club and Pretty Woman, opened up in a tv interview about his clandestine deals to acquire weapons for Israel in the 70s
He says he worked to promote the country's alleged nuclear program
Claims he convinced other Hollywood bigwigs, including the late director Sydney Pollack, to get involved
Robert De Niro says he knew what Milchan was doing at the time
He used a big-name actor as a lure, calling people 'star-f******'
'I did it for my country and I'm proud of it,’ says the movie producer
USA TODAY--Latest spy game playing itself out in Hollywood: Businessman behind hits like "Pretty Woman" says he bought arms on Israel's behalf.
THE INDEPENDENT--Revealed: Arnon Milchan - the Hollywood producer behind hits Pretty Woman, Fight Club and LA Confidential who became a real-life James Bond Movie producer was working secretly for Israeli intelligence on arms deals and claims other Hollywood figures including Sydney Pollack helped him
ASSOCIATED PRESS--Hollywood film producer Arnon Milchan confirms he was Israeli spy
THE GUARDIAN--Arnon Milchan reveals past as Israeli spy Hollywood producer gives interview in which he confirms earlier claims that he was an arms dealer
NY DAILY NEWS--Arnon Milchan, producer behind '12 Years a Slave,' 'Pretty Woman' and 'Noah,' admits to double life as Israeli secret agent
Head of New Regency productions joined by pal Robert De Niro in Israeli television special that details his covert side gig as an arms dealer for Israel, and how he recruited director Sydney Pollack to help the cause. Note: Pollack joue le rôle de Victor Ziegler, l'homme riche qui loue les services d'une prostituée droguée qui tombe dans le coma au début du film Eyes Wide Shut. Un film qui a attiré des problèmes à son réalisateur... qui n'a pas survécu à son film.
RUSSIA TODAY--Hollywood 'Fight Club' producer was Israeli spy with nuclear script Arnon Milchan, renowned producer of such Hollywood hits as "Pretty Woman," "Fight Club" and "LA Confidential", has come forth with perhaps his greatest story of all: he was an Israeli spy who helped boost the country’s nuclear program in the 70s and 80s.In an in depth interview broadcast on Monday with Israel's Channel 2 flagship investigative program ‘Uvda’ (Fact), the 68-year-old producer discussed his involvement in clandestine arms deals and efforts to buy technologies Israel allegedly needed to make nuclear weapons.The expose followed Milchan's career from the late '1960s and early '1970s, when he was a young and successful businessman in the United States who had a close relationship with current Israeli President Shimon Peres.Peres, who at the time was helping set up the Negev Nuclear Research Center, tasked Milchan with acquiring equipment and information necessary to get the project off the ground.
www.haaretz.com/news/features/.premium-1.559310
HAARETZ--Did Hollywood bigwigs help Israel buy arms in the 1970s and '80s?
21 NOV 2013
Longtime Hollywood film producer Arnon Milchan says they did, in an interview set to air Monday on the Israeli investigative journalism program 'Uvda.'
Hollywood is always on the lookout for blockbuster stories, and this coming Monday it will get the juicy details about how a producer working in Tinseltown since the late 1970s led a double life as an arms dealer and Israeli intelligence operative.
Arnon Milchan, the Israeli producer of such smash hits as "Fight Club," "Pretty Woman," and hundreds of other films, is opening up for the first time ever about his involvement in clandestine deals to acquire arms for Israel and his work to promote the country's alleged nuclear program.
The film tycoon sat down with Israeli investigative journalist Ilana Dayan for the season premiere of her current affairs show "Uvda" ("Fact"), in which he discusses his efforts to engage Hollywood colleagues in his work for Israel's Defense Ministry. Keshet's show is scheduled to air Monday, November 25, on Israel's Channel 2.
This isn’t the first time Milchan's role in Israeli arms dealings and intelligence has surfaced: Just two years ago authors Meir Doron and Joseph Gelman published a book titled “Confidential: The Life of Secret Agent Turned Hollywood Tycoon Arnon Milchan" – which alleged that Milchan was an operative for Israel's Bureau of Scientific Relations. The bureau, headed by spy-masters Benjamin Blumberg and Rafi Eitan, gathered information for secret defense-related programs, including Israel's alleged nuclear program. The bureau was closed after Jonathan Pollard was arrested for spying on behalf of Israel in 1986.
The "Uvda" report does, however, contain some shocking new details about Milchan's work, including claims that other Hollywood bigwigs like the legendary, late director Sydney Pollack and at least one other Academy Award-winning actor, both figured into his work for Israel.
The report reveals that Pollack, who died in 2008, acquired arms and other military equipment for Israel in the 1970s. When asked if Pollack knew about the details of the deals, Milchan tells Dayan, "Pollack knew, but I didn't want to scare him because he's American… He could have said 'no.' He said 'no' many times, but he also said 'yes' many times."
Milchan also tells Dayan that he used at least one big-name actor's star quality to lure U.S. scientist Arthur Biehl – an expert on nuclear weapons and a co-developer of the hydrogen bomb – to a meeting. According to the report, Milchan invited Biehl to the actor's home under the pretense that the actor was seeking scientific advice for a project he was working on.
Milchan said he thought Biehl would cooperate because, "Anyone who lives in California is a 'star-fucker…' They hear 'star'…they come running."
The producer also confides in Dayan that his double-life wasn't always easy to lead, particularly when what he really wanted was to dedicate himself to filmmaking. "In Hollywood they don’t like working with an arms dealer, ideologically," he said. "[They don't like working] with someone who lives off selling machine guns and killing. Instead of someone talking to me about a script, I had to spend half an hour explaining that I'm not an arms dealer..."
Milchan continued, "If people knew how many times I risked my life, back and forth, again and again, for my country. And suddenly, defend myself – 'I'm not an arms dealer, I don't sell guns, I don't sell rockets ' I should have been aware of that, of what I'll go through, and said, 'Fuck you.' You know what, I did it for my country and I'm proud of it."
The show also features interviews with Robert De Niro, Russell Crowe, Ben Affleck and other major Hollywood players.
Meanwhile, New Regency films, Milchan's company, is working on four films slated for release in 2013-14, including "Noah," a Darren Aronofsky-directed take on the Biblical flood story starring Crowe, Emma Watson and Anthony Hopkins.
www.haaretz.com/news/features/.premium-1.560168 HAARETZ--Hollywood producer opens up about past as Israeli operative
'It was like being a 20-something guy whose country decided to let him be James Bond,' says Arnon Milchan. By Allison Kaplan Sommer | Nov. 26, 2013 | 1:17 AM | 4
Move over, "Argo." On Monday night, the real-life story of the interaction between the glitter of Hollywood and the intrigue of clandestine international arms deals aired on Israeli television.
After weeks of hype and anticipation, the investigative program “Uvda” broadcast a show telling the story behind the glitzy career of one of the most influential figures in Hollywood: Arnon Milchan, the Israeli producer of such hit movies as "Pretty Woman," “Fight Club” and “L.A. Confidential.”
Though it wasn’t the first time Milchan’s double life as an arms dealer and Israeli intelligence operative has been reported, it was the first time the Israeli-born Milchan, a multi-billionaire, discussed it openly in front of the cameras, and the first time some of the movie stars and studio executives who know him spoke about it on the record.
The show traced Milchan's career from the late '60s and early '70s, when he was a young and successful businessman in the United States who had a close relationship with Shimon Peres. At the time, Peres was in the midst of creating the Dimona nuclear reactor, and Milchan began helping in the effort to acquire equipment and knowledge for Israel’s nuclear project through the secretive agency Lakam, Israel’s Bureau of Scientific Relations.
“Do you know what it was like to be a 20-something guy whose country decided to let him be James Bond? Wow! The action! That was exciting,” Milchan said. "Uvda" reporter Ilana Dayan described how Milchan would set up bank accounts and companies, all used to acquire material and equipment for the agency, while working for spy masters Rafi Eitan and Benjamin Blumberg. Dayan reported that at the peak of Milchan's activity, he was operating 30 companies in 17 different countries.
In the 1970s, Milchan brokered deals for hundreds of millions of dollars between Israel and U.S. companies for helicopters, missiles and other equipment, "Uvda" reported. Though records showed that his company made profits off the deals - sometimes as much as 60 percent - Milchan insisted on camera that he never kept the money and that every penny made its way back to Israel.
The show revealed that Milchan convinced a German engineer to take home classified documents from a safe where he worked: plans that detailed how to construct a nuclear facility that Israel desperately needed but that no state would share for any amount of money. Saying the engineer "couldn't be bought," Milchan said he persuaded him to leave them on a table and went out to dinner with his wife on the understanding that someone would enter the house and photograph them.
Another revelation is that director Sydney Pollack, who died in 2008, was Milchan’s business partner in many of his activities. The director of “Tootsie” and “Out of Africa,” Milchan said, “was my partner in aerospace manufacturing and airplanes, all kinds of things.” When asked if Pollack knew of and participated in all of Milchan’s activities, Milchan said: “He had to decide what he was willing to do and what he was not willing to do. On a lot of things he said no. On a lot of other things he said yes."
The acquisition of nuclear triggers for Israel by Milchan's company Milco was what nearly got him into serious trouble when the FBI discovered that they were shipped to Israel without the proper licensing, which led to the 1985 indictment of aerospace executive Richard Kelly Smyth, who used one of Milchan’s companies to ship triggers to Israel. Milchan claimed on the show that “I didn’t know Israel ordered the triggers. I didn’t even know what triggers were.”
Robert De Niro, who was making a movie with Milchan at the time, said his friend “told me that he was an Israeli and he of course would do these things for his country - there was something with the little things that trigger a nuclear thing … I remember asking Arnon something about that, being friends. I was curious, not in an accusatory way, I just wanted to know, and he said, 'Yes, I’m Israeli, that’s my country.'”
After the trigger incident, which was followed by the 1986 arrest of Jonathan Pollard for spying on behalf of Israel, the Bureau of Scientific Relations was shut down.
Milchan also admitted to having used his Hollywood and media connections to help the South African apartheid regime in its attempts to polish its international image, in exchange for helping Israel acquire uranium. Dayan suggested on camera that perhaps his current role as co-producer of the hit movie “12 Years a Slave,” set in the United States before the Civil War, was on some level an attempt to atone for that sin. Milchan nodded and agreed that it very well might be.
When Milchan’s friends and business associates were asked if the rumors of his activities on behalf of Israel’s military had done anything to tarnish his reputation in the entertainment industry, they said no, adding that the success of his films and his personal charm trumped any misgivings. Media mogul Rupert Murdoch told Dayan: “Hollywood is a very Jewish industry. Very pro-Israel. Many would honor him for it. Others might be a bit frightened by it, but that’s all right.”
The Hollywood Spy
The producer of "Pretty Woman" helped Israel build its nuclear arsenal. By Philip Giraldi • December 4, 2013
If a man living in America were to go on television and admit that he spent years stealing U.S. defense secrets on behalf of another country, and was proud of what he had done, Attorney General Eric Holder would immediately fly into a rage and call for arrest and prosecution under the Espionage Act, wouldn’t he? Well, maybe not, if the recent revelations made by Hollywood producer Arnon Milchan regarding his spying for Israel are anything to go by. There has long been a certain acceptance both in the media and within the government that something done on behalf of or together with Israel is somehow not subject to the same laws of physics that govern the rest of the political universe. I recall how in the 1980s while I was working in the Central Intelligence Agency base in Istanbul, a delegation from the American Jewish Committee passed through and briefed the Consul General and his staff regarding Jonathan Pollard, who had recently been arrested. They claimed that Pollard was some kind of nut case who could not possibly have been a real spy for Israel. The Consul General, who should have known better than to buy into the obvious damage control, expressed the same view during the weekly staff meeting. When I and several others challenged the credibility of his viewpoint, he shrugged and smiled.
We Americans have since learned that Pollard was not only a fully controlled and paid spy for Israel, he was one of a network of spies recruited by handler Rafi Eitan. The Israelis were so well informed regarding U.S. defense secrets that they frequently were able to ask Pollard to obtain specific files, by name and number, that they particularly wanted to see. Pollard eventually handed over to the Israelis a roomful of documents. Many in the intelligence community believe that the information he provided, some of which was passed on to the Russians and others, continue to do damage to U.S. technical collection capabilities to this day. Pollard, who has been given Israeli citizenship and is widely regarded as a hero by the country’s leadership, is serving a life sentence in federal prison. Demands from the Israeli government to free him are a regular occurrence whenever the American President and Israeli Prime Minister meet. Another spy in the Eitan network was Ben-Ami Kadish, an engineer at the Picatinny Arsenal in New Jersey, who provided nuclear and weapons development secrets to his Israeli case officer Yosef Yagur, who also met with Pollard.
Israel, to be sure, obtains much of its information from the United States openly, by walking into an office at the Pentagon or on Capitol Hill and being handed a file. Or over lunch, as when Pentagon analyst Larry Franklin provided intelligence on Iran to American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) staffers Keith Weissman and Steve Rosen, as well as to officials in the Israeli Embassy. Franklin went to jail and is now waiting on tables in West Virginia, but Rosen and Weissman, charged under the Espionage Act, walked due to some maneuvers pulled by an obliging federal judge who was clearly acting on behalf of a George W. Bush administration that did not want the case to go forward.
Less well known than either the Pollard or AIPAC spying cases is the story of how Israel obtained the technology and raw materials for its secret nuclear arsenal. In the early 1960s, President John F. Kennedy learned that Israel was developing a nuclear weapon from a CIA report. He told the Israelis to terminate their program or risk losing U.S. political and economic support but died before he could confirm that the project had ended. His successor Lyndon Johnson was famously tight with Israel’s friends in the United States. Johnson did not insist that Israel end its nuclear program and, as he was privy to the CIA report about the weapons program, may have deliberately chosen to look the other way when Israel was stealing both American technology and uranium to construct its weapons.
Israel always features prominently in the annual FBI report called “Foreign Economic Collection and Industrial Espionage.” The 2005 report states, “Israel has an active program to gather proprietary information within the United States. These collection activities are primarily directed at obtaining information on military systems and advanced computing applications that can be used in Israel’s sizable armaments industry.” Israel has sold advanced weapons systems to China that are believed to incorporate technology developed by American companies, including the Python-3 air-to-air missile and the Delilah cruise missile. There is evidence that Israel has also stolen Patriot missile avionics to incorporate into its own Arrow system and that it used U.S. technology obtained in its Lavi fighter development program, which was funded by the U.S. taxpayer to the tune of $1.5 billion, to help the Chinese develop their own J-10 fighter.
The Mossad frequently uses so-called sayanim in its espionage, which means diaspora Jews that it recruits on the basis of a shared religion or concern for the security of Israel. The threat coming from Israeli Embassy operatives inside the United States is such that the Department of Defense once warned that Jewish Americans would likely be the targets of intelligence approaches.
Israel accelerated its nuclear program after the death of President Kennedy. By 1965, it had obtained the raw material for a bomb consisting of U.S. government-owned highly enriched weapons grade uranium obtained from a company in Pennsylvania called NUMEC. NUMEC was a supplier of enriched uranium for government projects but it was also from the start a front for the Israeli nuclear program, with its chief funder David Lowenthal, a leading Zionist, traveling to Israel at least once a month where he would meet with an old friend Meir Amit, who headed Israeli intelligence. NUMEC covered the shipment of enriched uranium to Israel by claiming the metal was “lost,” losses that totaled nearly six hundred pounds, enough to produce dozens of weapons. In 1968, NUMEC received a visit from spymaster Rafi Eitan, the same Rafi Eitan who later was involved with Jonathan Pollard.
There was also physical evidence relating to the diversion of the uranium. Refined uranium has a technical signature that permits identification of its source. Traces of uranium from NUMEC were identified by Department of Energy inspectors in Israel in 1978. The Central Intelligence Agency has also looked into the diversion of enriched uranium from the NUMEC plant and has concluded that it was part of a broader program to obtain the technology and raw materials for a nuclear device for Israel.
With the uranium in hand, the advanced technology needed to make a nuclear weapon was still needed, which is where Milchan comes into the story. Arnon Milchan was born in Israel but emigrated to the United States and eventually wound up as the owner of a major movie studio, New Regency Films. In his November 25th interview on Israeli television Milchan admitted that he had spent his many years in Hollywood as an agent for Israeli intelligence, helping obtain embargoed technologies and materials that enabled Israel to develop a nuclear weapon. He worked for Israel’s Bureau of Science and Liaison acquisition division of Mossad, referred to as the LAKAM agency. It was the same organization that ran Jonathan Pollard and Ben-Ami Kadish.
Milchan, who is a long-time resident of the United States and still has significant business interests in this country, explained “I did it for my country and I’m proud of it.” He also said that “other big Hollywood names were connected to [his] covert affairs.” Among other successes, he obtained through his company Heli Trading 800 krytons, the sophisticated triggers for nuclear weapons. The devices were acquired from the California top-secret defense contractor MILCO International. Milchan personally recruited MILCO’s president Richard Kelly Smyth as an agent before turning him over to another Heli Trading employee Benjamin Netanyahu for handling. Smyth was eventually arrested in 1985 and cooperated in his interrogation by the FBI before being sentenced to prison, meaning that the Federal government likely knew about both Milchan and Netanyahu at the time but declined to act. For what it’s worth, Milchan now improbably claims that he did not know about the kryton triggers.
I would like to think that the next time Arnon Milchan arrives at LA International Airport on business he will be met by Federal Marshalls and FBI agents before being whisked off to some nice quiet place for a chat. But don’t bet on it. Milchan’s confession suggests that he believes himself to be bullet proof. As in the case of Rosen and Weissman his likely defense would be that he was only doing it for Israel, an ally and friend, which itself is a matter of perception to say the least. That Israel has an unacknowledged nuclear arsenal that violates the Nuclear Non-Proliferation Treaty, which the U.S. and even Iran have signed but Israel has not, undeniably contributes to the destabilization of the Middle East. A secret nuclear power with a government that many would consider to be somewhat paranoid is certainly not in the United States interest. And some Americans might also be a bit unsettled to learn how Israel’s nuclear capability was acquired by way of Hollywood.
Philip Giraldi, a former CIA officer, is executive director of the Council for the National Interest.
AUDIO - Friday, 12-6: Michael Collins Piper Deanna’s guest today was Michael Collins Piper, author of Final Judgment: The Missing Link in the JFK Assassination Conspiracy, False Flags: Template for Terror, and many other books. (MP3)
AUDIO - AFP Editors Roundtable with Michael Collins Piper AMERICAN FREE PRESS newspaper's editors and reporters discuss the weeks top stories. This week: Michael Collins Piper's article.
AUDIO - MCP interviewed on Dennis Fetcho radio program Posted by crescentandcross in Michael Collins Piper archives on December 7, 2013 Download Here THANK YOU FOR ASSISTING WITH THE COSTS ASSOCIATED WITH PRODUCING THIS PROGRAM
AUDIO - L'Autre Monde du 04 décembre 2013 - L'intégrale Où l'on abat le mur du silence entourant la vérité sur l'assassinat de JFK par Israël. Une première mondiale sur la radio francophone.
FBI Investigated Anti-Defamation League (ADL) for Espionage
Sur ce blog:
Israël admet que le producteur du JFK d'Oliver Stone, Arnon Milchan, était un agent du Mossad
Rothschild et JFK: les liens de l'avocat "montréalais" Bloomfield (à la tête de Permindex) avec le clan Rothschild documentés par un auteur québécois
La piste israélienne n'est plus ignorée dans les ouvrages de référence sur JFK, panique des néocons dans les médias (National Review, Washington Free Beacon) - Extrait de la fin du livre "The Letters of John F. Kennedy"
Assassinat de JFK: c'était pas des nazis!
Yitzhak Shamir, le terroriste devenu président d'Israël qui joua un rôle central dans la conspiration contre JFK
Le groupe Stern (Lehi) a tenté d'assassiner le président Truman; selon Victor Ostrovsky le Mossad a déjà tenté de tuer le président George Bush, qui disait "Je ne suis qu'un petit homme isolé qui se bat contre la puissance politique d'un millier de lobbyistes du Capitole"
Le jeu des devinettes: à qui donc aurait bien pu profiter la mort d'Arafat?
Le jeu des devinettes: qui a dit "Si je suis réélu, je vais foutre les Juifs"?
Les États-Unis semblent en avoir marre de devoir toujours couvrir Israël et prendre le blâme pour ses activités criminelles, lèvent le voile sur l'espionnage international israélien. Israël a-t-elle vraiment besoin d'épier la planète entière comme elle a besoin de son arsenal nucléaire et de son "Option Samson", simplement pour "survivre"?
Détenteur d'un important arsenal nucléaire et chimique, Israël est responsable de la course à l'armement nucléaire et chimique au Proche-Orient...
Médiats juifs anti-juifs? CNN et le NY Times mentionnent l'arsenal nucléaire d'Israël, qui explique pourquoi ses voisins se sont dotés d'armes chimiques
Après JFK et Obama, au tour de l'Onu de demander à Israël d'ouvrir ses installations nucléaires aux inspections
L'accord iranien est "Munich" et "Obama est Chamberlain", selon l'Organisation sioniste américiane (ZOA). Netanyahou s'époumonne désespérément, hurle au complot américano-iranien contre Israël; Obama l'invite à prendre une petite pause-santé. Netanyahou: fou dangereux qui pourrait envisager un deuxième 11 septembre nucléaire contre les États-Unis...
"Je larguerais Israël demain matin!" dit au Congrès le professeur Michael Scheuer, ancien directeur de l'unité anti-Ben Laden à la CIA
La CIA voit le Mossad comme sa pire menace en matière de contre-espionnage
Le procès d'Alan Gross, espion "américain" dans la communauté juive cubaine, pourrait envenimer les relations entre Cuba et les États-Unis
À quand une nuit de cristal pou démanteler ce réseau international d'espionnage?
La Grande-Bretagne craignait qu'Israël utilise la bombe atomique
Les États-Unis négocient avec les terroristes qui revendiquent la libération de Pollard en échange du gel de la colonisation juive illégale
Le mossad a liquidé plus de 350 scientifiques et 300 universitaires irakiens
Lobbying sioniste et libération des "Israéliens dansants" du 11 septembre
Vingt ans avant le VP iranien, l'ancien agent du Mossad Victor Ostrovsky accusait le Mossad de se financer par le trafic international de la drogue
Le nouveau film de l'Israélien Yotam Feldman "The Lab" ( Le Lab) présente les hommes qui font des territoires palestiniens occupés le plus grand et plus moderne des laboratoires de tests d'armement : les concepteurs et vendeurs d'armes les experts militaires les dirigeants de l'industrie de l'armement mais aussi des universitaires et intellectuels juifs sionistes qui non seulement cautionnent les guerres le bizness de l'armement et ses immenses profits mais participent activement à la recherche de "solutions finales" pour détruire ceux qui sont considérés comme ennemis de l'entité coloniale juive sioniste.
Ce film n'est pas encore sorti en Europe : il raconte comment le gouvernement d'Israël utilise la guerre contre les palestiniens pour inventer, utiliser et vendre des armes au monde entier. Cela fait froid dans le dos...
Il pose la question de manière très crue : Israël a t'il intérêt à faire la paix ?
Reportage à Lyon avec son réalisateur, Yotam Feldman qui ne laisse pas indifférent
Vidéo en anglais: New Film Exposes the Israeli Weapon and Security Industry (mai 2013) https://www.youtube.com/watch?v=yk-uGss0jKE
lundi 13 janvier 2014 Ariel Scheinermann, dit "Sharon", en enfer après plusieurs années de retard... Couvert de malédictions kabbalistiques, associé au légendaire ennemi des juifs Amalek, tout comme Kissinger et d'autres juifs américanisés... Même lui n'aura pu satisfaire les colons israéliens qui l'attaquèrent pour avoir "bloqué" l'expansion des colonies illégales
Polémique Soda Stream, société Israélienne. Sur fond de boycott de l’état d'Israel
Depuis que l'actrice Scarlett Johansson a prêter son image à la société Soda Stream, la polémique prend de l’ampleur dans les médias. On retrouve d'ailleurs sur le net des détournements à ce sujet
Scarlett est devenue la cible de l’ONG britannique Oxfam contre la pauvreté, dont elle a été ambassadrice pendant des années, qui l’accuse directement de soutenir la construction d’une usine de fabrication de machines à soda dans une colonie israélienne de Cisjordanie, région représentant l’un des enjeux du conflit opposant Israël et la Palestine.
"Oxfam respecte l’indépendance de ses ambassadeurs. Mais Oxfam considère que le business en provenance des colonies alimente la pauvreté et va à l’encontre des droits de la communauté palestinienne, explique l’ONG dans un communiqué. Oxfam est opposé à tout commerce en provenance de ces colonies qui sont illégales au regard du droit international."
Pour sa défense, l'actrice répondra:
« Je n’ai jamais eu l’intention d’être la représentante d’un mouvement social ou politique. Je reste partisane de la coopération économique et des interactions sociales entre les Etats démocratiques d’Israël et de la Palestine. SodaStream est une entreprise qui s’engage non seulement pour l’environnement mais aussi pour la construction d’une paix entre Israël et la Palestine, avec des voisins travaillant les uns aux côtés des autres, recevant le même salaire, les mêmes avantages et les mêmes droits. »
"Je suis heureuse que ce sujet soit mis en lumière et espère qu'un nombre grandissant de voix contribueront à l'avenir à ce dialogue pour une solution pacifique à deux Etats (israélien et palestinien)", a-t-elle plaidé.
Dans un communiqué publié à New York, le Congrès juif international (WJC) a "applaudi" la vedette américaine et dénoncé la décision d'Oxfam d'accepter sa démission.
"Nous applaudissons Mlle Johansson pour sa défense déterminée de la coopération économique entre Israéliens et Palestiniens", a salué le WJC, en accusant Oxfam de "s'aligner sur le mouvement dénué de morale et antisémite BDS".
Cette affaire illustre les succès croissants enregistrés par le BDS ("Boycott, désinvestissement, sanctions"), s'inspirant du boycottage international qui a précipité la fin de l'apartheid en Afrique du Sud.
Une centaine d'hommes d'affaires israéliens ont récemment pressé le Premier ministre Benjamin Netanyahu de saisir l'occasion des efforts américains pour conclure la paix avec les Palestiniens, certains d'entre eux le mettant en garde contre la progression du boycottage.
Le ministère norvégien des Finances a annoncé récemment que le fonds souverain du pays, le plus grand du monde, bannissait deux entreprises ayant participé à la construction de colonies israéliennes à Jérusalem-Est.
Soda Stream est implantée en Cisjordanie dans la zone C, une "ancienne" colonie israélienne. Cette zone C représente 61% de la superficie de la Cisjordanie. Pas mal, la petite colonie
Je viens de prendre connaissance d'une lettre de François Dubuisson, Professeur de droit international à l’Université libre de Bruxelles (ULB) datée du 1 février 2014 adressée aux organisateurs du festival de BD d’Angoulême. Ces derniers ayant acceptés un partenariat avec Soda Stream,ce professeur revient sur la polémique et leur adresse une missive bien cinglante. Voici la lettre dans son intégralité:
« Aux organisateurs du Festival d’Angoulême,
J’ai constaté avec consternation que le Festival d’Angoulême a noué pour son édition 2014 un partenariat privilégié avec la firme israélienne SodaStream, désignée « boisson officielle du festival »
En tant que professeur de droit international, j’ai été particulièrement interpellé par l’argumentaire que vous avez avancé pour justifier ce partenariat, en réponse aux critiques émises notamment par un collectif de dessinateurs. En résumé, vous prétendez qu’aucun problème ne se pose puisque SodaStream est installée dans une colonie « ancienne » située en zone C, ce qui lui donnerait le droit d’y être implantée et d’y persister. Ce point de vue est pour le moins surprenant, et correspond en réalité à la position défendue par la droite nationaliste israélienne pour justifier la poursuite continue de la colonisation du territoire palestinien.
Contrairement à ce que vous semblez croire, TOUTES les colonies israéliennes, en ce compris la municipalité de Ma’aleh Adumim où est située la principale usine de SodaStream, sont installées illégalement, en violation du droit international. Dans sa résolution 465 (1980), le Conseil de sécurité des Nations Unies a qualifié « la politique et les pratiques d’Israël consistant à installer des éléments de sa population et de nouveaux immigrants dans les territoires occupés » de « violation flagrante » du droit international. C’est la position officielle constante de l’Union européenne et de ses Etat membres, y compris la France. Dans son avis du 9 juillet 2004 concernant le Mur (intervenu bien après la conclusion des Accords d’Oslo, auxquels vous vous référez), la Cour internationale de Justice a encore confirmé le fait que « que les colonies de peuplement installées par Israël dans le territoire palestinien occupé (y compris Jérusalem-Est) l’ont été en méconnaissance du droit international ». En particulier, l’installation des colonies viole l’article 49 § 6 de la 4e Convention de Genève. Ce fait est également constitutif de crime de guerre au regard du Statut de la Cour pénale internationale. De plus, les terres sur lesquelles le parc industriel de Mishor Adumim a été implanté ont été confisquées illégalement par le gouvernement israélien.
La promotion d’activités économiques dans les colonies participe directement du maintien de cette situation illégale et se fait au détriment des possibilités de développement de l’économie palestinienne, comme le constatent de nombreux rapports internationaux. Est particulièrement visé l’accaparement par Israël de la « Zone C », qui empêche toute viabilité économique de la Palestine. Ainsi, un rapport de la Banque mondiale constate : « Plus de la moitié des terres de Cisjordanie, dont une bonne partie est riche en ressources et arable, sont hors d’accès pour les Palestiniens. La Banque mondiale publie aujourd’hui la toute première étude approfondie de l’impact potentiel de cette « zone réglementée » dont le manque à gagner s’évalue actuellement à environ 3,4 milliards de dollars pour l’économie palestinienne.
La zone C représente 61 % de la superficie de la Cisjordanie. C’est la seule zone contigüe reliant 227 localités de plus petite taille, mais densément habitées. Les Accords de paix d’Oslo de 1993 stipulaient que la Zone C serait progressivement transférée à l’Autorité palestinienne d’ici 1998. Ce transfert n’a jamais eu lieu. »
Le récent Rapport de la mission internationale des Nations Unies chargée d’étudier les effets des colonies de peuplement israéliennes sur les droits des Palestiniens dans le territoire palestinien occupé (Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, 7 février 2013) souligne à cet égard : « C’est en étant pleinement informées de la situation actuelle et des risques associés en matière de responsabilité que les entreprises commerciales établissent leurs activités dans les colonies de peuplement, contribuant ainsi au maintien, au développement et à la consolidation de ces colonies ».
La société SodaStream est l’une des sociétés à être tout particulièrement mise en cause pour la contribution de ses activités à la politique d’occupation et de colonisation mise en œuvre par le gouvernement israélien. L’ONG israélienne WhoProfits lui a consacré en 2011 un rapport spécifique, qui conclut : « SodaStream et les industries similaires installées dans le parc industriel de Mishor Adumim soutiennent directement la colonie de Ma’aleh Adumim à différents égards. Tout d’abord, par les taxes municipales que la société verse à la municipalité de Maale Adumim, qui sont utilisés exclusivement pour soutenir la croissance et le développement de la colonie. [...] Ainsi, lorsque l’on achète un produit de SodaStream, on contribue au maintien de la colonie de Maale Adumim ».
Vous avancez que « SodaStream crée plutôt des passerelles. Elle emploie 500 travailleurs palestiniens qui travaillent dans de bonnes conditions ». Cette affirmation, dont on se demande bien quelle est la source, ne va pas dans le sens des investigations opérées par les ONG de terrain. Dans son rapport précité, l’association israélienne WhoProfits opère un constat très différent : «Selon les rapports de trois années consécutives (2008 à 2010) de Kav LaOved (une ONG de protection des droits des travailleurs employés par des entreprises israéliennes), les travailleurs de l’usine de SodaStream souffrent de conditions de travail difficiles. C’est particulièrement vrai pour les travailleurs palestiniens. Au cours des dernières années, en plusieurs occasions, les travailleurs se sont plaints de bas salaires et de mauvaises conditions de travail [...]. Les travailleurs palestiniens disent qu’ils sont victimes de discrimination, ils ne gagnent même pas la moitié du salaire minimum et les conditions de travail sont terribles. S’ils exigent le respect de leurs droits, ils seront licenciés. C’est la situation dans beaucoup d’usines dans ce domaine, mais l’usine de Soda Club est l’un des pires ».
Et si certains Palestiniens se trouvent contraints de gagner leur vie dans les entreprises des colonies, c’est parce qu’ils n’ont pas d’autres choix, la zone C étant quasiment interdite d’accès aux investisseur palestiniens.
Les activités de SodaStream sont dénoncées par de nombreuses organisations des droits de l’homme, peu suspectes d’« anti-israélisme ». Dans le contexte de la récente controverse concernant l’association de l’actrice Scarlette Johansson à la campagne marketing de SodaStream, la directrice pour le Moyen-Orient de Human Rights Watch (HRW), Sarah Leah Whitson, a souligné: « SodaStream opère dans une colonie israélienne, dont la seule existence constitue une grave violation du droit international. Il est impossible d’ignorer le système israélien de discrimination illégale, de confiscation de terres, de vol des ressources naturelles et de déplacement forcé des Palestiniens en Cisjordanie occupée, où SodaStream est situé ». Et l’ONG Oxfam, dont l’actrice était l’ambassadrice, a déclaré « que les entreprises qui, comme SodaStream, exercent leurs activités dans les colonies contribuent à y perpétuer la pauvreté et le non-respect des droits des communautés palestiniennes que nous nous attachons à soutenir. Oxfam s’oppose à toute forme de commerce avec les colonies israéliennes, lesquelles sont illégales au regard du droit international ».
Vous concluez en déclarant que « rejeter [SodaStream] reviendrait à la condamner : ce serait une injustice à l’envers». Voici une position fort surprenante et peu cohérente. Par un curieux renversement logique, vous considérez que s’associer à des produits des colonies israéliennes contribue à construire des « passerelles », alors que choisir de ne pas en faire la promotion deviendrait une « injustice ». En réalité, c’est bien tout le contraire : en décidant délibérément et en pleine connaissance de cause d’établir un tel partenariat, vous faites un choix politique en faveur de la « normalisation » de la colonisation et du développement économique des colonies illégales, au détriment des populations palestiniennes.
Vous comprendrez qu’il apparaît dès lors choquant qu’un festival comme celui d’Angoulême puisse s’associer à une firme comme SodaStream et faire la promotion de ses produits, comme un soutien de la politique de colonisation du gouvernement israélien.
Très cordialement »
François Dubuisson Professeur de droit international à l’Université libre de Bruxelles (ULB)
Il y a quelques jours, j'ai lu dans le Courrier International un article intitulé "Cisjordanie, l'usine de la polémique". L'auteur, Nathan Jeffray journaliste du journal Forward à New-York nous livre une confession assez contradictoire.Pris en flagrant délit de mensonge et de propagande pro-israelienne. Je poste l'article dans son intégralité, pour que vous pussiez apprécier l'étendue de la propagande dans nos journaux, cela m'a presque donné des hauts le cœur:
“Moi je vous dis qu’un million de personnes seraient prêtes à travailler ici”, lance Ahmed Nasser lors de sa pause sur la chaîne d’assemblage SodaStream. Nasser travaille dans la principale usine de SodaStream, située dans la zone industrielle de Mishor Adumim, au sein de la colonie juive de Ma’ale Adumim, en Cisjordanie. La polémique concernant ce site vient de refaire surface après la décision de SodaStream d’engager l’actrice Scarlett Johansson comme ambassadrice de la marque.
Mais Nasser, 28 ans, qui est employé par l’entreprise depuis deux ans, estime que les employés travaillent dans “les meilleures conditions possible” et que “le droit du travail est respecté”. Il dispose d’une heure et demie de pause sur un temps de travail de douze heures, et dit que les temps de prière ne sont pas déduits des pauses.
Nasser vit à Ramallah, où sont installées les élites politiques palestiniennes opposées au travail dans les colonies. Mais selon lui les habitants de Ramallah ne lui en veulent pas de travailler chez SodaStream. Nadia Sataf, 50 ans, est femme de colon. Elle travaille sous la supervision de son chef d’équipe Nabeel Besharat, un Palestinien de Ramallah qui a commencé dans l’entreprise il y a quatre ans, soit trois ans après elle. Et le supérieur hiérarchique de Besharat est un Palestinien de Jérusalem- Est. Nadia Sataf reconnaît que le travail est difficile, mais elle dit ne pas avoir à se plaindre du mélange des cultures. Les Arabes, qu’ils soient ses supérieurs ou ses collègues, sont “de très bonnes personnes”. Ces témoignages ont été recueillis en dehors de la présence des managers israéliens et personne ne s’est plaint, que ce soit à visage découvert ou de manière anonyme, d’infractions au droit du travail ou de salaires inférieurs au salaire minimum israélien.
Comment Nabeel Besharat vit-il le fait de travailler dans une colonie ? “C’est un sujet grave, mais pour nous ce n’est pas un problème. Ce n’est pas nous qui construisons les colonies, nous travaillons dans une usine.” Et que pense-t-il de la volonté de l’Autorité palestinienne d’interdire aux Palestiniens de travailler dans les Territoires occupés ? “Si elle crée des entreprises dans les Territoires palestiniens, pourquoi pas ? Mais il faut pouvoir assurer de bons emplois et de bons salaires aux employés.”
Mishor Adumim, comme de nombreuses autres colonies, a été construit sur des terres appartenant à des villages palestiniens. Selon un rapport de février 2009 de l’association israélienne des droits de l’homme B’Tselem, cette expropriation a été un frein au développement des villages voisins. Mais, quand on lui demande s’il partage l’opinion de l’Autorité palestinienne selon laquelle l’occupation d’Israël en Cisjordanie empêche la croissance des entreprises palestiniennes, Nabeel Besharat réplique : “Je crois qu’il est temps d’arrêter d’accuser les Israéliens de tous nos maux.” A l’usine de Mishor Adumim, les salles de production convergent toutes vers la chaîne d’assemblage finale, où les machines sont montées et emballées, prêtes à être livrées avec les cartouches, les bouteilles et les sirops. C’est une pièce très vaste et propre, qui sent le café à la cardamome, une boisson très prisée des Palestiniens et des Arabes israéliens.
C’est la dernière heure de l’équipe en poste, et les 120 employés n’ont pas l’air de travailler dans des conditions stressantes, nombre d’entre eux bavardent joyeusement. A la cafétéria de l’usine, les employés n’ont pas non plus l’air tendu, même s’ils sont de toute évidence au courant de la controverse internationale actuelle sur le nouveau rôle de l’actrice dans l’entreprise. Lors de notre visite, le PDG de SodaStream, Daniel Birnbaum, a réuni les 250 travailleurs palestiniens dans la cafétéria pour leur en parler et leur demander de ne pas céder aux pressions politiques. “Nous sommes en train d’écrire l’histoire pour le peuple palestinien et le peuple israélien”, leur a-t-il déclaré en hébreu, propos immédiatement traduits en arabe par un interprète. Birnbaum les a rassurés sur leurs emplois et leur a dit qu’il avait l’intention d’embaucher “encore plus” de personnes avec le développement de SodaStream.
Les Palestiniens ont applaudi ces dernières infos. Et Birnbaum en a profité pour placer “Scarlett Johansson serait fière de vous”, ce qui a donné lieu à des applaudissements bien plus nourris, avant même la traduction de l’interprète. Birnbaum a insisté sur l’importance de l’éthique et de la qualité. “Je veux que tous ici, les Juifs, les Arabes israéliens, les Arabes palestiniens, les Russes, les Ethiopiens, se sentent égaux, avec les mêmes salaires, les mêmes avantages, les mêmes possibilités de carrière.”
Dans son bureau, il nous a expliqué que s’il restait à Mishor Adumim c’était pour ne pas laisser tomber les 500 Palestiniens présents parmi les 1 300 employés de l’usine. Alors que d’autres employés peuvent retrouver un travail de l’autre côté de la ligne verte si l’usine est relocalisée, ce n’est pas le cas des travailleurs palestiniens de Cisjordanie, qui risquent de souffrir financièrement. “Nous n’allons pas mettre sur le carreau nos employés pour servir un quelconque ordre du jour politique, dit-il, et je ne vois pas comment on pourrait servir la cause palestinienne avec des licenciements.”
La décision d’installer cette usine désormais controversée dans une zone industrielle au sein de la colonie Ma’ale Adumim, à une quinzaine de minutes de Jérusalem, a été prise bien avant l’arrivée de Daniel Birnbaum. S’il avait le pouvoir de remonter dans le temps, il reconnaît qu’il n’installerait “jamais” une usine de production dans une colonie israélienne en Cisjordanie.
N’ayant pas fait ce choix, Daniel Birnbaum a toutefois décidé de “faire avec” et refuse de céder aux pressions politiques et de fermer l’usine. Il ajoute que, si l’Etat palestinien devient une réalité, comme c’est l’objectif des négociations entre Israël et l’Autorité palestinienne menées par les Etats-Unis, il sera heureux de rester ici avec SodaStream et de payer ses impôts au nouvel Etat palestinien.
“Nous avons déjà des usines sous contrôle chinois, allemand, américain, etc., dit-il. Alors quel est le problème d’avoir une usine dans le futur Etat palestinien ? On se contrefiche de l’endroit où est notre usine.” Le conseiller de Daniel Birnbaum, Maurice Silber, indique que dans l’entreprise “tout le monde est contre la colonisation”. Mais il refuse tout amalgame : SodaStream a beau avoir une usine dans un Territoire occupé, il ne s’agit pas pour autant d’une violation des droits de l’homme. Et qui sait ? conclut Silber, SodaStream pourrait bien devenir “le moteur de la future économie palestinienne”.
Sortez les violons, je vais presque pleurer!!! Magnifique travail de désinformation voir même mensonger de la part de ce "journaliste"...
Dès que je le pourrais, j'ajouterai à ce post mes liens internet.
Merci bien, je viens de voir sur wiki qu'il y a 2 sodastream un en Australie et l'autre en israel, de plus je viens de voir la pub officielle avec cette sclalatine publiée le 27 jan 2014 qui compte aujourd'hui 13 050 000 de vues.... Le clip a 2 faces, une face je suis docteur "mon job est de sauver le monde blablabla moins de bulle moins de sucre.... il faudrait que ce message soit viral ??? " ... une face star système avec un faux Barry White en musique et la scarlatine qui "pompe" sa paille en faisant la plante sexy.
SodaStream's Banned Super Bowl Commercial Starring Scarlett Johansson
Fox has reportedly rejected this Super Bowl commercial from SodaStream starring actress Scarlett Johansson, not because of any sexual messaging, but because it ends with her saying "Sorry, Coke and Pepsi."
Bref ces gens on du fric, une actrice et en plus l'espace pub du super bowl c'est pas donné. La boite est bien une multinational en bourse. http://www.reuters.com/finance/stocks/companyOfficers?symbol=SODA.O
Mais comme dans ton post le dit scarlatine SStream fait du green washing heeuu soutient l'environnement, enfin c'est plutôt l'environnement colonial qui soutient cette boite, et de façon général on oublie que ce qui soutient nos pieds est avant tout l'environement et pas le contraire. http://www.sodastream.com/earthfriendly
Fusillade de Bruxelles : des ex-agents secrets israéliens parmi les victimes
Attentat antisémite ou assassinat ciblé? Suite aux révélations de la presse israélienne, Panamza apporte de nouveaux détails au sujet de deux victimes de la fusillade perpétrée au Musée juif de Bruxelles.
Le 26.05.2014 à 19h09
Ce lundi, The Forward, quotidien juif américain, évoque sur son site une piste troublante à propos de la tuerie survenue samedi au Musée juif de Bruxelles: celle d'un "assassinat politique".
Le double motif d'une telle spéculation: le tireur muni d'une petite caméra GoPro s'apparenterait à un "tueur professionnel" selon certains experts sollicités et plusieurs médias israéliens ont divulgué -au cours des dernières heures- des informations particulières quant au profil de deux victimes (sur les quatre).
Rédigé à partir d'une dépêche de Reuters, le papier de The Forward passe néanmoins sous silence certains éléments singuliers rapportés par l'agence de presse. Extrait:
Une des victimes israéliennes, Emanuel Riva, avait antérieurement travaillé pour Nativ, une agence gouvernementale qui a joué un rôle clandestin dans l'encouragement de l'immigration juive en provenance de l'ex-Union soviétique, rapporte un officiel israélien.
Aux côtés de l'agence du renseignement extérieur, le Mossad, et de son équivalent chargé de la sécurité intérieure, le Shin Beth, l'agence Nativ était sous l'autorité du bureau du Premier ministre.
Miriam Riva, son épouse, travaillait également pour le bureau du Premier ministre, affirme l'officiel sans plus de détails.
Des amis du couple interrogés par les médias israéliens ont affirmé que tous deux travaillaient comme comptables dans les services gouvernementaux.
Le site du journal Israel Hayom ajoute aujourd'hui un détail intéressant à propos de leur collaboration antérieure avec Nativ, une agence d'espionnage fondée en 1952 et devenue semi-clandestine après la fin de la guerre froide. Extrait:
Il y a quatre ans, ils (les Riva) ont été envoyés travailler en Allemagne par le ministère des Affaires étrangères.
Selon Yediot Aharonot, ils ont vécu à Berlin jusqu'en 2011.
En 2009, responsable de Nativ et soucieux de l'avenir de la communauté juive allemande, le ministre des Affaires étrangères était déjà celui de mai 2014: Avigdor Lieberman. Leader de l'extrême droite locale, cet ultra-nationaliste (rencontré en secret par Manuel Valls à la mi-février) s'était distingué sur la scène politique pour avoir suscité le courroux du Mossad, du Shin Beth et de l'Agence juive pour une raison spécifique: sa volonté d'utiliser Nativ pour favoriser l'émigration en Israël des citoyens juifs originaires de Russie et résidant en Allemagne.
Dans son poste antérieur (celui de ministre des Affaires stratégiques de 2006 à 2008), il avait ainsi bravé la désapprobation des organisations juives allemandes et la colère de plusieurs haut-responsables israéliens qui s'opposèrent à son projet (annoncé en 2006) car il était susceptible de saborder l'amitié israélo-allemande.
En 2005, le quotidien Haaretz rapportait que Nativ, dans le collimateur du Mossad qui la jugeait caduque et encombrante, ne devait son maintien que par la volonté du Premier ministre alors en exercice: Ariel Sharon. Dans sa foulée, Avigdor Lieberman a repris le flambeau et a réorienté la mission de l'agence en direction des 200 000 juifs russes d'Allemagne.
Ancienne ambassadrice d'Israël en Ukraine et ex-conseillère politique de Lieberman, Naomi Ben-Ami dirige Nativ depuis sept ans. L'Agence juive l'accusa en 2008 d'avoir provoqué une crise diplomatique avec l'Allemagne, pays allié, pour avoir exaucé le souhait de son mentor: ce dernier, d'origine russe, comptait précisement sur ces potentiels citoyens israéliens originaires de l'ex-Union soviétique pour consolider sa propre base électorale.
En janvier 2008, un article du Jerusalem Post rapportait un détail intrigant au regard du profil des victimes israéliennes de Bruxelles: selon le quotidien, la récente démission de Lieberman du poste des Affaires stratégiques devait geler un projet décidé en juillet 2007 et relatif à l'envoi -en Allemagne- de "deux émissaires" de Nativ. Sa dirigeante n'avait pas commenté cette information et l'entourage de Lieberman s'etait contenté de réitérer son souhait que ce projet aille jusqu'au bout.
Un an plus tard, Lieberman revint au gouvernement et dans le ministère, plus puissant, des Affaires étrangères. C'est alors que le couple Riva, travaillant pour Nativ, fut envoyé en Allemagne sous sa tutelle. Troublante similitude: leur départ -dont les détails sont inconnus à ce jour- semble s'inscrire dans la reprise du projet antérieur de 2006-2008 (dit "Operation Germany").
Dans le contexte actuel de la crise russo-ukrainienne, le rôle de Nativ, autrefois attaquée publiquement par le Mossad, a pris une ampleur inattendue. Critiquée également dans un rapport officiel (paru fin 2013) en raison de son opacité, l'agence -qui constitue toujours une tête de pont avec les communautés juives de Russie, d'Ukraine et d'Allemagne – demeure sous la tutelle ministérielle d'un seul homme qui continue de l'instrumentaliser: Avigdor Lieberman. De notoriété publique, ce dernier aspire à succéder à Benyamin Netanyahou au poste de Premier ministre.
Transformée en tremplin politique à usage personnel, Nativ n'en finit pas d'agacer: les rivaux politiques de Lieberman comme les groupes hostiles à l'émigration juive hors d'Allemagne demandent toujours la cessation des activités de l'agence.
Rien n'exclut que la fusillade du Musée juif de Bruxelles soit l'oeuvre d'un "terroriste" antisémite agissant à l'aveugle mais, au regard de l'engagement passé du couple Riva au sein d'une organisation controversée, rien ne permet non plus d'écarter la piste d'un assassinat ciblé en guise de représailles. Ou d'avertissement.
HICHAM HAMZA
Cet article vous a intéressé? Soutenez le journalisme d'investigation de Panamza, la gazette de l'info subversive ! Rejoignez les followers de Facebook /Twitter/Youtube ET contribuez personnellement au développement fulgurant du site en souscrivant un abonnement privilégié / en effectuant le don de votre choix.
Moi j'aurais ce genre de questions: De plus de pouvoir s'acheter des billets d'avions en sortant de prison les armes ça coûte cher et ne passent pas à l'aéroport. Si ce gars est si riche pourquoi prendre le bus et perdre 5 jours pour arriver à Marseille ? Il est déjà tombé pour vole de voiture selon les médias alors pourquoi ne pas voler une voiture ? Faudrait-il absolument qu'il trouve la voiture d'un juif pour la voler ? Je sais pas je cherche à savoir ce qui l'aurait empêché d'aller plus vite. Aussi pourquoi ne pas se débarasser des armes, pas d'armes, pas d'arrestation. Un car Amsterdam Marseille, un lien avec une livraison de drôgue ? Aurait-on oublié de fouiller tout le car ?
Pour la suite je pense que comme Merah on finira pas le retrouver mort, ça évite les procès généralement, et les questions.
L’événement marque un changement fondamental de politique de la part de Tsahal. Il s’est déroulé hier, 11 juin 2014, à l’institut médico-légal d’Abou Dis en Cisjordanie. Deux experts israéliens dont, Hen Kugel, le directeur de l’Institut médico-légal de Tel Aviv, en compagnie de deux médecins légistes palestiniens, d’un expert américain et d’un autre canadien, ont procédé à l’autopsie du corps de Nadim Nuwara. Ce jeune palestinien avait été tué par une balle réelle, à Betuniah, près de Ramallah, le 15 mai dernier lors des manifestations de la Nakba à quelques dizaines de mètres d’une position israélienne. Un autre adolescent, Mohammed Abou Daher, y a trouvé la mort dans des circonstances similaires, le même jour. L’armée a immédiatement annoncé que, sur place, les gardes frontières n’avaient tiré que des balles caoutchoutées. Une mise en scène?
Très vite la communication israélienne a accusé les Palestiniens de mise en scène. Le ministre de la défense, Moshé Yaalon, avait déclaré : « les forces de sécurité ont fait face à un incident violent durant lequel des bouteilles incendiaires et des pierres ont été jetées sur des gardes frontières qui, se sentant en danger, ont réagi comme elles devaient le faire ». C’est-à-dire en tirant uniquement des balles caoutchoutées. Mais, la scène a été enregistrée par plusieurs caméras de surveillance d’un magasin voisin et on constate qu’au moment où les deux victimes se sont effondrées il n’y avait pas trace de violence. La manifestation, avec jets de pierres, était terminée. Cela n’a pas empêché Yaalon de laisser entendre que les vidéos avaient fait l’objet d’un montage. Un militaire des services du porte parole de l'armée a tiré
Une version que les médias israéliens ont diffusé quasiment sans hésiter, à l’exception du quotidien Haaretz et de la chaîne 10. La presse communautaire francophone, sur le Web, et une chaîne de télévision ont rappelé « la mise en scène de la mort de Mohammed Al Dura le 30 septembre 2000 ». Détail : A Betunia un cameraman de CNN, a filmé les images d’un militaire israélien ouvrant le feu à peu près à cet instant, avec un fusil d’assaut équipé pour tirer des balles caoutchoutées. Il s’agissait d’un soldat appartenant aux services de presse. Il a été suspendu. Cela posé, il faut rappeler que, dans l’affaire Al Dura, jamais les autorités israéliennes n’ont accepté une enquête en bonne et due forme, avec les garanties de professionnalisme et d’indépendance, comme celle qui se déroule ces jours-ci au sujet des deux morts de Betunia. A l’heure actuelle, les avocats de France 2 continuent de demander, comme le prévoit la loi israélienne, tous les éléments du rapport ministériel unilatéral publié le 19 mai 2013 m’accusant et suggérant que Mohammed al Dura était vivant au moment du tournage de sa mort… Quel était le rôle officiel de cette commission d’enquête ? Sur quelles bases les experts ont –ils travaillés ? Un journaliste de France Télévision a-t-il apporté sa contribution comme l’a révélé un de ses auteurs, le docteur Yehouda David, le 21 mai 2013, à Radio J ? Les réponses finiront bien par arriver..
Voir les articles suivants sur les morts de Betunia: http://www.jpost.com/Middle-East/Report-Autopsy-finds-live-fire-killed-Palestinian-teen-during-Nakba-Day-clashes-356036 http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-4529453,00.html
Bollyn a l'air d'avoir tiré sur la bonne ficelle. Le false flag était peut être prévu dans quelques années ou quelques mois qui sait ? J'ai eu depuis le début le bon réflexe de me dire "pas de traces = pas de crash", cet avion peut être aujourd'hui n'importe où. Mais il faudrait savoir en quoi en avoir une copie pourrait servir ? Testes mécaniques informatiques etc ? Le plan est-il aujourd'hui foireux et annulé ?
Pour sûr que pour un prochain airline-falseflag ils devront bien trouver des avions commerciaux quelque part c'est la seule chose que l'on peut certifier. Les "pirates" devront être de méchants iraniens la prochaine fois si on reste dans une logique isaelienne simple, en tout cas ça ne sera pas des bretons agent double de la CIA. Brûleront-ils un peu mieux les passeports ?
The MH370 Cover-Up: GA Telesis Fabricates Story of Missing Plane's Israeli Twin
June 20, 2014
COVER-UP OF ISRAELI TWIN EXPOSED - GA Telesis, the Florida-based company that owned the Israeli twin of MH370, has been caught fabricating a cover story to explain why this plane (N105GT) was in a hangar in Tel Aviv when its Malaysian twin disappeared.
THE ISRAELI TWIN OF MH370 - GA Telesis recently crafted a press release, back-dated to October 4, 2013, and inserted it into the archives for 2013. The Internet archives, however, reveal that this fraudulent press release did not even exist in 2013. Why would GA Telesis be fabricating press releases to provide a plausible history for this suspicious plane in Tel Aviv if they were not trying to cover their tracks?
In March 2014, I posted a very important terrorism-prevention story that revealed that a near-identical twin of the missing Malaysian plane, that was Malaysia Airlines Flight MH370, was sitting in a hangar in Tel Aviv.
The article, "Are the Israelis Planning Another 9-11 Using the Missing Boeing 777?" pointed out, with photos and documentation, that a plane, very similar to the missing Malaysia Airlines aircraft, that had been obtained by a Florida-based company called GA Telesis for dismantling in the United States, was actually being kept secretly in a hangar in Israel. What, pray tell, was a plane, nearly identical to the missing MH370, doing in an Israeli hangar?
Because this was such a suspicious and ominous development that clearly had the very real potential to become another 9/11-type attack, I delved further into the questions surrounding this mysterious plane in Israel and its relationship with the missing MH370 in a series of articles:
"Why is a Twin of the Missing MH370 in a Hangar in Israel?" - April 18, 2014 www.bollyn.com/why-does-israel-have/
"Was MH370 Hijacked thru Remote Access to its Computer System?" - April 24, 2014 www.bollyn.com/was-mh370-hijacked-by-remote-access-to-its-computer-system/
"Was MH370 a U.S./Israeli False Flag Operation?" - April 30, 2014 www.bollyn.com/14671/
I wrote and called GA Telesis several times to try and get an explanation why they had given the plane a new registration number, N105GT, and then flown it to Israel - months after it had been slated for dismantling in the United States? The company, however, refused to provide any explanation.
Now, months later, GA Telesis comes out with a back-dated press release that they slipped into their archives. It is clear, however, that this is a fabricated press release, crafted long after the Israeli twin was exposed on this website. The fraudulent press release does not appear in the Internet archives of the GA Telesis website from December 1, 2013. GA Telesis has been caught in a crude attempt trying to create a plausible history for the Israeli twin of MH370. Why would they be posting this after-the-fact press release now if they did not publish it when the plane was actually sent to Israel?
Here is the fabricated press release that was back-dated to October 4, 2013, and slipped into the archives:
The following screen-shot shows how GA Telesis inserted the fabricated press release, dated October 4, 2013, into the archives between one from August 21 and another from October 11:
The Internet archive capture from December 1, 2013, clearly shows that there was no press release dated October 4, 2013, about the Malaysia Airlines twin being sent to Israel - until quite recently, that is:
The fact that GA Telesis created a fraudulent and back-dated press release to try and provide a plausible cover story for the Israeli twin of MH370 shows that they are trying to remove suspicion from a very suspicious plane and chain of events. It tells me that they are trying to cover their tracks - and have now been caught doing so.
Un journal israélien explique clairement les lois interdisants mélanges et les mariages gays en Israël
Le 1 juillet 2014 à 6h50
Le principal journal israélien Haartez a finalement complètement reconnu que l'état sioniste défend aux juifs de se marier avec les non-juifs et déclare aussi même illégal - les politiques de mariage homosexuel (ex unisexuel) que ces mêmes supremacistes juifs appelleraient "raciste" dans les autres pays.
image
L'admission par Haaretz vient après des années de dénégation par les supremacistes juifs du monde entier que les lois du mariage israélienne sont fondées sur la race et servent de justification finale à Dr David Duke qui était une des premières figures publiques en Amérique à montrer ce fait — un acte pour lequel le supremacisme juif a contrôlé les mass-média pour largement dire que tout cela était faux.
L'article dans Haaretz, daté du 3 juin 2014, est intitulé “Avec qui vous permettrait-on de vous marier en Israël aujourd'hui ?” et par un graphique ordinogramme extrêmement instructif qui explique clairement en détail exactement comment les lois de mariage de l'Israël fonctionnent.
Who would you be allowed to marry in Israel today?
Selon Haaretz, le mariage dans l'état juif est entièrement sous la portée d'autorités religieuses.
“Il n'y a aucun mariage civil. Les juifs peuvent seulement être mariés dans une cérémonie religieuse, par un rabbin Orthodoxe sous l'autorité du Rabbinat Principal, l'autorité religieuse supérieure pour les Juifs en Israël,” dit Haaretz.
“Cela signifie qu'il n'y a aussi aucun mariage d'interfoi entre les Juifs et les non-juifs, puisque le Judaïsme Orthodoxe ne permet pas d'unions mélangées.
“Les israéliens qui appartiennent à d'autres courants du judaïsme, comme le réformé ou le conservateur, doivent toujours attacher le nœud devant un rabbin Orthodoxe dans une cérémonie traditionnelle s'ils veulent que leur mariage soit reconnu par l'état.”
Haaretz continue à révéler exactement comment sont ces lois exclusivismes et raciales du supremacisme juives, en montrant que les demi-juifs en Israël qui ont seulement un parent juif ou un grand-père, ne sont autorisé à se marier avec les Juifs "complets" :
“Ce monopole religieux, qui n'a pas égal parmi d'autres démocraties Occidentales, met les gens dont le statut religieux est enregistré comme 'd'autre' dans une position particulièrement précaire. Cela affecte surtout des immigrants d'ancienne Union soviétique qui ont reçu la citoyenneté israélienne parce qu'ils avaient au moins un parent juif ou grand-père, mais ne sont pas considérés comme des Juifs conformément à la loi religieuse, qui exigent d'une personne d'être juive par la mère.”
L'article Haaretz continue alors à révéler comment l'état sioniste a essayé de résoudre cette issue, en introduisant une loi qui a efficacement force ceux-ci “les demi-juifs pas complètement pur " à se marier à l'intérieur leur propre communauté plutôt que de se mélanger avec les vuifs "réels" :
“En 2010, dans un essai de résoudre cette issue, la Knesset a passé une loi qui reconnaît des unions civiles, mais seulement si les deux partenaires sont enregistrés comme n'appartenant à aucune religion. Les groupes de droits civils ont critiqué la loi pour être trop limitatifs et stigmatisante parce que, en pratique, il force ces immigrants à se marier seulement entre eux.”
Haartez continue à déclarer que l'efficacité de cette loi est davantage révélée par le fait que, selon le Ministère de l'Intérieur israélien, seulement une moyenne de 18 couples par an a profité de la nouvelle loi.
Finalement, l'article révèle, “les couples de même sexes sont aussi exclu du mariage.”
L'issue importante à se souvenir dans tout cela est que le lobby juif organisé en Amérique — et dans d'autres pays autour du monde — soutiennent tous fanatiquement Israël.
Pourtant en même temps, ces lobbys juifs qui supportent ces politiques en Amérique et dans toutes les autres nations hôtes font l'exact contraire des politiques qu'ils soutiennent en Israël.
C'est la vieille histoire : une norme pour le suprémacisme juif, une autre pour le Goyim.
L'article d'Haaretz est aussi mensonger dans le sens qu'il essaie de décrire les lois de mariage d'Israël comme quelque chose qui concerne seulement la religion. Évidemment, ils n'en est rien et sont spécialement raciales dans leur application.
Image Foward
La réalité que les lois de mariage d'Israël sont raciales, pas religieuses, cela a été prouvé en 2002, quand, dans un article publié par l'agence Jewish Telegraphic Agency (JTA) a révélé que même les "convertis"au Judaïsme n'ont pas été permis de se marier avec les juifs.
Selon cet article, intitulé “Court Accepts Reform, Conservative Conversions in Israel; Orthodox Vow to Fight On”, une décision du gouvernement israélien pour reconnaître les conversions non-orthodoxes a été écartée par le rabbinat Orthodoxe – qui contrôlent des lois de mariage en Israël.
“La décision très confondra ces ‘convertis dont les conversions, dans ma vue, ne tiennent pas,” le rabbin de chef Ashkenazic de l'Israël, Yisrael Meir Lau, a dit à l'Army Radio.
“Leurs cartes d'identité seront vaines. Demain s'ils veulent s'inscrire pour se marier, le jour après s'ils vont au Ministère d'Immigration demander leur corbeille d'avantages ou de citoyenneté, on leur dira, ‘non, on pense seulement à vous comme un Juif sur les rouleaux démographiques, pendant qu'autant que tout le reste va, vous restez dans votre goyishness.’“
Israeli Newspaper Spells Out Laws Prohibiting Mixed and Same Sex Marriages in Israel
July 1, 2014 at 6:50 am
The leading Israeli newspaper Haartez has finally completely admitted that the Zionist state forbids Jews from marrying non-Jews, and also outlaws same-sex marriage—policies which these same Jewish Supremacists would call “racist” in any other country.
The admission by Haaretz comes after years of denial by Jewish Supremacists around the globe that Israeli marriage laws are based on race, and serve as a final vindication to Dr. David Duke who was one of the first public figures in America to point out this fact—an act for which the Jewish Supremacist controlled media widely claimed was untrue.
The article in Haaretz, dated June 3, 2014, is titled “Who would you be allowed to marry in Israel today?” and starts off with a highly informative flow-chart graphic which spells out in detail exactly how Israel’s marriage laws work.
According to Haaretz, marriage in the Jewish state is entirely under the purview of religious authorities.
“There is no civil marriage. Jews can only be married in a religious ceremony, by an Orthodox rabbi under the authority of the Chief Rabbinate, the top religious authority for Jews in Israel,” Haaretz says.
“This means there is also no interfaith marriage between Jews and non-Jews, since Orthodox Judaism does not allow mixed unions.
“Israelis who belong to other streams of Judaism, such as Reform or Conservative, must still tie the knot in front of an Orthodox rabbi in a traditional ceremony if they want their marriage to be recognized by the state.”
Haaretz goes on to reveal exactly how exclusivist the Jewish Supremacist racial marriage laws are, by pointing out that Jews in Israel who “only” have one Jewish parent or grandparent, are also not allowed to marry “full” Jews:
“This religious monopoly, which has no equal among other Western democracies, puts people whose religious status is registered as ‘other’ in a particularly precarious position. This mainly affects immigrants from the former Soviet Union who received Israeli citizenship because they had at least one Jewish parent or grandparent, but are not considered Jews under religious law, which require a person’s mother to be Jewish.”
The Haaretz article then goes on to reveal how the Zionist state attempted to resolve this issue, by bringing in a law which effectively forced these “not completely pure” Jews to marry from within their own community rather than mix with the “real” Jews:
“In 2010, in an attempt to solve this issue, the Knesset passed a law that recognizes civil unions, but only if both partners are registered as not belonging to any religion. Civil rights groups criticized the law for being too restrictive and stigmatizing because, in practice, it forces these immigrants to marry only amongst themselves.”
Haartez goes on to state that the effectiveness of this law is further revealed by the fact that, according to the Israeli Interior Ministry, only an average of 18 couples a year have taken advantage of the new law.
Finally, the article reveals, “Same-sex couples are also excluded from marrying.”
The important issue to remember in all of this is that the organized Jewish lobby in America—and other countries around the world—all fanatically support Israel.
Yet at the same time, these Jewish lobbies all support policies in America and all their other host nations which are the exact opposite to those policies they support in Israel.
It is the old story: one standard for the Jewish Supremacists, another for the Goyim.
The Haaretz article is also deceptive in the sense that it tries to portray Israel’s marriage laws as something which only concerns religion. Of course, they are nothing of the sort, and are specifically racial in their application.
The reality that Israel’s marriage laws are racial, not religious, was proven in 2002, when, in an article published by the Jewish Telegraphic Agency (JTA) revealed that even “converts” to Judaism were not allowed to marry Jews.
According to that article, titled “Court Accepts Reform, Conservative Conversions in Israel; Orthodox Vow to Fight On”, a decision by the Israeli government to recognize non-orthodox conversions was dismissed by the Orthodox rabbinate–who control marriage laws in Israel.
“The decision will very much confuse these ‘converts’ whose conversions, in my view, do not hold,” Israel’s chief Ashkenazic rabbi, Yisrael Meir Lau, told Army Radio.
“Their identity cards will be worthless. Tomorrow if they want to register to get married, the day after if they go to the Immigration Ministry to ask for their basket of benefits or citizenship, they’ll be told, ‘No, you’re only thought of as a Jew on the population rolls, while as far as everything else goes, you remain in your goyishness.’ “
__________________
Rising star of Israeli politics call for genocide of Palestinians.
La récupération politique puis médiatique du triple meurtre semble bien la plus probable selon un journaliste allemand. ça me paraît, à moi aussi, être la piste la plus convaincante, les propos du chef du mossad pouvant être du même type que la prédiction de Soral à une autre époque et ne peut être un élément de preuve formelle.
Vivement une traduction complète de la vidéo. ps on entend l'enregistrement audio du fameux coup de téléphone qui n'a pas été cru par la police sioniste, les jeunes ou les sionistes sont prévenu: pas la peine d'appeler la police en israel il faudra vous démerder tout seul.
ZDF reveals the truth about the death of 3 Israelis on June 2014
Ajoutée le 23 juil. 2014
German channel ZDF aired a report about the alleged murder of the three Israelis last June, which led to the war carried currently against Gaza.
The report, made by journalist Christian Sievers, revealed that the kidnappers had no political agenda but they were willing to get a ransom from the Israeli families before things get complicated, ending with the death of the hostages.
Sievers says that Israeli intelligence knew about the incident and its purpose, yet the file was classified by orders from PM Netenyahu, and the army took over the investigation to blame Palestinian resistance for it and start a war.
The journalist in the end accuses the Israeli government of committing war crimes and conspiracy on civilians, both Palestinians and Israelis. German channel ZDF aired a report about the alleged murder of the three Israelis last June, which led to the war carried currently against Gaza.
______________
Reportage de la chaine allemande ZDF sur l'enlèvement des 3 jeunes israéliens
par AgenceInfoLibre
Une équipe de télévision allemande, la ZDF a enquêté sur l’enlèvement des trois jeunes juifs au mois de juin dernier. Cette enquête minutieuse conclue que ces jeunes auraient été enlevé et tué par l'armée israélienne.
Le reportage a été diffusé 23 juillet dernier sur la chaine allemande.
"auraient été enlevé et tué par l'armée israélienne" c'est pas ce que j'ai compris de la traduction, si ça ce trouve ces gosses allaient faire l'objet d'un trafique d'organe à l'israelienne. C'est pas plus idiot comme hyppothèse.
Tout aussi extrémiste que Lieberman mais en plus con... (john Kerry étant de la "familia" = jeu de dupes)
wikipedia a écrit:Naftali Bennett (en hébreu : נפתלי בנט), né le 25 mars 1972 à Haïfa, est un homme d'affaires et millionnaire israélien qui dirige le parti politique nationaliste et sioniste religieux situé à l'extrême droite du spectre politique israélien1 Le Foyer juif, ainsi que le mouvement pro-colonies My Israel.
Nommé chef du bureau de campagne du Likoud au côté de Benjamin Netanyahou entre 2006 et 2008, il dirige la réforme sur l’éducation. De janvier 2010 à janvier 2012, Naftali Bennett est dirigeant du Conseil de Yesha. En 2012, il quitte le Likoud pour rejoindre le parti Le Foyer juif. Le 6 novembre 2012, il est élu à la tête du parti Le Foyer juif avec 67 % des voix. Il présente une liste aux élections législatives israéliennes de janvier 2013, avec en tête de liste des membres religieux et non religieux, qui obtient 11 sièges2. Il obtient le poste de Ministre de l'Industrie, du Commerce et de l'Emploi mais aussi celui des Affaires religieuses dans le Gouvernement Netanyahou III.
En 2010, Naftali Bennett et son groupe « Mon Israël » lancent une vaste initiative de correction de Wikipédia, pour y réviser les articles présentant selon eux des points de vues trop pro-Palestiniens. L'initiative comprend des cours d'éditions de Wikipédia, ainsi qu'un concours du « Meilleur éditeur sioniste », avec un voyage en montgolfière à la clé3,4,5.
En juillet 2013, il déclare : « J'ai tué beaucoup d'Arabes dans ma vie. Et il n'y a aucun problème avec ça », lors d'une réunion retranscrite par le quotidien Yedioth Ahronoth6.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Naftali_Bennett
Bennett a écrit:"L'attaque du 11 septembre contre les tours jumelles n'avait rien à voir avec Israël*. Le Djihad mondial n'a rien à voir avec Israël. Les frères musulmans égyptiens n'ont rien à voir avec Israël. La révolution d'Al-Sissi n'est pas liée à Israël. La décomposition de l'Irak n'est pas liée à Israël. Le massacre de 150000 syriens par Assad (y compris les femmes et les enfants) n'a rien à voir avec Israël. La naissance de l'Etat Islamique n'est pas liée à Israël. Le succès des djihadistes en Irak et en Syrie n'est pas lié à Israël. La haine puissante entre sunnites et chiites n'est pas liée à Israël", a rétorqué Bennett.
Voici un document vidéo exceptionnel, réalisé par des patriotes américains, qui traite des événements du 11 septembre comme vous ne le verrez jamais à la télévision française. Missing Links (chaînon manquant) est le fruit d’une enquête longue et indépendante, il a été conçu en octobre 2007 pour une durée de 2h05. Bon visionnage.
Il est très rare de pouvoir approcher de près la guerre, les recherches de pointe en armement et en sécurité.
Les hauts militaires israéliens que suit le réalisateur Yotam Feldman sont pourtant sans complexe. Ils ont du monde une vision parfois sophistiquée, ils lisent les philosophes et se reconnaissent dans les valeurs du progrès social. La plupar t ont fait leur carrière en Cisjordanie, territoire occupé par Israël, qui leur a servi de laboratoire. Ils exportent à présent dans le monde entier un savoir-faire hors du commun.
Armement, sécur ité, nouvelles théories militaires , ils ont inventé les drones ou le fusil à tirer dans les coins. Pour cela, les plus grandes armées du monde viennent les consulter et font d’Israël l’une des plus gandes puissances exportatrices d’armes . Avec “Vendeurs de guerre”, nous pénétrons dans un monde très fermé, terrifiant et passionnant à la fois .
Révélations de la chaîne ZDF sur l’enlèvement des trois adolescents israéliens
ER Traductions
Ajoutée le 26 juil. 2014
Lors d’un reportage pour la chaîne allemande ZDF, le journaliste Christian Sievers revient sur le récent enlèvement et le meurtre des trois adolescents israéliens, qui a conduit à l’opération en cours en ce moment à Gaza.
Vos commentaires libres et sans inscriptions sur http://www.egaliteetreconciliation.fr...
ZDF Révèle la vérité sur la mort des 3 adolescents Israeliens
cmnsns
Ajoutée le 25 juil. 2014
FRENCH and ENGLISH Subtitles
Commentaire:
L Ziegler
il y a 6 mois (modifié)
+cmnsns Merci pour l'effort des sous-titres. Je confirme la traduction fidele de l'allemand au français, mise en sous-titre ici.
Dommage +cmnsns d'avoir coupé la derniere minute du reportage (qui dure 6m30s). Merci de le mettre en entier, avant qu'une diffusion exponentielle se fasse. (en le postant à des users qui ont une large audience ça peut partir assez vite) C'est un reportage important que les français doivent pouvoir voir. Les observateurs attentifs et commentateurs savent la censure qui s'applique dans certains masses-medias français, en particulier, mais pas seulement, dans la censure des commentaires critiques memes argumentés et documentés.... (et dans les deux "Grands quotidiens" francais, l'un de "droite" et l'autre "de gauche" ... mais avec la meme censure sytematique sur l'état tabou; (chacun peut essayer !...si vous ne l'avez pas experimenté))
(Il y a malheueusement un copie sur Youtube où un posteur (...) a rajouté des inventions dans la fiche de presentation - ça ne sert à rien de rajouter des fantasmagories à ... ce qui est déjà une manipulation par le gouvernement israelien, et déjà un sac de noeuds. Ici sur cet upload pas ce genre de chose et une traduction fidèle. )
Il s'agit du reportage du journaliste Christian Siever de la ZDF 52e chaine TV generaliste allemande) diffusé le 16.07.2014 qui dure 6m30s
Une correction mineure :@03:17 il ne s'agissait pas d'une "intervention" (police ponctuelle et limité) mais bine d'un "déploiement" (massif) de la police et de l'armée (400+ ou 500+ emprisonnements d'apres d'autres sources (The Guardian etc). (En Cisjordanie le régime de "detention administrative" hérité du mandat britannique permet d'emprisonner sans charges et sans proces ! ..; (avec reconduction possible tous les 6 mois ...)
L Ziegler
il y a 6 mois
Il manque la derniere minute du reportage (commentaire suivant) - d'analyse ex-post, mais dommage : ici traduction de la derniere minute : http://www.zdf.de/ZDFmediathek/beitrag/video/2198550/Israels-Offensive-in-Gaza#/beitrag/video/2198550/Israels-Offensive-in-Gaza
(timing de l'original ZDF, j'ajusterai) 05:15 Dani Cohen 1er Juillet "-Ici, des jeunes ont été tués. Pourquoi notre Premier Ministre ne rase pas Gaza ?! (Warum unser PM Gaza nicht in Erdboden gleich) Je suis tres tres furieux." "la violence s'est propagée , musulmans contre juifs, juifs contre musulmans. Encore un jeune a été assassiné, cette fois un plaestinien, manisfestement par des extremistes juifs. Sur Internet c'est passé de BringOur Boys à l'appel à la vengenace. " 05:45 Noam Sheizaf " - l'atmosphere est tres empoisonnée et tendue. La question n'est pas s'il y a eu une conspiration, mais si toute cette escalade aurait pu etre diminuée, si la presse gouvernementale avait agit de façon responsable ? Ma réponse est : Oui !" 06:03 "Entre temps le Hamas augmenta ses attaques de roquettes depuis Gaza. Israel (xxx) avec un bombardement massif. 06:10 >> "La plupart des israeliens font confiance à leurs services secrets presque aveuglement. Ils craignent que leur pays serait en grand danger sans leur travail. Certains cependant se demandent maintenant si celui ci (le pays), finalement, à travers leur travail ne l'est pas (en grand danger) (Die Erste hier fragen sich jetzt ob es das durch deren Arbeit am Ende auch ist)"
L Ziegler
il y a 6 mois
English TRANSLATION:********************************* TRANSLATION du report from journalist Christian Siever - ZDF (2nd TV generalist channel in Germany) broadcasted on16.07.2014 :
http://www.zdf.de/ZDFmediathek/beitrag/video/2198550/Israels-Offensive-in-Gaza#/beitrag/video/2198550/Israels-Offensive-in-Gaza 00:30 3 young israelis kidnapped : "kidnapped" are the headlines of newspaper 00:40 "A lot of details are not disclosed to israelis. Only that their government has already decided who the culprits are (nur dass Ihre Regierung bereits die Schuldigen ausgemacht hat) " 00:46 "Those are Hamas members, who kidnapped the 3 youngs. The same Hamas which merged with the palestinian Presidennt (Abbas) in a general government - This will have consequences !" "Israelis are shoked , at the Wailing Wall 10'000 pray for the end of the abduction, and the whole country participate. " 01:07 >>> "What people don't suspect is that the security authorities of Israel know a lot more !"<<< At a few kilometers // they have found a burnt car // with a lot of blood. 01:28 "and they have got the recording of the distress 911 call of one of the (3) youngs who could call for a SOS call. "Allo, (here is) Urgency number" "We have been kidnapped !" "Allo ?" "Lower your head !" "Allo ?" Then according to experts Ensuite selon les experts we can hear what are 10 arm shots equiped with a silencer" "from this, the detetctives could start from the hypothesis that (davon ausgehen, dass) it was not a kidnapping but an assassination"
02:00 "But all this was kept under strict secret. The israelis security authorities put an absolute ban for the press on these news. ( eine Sperre verhängt) 02:11 "newsroom of the editors of Channel 10 TV in Tel Aviv : amid the journalists in the room, is working as well a censor"
The journalist Ravi Drucker declares : >>> " - This is a "peculiarity of Israel" , that employees of the security services control every news related either to Security, to defense, or to Foreign Affairs - they need to authorize every news item to be broadcast"
Ravi Drucker is one the most renowned journalist in Israel. " - The censor works in a hard dialogue, wheras any journalist in a "democracy" should not be involved in this kind of dialogue" <<<<<<
"Soon after the act (the assassination) was committed Ravi Drucker knew many details that he could not broadcast" Ravi Drucker : "- A part of this information had to be kept secret, so that we could find the criminals. But for the rest of the news, we should not foster false hopes"
03:14 "In the meantime there was a massive deployment of (israeli) secret services, police, and soldiers searching for the (3) youngs. The army has got another mission : to strike as hard as possible the estremists from Hamas (so Hart treffen wie möglich) " "massive arrests, xxx, were undertook, always under the pretext they searched for the 3 kidnapped."
03:39 "By palestinians, the rage rose. They felt they were punished collectively by a massive army operation, which he army speaker justified gaian as a police operation"
03:46 "- So far we start from the hypothesis that the 3 "kids" are still alive. The hope is that we will find them still alive. In the past unfortunately we have had some bad experiences with kidnappings. This time we are doing our upmost really to bring back these kids"
04:00 "At the same time the israeli governement supports a huge worldwide communication campaign back ourboys , shared by millions across the social networks, and pasted as well on Tel Aviv buses. ANd the israelis demonstrated en masses for the return of these youngs. That's a trauma for this society. Too many times they had to live such a situation" 04:28 "That's a situation where government management has been questionned so far by only few people."
Ravi Drucker "- People were expecting that the youngs still lived, there was thus a pressure on the Prime Minuster and the Army to do something. So, things got started that we should better have left. And it slipped up to the current events in Gaza." "I don't say it was unavoidable from the censorship of the full information (note : of the assassination of the 3 youngs), but the Army and secret services have done a serious mistake" 05:00 "2.5 weeks after the disappearence of the youngs , their bodies were found. From sorrow, it became anger and hatred. " 05:15 Dani Cohen 1st July "- Here youngs have been killed ("Hier, werden Junge umgebracht" Nicht ? "Wir werden..."). Why our Prime Minister is not razing to the ground Gaza ?! (Warum unser PM Gaza nicht in Erdboden gleich) I am very very furious." "the violence was propagated, muslims against jews, jews against muslims. Again a young was assassinated (note : burnt alive), this time it was a palestinian, apparently by extremist jews. On internet it shifted from "Bring back our boys" to vengenace calls" 05:45 Noam Sheizaf " - The climate is poisonned a lot and very tense. The question is not if there was a plot, but if all this escalation could have been dampenned, if the governemental press had behaved reponsibly ? My answer is : Yes !"
06:03 "In the mean time Hamas increased its rockets attacks from Gaza. Israel (xxx) with a massive bombardment. 06:10 >>> "Most of the israelis trust their secret services, almost blindly. They fear their country would be in great danger without their work. Some however are wondering now if, through their work, it (the country) , finally, is not (in great danger) (Die Erste hier fragen sich jetzt ob es das durch deren Arbeit am Ende auch ist)"
If you note some valuable correction, let me know and I ll incorporate it in this post.
Autre sauvegarde (bataille sur wikipedia):
Note sur le créateur de l'article
Je signale que l'auteur du contenu l'article en l’état est le contributeur Ubixman. Voir l'historique de ses contributions dans l'article sur le Hamas : https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Hamas&curid=4610536&action=history . Cosinus55 (discuter) 17 juin 2014 à 12:00 (CEST)
Catégorie Terrorisme palestinien inappropriée
Ubixman tente un passage en force pour imposer son choix malgré le consensus qui s'est développé dans la discussion dans la section Acte de terrorisme palestinien ?. Il ne s'agit pas de rejouer un remake de seul contre tous, il s'agit d'admettre que son avis est très fortement minoritaire (1 contre 5) et que le consensus veut autre chose. Cette attitude contrevient à l'esprit qui doit prévaloir sur Wikipédia, elle est non-collaborative et lamentable.
Le 14 juin, trois organisations palestiniennes inconnues ont revendiqué cet enlèvement, mais la crédibilité de ces revendications est mise en doute par l’armée israélienne. Le 25 juin, des médias palestiniens rapportent « qu'un groupe palestinien inconnu auparavant revendique la responsabilité du kidnapping des trois adolescents israéliens10,11. » Un groupe se présentant comme la « branche Palestine-Cisjordanie » de l'État islamique en Irak et au Levant (EIIL), revendique notamment l'enlèvement des trois adolescents le 15 juin. C'est la première fois qu'un groupe réclamant de l'EIIL se manifeste en Palestine12.
Le journaliste allemand Christian Sievers (de) affirme, lors de l'émission Auslands Journal, du 16 juillet 2014 de la chaîne de télévision allemande ZDF que « l’Agence de renseignement israélien Shin Bet était au courant dès la découverte des corps jetés à Hebron, mais le Premier ministre israélien Netanyahu a tenu à conserver secrète l'information afin que le crime puisse servir de prétexte à la guerre en préparation.». Le journaliste accuse le gouvernement d'Israël de « manipulation de l'information en direction de l'opinion de son pays et internationale pour pouvoir accomplir ses crimes de guerre en toute impunité. »38,39. En outre, le chef du Mossad avait « prédit » l’enlèvement des trois adolescents. Dans un article intitulé Mossad chief’s chillingly prescient kidnap prophecy. − Selon le journal Haaretz du 13 juillet 2014 : « Le chef du Mossad Tamir Pardo avait décrit un scénario terriblement semblable à l’enlèvement des trois adolescents disparus en Cisjordanie »40.
"Je ne le considère pas comme un pays religieux car, Dieu merci. C'est en train de changer (ce "pays" serait donc de moins en moins religieux). Je ne suis pas religieuse du tout." 1m48 j'adore... Ce qui est paradoxal n'est pas forcément incongru, Dieu merci.
Les troupes japonaises s'entraînaient le 7 juillet 1937 près de Wanping, à l'extrémité est du célèbre pont Marco Polo (aussi appelé Pont de Lugou) situé à 16 km à l'ouest de Pékin. Les Japonais accusèrent alors les Chinois d'avoir enlevé un de leurs soldats, qui, après avoir fait un tour dans une maison de passe, réapparut deux heures plus tard. Face à cette situation, les Japonais insistèrent pour fouiller les maisons, en prétextant des tirs chinois vers leurs soldats1, opération qui leur fut refusée par les Chinois. Les Japonais saisirent le prétexte pour faire venir des renforts et s'emparèrent de Pékin. Ce fut le point de départ de la seconde guerre sino-japonaise.
Le vendredi 31 juillet, tôt dans la matinée, un bébé palestinien : ALI DAWABSHA bébé de 18 mois a été brûlé vif dans sa maison incendiée par des colons israéliens, en Cisjordanie occupée. Des témoins ont relatés les faits : des colons israéliens se sont précipités sur deux maisons, fracassant les fenêtres pour y projeter des liquides inflammables.
« Nous avons vu quatre colons fuir en restant à distance les uns des autres. Nous avons essayé de les poursuivre mais ils ont fui vers la colonie de Maale Efrayim située à proximité. », A attesté Musallem Dawabsha, 23 ans.
Le petit bébé, Ali Saad Dawabsha, a été pris au piège gravement brûlé, il décède rapidement. Quant au père il a rejoint les cieux en laissant derrière lui le reste de La famille DAWABSHA, rudement blessée : la mère et le frère d’Ali, Ahmed, 4 ans, ont subi des brûlures d’une grande gravité. Ils sont toujours entre la vie et la mort.
Malgré les promesses de fermeté envers ces extrémistes, les beaux discours de Netanyahou et son gouvernement ne sont que brassage de vent ! L’auteur du crime n’a écopé que de 6 mois de prison en détention administrative. (Cette détention administrative, mesure arbitraire qui permet à l’israel de détenir des civils sans inculpation, ni procès, ou jugement pour des périodes de six mois renouvelables.
Cette mesure habituellement réserve aux Palestiniens, est pour la première fois utiliser à l’encontre d’un juif. Toutefois, sans procès ni justice, nous craignons que la suite des évènements ne soit guère défavorable à ce meurtrier).
Dernière édition par stg45 le 14/8/2015, 00:03, édité 1 fois