Un leader de la communauté juive accusé de possession de pornographie infantile
La Presse Canadienne Andy Blatchford
29/05/2009 18h15 - Mise à jour 29/05/2009 21h51
http://www2.canoe.com/infos/societe/archives/2009/05/20090529-181516.html
Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.
Source
Le rabbin Daniel Farhi, l’un des fondateurs du Mouvement juif libéral de France (MJLF), a été mis en examen mercredi 18 pour agression sexuelle sur mineures.
Selon le site JForum, l'accusation comporte des agressions sexuelles sur plusieurs jeunes filles, alors qu'Europe 1 parle « d’agressions sexuelles et de viol sur trois jeunes femmes, dont une âgée de moins de 15 ans à l'époque des faits ». Et de signaler que seuls des faits d'agressions sexuelles sur une mineure ont été finalement retenus, les deux autres dossiers étant prescrits.
Son avocat Me Christophe Ayela a démenti les accusations portées contre son client suspectant qu’il a affaire à « une vraie calomnie, une vengeance », sans savoir toutefois les raisons.
Âgé de 70 ans, rabbin farhi avait été élevé au rang d’officier de la légion d’honneur le 1er janvier 2012 àla requête du président français Nicolas Sarkozy.
Commentant cette affaire, le rabbin du Consistoire Michel Serfaty a estimé que "ce serait une catastrophe si les charges qui pèsent sur le rabbin Farhi étaient confirmées ».
Et de rappeler que c'est Farhi qui a institué la lecture de tous les noms des déportés juifs de France, chaque année.
Ce rite entrée en vigueur depuis 1991 rassemble des Juifs de France et des personnalités du milieu politique pour lire pendant 24 heures d’affilée les noms des juifs déportés de France entre mars 1942 et aout 1944. Selon les chiffres officiels, leur nombre s’estime à 76.000 dont 2.500 ayant survécu.
To Catch a Predator (« attraper un prédateur ») est une émission télévisé américaine présentant des enquêtes en caméra cachée qui visent à identifier et arrêter les personnes qui contactent des mineurs sur Internet dans le but d'avoir avec eux des relations sexuelles.
https://www.youtube.com/watch?v=lo-bWWg2pzE
http://www.perverted-justice.com/?archive=REDBD
Le Talmud : http://www.scribd.com/doc/2773079/Le-Talmud-demasque-Pranaitis-1892
Druide a écrit:Ils en parlent dans quelques journaux à grand tirage, mais pas à la télé. La télé est cadenassée.
il y a quelqeus années c'était Raboinowitz, un laquais des Bronfman, qui dirigeait Radio-Canada et sa version anglaise la Canadian Broadcasting Corporation.
Quant aux médias non-fédéraux, il y a au Canada, les conglomérats CanWest (famille du défunt Israel Asper), Québécor, et Astral Média (dont le panel de direction est rempli de juifs et de sionistes).
Robert Rabinovitch (born 1943) is a Canadian public servant and businessman, and he served as the President and CEO of the Canadian Broadcasting Corporation from 1999 to 2007.
A graduate of McGill University and the University of Pennsylvania, he holds an M.A. and a Ph.D. in Economics and Finance. He has been a member of the Board of Governors of McGill University since 1997, serving as Chair from 1999 to 2006. In 2007, Rabinovitch was reappointed Chair of McGill's Board for a two-year term beginning January 1, 2008. In 2003, Rabinovitch was awarded an honorary doctor of laws degree by York University in recognition of his public service.
Rabinovitch has held positions in both the public and private sectors. He worked for the Government of Canada from 1968 to 1986, serving as Under Secretary of State from January 1985 to September 1986 and Deputy Minister of Communications from 1982 to 1985. He also held several positions within the Privy Council Office, including Deputy Secretary to the Cabinet and Senior Assistant Secretary to the Cabinet for Priorities and Planning.
While serving as head of the CBC, Rabinovitch ordered the lockout of 5,500 unionized employees in 2005, leading to a two-month labour struggle between the crown corporation and the Canadian Media Guild.
Prior to his appointment as head of the CBC, Rabinovitch served as Executive Vice-President and Chief Operating Officer of Claridge Inc., a Bronfman family holding company. He has been a member of a number of corporate boards, including Cineplex Odeon and NetStar Communications. He was also a member of the federal government's Direct-to-Home Satellite Broadcasting Policy Review Panel.
Rabinovitch has also been active with the Canadian Executive Service Organization (CESO), the CRB Foundation, the Samuel and Saidye Bronfman Family Foundation and the Canadian Film Centre. He served as Chairman of the Executive Committee of the Canadian Jewish Congress (Québec) until his appointment to the CBC.
http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/05/29/006-Sukis-pornographie-juvenile.shtml
L'homme de 69 ans, bien en vue dans la communauté juive, est accusé de posséder des vidéos de pornographie infantile. Il a été remis en liberté sous de strictes conditions.
Bill Surkis, un leader de la communauté juive, est accusé de possession de matériel de pornographie juvénile. Il a comparu au palais de justice de Montréal, vendredi après-midi.
Une vingtaine de vidéos de pornographie infantile auraient été retrouvés dans l'ordinateur que M. Surkis a envoyé dans un magasin de réparation.
Informé jeudi soir des accusations, celui qui fut directeur de la section québécoise du B'nai Brith s'est rendu lui-même au poste de police, où il a été mis en état d'arrestation. Il est accusé d'accès et de possession de matériel de pornographie juvénile.
Pour chacun des chefs d'accusation, Surkis est passible d'un minimum de 45 jours en prison. La peine maximale est de 10 ans, selon son avocat, Steven Slimovitch.
Bill Surkis, 69 ans, a été remis en liberté sous plusieurs conditions. Il lui est interdit de se trouver seul en présence de mineurs, et son utilisation d'un ordinateur est limitée à des fins professionnelles. Il doit aussi informer, chaque mois, la police à propos de sa navigation sur le net, et ne pourra pas quitter le Québec.
L'accusé, marié et grand-père, reviendra en cour le 24 septembre prochain pour connaître la suite des procédures.
« Ils seront déçus. Ils me connaissent comme un individu dévoué », a déclaré M. Surkis quant à l'impact qu'aura son arrestation au sein de la communauté juive.
Pornographie juvénile
Peine clémente pour Bill Surkis
Publié le: jeudi 09 décembre 2010, 12H07
MONTRÉAL - Bill Surkis, une figure éminente de la communauté juive montréalaise qui a plaidé coupable à des accusations de possession de pornographie juvénile, a été condamné à une peine de 45 jours de prison jeudi, au palais de justice de Montréal. Il s'agit de la peine minimale d'incarcération prévue au Code criminel pour ce type de délit.
L'homme de 71 ans purgera sa peine pendant 22 fins de semaine (While he does have to present himself at Bordeaux jail for the next 22 weekends, he may not necessarily spend all those weekends behind bars. autre source ) consécutives à partir du 11 décembre. Il entrera au pénitencier les samedis à 9 h et devra y demeurer jusqu'au lendemain à 17 h.
En plus de sa peine de prison, il devra compléter 240 heures de travaux communautaires dans un délai de six mois. Il sera également assujetti à une probation de trois ans durant laquelle il lui sera notamment interdit de se trouver en présence de mineurs de moins de 16 ans sans être accompagné d'un adulte responsable.
La Cour du Québec a ainsi entériné la suggestion présentée conjointement par la poursuite et la défense. «Ça nous apparaissait être la chose à faire», a indiqué la procureure, Cynthia Gyenizse, après l'audience.
Fait à noter, la Cour a toutefois refusé d'inscrire le nom de Surkis au registre des délinquants sexuels. Elle n'a pas non plus ordonné la prise d'échantillons d'ADN.
Neuf heures de vidéo
Bill Surkis, ex-doyen du collège John-Abbott et directeur de la section québécoise de l'organisme juif B'nai Brith, a été arrêté en novembre 2008 après qu'il eut amené son ordinateur dans un magasin Best Buy pour des réparations.
Un technicien du commerce a découvert des fichiers de pornographie juvénile dans l'appareil et a aussitôt contacté les policiers.
Après analyse, ceux-ci ont trouvé 21 vidéos totalisant près de neuf heures d'enregistrement. On y voyait des jeunes filles âgées de 6 à 14 ans en train de se livrer à des actes sexuels avec des hommes adultes.
L'accusé a toujours nié avoir une quelconque attirance sexuelle envers les enfants et a expliqué avoir téléchargé ces fichiers simplement par curiosité. Un motif que la juge Lamontagne a qualifié de «questionnable».
Surkis a par la suite dit regretter ses gestes, mentionnant que sa vie professionnelle et familiale avait été détruite. Un rapport présentenciel conclut d'ailleurs que ces remords apparaissent sincères et que l'accusé ne présente qu'un faible risque de récidive.
«Le processus judiciaire semble avoir eu son effet de dissuasion sur l'accusé», peut-on y lire.
Avant de plaider coupable, Bill Surkis n'avait aucun antécédent judiciaire.
Newsweek Article on Alleged Hasidic Child Abuse Sparks Brooklyn Yeshiva Protest
About 40 protesters holding signs and chanting gathered outside the Ohlei Torah yeshiva in Brooklyn on a snowy Sunday evening in response to a Newsweek exposé on the alleged sexual and physical abuse of students by rabbis at the school.
Chaim Levin, the protest organizer whose story of abuse at Oholei Torah was chronicled in the Newsweek article, on Sunday spoke about the physical and sexual abuse he says he and other students at Ohlei were forced to suffer, saying: "It's unfathomable to me that the people who did this kind of violence are teaching."
The protest was timed to take place during an annual fundraising gala for the boys’ yeshiva. Ohlei had parked school buses bumper to bumper to block protesters from yeshiva. The school and its principal didn't respond to requests for comment.
Protesters were chanting "fire abusive teachers" and "call the cops, not the rabbi."
One of the protesters, Yosef Amrammi, said Sunday: "This iron curtain around the Chabad community will fall. They will be held accountable for denying us basic civil rights like education. The sexual abuse is a result of that insularity."
A statement on the Facebook page for the protest read: “For too long, teachers and principals in this school have ignored children being abused physically and sexually. There is evidence to suggest that in most of these cases the school knew about these crimes and chose not to act."
“Furthermore, three of the people mentioned in the Newsweek article, people who either abused children themselves or oversaw it, are still employed by the school,” the statement said.
The protesters were demaing an end to child abuse, the replacement of abusive staff and apologies to victims of childhood sexual abuse. Organizers also want victims to be paid compensation “for the damage caused by abuse,” they said in a press release.
Passerby Shlomo Winter, 55, who identified himself as an Orthodox Jew but not Chabad, said:
"The people who run orthodox institutions want to protect their own and their own reputations because everything's so tightknit. Unfortunately, the victims end up suffering."
La réalisatrice française Yolande Zauberman a dévoilé un documentaire choc sur l'horreur de la pédophilie dans une banlieue ultra-orthodoxe de Tel-Aviv
Sur une plage de Tel-Aviv, un trentenaire chante nuitamment un air yiddish. Il est filmé en gros plan, on ressent d’emblée quelque chose de sombre, d’oppressant. Derrière une voix d’ange, une souffrance. Menahem Lang prend la caméra à témoin: «J’étais un porno kid, un garçon destiné au plaisir des hommes.» On plonge alors avec lui dans la ville ultra-orthodoxe de Bnei Brak, fondée dans les années 1920 par des familles hassidiques. Y vivent les haredim, ou «Craignant-Dieu». On a l’impression d’une secte à ciel ouvert.
Menahem, alors qu’il avait 7 ans, peut-être même moins apprendra-t-il plus tard, a été violé par plusieurs rabbins et membres des autorités religieuses. Accompagné de la documentariste française Yolande Zauberman, qui a notamment travaillé auprès d’Amos Gitaï, il a accepté de revenir sur les lieux du crime, au cœur d’une ville divisée en clans et régie par une ségrégation des genres moyenâgeuse.
Milieu hypocrite
C’est alors à un voyage au bout de l’horreur que l’on va prendre part. Car, évidemment, le problème de la pédophilie est large, il existe de nombreux Menahem qui, eux aussi, ont subi la violence sexuelle d’adultes qu’ils craignaient et respectaient. Menahem a gardé sa voix d’une pureté bouleversante, mais à l’intérieur, il est à tout jamais abîmé. Comment se construire une sexualité normale lorsqu’on a été violé? Et, plus largement, comment se construire une sexualité normale dans un milieu hypocrite qui condamne les relations hors procréation et se cache les yeux?
M est le seul documentaire en compétition cette année à Locarno, et c’est un film choc. Un film comme fermé, aux cadrages étroits, sans profondeur de champ, un film en apnée qui ne laisse pas le temps au spectateur de respirer. «Ce film est un couteau», lit-on après 1h45 suffocantes, révoltantes. Un couteau qui, espérons-le, provoquera une saignée à même de libérer la parole et de pousser les ultra-orthodoxes – comme l’Eglise catholique a dû le faire – à se pencher sur sa part d’ombre. Les enfants ne vont dorénavant plus seuls aux bains rituels, apprend-on déjà à l’issue de ce documentaire admirablement construit.
Source : https://www.letemps.ch/culture/violence-echanges-milieu-hassidique