(22 mai 2011) (copie de mon post provenant d'un autre site qui oblige l'inscription pour lire les posts, j'ai donc choisi ce forum comme référence a mon affaire)
HALLUCINANT !
On cherche a placé mes enfants en famille d'accueil pour le refus de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement a la cortisone et de le rendre dependant a vie de ce traitement au lieu de privilégier une guérison plus longue mais définitive !
Bonjour à tous,
_ Je suis le témoin direct en tant que père des enfants concernés des manoeuvres vicieuses des services sociaux pour tout faire pour, dans un premier temps, placé provisoirement mon enfant SE... T.. qui a près de trois ans et mon autre fils SE... Th... qui a 4 mois dans un hopital en vue d'ensuite les fournir au marché de l'adoption et dans un deuxieme temps, tout faire pour me faire croire qu'après le placement provisoire a l'hopital, les enfants retrourneraient chez eux afin que l'on ne constitue aucune défense et que nous nous retrouvions démunie le jour de la décision de justice semblant déja décidé d'avance..
Je suis capable de prouver amplement leurs exactions avec preuve a l'appui.
On cherche déja a briser l'allaitement maternelle du petit en n'autorisant que deux tété par jours en vue de placé les enfants en famille d'accueil. La décision de justice est déja donc bien présente avant même d'avoir eu lieu et tous me laisse a penser que tous cela serait organisé d'avance.
_ Le lendemain des menaces des services sociaux qui ont était faites sur la mère de mes enfants si elle refusait de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement a la cortisone pour l'éczéma de mon petit que sois disant nous refusons de soigner (et qui est en amélioration depuis son apparition, élément que les service sociaux s'éffore d'ignorer), voici le courrier que j'ai envoyer à la direction de l'U.T.P.A.S pour clarifier la situation :
Mr SE.... S.......
10/....... .........
........................
06....... Fait le 09/05/2011
Cher Madame Monsieur,
Je suis le papa de l'enfant SE... T..... sur lequel vous émettez un jugement très visiblement faussé, je ne vous en veut évidemment pas mais je suis très outré et des excuses de votre part seraient les bienvenues.
Pourquoi votre jugement est faussé et surtout très visible?
Car un jugement requiert évidemment un minimum de connaissance sur une situation mais ce qui me saute au yeux c'est que pour votre cas, ce n'est pas que vous ayez un minimum de connaissance dans votre jugement de la situation de mon enfant c'est que non seulement vous n'en avez visiblement aucune mais qu'en plus de cela vous avez malheureusement des informations fausses..
Je vous écris donc aussi pour combler ces lacunes.
Oui l'on vous a, j'espère involontairement (cette personne était peut être fatigué?) malheureusement induit en erreur, car biensûre, il est tout bonnement ridicule de penser qu'en tant que père aimant et humanitaire je refuserai a mon enfant ou ne m'assurerai pas qu'il ai des soins pour son eczéma, d'ailleurs à ce propos et afin de limiter vos lacunes accablantes a propos des informations concernant la situation de mon petit garçon, sachez que la voie de guérison de l'eczéma de mon enfant est chronologique, (pourquoi alors inverser la chronologie?), ce qui donne de la joie dans le coeur de ses parents, du votre aussi j'espère bien? Cela ne vous procure t-il pas autant de joie que moi de savoir que mon enfant est en pleine guérison de son eczéma sans avoir eu besoin d'avoir eu une tête de bowling (effet secondaire possible de la cortisone)?
Réjouissons-nous ensemble que l'huile d'amende douce, assez cher il est vrai, hydrate soigneusement sa peau et ses jolies petites joues tout en lui ôtant cette envie de se gratter.
Pourquoi chercher vous, involontairement je l'espère, des problèmes ou il ny 'en a pas?
Comment pouvez-vous vous laisser aller dans une tel divagation a être aussi affirmatif tout en étant aussi peu avisé sur la situation de mon garçon?
Vos agissement me paraissent très maladroit, ceux-ci causant diffamation que j'espère encore une fois involontaire de votre part.
En tous cela, votre comportement est très immature et certainement non conforme a ce que devrait représenter votre profession.
Car le jugement irresponsable de votre part dénué de tout pragmatisme est émis sans aucune connaissance de la situation qui nous préoccupe, celle de mon enfant, ce qui devrait pourtant être évidemment le cas et qui permettrait un jugement objectif comme par exemple celui que je porte (ou que porte une foule de témoins : entourage voyant régulièrement mon bébé) en ce moment sur la situation de mon enfant puisque j'ai bien ces connaissances sur sa situation qui me le permet.
Pour continuer, et puisqu'il s'agit de connaissance sur une situation, celle de mon enfant, avec comme objectif son bien être, j'ajoute que je ne vous ai étayé la qu'un cours extrait de l'énorme quantité d'information que j'ai concernant la situation de mon petit garçon, concernant son bien être, étant placé au premier en rang étant le père étant a même de porter un jugement se voulant être des plus objectifs, étant un des mieux placé pour juger objectivement de la situation contrairement a vous au vue de l'étrangeté de vos jugements et attitude.
Voyez-vous, de par votre attitude diffamante vous devenez a vos dépend les moins bien placé pour donner un avis tout en ayant jamais vu mon enfant de votre vie entière contrairement a ses parents et son entourage qui le voit régulièrement lui et clairement la guérison de son eczéma que semblez vous entêter à ignorer.
Voici ce que vous devriez savoir :
1/ La diffamation est punie par la loi
2/ Prolonger une évidente calomnie en voulant la rendre procédurière tout en refusant de reconnaître son non fondement évident aggravera la situation du diffamateur et démontrerait ses mauvaises intentions mais je me refuse a penser que vous iriez jusqu'à être aussi vulgaire.
3/ Votre profession ne vous met pas au dessus des lois
4/ Les procureurs ne sont pas a votre botte comme vous sembliez pernicieusement le sous entendre a mon ex-conjointe car ce travail consiste aussi a être objectif ce qui vous a visiblement manqué cruellement dans votre jugement sur la situation vous en conviendrai.
Je vous souhaite bonne continuation et de parvenir a aider des parents et enfants qui auraient besoin de vous. Ce qui est très clairement loin d'être mon cas, par contre pour ma part, cela a été un plaisir de recourir a vos besoins d'informations sur la situation de mon garçon, je compléterai cela en allant vous rencontrer directement afin de les combler plus en avant.
Veuillez agréer, madame monsieur, l'expression de mes cordiales salutations.
_ Deux jours plus tard, six policiers ont débarqué, a leurs yeux nous étions déja coupable de sois disante maltraitance de nos enfants puisqu'il y avait refus d'un traitement à la cortisone alors que selon la loi, nous avons le droit de choisir le traitement pour nous même et nos enfants qui nous semble le plus adapté.
Tous n'allait que dans un sens et les policiers n'avaient de cesse de nous prendre en dérisions moi et la maman et se "foutre de notre gueule".
Après l'auditon les policiers se sont exités, ils semblaient presque en état de jouissance, d'avoir recu l'ordonnance tant attendu, ordonnance permettant que l'on place provisoirement mon fils Thai (le petit de 4 mois) à l'hopital.
Le problème et la ou nos droit n'ont pas été respecté est que nous n'avions aucun droit à la défense et l'on ne nous a, a aucun moment informé de nos droits.
A aucun moment les policiers (tous commes les intervenant des services sociaux) n'ont cherchés, au moins dans l'attente d'une décision de justice, a placé mon autre fils Th... , pour éviter qu'il ne soit déboussolé, chez une des personnes de son grand entourage familiale, ce qui devrait normalement être la procédure il me semble.
L'ordonnance pour le placement provisoire à l'hopital de mon fils Th.... de prés de trois ans qui lui n'avait aucun problème de santé et n'avait rien a faire à l'hopital n'a été recu que beaucoup plus tard alors que celui-ci était déja en placement provisoire..
Il me semble clairement qu'il y a la un vice de procédure et que tout est déja décidé à l'avance.
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Voila alors un enfant de près de trois ans qui arrive à l'hopital en bonne santé pour en devenir tromatisé (tromatisme qui va en s'accentuant) et qui devient ensuite malade, perfusé, et vomissant a trois reprise en trois jour sur moi lorsque je le calinais.
Cinq jours plus tard, scandalisé de ce qui est en train d'arriver a moi et mes enfants et a tous l'entourage familiale qui est aussi très affectés, voici le courrier que j'adressai au Juge des enfants :
Mr SE.... S...... Fait le 16/05/2011 a Roubaix
...........................
39...........................
06.................
Monsieur le juge,
Je vous adresse ce courrier en urgence sous les conseils d'un juriste.
La situation est urgente car suite au refus de mon ex-conjointe Mlle R....... V. de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement à la cortisone pour soigner l'eczéma de mon enfant SE..... Th.... et des propos qu'elle a tenu depuis qu'elle est menacé de se voir retiré nos enfants si elle continuait de refusé ce traitement, celle-ci s'est vu être provisoirement déchu de ses droits. Et mon enfant SE.... Th.... qui n'a pas de problème de santé, dans l'attente d'une décision de justice, risque d'être placé en famille d'accueil, ce que je cherche a évité dans l'intêret de l'enfant car cet enfant a un entourage qu'il voit régulièrement avec lequelle il a l'habitude d'entretenir des realtions.
Avant le placement provisoire à l'hopital, Th.... SE..... voyaient régulièrement ses oncles, tantes, grand parents, cousin et cousines. Un de ses oncles Mr SE.... B. résidant au 39...... avenue du......... serait, au vue de la situation d'urgence, parfaitement disposé a m'héberger moi et mon enfant Th..... SE....en vue d'éviter un placement en famille d'accueil dans l'attente d'une décision de justice.
Afin que Th.... ne soit pas plus bouleversé qu'il ne l'est déjà et qu'il maintienne ses liens avec son entourage familiale, afin qu'il puisse continuer de jouer avec ses cousins et cousines dont les liens entre entre eux sont très fort , j'espère que vous conviendrai dans l'intérêt de l'enfant que celui-ci, dans l'attente d'une décision de justice, soit hébergé chez son oncle au lieu que dans cette attente de décision Than soit placé en famille d'accueil.
J'ajoute également qu'étant donné le grand entourage de mon enfant SE.... Th...., et au cas ou cette solution de recours pour éviter que mon enfant sois placé en famille d'accueil était refusé, que d'autres solutions d'hébergement de mon enfant seraient potentiellement possible par d'autres personnes faisant partie de son entourage familiale comme par exemple le grand père maternelle des enfants vivant dans un F3.
Je ne vois que l'intérêt de mes enfants et connaissant très bien mon enfant SE.... Th....., je sais qu'il serait psychologiquement mauvais pour lui s'il se trouvait être placé dans une famille d'accueil et que cela ne devrait se faire qu'en dernier recours.
Mr O. ROGEMA....., intervenant des service sociaux est d'accord avec moi sur ce point.
Il serait psychologiquement mauvais pour l'enfant qu'il ne soit pas au plus vite près de son entourage prêt à l'héberger.
C'est ce que pense Mr O. ROGEMA.....affirmant que le placement ne se ferait qu'en dernier recour, ce que pense l'entourage de l'enfant, ce que je pense, et j'espère fortement que vous en conviendrai également.
Dans l'attente d'une réponse de votre part, dans l'intérêt de l'enfant et afin d'éviter de le troubler plus que ne l'est déja, Mr Se.... B. et moi même restons a votre disposition.
Veuillez agréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
Au lendemain, scandalisé d'avoir constaté ceci :
Voici le courrier que j'adressai au juge des affaires familiales :
Mr SE.... S....... Fait le 17/05/2011
10/....... .........
........................
06.......
Monsieur le juge,
Au lendemain du courrier que je vous ai adréssé, je vous envoi celui-ci pour vous signaler quelle était l'horrible situation de mon enfant SE..... Th.... au matin du 16/05/2011.
Je constate en effet grace a ces photos que je vous envoi qu'hier matin Th...... baignais dans sa diarhée le regard vide et dans un état amorphe.
Je vous demande de considérer le sentiment que je peut éprouvé en tant que papa qui a l'habitude de voir son enfant tous les jours dans la bonne santé, la joie et la bonne humeur de voir son enfant rentrer a l'hopital dans ces bonnes conditions pour en devenir ce que vous voyez sur les photos ; perfusé et baignant dans sa marre de diarhée avec un regard vide et le sentiment d'être abandonné.
Je souhaite de tout coeur qu'en considérant cela et mon précédant courrier, vous feriez de votre possible et dans son interet pour que Th..... SE....., dans l'attente d'une décision de justice, me sois remis chez mon frère B. qui accepte de m'heberger moi et l'enfant.
Je souhaite de tout coeur que vous constatiez que le placement provisoire de mon enfants Th.... SE.... le tromatise car perdu de ses repaires et coupé de l'amour qu'il avait l'habitude d'avoir de son entourage et qu'il y a urgence pour la sécurité de sa santé morale et psychologique, dans l'attente d'une décision de justice, qu'il soit remis et rassuré a son papa que son oncle SE.... B. est disposé a héberger et habituer a avoir des relation joyeuse avec l'enfant.
Je sent un agent de la sécurité de l'hopital constater la situation, écoeuré et impuissant, celui-ci a eu a plusieurs reprises les larmes au yeux et affirme que selon lui, son travail n'est pas de cautionné une tel injustice et tromatisme que mon enfant Th.... ressent et exprime de manière palpable.
Cet agent de sécurité parmi d'autres voient clairement que l'interêt de l'enfant Th..... est de retouner auprès de son entourage qui l'aime.
Je ne donnerai son nom qu'avec son accord, mais quelque chose me dit qu'il vous signalera très bientôt l'injustice et le tromatisme de Th.... qu'il constate.
C'est encore une fois par l'amour de mes enfant et dans leurs interêts que je vous adresse ce courrier en esperant et souhaitant de tout mon coeur que vous accediez a ma requête, qui est aussi celle d'une cinquantaine de personnes faisant partie de l'entourage de l'enfant.
Veuillez agréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
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Le même jour un courrier est adréssé au juge par la maman des enfants :
Mlle RO...... Va....... Fait le 17/05/2011
Né ......................
4/....place................
Monsieur le juge,
Je vous adresse ce courrier pour vous faire part de mes observations en tant que maman a qui l'on souhaite briser l'allaitement ; les lien maternelles avec son enfant R. Th.... (reconnu SE....) qui, en étant séparé physiquement pour de long moment de (avec son grand frère dont l'état s'est dégradé pourtant arrivé en pleine forme a l'hopital et joyeux ) sa maman et de tous l'entourage familiale (oncles, tantes, grand parents, cousins cousines), cause le tromatisme de Tha... SENG (son grand frère) et lui fait subir une situation ou il en vient a supplier sa mère de lui venir en aide mais qui est forcé de partir et de quitter les lieu par le personnel de sécurité indigné de devoir contribuer à une tel ignominie.
Ce matin, je vais a l'hopital et je retrouve Tha.... dans des conditions abominable, inhumaine et scandaleuse, baignant dans sa diarhée avec les yeux ouvert et dans un état avachi.
Devant une tel situation scandaleuse je dus faire remarquer ces conditions quatre fois avant d'avoir une réaction conséquente de la part du personel médical.
S'il se passe de tel ignominie dans les peu de moment ou je peut etre présente car prier de quitter les lieu au plus vite a chaque fois, que pourrais-je m'imaginer ce qu'il se passe lorsque je suis absente?
Le soir, alors qu'une de mes connaissance était scandalisé des conditions inhumaines avec lesquelle moi et mon enfant Tha... étions traité, un agent de sécurité de l'hopital avait les larmes au yeux, car placé au centre d'une tel inhumanité, celui-ci déclara qu'il ne cautionne pas cela et affirmait ne pas être la pour contribuer a une tel situation , écoeuré que son travail est censer le mener a briser ou interrompre l'allaitement d'une mère pour son enfant et tromatiser en plus de cela le grand frère de l'enfant qui a prés de trois ans qui semble supplier a sa mère de lui venir en aide devant un tel tromatisme et déchirement qu'est l'injuste privation de son entourage de son papa et de sa maman avec lesquelles il vivait dans la joyeuseté et l'harmonie.
Je vous demande de bien vouloir considérer la situation et d'accepter, en attendant une décision de justice, que mon enfant Tha... me sois remis a moi, son grand père, ou son oncle SE... B. et le papa de l'enfant qui, de par leur amour pour mon enfant Than n'aurait jamais eu un manquement d'interêt pour lui au point de le laisser tout ce temps baigner dans sa diarhée.
Je vous prie dagréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
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Le même jour, un autre courrier est adressé au juge de la part d'un des oncles des enfants :
MR SE... J.
ne le : 23/...........
à Roubaix
APP 1 - .................
59..........
Monsieur le juge,
Je vous fait parvenir ce courrier pour signaler la detresse de mon neveu SE... Tha..., la famille le voyait assez souvent dans le cadre de nos reunions de famille,
nos enfants ont l'habitude de s'amuser ensemble, etant moi meme papa je ne peux que comprendre la situation de mon frere cadet SE... So...., nous n'avions jamais vu Tha... malade
c'etait un enfant en pleine santè toujours propre sur lui et heureux de vivre.
L'objet de ma lettre concerne l'etat dU petit SE.... Tha..., en effet mon frere cadet SE.... SO.... m'a fait parvenir une photo tres choquante pour ma part, qui fut prise
a l'hopital de roubaix,je lui ai vivement conseiller de vous faire parvenir cette photo pour que vous constatiez par vous meme la negligence a la limite de la maltraitance
de la part du personel.
J'estime que mon neveu n'a pas a subir un tel choc,surtout vu son jeune âge, je vous serais reconnaissant d'autoriser mon frere cadet SE... So.... à provisoirement, dans
l'attente d'une decision, reprendre son enfant chez mon frere ainé SE... B. resident 39..... Avenue des .........59.... ROUBAIX, pour l'unique bien de l'enfant.
En esperant que l'appel a l'aide du petit THA.... sera entendu.
Fait a Roubaix le 16 mai 2011.
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Bientôt, un avocat est censé prendre l'affaire en main en commencant par la connaissance des éléments suivant qui lui seront remis :
Maitre X......
Je vous expose les exactions commises a mon encontre permettant que l'on brise progressivement les liens sacré entre moi et mon enfant qui est l'allaitement afin de, a terme, me retirer completement la garde des mes enfants et les fournir a une famille d'accueil (avoeux en preuve audio de cette volonté de les placé, de casser le sevrage progressivement en invoquant le pretexte "pour le bien de la psychologie de l'enfant" or les dégats psychologique commence dès maintenant en commencant par un enfant qui perd sa joie de vivre et qui vomi a plusieur reprise (le 14/05/2011 vers 21h, preuve vidéo et physique) alors qu'il n'a jamais vomi de sa vie, un enfant qui refuse de manger, un enfant qui baigne dans la marre de sa propre diarhée les yeux ouvert et dans un état avachi.
Ces dégât psychologiques ne sont pas provoqué par moi mais par ceux la même qui invoque ce pretexte pour me déchirer de mes enfants, dégats psychologique en étant moi aussi victime tout comme le papa, tous comme mes enfants qui se sentent abandonés, ce qui s'accentuera si les manoeuvres vicieuse a mon encontre pour me retirer completement mes enfants s'avérait fructueuse.
Il y a urgence car, le jugement est déja trop présent avant d'avoir eu lieu (volonté de diminuer le sevrage progressivement pour placer les enfants en famille d'accueil, preuve audio) les procédures avancent anormalement vite suite a des dénonciation calomnieuse a mon encontre insinuant qu'il y a danger pour mes enfants, pour leur sécurité moral, que leur sécurité apparraitrait gravement compromise et qu'il y a urgence à prendre une mesure de sauvegarde.
De ce fait, les procédures avancent a vitesse grand V et une décision de justice est cencé être rendu dans les 15 prochains jour.
Il y a urgence, j'ai besoin de pouvoir constituer ma defense (tout est fait pour que je ne le fasse pas) de pouvoir me défendre, et de prouver leurs exactions afin de d'éviter a tout prix un placement.
Deux intervenants des service sociaux sont venus me menacé au pas de ma porte en me disant que si je ne voulait pas donner a mon enfant de la cortisone pour son eczéma, ceux-ci allaient écrire au procureur afin de me l'imposer de force en déclarant que je refuse de soigner mon enfant pour prétendre a une forme de maltraitance sur ceux-ci.
Depuis ce moment la, je suis en colère, une grande colère qui me fait tenir des propos que je ne pense et que je regrette d'avoir tenu car sachant qu'ils pourraient être utilisé contre moi.
Prétendre que je refusait de soigner mon enfant est complètement faux puisque comme je leur ai expliqué quand ils sont venu me menacé, avec preuve a l'appui, que j'ai entamé avant que mes enfants me soit enlevé (et je précise que le personel médical me dit qu'ils ne le traitent pas a la cortisone) les démarches afin de connaitre la cause de l'éczéma de mon fils Thai Rousseaux. (donc le comble c'est que ceux-la même qui invoque ce pretexte du traitement a la cortisone pour m'enlever mes enfants me donne raison puisque aucun traitement à la cortisone ne lui a été donné selon le personnel médical)
_ Une consultation du 26/04/2011 a été effectué de ma part auprès de Mme Perez, allerguologue, celle-ci me refusant des examens pour mon fils, j'ai donc un autre jour pris un rdv avec un autre allerguologue pour mon enfant ainsi qu'un autre avec un dermatologue.
J'appliquais également entre temps pour traiter son eczéma de la vaseline (que lui applique également le personel médical), de l'huile d'amende douce et du G5.
Et Je précise que l'éczéma de mon enfant depuis son apparition est en voie d'amélioration et non l'inverse (photo et attestation de mon entourage a l'appui) comme le prétendait ces deux intervenants du service social.
Tous cela pour démontré que j'ai bien de l'interêt pour mes enfants et que je les aimes de tout mon coeur.
Les exactions commises a mon encontre consiste a ignorer tous cela afin de pouvoir placé mes enfants en prétendant a de la maltraitance, ce qui me déchire, je suis extremement choqué et je pleure tous les jours.
Au lendemain des menaces qui m'ont été faite, le papa de mon enfant a envoyé un courrier A.R a la direction du U.T.P.A.S pour clarifier la situation, cela également est ignoré autrement comment prétendre a de la maltraitance si tous cela n'est pas exclu du contexte?
Avant d'avoir obtenu des avoeux (preuve audio) avec le papa de mon enfant, mon ex-conjoint, quant a cette volonté des responsables de ces mensonges à mon encontre de briser progressivement mon lien sacré avec mon enfant, tout était fait pour qu'aucune défense ne soit consitué auprès d'un avocat puisque Mr Roggeman (un des intervenant des services sociaux) certifiait droit dans les yeux du papa de mes enfants que tout serait fait pour maintenir l'allaitement maternelle et que, il n'y aurai pas d'inquiétude a avoir car apès hospitalisation, il n'y aurai pas de souci a ce que les enfants retourne chez eux.
J'ai eu des echo d'une personne des services de sécurité de l'hopital, écoeuré de ce qu'il m'arrive, me confiant avoir déja pu appercevoir ce genre de manoeuvre pour retirer des enfants a leur parents , en faisant tout pour faire croire qu'après hospitalisation ils retourneraient chez eux, en faisant tout pour qu'aucune défense ne soit constitué.
Monsieur Roggeman m'a dit au commissariat que son souhait est de briser les lien familiaux et de les refabriqué a sa manière, le papa de mon enfant ne me crut pas au départ, ne crut pas a de tel propos jusqu'a ce qu'il réussissent a obtenir des avoeux (preuve audio) de la part de sa collegue que Monsieur Roggement cautionnait très clairement.
Toutes ces calomnies, faux prétextes, rétrécissage de contexte ne me font présager rien de bon et redouter le pire.
Me font envisager la possibilité que la volonté de ces intervenant des services sociaux que je qualifiie de "monstre" n'est non pas le bien être de mes enfants mais de percevoir une prime et/ou de fournir mes enfants a une famille d'accueil pédophile, cela existe et je n'éxagère pas car j'en suis la preuve vivante puisque j'ai était abusé sexuellement quand j'était encore en bas ages par ma famille d'accueil.
J'ai d'ailleur obtenu justice à cela avec dommage et interêts, tous comme ma soeur.
Je vous supplie de tout mon coeur de maman, maitre X..., de prendre mon affaire en main et de constituer ma défense.
Je suis méprisé au point d'être surveiller lorsque je vien allaiter mon enfant, afin de vérifier si l'allaitement est bien terminé pour me prier de quitter les lieu.
Je n'ai la plupart du temps, même pas la possibilité de m'occuper de mon deuxième après avoir allaité mon plus petit car prier de dégager à chaque fois.
Mr Rog..... prétendait droit dans les yeux du père de mes enfants que tout serait fait pour maintenir l'allaitement maternel mais après avoir était piège (preuve audio) un fax a était recu par l'hopital n'autorisant que deux tété par jour..
Encore une preuve de mon grand interêt pour mes enfant puisque je fais tout pour l'allaiter le plus possible et passer outre ce fax ridicule se voulant briser progressivement mon sevrage.
Deux jour après les menaces de ces intervenant des services sociaux, des policiers ont débarqué chez moi pour nous autitionné moi et le papa des enfants qui était présent. Ceux-ci certifiait qu'après audition, les enfants retournerait chez eux.
C'est en esperant que cette parole soit respecté que nous signions le compte rendu de l'audition sans les avoir vérifier, je le regrette.
J'ai des photos datant de quelques jours avant l'enlevement de mes enfants, corroboré par les attestation de mon entourage qui démontre bien l'amélioration de son eczéma, de plus selon l'avis de certain médecin, l'eczéma peut guerir tous seul au fur et a mesure du temps, que cela peut-être passager.
Mais cela est egalement ignoré sinon comment pourrait-on me diffamé et m'accuser de maltraitance de mes enfants.
J'admet mon tort, face a ces exactions a mon encontre, d'avoir a différent moment par colère et indignation tenu des propos que je ne pense pas du tout, lesquelles seront certainement utilisé contre moi pour me faire passer pour une folle car au commissariat, les policier m'on dit que le Dr. Sixo... leur aurait dit que j'était déficience et ce, de manière complètement arbitraire et uniquement car je refusait de prendre les risques d'effets secondaires quant a l'utilisation de la cortisone comme traitement.
On essai de faire croire que parce que je refusait la cortisone, je refuse alors tout traitement pour soigner mon enfant ce qui est faux comme je vous l'ai expliqué.
Je ferait tout ce qui est en mon pouvoir pour ébruité mon affaire, j'avertirai toute les presses écrite et TV et sur internet de ce scandale que je subis.
Je vous supplie encore une fois de venir au secour d'une maman en détresse, d'empecher à ce que je n'ai aucune consitution de dossier de défense et prendre mon affaire en main.
Veuillez agréer, monsieur, l'expression de mes cordiales salutations.
L'avocat était censé nous donner des nouvelles le vendredi 20/05/2011 mais je n'ai à ce jour aucune nouvelle. Donc réclamant ce qui était convenu avec l'avocat, j'envoi un autre message, aprés avoir laisser des messages sur le répondeur du cabinet, via l'adresse electronique de l'avocat :
C'est Mr SE...., vous deviez m'appeller vendredi pour me tenir au courant de la situation urgente dans laquelle mes enfants sont et de votre suivi du dossier.
J'aimerai vous revoir au plus vite pour organiser selon vous la meilleur défense pour éviter que mon enfant Tha.... ne se voit encore plus tromatisé par un placement en famille d'acceuil et déchiré de son grand entourage familiale au dépend de son bien être.
L'audience aura lieu vendredi a 14h donc c'est très urgent, il faut que l'on se vois pour régler les frais d'avocat et constituer la meilleur défense pour empecher un placement en famille d'accueil, ce que les intervenant des services sociaux recherche apparament par tout les moyen (les placés), au dépend l'intêret des enfants et leurs bien être a maintenir les liens avec l'entourage familiale (oncles, tantes, grand parents, cousin, cousines).
Leur travail devrait pourtant consister a ne voir que l'intêret des enfants et leurs bien être et non pas s'enteter a ignorer tous les éléments qui ne rentre pas en ligne de compte d'un placement en famille d'accueil?
Beaucoup d'elements me permettent de penser que la volonté de l'ase est de placé à tous prix les enfants en famille d'accueil et non leur bien être car tous ce qui ne va pas dans le sens d'un placement en famille d'accueil, l'ase s'entête a l'ignorer, ce qui serait pourtant dans le plus stricte interêt des enfants.
_ Se sont entêter a ignorer dans leur rapport, qu'au lieu de tromatiser Tha.... tous ce temps en placement provisoire, au moins dans l'attente d'une décision de justice, tout son entourage familiale était et sont encore disposé a l'héberger, ce qui aurait été dans l'interêt de l'enfant et aurait évité de le tromatiser plus qu'il ne l'est déja mais non, l'ase est hermétique a tout élément allant dans le sens de l'interêt des enfants et ne vois que ceux allant dans le sens d'un placement. Donc les rapports envoyés au procureur ont mené mon enfant a être en placement provisoire au lieu, pour le bien être de l'enfant Tha.. qui n'avait rien a faire la et afin d'éviter de le tromatiser, de le remmettre a l'entourage familiale pour l'unique bien de l'enfant.
_ Ont admis (enregistrement audio) que leur volonté est de diminuer le sevrage progressivement en vue d'un placement en famille d'accueil qu'ils souhaitent (donc ignore tous les nombreux autres recours, dans l'interêt des enfant et leur bien être, consistant a leur hébergement par l'entourage familiale et moi y compris car je pourrait toujours pour sauver mes enfants, vivre en collocation avec mon ex-conjointe et prendre les enfants a ma charge et sous ma responsabilité. Ou vivre chez mon frère disposé a m'heberger moi et Tha... afin d'éviter un tromatisme encore plus grand que serait un placement en famille d'accueil.
_ Pourtant Mr Rog......, intervenant des services sociaux m'affirmait que tous serait fait pour maintenir l'allaitement maternelle, que le placement serait en dernier recours, qu'après hospitalisation les enfant pourront retourner chez eux. Trois mensonges devenu évident car Mr Rog...... s'est trahi au coté d'une de ses collègues pendant que je me suis entretenu avec eux (Preuve audio et papier n'autorisant que deux tété par jour).
Je fait en sorte de vous fournir un maximum d'élément sur l'affaire, je vous laisse évidemment nous avisés, moi et la maman, sur la meilleur défense a avoir afin d'empecher à tout prix de tromatiser Tha.. plus encore en le déchirant de son entourage familiale avec lequelle il a l'habitude d'entretenir des liens très forts, ce qui est clairement loin d'être dans son interêt.
Maître X... est pour moi un avocat de famille et à choisir quand un problème grave survient, comme dans l'affaire de meurtre dans ma famille par un de mes oncles.
J'espère comme convenu que vous lui avait fait part du dossier de l'affaire ou alors que vous vous chargerai de prendre vous même l'affaire en main.
Que vous feriez tous ce qui est en votre pouvoir pour que mes enfants ne vivent pas le choc du déchirement de leurs famille par un placement déraisonnable.
Mr SE.... So.....
HALLUCINANT !
On cherche a placé mes enfants en famille d'accueil pour le refus de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement a la cortisone et de le rendre dependant a vie de ce traitement au lieu de privilégier une guérison plus longue mais définitive !
Bonjour à tous,
_ Je suis le témoin direct en tant que père des enfants concernés des manoeuvres vicieuses des services sociaux pour tout faire pour, dans un premier temps, placé provisoirement mon enfant SE... T.. qui a près de trois ans et mon autre fils SE... Th... qui a 4 mois dans un hopital en vue d'ensuite les fournir au marché de l'adoption et dans un deuxieme temps, tout faire pour me faire croire qu'après le placement provisoire a l'hopital, les enfants retrourneraient chez eux afin que l'on ne constitue aucune défense et que nous nous retrouvions démunie le jour de la décision de justice semblant déja décidé d'avance..
Je suis capable de prouver amplement leurs exactions avec preuve a l'appui.
On cherche déja a briser l'allaitement maternelle du petit en n'autorisant que deux tété par jours en vue de placé les enfants en famille d'accueil. La décision de justice est déja donc bien présente avant même d'avoir eu lieu et tous me laisse a penser que tous cela serait organisé d'avance.
_ Le lendemain des menaces des services sociaux qui ont était faites sur la mère de mes enfants si elle refusait de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement a la cortisone pour l'éczéma de mon petit que sois disant nous refusons de soigner (et qui est en amélioration depuis son apparition, élément que les service sociaux s'éffore d'ignorer), voici le courrier que j'ai envoyer à la direction de l'U.T.P.A.S pour clarifier la situation :
Mr SE.... S.......
10/....... .........
........................
06....... Fait le 09/05/2011
Cher Madame Monsieur,
Je suis le papa de l'enfant SE... T..... sur lequel vous émettez un jugement très visiblement faussé, je ne vous en veut évidemment pas mais je suis très outré et des excuses de votre part seraient les bienvenues.
Pourquoi votre jugement est faussé et surtout très visible?
Car un jugement requiert évidemment un minimum de connaissance sur une situation mais ce qui me saute au yeux c'est que pour votre cas, ce n'est pas que vous ayez un minimum de connaissance dans votre jugement de la situation de mon enfant c'est que non seulement vous n'en avez visiblement aucune mais qu'en plus de cela vous avez malheureusement des informations fausses..
Je vous écris donc aussi pour combler ces lacunes.
Oui l'on vous a, j'espère involontairement (cette personne était peut être fatigué?) malheureusement induit en erreur, car biensûre, il est tout bonnement ridicule de penser qu'en tant que père aimant et humanitaire je refuserai a mon enfant ou ne m'assurerai pas qu'il ai des soins pour son eczéma, d'ailleurs à ce propos et afin de limiter vos lacunes accablantes a propos des informations concernant la situation de mon petit garçon, sachez que la voie de guérison de l'eczéma de mon enfant est chronologique, (pourquoi alors inverser la chronologie?), ce qui donne de la joie dans le coeur de ses parents, du votre aussi j'espère bien? Cela ne vous procure t-il pas autant de joie que moi de savoir que mon enfant est en pleine guérison de son eczéma sans avoir eu besoin d'avoir eu une tête de bowling (effet secondaire possible de la cortisone)?
Réjouissons-nous ensemble que l'huile d'amende douce, assez cher il est vrai, hydrate soigneusement sa peau et ses jolies petites joues tout en lui ôtant cette envie de se gratter.
Pourquoi chercher vous, involontairement je l'espère, des problèmes ou il ny 'en a pas?
Comment pouvez-vous vous laisser aller dans une tel divagation a être aussi affirmatif tout en étant aussi peu avisé sur la situation de mon garçon?
Vos agissement me paraissent très maladroit, ceux-ci causant diffamation que j'espère encore une fois involontaire de votre part.
En tous cela, votre comportement est très immature et certainement non conforme a ce que devrait représenter votre profession.
Car le jugement irresponsable de votre part dénué de tout pragmatisme est émis sans aucune connaissance de la situation qui nous préoccupe, celle de mon enfant, ce qui devrait pourtant être évidemment le cas et qui permettrait un jugement objectif comme par exemple celui que je porte (ou que porte une foule de témoins : entourage voyant régulièrement mon bébé) en ce moment sur la situation de mon enfant puisque j'ai bien ces connaissances sur sa situation qui me le permet.
Pour continuer, et puisqu'il s'agit de connaissance sur une situation, celle de mon enfant, avec comme objectif son bien être, j'ajoute que je ne vous ai étayé la qu'un cours extrait de l'énorme quantité d'information que j'ai concernant la situation de mon petit garçon, concernant son bien être, étant placé au premier en rang étant le père étant a même de porter un jugement se voulant être des plus objectifs, étant un des mieux placé pour juger objectivement de la situation contrairement a vous au vue de l'étrangeté de vos jugements et attitude.
Voyez-vous, de par votre attitude diffamante vous devenez a vos dépend les moins bien placé pour donner un avis tout en ayant jamais vu mon enfant de votre vie entière contrairement a ses parents et son entourage qui le voit régulièrement lui et clairement la guérison de son eczéma que semblez vous entêter à ignorer.
Voici ce que vous devriez savoir :
1/ La diffamation est punie par la loi
2/ Prolonger une évidente calomnie en voulant la rendre procédurière tout en refusant de reconnaître son non fondement évident aggravera la situation du diffamateur et démontrerait ses mauvaises intentions mais je me refuse a penser que vous iriez jusqu'à être aussi vulgaire.
3/ Votre profession ne vous met pas au dessus des lois
4/ Les procureurs ne sont pas a votre botte comme vous sembliez pernicieusement le sous entendre a mon ex-conjointe car ce travail consiste aussi a être objectif ce qui vous a visiblement manqué cruellement dans votre jugement sur la situation vous en conviendrai.
Je vous souhaite bonne continuation et de parvenir a aider des parents et enfants qui auraient besoin de vous. Ce qui est très clairement loin d'être mon cas, par contre pour ma part, cela a été un plaisir de recourir a vos besoins d'informations sur la situation de mon garçon, je compléterai cela en allant vous rencontrer directement afin de les combler plus en avant.
Veuillez agréer, madame monsieur, l'expression de mes cordiales salutations.
_ Deux jours plus tard, six policiers ont débarqué, a leurs yeux nous étions déja coupable de sois disante maltraitance de nos enfants puisqu'il y avait refus d'un traitement à la cortisone alors que selon la loi, nous avons le droit de choisir le traitement pour nous même et nos enfants qui nous semble le plus adapté.
Tous n'allait que dans un sens et les policiers n'avaient de cesse de nous prendre en dérisions moi et la maman et se "foutre de notre gueule".
Après l'auditon les policiers se sont exités, ils semblaient presque en état de jouissance, d'avoir recu l'ordonnance tant attendu, ordonnance permettant que l'on place provisoirement mon fils Thai (le petit de 4 mois) à l'hopital.
Le problème et la ou nos droit n'ont pas été respecté est que nous n'avions aucun droit à la défense et l'on ne nous a, a aucun moment informé de nos droits.
A aucun moment les policiers (tous commes les intervenant des services sociaux) n'ont cherchés, au moins dans l'attente d'une décision de justice, a placé mon autre fils Th... , pour éviter qu'il ne soit déboussolé, chez une des personnes de son grand entourage familiale, ce qui devrait normalement être la procédure il me semble.
L'ordonnance pour le placement provisoire à l'hopital de mon fils Th.... de prés de trois ans qui lui n'avait aucun problème de santé et n'avait rien a faire à l'hopital n'a été recu que beaucoup plus tard alors que celui-ci était déja en placement provisoire..
Il me semble clairement qu'il y a la un vice de procédure et que tout est déja décidé à l'avance.
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Voila alors un enfant de près de trois ans qui arrive à l'hopital en bonne santé pour en devenir tromatisé (tromatisme qui va en s'accentuant) et qui devient ensuite malade, perfusé, et vomissant a trois reprise en trois jour sur moi lorsque je le calinais.
Cinq jours plus tard, scandalisé de ce qui est en train d'arriver a moi et mes enfants et a tous l'entourage familiale qui est aussi très affectés, voici le courrier que j'adressai au Juge des enfants :
Mr SE.... S...... Fait le 16/05/2011 a Roubaix
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39...........................
06.................
Monsieur le juge,
Je vous adresse ce courrier en urgence sous les conseils d'un juriste.
La situation est urgente car suite au refus de mon ex-conjointe Mlle R....... V. de prendre les risques d'effets secondaires d'un traitement à la cortisone pour soigner l'eczéma de mon enfant SE..... Th.... et des propos qu'elle a tenu depuis qu'elle est menacé de se voir retiré nos enfants si elle continuait de refusé ce traitement, celle-ci s'est vu être provisoirement déchu de ses droits. Et mon enfant SE.... Th.... qui n'a pas de problème de santé, dans l'attente d'une décision de justice, risque d'être placé en famille d'accueil, ce que je cherche a évité dans l'intêret de l'enfant car cet enfant a un entourage qu'il voit régulièrement avec lequelle il a l'habitude d'entretenir des realtions.
Avant le placement provisoire à l'hopital, Th.... SE..... voyaient régulièrement ses oncles, tantes, grand parents, cousin et cousines. Un de ses oncles Mr SE.... B. résidant au 39...... avenue du......... serait, au vue de la situation d'urgence, parfaitement disposé a m'héberger moi et mon enfant Th..... SE....en vue d'éviter un placement en famille d'accueil dans l'attente d'une décision de justice.
Afin que Th.... ne soit pas plus bouleversé qu'il ne l'est déjà et qu'il maintienne ses liens avec son entourage familiale, afin qu'il puisse continuer de jouer avec ses cousins et cousines dont les liens entre entre eux sont très fort , j'espère que vous conviendrai dans l'intérêt de l'enfant que celui-ci, dans l'attente d'une décision de justice, soit hébergé chez son oncle au lieu que dans cette attente de décision Than soit placé en famille d'accueil.
J'ajoute également qu'étant donné le grand entourage de mon enfant SE.... Th...., et au cas ou cette solution de recours pour éviter que mon enfant sois placé en famille d'accueil était refusé, que d'autres solutions d'hébergement de mon enfant seraient potentiellement possible par d'autres personnes faisant partie de son entourage familiale comme par exemple le grand père maternelle des enfants vivant dans un F3.
Je ne vois que l'intérêt de mes enfants et connaissant très bien mon enfant SE.... Th....., je sais qu'il serait psychologiquement mauvais pour lui s'il se trouvait être placé dans une famille d'accueil et que cela ne devrait se faire qu'en dernier recours.
Mr O. ROGEMA....., intervenant des service sociaux est d'accord avec moi sur ce point.
Il serait psychologiquement mauvais pour l'enfant qu'il ne soit pas au plus vite près de son entourage prêt à l'héberger.
C'est ce que pense Mr O. ROGEMA.....affirmant que le placement ne se ferait qu'en dernier recour, ce que pense l'entourage de l'enfant, ce que je pense, et j'espère fortement que vous en conviendrai également.
Dans l'attente d'une réponse de votre part, dans l'intérêt de l'enfant et afin d'éviter de le troubler plus que ne l'est déja, Mr Se.... B. et moi même restons a votre disposition.
Veuillez agréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
Au lendemain, scandalisé d'avoir constaté ceci :
Voici le courrier que j'adressai au juge des affaires familiales :
Mr SE.... S....... Fait le 17/05/2011
10/....... .........
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06.......
Monsieur le juge,
Au lendemain du courrier que je vous ai adréssé, je vous envoi celui-ci pour vous signaler quelle était l'horrible situation de mon enfant SE..... Th.... au matin du 16/05/2011.
Je constate en effet grace a ces photos que je vous envoi qu'hier matin Th...... baignais dans sa diarhée le regard vide et dans un état amorphe.
Je vous demande de considérer le sentiment que je peut éprouvé en tant que papa qui a l'habitude de voir son enfant tous les jours dans la bonne santé, la joie et la bonne humeur de voir son enfant rentrer a l'hopital dans ces bonnes conditions pour en devenir ce que vous voyez sur les photos ; perfusé et baignant dans sa marre de diarhée avec un regard vide et le sentiment d'être abandonné.
Je souhaite de tout coeur qu'en considérant cela et mon précédant courrier, vous feriez de votre possible et dans son interet pour que Th..... SE....., dans l'attente d'une décision de justice, me sois remis chez mon frère B. qui accepte de m'heberger moi et l'enfant.
Je souhaite de tout coeur que vous constatiez que le placement provisoire de mon enfants Th.... SE.... le tromatise car perdu de ses repaires et coupé de l'amour qu'il avait l'habitude d'avoir de son entourage et qu'il y a urgence pour la sécurité de sa santé morale et psychologique, dans l'attente d'une décision de justice, qu'il soit remis et rassuré a son papa que son oncle SE.... B. est disposé a héberger et habituer a avoir des relation joyeuse avec l'enfant.
Je sent un agent de la sécurité de l'hopital constater la situation, écoeuré et impuissant, celui-ci a eu a plusieurs reprises les larmes au yeux et affirme que selon lui, son travail n'est pas de cautionné une tel injustice et tromatisme que mon enfant Th.... ressent et exprime de manière palpable.
Cet agent de sécurité parmi d'autres voient clairement que l'interêt de l'enfant Th..... est de retouner auprès de son entourage qui l'aime.
Je ne donnerai son nom qu'avec son accord, mais quelque chose me dit qu'il vous signalera très bientôt l'injustice et le tromatisme de Th.... qu'il constate.
C'est encore une fois par l'amour de mes enfant et dans leurs interêts que je vous adresse ce courrier en esperant et souhaitant de tout mon coeur que vous accediez a ma requête, qui est aussi celle d'une cinquantaine de personnes faisant partie de l'entourage de l'enfant.
Veuillez agréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
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Le même jour un courrier est adréssé au juge par la maman des enfants :
Mlle RO...... Va....... Fait le 17/05/2011
Né ......................
4/....place................
Monsieur le juge,
Je vous adresse ce courrier pour vous faire part de mes observations en tant que maman a qui l'on souhaite briser l'allaitement ; les lien maternelles avec son enfant R. Th.... (reconnu SE....) qui, en étant séparé physiquement pour de long moment de (avec son grand frère dont l'état s'est dégradé pourtant arrivé en pleine forme a l'hopital et joyeux ) sa maman et de tous l'entourage familiale (oncles, tantes, grand parents, cousins cousines), cause le tromatisme de Tha... SENG (son grand frère) et lui fait subir une situation ou il en vient a supplier sa mère de lui venir en aide mais qui est forcé de partir et de quitter les lieu par le personnel de sécurité indigné de devoir contribuer à une tel ignominie.
Ce matin, je vais a l'hopital et je retrouve Tha.... dans des conditions abominable, inhumaine et scandaleuse, baignant dans sa diarhée avec les yeux ouvert et dans un état avachi.
Devant une tel situation scandaleuse je dus faire remarquer ces conditions quatre fois avant d'avoir une réaction conséquente de la part du personel médical.
S'il se passe de tel ignominie dans les peu de moment ou je peut etre présente car prier de quitter les lieu au plus vite a chaque fois, que pourrais-je m'imaginer ce qu'il se passe lorsque je suis absente?
Le soir, alors qu'une de mes connaissance était scandalisé des conditions inhumaines avec lesquelle moi et mon enfant Tha... étions traité, un agent de sécurité de l'hopital avait les larmes au yeux, car placé au centre d'une tel inhumanité, celui-ci déclara qu'il ne cautionne pas cela et affirmait ne pas être la pour contribuer a une tel situation , écoeuré que son travail est censer le mener a briser ou interrompre l'allaitement d'une mère pour son enfant et tromatiser en plus de cela le grand frère de l'enfant qui a prés de trois ans qui semble supplier a sa mère de lui venir en aide devant un tel tromatisme et déchirement qu'est l'injuste privation de son entourage de son papa et de sa maman avec lesquelles il vivait dans la joyeuseté et l'harmonie.
Je vous demande de bien vouloir considérer la situation et d'accepter, en attendant une décision de justice, que mon enfant Tha... me sois remis a moi, son grand père, ou son oncle SE... B. et le papa de l'enfant qui, de par leur amour pour mon enfant Than n'aurait jamais eu un manquement d'interêt pour lui au point de le laisser tout ce temps baigner dans sa diarhée.
Je vous prie dagréer, Monsieur le Juge, l'expression de mes sentiments les plus dévoués.
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Le même jour, un autre courrier est adressé au juge de la part d'un des oncles des enfants :
MR SE... J.
ne le : 23/...........
à Roubaix
APP 1 - .................
59..........
Monsieur le juge,
Je vous fait parvenir ce courrier pour signaler la detresse de mon neveu SE... Tha..., la famille le voyait assez souvent dans le cadre de nos reunions de famille,
nos enfants ont l'habitude de s'amuser ensemble, etant moi meme papa je ne peux que comprendre la situation de mon frere cadet SE... So...., nous n'avions jamais vu Tha... malade
c'etait un enfant en pleine santè toujours propre sur lui et heureux de vivre.
L'objet de ma lettre concerne l'etat dU petit SE.... Tha..., en effet mon frere cadet SE.... SO.... m'a fait parvenir une photo tres choquante pour ma part, qui fut prise
a l'hopital de roubaix,je lui ai vivement conseiller de vous faire parvenir cette photo pour que vous constatiez par vous meme la negligence a la limite de la maltraitance
de la part du personel.
J'estime que mon neveu n'a pas a subir un tel choc,surtout vu son jeune âge, je vous serais reconnaissant d'autoriser mon frere cadet SE... So.... à provisoirement, dans
l'attente d'une decision, reprendre son enfant chez mon frere ainé SE... B. resident 39..... Avenue des .........59.... ROUBAIX, pour l'unique bien de l'enfant.
En esperant que l'appel a l'aide du petit THA.... sera entendu.
Fait a Roubaix le 16 mai 2011.
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Bientôt, un avocat est censé prendre l'affaire en main en commencant par la connaissance des éléments suivant qui lui seront remis :
Maitre X......
Je vous expose les exactions commises a mon encontre permettant que l'on brise progressivement les liens sacré entre moi et mon enfant qui est l'allaitement afin de, a terme, me retirer completement la garde des mes enfants et les fournir a une famille d'accueil (avoeux en preuve audio de cette volonté de les placé, de casser le sevrage progressivement en invoquant le pretexte "pour le bien de la psychologie de l'enfant" or les dégats psychologique commence dès maintenant en commencant par un enfant qui perd sa joie de vivre et qui vomi a plusieur reprise (le 14/05/2011 vers 21h, preuve vidéo et physique) alors qu'il n'a jamais vomi de sa vie, un enfant qui refuse de manger, un enfant qui baigne dans la marre de sa propre diarhée les yeux ouvert et dans un état avachi.
Ces dégât psychologiques ne sont pas provoqué par moi mais par ceux la même qui invoque ce pretexte pour me déchirer de mes enfants, dégats psychologique en étant moi aussi victime tout comme le papa, tous comme mes enfants qui se sentent abandonés, ce qui s'accentuera si les manoeuvres vicieuse a mon encontre pour me retirer completement mes enfants s'avérait fructueuse.
Il y a urgence car, le jugement est déja trop présent avant d'avoir eu lieu (volonté de diminuer le sevrage progressivement pour placer les enfants en famille d'accueil, preuve audio) les procédures avancent anormalement vite suite a des dénonciation calomnieuse a mon encontre insinuant qu'il y a danger pour mes enfants, pour leur sécurité moral, que leur sécurité apparraitrait gravement compromise et qu'il y a urgence à prendre une mesure de sauvegarde.
De ce fait, les procédures avancent a vitesse grand V et une décision de justice est cencé être rendu dans les 15 prochains jour.
Il y a urgence, j'ai besoin de pouvoir constituer ma defense (tout est fait pour que je ne le fasse pas) de pouvoir me défendre, et de prouver leurs exactions afin de d'éviter a tout prix un placement.
Deux intervenants des service sociaux sont venus me menacé au pas de ma porte en me disant que si je ne voulait pas donner a mon enfant de la cortisone pour son eczéma, ceux-ci allaient écrire au procureur afin de me l'imposer de force en déclarant que je refuse de soigner mon enfant pour prétendre a une forme de maltraitance sur ceux-ci.
Depuis ce moment la, je suis en colère, une grande colère qui me fait tenir des propos que je ne pense et que je regrette d'avoir tenu car sachant qu'ils pourraient être utilisé contre moi.
Prétendre que je refusait de soigner mon enfant est complètement faux puisque comme je leur ai expliqué quand ils sont venu me menacé, avec preuve a l'appui, que j'ai entamé avant que mes enfants me soit enlevé (et je précise que le personel médical me dit qu'ils ne le traitent pas a la cortisone) les démarches afin de connaitre la cause de l'éczéma de mon fils Thai Rousseaux. (donc le comble c'est que ceux-la même qui invoque ce pretexte du traitement a la cortisone pour m'enlever mes enfants me donne raison puisque aucun traitement à la cortisone ne lui a été donné selon le personnel médical)
_ Une consultation du 26/04/2011 a été effectué de ma part auprès de Mme Perez, allerguologue, celle-ci me refusant des examens pour mon fils, j'ai donc un autre jour pris un rdv avec un autre allerguologue pour mon enfant ainsi qu'un autre avec un dermatologue.
J'appliquais également entre temps pour traiter son eczéma de la vaseline (que lui applique également le personel médical), de l'huile d'amende douce et du G5.
Et Je précise que l'éczéma de mon enfant depuis son apparition est en voie d'amélioration et non l'inverse (photo et attestation de mon entourage a l'appui) comme le prétendait ces deux intervenants du service social.
Tous cela pour démontré que j'ai bien de l'interêt pour mes enfants et que je les aimes de tout mon coeur.
Les exactions commises a mon encontre consiste a ignorer tous cela afin de pouvoir placé mes enfants en prétendant a de la maltraitance, ce qui me déchire, je suis extremement choqué et je pleure tous les jours.
Au lendemain des menaces qui m'ont été faite, le papa de mon enfant a envoyé un courrier A.R a la direction du U.T.P.A.S pour clarifier la situation, cela également est ignoré autrement comment prétendre a de la maltraitance si tous cela n'est pas exclu du contexte?
Avant d'avoir obtenu des avoeux (preuve audio) avec le papa de mon enfant, mon ex-conjoint, quant a cette volonté des responsables de ces mensonges à mon encontre de briser progressivement mon lien sacré avec mon enfant, tout était fait pour qu'aucune défense ne soit consitué auprès d'un avocat puisque Mr Roggeman (un des intervenant des services sociaux) certifiait droit dans les yeux du papa de mes enfants que tout serait fait pour maintenir l'allaitement maternelle et que, il n'y aurai pas d'inquiétude a avoir car apès hospitalisation, il n'y aurai pas de souci a ce que les enfants retourne chez eux.
J'ai eu des echo d'une personne des services de sécurité de l'hopital, écoeuré de ce qu'il m'arrive, me confiant avoir déja pu appercevoir ce genre de manoeuvre pour retirer des enfants a leur parents , en faisant tout pour faire croire qu'après hospitalisation ils retourneraient chez eux, en faisant tout pour qu'aucune défense ne soit constitué.
Monsieur Roggeman m'a dit au commissariat que son souhait est de briser les lien familiaux et de les refabriqué a sa manière, le papa de mon enfant ne me crut pas au départ, ne crut pas a de tel propos jusqu'a ce qu'il réussissent a obtenir des avoeux (preuve audio) de la part de sa collegue que Monsieur Roggement cautionnait très clairement.
Toutes ces calomnies, faux prétextes, rétrécissage de contexte ne me font présager rien de bon et redouter le pire.
Me font envisager la possibilité que la volonté de ces intervenant des services sociaux que je qualifiie de "monstre" n'est non pas le bien être de mes enfants mais de percevoir une prime et/ou de fournir mes enfants a une famille d'accueil pédophile, cela existe et je n'éxagère pas car j'en suis la preuve vivante puisque j'ai était abusé sexuellement quand j'était encore en bas ages par ma famille d'accueil.
J'ai d'ailleur obtenu justice à cela avec dommage et interêts, tous comme ma soeur.
Je vous supplie de tout mon coeur de maman, maitre X..., de prendre mon affaire en main et de constituer ma défense.
Je suis méprisé au point d'être surveiller lorsque je vien allaiter mon enfant, afin de vérifier si l'allaitement est bien terminé pour me prier de quitter les lieu.
Je n'ai la plupart du temps, même pas la possibilité de m'occuper de mon deuxième après avoir allaité mon plus petit car prier de dégager à chaque fois.
Mr Rog..... prétendait droit dans les yeux du père de mes enfants que tout serait fait pour maintenir l'allaitement maternel mais après avoir était piège (preuve audio) un fax a était recu par l'hopital n'autorisant que deux tété par jour..
Encore une preuve de mon grand interêt pour mes enfant puisque je fais tout pour l'allaiter le plus possible et passer outre ce fax ridicule se voulant briser progressivement mon sevrage.
Deux jour après les menaces de ces intervenant des services sociaux, des policiers ont débarqué chez moi pour nous autitionné moi et le papa des enfants qui était présent. Ceux-ci certifiait qu'après audition, les enfants retournerait chez eux.
C'est en esperant que cette parole soit respecté que nous signions le compte rendu de l'audition sans les avoir vérifier, je le regrette.
J'ai des photos datant de quelques jours avant l'enlevement de mes enfants, corroboré par les attestation de mon entourage qui démontre bien l'amélioration de son eczéma, de plus selon l'avis de certain médecin, l'eczéma peut guerir tous seul au fur et a mesure du temps, que cela peut-être passager.
Mais cela est egalement ignoré sinon comment pourrait-on me diffamé et m'accuser de maltraitance de mes enfants.
J'admet mon tort, face a ces exactions a mon encontre, d'avoir a différent moment par colère et indignation tenu des propos que je ne pense pas du tout, lesquelles seront certainement utilisé contre moi pour me faire passer pour une folle car au commissariat, les policier m'on dit que le Dr. Sixo... leur aurait dit que j'était déficience et ce, de manière complètement arbitraire et uniquement car je refusait de prendre les risques d'effets secondaires quant a l'utilisation de la cortisone comme traitement.
On essai de faire croire que parce que je refusait la cortisone, je refuse alors tout traitement pour soigner mon enfant ce qui est faux comme je vous l'ai expliqué.
Je ferait tout ce qui est en mon pouvoir pour ébruité mon affaire, j'avertirai toute les presses écrite et TV et sur internet de ce scandale que je subis.
Je vous supplie encore une fois de venir au secour d'une maman en détresse, d'empecher à ce que je n'ai aucune consitution de dossier de défense et prendre mon affaire en main.
Veuillez agréer, monsieur, l'expression de mes cordiales salutations.
L'avocat était censé nous donner des nouvelles le vendredi 20/05/2011 mais je n'ai à ce jour aucune nouvelle. Donc réclamant ce qui était convenu avec l'avocat, j'envoi un autre message, aprés avoir laisser des messages sur le répondeur du cabinet, via l'adresse electronique de l'avocat :
C'est Mr SE...., vous deviez m'appeller vendredi pour me tenir au courant de la situation urgente dans laquelle mes enfants sont et de votre suivi du dossier.
J'aimerai vous revoir au plus vite pour organiser selon vous la meilleur défense pour éviter que mon enfant Tha.... ne se voit encore plus tromatisé par un placement en famille d'acceuil et déchiré de son grand entourage familiale au dépend de son bien être.
L'audience aura lieu vendredi a 14h donc c'est très urgent, il faut que l'on se vois pour régler les frais d'avocat et constituer la meilleur défense pour empecher un placement en famille d'accueil, ce que les intervenant des services sociaux recherche apparament par tout les moyen (les placés), au dépend l'intêret des enfants et leurs bien être a maintenir les liens avec l'entourage familiale (oncles, tantes, grand parents, cousin, cousines).
Leur travail devrait pourtant consister a ne voir que l'intêret des enfants et leurs bien être et non pas s'enteter a ignorer tous les éléments qui ne rentre pas en ligne de compte d'un placement en famille d'accueil?
Beaucoup d'elements me permettent de penser que la volonté de l'ase est de placé à tous prix les enfants en famille d'accueil et non leur bien être car tous ce qui ne va pas dans le sens d'un placement en famille d'accueil, l'ase s'entête a l'ignorer, ce qui serait pourtant dans le plus stricte interêt des enfants.
_ Se sont entêter a ignorer dans leur rapport, qu'au lieu de tromatiser Tha.... tous ce temps en placement provisoire, au moins dans l'attente d'une décision de justice, tout son entourage familiale était et sont encore disposé a l'héberger, ce qui aurait été dans l'interêt de l'enfant et aurait évité de le tromatiser plus qu'il ne l'est déja mais non, l'ase est hermétique a tout élément allant dans le sens de l'interêt des enfants et ne vois que ceux allant dans le sens d'un placement. Donc les rapports envoyés au procureur ont mené mon enfant a être en placement provisoire au lieu, pour le bien être de l'enfant Tha.. qui n'avait rien a faire la et afin d'éviter de le tromatiser, de le remmettre a l'entourage familiale pour l'unique bien de l'enfant.
_ Ont admis (enregistrement audio) que leur volonté est de diminuer le sevrage progressivement en vue d'un placement en famille d'accueil qu'ils souhaitent (donc ignore tous les nombreux autres recours, dans l'interêt des enfant et leur bien être, consistant a leur hébergement par l'entourage familiale et moi y compris car je pourrait toujours pour sauver mes enfants, vivre en collocation avec mon ex-conjointe et prendre les enfants a ma charge et sous ma responsabilité. Ou vivre chez mon frère disposé a m'heberger moi et Tha... afin d'éviter un tromatisme encore plus grand que serait un placement en famille d'accueil.
_ Pourtant Mr Rog......, intervenant des services sociaux m'affirmait que tous serait fait pour maintenir l'allaitement maternelle, que le placement serait en dernier recours, qu'après hospitalisation les enfant pourront retourner chez eux. Trois mensonges devenu évident car Mr Rog...... s'est trahi au coté d'une de ses collègues pendant que je me suis entretenu avec eux (Preuve audio et papier n'autorisant que deux tété par jour).
Je fait en sorte de vous fournir un maximum d'élément sur l'affaire, je vous laisse évidemment nous avisés, moi et la maman, sur la meilleur défense a avoir afin d'empecher à tout prix de tromatiser Tha.. plus encore en le déchirant de son entourage familiale avec lequelle il a l'habitude d'entretenir des liens très forts, ce qui est clairement loin d'être dans son interêt.
Maître X... est pour moi un avocat de famille et à choisir quand un problème grave survient, comme dans l'affaire de meurtre dans ma famille par un de mes oncles.
J'espère comme convenu que vous lui avait fait part du dossier de l'affaire ou alors que vous vous chargerai de prendre vous même l'affaire en main.
Que vous feriez tous ce qui est en votre pouvoir pour que mes enfants ne vivent pas le choc du déchirement de leurs famille par un placement déraisonnable.
Mr SE.... So.....
Dernière édition par Tshad le 7/11/2012, 20:00, édité 1 fois