Une couche de plus, cette fois-ci, témoignages de professionnels (services sociaux)
J’ai découvert les témoignages de ces professionnels sur le net (sur le site de « Les Abus … Des Services Sociaux ») et je les reproduis dans mon blog pour les porter à la connaissance du plus grand nombre de personnes car ils ont un message à faire passer – celui des exactions commises ou des propos scandaleux de leurs collègues. Bref, ils dévoilent la face cachée du système d’assistanat social dit « éducatif ». (Boris Tanusheff)
Moi je m’appelle Sabrina et je suis encadrante dans un centre culturel et dans un CFA (Centre de Formation d’Apprentis). Je bosse donc en étroite collaboration avec les services sociaux de ma ville.
Je peux dire une seule chose, c’est que face à l’enfance vraiment en danger les assistantes sociales, il n’y en a pas une qui bouge. C’est affreux.
Sabrina, encadrante en centre culturel
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Je vais faire court dans mon témoignage car ma carrière dans le milieu social a été très brève. J’ai entamé des études d’assistante sociale que j’ai stoppés net le jour où un prof nous a dit, au sujet des gens dont nous allions nous occuper :
» Il ne faut jamais prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas oublier qu’ils le sont. « Et il nous a expliqué comment renflouer les caisses de l’ASE grâce au placement d’enfants.
J’ai trouvé ça dégueulasse, j’ai arrêté mes études dans les jours qui ont suivis. Aujourd’hui je suis secrétaire dans un garage. Mais quand on voit comment sont formées les assistantes sociales il ne faut pas s’étonner que ça tourne aussi mal. Je suis dégoûtée de ce système à vie !!!!!!!!!!!!
Sandra, secrétaire, ex étudiante en école d’assistante sociale
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C’est en tant que psychologue en IME (Institut Médico-Éducatif) que je viens vers vous apporter mon témoignage. Je travaille depuis 27 ans maintenant auprès de personnes déficientes. J’ai envie de témoigner moi aussi en racontant comment certaines assistantes sociales travaillant souvent en équipe avec les psys de mon établissement peuvent semer la pagaille.
Elles croient savoir tout sur tout et ont même la prétention de vouloir nous apprendre notre travail. Elles montent tout en épingle jusqu’à vouloir nous fâcher entre collègues. Elles se montrent bien souvent détestables et imbues d’elles mêmes tellement elles se sentent supérieures aux personnes dont elles ont la charge. D’autres sont adorables et font leur travail avec respect et humanité mais elles se font réprimander puisque selon leurs collègues » elles ne sont pas là pour faire des sentiments « .
Il est exact que très souvent les travailleurs sociaux éprouvent un mépris incontrôlable envers la personne. Ils s’approprient un pouvoir qu’ils n’ont pas et ne se « sentent plus pisser » au point de détruire des gens. C’est dommage.
Et puis pour finir, toute demande de remise en question de leur part est totalement impossible. Par contre elles savent très bien reprocher aux autres leur incapacité à le faire.
Dominique, psychologue en IME
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Pour ma part je ne travaille pas dans le social, je suis prof. Mais je suis un des rares hommes dans ma vie a avoir passé un bac sciences médico-sociales qui forment toutes les futures assistantes sociales, infirmières etc. … Je voulais faire carrière en tant qu’éducateur.
J’ai aussi un handicap. Pendant mes études j’étais la risée de mes camarades de classe, leur tête de turc. Elles m’insultaient, me laissaient à l’écart juste à cause de mon handicap. Dans toute ma classe il n’y en avait qu’une qui me voyait comme un être humain et qui me respectait qui est aujourd’hui membre de l’équipe ALCASS (AlcoolAssistance).
Ce sont ces mêmes filles prétentieuses et inhumaines qui occupent aujourd’hui des postes d’assistantes sociales. Ça ne m’étonne pas moi, qu’elles méprisent les parents respectables et qu’elles détruisent des enfants. Elles ont toujours été comme ça. A 18 ans elles étaient déjà des pimbêches [méprisantes] qui pétaient plus haut que leur c… ! Regarder les gens de haut elles savent faire surtout quand ils sont petits. Elles savent très bien les piétiner pour certaines.
Si je suis prof aujourd’hui c’est parce qu’elles m’ont dégoûté du milieu. Je suis très heureux de ne pas travailler avec ce genre de personnes.
Sylvain, enseignant
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Je souhaite attirer votre attention sur la situation des enfants qui sont privés d’un de leur parent à la suite d’enquêtes sociales.
Je suis enseignante spécialisée et je travaille dans un RASED (Réseau d’Aides Spécialisé aux Élèves en Difficulté). J’exerce ce métier depuis de longues années, ce qui m’a permis de mener une réflexion professionnelle et humaine sur l’épanouissement et le développement des élèves. Au delà de ma formation, je me suis toujours intéressée aux études psychologiques contemporaines portant sur la psychologie de l’enfant.
Mes différents rôles de mère, de citoyenne et d’enseignante se confondent dans ma volonté et mon désir de voir les enfants grandir harmonieusement. Or, dans l’éventail des difficultés et souffrances que ces derniers peuvent rencontrer, il y a celui particulièrement cruel d’être privé du droit ou besoin élémentaire de côtoyer son père ou sa mère. Cette douleur ressentie injustement laisse des blessures qui ne se referment presque jamais. A l’âge de l’adolescence ces jeunes ont fréquemment des comportements à risques que notre société ne peut ignorer. Enfin nous savons que ces enfants ayant connu des carences affectives entretenues par des adultes extérieurs au cercle familial, auront du mal à devenir à leur tour des parents responsables aimants et protecteurs.
De nombreux adultes professionnels sont habilités à faire ce choix au nom du bien–être des enfants. Bien qu’ils s’appuient sur des enquêtes et des faits, nous savons que la plupart des situations sont complexes et que trop de décisions sont prises dans la précipitation. Il est évident qu’une société se doit de protéger les enfants mais elle ne doit pas s’arroger le pouvoir de les tenir éloigner d’un parent aimant n’exerçant pas de violence sur eux.
Pour avoir recueilli dans le cadre d’une relation pédagogique la parole des élèves qui s’expriment souvent au détour d’une lecture, d’un jeu ou même d’une tâche plus scolaire j’ai véritablement observé et ressenti qu’une des souffrances les plus vives pour eux est d’être tenu éloigné du parent qu’on leur a soustrait et dont il est privé.
Laurence, enseignante en RASED
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J’ai travaillé dans le domaine social entre 2003 et 2006, pour une association de la jeunesse et sport gérée financièrement par la mairie de Paris. J’avais pour partenaires tous les acteurs sociaux que l’on connait, on travaillait en réseau, j’avais des séminaires et des réunions avec les élus à la jeunesse et aux sports, Clémentine Autain, Anne Hidalgo, Delanoë, les maires d’arrondissements … Je rédigeais des projets pour la jeunesse parisienne des quartiers défavorisés, j’avais créé des ateliers d’aide aux devoirs pour les plus démunis, aide à l’alphabétisation des parents, bref !
J’ai été jetée comme une MERDE, excusez d’être aussi trash, j’ai subi un licenciement abusif qui n’avait pas lieu d’être, j’étais un élément sur lequel on pouvait compter, sérieuse et sans histoire. J’ai fini par comprendre d’où venait mon malheur petit à petit avec ma découverte des magouilles des services sociaux, j’ai compris que mon ex collaborait avec eux et leur racontait mes conversations téléphoniques avec mes collègues, il leur racontait que j’étais dangereuse, que je voulais faire exploser le système social.
C’est comme ça au fur et à mesure, sans que j’y vois que du vent, que j’ai été mise en quarantaine comme une pestiférée, j’avais pris 30 kg à force de harcèlement et de malveillance, c’était si sournois, si inhumain, même les élus semblaient me connaître sans m’avoir jamais rencontrée, j’en ai souffert au point où j’ai eu des malaises sérieux au bureau, j’ai même eu l’intervention des pompiers une fois, mais c’est moi qui les ai appelés, pas mon chef !
En fait la propagande à mon sujet a circulé jusqu’aux chefs de l’hôtel de ville et j’ai dû finir haut les mains, les armes à terre, fatiguée, usée, ils m’ont tuée à petit feu, même le médecin du travail était de leur rang !!
Ils m’avaient mis des collègues espionnes qui m’appelaient tous les soirs pendant 2h à me tirer les vers du nez, quand j’écrivais, personne ne me répondait, mon ex m’offrait tout ce que je voulais et passait le plus clair de son temps chez moi à écouter, surveiller, épier, amasser les infos, voler des documents, enregistrer mes conversations, à rassembler ses preuves (très fausses d’ailleurs!) comme un puzzle, quelle idiote j’étais !!
Aujourd’hui je le confirme, les services sociaux en collaboration avec mon ex m’ont arraché mon travail afin de me laisser à leur merci, à la merci de cet homme, de sa pension alimentaire et des maigres aides sociales, alors que j’ai fait des études toute ma vie et que j’ai toujours été une femme active. Ils ont voulu faire de moi un cas social, une demeurée, une paresseuse, une laissée pour compte afin de me regarder avec jubilation leur réclamer leurs toutes petites aides.
C’est horrible !!! C’est exactement la même méthode qu’ils utilisent en arrachant les enfants à leurs familles pour les placer, c’est ça leur gagne-pain, fabriquer des cas sociaux afin de se nourrir, c’est vampiresque !!!! Lors d’un séminaire de mon travail, les psychologues invités l’ont confirmé : le domaine social se nourrit de ça, y’a pas à chercher !
Vanessa, enseignante, ex professionnelle du social
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J’ai longuement hésité afin de déposer moi aussi mon témoignage, mais finalement …, je suis moi aussi une professionnelle de ce milieu médico-social. Et je crois en avoir assez vu pour laisser ma trace même si on vient me reprocher par la suite » Vous vous croyez meilleure que les autres ? « . Non j’essayais juste de faire mon métier le mieux possible en restant « droite dans mes bottes » parce qu’en face de moi j’avais des gens qui souffraient. J’essayais juste de me mettre un peu à leur place pour leur offrir l’aide dont ils avaient besoin. C’est tout.
Quand je faisais mes études en sciences médico-sociales, le milieu social m’a vite dégoûté. On nous apprenait une théorie sur le respect d’autrui et dans la pratique on devait faire tout l’inverse. Je me suis donc orientée plus facilement vers le milieu médical. Après mon bac F8 (sciences médico-sociales) j’ai fait une fac de biologie. Ça me plaisait. (…)
J’ai continué mes études et suis rentrée dans un institut de recherches médicales. Tout se passait très bien, j’adorais mon métier, jusqu’au jour où le CHU de ma ville m’a proposé de travaillé pour lui avec un très bon salaire. J’ai démissionné de l’institut et suis rentrée au CHU. Quelle horreur !!! Entre les médecins qui me coinçaient dans les ascenseurs pour passer un bon moment, et les collègues jalouses qui croyaient que je couchais avec eux, j’ai tout subi. (…)
J’ai continué à travaillé dans le secteur médical mais dans le privé, clinique et laboratoire pharmaceutique. Puis un jour une entreprise commerciale m’a proposé de travailler pour eux en tant que formatrice internet et prendre la responsabilité du pôle informatique de la boîte. Là encore ça suscitait des jalousies, puisqu’encore la dernière arrivée on me proposait déjà la responsabilité d’un pôle réservé en principe aux hommes. J’ai travaillé pour eux près d’un an et je suis tombée enceinte. J’ai quitté cette boîte au moment de signer mon CDI.
J’en avais assez qu’on m’en veuille parce que j’étais à l’aise derrière un ordinateur, alors j’ai décidé de vivre ma passion en dilettante. Et pour gagner ma vie, j’ai décidé de devenir assistante maternelle agréée. J’ai donc rempli mon dossier d’inscription à la PMI (Protection Maternelle Infantile) et j’ai obtenu mon agrément. 15 jours après j’avais du travail, un CDI.
Mes 1ers employeurs étaient clerc de notaire et éducateur. J’ai gardé leur fils 3 ans, de ses 4 mois à son entrée à l’école. J’étais déjà la deuxième nounou de ce bébé. La 1ère avait jeté l’éponge tellement les parents étaient ignobles. Mais j’ai tenu le coup. Ma puéricultrice de référence m’épaulait énormément et au bout de 4 mois, alors que j’aurais dû attendre un an légalement, la PMI m’a proposé une extension d’agrément pour avoir un deuxième enfant en garde. La raison : j’étais un bon élément digne de confiance et je savais gérer les situations délicates. (…)
La mission locale de ma ville m’a proposé de monter avec eux une crèche sociale. En avril 2007 j’ai présenté l’idée à la Directrice de la PMI, puisque je ne pouvais rien faire sans son accord. L’idée lui a plu mais elle ne voulait pas que je quitte mon poste d’assistante maternelle. Motif : » Vous êtes un excellent élément et je compte vous garder parmi mes assistantes maternelles. «
Ma nouvelle puéricultrice de référence voyait d’un mauvaise œil mes rapports privilégiés avec la mission locale ainsi qu’avec la directrice de la PMI. Elle a commencé alors à me refuser ma nouvelle extension d’agrément. Je n’en avais que deux et j’avais droit à trois.
Puis mon compagnon et moi nous sommes séparés. Il ne supportait pas mon côté « trop maniaque » du ménage et du travail. Lui savait que j’avais des rapports assez tendus avec ma nouvelle puéricultrice de référence. Il a demandé une garde alternée de notre fils qui lui a été refusée. Alors ce jour là le 10 juillet 2007, le jour même où le tribunal a rendu son jugement, il a appelé ma puéricultrice de référence pour me faire perdre mon travail afin d’obtenir la garde de notre fils. La veille au soir il m’avait envoyé une menace par SMS en me parlant de la PMI et en me signalant qu’il avait « une petite surprise pour moi ».
Bien évidemment cette puéricultrice qui m’avait « dans le nez » est venue chez moi sans aucun scrupule une semaine plus tard alors que j’étais en vacances et en train de faire des travaux chez moi, elle a violé ma vie privée et m’a fait perdre mon emploi dans la foulée sur la dénonciation calomnieuse du père de mon fils. La raison : mon manque d’hygiène.
Mes employeurs (dont une éducatrice spécialisée) sont alors montés au créneau pour me défendre et leur attester que je n’avais pas de problème d’hygiène et que ma maison était toujours bien tenue. La PMI a donc reconnu qu’effectivement faire des travaux chez soi pendant ses congés n’était pas un manque d’hygiène et a laissé tomber ces arguments mensongers. Mais j’ai eu la mauvaise idée de cracher mon venin contre ma puéricultrice de référence et de dénoncer son agissement depuis des mois. Je l’ai traitée de menteuse et d’incompétence facilement manipulable par le premier menteur venu. Sur ces motifs, j’ai perdu mon emploi. La raison : mon insolence envers ma puéricultrice de référence.
Cette histoire m’a conduite devant le juge des enfants puisque pendant que j’avais la PMI en face de moi j’ai dénoncé les agissements du père de mon fils. Cela dit, j’ai été accusé d’avoir fait un courrier anonyme. Sauf que jamais je n’ai fait de courrier anonyme, j’ai tout balancé nominativement à mes supérieurs. Mais ils n’ont pas appréciés le fait de s’être laissé berner par un papa dangereux et plutôt que de revenir en arrière ils ont continué à m’enfoncer pour ne pas perdre la face et justifier leurs actes.
La juge des enfants à demandé alors une mesure d’IOE (mesure d’Investigation et d’Orientation Éducative). Pendant l’enquête faite par un organisme de protection judiciaire de la jeunesse, l’assistante sociale de cet établissement m’a menacée de me faire retirer mon fils si j’ébruitais et si je mettais au tribunal administratif mon dossier professionnel contre la PMI.
La PMI a quant à elle attesté à cette assistante sociale que j’avais bien porté plainte contre eux, ce qui était totalement faux. Mais elle ne m’a jamais reproché ni un manque quelconque d’hygiène ni aucune mise en danger de la vie d’un enfant. La seule chose qui m’a été reprochée c’est d’avoir eu des propos irrévérencieux envers ma puéricultrice référence, ce qui est vrai, et d’avoir porté plainte contre eux, ce qui est faux. La PMI, pour orienter une décision de justice, n’a donc pas hésité à mentir et à violer le secret professionnel pour tenter de me faire retirer mon fils. (…)
Pourtant la PMI m’a toujours affirmée qu’ils n’avaient jamais eu aucun contact avec l’assistante sociale de la protection judiciaire de la jeunesse. Mais cette dernière a marqué noir sur blanc dans son rapport le nom de l’assistante sociale qui a violé le secret professionnel et transmis des informations mensongères à mon sujet, elle travaille…à la PMI…dans le même bureau que ma puéricultrice de référence. La boucle est bouclée.
La PMI en complicité avec le père de mon fils a mis en péril la vie de mon enfant en me faisant perdre mon emploi. Tout le monde les a écoutés, sauf le conseiller de la mise en état. La juge des enfants elle, se doute bien qu’il y a anguille sous roche mais ne l’a pas reconnu officiellement. Elle m’a reproché ma trop grande maîtrise de la langue française et ma passion pour l’informatique. Aucun professionnel que j’ai pu croiser n’a eu le courage d’appeler la PMI en lui disant qu’elle avait outrepassé ses droits. PERSONNE. Ils nous ont tous laissé dans cette galère. TOUS !!! Et ils ont tous regardé mon fils et moi s’enfoncer sans bouger le petit doigt. (…)
La seule chose sur laquelle tout le monde est tombé d’accord c’est ma « grande gueule » et que je dise tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Moi la première. Et si c’était vraiment ça le problème ? La vérité qui explose ferait elle le même effet que l’eau froide sur des dents malades ?
Je suis petite fille de résistants de la 1ère heure, et j’ai été élevée dans l’idée qu’il fallait se battre pour le respect de nos libertés et de la dignité humaine. Si mes grands parents avaient été collabos, j’aurais peut être pu adhérer à ce système digne du régime de Vichy ! Mais non, ça m’est impossible !
Alors mesdames et messieurs les professionnels de la protection de l’enfance qui m’accusent d’être dangereuse, s’il vous plait, permettez moi une chose : De rester comme je suis … parce que je refuse catégoriquement de vous ressembler un jour.
Séverine, ex professionnel du milieu médico-social
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N.B. : Compte tenu des restrictions de la liberté d’expression dans le domaine institutionnel et surtout celui de la justice, les vidéos de kidnapping « légal » des enfants en provenance de la France sont inexistantes et il faut se contenter de celles de l’étranger. L’absence des matériels enregistrés liés à ce sujet, malheureusement n’est peut pas être attribué au soi-disant faible nombre de retraits injustifiés et brutaux des enfants de leurs parents. (Boris Tanusheff)
DHS (Department of Human Services) aux Etats-Unis prend les enfants de leurs parents
Des enfants en bonne santé, innocents, sont enlevés à leurs parents sur de fausses accusations d’abus sectaires. Selon les règles, les juges peuvent ordonner que les enfants retournent à la maison si leurs parents quittent leur Église. « This is it folks! » Le gouvernement dicte quelle église vous êtes autorisé à fréquenter !
Nancy Schaefer, sénateur : » Dieu ne tolérera pas ce qui se passe avec nos enfants et nos familles. Son cœur bat pour ces enfants, il élèvera les opprimés. Ce qui se passe en Amérique en ce qui concerne les services de protection des enfants est un crime, un phénomène politique… Et il faut mettre fin. «
Sarah Walton : » Je suis une maman qui a été victime d’une raquette horrible de la part de la protection de l’enfance. J’ai eu une petite fille en 2004 qui m’a été arrachée deux fois par les SS. Ils me disaient qu’il faut s’arranger avec mon mari. Mais quoiqu’il fît, pour eux ce n’était pas bien et le juge a décidé que nous ne pouvons plus garder notre fille. «
sources:
http://detournementjustice.wordpress.com/2011/04/07/quand-les-pros-en-parlent/
http://lesabusdesservicessociaux.e-monsite.com/blog.html