Dans l'une de ses vidéo, le PR H Joyeux dit, à peu de choses près, qu'en sachant comment on attrape un cancer, on sait de fait comment ne pas l’attraper. Ce qui est logique et "amusant", mais qui va parfaitement refléter le fait suivant: on ne sait pas s'alimenter! Je ne connais, en effet, personne qui sache véritablement s'alimenter.
Manger, c'est avant tout se restaurer, or pour se restaurer au mieux, il faut savoir ce que restaurer/manger signifie. Le corps humain ( entre autres) est un système qui a la faculté de retrouver son équilibre dans les périodes de repos: il travaille, se fatigue, s'encrasse etc, puis il se restaure et retrouve son équilibre durant le repos/sommeil; cela participe de ce que l'on nomme l'homéostasie. On peut donc définir le manger, dans son acception première, comme le besoin de se restaurer ( d'où, en ce sens: les Restaurants). Se restaurer, c'est donc recouvrer l'état qui précédait le déséquilibre ( fatigue, douleurs etc). Et on peut dire que se restaurer, c'est en quelque sorte se soigner si on veut bien considérer l'adage du premier des médecins quand il disait: " que ton aliment soit ton médicament!". De cela, on peut déduire que le manger est avant tout une activité de soin. Ensuite, évidemment, ce peut être une activité ludique récréative etc.
Pour restaurer notre organisme, il faut se faire une idée suffisamment correcte de ce qu'est cet organisme (On peut, à ce sujet, parcourir le Net et suivre des vidéos; il y en a de très pertinentes...). Je retiens de cela l'enseignement du Pr M Henry quand il décrit le corps humain comme étant "un sac d'eau minéralisée" d'un point de vue purement chimique; ce qui est un bon début car à défaut de le saisir dans son intimité la plus subtile ( qui renvoie à l'immatériel, voire au Divin), considérer le corps à son échelle moléculaire est un point de vue qui se corrèle assez bien avec la nourriture: tenir compte de ce qui entre dans la composition de nos aliments nous en donne une connaissance plus "pratique" ( plus assimilable diront certains).
Se nourrir, c'est nourrir le tout de ce qui nous constitue ( organes, cellules, bactéries etc), donc avaler un aliment, c'est le destiner à l'ensemble de nos sous-parties, or on ne donne pas un sandwich à manger à une cellule, ce qu'on doit lui apporter, c'est ce qu'elle peut assimiler sans trop de travail si possible ( de l'eau ( propre) , des minéraux et d'autres choses que je ne sais pas nommer). Quoi qu'il en soit, il vaut mieux, à mon sens (mais je n'ai pas de blouse blanche), donner la priorité aux "aliments" communs à toutes nos sous-parties: l'eau, les minéraux, les vitamines etc. On peut, bien sûr, jouer sur les mots et évoquer les nuances dans les terminologies scientifiques, mais quand on dit qu'il faut donner la priorité aux plus petits dénominateurs communs de nos apports, on ne se trompe pas. Donc, inutile de se perdre en conjectures, il faut consommer les aliments les plus simples qui soient, en priorité: les végétaux!
Se "blinder" de minéraux pour la santé et ensuite se faire plaisir avec le reste; c'est un minimum syndical en dessous duquel on n'est plus en droit de se dire majeur ( quand on a besoin d'un autre pour se maintenir debout, pas trop malade, on n'est pas autonome, on appelle cela être "mineur" ( avoir besoin d'un tuteur; c'est d'ailleurs tout le baratin des Lumières)
Il n'y a aucune recette qui soigne telle ou telle pathologie; soit c'est tout le corps qui en profite, soit c'est un attrape-couillon. Les tisanes , elles-mêmes, sont des demi-sottises: ce qui dans une tisane est bon pour le foi est aussi bon pour tout le reste ou ne l'est pour rien ( je penserais autrement si l'infusion était directement injectée dans le foi plutôt que de suivre le parcours de tout aliment...)
Perso, je vais chercher ces minéraux et autres dans les plantes sauvages ( 3,4,5...plantes précuites sans ébullition puis mixées et bues en jus sans attention pour le goût; où accommodées d'une pomme de terre, ail, huile d'olive...pour carrément tenir lieu de repas); le sérum de Quinton est aussi une bon complément ainsi que la vitamine C ( en pot d'un kilo).
Cette démarche vient répondre au problème des aliments de plus en plus difficiles à assimiler à mesure que l'âge avance ( on ne digère pas à vingt ans comme à soixante ( c'est pour cela qu'il y a des "vieux" qui mangent beaucoup du fait qu'ils assimilent mal)
Et une dernière chose: prendre soin de soi consciemment est le placebo le plus puissant qui soit!
Conclusion,
vous autres qui êtes encore jeunes, comprenez bien que demain c'est déjà aujourd'hui: le coup de marteau sur le pouce produit immédiatement son effet, le poison du serpent met quelques minutes ou heures à produire son effet, mais la bouffe dégueu, elle, met des années à faire connaître ses effets; c'est donc dès aujourd'hui qu'il faut s'en préoccuper ( si vous vous laissez pourrir, il faudra alors composer avec un, deux, trois... cancers et, au mieux, dix ans pour recouvrer la santé) ( à cinquante ans j'étais plus vieux qu'aujourd'hui...)
Manger, c'est avant tout se restaurer, or pour se restaurer au mieux, il faut savoir ce que restaurer/manger signifie. Le corps humain ( entre autres) est un système qui a la faculté de retrouver son équilibre dans les périodes de repos: il travaille, se fatigue, s'encrasse etc, puis il se restaure et retrouve son équilibre durant le repos/sommeil; cela participe de ce que l'on nomme l'homéostasie. On peut donc définir le manger, dans son acception première, comme le besoin de se restaurer ( d'où, en ce sens: les Restaurants). Se restaurer, c'est donc recouvrer l'état qui précédait le déséquilibre ( fatigue, douleurs etc). Et on peut dire que se restaurer, c'est en quelque sorte se soigner si on veut bien considérer l'adage du premier des médecins quand il disait: " que ton aliment soit ton médicament!". De cela, on peut déduire que le manger est avant tout une activité de soin. Ensuite, évidemment, ce peut être une activité ludique récréative etc.
Pour restaurer notre organisme, il faut se faire une idée suffisamment correcte de ce qu'est cet organisme (On peut, à ce sujet, parcourir le Net et suivre des vidéos; il y en a de très pertinentes...). Je retiens de cela l'enseignement du Pr M Henry quand il décrit le corps humain comme étant "un sac d'eau minéralisée" d'un point de vue purement chimique; ce qui est un bon début car à défaut de le saisir dans son intimité la plus subtile ( qui renvoie à l'immatériel, voire au Divin), considérer le corps à son échelle moléculaire est un point de vue qui se corrèle assez bien avec la nourriture: tenir compte de ce qui entre dans la composition de nos aliments nous en donne une connaissance plus "pratique" ( plus assimilable diront certains).
Se nourrir, c'est nourrir le tout de ce qui nous constitue ( organes, cellules, bactéries etc), donc avaler un aliment, c'est le destiner à l'ensemble de nos sous-parties, or on ne donne pas un sandwich à manger à une cellule, ce qu'on doit lui apporter, c'est ce qu'elle peut assimiler sans trop de travail si possible ( de l'eau ( propre) , des minéraux et d'autres choses que je ne sais pas nommer). Quoi qu'il en soit, il vaut mieux, à mon sens (mais je n'ai pas de blouse blanche), donner la priorité aux "aliments" communs à toutes nos sous-parties: l'eau, les minéraux, les vitamines etc. On peut, bien sûr, jouer sur les mots et évoquer les nuances dans les terminologies scientifiques, mais quand on dit qu'il faut donner la priorité aux plus petits dénominateurs communs de nos apports, on ne se trompe pas. Donc, inutile de se perdre en conjectures, il faut consommer les aliments les plus simples qui soient, en priorité: les végétaux!
Se "blinder" de minéraux pour la santé et ensuite se faire plaisir avec le reste; c'est un minimum syndical en dessous duquel on n'est plus en droit de se dire majeur ( quand on a besoin d'un autre pour se maintenir debout, pas trop malade, on n'est pas autonome, on appelle cela être "mineur" ( avoir besoin d'un tuteur; c'est d'ailleurs tout le baratin des Lumières)
Il n'y a aucune recette qui soigne telle ou telle pathologie; soit c'est tout le corps qui en profite, soit c'est un attrape-couillon. Les tisanes , elles-mêmes, sont des demi-sottises: ce qui dans une tisane est bon pour le foi est aussi bon pour tout le reste ou ne l'est pour rien ( je penserais autrement si l'infusion était directement injectée dans le foi plutôt que de suivre le parcours de tout aliment...)
Perso, je vais chercher ces minéraux et autres dans les plantes sauvages ( 3,4,5...plantes précuites sans ébullition puis mixées et bues en jus sans attention pour le goût; où accommodées d'une pomme de terre, ail, huile d'olive...pour carrément tenir lieu de repas); le sérum de Quinton est aussi une bon complément ainsi que la vitamine C ( en pot d'un kilo).
Cette démarche vient répondre au problème des aliments de plus en plus difficiles à assimiler à mesure que l'âge avance ( on ne digère pas à vingt ans comme à soixante ( c'est pour cela qu'il y a des "vieux" qui mangent beaucoup du fait qu'ils assimilent mal)
Et une dernière chose: prendre soin de soi consciemment est le placebo le plus puissant qui soit!
Conclusion,
vous autres qui êtes encore jeunes, comprenez bien que demain c'est déjà aujourd'hui: le coup de marteau sur le pouce produit immédiatement son effet, le poison du serpent met quelques minutes ou heures à produire son effet, mais la bouffe dégueu, elle, met des années à faire connaître ses effets; c'est donc dès aujourd'hui qu'il faut s'en préoccuper ( si vous vous laissez pourrir, il faudra alors composer avec un, deux, trois... cancers et, au mieux, dix ans pour recouvrer la santé) ( à cinquante ans j'étais plus vieux qu'aujourd'hui...)