La véritable Vierge Marie
Une certaine iconographie relevant de l'angéologie et entremêlée de symbolisme tantôt à prétention théologique ou dogmatique, tantôt de nature carrément alchimique, a souvent représentée Marie avec un visuel pompeux et extravagant où on la voit assise régnant sur un trône, ou debout ornée d'une couronne de pierres précieuses sur la tête, un sceptre d'or dans la main, un serpent sous le pied et des adorateurs se prosternant devant une reine du ciel au regard fier.
Certains de ces visuels particulièrement suspects, la représentent même avec des têtes de chérubins aux ailes noires sous les pieds...
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On ne peut s'empêcher de ressentir et de penser, en voyant certains de ces visuels, à une inversion proprement satanique de la sainte vie de Marie et de son saint rôle dans la prophétie divine.
Tout cela n'est pas innocent.
Voici en comparaison de ces visuels extravagants ce qu'en dit la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich dans ses "visions" ( https://archive.org/details/visionsdannecath01emme ) que j'invite vraiment les gens à lire avec objectivité, car il y a là-dedans des signes révélateurs pour ceux qui auront l'oeil du coeur pour voir.
Visions d'Anne Catherine Emmerich sur la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Très Sainte Vierge (Tome 1 - Page XI)
Ce témoignage magnifique est à mettre en comparaison de l'iconographie grandiloquente rappelée plus haut, car il en est l'antithèse pour ainsi dire complète sur le fond, et il est de surcroît beaucoup plus proche de ce que l'on constate de la sainteté et de la pureté de la Vierge Marie dans les Evangiles.
Si vous voulez mon avis, je pense sincèrement qu'on ne peut être plus loin de la vérité, concernant Marie, que dans ce symbolisme dénaturé :
en vérité l'authentique "vierge Marie" est aux antipodes de ces visuels alchimiques qui parasitent notre pysché depuis des siècles.
La véritable Marie est d'une telle humilité, d'une telle douceur, d'une telle paix au fond du cœur, et sa foi en Dieu est tellement grande, qu'aucun démon ne pourrait ne serait-ce que subsister à des kilomètres à la ronde, pas la moindre influence maligne.
La Foi en Dieu de cette femme est tellement pure et innocente, que si elle devait briller et s'incarner en ce monde, son éclat serait tel qu'il aurait le pouvoir de dissiper jusqu'à la dernière once de ténèbres tapie au fin fond du cosmos.
Même le plus grand de tous les anges (Saint-Michel), n'a pas eu la foi de cette femme.
Seul le Christ l'égale, et, s'il est possible, la dépasse (et dans ce cas c'est un mystère qui surpasse de loin ce que nous pouvons concevoir, nous qui sommes coincés en ce bas-monde, en nous souciant du lendemain comme nous le faisons.)
Si Marie est "reine au Ciel" et "maîtresse des anges", c'est pour des raisons bien différentes que ne se l'imaginent la plupart des hommes qui, muent par des désirs trop humains et une vision toute empirique des choses, l'ont symbolisé (puis projeté au fil des siècles) au travers de ce décoratif pompeux aux antipodes absolus de ce qu'elle est réellement.
(Jésus-Christ dans les Evangiles)
C'est précisément sa foi inébranlable en Dieu et la pureté immaculée de son cœur qui fait qu'elle représente la mère bienveillante par excellence, l'esprit maternel qui doit guider les enfants « dont les anges voient sans cesse la face de Dieu dans les Cieux ». (Matthieu XVIII-10)
Et c'est dans ce symbole de la foi et de l'innocence parfaite que s'est incarné le mystère de l'Immaculée conception, par la Grâce de Dieu.
Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.
Si l'on devait symboliser Marie, dans toute la simplicité qui la caractérise (ce que nous pouvons à peine concevoir) et dans toute l'innocence de sa Foi, le plus proche serait une "colombe".
Mais une colombe d'une paix intérieure telle que moi-même, au plus profond des sanctuaires qui sont les miens, dans l'isolement et le recueillement le plus complet, au plus profond de mon être, n'ait pu ressentir une telle paix.
En un mot l'essence du Saint-Esprit.
Une certaine iconographie relevant de l'angéologie et entremêlée de symbolisme tantôt à prétention théologique ou dogmatique, tantôt de nature carrément alchimique, a souvent représentée Marie avec un visuel pompeux et extravagant où on la voit assise régnant sur un trône, ou debout ornée d'une couronne de pierres précieuses sur la tête, un sceptre d'or dans la main, un serpent sous le pied et des adorateurs se prosternant devant une reine du ciel au regard fier.
Certains de ces visuels particulièrement suspects, la représentent même avec des têtes de chérubins aux ailes noires sous les pieds...
https://i.servimg.com/u/f10/15/60/57/05/vierge10.jpg
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On ne peut s'empêcher de ressentir et de penser, en voyant certains de ces visuels, à une inversion proprement satanique de la sainte vie de Marie et de son saint rôle dans la prophétie divine.
Tout cela n'est pas innocent.
Voici en comparaison de ces visuels extravagants ce qu'en dit la bienheureuse Anne-Catherine Emmerich dans ses "visions" ( https://archive.org/details/visionsdannecath01emme ) que j'invite vraiment les gens à lire avec objectivité, car il y a là-dedans des signes révélateurs pour ceux qui auront l'oeil du coeur pour voir.
« Je n'ai jamais vu Jésus ni Marie parler avec la moindre emphase. Marie est d'un simplicité que rien ne peut rendre : tout son être est comme un fil de soie blanche qui semble disparaître dans une étoffe, à force de délicatesse et de pureté.»
Visions d'Anne Catherine Emmerich sur la vie de Notre Seigneur Jésus-Christ et de la Très Sainte Vierge (Tome 1 - Page XI)
Ce témoignage magnifique est à mettre en comparaison de l'iconographie grandiloquente rappelée plus haut, car il en est l'antithèse pour ainsi dire complète sur le fond, et il est de surcroît beaucoup plus proche de ce que l'on constate de la sainteté et de la pureté de la Vierge Marie dans les Evangiles.
Si vous voulez mon avis, je pense sincèrement qu'on ne peut être plus loin de la vérité, concernant Marie, que dans ce symbolisme dénaturé :
en vérité l'authentique "vierge Marie" est aux antipodes de ces visuels alchimiques qui parasitent notre pysché depuis des siècles.
La véritable Marie est d'une telle humilité, d'une telle douceur, d'une telle paix au fond du cœur, et sa foi en Dieu est tellement grande, qu'aucun démon ne pourrait ne serait-ce que subsister à des kilomètres à la ronde, pas la moindre influence maligne.
La Foi en Dieu de cette femme est tellement pure et innocente, que si elle devait briller et s'incarner en ce monde, son éclat serait tel qu'il aurait le pouvoir de dissiper jusqu'à la dernière once de ténèbres tapie au fin fond du cosmos.
Même le plus grand de tous les anges (Saint-Michel), n'a pas eu la foi de cette femme.
Seul le Christ l'égale, et, s'il est possible, la dépasse (et dans ce cas c'est un mystère qui surpasse de loin ce que nous pouvons concevoir, nous qui sommes coincés en ce bas-monde, en nous souciant du lendemain comme nous le faisons.)
Si Marie est "reine au Ciel" et "maîtresse des anges", c'est pour des raisons bien différentes que ne se l'imaginent la plupart des hommes qui, muent par des désirs trop humains et une vision toute empirique des choses, l'ont symbolisé (puis projeté au fil des siècles) au travers de ce décoratif pompeux aux antipodes absolus de ce qu'elle est réellement.
« Le Royaume des Cieux est au dedans de vous. » ( Luc XVII-21 )
« Car là où est ton trésor, sera aussi ton coeur. » ( Matthieu VI-21 )
« Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu. » ( Matthieu V-8 )
(Jésus-Christ dans les Evangiles)
C'est précisément sa foi inébranlable en Dieu et la pureté immaculée de son cœur qui fait qu'elle représente la mère bienveillante par excellence, l'esprit maternel qui doit guider les enfants « dont les anges voient sans cesse la face de Dieu dans les Cieux ». (Matthieu XVIII-10)
Et c'est dans ce symbole de la foi et de l'innocence parfaite que s'est incarné le mystère de l'Immaculée conception, par la Grâce de Dieu.
Que celui qui a des oreilles pour entendre entende.
Si l'on devait symboliser Marie, dans toute la simplicité qui la caractérise (ce que nous pouvons à peine concevoir) et dans toute l'innocence de sa Foi, le plus proche serait une "colombe".
Mais une colombe d'une paix intérieure telle que moi-même, au plus profond des sanctuaires qui sont les miens, dans l'isolement et le recueillement le plus complet, au plus profond de mon être, n'ait pu ressentir une telle paix.
En un mot l'essence du Saint-Esprit.