« Le fascisme est une marchandise particulière (…) fabriquée par la nécessité de l’économie et le PS, sa marchandise-repoussoir, qui finalement est devenue celle de tous, car tous ont le même besoin de trouver plus sale qu’eux. Et c’est curieux de voir des partis-associations venir se greffer sur cette saleté Comment spécialistes de l’affaire, ils la combattraient sans que rien ne change. Comment ils montrent leur incapacité à nuire à leur ennemi et comment se maintient le statu quo, l’équilibre entre eux. Le fascisme est pour eux la marchandise fétiche. (…) Aussi clairement, tous ceux qui incluent dans le nom qu’ils se donnent le nom de leur « ennemi » précisent leur intention : celle de ne rien vouloir changer, car tout changement les amènerait à disparaître. On n’a jamais vu de politicien, ni de bureaucrate vouloir perdre son pouvoir de représentant, ni donc vouloir changer quoi que ce soit. » (Bulletin situationniste l’Achèvement)
Le NVD est un parti pédophile hollandais. Son programme réclame entre autre l’abaissement de la majorité sexuelle à douze ans, un âge minimal de participation aux œuvres pornographiques aligné sur la majorité sexuelle, l’autorisation de l’usage des drogues à douze ans, la suppression du mariage, l’autorisation de la nudité publique et la prostitution autorisée dès 16 ans. Ce parti milite aussi pour la légalisation de la zoophilie. Il est considéré comme « constitutionnel » et est étroitement liée à l’association Martijn, membre de la think-tank « Child lovers ». Dirigé par Van den Berg, elle milite pour l’acceptation « des relations d’amour adultes-enfants ». Lors de la création du NVD, l’Alliante Nationale (NA) a tenté d’agir contre elle, multipliant les manifestations. Or, cette association est protégée par les ligues antifascistes. Ainsi le 27/05/06, lors d’une manifestation antipédophile, plus d’une vingtaine de membres de l’AFA ont été arrêté après en avoir agressé les participants.
Outre protéger le lobby pédophilie en Hollande, les antifas soutiennent les intérêts capitalistes. À ceux qui disent que Reflex, Ras l’Front, etc. ne tiennent pas leur renseignements de l’État, qu’ils lisent d’urgence le numéro 51 de Reflex. Il est très clair sur la collusion de cette revue avec la police et les Renseignements généraux. Le texte « l’œil de Damas » fait d’ailleurs référence aux rapports des R.G. Cela n’est pas si étrange lorsque l’on sait que Reflex dispose d’une page dans le mensuel Searchlight pour exposer la situation française. Le responsable de cette revue anglaise Gerry Gable avait affirmé dans le Jewish Chronicle du 23/10/87 : « Nous ne travaillons pas pour la police, nous travaillons avec la police ». Mais bon, à part ça, c’est eux qui combattent le Système c’est connu !
Dis moi qui te finance je te dirais qui tu es : « La polémique a éclaté lorsqu’un internaute (avec lequel les rédacteurs de l’article n’ont rien à voir) a dévoilé que les fameux antifascistes russes invités en France avaient des liens avec "Searchlight", magazine britannique qui affiche certes un bel antifascisme mais dont le rédacteur en chef reconnaît avoir des liens avec les services secrets de son pays. Ce même internaute faisait par ailleurs remarquer que le mouvement qui faisait venir en France ces Russes (en l’occurrence le conglomérat "Réflex", "Scalp", "Réseau no pasaran"), fait partie d’un réseau appelé United (auquel appartient également Searchlight). C’est, d’après ce qu’affirme son site, "le plus grand réseau paneuropéen antiraciste". Il regroupe 560 organisations et lutte contre le nationalisme, le racisme, le fascisme et pour les droits des immigrants et des réfugiés. Très bien jusques là. Sauf que, si l’on se donne seulement la peine de lire ses rapports d’activité, on a directement connaissance de la liste des organisations qui financent United. C’est là qu’on rigole. Dans le rapport d’activité 2006, on relevait en vrac, parmi les généreux donateurs : la Commission Européenne, le Conseil de l’Europe, le Conseil mondial des Eglises (!), le Conseil culturel de Suède, le Groupe parlementaire européen des Verts, le Groupe parlementaire européen Socialiste, le Groupe parlementaire européen Communiste, le Ministère des affaires étrangères Suisse, etc. Bien pire, deux ministères de la police (au moins) financent directement United : le ministère de l’intérieur britannique et le ministère de l’intérieur néerlandais. Et c’est bien de ce réseau que Reflex (auquel appartient le Scalp) est membre ! » Source : CNT-AIT
Le NVD est un parti pédophile hollandais. Son programme réclame entre autre l’abaissement de la majorité sexuelle à douze ans, un âge minimal de participation aux œuvres pornographiques aligné sur la majorité sexuelle, l’autorisation de l’usage des drogues à douze ans, la suppression du mariage, l’autorisation de la nudité publique et la prostitution autorisée dès 16 ans. Ce parti milite aussi pour la légalisation de la zoophilie. Il est considéré comme « constitutionnel » et est étroitement liée à l’association Martijn, membre de la think-tank « Child lovers ». Dirigé par Van den Berg, elle milite pour l’acceptation « des relations d’amour adultes-enfants ». Lors de la création du NVD, l’Alliante Nationale (NA) a tenté d’agir contre elle, multipliant les manifestations. Or, cette association est protégée par les ligues antifascistes. Ainsi le 27/05/06, lors d’une manifestation antipédophile, plus d’une vingtaine de membres de l’AFA ont été arrêté après en avoir agressé les participants.
Outre protéger le lobby pédophilie en Hollande, les antifas soutiennent les intérêts capitalistes. À ceux qui disent que Reflex, Ras l’Front, etc. ne tiennent pas leur renseignements de l’État, qu’ils lisent d’urgence le numéro 51 de Reflex. Il est très clair sur la collusion de cette revue avec la police et les Renseignements généraux. Le texte « l’œil de Damas » fait d’ailleurs référence aux rapports des R.G. Cela n’est pas si étrange lorsque l’on sait que Reflex dispose d’une page dans le mensuel Searchlight pour exposer la situation française. Le responsable de cette revue anglaise Gerry Gable avait affirmé dans le Jewish Chronicle du 23/10/87 : « Nous ne travaillons pas pour la police, nous travaillons avec la police ». Mais bon, à part ça, c’est eux qui combattent le Système c’est connu !
Dis moi qui te finance je te dirais qui tu es : « La polémique a éclaté lorsqu’un internaute (avec lequel les rédacteurs de l’article n’ont rien à voir) a dévoilé que les fameux antifascistes russes invités en France avaient des liens avec "Searchlight", magazine britannique qui affiche certes un bel antifascisme mais dont le rédacteur en chef reconnaît avoir des liens avec les services secrets de son pays. Ce même internaute faisait par ailleurs remarquer que le mouvement qui faisait venir en France ces Russes (en l’occurrence le conglomérat "Réflex", "Scalp", "Réseau no pasaran"), fait partie d’un réseau appelé United (auquel appartient également Searchlight). C’est, d’après ce qu’affirme son site, "le plus grand réseau paneuropéen antiraciste". Il regroupe 560 organisations et lutte contre le nationalisme, le racisme, le fascisme et pour les droits des immigrants et des réfugiés. Très bien jusques là. Sauf que, si l’on se donne seulement la peine de lire ses rapports d’activité, on a directement connaissance de la liste des organisations qui financent United. C’est là qu’on rigole. Dans le rapport d’activité 2006, on relevait en vrac, parmi les généreux donateurs : la Commission Européenne, le Conseil de l’Europe, le Conseil mondial des Eglises (!), le Conseil culturel de Suède, le Groupe parlementaire européen des Verts, le Groupe parlementaire européen Socialiste, le Groupe parlementaire européen Communiste, le Ministère des affaires étrangères Suisse, etc. Bien pire, deux ministères de la police (au moins) financent directement United : le ministère de l’intérieur britannique et le ministère de l’intérieur néerlandais. Et c’est bien de ce réseau que Reflex (auquel appartient le Scalp) est membre ! » Source : CNT-AIT