L’arrêté municipal pour trouble à l’ordre public établi par la mairie de Reims, cassé par la justice, a rendu apparemment certains très nerveux « quand la justice ne leur donne pas raison ils font justice eux-mêmes, BRAVO ! »... L’article ci-dessous du Collectif de Lutte "Antifasciste", en dit long sur leur "combat" « mensonge, calomnie et manipulation »... La vidéo qui vous est proposée parle d’elle-même « VOIR LES MENSONGES PROFERES EN GRAS dans l’article »... Il est très surprenant de voir comment ces manifestants agissent violemment et se réjouissent qu’une voiture de police banalisé aurait percuté le bus « et non pas le contraire comme le prétendent ces fashos dans l’article » ; devant et en présence de la police en toute tranquillité... Comment se fait-il que la police n’ait pas isolé les manifestants qui suivaient déjà le bus depuis plus de 200 mètres, avec à bord le public de l’artiste Dieudonné, qui heureusement est resté dans le bus encadré par l’équipe « on imagine si le staff de l’équipe de Dieudonné avait décidé d’employer les mêmes méthodes que ces fachos venu déclencher une bagarre pour mettre la justice en défaut et ainsi donner raison à la mairesse de Reims »... Quel était l’objectif de ce collectif et de ces associations présentes, libre de tous mouvements et de violences, en la présence de la presse (FR3) ?... (LBS)
L'article :
Face à la détermination des Rémois rassemblés Place St Symphorien, Mr Dieudonné et ses petits amis locaux d’extrême-droite n’ont pu venir perturber la veillée en mémoire du 64ème anniversaire de la libération des camps de concentration, comme il l’avait annoncé. Dieudonné a du se rabattre sur un parking d’autoroute de Gueux pour faire son « show » politique.
Le Collectif de Lutte Antifasciste ne peut se taire face à L’Union de ce jour. N’en déplaise à L’Union mais nous étions une 40aine de personnes venues rappeler que l’antisémitisme n’a pas sa place à Reims, ni ailleurs. Nous ne sommes pas des « anti-Dieudo » mais des citoyens vigilants face au révisionnisme, des militants d’associations de lutte contre le racisme, l’antisémitisme et toutes formes de discrimination. Pour mémoire, les associations à l’initiative de ce rassemblement sont : L’AFMD51 (les Amis pour la Fondation de la Mémoire de la Déportation), la Ligue des Droits de l’Homme et la LICRA de Reims et bien sût le Collectif de Lutte Antifasciste.
Si le conducteur du bus de Dieudonné après nous avoir tous pris en photo, a foncé sur nous ; nous n’avons pas pour autant choisi d’employer les mêmes méthodes musclées, comme le titre pourtant l’Union en première page.
Nous étions tous à pied et n’avons pas pris en chasse le bus avec nos voitures. Le bus de Dieudonné a percuté de plein fouet une voiture de la police alors qu’il s’engouffrait en sens interdit dans la rue Carnot. A lire cet article et celui quelques pages plus loin intitulé « comme un remugle de bête immonde », on peut douter que L’Union soit un journal issu de la Résistance. D’ailleurs aucun article dans ce numéro a été consacré à la Journée nationale de la déportation qui était célébré hier soir par plusieurs centaines de personnes au monument des martyrs de la Résistance.
http://clareims.canalblog.com/
Tentative de trouble à l’ordre public des fachos faux anti-fachos contre la liberté de Dieudonné à Reims territoire sacré Hazan : De la tôle (froissée)
http://www.labanlieuesexprime.org/article.php3?id_article=3211
commentaires :
Ce que je vois, et je pense ne pas être le seul, m’oblige à voter pour la liste de Monsieur Dieudonné aux prochaines élections européennes par solidarité et parce que ce dernier me semble être privé d’un droit fondamental, d’une liberté inestimable : le droit de s’exprimer.
Qu’est-ce que le droit d’expression, la liberté d’opinion ?
VOLTAIRE y a répondu : « Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous puissiez le dire. »
Et quelle autre méthode permettrait cela, si ce n’est la liberté d’expression :
« On ne combat pas un homme, on combat ses idées ; parce que les hommes meurent, tandis que les idées demeurent. » Touhami Moualek