République, on aimerait tant que ta devise « liberté, égalité, fraternité » ne soit pas qu’une belle promesse. Excuse nous si on a du mal à y croire quand on voit le degré de dégradation de tes belles provinces. Autour de nous, on voit une discrimination bien trop forte et une réussite bien trop mince. Tes promesses d’ascension sociale crée la frustration chez tant de personne. Les beaux discours dilués dans la bouche de tes représentant, sonnent faux dans nos oreilles et n’atteignent aucunement nos cerveaux d’hommes conscients. Tes disciples veulent nous transformer en allier, en pion ou en soldat de plomb, à une cause n’est et ne sera que l’outil de notre propre perdition.
République, on se déclare solennellement simples adversaires de tes disciples que l’on considère être des oppresseurs qui nous enserrent dans le but de parasiter nos esprits. Des aujourd’hui on s’engage de manière sincère à cracher nos mots acerbes qui feront l’effet d’une averse sur les cerveaux non avertis, afin de laver ces neurones d’une propagande nauséabonde mais trop souvent fertile. On n’a pas le droit de rester là les bras croisés. Parce qu’on a les capacités de dénoncer, de montrer les vices et de construire les rouages de notre société - car c'est bien la notre, on la légitime tous les jours par nos agissements hypocrites. Dés aujourd’hui on se doit d’éduquer notre entourage, de leurs donner les clés à la compréhension de leur comportement en augmentant leur pouvoir de réflexivité. Mais en aucun cas on ne doit croire ce que l’on pense, la remise en cause de nos idéaux est notre meilleur façon d'évoluer, de façonner notre esprit critique. On doit tout remettre en cause, ne pas se satisfaire d'idées préconçues, afin d'aboutir à l’abstraction de toutes les prénotions.
République, malgré nos cartes d’identité, on ne représente aucune adresse, on se considère comme des apatrides s’adressant à tous et défendant une cause universelle.
République, on a été déçu de voir que tu laisses s’inscrire sur tes listes, des disciples qui agitent la foule avec des politiques douteuses et populistes. Toux ceux qui souhaitent pénaliser la misère et disciplinariser nos esprits. Tu prône l’avènement d’un état ultra- sécuritaire, qui loin d’être sécurisant crée le sentiment d’insécurité chez beaucoup de tes gens. Mais on a compris que la peur est marchande, l’atteinte à nos libertés individuelles par la vidéo surveillance, fournit un salaire à nombreux de tes dirigeants. Big Brother nous regarde, alors doit-on sourire ou pas devant la caméra ?
République, tes disciples parlent de gènes criminogènes et de cultures fragiles, à un peuple en léthargie statique comme une statue d’agile. On eu beaucoup de peine et encore plus d’incompréhension quand on a comprit que tu stigmatisais une part de ta population dite « citoyenne », quand tu dressais entre Fatima et Marianne une cloison mitoyenne. Tu oublis trop souvent que ce sont aussi tes enfants qui habitent en périphérie de tes villes, ça ne nous fait pas rire quand tu les accuses de mettre tes valeurs en péril. Tu dis ouvertement qu’ils sont responsables de tous les maux de la société et qu’ils incitent à la révolution civile, quand tu transformes leurs revendications sociales en prétendue guérilla urbaine, avec des arguments si vils. On a vue tes disciples se disant républicain, tisser avec acharnement sur l'hexagone la toile de l’intolérance. On a vu la façon dont ils traitaient certaines minorités religieuses.
Avec des lois assimilationnistes comme à l’heure de tes zoos humains et tes anciens manuels scolaires coloniaux, il n’est pas loin l’essai sur l’inégalité des races de Gobineau.
Ça nous fait mal de voir certaines idées rances refaire surface, comme ces tristes calomnies sur la prétendue suprématie des valeurs occidentales. Tes disciples étant devenu des experts en blanchiment d’argent, ont-ils décidé de se remettre au blanchiment de l’histoire ?
République, on se sent obligé de te dire que l’inconscient colonial persiste encore sur des cerveaux terrorisés et que beaucoup se pensent homme-libre, alors qu’ils ont encore l’esprit colonisé. Où figurent ces crimes bâillonnés par l’histoire ? On ne les a pas vu symbolisés par des statues au cœur de tes villages et encore moins dans tes institutions gravés sur des plaques de marbre. Par contre, on a vu en se promenant dans tes bibliothèques, des traces de ton passé infâme et déshumanisant pour tant de peuple, que certains de tes disciples qualifient de prestigieux et de civilisateur, racontés dans de nombreux ouvrages où les musulmans sont décrits comme des sauvages et les noirs comme des anthropophages. République, pourquoi ne voit tu pas dans les différences une chance de t’enrichir, ton réservoir mental est-il a ce point rempli de préjugés racistes ?
République, où est la liberté de parole dans ta démocratie muselée ? Tu donnes du pain racit aux citoyens et pour éviter la grogne tu te contentes de les amuser. Pourtant, on travail et on se tue à la tache, mais comme les corbeaux sont voraces bien trop maigres est notre butin.
Toute façon, on sait que tes disciples à la tête de ton système ne sont que des pantins. Ils nous promettent monts et merveilles pendant que t’organises notre spoliation. Tu t’étonnes encore que l’on n’aille pas dans tes urnes sentir l’odeur aigre des bulletins. Tout ça n’est qu’une grande mascarade, qui combine l’illusion d’un droit chèrement acquit par nos anciens et l’illusion encore plus grande d’une liberté de choix du scrutin. Ne nous parle pas de vote blanc, on ira aux urnes quand le bulletin sera noir, pour l’instant on préfère de loin jouer les abstentionnistes aux abois. Tu nous as peut être vue dans tes rues manifester pacifiquement, en agitant des banderoles aux slogans emprunt d’humour, pour contester les reformes de tes gouvernements. Mais face aux provocations et aux violences aveugles de tes milices repressionnistes, c’est désormais dissimulé sous des keffieh et armé d’une plume que l’on avancera déterminé contre ton progrès illusionniste. On veut faire baver de rage les réactionnaires et leurs idées retardataires à coup d’encre en guise de grenade. Tu as voulus nous faire croire à l’illusion de la citoyenneté participative et de la gouvernance, mais en réalité on a vu que sous tes habits d’une démocratie athénienne se cachait une dictature fascisante. Alors, on déclare que l’on fera tout ce qui est en notre pouvoir pour ensabler les rouages de ta gouvernabilité, de la résistance intelligente, à la lutte emprunt d'habilitée.
République, les valeurs que tu prônes ne sont pas les notre, à l’individualisme méritocratique on préfère de loin l’entraide et la solidarité collective. Où sont la charité et le partage dans ton système égoïste et austère pour les pauvres et les déshérités ? La misère est galopante au milieu de l’opulence de parias, tu t’étonnes encore que le soulèvement s’élance d’un nouveau lumpen-prolétariat? Sache que le goût amer de la vie est le lit des plus nobles révolutions, n’entends-tu pas déjà les échos du chaos et le souffle de l’ébullition.
République, ton pouvoir créa la corruption et le peuple s‘en accommodât, mais on en a assez de te voir te nourrir exclusivement de pot de vin avec une telle audace. Ta l’air vicieuse dans l’air vicié du temps, on déclare avoir suffisamment entendu de tes discours prétentieux, truqué et manipulateur en toute circonstance. Aujourd’hui, on va clamer haut et fort que tes promesses ne sont que sont du vent, comme la mondialisation libéralisante prétendue irréversible que tu vends. Dans le freinage de la pensée on n’a pas confiance, encore moins dans l’engrenage vers le développement d’une science inconsciente. Tu danse avec le feu quand tu prônes la croissance à outrance et met la survie de la plante en déficience.
République, aujourd’hui on déclare ne plus avoir confiance en tes chiens de garde chargés de nous désinformer. Ceux qui diffusent en prime-time des idées basées sur des mensonges afin d’étouffer toutes formes de vérité. Les médias audiovisuels et écrits fabriquent chaque jour un peu plus des cerveaux effrités, totalement dépolitisés, des simples consommateurs 24 heures sur 24 disponibles à la publicité. Ces manipulations mentales se diffusent sur écran ou sur panneau d’affichage, en rongeant un peu plus, les espaces public qui sont la propriété de tous et pas seulement de ces firmes infâmes. Nous allons nous ré-approprier cet espace afin de nous ré-approprier les outils de diffusion de la connaissance et de la transmission des savoir.
République, on déclare que la frénésie de la possession est le fanatisme moderne, quand l’hystérie de la consommation nous pousse au consumérisme de merde. Ton souhait est de nous voir marcher dans les rangs aligner, alléché par l’appât du gain, jusqu’à en devenir aliéner. Tu veux nous enchaîner à un boulot qui nous servira de boulet et à un crédit qui nous servira de camisole. Pas question de nous faire saigner à blanc par les clauses d’un contrat que l’on serait con de signer. Car sans possibilité de mobilité, au bas de l’échelle sociale on serait consigné, parfaitement conditionné, incapable de réaliser que l’on s’est fait gruger. On resterait consterner par l’étroitesse d’un budget, qui ne peut assumer l’ensemble ces produits manufacturés, complètement inutiles, mais qui deviennent vite des besoins nécessaire et de plus en plus fortement facturé.
République, tes disciples parlent constamment de droits de l’homme, de respect des peuples et d’éthiques, alors qu’ils fabriquent des armes pour alimenter les guerres ethniques. Devant l’état du tiers monde devenu bien plus qu’alarmant, on est prit de nerveux tics, quand des industrielles comptent leur fric à l’ombre de silhouettes d’enfants squelettiques. On ne comprend pas pourquoi tu es resté et restes encore immobile devant tant de génocide auquel tu assistes. Ne voit tu pas que le sang d’innombrables innocents coule sur ton drapeau taché. Une chose est certaine quand tes disciples nous invitent à leur table ils mettent du poison dans le pichet.
République, notre lutte n'a de meilleure arme que notre stylo. L'encre doit couler. On va agir, avant que l’on ne soit contaminé par la fièvre du défaitisme. Si, on peut et on pourra toujours changer le cours des choses. Ça ne sera pas simple. Le désespoir plane sur nous, s'appuie sur nos épaules pour nous affaisser mais on ne doit pas céder, tomber à genoux, s'arrêter sous prétexte d'un chemin trop dure et trop pesant. Plus que la croyance c'est bien le savoir, qui nous permettra de s'affranchir du désespoir, de la désillusion. « Ce n'est pas le chemin qui est difficile mais le difficile qui est chemin » dixit Kierkegaard. Levons-nous, combattons ... car le silence serait une erreur... Ceci est un appel à la REFLEXION!
République, on se déclare solennellement simples adversaires de tes disciples que l’on considère être des oppresseurs qui nous enserrent dans le but de parasiter nos esprits. Des aujourd’hui on s’engage de manière sincère à cracher nos mots acerbes qui feront l’effet d’une averse sur les cerveaux non avertis, afin de laver ces neurones d’une propagande nauséabonde mais trop souvent fertile. On n’a pas le droit de rester là les bras croisés. Parce qu’on a les capacités de dénoncer, de montrer les vices et de construire les rouages de notre société - car c'est bien la notre, on la légitime tous les jours par nos agissements hypocrites. Dés aujourd’hui on se doit d’éduquer notre entourage, de leurs donner les clés à la compréhension de leur comportement en augmentant leur pouvoir de réflexivité. Mais en aucun cas on ne doit croire ce que l’on pense, la remise en cause de nos idéaux est notre meilleur façon d'évoluer, de façonner notre esprit critique. On doit tout remettre en cause, ne pas se satisfaire d'idées préconçues, afin d'aboutir à l’abstraction de toutes les prénotions.
République, malgré nos cartes d’identité, on ne représente aucune adresse, on se considère comme des apatrides s’adressant à tous et défendant une cause universelle.
République, on a été déçu de voir que tu laisses s’inscrire sur tes listes, des disciples qui agitent la foule avec des politiques douteuses et populistes. Toux ceux qui souhaitent pénaliser la misère et disciplinariser nos esprits. Tu prône l’avènement d’un état ultra- sécuritaire, qui loin d’être sécurisant crée le sentiment d’insécurité chez beaucoup de tes gens. Mais on a compris que la peur est marchande, l’atteinte à nos libertés individuelles par la vidéo surveillance, fournit un salaire à nombreux de tes dirigeants. Big Brother nous regarde, alors doit-on sourire ou pas devant la caméra ?
République, tes disciples parlent de gènes criminogènes et de cultures fragiles, à un peuple en léthargie statique comme une statue d’agile. On eu beaucoup de peine et encore plus d’incompréhension quand on a comprit que tu stigmatisais une part de ta population dite « citoyenne », quand tu dressais entre Fatima et Marianne une cloison mitoyenne. Tu oublis trop souvent que ce sont aussi tes enfants qui habitent en périphérie de tes villes, ça ne nous fait pas rire quand tu les accuses de mettre tes valeurs en péril. Tu dis ouvertement qu’ils sont responsables de tous les maux de la société et qu’ils incitent à la révolution civile, quand tu transformes leurs revendications sociales en prétendue guérilla urbaine, avec des arguments si vils. On a vue tes disciples se disant républicain, tisser avec acharnement sur l'hexagone la toile de l’intolérance. On a vu la façon dont ils traitaient certaines minorités religieuses.
Avec des lois assimilationnistes comme à l’heure de tes zoos humains et tes anciens manuels scolaires coloniaux, il n’est pas loin l’essai sur l’inégalité des races de Gobineau.
Ça nous fait mal de voir certaines idées rances refaire surface, comme ces tristes calomnies sur la prétendue suprématie des valeurs occidentales. Tes disciples étant devenu des experts en blanchiment d’argent, ont-ils décidé de se remettre au blanchiment de l’histoire ?
République, on se sent obligé de te dire que l’inconscient colonial persiste encore sur des cerveaux terrorisés et que beaucoup se pensent homme-libre, alors qu’ils ont encore l’esprit colonisé. Où figurent ces crimes bâillonnés par l’histoire ? On ne les a pas vu symbolisés par des statues au cœur de tes villages et encore moins dans tes institutions gravés sur des plaques de marbre. Par contre, on a vu en se promenant dans tes bibliothèques, des traces de ton passé infâme et déshumanisant pour tant de peuple, que certains de tes disciples qualifient de prestigieux et de civilisateur, racontés dans de nombreux ouvrages où les musulmans sont décrits comme des sauvages et les noirs comme des anthropophages. République, pourquoi ne voit tu pas dans les différences une chance de t’enrichir, ton réservoir mental est-il a ce point rempli de préjugés racistes ?
République, où est la liberté de parole dans ta démocratie muselée ? Tu donnes du pain racit aux citoyens et pour éviter la grogne tu te contentes de les amuser. Pourtant, on travail et on se tue à la tache, mais comme les corbeaux sont voraces bien trop maigres est notre butin.
Toute façon, on sait que tes disciples à la tête de ton système ne sont que des pantins. Ils nous promettent monts et merveilles pendant que t’organises notre spoliation. Tu t’étonnes encore que l’on n’aille pas dans tes urnes sentir l’odeur aigre des bulletins. Tout ça n’est qu’une grande mascarade, qui combine l’illusion d’un droit chèrement acquit par nos anciens et l’illusion encore plus grande d’une liberté de choix du scrutin. Ne nous parle pas de vote blanc, on ira aux urnes quand le bulletin sera noir, pour l’instant on préfère de loin jouer les abstentionnistes aux abois. Tu nous as peut être vue dans tes rues manifester pacifiquement, en agitant des banderoles aux slogans emprunt d’humour, pour contester les reformes de tes gouvernements. Mais face aux provocations et aux violences aveugles de tes milices repressionnistes, c’est désormais dissimulé sous des keffieh et armé d’une plume que l’on avancera déterminé contre ton progrès illusionniste. On veut faire baver de rage les réactionnaires et leurs idées retardataires à coup d’encre en guise de grenade. Tu as voulus nous faire croire à l’illusion de la citoyenneté participative et de la gouvernance, mais en réalité on a vu que sous tes habits d’une démocratie athénienne se cachait une dictature fascisante. Alors, on déclare que l’on fera tout ce qui est en notre pouvoir pour ensabler les rouages de ta gouvernabilité, de la résistance intelligente, à la lutte emprunt d'habilitée.
République, les valeurs que tu prônes ne sont pas les notre, à l’individualisme méritocratique on préfère de loin l’entraide et la solidarité collective. Où sont la charité et le partage dans ton système égoïste et austère pour les pauvres et les déshérités ? La misère est galopante au milieu de l’opulence de parias, tu t’étonnes encore que le soulèvement s’élance d’un nouveau lumpen-prolétariat? Sache que le goût amer de la vie est le lit des plus nobles révolutions, n’entends-tu pas déjà les échos du chaos et le souffle de l’ébullition.
République, ton pouvoir créa la corruption et le peuple s‘en accommodât, mais on en a assez de te voir te nourrir exclusivement de pot de vin avec une telle audace. Ta l’air vicieuse dans l’air vicié du temps, on déclare avoir suffisamment entendu de tes discours prétentieux, truqué et manipulateur en toute circonstance. Aujourd’hui, on va clamer haut et fort que tes promesses ne sont que sont du vent, comme la mondialisation libéralisante prétendue irréversible que tu vends. Dans le freinage de la pensée on n’a pas confiance, encore moins dans l’engrenage vers le développement d’une science inconsciente. Tu danse avec le feu quand tu prônes la croissance à outrance et met la survie de la plante en déficience.
République, aujourd’hui on déclare ne plus avoir confiance en tes chiens de garde chargés de nous désinformer. Ceux qui diffusent en prime-time des idées basées sur des mensonges afin d’étouffer toutes formes de vérité. Les médias audiovisuels et écrits fabriquent chaque jour un peu plus des cerveaux effrités, totalement dépolitisés, des simples consommateurs 24 heures sur 24 disponibles à la publicité. Ces manipulations mentales se diffusent sur écran ou sur panneau d’affichage, en rongeant un peu plus, les espaces public qui sont la propriété de tous et pas seulement de ces firmes infâmes. Nous allons nous ré-approprier cet espace afin de nous ré-approprier les outils de diffusion de la connaissance et de la transmission des savoir.
République, on déclare que la frénésie de la possession est le fanatisme moderne, quand l’hystérie de la consommation nous pousse au consumérisme de merde. Ton souhait est de nous voir marcher dans les rangs aligner, alléché par l’appât du gain, jusqu’à en devenir aliéner. Tu veux nous enchaîner à un boulot qui nous servira de boulet et à un crédit qui nous servira de camisole. Pas question de nous faire saigner à blanc par les clauses d’un contrat que l’on serait con de signer. Car sans possibilité de mobilité, au bas de l’échelle sociale on serait consigné, parfaitement conditionné, incapable de réaliser que l’on s’est fait gruger. On resterait consterner par l’étroitesse d’un budget, qui ne peut assumer l’ensemble ces produits manufacturés, complètement inutiles, mais qui deviennent vite des besoins nécessaire et de plus en plus fortement facturé.
République, tes disciples parlent constamment de droits de l’homme, de respect des peuples et d’éthiques, alors qu’ils fabriquent des armes pour alimenter les guerres ethniques. Devant l’état du tiers monde devenu bien plus qu’alarmant, on est prit de nerveux tics, quand des industrielles comptent leur fric à l’ombre de silhouettes d’enfants squelettiques. On ne comprend pas pourquoi tu es resté et restes encore immobile devant tant de génocide auquel tu assistes. Ne voit tu pas que le sang d’innombrables innocents coule sur ton drapeau taché. Une chose est certaine quand tes disciples nous invitent à leur table ils mettent du poison dans le pichet.
République, notre lutte n'a de meilleure arme que notre stylo. L'encre doit couler. On va agir, avant que l’on ne soit contaminé par la fièvre du défaitisme. Si, on peut et on pourra toujours changer le cours des choses. Ça ne sera pas simple. Le désespoir plane sur nous, s'appuie sur nos épaules pour nous affaisser mais on ne doit pas céder, tomber à genoux, s'arrêter sous prétexte d'un chemin trop dure et trop pesant. Plus que la croyance c'est bien le savoir, qui nous permettra de s'affranchir du désespoir, de la désillusion. « Ce n'est pas le chemin qui est difficile mais le difficile qui est chemin » dixit Kierkegaard. Levons-nous, combattons ... car le silence serait une erreur... Ceci est un appel à la REFLEXION!