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"Le réel pouvoir, le pouvoir pour lequel nous devons lutter jour et nuit, est le pouvoir, non sur les choses, mais sur les hommes."
Georges Orwell, 1984
Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.
Tonino a écrit:
Quelle folie que de porter un toast à la presse indépendante ! Chacun, ici présent ce soir, sait que la presse indépendante n’existe pas. Vous le savez et je le sais : il n’y a personne parmi vous qui oserait publier ses vraies opinions, et, s’il le faisait, vous savez d’avance qu’elles ne seraient jamais imprimées. Je suis payé 250 dollars par semaine pour garder mes vraies opinions en dehors du journal pour lequel je travaille.
D’autres, parmi nous, reçoivent la même somme pour un travail semblable. Si j’autorisais la publication d’une opinion sincère dans un numéro quelconque de mon journal, je perdrais mon emploi en moins de 24 heures, comme Othello. L’homme suffisamment fou pour publier une opinion sincère se retrouverait aussitôt sur une route à la recherche d’un nouvel emploi.
La fonction d’un journaliste (de New York) est de détruire la Vérité, de mentir radicalement, de pervertir, d’avilir, de ramper devant Mammon et de se vendre lui-même, de vendre son pays et les siens pour son pain quotidien ou, mais c’est la même chose, pour son salaire.
Cela, vous le savez et moi aussi : quelle folie alors que de porter un toast à la presse indépendante !
Nous sommes les ustensiles et les valets d’hommes riches qui commandent derrière les coulisses.
Nous sommes leurs marionnettes ; ils tirent les ficelles et nous dansons. Notre temps, nos talents, nos possibilités et nos vies sont la propriété de ces hommes.
Nous sommes des prostituées intellectuelles.
John Swinton, rédacteur en chef du New York Times, discours d’adieu à ses collègues, au cours d’un banquet en son honneur, à l’American Press Association – 1914
http://bibliothequedecombat.wordpress.com/2013/04/09/les-journalistes-sont-des-prostituees-intellectuelles/
"les autorités juives, avec leurs partisans poussèrent à la mort du Christ" (auctoritates Judæorum cum suis asseclis mortem Christi urserunt)
Concile cuménique Vatican II, éd. du Centurion, 1989, p. 698.
Jacob Kaplan, grand rabbin de France de 1955 à 1980, devait écrire, tout en se félicitant de certains aspects de la déclaration conciliaire:
Ce qui était espéré de Vatican II, c'était surtout le rejet de l'accusation de déicide portée contre les juifs. On était en droit de l'espérer. Comme on le sait, il y eut trois projets sur la question. Le premier en 1963, le second en 1964, le dernier qui devint définitif en 1965. Or, la version de 1964 (la deuxième) rejetait effectivement l'accusation de déicide, mais dans la dernière il n'en fut pas question. Il a été tout simplement supprimé. Que s'était-il passé? Un article dans Le Monde (19 juin 1987) nous le fait savoir. Dans le compte rendu du livre écrit en anglais d'un orientaliste qui fait autorité, Bernard Lewis, on donne un passage de son ouvrage Sémites et Antisémites où il fait état de pressions de nations arabes sur la Papauté afin que ne fussent pas disculpés les juifs du crime de déicide. Le Vatican céda. Regrettant cette suppression, le cardinal Liénart, de Lille, ne put s'empêcher de dire: "L'on pourrait croire que le Concile ne veut pas laver le peuple juif de l'accusation de déicide."
("Dossier juifs et catholiques en dialogue", La Documentation catholique, 3juillet 1988, p. 680.)
Extrait de Sionisme contre Bolchevisme (8 février 1920)Les Juifs internationaux
En violente opposition à toute cette sphère de l’effort juif, se dressent les complots des Juifs internationaux. Les adhérents de cette sinistre confédération sont pour la plupart des hommes qui ont été élevés parmi les malheureuses populations des pays où les Juifs sont persécutés à cause de leur race. La plupart, sinon tous, ont abandonné la foi de leurs ancêtres, et rejeté hors de leurs esprits tous les espoirs spirituels de l’Autre Monde. Ce mouvement parmi les Juifs n’est pas nouveau. Depuis les jours de Spartacus-Weishaupt [Adam Weishaupt, fondateur de la société secrète des Illuminés de Bavière en 1776, NDT] à ceux de Karl Marx, en passant par Trotsky (Russie), Bela Kùn (Hongrie), Rosa Luxembourg (Allemagne) et Emma Goldman (Etats-Unis), cette conspiration à l’échelle mondiale pour le renversement de la civilisation et pour la reconstitution de la société sur la base de l’arrêt du développement, de la malveillance envieuse, et de l’impossible égalité, a été en croissance constante. Elle a joué, comme l’a si habilement montré un écrivain moderne, Mme Webster, un rôle clairement reconnaissable dans la tragédie de la Révolution Française. Elle a été la source principale de chaque mouvement subversif pendant le 19ème siècle ; et maintenant pour finir, cette bande de personnages extraordinaires venus des bas-fonds des grandes villes d’Europe et d’Amérique ont attrapé le peuple russe par les cheveux et sont devenus les maîtres pratiquement incontestés de cet énorme empire.
John F. Kennedy, au cours d’une conférence à l’Hôtel Waldorf Astoria de New York, le 27 avril 1961« Nous sommes confrontés, dans le monde entier, à une conspiration monolithique et impitoyable qui compte principalement sur des moyens secrets pour étendre sa sphère d’influence par l’infiltration plutôt que l’invasion, la subversion plutôt que les élections et l’intimidation au lieu du libre-arbitre. C’est un moyen qui nécessite énormément de ressources humaines et matérielles dans la construction d’une machine étroitement soudé et d’une efficacité remarquable, elle combine des opérations militaires, diplomatiques,de renseignements, économiques, scientifiques et politiques. Ses ramifications sont occultées et non publiées. Ses erreurs sont enterrées et ne font pas les gros titres, on fait taire ses dissidents, on ne les glorifie pas ; aucune dépense n’est mise en question, aucune rumeur n’est imprimée, aucun secret n’est révélé. »
Tirés de Mein Kampf (1924) p.169La domination du Juif parait maintenant si assurée dans l'Etat qu'il ose non seulement recommencer à se donner ouvertement pour Juif, mais confesser sans réserves ses conceptions ethniques et politiques jusque dans leurs dernières conséquences. Une partie de sa race se reconnaît ouvertement pour un peuple étranger, non sans d'ailleurs commettre un nouveau mensonge. Car lorsque le sionisme cherche à faire croire au reste du monde que la conscience nationale des Juifs trouverait satisfaction dans la création d'un Etat palestinien, les Juifs dupent encore une fois les sots goïmes de la façon la plus patente. Ils n'ont pas du tout l'intention d'édifier en Palestine un Etat juif pour aller s'y fixer ; ils ont simplement en vue d'y établir l'organisation centrale de leur entreprise charlatanesque d'internationalisme universel ; elle serait ainsi douée de droits de souveraineté et soustraite à l'intervention des autres Etats ;
elle serait un lieu d'asile pour tous les gredins démasqués et une école supérieure pour les futurs bateleurs.
“Le débarquement du 6 juin, ç’a été l’affaire des Anglo-Saxons d’où la France a été exclue. Ils étaient bien décidés à s’installer en France comme en territoire ennemi (…) Et vous voudriez que j’aille commémorer leur débarquement, alors qu’il n’était que le prélude à une seconde occupation du pays ? Non, ne comptez pas sur moi ! “ (De Gaulle à Alain Peyrefitte)
Après une période de prospérité et de prestige retrouvé après la Seconde Guerre mondiale, la France, que nous aimons paternellement, retournera à ses jeux politiques favoris, à ses obsessions destructrices. Une sucession de gouvernements faibles, laxistes, démagogues, laisseront se désagréger le sentimental national et les valeurs élémentaires.
Une réaction brutale des forces vives et populaires du pays mettra fin à cette déliquescence voulue par certains, tolérée par d'autres. Pour ne pas sombrer, la France changera de régime sans douceur.
La manipulation consciente, intelligente, des opinions et des habitudes organisées des masses joue un rôle important dans une société démocratique. Ceux qui manipulent ce mécanisme social imperceptible forment un gouvernement invisible qui dirige véritablement le pays.
La propagande moderne désigne un effort cohérent et de longue haleine pour susciter ou infléchir des événements dans l'objectif d'influencer les rapports du grand public avec une entreprise, une idée ou un groupe.
La propagande ne cessera jamais d'exister. Les esprits intellectuels doivent comprendre qu'elle leur offre l'outil moderne dont ils doivent se saisir à des fins productives, pour créer de l'ordre à partir du chaos.
par le Catholique & Français
Pourquoi ne parle-t-on JAMAIS des déments et des hurluberlus qui ont mené la France au pire désastre de son histoire en 1940. « Le Populaire » était le grand journal Socialiste de l’entre-deux guerres et Léon Blum, le ténor et la figure centrale du Parti de gauche.
Voici des extraits d’articles et d’é ditoriaux du « Populaire » entre 1929 et 1933 :
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 6 décembre 1929 : « L’Allemagne ne déviera pas de la voie où l’effort intrépide de la social-démocratie l’a aiguillée. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 13 mai 1930 : « La France n’a plus à redouter l’agression allemande. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 15 mai 1930 : « Relativement à l’Allemagne, nous pouvons dès maintenant entamer le désarmement. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » : « Aujourd’hui, 30 juin 1930, les derniers détachements français auront évacué la troisième zone rhénane. Cinq ans avant l’échéance fixée par le traité de Versailles, l’occupation de l’Allemagne prend fin. Nous ne dissimulerons pas notre satisfaction et notre fierté. Ce qui s’accomplit aujourd’hui, c’est ce que nous avons voulu, ce que nous avons préparé, ce que nous avons fait… Les circonstances actuelles prouvent, avec une évidente clarté, que nous n’avons pas travaillé seulement pour la pacification de l’Europe, mais pour la sécurité de la France. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 24 juillet 1930 : « L’idée d’un gouvernement constitué par les bandes Hitler-Ludendorff, ou même dépendant d’elles de quelque façon, est parfaitement insensée. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 23 novembre 1930 : « Hitler est aujourd’hui loin du pouvoir. » (en septembre, 107 députés nazis viennent d’entrer au Reichstag !).
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 3 avril 1931 : « Le flot hitlérien commence à décroître. » (nazis et communistes se disputent les masses et s’organisent en vue de la lutte finale).
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 14 mars 1932 : « Les véritables vainqueurs de Hitler, ce sont les camarades sociaux-démocrates. » (Hidenburg vient d’être élu Président de la République face à Adolf Hitler qui a recueilli 13 millions 420.000 voix).
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 31 juillet 1932 : « Sauf erreur, c’est la première fois que le racisme hitlérien subit une pause dans sa marche en avant triomphale. » (élections législatives).
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 8 novembre 1932 : « Entre Hitler et le pouvoir, une barrière infranchissable est dressée. Hitler est désormais exclu du pouvoir. Il est même exclu, si je puis dire, de l’espérance du pouvoir. »
– Léon Blum dans « Le Populaire » du 9 novembre 1932 : « L’accès du pouvoir légal et illégal est désormais clos devant Hitler. La social-démocratie a eu Hitler. » (Trois mois plus tard, Adolf Hitler sera Chancelier du Reich !).
(sources : Horace de Carbuccia : « Le massacre de la Victoire » et « Les Racines de l’Enfer » chez Plon et, bien sûr, « Le Populaire ».)