Bonjour à tous,
Chaque personne est libre d'avoir son avis sur le sujet,ainsi que d'apporter tous les arguments pour ou contre le
Boudhisme, qui pourrait confirmer ses dires et permettre d'y voir plus clair.
Masi SVP,restons courtois et ne nous égarons pas en attaque personnelle h.s., merci pour votre compréhension (
vous pouvez toujours régler ça par MP si vous le voulez).
Perso,pour avoir approfondi depuis longtemps maintenant la sève de nombres de ces
doctrines orientales,concernant le
Boudhisme (qui a pris naissance dans l'Inde avant de se développer hors de celle-ci),s'il y a en effet une "philosophie de tolérance" comme tu nous le dis
Hildegarde,il y a aussi quelque chose d'autre qui se cache derrière,disons,le revers de la médaille,qui se sert du voile de cette "philosophie" dans des principes et des finalités (spirituellement parlant s'entend) pour le moins suspectes (a plus forte raison le Bouddhisme dégénéré des derniers siècles qui est promu en Occident,je vais y revenir plus en détails).
Un autre bel exemple concernant la "tolérance" est la Franc-Maçonnerie,celle-ci aussi la prône sans limite comme l'un de ses dogmes fondamentaux,et pourtant derrière ces apparences mielleuses se cache toute une théologie satanique qui fait d'elle véritablement une Contre-Eglise luciférienne.
A noter qu'une
tolérance appliquée sans limite (ce que s'applique à faire la Franc-maçonnerie depuis trois siècles pour détruire la société) est la porte ouverte à toute les perversions et les dégénérescences possibles et imaginables.
C'est accepter tout et n'importe quoi,c'est vouloir mettre sur le même pied d'égalité le vrai et le faux,le sain et le malsain,le pur et l'impur,ce qui est naturel et contre-naturel,le traditionnel et l'anti-traditionnel,le beau et l'immonde,le bien et le mal,etc etc...
C'est aujourd'hui l'adoption du mariage gay,l'avortement et le meurtre de milliards d'enfants,la théorie du
gender enseignée jusque dans les écoles,et nombres d'autres choses encore,toutes ces cochonneries étant faites toujours au nom de la "tolérance" (maçonnique),sans que personne ne réagisse plus,ou presque,le vice se banalise de plus en plus,ça va très mal finir tout ça.
Demain,ce sera la pédophilie et la zoophilie,acceptées toujours au nom de cette même "tolérance".
La tolérance et la liberté appliquée sans limite, c'est tout simplement du satanisme,c'est le "
fait ce qu'il te plait sera le tout de la loi" du pédophile et magicien noir de l'
O.T.O. (Ordre des Templiers Orientaux),Aleister Crowley (qui se faisait appeler "la grande bête 666"
).
Par contre,essayez d'attaquer ce système démoniaque qui se dit "démocratique" sur ses point sensibles (tel que le Judaïsme,son mythe Shoatique,les réseaux pédo-criminels lucifériens d'élites...) et vous verrez que la prétendue "tolérance pour tous" à des limites,et même qu'elle ne s'applique qu'à sens unique,LE LEUR !
Conclusion : la tolérance est un piège à gogo servant de "prétexte" pour répandre le Mal dans une société qui s'est détachée de Dieu.
Pour en revenir au
Boudhisme,il faut savoir que c'est précisément cette même
Franc-maçonnerie (c'est-à-dire la contre-église satanique) qui a répandue ces dogmes en Occident,par le biais d'une de ces créatures, la
Société Théosophique,dont les leaders affirmait purement et simplement vouloir éradiquer Dieu des cieux et détruire le Christianisme.
Voici ce que la fondatrice même de la Société théosophique,
Helena Petrovna Blavatsky (d'origine juive),a dit :
"
Notre but n'est pas de restaurer l'hindouisme,mais de balayer le christianisme de la surface de la terre".
Et comme pour sceller les paroles de la prophétesse satanique Blavatsky,celle qui lui succéda à la tête de la Société Théosophique après sa mort,j'ai nommé l'
illuministe Annie Besant,avait elle aussi affirmé,lors d'un congrès de libres-penseurs dégénérés en 1880,qu'il fallait :
" Avant tout,combattre Rome et ses prêtres, de lutter partout contre le Christianisme et de chasser Dieu des Cieux."http://www.barruel.com/un-peu-de-lecture.html
Avec des livres comme "
Le Bouddhisme ésotérique" du dégénéré et haut membre de la S.Théosophique
Alfred Percy Sinnet (qui s'imaginait être en contact avec des soi-disant "maitres de sagesses" qui n'étaient rien d'autres que des démons),et qui prône dans son bouquin (sans aucun doute inspiré par ces même maîtres de sagesses) un fatras d'absurdités notoires qui prônent la réincarnation,des imbécilités comme les voyages planétaires d'évolutions spirituelles et d'autres idioties pires encore,on peut comprendre à quel point il se sont employés à chasser Dieu du coeur des gens,et ce Christianisme qu'ils maudissent jusqu'à vouloir le détruire intégralement.
C'est tout simplement la haine satanique des forces de l'enfer contre les forces divines,et je vous renvoi à cet exposé sur lequel je développe tout cela bien plus en détails,si vous voulez plus d'infos là-dessus :
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t7927-le-credo-sabbataiste-frankistedoctrine-infernale-de-la-synagogue-de-satan-pour-la-revolutionPour finir je remets ici en citation un nouveau lien de l'article "Les ignobles vérité du Bouddhisme" qui sert d'introduction à ce sujet et qui n'est plus disponible à ce que je vois :
LES « IGNOBLES VERITES » DU BOUDDHISME
« Les divinités courroucées du bouddhisme tibétain et mongol relèvent d’une
violence symbolique dont on peut se demander si elle constitue le retour du refoulé, un exutoire à la violence réelle, ou au contraire son reflet, voire sa cause profonde. Il faut bien avouer qu’au cours de son histoire mouvementée, le bouddhisme a bien souvent été du côté du manche. Car avec ses pouvoirs occultes, sa magie noire, il dispose d’armes surhumaines capables de détruire les démons. Qui sont les démons ? [...] Dans chaque camp, des prêtres tantriques ourdissent des sorts. Bien sûr il faut choisir le camp de l’opprimé. Mais à long terme toute cette
béatification aura des effets négatifs, quand on s’apercevra que le
bouddhisme d'Hollywood est un mythe. »Bernard Faure
Professeur d’Histoire des Religions
Université de Stanford, Californie.
POUR EN FINIR AVEC LES MENSONGES AU SUJET D'UNE PSEUDO ECOLE DE "SAGESSE", AUTHENTIQUE VOIE DE PERDITION SPIRITUELLE.
Le bouddhisme bénéficie en Occident, fallacieusement, d’une aura de
respect et de déférence, ceci participant de son image de non-violence,
de sagesse et de sainteté, image qui est pourtant bien loin de
correspondre à la réalité des faits. L’histoire démontre ainsi que le
bouddhisme, loin d’avoir été la douce et bienfaisante école diffusant
les préceptes du Bouddha (l’Eveillé), fut une entreprise qui ne dérogea
pas à la règle commune de toutes les institutions religieuses mondaines,
et épousa, avec un enthousiasme certain qui se traduira par des
exactions sanguinaires, les thèmes les plus éculés de l’agressivité
guerrière et belliqueuse, et, sous prétexte d’une ouverture «
non-dualiste » à l’ensemble de la réalité phénoménale, se livra avec
délectation au jeu pervers des déviations sexuelles outrées issues des
reliquats des anciens cultes issus directement des tendances déviées du
chamanisme.
Le bouddhisme tibétain est assez représentatif de
cette attitude, ses différentes tendances ayant toujours exercé un
pouvoir s’imposant comme une théocratie relativement oppressive et
contraignante pendant des siècles. En effet, le Tibet fut soumis à un
régime exclusif de servage exercé par les propriétaires terriens nobles,
fonctionnaires et moines " bouddhistes ", servage souvent très
oppressif : « Dans le Tibet, les prêtres détiennent la toute
puissance, il s'agit d'une théocratie authentique où les pouvoirs
absolus sont entre les mains d'un dieu réincarné. Les lamas ne sont plus
seulement les juges, les instituteurs et les médecins, ils sont encore
les plus riches propriétaires fonciers, les chefs politiques; outre les
revenus qu'ils retirent des fermiers, ils exigent cadeaux et monnaies
pour toute visite rituelle, toute bénédiction, toute cérémonie, la
simonie est une loi rigoureusement appliquée.... » (R. Loup, Martyr au Tibet, Fribourg, 1950) .
De son côté, dans « Visa pour le Tibet » Alan Winnington parlera du
lamaïsme comme d'une « religion mécanique » considérant le travail des
classes laborieuses comme dû par simple obligation naturelle à l'égard
des moines qui n'hésitèrent nullement à s'allier aux nobles pour les
exploiter d'une manière scandaleuse. Son constat sur l'état de pauvreté
indigente de la majorité des laïcs est frappant. Les châtiments
corporels étaient d'une barbarie primaire, sachant que, du début du
dix-septième siècle jusqu’au sein du dix-huitième siècle, les écoles
rivales (Nyingmapa, Sakyapa, Kagyupa, Guélugpa) se livrèrent à des
affrontements armés et à des exécutions sommaires d’une rare férocité,
ce qui n’est pas sans quelques rapports avec l’univers spirituel du
panthéon bouddhique, fleurissant de divinités plus terrifiantes et
courroucées que franchement paisibles, images destinées à frapper
l'imaginaire des fidèles, courbant l’échine devant une religion
médiévale chargée d’un paganisme idolâtre exaltant les éléments naturels
et les forces intermédiaires (esprits, puissances, etc), usant et
abusant de la sorcellerie, ployant devant des superstitions ridicules,
et surtout sollicités dans l'observance des préceptes en raison de leur «
bienveillance matérielle », sonnante et trébuchante (au sens propre et
figuré) à l'égard des religieux.
Il apparaît ainsi, que loin d’avoir été le royaume idéal
consacré à « l’Eveil » selon les caduques images d’Epinal, le Tibet
vécu dans l’oppression obscurantiste d’une religion théocratique se
distinguant par un cléricalisme infiniment supérieur aux pires
égarements du christianisme ; n’oublions-pas que dès le treizième siècle
l'Empereur Kublai Khan créa le premier Grand Lama qui devait présider
tous les autres lamas à l'instar d'un pape qui préside ses évêques.
Plusieurs siècles plus tard, l'Empereur de Chine envoya une armée au
Tibet pour soutenir le Grand Lama, un homme ambitieux de 25 ans, qui
s'était alors donné le titre de Dalaï (Océan) lama, dirigeant l’ensemble
du pays (ce n’est d’ailleurs pas une mince ironie de l’histoire que de
constater que le premier Dalaï-lama fut installé par une armée
chinoise…).
Pour élever son autorité, le premier Dalaï-lama saisira
les monastères qui n'appartenaient pas à sa secte, et détruisit même les
écritures bouddhistes qui étaient en désaccord avec sa revendication à
la divinité. Le Dalaï-lama qui lui succéda poursuivit une vie
sybaritique, jouissant de la compagnie de maîtresses licencieuses
excitées par les pratiques tantriques les plus « endiablées », faisant
la fête et agissant d’une manière peu conforme à une divinité incarnée.
Pour cela, ce que nous cachent les pieuses hagiographies des ignorants
bouddhistes occidentaux, il fut éliminé par ses prêtres. D’ailleurs
durant 170 ans, malgré leur statut reconnu de « dieux », cinq Dalaï-lama
furent assassinés par leurs grands prêtres ou par d'autres courtisans !
De leur côté, loin d’être en reste vis-à-vis de leurs
homologues tibétains, nombre des maîtres bouddhistes zen, ne se sont pas
contentés d'être des complices muets du pouvoir impérialiste japonais
pendant des siècles, mais sont devenus, particulièrement à compter de
l’ère Meiji (XIXe) des idéologues ardents de la politique nationaliste,
encourageant et légitimant la guerre et les exactions au nom,
précisément, du bouddhisme.
Comme l'écrivit un enseignant zen
américain, l'ouvrage de Brian Victoria, « Zen en guerre » (universitaire
d'origine néo-zélandaise, devenu moine dans la tradition Zen,
décrivant dans son livre avec précision l'implication des structures
bouddhiques dans la politique expansionniste et militaire japonaise
entre les années 1894-1945), abondamment documenté, fit l'effet « d'un missile à longue portée lancé depuis l'autre côté du monde qui touche en plein cœur les communautés zen occidentales ».
Ceux-là
mêmes (pratiquants zenistes plutôt « alter-mondialistes » héritiers des
valeurs de 68) qui croyaient, naïvement, le bouddhisme indemne des
débordements du fanatisme religieux découvrent, avec frisson, que les
écoles zen (Soto shû, Rinzaï shû, Nichiren shû, etc.), lorsqu'elles ne
priaient pas pour la gloire de l'empereur et du Japon, préparaient leurs
fidèles à la guerre totale. Ce livre courageux est à lire
impérativement par tous ceux qui s'intéressent à l'histoire du
bouddhisme extrême-oriental ainsi qu'à ses dérives. Bénédiction des
drapeaux, croisade pour la défense de la civilisation, théories
suspectes de la guerre juste, on croyait ces images et ces thèmes
réservés à l'Occident ; or les « dits » maîtres de « l’illumination »
ont démontré sur ce sujet un zèle incroyable dans l’exaltation de la
guerre génocidaire (Mandchourie, Corée, etc.), du meurtre systématique,
du terrorisme et de la violence sous couvert d’indifférente
impassibilité.
La compassion bouddhiste, bien loin de protéger l'Asie
de pareilles dérives, participa à la mise en œuvre d’une idéologie
guerrière au service d'un pouvoir agressif et ultra-impérialiste. Les
plus grands maîtres (Kôdô Sawaki, Yamada Reirin, Hitane Jôzan), jusqu’au
célèbre D. T. Suzuki, ont légitimé l'alliance entre le sabre et le Zen.
Collecte de fonds pour l'effort de guerre, cérémonies spéciales pour
l'obtention de la victoire, création de centres d'instruction, activités
de renseignement, endoctrinement des populations, cette collusion n'a
pas cessé en 1945, elle s'est métamorphosée dans le fameux « Zen
d'entreprise », du Japon en plein essor.
Le pouvoir impérial a réussi
à fabriquer de toutes pièces, avec la complicité des maîtres de
sagesse, une « âme du Japon éternel » inquiétante. L'Occident n'est donc
pas seul, loin de là, à porter la lourde tâche d'une impérative
interrogation sérieuse des origines et de la nature des déviances
totalitaires du siècle venant de s'écouler. Mais le plus grave est sans aucun doute l’énorme tromperie
spirituelle que représente cette prétendue philosophie de sagesse qu’est
le bouddhisme. Entouré d’un prestige tenant à la méconnaissance des
occidentaux à l’égard de ses sources réelles, le bouddhisme est d’une
nature bien différente des stupides clichés pour touristes fatigués et
dépressifs en mal d’exotisme qui nous sont généreusement octroyés depuis
des décennies par de nombreux canaux (livres, journaux, revues, télés,
films, etc.), sans compter sur le soutien indirect, mais cependant fort
actif et utile, des tenants de la « Tradition » à la mode
guénono-schuonienne qui nous chantent sur un air usé jusqu’à la corde
qui est devenu aujourd’hui risible, le lassant et mensonger refrain de «
l’unité transcendante des religions ». A ce titre, fort instructive est l’histoire de June Campbell qu’elle a
racontée dans un livre émouvant paru en 1996 sous le titre Traveller in
Space: Gender, Identity and Tibetan Buddhism [Voyageur de l’espace :
sexe, identité et bouddhisme tibétain], June Campbell qui joua un rôle
important auprès d’un maître extrêmement vénéré du bouddhisme tibétain
puisqu’elle fut l'interprète du célèbre Kalou Rinpoché. Etant
directement à son service, elle ne souffrait pas de la pression des
échelons intermédiaires souvent très perceptible et dérangeante dans ces
écoles, et était donc dans des conditions parfaites pour faire un «
beau voyage spirituel » au service de ce très digne moine.
Cependant,
il lui fallut, raconte-t-elle dans son livre, accepter les relations
sexuelles que le maître exigea d'elle ( il était un « chaste » moine
portant la robe et visiblement astreint à leurs voeux), puis les
relations sexuelles avec l'un de ses proches, un parent à lui, c'est à
dire sans doute une forme courante de la polyandrie répandue dans les
cultures himalayennes. Enfin une deuxième maîtresse, beaucoup plus jeune
évidemment et aux charmes « spirituels » supérieurs, fut introduite
dans l’intimité des deux hommes et June dut accepter la nouvelle venue
(qui mourut d'ailleurs prématurément sans doute en raison de quelques
excessives "ascèses " sexuelles).
A l'issue de l'expérience, c'est à
dire après la mort du vénérable Kalou, June mit près de quatorze années
avant de pouvoir se résoudre à raconter son histoire. Et ce n'est pas un
merveilleux voyage qu'elle raconte, mais l'histoire d'un douloureuse
souffrance. Les deux hommes ayant exigé d'elle l'absolu secret sur ces
relations qui auraient terni l'image du maître si elles étaient venues à
la connaissance des disciples ; June se sentit, selon ses mots, «
abused » (abusée, flouée, trompée), et mit longtemps pour se
reconstruire.
Rappelons pour les moins avertis, que le fameux Kalou
Rinpoché était sans doute le moine le plus réputé en Occident dans son
école. Il était, et est reconnu comme un véritable « bodhisattva »,
beaucoup d’occidentaux « abusés », et non des moindres, s’étant mis à
l’école de ce maître tantrique dispensant les fondements du Vajrayana.
Le voyage de sa disciple fut cependant décevant, et on imagine sans
peine ce que cela doit être que de suivre aveuglément des maîtres encore
moins accomplis, de moindre exigence ou de moindre expérience. On remarquera, alors que des milliers d’occidentaux en
rupture avec leur propre tradition, ne se signant jamais lorsqu’ils
rentrent dans une église, ne récitant aucune prière chrétienne,
totalement étrangers aux fondements doctrinaux du christianisme, vivants
leurs existences comme des athées stupides, se précipitent sans
discernement aucun aux pieds du moindre lama aviné et libidineux,
(parfois de jeunes enfants incultes ou des adolescents boutonneux
beaucoup plus intéressés par les mœurs « engageantes » des jeunes
dévotes européennes pour le « coup » (sic) authentiquement « libérées »,
ou des lucioles de la société marchande ), et que ce type de dérives
tantriques qui conduisent, sous prétexte de libération spirituelle, à
des situations psychologiques tragiques, n’est pas sans faire écho à ce
qui se produisit par exemple dès les années 30 pour Jean Marquès
Rivière, qui travaillait pour le journal Le Voile d’Isis dans lequel
publiait l’élite occultiste de l’Europe et dont l’un des rédacteurs
principaux était René Guénon, qui accomplira un rituel tantrique (« avec
du sang et de l’alcool »), qui le laissa possédé par une déité
tibétaine. Ce fut seulement par l’intervention d’un exorciste catholique
qu’il put être libéré de la possession, faisant que par gratitude il se
convertit au christianisme.
Kalou Rinpoché disait, sans doute pour
consoler June Campbell et ses multiples maîtresses de passage, qu'il n'y
a aucun mal dans le désir, qu’au contraire il est « de la nature de la
félicité » et se présente comme tel lorsqu'il est reconnu dans son
essence « non-duelle ». Encore une fois, est démontrée ici de façon
patente, l’inexactitude totale de ces fausses théories prétendument «
non-duelles » mais foncièrement sexualisées et travaillées par
l’exaltation malsaine des désirs les plus triviaux, dominées par les
pulsions grégaires de l’humaine condition, théories païennes oublieuses
de ce qu’il en est de la nature profondément « désorientée » de l’homme
depuis la rupture adamique, et en quoi le rêve d’une « pseudo libération
», que l’on peut aisément qualifier de rigoureusement pélagien dans ses
vues (ce qui peut d’ailleurs se dire de toutes les voies orientales
globalement), s’appuyant sur des techniques forcément limitées (mantras,
mudras, visualisations, etc.) et des conceptions faussées, est un rêve
imaginaire qui se paye très chèrement et se conclut, généralement, par
d’amères désillusions et des abîmes de déréliction. Le bouddhisme, qui sous couvert d’apprentissage
d’innocentes techniques méditatives dont l’Occident aurait perdu la
pratique selon les ridicules et absurdes thèses guénoniennes, alors même
que l’on sait qu’il n’est jamais anodin de se livrer à des exercices
qui véhiculent clairement des influences spirituelles bien définies et à
l’évidence douteuses puisque sous-tendues par des principes contraires à
l’enseignement des Ecritures, rien n’étant jamais « neutre » dans ces
domaines contrairement à ce que l’on veut faire croire aux esprits
crédules, le bouddhisme donc, dans ses différentes versions (Tibet,
Japon, Chine, Corée), doit être de ce fait dénoncé pour ce qu’il est,
c’est-à-dire un piège dangereux pour un chrétien, une voie sans issue à
éviter, un itinéraire moralement périlleux pour une âme véritablement en
quête de la Vérité, un cheminement incompatible avec les saintes
lumières de la Révélation.
http://www.la-question.net/archive/2007/09/20/les-ignobles-verites-du-bouddhisme-par-zacharias.html
A chacun de se faire sa propre idée.
Dernière édition par paralleye le 4/2/2013, 15:29, édité 3 fois (Raison : Mise en page difficile de l'article)