“holodomor - голодомор” vient de l’ukrainien “морити голодом”, c’est-à-dire “assassiner par famine, affamer pour exterminer”. Cela se produisit en 1932-1933 et affecta d’une part la paysannerie ukrainienne et d’autre part, l’élite intellectuelle du pays. Il semble aujourd’hui avéré que le gouvernement de Moscou et le Politburo (Bureau Politique) ait décidé de trouver un moyen pour mettre à genoux une république au vaste territoire, aux terres très riches en grains et blé en général. Or, des le début de la guerre civile qui mena à la Révolution bolchevique, l’Ukraine tenta de trouver, auprès des Allemands, un moyen pour proclamer l’indépendance d’un Etat ukrainien dont les frontières n’existent pratiquement pas de manière naturelle. Il y eut un Etat indépendant (самодержава) qui dura un an et demi et qui tomba en 1919. La Grande Famine d'Ukraine a été décidée par le Bureau politique et le Comité central du Parti Communiste de l'URSS pour plusieurs raisons: 1) - Liquider toute velléité d'indépendance de l'Ukraine. 2) - Economiser du blé pour pouvoir l'exporter et montrer ainsi les soi-disantes victoires de l'économie Socialiste. [ndlr: Il faudrait ajouter: régler les très importantes dettes de l'URSS] 3) - Salir les mains et ainsi tester l'obéissance des organes de répression tel que le NKVD (très comparable et pour certains encore plus cruels et barbare que la Gestapo des nazis). La décision prise, il a fallu faire le sale travail qui impliqua le Parti de l'Ukraine et le NKVD. La poignée de main entre Staline (le Parti) et Kaganovitch (le NKVD) scelle le sort de dizaines de millions d'êtres humains dont des millions vont mourir dans des conditions atroces. La loi du 7 juillet 1932 prévoira même la peine de mort pour « toute escroquerie au préjudice d'un kolkhoze », qui commençait par le simple vol d’un épi de blé.
Curieux le silence qui entoure encore Kaganovitch*, un des plus gros bouchers de 20e siècle, inconnu alors que son homologue , Adolphe Eichmann, est toujours mis en lumière comme l'artisan de la Shoah.
Peut être cela provient à la fois du NEGATIONNISME recouvrant les crimes des régimes socialistes (URSS en particulier) et du fait que Lazare Kaganovitch était juif. Embêtant qu'un juif soviétique soit responsable de plus de morts et d'atrocités qu'un SS Allemand.
On parle aussi du “génocide” des Arméniens et des Syro-orthodoxes par les Turcs en 1915. En Israël, on s’est toujours refusé à reconnaitre ces meurtres massifs affectant une nation particulière comme pouvant être comparable a la Shoah - Khurban (שואה - חורבן)
Il est exact que la faim a souvent été utilisée, au cours de l’histoire, pour affaiblir un adversaire et le faire céder. Mais la faim utilisée dans le but d’exterminer un nombre considérable de membre d’une même nation procède d’un désir délibéré d’anéantir et de détruire toute résistance ou contestation au sein d’un groupe. A cet égard, les Ukrainiens parlent de “génocide par la faim”, ce qui a été affirmé par Raphaël Lemkin qui a crée le terme de “génocide”. Ce terme a été galvaudé tout au long du 20ème siècle. Le terme a commencé par être utilisé, rétroactivement, pour parler des camps de concentration et “extermination des Boers par les Anglais au cours de la guerre des Boers, en Afrique du Sud (1902).
Merci, Couecav, il est indispensable de rappeler ces choses totalement ignorées de la plupart des gens. La complicité des "démocraties occidentales" à ce génocide est ici, une fois de plus, démasquée. Comment s'étonner que les troupes allemandes aient été accueillies comme des libérateurs en 41 et que la population dans les campagnes leur ait ouvert leurs villages sous des arcs de triomphe de verdure...? On ne musellera pas toujours l'Histoire.
On notera tout de même que le NOM américano sioniste tente d'instrumentaliser le nationalisme ukrainien dans un sens anti russe ( la"révolution orange") . Il importe donc de rappeler que le responsable de ce crime contre l'humanité n'est pas le peuple russe mais les dirigeants apatrides du parti bolchevik, parti soutenu financièrement par les milieux financiers américains . Un monde slave uni et solidaire sera un élément essentiel de la résistance au NOM et de la libération de l'Europe .
"80ème anniversaire du début du génocide des chrétiens ukrainiens par les juifs soviétiques. Lesquels juifs viennent donner des leçons de morale chaque jour aux Européens.
Nous reproduisons un article du journaliste politique Sever Plocker, qui fit couler beaucoup d’encre lors de sa récente publication, car Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, déchaîna à la suite de ce texte un torrent de commentaires injurieux à son encontre, déclenchant, bien que juif lui-même, un tombereau d’insultes diverses et variées.On le félicitera cependant d’avoir courageusement brisé le silence….
« Les Juifs de Staline » Quelques uns des pires meurtriers des temps modernes étaient Juifs Sever Plocker
Un événement historique est particulièrement passé sous silence, et pourtant nous ne devons pas oublier qu’il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cœur de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka. En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchékaà GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB. Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
Des pans entiers de la population furent éliminés: fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même. Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’”officiers de la terreur” disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.
Genrikh Yagoda, fut le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Nous n’en mentionnerons qu’un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel. En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dans l’appareil de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. Lors d’un cours fascinant à une convention de l’université de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d’artifice de purges et l’adoration du mal. Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de notre histoire moderne.
Les juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents: qu’avons-nous à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier. Mon opinion est différente. « Je pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables. »
Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toute façon, d’autres nous rappelleront toujours leur origine. Sever Plocker
Chaque année, le quatrième samedi de novembre est le jour de commémoration des victimes de l’Holodomor (famine), orchestré par l’Union Soviétique en 1932et 1933. Dans cet article, je décrirai principalement la carte présentée ci-dessous.
Lieu : Ukraine Soviétique. Date : printemps 1933. Problème : chaque minute, 17 Ukrainiens sont morts de faim à cause de la collectivisation forcée par le gouvernement soviétique basé à Moscou. Sur la carte, vous pouvez aussi voir la région de Kouban (Russie) en 1926, essentiellement peuplée par : des Ukrainiens – 915 000, des Russes – 498 000. En 1939, Ukrainiens – 150 000, Russes : 2 754 000. Il apparait effectivement que le but principal de Moscou était l’extermination des Ukrainiens.
La reconnaissance de l’Holodomor en tant que génocide des Ukrainiens est encore en cours. Malheureusement – et comme d’habitude – la Russie fait obstacle et influence les Etats étrangers pour les inciter à ne pas reconnaitre le génocide comme tel. Cependant, la Verkhovna Rada (le Parlement ukrainien) a reconnu l’Holodomor en tant que génocide en 2006. Les pays suivants le reconnaissent également comme tel : Andorre, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, République Tchèque, Equateur, Estonie, Géorgie, Hongrie, Italie, Lettonie, Lithuanie, Mexique, Paraguay, Pérou, Pologne, Slovaquie, Etats-Unis d’Amérique,Vatican. Etant donné que cette extermination de masse a eu lieu au XXème siècle, nous devons la garder en mémoire et empêcher toute autre tentative au XXIème siècle par n’importe quel Etat.
source (pardon pour la mise en page, mais je n'arrive pas à mieux.)
Et deux vidéo de David Duke sur son livre "le secret derrière le communisme" qui parle de l'Holodomor.
(pardon pour la mise en page, mais je n'arrive pas à mieux.)
Te prends pas la tête je vais te montrer comment: Clic dans "éditer" pour rééditer ton message ok puis...
Vas dans les options clic dans la dernière icone "basculer le mode d'édition".
Après tu fais Ctrl+A dans la page source de ton lien, puis Ctrl+C....."copie" http://konigsberg.centerblog.net/m/2023-holodomor-7-millions-de-chretiens-extermines-par-les-juifs (si tu regardes bien les liens vidéos ne sont pas sélectionnés par le Ctrl+A, faut les ajouter soi-même je crois bien. )
....Puis dans l'éditeur de texte du site novus tu colles le tout, donc Ctrl+V.(efface ton premier texte avant bien entendu ou écrase le en fesant Ctrl+A avant de collé le texte de la page source. Aussi gardes dans un coin tes liens des 2 vidéos de fin.) Plus besoin de se prendre la tête tout est copier comme l'original reste plus qu'à mettre les "center" pour centrer les images ou les titres ou de voir les bug qui restent. (et ou virer comme dans ton cas les commentaires du site d'origine, bref vire donc la fin. Ces commentaires restent instructifs mais il faut alors changer leur couleur qui est jaune pourri....à ce que je vois.)
J'espère que tu auras bien tout comprit Nemandi....a+
Holodomor 7 millions de chrétiens exterminés par lesDes juifs*
Publié le 01/12/2012 à 14:23 par konigsberg
*( http://www.francaisfacile.com/forum/lire.php?num=7&msg=48193&titre=Les+ou+des Histoire d'éviter les réactions dûes à la différence entre: articles définis et articles indéfinis. Bref, on parle bien entendu de mafia juives dont certains juifs ne font pas partie, mafias ou personnage comme des gens d'origines juives/khazars du même type de sanguinaire que Zeev Jabotinsky...par exemple.
Durant la Première Guerre mondiale, Jabotinsky considère que les (on leur laisse le soin de vouloir être les maitres totalitaires de leur soi-disante propre tribue) Juifs doivent aider les Britanniques à s'emparer de la Palestine, alors territoire ottoman, dans l'espoir que le Royaume-Uni favorisera l'établissement d'un "Foyer National Juif" dans cette région. Il conçoit alors l'idée d'une force militaire juive, la Légion juive.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Jabotinsky
Pour le chiffre de 7: "L'Ukraine a officiellement retenu une fourchette de 7 à 10 millions de morts, estimation reprise telle quelle par l'ONU" http://fr.wikipedia.org/wiki/Holodomor#Bilan_de_la_famine )
80ème anniversaire du début du génocide des chrétiens ukrainiens par les juifs soviétiques. Lesquels juifs viennent donner des leçons de morale chaque jour aux Européens.
Nous reproduisons un article du journaliste politique Sever Plocker, qui fit couler beaucoup d’encre lors de sa récente publication, car Plocker, qui travaille pour le journal hébreu Yediot Ahronot, déchaîna à la suite de ce texte un torrent de commentaires injurieux à son encontre, déclenchant, bien que juif lui-même, un tombereau d’insultes diverses et variées.On le félicitera cependant d’avoir courageusement brisé le silence…
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Holodomor - Mass Murder by Hunger
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« Les Juifs de Staline »
Quelques uns des pires meurtriers
des temps modernes étaient Juifs
Sever Plocker
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Léon Bronstein dit « Trotsky »
Un événement historique est particulièrement passé sous silence, etpourtant nous ne devons pas oublier qu’il y a environ 90 ans, entre le 19 et le 20 décembre 1917, au cœur de la révolution bolchevique et de la guerre civile, Lénine signa un décret créant la Commission Panrusse pour la Répression de la Contre-révolution et du Sabotage, plus connue sous le nom de Tchéka.
En peu de temps, la Tchéka devint l’organisation de sécurité d’Etat la plus importante et la plus répressive. Son organisation et sa structure évoluèrent régulièrement, tout comme son nom : de Tchékaà GPU, puis à NKVD, et plus tard à KGB. Il est impossible de connaître avec certitude le nombre de morts dont la Tchéka fut responsable d’une manière ou d’une autre, mais il s’évalue probablement autour de 20 millions, incluant les victimes de la collectivisation forcée, des famines, des purges, des expulsions, des déportations, des exécutions et des tueries de masses dans les goulags.
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Des pans entiers de la population furent éliminés: fermiers indépendants, minorités ethniques, membres de la bourgeoisie, officiers supérieurs, intellectuels, artistes, militants syndicalistes, « membres de l’opposition » à la définition très aléatoire, et un nombre incalculable de membres du parti communiste lui-même. Dans son dernier livre, qui recueille beaucoup de suffrages, The War of the World, l’historien Niall Ferguson écrit qu’aucune autre révolution dans l’histoire de l’humanité n’a dévoré ses enfants avec le même appétit insatiable que la révolution soviétique. De même, le Dr. Igal Halfin, de l’université de Tel Aviv, indique dans son livre sur les purges staliniennes que la violence y fut unique en ce qu’elle fut dirigée vers l’intérieur.
Mais Lénine, Staline, et leurs successeurs n’auraient pas pu mener à bien leurs objectifs sans une large coopération de la part d’”officiers de la terreur” disciplinés : enquêteurs cruels, mouchards, bourreaux, gardiens, juges, pervers, et de beaucoup d’idéalistes membres de l’aile gauche progressiste, abusés par le régime soviétique de terreur au point de lui décerner un certificat casher.
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Holodomor - Mass Murder by Hunger
Genrikh Yagoda le fondateur juif du NKVD
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Genrikh Yagoda, fut le plus grand meurtrier juif du XXe siècle, chef adjoint de la GPU et fondateur-dirigeant du NKVD. Yagoda a consciencieusement exécuté les ordres de Staline pendant la collectivisation, et est responsable de la mort d’environ 10 millions de personnes. Ses employés juifs ont mis en place et géré le système des goulags. Après être tombé en disgrâce auprès de Staline, Yagoda fut dégradé et exécuté, puis remplacé en tant que chef des bourreaux, en 1936, par Yezhov, le « nain sanguinaire ».
Beaucoup de juifs ont vendu leur âme au diable de la révolution communiste et ont du sang sur les mains pour l’éternité. Nous n’en mentionnerons qu’un de plus : Leonid Reichman, dirigeant du département spécial du NKVD et interrogateur en chef de l’organisation, qui était un sadique particulièrement cruel. En 1934, selon des statistiques publiées, 38,5% des officiels détenant les postes les plus élevés dansl’appareil de sécurité soviétique étaient d’origine juive. Eux aussi, naturellement, furent graduellement éliminés dans les purges successives. Lors d’un cours fascinant à une convention de l’université de Tel Aviv cette semaine, le Dr Halfin décrivait les étapes de la terreur soviétique comme un carnaval de meurtres de masse, un feu d’artifice de purges et l’adoration du mal. Il apparaît que les juifs aussi, quand ils sont fascinés par une idéologie messianique, peuvent devenir de grands meurtriers, parmi les plus grands de notre histoire moderne.
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Lazar Kaganovitch, l’exterminateur juif de l’Ukraine
Les juifs actifs dans l’appareil officiel de la terreur communiste (en Union soviétique et ailleurs), et qui l’ont parfois dirigé, ne l’ont évidemment pas fait en tant que juifs, mais plutôt en tant que staliniens, communistes, et « camarades soviétiques ». En conséquence, il nous est facile d’ignorer leur origine et de jouer les innocents: qu’avons-nous à voir avec eux ? Si ce n’est de les oublier. Mon opinion est différente.
« Je pense qu’il est inacceptable qu’une personne puisse être considérée comme un membre de la communauté juive quand elle réalise de grandes choses, mais en être exclue quand elle commet des actes particulièrement méprisables. »
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Abram Aronovich Slutsky, un des dirigeants juifs du GPU
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Même si nous le nions, nous ne pouvons pas échapper au judaïsme de « nos bourreaux » qui ont servi la Terreur rouge avec application et loyauté envers ses dirigeants. De toutes façons, d’autres nous rappelleront toujours leur origine.
Sever Plocker
Commémoration de l’Holodomor en Ukraine
Chaque année, le quatrième samedi de novembre est le jour de commémoration des victimes de l’Holodomor (famine), orchestré par l’Union Soviétique en 1932et 1933. Dans cet article, je décrirai principalement la carte présentée ci-dessous.
Lieu : Ukraine Soviétique. Date : printemps 1933. Problème : chaque minute, 17 Ukrainiens sont morts de faim à cause de la collectivisation forcée par le gouvernement soviétique basé à Moscou.
Sur la carte, vous pouvez aussi voir la région de Kouban (Russie) en 1926, essentiellement peuplée par : des Ukrainiens – 915 000, des Russes – 498 000. En 1939, Ukrainiens – 150 000, Russes : 2 754 000. Il apparait effectivement que le but principal de Moscou était l’extermination des Ukrainiens.
Regardons de plus près le tableau ci-dessous (groupes ethniques vivant en URSS en 1926 et 1937)
Nationality
1926
1937
Russians
77,791,124
93,933,065
Ukrainians
31,194,976
26,421,212
Belarusians
4,738,923
4,874,061
Uzbek
3,955,238
4,550,532
Tatars
3,029,995
3,793,413
Kazakhs
3,968,289
2,862,458
Jews
2,672,499
2,715,106
Azerbaijani
1,706,605
2,134,648
Georgians
1,821,184
2,097,069
Armenians
1,568,197
1,968,721
La reconnaissance de l’Holodomor en tant que génocide des Ukrainiens est encore en cours. Malheureusement – et comme d’habitude – la Russie fait obstacle et influence les Etats étrangers pour les inciter à ne pas reconnaitre le génocide comme tel. Cependant, la Verkhovna Rada (le Parlement ukrainien) a reconnu l’Holodomor en tant que génocide en 2006. Les pays suivants le reconnaissent également comme tel : Andorre, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chili, Colombie, République Tchèque, Equateur, Estonie, Géorgie, Hongrie, Italie, Lettonie, Lithuanie, Mexique, Paraguay, Pérou, Pologne, Slovaquie, Etats-Unis d’Amérique,Vatican.
Etant donné que cette extermination de masse a eu lieu au XXème siècle, nous devons la garder en mémoire et empêcher toute autre tentative au XXIème siècle par n’importe quel Etat.
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vidéo Holodomor 1933 Vidéo Bob Gratton
Source anglaise copie
Spoiler:
Sever Plocker
Stalin's Jews
We mustn't forget that some of greatest murderers of modern times were Jewish
Published: 12.21.06, 23:35 / Israel Opinion
Here's a particularly forlorn historical date: Almost 90 years ago, between the 19th and 20th of December 1917, in the midst of the Bolshevik revolution and civil war, Lenin signed a decree calling for the establishment of The All-Russian Extraordinary Commission for Combating Counter-Revolution and Sabotage, also known as Cheka.
Within a short period of time, Cheka became the largest and cruelest state security organization. Its organizational structure was changed every few years, as were its names: From Cheka to GPU, later to NKVD, and later to KGB.
We cannot know with certainty the number of deaths Cheka was responsible for in its various manifestations, but the number is surely at least 20 million, including victims of the forced collectivization, the hunger, large purges, expulsions, banishments, executions, and mass death at Gulags.
Whole population strata were eliminated: Independent farmers, ethnic minorities, members of the bourgeoisie, senior officers, intellectuals, artists, labor movement activists, "opposition members" who were defined completely randomly, and countless members of the Communist party itself.
In his new, highly praised book "The War of the World, "Historian Niall Ferguson writes that no revolution in the history of mankind devoured its children with the same unrestrained appetite as did the Soviet revolution. In his book on the Stalinist purges, Tel Aviv University's Dr. Igal Halfin writes that Stalinist violence was unique in that it was directed internally.
Lenin, Stalin, and their successors could not have carried out their deeds without wide-scale cooperation of disciplined "terror officials," cruel interrogators, snitches, executioners, guards, judges, perverts, and many bleeding hearts who were members of the progressive Western Left and were deceived by the Soviet regime of horror and even provided it with a kosher certificate.
All these things are well-known to some extent or another, even though the former Soviet Union's archives have not yet been fully opened to the public. But who knows about this? Within Russia itself, very few people have been brought to justice for their crimes in the NKVD's and KGB's service. The Russian public discourse today completely ignores the question of "How could it have happened to us?" As opposed to Eastern European nations, the Russians did not settle the score with their Stalinist past.
And us, the Jews? An Israeli student finishes high school without ever hearing the name "Genrikh Yagoda," the greatest Jewish murderer of the 20th Century, the GPU's deputy commander and the founder and commander of the NKVD. Yagoda diligently implemented Stalin's collectivization orders and is responsible for the deaths of at least 10 million people. His Jewish deputies established and managed the Gulag system. After Stalin no longer viewed him favorably, Yagoda was demoted and executed, and was replaced as chief hangman in 1936 by Yezhov, the "bloodthirsty dwarf."
Yezhov was not Jewish but was blessed with an active Jewish wife. In his Book "Stalin: Court of the Red Star", Jewish historian Sebag Montefiore writes that during the darkest period of terror, when the Communist killing machine worked in full force, Stalin was surrounded by beautiful, young Jewish women.
Stalin's close associates and loyalists included member of the Central Committee and Politburo Lazar Kaganovich. Montefiore characterizes him as the "first Stalinist" and adds that those starving to death in Ukraine, an unparalleled tragedy in the history of human kind aside from the Nazi horrors and Mao's terror in China, did not move Kaganovich.
Many Jews sold their soul to the devil of the Communist revolution and have blood on their hands for eternity. We'll mention just one more: Leonid Reichman, head of the NKVD's special department and the organization's chief interrogator, who was a particularly cruel sadist.
In 1934, according to published statistics, 38.5 percent of those holding the most senior posts in the Soviet security apparatuses were of Jewish origin. They too, of course, were gradually eliminated in the next purges. In a fascinating lecture at a Tel Aviv University convention this week, Dr. Halfin described the waves of soviet terror as a "carnival of mass murder," "fantasy of purges", and "essianism of evil." Turns out that Jews too, when they become captivated by messianic ideology, can become great murderers, among the greatest known by modern history.
The Jews active in official communist terror apparatuses (In the Soviet Union and abroad) and who at times led them, did not do this, obviously, as Jews, but rather, as Stalinists, communists, and "Soviet people." Therefore, we find it easy to ignore their origin and "play dumb": What do we have to do with them? But let's not forget them. My own view is different. I find it unacceptable that a person will be considered a member of the Jewish people when he does great things, but not considered part of our people when he does amazingly despicable things.
Even if we deny it, we cannot escape the Jewishness of "our hangmen," who served the Red Terror with loyalty and dedication from its establishment. After all, others will always remind us of their origin.
Isaï Davidovitch Berg, l'inventeur des chambres à gaz «ambulantes»
Aux pages 99 et 100, l'auteur révèle l'invention de Isaï Davidovitch Berg qui, en 1937, durant la Grande terreur, résoud à la fois la tuerie et le transport des condamnés à mort. “Nous sommes en 1937, période de grandes purges et de nettoyage à fond. Les exécutions dans le secteur de Moscou prennent une telle ampleur que nos braves fonctionnaires ont du mal à suivre. Tous ces ennemis du peuples à fusiller en même temps! Sans compter toutes les munitions nécessaires pour leur tirer une balle dans la nuque à chacun, cela finit par coûter cher! Et le temps que cela prend pour les assassiner un par un! C'est là que va intervenir la cervelle ingénieuse de notre bonhomme. Il va inventer un moyen moins onéreux de procéder. Un moyen simple, mais encore fallait-il y penser: le camion dont les gaz d'échappements sont orientés vers l'intérieur. Cette invention sera appelée en russe dushegubka, ce qui signifie «chambre à gaz ambulante». La procédure était effectivement très simple: les «patients» étaient entassés dans un camion hermétiquement clos renvoyant les gaz d'échappement vers l'intérieur, et c'était parti pour une longue promenade autour de Moscou- A l'arrivée. - ô miracle de la technique - ne restaient plus que des cadavres qui étaient immédiatement escamotés dans un coin discrets. Voilà, ce n'était pas plus compliqué que ça, Et relativement économique, encore que … l'essence.”
Anna Kling indique que Isaï Davidovitch Berg fut également liquidé en 1939. Elle termine en écrivant que “l'idée d'utiliser des gaz pour tuer était plus vieille que lui. Elle démarre durant la Première Guerre mondiale, vite relayée par les bolchéviks qui n'étaient pas en reste dans ce domaine. Les gaz seront largement utilisés par eux, souvent contre les paysans réfugiés dans les bois, notamment à Tambov en 1921. Les ordres reçus de Moscou spécifaient : «Les forêts où les bandits se cachent doivent être nettoyée pas l'utilisation de gaz toxique. Ceci doit être soigneusement calculé afin que la couche de gaz pénètre les forêts et tue quiconque s'y cache.»”
Anna Kling cache le nom de l'auteur de ces ordres… le “bon” Lénine!