Grippe A, du principe de précaution au Nouvel Ordre Mondial
Article rédigé le 05 sept 2009, par Régis Mex
D’où vient ce don de prémonition de nos gouvernements sur l’imminence d’une pandémie fulgurante ? Que nous vaut une telle débauche d’anticipation et de précautions ?
Comme on aurait aimé voir une telle dynamique pour prévenir la crise financière ! Car en effet, si on fait le parallèle entre ces deux événements, le traitement est à l’extrême opposé. Depuis le début de la crise financière, le gouvernement fait tout, au contraire, pour en minimiser la gravité et va même jusqu’à spéculer sur les signes d’une « reprise », alors que tous les indicateurs économiques mondiaux sont dans le rouge.
Et voilà que depuis avril, et les premières mises en garde de l’Organisation Mondial de la Santé, nos pouvoirs publics redoublent de zèle dans la mise en œuvre de mesures sanitaires en suivant à la lettre la dictée de l’OMS. Mieux encore, avant même les premières alertes lancées par l’OMS suite au début d’épidémie de grippe porcine au Mexique fin mars, notre président, le 9 mars 2009, se rendait au Mexique, pour jouer au VRP de l’industrie pharmaceutique. Un contrat de 100 millions d’euros fut signé par Sanofi-Aventis avec les autorités mexicaines pour la construction d’une usine de vaccins grippaux saisonnier et… pandémique !
Quelle coïncidence !
« Avec la construction de cette usine, Sanofi-Aventis est fier de contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la pandémie » déclarait à cette occasion Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi-Aventis.
Trois semaines plus tard, les premiers signes d’une épidémie de grippe porcine au Mexique étaient relevés par l’OMS…
Là, ça frise le paranormal ! Notre président et les dirigeants de Sanofi possèderaient-ils des dons de médiumnité, ou pratiqueraient-ils les arts divinatoires ?
Et que penser de l’OMS dans cette histoire, qui ne cesse, contre toutes les apparences, de nous prédire une pandémie mondiale pour l’automne. Une pandémie bien spéciale puisque toujours selon l’OMS, l’actuelle souche de grippe H1N1 (contagieuse mais très peu virulente) pourrait muter vers une forme très virulente et mortelle. Mince ! Y foutent les boules à l’OMS ! Auraient-ils, eux aussi, des dons de prémonition ?
Ah ! Mais attendez voir là ! J’y repense, une coïncidence assez incroyable s’est encore produite en février dernier. Figurez-vous que l’OMS avait été obligée de communiquer suite à une sale affaire dénoncée par la presse. En effet, le vendredi 27 février 2009, la compagnie Baxter annonçait qu’elle avait fabriqué un vaccin contre la grippe saisonnière qui avait accidentellement été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire (peu contagieux mais très virulent, voire mortel pour l’homme).
L’erreur avait eu lieu au laboratoire de recherche de Baxter International en Autriche.
Le produit contaminé, un mélange de virus de la grippe humaine H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1, qui n’était pas correctement identifié, avait été envoyé à l’entreprise Avir Green Hills Biotechnology, une firme autrichienne. Celle-ci avait par la suite transmis des portions du mélange à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne.
C’est le sous-traitant tchèque qui s’était rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond, lorsque des furets auxquels il avait injecté le vaccin, sont morts. Ceux-ci ne devaient pas mourir après une exposition au virus H3N2, ce qui signifiait donc qu’ils avaient également reçu le virus actif du H5N1.
Des spécialistes en biosécurité s’étaient montrés fort préoccupés du fait que le virus de la grippe humaine H3N2 ait été mélangé avec le virus de la grippe aviaire H5N1. « Il s’agit d’une pratique dangereuse qui devrait être interdite », avaient déclaré plusieurs experts.
Une propagation accidentelle du mélange de H5N1 et de H3N2 aurait pu mener à des conséquences désastreuses, disaient les spécialistes.
Le virus de la grippe aviaire H5N1 ne contamine pas facilement les humains, mais le H3N2 oui. Dans l’éventualité où une personne exposée au mélange aurait été infectée simultanément par les deux souches, elle aurait pu servir d’incubateur à un virus hybride capable de se propager facilement d’un humain à un autre.
« Ce mélange de souches, appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique », précisaient les spécialistes.
Pas de bol !
Et qui avait procuré à Baxter la souche virale du H5N1 ?… l’OMS bien sûr !
Eh ! Les gars de l’OMS, faites gaffe ! Vous allez finir par l’avoir, votre pandémie mortelle, si vous continuez comme ça !
Alors quand jeudi 6 août dernier, l’AFP nous informe avec trompette et tambour, que Baxter annonce avoir terminé la production de ses premiers lots de vaccins contre le virus de la grippe A… Bizarre… ça ne me rassure pas du tout… Et ça aurait même plutôt tendance à m’inquiéter.
Mais à quoi y jouent à l’OMS ? Surtout que le 7 juillet dernier, ce même OMS, qui coordonne les activités des laboratoires privés dans le cadre de la production de vaccins, organisait une réunion extraordinaire d’un groupe consultatif bondé de dirigeants de Baxter, Novartis et Sanofi. Au sortir de cette réunion, l’OMS à tout bonnement refusé de communiquer le procès verbal. Tout ce qui a filtré, c’est que l’organisation travaille d’arrache-pied à la mise en place de l’obligation vaccinale contre la future pandémie, dans tous les pays signataires de sa charte.
Mais que cache cette obsession pour une vaccination systématique ? Pour chercher à répondre à cette question, faisons un petit retour sur l’histoire, jusqu’au début du XXème siècle et plus précisément entre 1918 et 1919.
À cette époque la pandémie de grippe espagnole avait causé la mort de 20 à 50 millions de personnes. 50% de la population mondiale avait été affectée. Pourquoi faire le lien avec la grippe A ? Tout simplement parce que les deux virus présentent des similitudes. Comme la grippe A, la grippe espagnole était du sous-type H1N1. Par ailleurs, la grippe espagnole était aussi une combinaison de virus aviaires, porcins et humains.
À l’époque, les événements étaient assez similaires, l’Europe et le monde occidental étaient en crise (guerre 14-18). Seule l’Espagne qui n’était pas en guerre publia des articles sur cette pandémie de grippe qui sévissait dans le pays, mais aussi dans toute Europe. C’est de là que vient le surnom de grippe Espagnole. En fait, la guerre de 14 fut utilisée comme le vaste chantier de la première grande expérimentation d’une vaccination de masse. Les fabricants de vaccins lancèrent une grande campagne de lobbying auprès des pouvoirs politiques des États en conflit. Une vaccination systématique fut appliquée aux contingents militaires de plusieurs pays en raison, disait-on à l’époque, de leur exposition sur les champs de bataille à de nombreux risques. Malgré la censure militaire, on sut que nombreux furent les soldats qui après avoir été vaccinés, moururent de maladie avant même d’avoir foulé le champ de bataille ou rentrèrent gravement malades dans leur foyer. Les premiers cas apparurent dans les contingents US vaccinés sur le territoire états-unien.
Dans son livre Exposition à la grippe porcine, le docteur Eleanor McBean (USA) qui enquêta sur la grippe espagnole écrit :
« J’ai entendu dire que sept hommes se sont écroulés complètement dans le bureau d’un docteur, après avoir été vaccinés. C’était dans un camp de l’armée, alors j’ai écrit au gouvernement pour vérifier cette information. Ils m’ont envoyé le rapport du secrétaire des États-Unis de guerre, Henry L. Stimson. Le document a non seulement confirmé le rapport des sept personnes qui se sont laissées tomber complètement, à la suite des vaccins, mais il a aussi confirmé qu’il y avait eu 63 décès et 28 585 cas d’hépatite par le résultat direct du vaccin de la fièvre jaune, seulement 6 mois après la guerre. C’était seulement une des 14 à 25 piqûres données aux soldats. Nous pouvons imaginer les dommages que toutes ces piqûres ont fait aux hommes »
…
« Les maladies provoquées par les nombreux vaccins ont dérouté les médecins, car ils n’avaient jamais connu une telle série de vaccinations avant celles-là.
La nouvelle maladie qu’ils avaient créée a provoqué les symptômes de toutes les maladies qu’ils avaient injectées à l’homme : fièvre élevée, faiblesses extrêmes, éruption abdominale et perturbation intestinale, caractéristiques de la typhoïde. Le vaccin de la diphtérie a causé la congestion des poumons, les froids et la fièvre, la gorge gonflée et endolorie obstruée avec la fausse membrane, et l’étouffement d’obstruction, en raison de la difficulté de respiration suivie de la mort, après quoi le corps tournait au noir, à cause du sang stagnant qui avait été privé d’oxygène dans les périodes d’étouffement. Au début, ils l’ont appelé « la mort noire ».
Les autres vaccins provoquaient leurs propres réactions : paralysie, dommages de cerveau, tétanos, etc. »
Au sortir de la guerre, les fabricants de vaccins n’avaient pas écoulé tous leurs stocks. Qu’à cela ne tienne ! On vaccina la population civile qui fut prise d’une véritable psychose quant aux risques infectieux liés aux pauvres soldats malades. En fait, aujourd’hui, de nombreux experts, après études des archives de l’époque, suspectent la vaccination de masse d’être à l’origine de l’escalade mutante de divers bacilles infectieux qui aboutirent au virus tueur de la grippe espagnole. La majorité des témoignages de l’époque font ressortir une large propagation de la contamination chez les individus vaccinés, alors que la plupart des gens épargnés par la maladie ne l’étaient pas…
Et pour l’épidémie de grippe porcine de 1976 aux USA ?…
Même scénario ! Premiers cas de malades dans le contingent d’une base militaire. Mort d’un soldat trop rapidement attribué à la grippe porcine (il fut prouvé par la suite que cette mort n’avait aucun rapport avec la grippe). Déclenchement d’une véritable campagne gouvernementale pour la vaccination de masse. Et, et, et… finalement la pandémie n’eut pas lieu, mais nombreux furent les malades, les paralytiques et même les cas de décès. Et encore une fois tous suite à la vaccination…
Alors, c’est quoi le projet ? C’est quand même curieux que cette pandémie arrive justement au moment où le système économique et financier risque de s’effondrer !
Eugénisme
Depuis la réunion du Club de Rome en 1968 et les conclusions très eugénistes de son rapport, le développement démographique obsède l’hyper classe financière.
Pour vous donner une petite idée des réflexions que suscitèrent à certains de ses participants les conclusions de cette réunion, voici ce que déclara, le 3 février 1987, Robert McNamara (ancien secrétaire d’État US et ancien président de la Banque mondiale) :
« Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations.
Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant.
Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. »
Dans la droite ligne du Club de Rome, à New York le 5 mai dernier, le Club des Milliardaires se réunissait. Et ce ne sont pas les conséquences de la crise financière qui animaient les débats de nos oligarques, non non… mais la surpopulation mondiale. Elle serait « la cause supérieure qui englobe les autres ».
Il se dégage de ces petits cercles de pouvoir, un inquiétant intérêt à voir la convergence de ces deux fléaux (Weimar planétaire (Attali) et pandémie mondiale).
Et notre satellite relais de l’oligarchie mondiale, sieur Attali, ne pouvant retenir ses pulsions « prophétiques », tel un mage noir du Nouvel Ordre Mondial, de confier sur le blog de l’express :
« L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle, et les inscrire dans une politique de santé démocratique…
…La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes..
…Si elle est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu’elle est transmissible par l’homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires…
…Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et des vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »
Nous arrivons visiblement à la croisée des chemins entre un système de développement dominé par le mythe de la croissance illimitée au seul profit d’une petite « caste », siphonnant systématiquement les richesses produites et une démographie mondiale galopante devenue trop encombrante pour cette même « caste » arrivée à la toute-puissance de détenir assez de richesses pour racheter plusieurs fois la planète.
Et avec une telle richesse… c’est un pouvoir immense que l’on détient… Et pourquoi pas, celui des dieux… faire et défaire des mondes.
Tout ça sent mauvais… très mauvais…
Alors ! Des volontaires pour la picouse ?!…
Pour conclure sur le sentiment que m’inspire ce faisceau de coïncidences des plus inquiétantes, je reprendrais Jean-Marie Bigard qui, à la fin de sa démonstration sur le 11 septembre, nous assénait cette phrase de conclusion :
« Y en a qui avalent… eh ben moi, j’avale pas ! »
Source: Égalité & Réconciliation
Article rédigé le 05 sept 2009, par Régis Mex
D’où vient ce don de prémonition de nos gouvernements sur l’imminence d’une pandémie fulgurante ? Que nous vaut une telle débauche d’anticipation et de précautions ?
Comme on aurait aimé voir une telle dynamique pour prévenir la crise financière ! Car en effet, si on fait le parallèle entre ces deux événements, le traitement est à l’extrême opposé. Depuis le début de la crise financière, le gouvernement fait tout, au contraire, pour en minimiser la gravité et va même jusqu’à spéculer sur les signes d’une « reprise », alors que tous les indicateurs économiques mondiaux sont dans le rouge.
Et voilà que depuis avril, et les premières mises en garde de l’Organisation Mondial de la Santé, nos pouvoirs publics redoublent de zèle dans la mise en œuvre de mesures sanitaires en suivant à la lettre la dictée de l’OMS. Mieux encore, avant même les premières alertes lancées par l’OMS suite au début d’épidémie de grippe porcine au Mexique fin mars, notre président, le 9 mars 2009, se rendait au Mexique, pour jouer au VRP de l’industrie pharmaceutique. Un contrat de 100 millions d’euros fut signé par Sanofi-Aventis avec les autorités mexicaines pour la construction d’une usine de vaccins grippaux saisonnier et… pandémique !
Quelle coïncidence !
« Avec la construction de cette usine, Sanofi-Aventis est fier de contribuer au renforcement des infrastructures de santé du Mexique et tient à souligner l’engagement exemplaire envers la santé publique de ce pays, à travers son programme de vaccination contre la grippe et de préparation à la pandémie » déclarait à cette occasion Chris Viehbacher, directeur général de Sanofi-Aventis.
Trois semaines plus tard, les premiers signes d’une épidémie de grippe porcine au Mexique étaient relevés par l’OMS…
Là, ça frise le paranormal ! Notre président et les dirigeants de Sanofi possèderaient-ils des dons de médiumnité, ou pratiqueraient-ils les arts divinatoires ?
Et que penser de l’OMS dans cette histoire, qui ne cesse, contre toutes les apparences, de nous prédire une pandémie mondiale pour l’automne. Une pandémie bien spéciale puisque toujours selon l’OMS, l’actuelle souche de grippe H1N1 (contagieuse mais très peu virulente) pourrait muter vers une forme très virulente et mortelle. Mince ! Y foutent les boules à l’OMS ! Auraient-ils, eux aussi, des dons de prémonition ?
Ah ! Mais attendez voir là ! J’y repense, une coïncidence assez incroyable s’est encore produite en février dernier. Figurez-vous que l’OMS avait été obligée de communiquer suite à une sale affaire dénoncée par la presse. En effet, le vendredi 27 février 2009, la compagnie Baxter annonçait qu’elle avait fabriqué un vaccin contre la grippe saisonnière qui avait accidentellement été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire (peu contagieux mais très virulent, voire mortel pour l’homme).
L’erreur avait eu lieu au laboratoire de recherche de Baxter International en Autriche.
Le produit contaminé, un mélange de virus de la grippe humaine H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1, qui n’était pas correctement identifié, avait été envoyé à l’entreprise Avir Green Hills Biotechnology, une firme autrichienne. Celle-ci avait par la suite transmis des portions du mélange à des sous-traitants en République tchèque, en Slovénie et en Allemagne.
C’est le sous-traitant tchèque qui s’était rendu compte que quelque chose ne tournait pas rond, lorsque des furets auxquels il avait injecté le vaccin, sont morts. Ceux-ci ne devaient pas mourir après une exposition au virus H3N2, ce qui signifiait donc qu’ils avaient également reçu le virus actif du H5N1.
Des spécialistes en biosécurité s’étaient montrés fort préoccupés du fait que le virus de la grippe humaine H3N2 ait été mélangé avec le virus de la grippe aviaire H5N1. « Il s’agit d’une pratique dangereuse qui devrait être interdite », avaient déclaré plusieurs experts.
Une propagation accidentelle du mélange de H5N1 et de H3N2 aurait pu mener à des conséquences désastreuses, disaient les spécialistes.
Le virus de la grippe aviaire H5N1 ne contamine pas facilement les humains, mais le H3N2 oui. Dans l’éventualité où une personne exposée au mélange aurait été infectée simultanément par les deux souches, elle aurait pu servir d’incubateur à un virus hybride capable de se propager facilement d’un humain à un autre.
« Ce mélange de souches, appelé réassortiment, est l’une des deux manières de créer un virus pandémique », précisaient les spécialistes.
Pas de bol !
Et qui avait procuré à Baxter la souche virale du H5N1 ?… l’OMS bien sûr !
Eh ! Les gars de l’OMS, faites gaffe ! Vous allez finir par l’avoir, votre pandémie mortelle, si vous continuez comme ça !
Alors quand jeudi 6 août dernier, l’AFP nous informe avec trompette et tambour, que Baxter annonce avoir terminé la production de ses premiers lots de vaccins contre le virus de la grippe A… Bizarre… ça ne me rassure pas du tout… Et ça aurait même plutôt tendance à m’inquiéter.
Mais à quoi y jouent à l’OMS ? Surtout que le 7 juillet dernier, ce même OMS, qui coordonne les activités des laboratoires privés dans le cadre de la production de vaccins, organisait une réunion extraordinaire d’un groupe consultatif bondé de dirigeants de Baxter, Novartis et Sanofi. Au sortir de cette réunion, l’OMS à tout bonnement refusé de communiquer le procès verbal. Tout ce qui a filtré, c’est que l’organisation travaille d’arrache-pied à la mise en place de l’obligation vaccinale contre la future pandémie, dans tous les pays signataires de sa charte.
Mais que cache cette obsession pour une vaccination systématique ? Pour chercher à répondre à cette question, faisons un petit retour sur l’histoire, jusqu’au début du XXème siècle et plus précisément entre 1918 et 1919.
À cette époque la pandémie de grippe espagnole avait causé la mort de 20 à 50 millions de personnes. 50% de la population mondiale avait été affectée. Pourquoi faire le lien avec la grippe A ? Tout simplement parce que les deux virus présentent des similitudes. Comme la grippe A, la grippe espagnole était du sous-type H1N1. Par ailleurs, la grippe espagnole était aussi une combinaison de virus aviaires, porcins et humains.
À l’époque, les événements étaient assez similaires, l’Europe et le monde occidental étaient en crise (guerre 14-18). Seule l’Espagne qui n’était pas en guerre publia des articles sur cette pandémie de grippe qui sévissait dans le pays, mais aussi dans toute Europe. C’est de là que vient le surnom de grippe Espagnole. En fait, la guerre de 14 fut utilisée comme le vaste chantier de la première grande expérimentation d’une vaccination de masse. Les fabricants de vaccins lancèrent une grande campagne de lobbying auprès des pouvoirs politiques des États en conflit. Une vaccination systématique fut appliquée aux contingents militaires de plusieurs pays en raison, disait-on à l’époque, de leur exposition sur les champs de bataille à de nombreux risques. Malgré la censure militaire, on sut que nombreux furent les soldats qui après avoir été vaccinés, moururent de maladie avant même d’avoir foulé le champ de bataille ou rentrèrent gravement malades dans leur foyer. Les premiers cas apparurent dans les contingents US vaccinés sur le territoire états-unien.
Dans son livre Exposition à la grippe porcine, le docteur Eleanor McBean (USA) qui enquêta sur la grippe espagnole écrit :
« J’ai entendu dire que sept hommes se sont écroulés complètement dans le bureau d’un docteur, après avoir été vaccinés. C’était dans un camp de l’armée, alors j’ai écrit au gouvernement pour vérifier cette information. Ils m’ont envoyé le rapport du secrétaire des États-Unis de guerre, Henry L. Stimson. Le document a non seulement confirmé le rapport des sept personnes qui se sont laissées tomber complètement, à la suite des vaccins, mais il a aussi confirmé qu’il y avait eu 63 décès et 28 585 cas d’hépatite par le résultat direct du vaccin de la fièvre jaune, seulement 6 mois après la guerre. C’était seulement une des 14 à 25 piqûres données aux soldats. Nous pouvons imaginer les dommages que toutes ces piqûres ont fait aux hommes »
…
« Les maladies provoquées par les nombreux vaccins ont dérouté les médecins, car ils n’avaient jamais connu une telle série de vaccinations avant celles-là.
La nouvelle maladie qu’ils avaient créée a provoqué les symptômes de toutes les maladies qu’ils avaient injectées à l’homme : fièvre élevée, faiblesses extrêmes, éruption abdominale et perturbation intestinale, caractéristiques de la typhoïde. Le vaccin de la diphtérie a causé la congestion des poumons, les froids et la fièvre, la gorge gonflée et endolorie obstruée avec la fausse membrane, et l’étouffement d’obstruction, en raison de la difficulté de respiration suivie de la mort, après quoi le corps tournait au noir, à cause du sang stagnant qui avait été privé d’oxygène dans les périodes d’étouffement. Au début, ils l’ont appelé « la mort noire ».
Les autres vaccins provoquaient leurs propres réactions : paralysie, dommages de cerveau, tétanos, etc. »
Au sortir de la guerre, les fabricants de vaccins n’avaient pas écoulé tous leurs stocks. Qu’à cela ne tienne ! On vaccina la population civile qui fut prise d’une véritable psychose quant aux risques infectieux liés aux pauvres soldats malades. En fait, aujourd’hui, de nombreux experts, après études des archives de l’époque, suspectent la vaccination de masse d’être à l’origine de l’escalade mutante de divers bacilles infectieux qui aboutirent au virus tueur de la grippe espagnole. La majorité des témoignages de l’époque font ressortir une large propagation de la contamination chez les individus vaccinés, alors que la plupart des gens épargnés par la maladie ne l’étaient pas…
Et pour l’épidémie de grippe porcine de 1976 aux USA ?…
Même scénario ! Premiers cas de malades dans le contingent d’une base militaire. Mort d’un soldat trop rapidement attribué à la grippe porcine (il fut prouvé par la suite que cette mort n’avait aucun rapport avec la grippe). Déclenchement d’une véritable campagne gouvernementale pour la vaccination de masse. Et, et, et… finalement la pandémie n’eut pas lieu, mais nombreux furent les malades, les paralytiques et même les cas de décès. Et encore une fois tous suite à la vaccination…
Alors, c’est quoi le projet ? C’est quand même curieux que cette pandémie arrive justement au moment où le système économique et financier risque de s’effondrer !
Eugénisme
Depuis la réunion du Club de Rome en 1968 et les conclusions très eugénistes de son rapport, le développement démographique obsède l’hyper classe financière.
Pour vous donner une petite idée des réflexions que suscitèrent à certains de ses participants les conclusions de cette réunion, voici ce que déclara, le 3 février 1987, Robert McNamara (ancien secrétaire d’État US et ancien président de la Banque mondiale) :
« Il faut prendre des mesures draconiennes de réduction démographique contre la volonté des populations.
Réduire les taux de natalité s’est avéré impossible ou insuffisant.
Il faut donc augmenter le taux de mortalité. Comment ? Par des moyens naturels : la famine et la maladie. »
Dans la droite ligne du Club de Rome, à New York le 5 mai dernier, le Club des Milliardaires se réunissait. Et ce ne sont pas les conséquences de la crise financière qui animaient les débats de nos oligarques, non non… mais la surpopulation mondiale. Elle serait « la cause supérieure qui englobe les autres ».
Il se dégage de ces petits cercles de pouvoir, un inquiétant intérêt à voir la convergence de ces deux fléaux (Weimar planétaire (Attali) et pandémie mondiale).
Et notre satellite relais de l’oligarchie mondiale, sieur Attali, ne pouvant retenir ses pulsions « prophétiques », tel un mage noir du Nouvel Ordre Mondial, de confier sur le blog de l’express :
« L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur : elle met alors d’abord en place des mécanismes de défense ; parfois intolérables (des boucs émissaires et des totalitarismes) ; parfois futiles (de la distraction) ; parfois efficaces (des thérapeutiques, écartant si nécessaire tous les principes moraux antérieurs). Puis, une fois la crise passée, elle transforme ces mécanismes pour les rendre compatibles avec la liberté individuelle, et les inscrire dans une politique de santé démocratique…
…La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes..
…Si elle est un peu plus grave, ce qui est possible, puisqu’elle est transmissible par l’homme, elle aura des conséquences véritablement planétaires…
…Et, même si, comme il faut évidemment l’espérer, cette crise n’est pas très grave, il ne faudra pas oublier, comme pour la crise économique, d’en tirer les leçons, pour qu’avant la prochaine, inévitable, on mette en place des mécanismes de prévention et de contrôle et des processus logistiques de distribution équitable des médicaments et des vaccins. On devra pour cela mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. »
Nous arrivons visiblement à la croisée des chemins entre un système de développement dominé par le mythe de la croissance illimitée au seul profit d’une petite « caste », siphonnant systématiquement les richesses produites et une démographie mondiale galopante devenue trop encombrante pour cette même « caste » arrivée à la toute-puissance de détenir assez de richesses pour racheter plusieurs fois la planète.
Et avec une telle richesse… c’est un pouvoir immense que l’on détient… Et pourquoi pas, celui des dieux… faire et défaire des mondes.
Tout ça sent mauvais… très mauvais…
Alors ! Des volontaires pour la picouse ?!…
Pour conclure sur le sentiment que m’inspire ce faisceau de coïncidences des plus inquiétantes, je reprendrais Jean-Marie Bigard qui, à la fin de sa démonstration sur le 11 septembre, nous assénait cette phrase de conclusion :
« Y en a qui avalent… eh ben moi, j’avale pas ! »
Source: Égalité & Réconciliation