COMMENT LE CAPITALISME A-T-IL TRANSFORMÉ NOTRE CORPS EN POUBELLE ?
ELLE EST VITE REMPLIE MAIS ON NE SAIT PAS COMMENT LA VIDER
L’augmentation du nombre des obèses, des malades du cancer et des maladies cardio-vasculaires en France et dans les pays capitalistes en général est un des indicateurs les plus visibles des effets ravageurs et destructeurs du mode de vie capitaliste. La propagande médicale essaie de nous vendre des plats cuisinés prêts à consommer sans savoir ce qu’ils contiennent en réalité. Le corps médical, béquille du système capitaliste, cherche à nous faire croire que nous vivons aujourd’hui dans un monde merveilleux, le meilleur des mondes, où les hommes vivent plus longtemps grâce au progrès de la médecine. Cet argument que nous vivons mieux et plus longtemps grâce ou à cause du progrès de la médecine ne convainc que ceux qui sont déjà convaincus, car la réalité est tout autre chose que celle décrite et assénée par le corps médical. La propagande médicale comme toute propagande est fondée sur des faits et des chiffres. Par exemple, le thème de l’allongement de l’âge est fondé sur des données statistiques et quantitatives, sur ce que l’on appelle les moyennes, en occultant les données qualitatives qui, elles, contredisent radicalement les arguments et les pseudo-explications du corps médical. Quand on dit que les hommes vivent en moyenne plus longtemps que ceux du début du XXe siècle ou qu’il y a aujourd’hui plus de personnes âgées qu’il y a cinquante ou cent ans, le corps médical attribue cette longévité à l’amélioration de la qualité de vie des hommes ou au progrès de la médecine. Ce phénomène de vieillissement des populations est passible d’interprétations différentes si l’on intègre la variable démographique, c’est-à-dire l’augmentation vertigineuse du nombre des hommes sur la terre mais aussi la natalité galopante dans les pays industriels. Prenons le cas de la France. Si l’espérance de vie s’est allongée en moyenne, ce n’est pas à cause du progrès de la médecine mais à cause de la variable démographique où la population française a presque doublé en quarante ans. S’il y a aujourd’hui en moyenne plus de personnes âgées qu’il y a quarante ans, cela s’explique par une variable statistique soumise à la loi de distribution de probabilité de Laplace, de Huygens et de Bernouilli. Quand on dit que l’espérance de vie a plus que doublé pour atteindre 67 ans en moyenne mondiale et 80 ans pour les pays développés, ces moyennes sont des coefficients de pondération et une moyenne n’est autre chose qu’une simple espérance mathématique. Le corps médical fait tout simplement de la propagande en cherchant à interpréter comme bon lui semble les chiffres et les moyennes mais la réalité dans laquelle vivent les hommes aujourd’hui est tout autre et malheureusement elle est bien plus sombre que celle présentée et propagée par la propagande médicale. Si l’on prend l’exemple du cancer, on découvre qu’il fait tous les ans 1200 morts de plus. Si la médecine était si efficace, il n’y aurait pas eu ces 1200 morts de plus. Logiquement le dépistage précoce des cancers aurait dû réduire le nombre des cancéreux. Or c’est le contraire qui se produit et il faudra expliquer ce phénomène d’augmentation qui est dû à un environnement toxique et aux différentes pollutions dont nous sommes quotidiennement les victimes. Si nous vivions dans le monde merveilleux de la propagande médicale, il n’y aurait pas eu autant de candidats au cancer dont le nombre représente la moitié des candidats au bac, c’est-à-dire 300 000 par an.
Malheureusement, nous vivons aujourd’hui non pas dans le monde féerique et paradisiaque de la propagande médicale mais dans un monde cauchemardesque et dans un environnement toxigène à bien des égards. Dire que nous vivons dans un environnement toxigène ne suffit pas, encore faut-il dire aussi qui en est la cause. Celle-ci n’est pas difficile à trouver, c’est le mode de production capitaliste dont nous subissons les effets désastreux et destructeurs depuis plus de deux siècles. Le système capitaliste est la seule cause de la destruction de la planète et de la dégradation du cadre et de la qualité de vie des hommes. Il est le seul responsable des pollutions de l’air, de l’eau et le sol. Quand l’homme, l’animal et le végétal sont victime des toutes ces agressions extérieures, il serait étonnant que nous vivions dans le meilleur des mondes. Il n’est pas possible dans le cadre de cet article d’analyser tous les effets ravageurs du système capitalisme, nous allons nous contenter de quelque chose qui nous est familier le corps humain. Comme tout organisme vivant, le corps humain a besoin de carbone, d’oxygène, d’azote et d’hydrogène fournis par l’air, l’eau et les aliments. Quand l’homme respire, il respire de l’air pollué et quand il s’alimente, il absorbe une myriade de substances indésirables qui sont les produits toxiques, de poisons (intoxication) et de substances toxines(intoxination).
L’air pollué que l’on respire qui est d’une prodigieuse complexité est formé de ce que l’on appelle le « smog », un cocktail de poussières et de gaz industriels. Le smog est responsable des affections pulmonaires et des cancers tels que le cancer du poumon qui est la première cause de décès en France avec 27 000 par an. Les campagnes officielles contre le tabagisme est une manière de divertir sur la vraie cause du cancer du poumon qui n’est pas due uniquement au tabac mais à l’air pollué, le smog. L’atmosphère de la ville est polluée par l’anhydride sulfureux qui, une fois oxydé, devient de l’acide sulfurique pur et simple, ou encore des poussières, d’oxyde de carbone dont le seuil dangereux est aujourd’hui largement dépassé. Les poussières industrielles en suspension dans l’air filtrent le rayonnement ultraviolet au point que celui-ci est à 0,3% de son énergie dans les villes contre 4 % à la campagne. Il s’ensuit une prolifération des germes et une augmentation des cas d’anémie, les poumons et les la peau des citadins étant exposés à une plus forte agression microbienne.
INTOXINATION DU CORPS HUMAIN
De la même façon que l’air, l’alimentation de l’homme est empoisonné par une myriade de substances toxines et toxiques. Les toxines sont des déchets et des résidus issus des métabolismes. Contrairement à l’intoxination(les produits toxines), notre corps est victime de substances extérieures et étrangères au fonctionnement de l’organisme, ce sont les produits toxiques. Pour éliminer les produits toxines(intoxination), notre organisme possède des organes spécialisés dans leur élimination : le foie, les reins, les poumons et la peau. La présence des toxines dans notre organisme est un phénomène naturel dès lors qu’ils ne dépassent un certain seuil. Mais dès que ce seuil est dépassé, les substances toxines agissent comme du poison sur les tissus et les organes, encrassent et grippent les rouages et les mécanismes de notre « moteur organique et biologique ».
La principale source des toxines est les aliments. Pour pouvoir vivre au quotidien, nous sommes obligés de boire et de manger. L’eau que nous buvons est une eau polluée par les nitrates, les engrais et les déjections animales en provenance de l’agriculture et de l’élevage intensifs et qui s’infiltrent dans les nappes phréatiques et dans les eaux de surface. Les nitrates qui se trouvent dans l’eau résultent de la transformation des nitrites sous l’influence des bactéries produisant elles-mêmes des nitrosamines qui sont des substances cancérogènes. Les nitrosamines se retrouvent dans les charcuteries et indirectement dans l’eau, les fruits e les légumes. Les N-nitrités sont des agents cancérogènes utilisés par les laboratoires pharmaceutiques pour provoquer expérimentalement des tumeurs cérébrales en laboratoire.
Après l’eau, il y a la nourriture. Pour vendre leurs produits industriels, l’industrie agroalimentaire incite à la consommation soit par prix alléchants soit par la publicité. Dans les sociétés industrielles, des habitudes alimentaires incitent à la surconsommation et à la consommation de n’importe quoi. La suralimentation n’est pas seulement source d’obésité comme veut nous le faire croire la propagande médicale mais d’accumulation de toxines, c’est-à-dire d’intoxination dont sont victimes aussi bien les obèses que ceux qui ont un poids normal. Aujourd’hui, le seuil d’intoxination est vite atteint à cause des habitudes alimentaires qui incitent à manger beaucoup trop à ce qui est nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme. C’est parce que le tube digestif est saturé que se froment de fermentations et des putréfactions comme l’acide pyruvique, les scantols, les indols, les phénols, les ptomaines qui sont des poisons violents. Il y a aussi une autre explication la consommation des quantités excessives d’aliments, c’est leur pauvreté de leur valeur nutritionnelle due à l’épuisement du sol, à la pollution du sol par les insecticides, les pesticides, les dioxines. Du fait de leur pauvreté nutritionnelle, les hommes sont obligés de consommer plus que par le passé pour couvrir leurs besoins quotidiens en vitamines, car en mangeant les « faux aliments » offerts par l’industrie agroalimentaire, les hommes négligent les vrais aliments qui sont nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme. Avec la bénédiction et la caution « scientifique » du corps médical, l’industrie agro-alimentaire et le pouvoir politique poussent à consommer de la viande, du lait et des produits laitiers dérivés qui proviennent des animaux d’élevage, des animaux malades bourrés d’antibiotiques.
INTOXICATION DU CORPS HUMAIN
L’intoxication est le produit d’un environnement toxique et toxigène. Outre l’air pollué que l’on respire, nous sommes quotidiennement intoxiqués par des substances toxiques. Les aliments consommés par les hommes proviennent des sources des eaux, de l’air et des sols pollués. Lorsque nous mangeons, nous ingérons non seulement les aliments mais les poisons qu’ils contiennent contribuant ainsi à élever dangereusement le taux de déchets toxiques dans nos tissus et dans nos organes. Les cultures sont sans cesse l’objet de traitements aux insecticides, herbicides, fongicides etc. Dans les élevages, les animaux sont surmédicamentés à cause des antibiotiques pour pouvoir survivre aux conditions atroces dont ils sont victimes et pour accélérer leur prise de poids(hormones). Ces médicaments se retrouvent fatalement dans les chairs que les hommes consomment et en partie dans les produits animaux dérivés comme els œufs, le lait et les produits laitiers. Dans les aliments que nous ingérons, il existe un cocktail de produits chimiques, des colorants, des émulsifiants, des exhausteurs de goût et de saveur, agents de sapidité, des stabilisateurs, des antioxydants, des anti-rances, des agents conservateurs etc. Pour ne pas effrayer le consommateur, tous ces produits chimiques qui sont en réalité des poisons sont dissimulés sous forme de lettres et de chiffres comme els sulfites (E 220 à 227), acides benzoïques( E 210 à 219) ou les cyclamates(E 952), édulcorant de synthèse interdit aux Etats-Unis en 1970. L’industrie agroalimentaire utilise des centaines d’additifs dont certains sont certes anodins mais d’autres possèdent une toxicité certaine et connue. Les insecticides inhibent l’assimilation de la vitamine A par l’organisme dont la carence est compensée par les produits diététiques vendus dans les grandes surfaces.
Ce sont tous ces déchets qui empêchent le bon fonctionnement de notre organisme et qui « encrassent » et « grippent » les différents rouages de notre moteur organique qui sont les cellules et les organes. Lorsque les déchets accumulés sont normalement éliminés par le foie, les intestins, les reins, les glandes sudoripares et par les voies respiratoires, tout fonctionne normalement. Mais lorsque les déchets s’accumulent et s’entassent, les émonctoires devenant ainsi incapables de faire face à un afflux massif de déchets charriés par le sang et qui pénètrent dans la lymphe et les sérums cellulaires. Au bout d’un certain temps, les cellules sont noyés par les déchets toxiques qui empêchent l’approvisionnement normal des cellules en oxygène et en substances nutritives. Dans ces conditions, les voies de passage et circulation entre les différentes parties du corps sont bouchées et les cellules ne peuvent plus fonctionner normalement ni les organes qu’elles constituent non plus. Ce sont ces surcharges qui provoquent des maladies dont nous sommes victimes, des maladies qui ne sont pas d’origine microbienne. Car la propagande médicale fait du tapage autour des maladies microbiennes pour faire peur alors que les maladies qui n’ont pas dues aux microbes sont beaucoup plus meurtrières et ravageuses. Le cancer et les maladies ne sont pas des maladies d’origine microbienne et pourtant ils constituent la deuxième cause de mortalité en France et la première chez les hommes avec 150 000 morts en France, 500 000 aux Etats-Unis et 7 millions dans le monde. Ce ne sont ni Staline ni le communisme qui sont responsables de ces millions de morts fauchés par le cancer et les maladies cardio vasculaires mais le capitalisme qui, outre les millions de morts sur les champs de bataille, a entraîné la destruction de la planète en polluant les eaux, les sols et l’air. Ces différentes sortes pollutions pénètrent qu’on le veuille ou non dans notre corps devenu une poubelle et une déchetterie pour le bonheur de quelques grands pollueurs(industries agroalimentaires, industries chimiques, industries automobiles, industries aéronautiques etc.) qui envoient tous les ans aux cimetières des millions de morts.
FAOUZI ELMIR
ELLE EST VITE REMPLIE MAIS ON NE SAIT PAS COMMENT LA VIDER
L’augmentation du nombre des obèses, des malades du cancer et des maladies cardio-vasculaires en France et dans les pays capitalistes en général est un des indicateurs les plus visibles des effets ravageurs et destructeurs du mode de vie capitaliste. La propagande médicale essaie de nous vendre des plats cuisinés prêts à consommer sans savoir ce qu’ils contiennent en réalité. Le corps médical, béquille du système capitaliste, cherche à nous faire croire que nous vivons aujourd’hui dans un monde merveilleux, le meilleur des mondes, où les hommes vivent plus longtemps grâce au progrès de la médecine. Cet argument que nous vivons mieux et plus longtemps grâce ou à cause du progrès de la médecine ne convainc que ceux qui sont déjà convaincus, car la réalité est tout autre chose que celle décrite et assénée par le corps médical. La propagande médicale comme toute propagande est fondée sur des faits et des chiffres. Par exemple, le thème de l’allongement de l’âge est fondé sur des données statistiques et quantitatives, sur ce que l’on appelle les moyennes, en occultant les données qualitatives qui, elles, contredisent radicalement les arguments et les pseudo-explications du corps médical. Quand on dit que les hommes vivent en moyenne plus longtemps que ceux du début du XXe siècle ou qu’il y a aujourd’hui plus de personnes âgées qu’il y a cinquante ou cent ans, le corps médical attribue cette longévité à l’amélioration de la qualité de vie des hommes ou au progrès de la médecine. Ce phénomène de vieillissement des populations est passible d’interprétations différentes si l’on intègre la variable démographique, c’est-à-dire l’augmentation vertigineuse du nombre des hommes sur la terre mais aussi la natalité galopante dans les pays industriels. Prenons le cas de la France. Si l’espérance de vie s’est allongée en moyenne, ce n’est pas à cause du progrès de la médecine mais à cause de la variable démographique où la population française a presque doublé en quarante ans. S’il y a aujourd’hui en moyenne plus de personnes âgées qu’il y a quarante ans, cela s’explique par une variable statistique soumise à la loi de distribution de probabilité de Laplace, de Huygens et de Bernouilli. Quand on dit que l’espérance de vie a plus que doublé pour atteindre 67 ans en moyenne mondiale et 80 ans pour les pays développés, ces moyennes sont des coefficients de pondération et une moyenne n’est autre chose qu’une simple espérance mathématique. Le corps médical fait tout simplement de la propagande en cherchant à interpréter comme bon lui semble les chiffres et les moyennes mais la réalité dans laquelle vivent les hommes aujourd’hui est tout autre et malheureusement elle est bien plus sombre que celle présentée et propagée par la propagande médicale. Si l’on prend l’exemple du cancer, on découvre qu’il fait tous les ans 1200 morts de plus. Si la médecine était si efficace, il n’y aurait pas eu ces 1200 morts de plus. Logiquement le dépistage précoce des cancers aurait dû réduire le nombre des cancéreux. Or c’est le contraire qui se produit et il faudra expliquer ce phénomène d’augmentation qui est dû à un environnement toxique et aux différentes pollutions dont nous sommes quotidiennement les victimes. Si nous vivions dans le monde merveilleux de la propagande médicale, il n’y aurait pas eu autant de candidats au cancer dont le nombre représente la moitié des candidats au bac, c’est-à-dire 300 000 par an.
Malheureusement, nous vivons aujourd’hui non pas dans le monde féerique et paradisiaque de la propagande médicale mais dans un monde cauchemardesque et dans un environnement toxigène à bien des égards. Dire que nous vivons dans un environnement toxigène ne suffit pas, encore faut-il dire aussi qui en est la cause. Celle-ci n’est pas difficile à trouver, c’est le mode de production capitaliste dont nous subissons les effets désastreux et destructeurs depuis plus de deux siècles. Le système capitaliste est la seule cause de la destruction de la planète et de la dégradation du cadre et de la qualité de vie des hommes. Il est le seul responsable des pollutions de l’air, de l’eau et le sol. Quand l’homme, l’animal et le végétal sont victime des toutes ces agressions extérieures, il serait étonnant que nous vivions dans le meilleur des mondes. Il n’est pas possible dans le cadre de cet article d’analyser tous les effets ravageurs du système capitalisme, nous allons nous contenter de quelque chose qui nous est familier le corps humain. Comme tout organisme vivant, le corps humain a besoin de carbone, d’oxygène, d’azote et d’hydrogène fournis par l’air, l’eau et les aliments. Quand l’homme respire, il respire de l’air pollué et quand il s’alimente, il absorbe une myriade de substances indésirables qui sont les produits toxiques, de poisons (intoxication) et de substances toxines(intoxination).
L’air pollué que l’on respire qui est d’une prodigieuse complexité est formé de ce que l’on appelle le « smog », un cocktail de poussières et de gaz industriels. Le smog est responsable des affections pulmonaires et des cancers tels que le cancer du poumon qui est la première cause de décès en France avec 27 000 par an. Les campagnes officielles contre le tabagisme est une manière de divertir sur la vraie cause du cancer du poumon qui n’est pas due uniquement au tabac mais à l’air pollué, le smog. L’atmosphère de la ville est polluée par l’anhydride sulfureux qui, une fois oxydé, devient de l’acide sulfurique pur et simple, ou encore des poussières, d’oxyde de carbone dont le seuil dangereux est aujourd’hui largement dépassé. Les poussières industrielles en suspension dans l’air filtrent le rayonnement ultraviolet au point que celui-ci est à 0,3% de son énergie dans les villes contre 4 % à la campagne. Il s’ensuit une prolifération des germes et une augmentation des cas d’anémie, les poumons et les la peau des citadins étant exposés à une plus forte agression microbienne.
INTOXINATION DU CORPS HUMAIN
De la même façon que l’air, l’alimentation de l’homme est empoisonné par une myriade de substances toxines et toxiques. Les toxines sont des déchets et des résidus issus des métabolismes. Contrairement à l’intoxination(les produits toxines), notre corps est victime de substances extérieures et étrangères au fonctionnement de l’organisme, ce sont les produits toxiques. Pour éliminer les produits toxines(intoxination), notre organisme possède des organes spécialisés dans leur élimination : le foie, les reins, les poumons et la peau. La présence des toxines dans notre organisme est un phénomène naturel dès lors qu’ils ne dépassent un certain seuil. Mais dès que ce seuil est dépassé, les substances toxines agissent comme du poison sur les tissus et les organes, encrassent et grippent les rouages et les mécanismes de notre « moteur organique et biologique ».
La principale source des toxines est les aliments. Pour pouvoir vivre au quotidien, nous sommes obligés de boire et de manger. L’eau que nous buvons est une eau polluée par les nitrates, les engrais et les déjections animales en provenance de l’agriculture et de l’élevage intensifs et qui s’infiltrent dans les nappes phréatiques et dans les eaux de surface. Les nitrates qui se trouvent dans l’eau résultent de la transformation des nitrites sous l’influence des bactéries produisant elles-mêmes des nitrosamines qui sont des substances cancérogènes. Les nitrosamines se retrouvent dans les charcuteries et indirectement dans l’eau, les fruits e les légumes. Les N-nitrités sont des agents cancérogènes utilisés par les laboratoires pharmaceutiques pour provoquer expérimentalement des tumeurs cérébrales en laboratoire.
Après l’eau, il y a la nourriture. Pour vendre leurs produits industriels, l’industrie agroalimentaire incite à la consommation soit par prix alléchants soit par la publicité. Dans les sociétés industrielles, des habitudes alimentaires incitent à la surconsommation et à la consommation de n’importe quoi. La suralimentation n’est pas seulement source d’obésité comme veut nous le faire croire la propagande médicale mais d’accumulation de toxines, c’est-à-dire d’intoxination dont sont victimes aussi bien les obèses que ceux qui ont un poids normal. Aujourd’hui, le seuil d’intoxination est vite atteint à cause des habitudes alimentaires qui incitent à manger beaucoup trop à ce qui est nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme. C’est parce que le tube digestif est saturé que se froment de fermentations et des putréfactions comme l’acide pyruvique, les scantols, les indols, les phénols, les ptomaines qui sont des poisons violents. Il y a aussi une autre explication la consommation des quantités excessives d’aliments, c’est leur pauvreté de leur valeur nutritionnelle due à l’épuisement du sol, à la pollution du sol par les insecticides, les pesticides, les dioxines. Du fait de leur pauvreté nutritionnelle, les hommes sont obligés de consommer plus que par le passé pour couvrir leurs besoins quotidiens en vitamines, car en mangeant les « faux aliments » offerts par l’industrie agroalimentaire, les hommes négligent les vrais aliments qui sont nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme. Avec la bénédiction et la caution « scientifique » du corps médical, l’industrie agro-alimentaire et le pouvoir politique poussent à consommer de la viande, du lait et des produits laitiers dérivés qui proviennent des animaux d’élevage, des animaux malades bourrés d’antibiotiques.
INTOXICATION DU CORPS HUMAIN
L’intoxication est le produit d’un environnement toxique et toxigène. Outre l’air pollué que l’on respire, nous sommes quotidiennement intoxiqués par des substances toxiques. Les aliments consommés par les hommes proviennent des sources des eaux, de l’air et des sols pollués. Lorsque nous mangeons, nous ingérons non seulement les aliments mais les poisons qu’ils contiennent contribuant ainsi à élever dangereusement le taux de déchets toxiques dans nos tissus et dans nos organes. Les cultures sont sans cesse l’objet de traitements aux insecticides, herbicides, fongicides etc. Dans les élevages, les animaux sont surmédicamentés à cause des antibiotiques pour pouvoir survivre aux conditions atroces dont ils sont victimes et pour accélérer leur prise de poids(hormones). Ces médicaments se retrouvent fatalement dans les chairs que les hommes consomment et en partie dans les produits animaux dérivés comme els œufs, le lait et les produits laitiers. Dans les aliments que nous ingérons, il existe un cocktail de produits chimiques, des colorants, des émulsifiants, des exhausteurs de goût et de saveur, agents de sapidité, des stabilisateurs, des antioxydants, des anti-rances, des agents conservateurs etc. Pour ne pas effrayer le consommateur, tous ces produits chimiques qui sont en réalité des poisons sont dissimulés sous forme de lettres et de chiffres comme els sulfites (E 220 à 227), acides benzoïques( E 210 à 219) ou les cyclamates(E 952), édulcorant de synthèse interdit aux Etats-Unis en 1970. L’industrie agroalimentaire utilise des centaines d’additifs dont certains sont certes anodins mais d’autres possèdent une toxicité certaine et connue. Les insecticides inhibent l’assimilation de la vitamine A par l’organisme dont la carence est compensée par les produits diététiques vendus dans les grandes surfaces.
Ce sont tous ces déchets qui empêchent le bon fonctionnement de notre organisme et qui « encrassent » et « grippent » les différents rouages de notre moteur organique qui sont les cellules et les organes. Lorsque les déchets accumulés sont normalement éliminés par le foie, les intestins, les reins, les glandes sudoripares et par les voies respiratoires, tout fonctionne normalement. Mais lorsque les déchets s’accumulent et s’entassent, les émonctoires devenant ainsi incapables de faire face à un afflux massif de déchets charriés par le sang et qui pénètrent dans la lymphe et les sérums cellulaires. Au bout d’un certain temps, les cellules sont noyés par les déchets toxiques qui empêchent l’approvisionnement normal des cellules en oxygène et en substances nutritives. Dans ces conditions, les voies de passage et circulation entre les différentes parties du corps sont bouchées et les cellules ne peuvent plus fonctionner normalement ni les organes qu’elles constituent non plus. Ce sont ces surcharges qui provoquent des maladies dont nous sommes victimes, des maladies qui ne sont pas d’origine microbienne. Car la propagande médicale fait du tapage autour des maladies microbiennes pour faire peur alors que les maladies qui n’ont pas dues aux microbes sont beaucoup plus meurtrières et ravageuses. Le cancer et les maladies ne sont pas des maladies d’origine microbienne et pourtant ils constituent la deuxième cause de mortalité en France et la première chez les hommes avec 150 000 morts en France, 500 000 aux Etats-Unis et 7 millions dans le monde. Ce ne sont ni Staline ni le communisme qui sont responsables de ces millions de morts fauchés par le cancer et les maladies cardio vasculaires mais le capitalisme qui, outre les millions de morts sur les champs de bataille, a entraîné la destruction de la planète en polluant les eaux, les sols et l’air. Ces différentes sortes pollutions pénètrent qu’on le veuille ou non dans notre corps devenu une poubelle et une déchetterie pour le bonheur de quelques grands pollueurs(industries agroalimentaires, industries chimiques, industries automobiles, industries aéronautiques etc.) qui envoient tous les ans aux cimetières des millions de morts.
FAOUZI ELMIR