berserk14 19/9/2009, 18:50
Pour l'eau, il n'y a qu'à faire décantation .
Ou réchauffer l'eau, d'ailleur en chine on la boit chaude .
Pour les provisions, voir les surplus militaires, on peut avoir des boites avec des rations variées, valables jusqu'en 2015, environ une vingtaine de produits, pour quelque chose comme 15 € la boite .
Dans une guerre, il ne faut pas hésiter à piller ...
Déja s'entrainer à vivre en situations .
Voici quelques romans survivalistes, en tant que primitiviste je recommande "Ravages" :
Edmund Cooper : « Le jour des fous ». Marabout. « Un beau jour d’été, comme s’il était las de briller et de sourire à l’Angleterre, le soleil émet des radiations effroyables qui poussent la quasi totalité de la population au suicide. Curieusement les fous, les obsédés, les déclassés … échappent à l’épidémie. Dans ce monde rendu à la bestialité, livré à la démence et au meurtre, il reste pourtant un homme apparemment « lucide ». Et le voici condamné à survivre. »
René Barjavel : « Ravage ». Folio. Nous sommes en 2052, dans un futur technologique, dominé par la chimie et les machines. Dans les sous sols d’une caserne, le feu prend dans le dépôt de munitions et un laboratoire de recherches. Une formidable explosion entrouvre la colline, des tonnes de débris font des milliers de victimes. La civilisation s’écroule. Les protagonistes doivent d’abord survivre, sortir d’une ville où règnent la violence, le crime et le désarroi le plus total et ensuite reconstruire une civilisation pastorale.
Christian Malbosse : « Le soldat traqué ». Livre de Poche. Le livre dont j’ai parlé l’autre jour. A la fin de la guerre, pour Christian, rescapé d’une section de Waffen SS français, il n’est pas question de se rendre aux Russes et il lui est impossible de rentrer en France. Dans des conditions épouvantables, il survivra trois ans caché dans les forêts allemandes.
Ferdynand Ossendowski : « Bêtes, Hommes et Dieux ». Phébus. »Krasnoïarsk (Sibérie centrale), hiver 1920. L’homme vient d’apprendre qu’on l’a dénoncé aux Rouges, et que le peloton d’exécution l’attend. Il prend son fusil, fourre quelques cartouches dans la poche de sa pelisse, sort dans le froid glacial -et gagne la forêt. Son but : gagner à pied l’Inde anglaise à travers l’immensité sibérienne, puis les passes de Mongolie, puis le désert de Gobi, puis le plateau tibétain, puis l’Himalaya… »
Slavomir Rawicz : « A marche forcée ». Phébus. Hiver 1941. Une petite troupe de bagnards s’évade d’un camp russe situé tout près bdu Cercle polaire. Ils ne connaissent pas grand chose à la géographie. Ils songent « simplement » à gagner à pied l’Inde anglaise : le soleil, pensent-ils, leur indiquera au moins la direction du sud. Aucun d’eux n’est capable, sur les milliers de kilomètres qu’il leur faut parcourir -ils y mettront deux ans- de situer le désert de Gobi… que plusieurs réussiront pourtant à franchir sans provision d’eau. »