Dans la nuit des 25 et 27 Décembre 1999,
deux ouragans d'une violence exceptionnelle s'abattaient sur la France, alors que le pays s'apprêtait à célébrer le passage à l'An 2000.
Au lendemain de ces tempêtes, le réseau électrique est anéanti,
et une grande partie des forêts sont complètement dévastées,
offrant un paysage apocalyptique d'arbres arrachés ou décapités.
Ces tempêtes pourraient avoir été provoquées par une arme climatique,
utilisée afin de sanctionner l'attitude récalcitrante de la France
sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l'AMI...
Un phénomène météorologique très inhabituel
D'après les déclarations d'un ingénieur de Météo France
dans un documentaire diffusé par France 3 en décembre 2004,
la première tempête avait la configuration d'un cyclone,
ce qui est normalement impossible sur l'Atlantique nord en hiver
car les cyclones ont besoin de survoler une mer chaude pour se former.
De plus, ce "cyclone" s'est déplacé très rapidement d'Ouest en Est,
à une vitesse de 100 km/h, alors qu'un cyclone normal se déplace lentement.
Enfin, il s'est accompagné d'une "fantastique baisse de la pression atmosphérique",
selon les déclarations d'un ingénieur de Météo France qui ajoute:
"un tel phénomène, je n'en avais jamais vu, ni même entendu parler".
(source: documentaire sur les tempêtes de décembre 5 ans après, diffusé par France 3 en décembre 2004)
La seconde tempête représentait également un phénomène météo très inhabituel,
avec un jet stream exceptionnellement rapide, et qui, de plus,
est descendu en basse couche, ce qui n'est pas censé se produire.
La photo satellite de 18 heures du 27 Décembre montre très bien ce jet stream,
formant une aiguille d'environ 1200 km de long et arrivant perpendiculairement à la côte atlantique.
Les modélisations 3D réalisées par Météo France sont également très intéressantes
et montrent à quel point la configuration météorologique avait l'efficacité d'une machine de guerre.
Enfin, le fait que ces deux "tempêtes" aient eu lieu à seulement deux jours d'intervalle
est pour le moins étrange.
Commentaire de l'ingénieur de Météo France cité plus haut:
"C'est tellement peu fréquent qu'il y ait deux tempêtes d'une intensité aussi forte
en un intervalle aussi court qu'on a du mal à le croire".
L'existence des armes climatiques a été implicitement reconnue dans un traité international de désarmement, et dans un rapport européen.
Un traité international adopté en 1977 sous le nom de "convention ENMOD" (notez démon),
interdit expressément le développement d'armes "de nature à influencer le climat".
Le fait que ce type d'armes soit mentionné dans cet accord
indique que leur existence n'est pas de la science-fiction.
HAARP a également fait l'objet d'une résolution du parlement européen en janvier 1999.
Les armes climatiques pourraient avoir été développées sur la base des travaux du physicien Nikola Tesla sur l'électromagnétisme et sur la ionosphère
Un rapport nommé US Air Force 2025 datant d'août 1996
a pour objectif le contrôle de la météo en 2025.
Cet objectif a été confirmé par Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller en politique étrangère
du président Jimmy Carter.
Avec Henry Kissinger, Brzezinski est l'un des principaux concepteurs
de la politique étrangère américaine de domination totale.
Dans son livre "Entre deux époques", Zbigniew Brzezinski écrit:
"la technologie mettra à la disposition des grandes nations
des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives,
dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance.
Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques,
de créer des sécheresses et des tempêtes,
ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel
et le pousser à accepter nos conditions.
Le contrôle de l'espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar
comme enjeux stratégiques majeurs."
Depuis 1995,
l'arme climatique des Etats-Unis en est au stade opérationnel.
La base de Gakona en Alaska, connue sous le nom de "projet HAARP",
est officiellement consacrée à "l'étude" de la ionosphère.
Mais techniquement, elle pourrait tout aussi bien être utilisée de façon opérationnelle.
Cette base comporte un réseau de 180 antennes très spéciales
qui sont notamment capables de générer une onde stationnaire géante autour de la planète.
Avec ses 1,7 gigawatts, HAARP est actuellement l'émetteur le plus puissant de la planète.
Les Etats-Unis prévoient d'augmenter encore cette puissance, pour atteindre les 3,6 gigawatts.
En utilisant des hautes fréquences combinées avec les propriétés réfléchissantes de la ionosphère,
HAARP serait capable de réchauffer localement l'athmosphère à la manière d'un four à micro-ondes.
En augmentant le contraste thermique entre les masses d'air à proximité d'une tempête,
il est possible de transformer celle-ci en ouragan ou en mini-cyclone.
HAARP serait également capable d'orienter et de manipuler un jet stream,
en le faisant onduler et descendre vers les basses couches de l'athmosphère.
La base américaine de Pine Gap en Australie (au centre du désert australien, à 50 km à l'Ouest d'Alice Springs) abriterait également des émetteurs très spéciaux ainsi que la plus profonde antenne souterraine jamais construite.
A partir de l'année 2000, la politique du gouvernement Jospin a changé,
et une fracture avec l'opinion publique s'est développée.
La vérité est peut-être que le pays ayant été mis à genou par ces deux "tempêtes",
la France a été vaincue et n'a pas eu d'autre solution qu'une discrète capitulation,
à l'insu de la population qu'il était préférable de ne pas informer.
Avant les "tempêtes"
Lionel Jospin réaffirme à plusieurs reprises la primauté du politique sur l'économique
La France parvient à influencer de manière décisive
la position des autres pays de l'Union Européenne sur le dossier des OGM,
contribuant à l'échec des négociations de l'OMC à Seattle.
Et surtout, en 1998,
la France se retire des négociations de l'AMI (Accord Multilatéral sur l'Investissement),
provoquant l'échec de ce projet-clé du processus de mondialisation.
Après les "tempêtes"
Lionel Jospin déclare que ce n'est pas le rôle de l'état d'intervenir dans les affaires économiques privées,
même en cas de licenciements massifs provoqués par les délocalisations d'entreprises.
Le gouvernement autorise les cultures d'OGM dans le cadre de la "recherche scientifique".
On a appris récemment que les cultures d'OGM sont aujourd'hui présentes
dans plus de la moitié des départements français.
Le gouvernement émet un avis favorable sur le clonage humain "à des fins thérapeutiques".
Une décision du Conseil d'Etat en Juin 2001 a finalement annulé cette autorisation.
Les négociations de l'AMI n'ont pas repris,
mais le gouvernement Jospin a accepté la modification de l'article 133 du traité d'Amsterdam,
en vue de permettre à la Commission Européenne de négocier à la place des états les futurs accords multilatéraux
de type AMI. Une reformulation de l'AMI est d'ailleurs en cours d'élaboration depuis 2 ans sous le nom de NTM.
Si la modification de l'article 133 est adoptée,
les états européens n'auront plus aucun moyen de s'opposer à de futurs accords de type AMI ou NTM.
A l'insu des médias et du public,
le gouvernement Jospin préparait depuis début 2000 la privatisation d'EDF
(la compagnie nationale d'électricité), afin d'offrir au secteur privé le marché de l'électricité.
Les médias n'ont commencé à parler du projet qu'en Février 2002, pour préparer l'opinion,
et sans dévoiler l'objectif final, en parlant seulement d'une privatisation partielle.
En saisissant le prétexte des attentats du 11 Septembre 2001,
et à l'unisson avec les Etats-Unis, le gouvernement Jospin
s'est empressé d'adopter des mesures sécuritaires
contraires aux droits de l'homme et à la Constitution.
Le gouvernement a également légalisé le gigantesque fichier policier "STIC"
sur les citoyens, un fichier qui existait depuis 5 ans en toute illégalité.
A l'occasion de sa candidature aux élections présidentielles,
Lionel Jospin a été très clair sur sa conversion à la mondialisation libérale:
"Je suis socialiste d'inspiration, mais le projet que je propose au pays n'est pas un projet socialiste.
Il est une synthèse de ce qui est nécessaire aujourd'hui, c'est-à-dire la modernité.
Il faut épouser son temps".
La meilleure réponse à Jospin était alors venue de Jean-Pierre Chevènement:
"Je ne regarde pas vers une sorte de résignation à la mondialisation libérale sous prétexte que ce serait moderne."
Où l'on reconnaît la méthode de guerre américaine...
Une théorie des militaires américains est que les bombardements de nuit
ont un plus fort impact psychologique sur les populations.
Les Américains ont largement appliqué cette tactique pendant la guerre du Golfe,
en Serbie, et en Afghanistan.
Les deux "tempêtes" de Décembre se sont produites de nuit,
et de plus, entre deux réveillons marquant une date symbolique, le début de l'An 2000.
On ne pouvait rêver un meilleur impact psychologique...
deux ouragans d'une violence exceptionnelle s'abattaient sur la France, alors que le pays s'apprêtait à célébrer le passage à l'An 2000.
Au lendemain de ces tempêtes, le réseau électrique est anéanti,
et une grande partie des forêts sont complètement dévastées,
offrant un paysage apocalyptique d'arbres arrachés ou décapités.
Ces tempêtes pourraient avoir été provoquées par une arme climatique,
utilisée afin de sanctionner l'attitude récalcitrante de la France
sur la mondialisation, les OGM, et le traité de l'AMI...
Un phénomène météorologique très inhabituel
D'après les déclarations d'un ingénieur de Météo France
dans un documentaire diffusé par France 3 en décembre 2004,
la première tempête avait la configuration d'un cyclone,
ce qui est normalement impossible sur l'Atlantique nord en hiver
car les cyclones ont besoin de survoler une mer chaude pour se former.
De plus, ce "cyclone" s'est déplacé très rapidement d'Ouest en Est,
à une vitesse de 100 km/h, alors qu'un cyclone normal se déplace lentement.
Enfin, il s'est accompagné d'une "fantastique baisse de la pression atmosphérique",
selon les déclarations d'un ingénieur de Météo France qui ajoute:
"un tel phénomène, je n'en avais jamais vu, ni même entendu parler".
(source: documentaire sur les tempêtes de décembre 5 ans après, diffusé par France 3 en décembre 2004)
La seconde tempête représentait également un phénomène météo très inhabituel,
avec un jet stream exceptionnellement rapide, et qui, de plus,
est descendu en basse couche, ce qui n'est pas censé se produire.
La photo satellite de 18 heures du 27 Décembre montre très bien ce jet stream,
formant une aiguille d'environ 1200 km de long et arrivant perpendiculairement à la côte atlantique.
Les modélisations 3D réalisées par Météo France sont également très intéressantes
et montrent à quel point la configuration météorologique avait l'efficacité d'une machine de guerre.
Enfin, le fait que ces deux "tempêtes" aient eu lieu à seulement deux jours d'intervalle
est pour le moins étrange.
Commentaire de l'ingénieur de Météo France cité plus haut:
"C'est tellement peu fréquent qu'il y ait deux tempêtes d'une intensité aussi forte
en un intervalle aussi court qu'on a du mal à le croire".
L'existence des armes climatiques a été implicitement reconnue dans un traité international de désarmement, et dans un rapport européen.
Un traité international adopté en 1977 sous le nom de "convention ENMOD" (notez démon),
interdit expressément le développement d'armes "de nature à influencer le climat".
Le fait que ce type d'armes soit mentionné dans cet accord
indique que leur existence n'est pas de la science-fiction.
HAARP a également fait l'objet d'une résolution du parlement européen en janvier 1999.
Les armes climatiques pourraient avoir été développées sur la base des travaux du physicien Nikola Tesla sur l'électromagnétisme et sur la ionosphère
Un rapport nommé US Air Force 2025 datant d'août 1996
a pour objectif le contrôle de la météo en 2025.
Cet objectif a été confirmé par Zbigniew Brzezinski, ancien conseiller en politique étrangère
du président Jimmy Carter.
Avec Henry Kissinger, Brzezinski est l'un des principaux concepteurs
de la politique étrangère américaine de domination totale.
Dans son livre "Entre deux époques", Zbigniew Brzezinski écrit:
"la technologie mettra à la disposition des grandes nations
des procédés qui leur permettront de mener des guerres furtives,
dont seule une infime partie des forces de sécurité auront connaissance.
Nous disposons de méthodes capables de provoquer des changements climatiques,
de créer des sécheresses et des tempêtes,
ce qui peut affaiblir les capacités d'un ennemi potentiel
et le pousser à accepter nos conditions.
Le contrôle de l'espace et du climat ont remplacé Suez et Gibraltar
comme enjeux stratégiques majeurs."
Depuis 1995,
l'arme climatique des Etats-Unis en est au stade opérationnel.
La base de Gakona en Alaska, connue sous le nom de "projet HAARP",
est officiellement consacrée à "l'étude" de la ionosphère.
Mais techniquement, elle pourrait tout aussi bien être utilisée de façon opérationnelle.
Cette base comporte un réseau de 180 antennes très spéciales
qui sont notamment capables de générer une onde stationnaire géante autour de la planète.
Avec ses 1,7 gigawatts, HAARP est actuellement l'émetteur le plus puissant de la planète.
Les Etats-Unis prévoient d'augmenter encore cette puissance, pour atteindre les 3,6 gigawatts.
En utilisant des hautes fréquences combinées avec les propriétés réfléchissantes de la ionosphère,
HAARP serait capable de réchauffer localement l'athmosphère à la manière d'un four à micro-ondes.
En augmentant le contraste thermique entre les masses d'air à proximité d'une tempête,
il est possible de transformer celle-ci en ouragan ou en mini-cyclone.
HAARP serait également capable d'orienter et de manipuler un jet stream,
en le faisant onduler et descendre vers les basses couches de l'athmosphère.
La base américaine de Pine Gap en Australie (au centre du désert australien, à 50 km à l'Ouest d'Alice Springs) abriterait également des émetteurs très spéciaux ainsi que la plus profonde antenne souterraine jamais construite.
A partir de l'année 2000, la politique du gouvernement Jospin a changé,
et une fracture avec l'opinion publique s'est développée.
La vérité est peut-être que le pays ayant été mis à genou par ces deux "tempêtes",
la France a été vaincue et n'a pas eu d'autre solution qu'une discrète capitulation,
à l'insu de la population qu'il était préférable de ne pas informer.
Avant les "tempêtes"
Lionel Jospin réaffirme à plusieurs reprises la primauté du politique sur l'économique
La France parvient à influencer de manière décisive
la position des autres pays de l'Union Européenne sur le dossier des OGM,
contribuant à l'échec des négociations de l'OMC à Seattle.
Et surtout, en 1998,
la France se retire des négociations de l'AMI (Accord Multilatéral sur l'Investissement),
provoquant l'échec de ce projet-clé du processus de mondialisation.
Après les "tempêtes"
Lionel Jospin déclare que ce n'est pas le rôle de l'état d'intervenir dans les affaires économiques privées,
même en cas de licenciements massifs provoqués par les délocalisations d'entreprises.
Le gouvernement autorise les cultures d'OGM dans le cadre de la "recherche scientifique".
On a appris récemment que les cultures d'OGM sont aujourd'hui présentes
dans plus de la moitié des départements français.
Le gouvernement émet un avis favorable sur le clonage humain "à des fins thérapeutiques".
Une décision du Conseil d'Etat en Juin 2001 a finalement annulé cette autorisation.
Les négociations de l'AMI n'ont pas repris,
mais le gouvernement Jospin a accepté la modification de l'article 133 du traité d'Amsterdam,
en vue de permettre à la Commission Européenne de négocier à la place des états les futurs accords multilatéraux
de type AMI. Une reformulation de l'AMI est d'ailleurs en cours d'élaboration depuis 2 ans sous le nom de NTM.
Si la modification de l'article 133 est adoptée,
les états européens n'auront plus aucun moyen de s'opposer à de futurs accords de type AMI ou NTM.
A l'insu des médias et du public,
le gouvernement Jospin préparait depuis début 2000 la privatisation d'EDF
(la compagnie nationale d'électricité), afin d'offrir au secteur privé le marché de l'électricité.
Les médias n'ont commencé à parler du projet qu'en Février 2002, pour préparer l'opinion,
et sans dévoiler l'objectif final, en parlant seulement d'une privatisation partielle.
En saisissant le prétexte des attentats du 11 Septembre 2001,
et à l'unisson avec les Etats-Unis, le gouvernement Jospin
s'est empressé d'adopter des mesures sécuritaires
contraires aux droits de l'homme et à la Constitution.
Le gouvernement a également légalisé le gigantesque fichier policier "STIC"
sur les citoyens, un fichier qui existait depuis 5 ans en toute illégalité.
A l'occasion de sa candidature aux élections présidentielles,
Lionel Jospin a été très clair sur sa conversion à la mondialisation libérale:
"Je suis socialiste d'inspiration, mais le projet que je propose au pays n'est pas un projet socialiste.
Il est une synthèse de ce qui est nécessaire aujourd'hui, c'est-à-dire la modernité.
Il faut épouser son temps".
La meilleure réponse à Jospin était alors venue de Jean-Pierre Chevènement:
"Je ne regarde pas vers une sorte de résignation à la mondialisation libérale sous prétexte que ce serait moderne."
Où l'on reconnaît la méthode de guerre américaine...
Une théorie des militaires américains est que les bombardements de nuit
ont un plus fort impact psychologique sur les populations.
Les Américains ont largement appliqué cette tactique pendant la guerre du Golfe,
en Serbie, et en Afghanistan.
Les deux "tempêtes" de Décembre se sont produites de nuit,
et de plus, entre deux réveillons marquant une date symbolique, le début de l'An 2000.
On ne pouvait rêver un meilleur impact psychologique...