Comme vous le savez, il n'est pas facile d'avoir des certitudes sur les intentions de nos chères élites, mise à part qu'elles souhaitent garder le pouvoir. Cependant, je vous propose une vision de leurs plan.
Il n'y a pas si longtemps que cela, le peuple était en ébullition avec des manifestations qui exprimaient des inquiétudes économiques tout à fait fondée. Alors les élites ont déclenché la grippe A, qui est volontairement pas peu dangeureuse. Les média ont exagéré la maladie afin de déplacer l'inquiétude depuis le champ économique vers les questions de santé. D'autre part, les gouvernements ont montré qu'ils s'occupaient du peuple, en l'informant et en prenant des mesures. Le peuple a ainsi eu le sentiment que le gouvernement s'occupait d'eux. Parallèlement, des fausses rumeurs ont été propagées comme quoi le vaccin allait servir à tuer les gens en masse. Des gens se sont alors mobilisées pour prévenir la population du grand danger. Certains, moins alarmistes ont tout de même prévenu que le vaccin était expérimental et qu'il y avait une petite proportion de gens qui allaient avoir des séquelles au niveau immunologique. Tout cela afin de canaliser le peuple, et cela a assez bien marché. Il y a eu peu de manifestations, parce que les gens étaient trop inquiets pour leur santé et parce qu'ils avaient peur de se contaminer mutuellement. On a utilisé une suggestion avec les publicités où les microbes de la grippe A étaient représentés par des lettres : le message subliminal était de ne pas communiquer car cela était risqué pour la santé de tous.
Alors que beaucoup de personnes se demandent encore si la vaccination n'est pas le début de la fin des temps, le traité de Coppenhague est écrit petit à petit. Ce projet, qui utilise l'alibi du réchauffement climatique, ambitionne de créer une autorité de régulation mondiale du carbone pour organiser une taxation mondiale des transports et de la production. Tout comme la Communauté Economique Européenne a été un premier pas vers l'aujourd'hui contesté traité de Lisbonne, qui nous mène en peu plus vers l'Etat européen et le marché transatlantique, l'autorité mondiale de taxation du carbone est un début de gouvernance mondiale. La taxation du carbone va causer une dépression économique supplémentaire, ce qui va nous amener de nouveau vers une crise économique mondiale. Alors les élites vont proposer de mettre en place la gouvernance mondiale dont ils nous parlent déjà. Ils vont ainsi étendre la juridiction de l'autorité carbone, peut-être la connecter avec l'ONU, le FMI et la Banque Mondiale, et on aura alors cette gouvernance mondiale., Tout comme l'Europe aujourd'hui émet des lois pour ses pays, l'autorité mondiale émettra des lois pour les grands ensembles comme l'Europe et l'union Nord-Américaine pour le moment en construction. En fin de compte, l'argument économique servira encore à mettre en place un pouvoir politique très influencé par les lobbies.
En effet, moins il y a de personnes qui commandent, plus il est facile de les corrompre et d'exclure ceux qui gênent. L'Europe a déjà permis un pas en avant dans cette direction. Et les économistes internationalistes du FMI et de la Banque Mondiale, et de la future gouvernance mondiale verte, sont comme sous perfusion de morphine, c'est-à-dire qu'on les subventionne très bien contre notre gré. Nous nous dirigeons alors encore vers une concentration de pouvoir entre les mains des internationalistes : économistes, financiers et politiques dont la plupart sont des avocats ou en tout cas expert en droit. Ils proposent de généraliser les Etats de droits que nous connaissons à l'ensemble de la planète, tout en apprenant tous les trucs et astuces pour contourner la loi. Les pouvoirs de capitaux vont continuer à se concentrer, parce qu'avec la crise mondiale, les grandes entreprises peuvent faire des économies d'échelles et donc ont plus de chances de survie. Parallèlement on donne du leste pour le développement des entreprises individuelles, qui sont très libres de leur fonctionnement, mais qui sont soumis par le biais économique. D'autre part, seul le SMIC est indexé, les salaires des classes moyennes vont continuer leur baisse. On se retrouvera alors avec une classe populaire sans classe moyenne, et des petites entreprises, dominées directement par les grandes entreprises, détenues par les grands groupes financiers, dirigés par une poignée de personnes.
Nous aurons alors fonctionnellement un gouvernement mondial, distribué en conseils carbone, conseils d'admnistrations, conseils économique mondial, ONG etc. Grâce à la généralisation de la puce RFID, qui sera incorporées aux cartes bancaires, et à la dispartion de la monnaie, la localisation des personnes ainsi que le suivi en temps réel des actions des individus sera possible. Le développement des caméras intelligentes complètera le dispositif. Les lois antiterroristes permettront d'arrêter quiconque se mettra en travers de la volonté des élites. Alors sera peut-être proposé, à l'aide d'autres propagandes, la fusion de tous ces systèmes dans un gouvernement mondial, qui sera en fait l'équivalent des Etats d'aujourd'hui, mais à l'échelle mondiale. Le peuple sera toujours contrôlé par la propagande, mais aussi avec des moyens plus directs sur les individus un peu trop curieux. Tout comme les personnes nuisant à l'intérêt de la nation sont éliminés de nos jours, les personnes nuisant à l'intérêt du gouvernement mondial seront aussi éliminés. Nous vivrons alors dans le "meilleurs des mondes". Cela dit, il est possible qu'on en reste aux systèmes de conseils mondiaux, parce qu'ils sont plus efficace que la démocratie, trop lente au goût des élites puisqu'il faut d'abord convaincre le peuple avant de prendre une décision. La manipulation symbolique avec les réseaux de personnes, dont Obama Luther King est l'exemple le plus clair, est un moyen très efficace et qui ne s'est pas encore trop usé.
Il n'y a pas si longtemps que cela, le peuple était en ébullition avec des manifestations qui exprimaient des inquiétudes économiques tout à fait fondée. Alors les élites ont déclenché la grippe A, qui est volontairement pas peu dangeureuse. Les média ont exagéré la maladie afin de déplacer l'inquiétude depuis le champ économique vers les questions de santé. D'autre part, les gouvernements ont montré qu'ils s'occupaient du peuple, en l'informant et en prenant des mesures. Le peuple a ainsi eu le sentiment que le gouvernement s'occupait d'eux. Parallèlement, des fausses rumeurs ont été propagées comme quoi le vaccin allait servir à tuer les gens en masse. Des gens se sont alors mobilisées pour prévenir la population du grand danger. Certains, moins alarmistes ont tout de même prévenu que le vaccin était expérimental et qu'il y avait une petite proportion de gens qui allaient avoir des séquelles au niveau immunologique. Tout cela afin de canaliser le peuple, et cela a assez bien marché. Il y a eu peu de manifestations, parce que les gens étaient trop inquiets pour leur santé et parce qu'ils avaient peur de se contaminer mutuellement. On a utilisé une suggestion avec les publicités où les microbes de la grippe A étaient représentés par des lettres : le message subliminal était de ne pas communiquer car cela était risqué pour la santé de tous.
Alors que beaucoup de personnes se demandent encore si la vaccination n'est pas le début de la fin des temps, le traité de Coppenhague est écrit petit à petit. Ce projet, qui utilise l'alibi du réchauffement climatique, ambitionne de créer une autorité de régulation mondiale du carbone pour organiser une taxation mondiale des transports et de la production. Tout comme la Communauté Economique Européenne a été un premier pas vers l'aujourd'hui contesté traité de Lisbonne, qui nous mène en peu plus vers l'Etat européen et le marché transatlantique, l'autorité mondiale de taxation du carbone est un début de gouvernance mondiale. La taxation du carbone va causer une dépression économique supplémentaire, ce qui va nous amener de nouveau vers une crise économique mondiale. Alors les élites vont proposer de mettre en place la gouvernance mondiale dont ils nous parlent déjà. Ils vont ainsi étendre la juridiction de l'autorité carbone, peut-être la connecter avec l'ONU, le FMI et la Banque Mondiale, et on aura alors cette gouvernance mondiale., Tout comme l'Europe aujourd'hui émet des lois pour ses pays, l'autorité mondiale émettra des lois pour les grands ensembles comme l'Europe et l'union Nord-Américaine pour le moment en construction. En fin de compte, l'argument économique servira encore à mettre en place un pouvoir politique très influencé par les lobbies.
En effet, moins il y a de personnes qui commandent, plus il est facile de les corrompre et d'exclure ceux qui gênent. L'Europe a déjà permis un pas en avant dans cette direction. Et les économistes internationalistes du FMI et de la Banque Mondiale, et de la future gouvernance mondiale verte, sont comme sous perfusion de morphine, c'est-à-dire qu'on les subventionne très bien contre notre gré. Nous nous dirigeons alors encore vers une concentration de pouvoir entre les mains des internationalistes : économistes, financiers et politiques dont la plupart sont des avocats ou en tout cas expert en droit. Ils proposent de généraliser les Etats de droits que nous connaissons à l'ensemble de la planète, tout en apprenant tous les trucs et astuces pour contourner la loi. Les pouvoirs de capitaux vont continuer à se concentrer, parce qu'avec la crise mondiale, les grandes entreprises peuvent faire des économies d'échelles et donc ont plus de chances de survie. Parallèlement on donne du leste pour le développement des entreprises individuelles, qui sont très libres de leur fonctionnement, mais qui sont soumis par le biais économique. D'autre part, seul le SMIC est indexé, les salaires des classes moyennes vont continuer leur baisse. On se retrouvera alors avec une classe populaire sans classe moyenne, et des petites entreprises, dominées directement par les grandes entreprises, détenues par les grands groupes financiers, dirigés par une poignée de personnes.
Nous aurons alors fonctionnellement un gouvernement mondial, distribué en conseils carbone, conseils d'admnistrations, conseils économique mondial, ONG etc. Grâce à la généralisation de la puce RFID, qui sera incorporées aux cartes bancaires, et à la dispartion de la monnaie, la localisation des personnes ainsi que le suivi en temps réel des actions des individus sera possible. Le développement des caméras intelligentes complètera le dispositif. Les lois antiterroristes permettront d'arrêter quiconque se mettra en travers de la volonté des élites. Alors sera peut-être proposé, à l'aide d'autres propagandes, la fusion de tous ces systèmes dans un gouvernement mondial, qui sera en fait l'équivalent des Etats d'aujourd'hui, mais à l'échelle mondiale. Le peuple sera toujours contrôlé par la propagande, mais aussi avec des moyens plus directs sur les individus un peu trop curieux. Tout comme les personnes nuisant à l'intérêt de la nation sont éliminés de nos jours, les personnes nuisant à l'intérêt du gouvernement mondial seront aussi éliminés. Nous vivrons alors dans le "meilleurs des mondes". Cela dit, il est possible qu'on en reste aux systèmes de conseils mondiaux, parce qu'ils sont plus efficace que la démocratie, trop lente au goût des élites puisqu'il faut d'abord convaincre le peuple avant de prendre une décision. La manipulation symbolique avec les réseaux de personnes, dont Obama Luther King est l'exemple le plus clair, est un moyen très efficace et qui ne s'est pas encore trop usé.