source
http://www.partiantisioniste.com/communications/lobby-or-not-lobby-0394.html
Lobby or not lobby ?
Le vote, à l’unanimité, par le Conseil Municipal de la Ville de Paris donnant le nom de Ben Gourion à une esplanade confirme l’accord de tous ces partis politiques français quand il s’agit du sionisme. Certains de ces partis qui ont voulu « honorer » le purificateur ethnique Ben Gourion appuient ou dirigent des organisations de « soutien à la Palestine ». Nous pensons aux Communistes et à certains Verts. Ils ont même poussé l’hypocrisie et l’indécence jusqu’à manifester en signe d’opposition lors de l’inauguration de l’esplanade par Bertrand Delanoë et Shimon Perez, le dirigeant d'Israël (à qui les socialistes français ont offert la bombe atomique en secret en 1956, introduisant le nucléaire au Moyen-Orient). Il est vrai qu’une inauguration sur la voie publique, c’est plus voyant qu’un vote unanime dans la Salle des délibérations de l’Hôtel de Ville de Paris.
Interrogeons-nous sur ces « amis » du peuple palestinien. Ces gens condamnent, le plus souvent du bout des lèvres, les effets les plus scandaleux de la politique israélienne (colonisation en Cisjordanie, agressions contre le Liban et contre Gaza, emprisonnement de résistants palestiniens, etc.) mais se refusent à en voir la cause. Ils réduisent le drame de la Palestine à une sorte de conflit frontalier entre Israël et ses voisins. Ils évacuent ainsi la cause fondamentale qui est une idéologie bien précise, le sionisme, idéologie raciste d’apartheid et de domination. Cette idéologie n’est pas que « régionale » mais agit internationalement, grâce à ces groupes de pression que l’on appelle lobbies. Et ce lobby sioniste est particulièrement puissant en France, depuis de nombreuses années. Il est parvenu à s’imposer et gouverne de fait toute la classe politique française représentée dans les institutions. Nous parlerons une autre fois des faux antisionistes tels le NPA de Olivier Besancenot et autres officines, soit disant « hors système », mais qui ne sont là que pour dévoyer le combat antisioniste.
Comment le lobby sioniste exerce t’il sa mainmise sur la classe politique ?
- tout d’abord par la culpabilisation permanente des prétendues élites et de l’opinion (rappel constant des persécutions subies en Europe par la communauté juive en minimisant les autres persécutions) ;
- par le chantage : l’accusation d‘antisémitisme est portée à tous ceux qui osent dénoncer le sionisme et Israël ;
- par une mentalité coloniale toujours vivante en France et une islamophobie soigneusement entretenue qui rejoignent le sionisme dans ses bases doctrinales ;
- enfin par de puissants intérêts financiers qui permettent de relier au lobby et de tenir un grand nombre de personnes (affairisme, perspectives de carrière, etc.).
Aucun des Partis du Système ne peut sérieusement prétendre être indépendant de ce lobby. Certains (UMP, PS) s’en réclament ouvertement et sans complexe, d’autres (PCF, Verts, NPA) font semblant de ne pas le voir et agressent - verbalement ou physiquement - ceux qui ont le courage de le dénoncer. C’est ici que passe la ligne de démarcation entre les authentiques antisionistes et les autres. Il suffit de leur poser une simple question : existe-t-il en France un lobby sioniste qui influe sur toute la politique de notre pays ?
Le Général de Gaulle et M. Raymond Barre (pour n’en citer que deux) pensaient que oui, il existe un lobby sioniste qui pèse sur la vie politique de la France.
On peut affirmer, sans risque de se tromper, que les hommes politiques, les journalistes, les artistes, etc… qui prétendent que ce lobby sioniste n’existe pas, cherchent à tromper ceux qui les écoutent, et d’une manière ou d’une autre servent Israël et le sionisme. Il ne suffit pas de s’apitoyer, depuis Paris, sur le sort des Palestiniens pour être antisioniste. Encore faut-il reconnaitre l’existence du lobby sioniste en France et vouloir le combattre dans son propre pays. Comment expliquer l’unanimité de la classe politique de la ville de Paris autour de Ben Gourion sans mentionner le lobby (CRIF et toutes les autres organisations annexes) ? Pourquoi M. Zemmour peut-il tenir des propos racistes à l’encontre des Arabes et des Noirs sans être interdit de télévision ? Demandez donc à Dieudonné qui a sans doute son opinion à ce sujet ! La raison en est simple, lobby oblige, lobby protège !
Il y a donc bien en France un lobby sioniste dominant dont le pivot visible est le CRIF et ses deux principaux partis sont l’UMP et le PS, avec quelques satellites (PCF, Verts, NPA). Il a été donné une mission particulière à ces satellites du lobby : prendre en charge le soutien de la cause palestinienne pour mieux endormir les Français, en ne parlant jamais du lobby sioniste au pouvoir. Ce soutien apparent et hypocrite à la Palestine permet de « donner le change »... jusqu’au jour où il faut voter, à l’unanimité, pour maculer Paris du nom de Ben Gourion. Il faut bien que les masques tombent ! L’agressivité d’Israël (menaces de frappes contre Gaza, la Syrie, le Liban, l’Iran), et le CRIF dictant sa loi ouvertement à tous les niveaux de la société, font que le double jeu et l’hypocrisie sont chaque jour plus difficiles. Nombreux, y compris dans leurs rangs, sont ceux qui commencent à ouvrir les yeux.
Le Parti Anti Sioniste ne cache pas sa raison d’être : dénoncer et combattre le lobby sioniste en France. Pour cela, il faut l’unité la plus large. Mais à condition que cette unité se réalise sur une base antisioniste, précise et claire. Et non pas sur des faux semblants, ni avec ceux qui veulent avoir, en même temps, un pied au CRIF à Paris et un autre pied en Palestine. Nous reviendrons donc, bien sûr, sur ces faux amis de la cause palestinienne et sur certaines autres officines qui n’ont qu’un but : canaliser l’indignation causée par le sionisme pour mieux en protéger son lobby en France. Ne pas les dénoncer, c’est leur permettre de continuer la confusion et la division. Un réel mouvement de soutien au peuple palestinien passe par une dénonciation implacable de tous ces infiltrés.En France, comme partout dans le monde, il est temps que chacun choisisse son camp : avec Ben Gourion expulsant les Palestiniens ou avec les victimes.
Avec le lobby ou avec ceux qui le combattent : c’est aussi simple que cela !
Le Président,
Yahia Gouasmi.
http://www.partiantisioniste.com/communications/lobby-or-not-lobby-0394.html
Lobby or not lobby ?
Le vote, à l’unanimité, par le Conseil Municipal de la Ville de Paris donnant le nom de Ben Gourion à une esplanade confirme l’accord de tous ces partis politiques français quand il s’agit du sionisme. Certains de ces partis qui ont voulu « honorer » le purificateur ethnique Ben Gourion appuient ou dirigent des organisations de « soutien à la Palestine ». Nous pensons aux Communistes et à certains Verts. Ils ont même poussé l’hypocrisie et l’indécence jusqu’à manifester en signe d’opposition lors de l’inauguration de l’esplanade par Bertrand Delanoë et Shimon Perez, le dirigeant d'Israël (à qui les socialistes français ont offert la bombe atomique en secret en 1956, introduisant le nucléaire au Moyen-Orient). Il est vrai qu’une inauguration sur la voie publique, c’est plus voyant qu’un vote unanime dans la Salle des délibérations de l’Hôtel de Ville de Paris.
Interrogeons-nous sur ces « amis » du peuple palestinien. Ces gens condamnent, le plus souvent du bout des lèvres, les effets les plus scandaleux de la politique israélienne (colonisation en Cisjordanie, agressions contre le Liban et contre Gaza, emprisonnement de résistants palestiniens, etc.) mais se refusent à en voir la cause. Ils réduisent le drame de la Palestine à une sorte de conflit frontalier entre Israël et ses voisins. Ils évacuent ainsi la cause fondamentale qui est une idéologie bien précise, le sionisme, idéologie raciste d’apartheid et de domination. Cette idéologie n’est pas que « régionale » mais agit internationalement, grâce à ces groupes de pression que l’on appelle lobbies. Et ce lobby sioniste est particulièrement puissant en France, depuis de nombreuses années. Il est parvenu à s’imposer et gouverne de fait toute la classe politique française représentée dans les institutions. Nous parlerons une autre fois des faux antisionistes tels le NPA de Olivier Besancenot et autres officines, soit disant « hors système », mais qui ne sont là que pour dévoyer le combat antisioniste.
Comment le lobby sioniste exerce t’il sa mainmise sur la classe politique ?
- tout d’abord par la culpabilisation permanente des prétendues élites et de l’opinion (rappel constant des persécutions subies en Europe par la communauté juive en minimisant les autres persécutions) ;
- par le chantage : l’accusation d‘antisémitisme est portée à tous ceux qui osent dénoncer le sionisme et Israël ;
- par une mentalité coloniale toujours vivante en France et une islamophobie soigneusement entretenue qui rejoignent le sionisme dans ses bases doctrinales ;
- enfin par de puissants intérêts financiers qui permettent de relier au lobby et de tenir un grand nombre de personnes (affairisme, perspectives de carrière, etc.).
Aucun des Partis du Système ne peut sérieusement prétendre être indépendant de ce lobby. Certains (UMP, PS) s’en réclament ouvertement et sans complexe, d’autres (PCF, Verts, NPA) font semblant de ne pas le voir et agressent - verbalement ou physiquement - ceux qui ont le courage de le dénoncer. C’est ici que passe la ligne de démarcation entre les authentiques antisionistes et les autres. Il suffit de leur poser une simple question : existe-t-il en France un lobby sioniste qui influe sur toute la politique de notre pays ?
Le Général de Gaulle et M. Raymond Barre (pour n’en citer que deux) pensaient que oui, il existe un lobby sioniste qui pèse sur la vie politique de la France.
On peut affirmer, sans risque de se tromper, que les hommes politiques, les journalistes, les artistes, etc… qui prétendent que ce lobby sioniste n’existe pas, cherchent à tromper ceux qui les écoutent, et d’une manière ou d’une autre servent Israël et le sionisme. Il ne suffit pas de s’apitoyer, depuis Paris, sur le sort des Palestiniens pour être antisioniste. Encore faut-il reconnaitre l’existence du lobby sioniste en France et vouloir le combattre dans son propre pays. Comment expliquer l’unanimité de la classe politique de la ville de Paris autour de Ben Gourion sans mentionner le lobby (CRIF et toutes les autres organisations annexes) ? Pourquoi M. Zemmour peut-il tenir des propos racistes à l’encontre des Arabes et des Noirs sans être interdit de télévision ? Demandez donc à Dieudonné qui a sans doute son opinion à ce sujet ! La raison en est simple, lobby oblige, lobby protège !
Il y a donc bien en France un lobby sioniste dominant dont le pivot visible est le CRIF et ses deux principaux partis sont l’UMP et le PS, avec quelques satellites (PCF, Verts, NPA). Il a été donné une mission particulière à ces satellites du lobby : prendre en charge le soutien de la cause palestinienne pour mieux endormir les Français, en ne parlant jamais du lobby sioniste au pouvoir. Ce soutien apparent et hypocrite à la Palestine permet de « donner le change »... jusqu’au jour où il faut voter, à l’unanimité, pour maculer Paris du nom de Ben Gourion. Il faut bien que les masques tombent ! L’agressivité d’Israël (menaces de frappes contre Gaza, la Syrie, le Liban, l’Iran), et le CRIF dictant sa loi ouvertement à tous les niveaux de la société, font que le double jeu et l’hypocrisie sont chaque jour plus difficiles. Nombreux, y compris dans leurs rangs, sont ceux qui commencent à ouvrir les yeux.
Le Parti Anti Sioniste ne cache pas sa raison d’être : dénoncer et combattre le lobby sioniste en France. Pour cela, il faut l’unité la plus large. Mais à condition que cette unité se réalise sur une base antisioniste, précise et claire. Et non pas sur des faux semblants, ni avec ceux qui veulent avoir, en même temps, un pied au CRIF à Paris et un autre pied en Palestine. Nous reviendrons donc, bien sûr, sur ces faux amis de la cause palestinienne et sur certaines autres officines qui n’ont qu’un but : canaliser l’indignation causée par le sionisme pour mieux en protéger son lobby en France. Ne pas les dénoncer, c’est leur permettre de continuer la confusion et la division. Un réel mouvement de soutien au peuple palestinien passe par une dénonciation implacable de tous ces infiltrés.En France, comme partout dans le monde, il est temps que chacun choisisse son camp : avec Ben Gourion expulsant les Palestiniens ou avec les victimes.
Avec le lobby ou avec ceux qui le combattent : c’est aussi simple que cela !
Le Président,
Yahia Gouasmi.