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    ARNAQUE : Le lobby du cholestérol au bord de la crise cardiaque

    GarfieldLove
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    Message  GarfieldLove 8/10/2010, 08:04




    Le lobby du cholestérol au bord de la crise cardiaque



    Derrière une dramaturgie bien rodée, on vient d’assister, dans le paysage médiatique, à un grand moment de médecine-réalité : la quasi crise cardiaque, en direct, du lobby du cholestérol. A l'origine de ce coup de sang, la parution du dernier livre du Dr Michel de Lorgeril.
    Thierry SOUCCAR

    Tout a commencé par la sortie le 13 juin, dans la maison d’éditions que je dirige, du livre de Michel de Lorgeril, chercheur au CNRS, Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent, il vous soignera sans médicament. Ce livre dénonce, preuves scientifiques à l’appui, l’illusion de la « théorie du cholestérol » et la prescription abusive de médicaments hypocholestérolémiants.
    Le 12 juin, le journal Le Monde publie sur une quasi pleine page une interview de Michel de Lorgeril par la journaliste Sandrine Blanchard sous le titre Non, le cholestérol ne bouche pas les artères.
    Et c’est tout un petit monde de cardiologues, lipidologues, industriels des statines ou de la pâte à tartiner, jusqu’ici bercé par le murmure rassurant des communications consensuelles que l’on échange sur le cholestérol dans les congrès payés par l’industrie pharmaceutique ou l’industrie agro-alimentaire, qui est subitement pris de panique.
    Dès le 13, une salve de critiques s’abat sur l’ouvrage, son auteur et le quotidien du soir, sous la forme de trois communiqués de presse, pas moins, émanant l’un de l’industrie du médicament, l’autre de la Société française de cardiologie, et le dernier, à nouveau de la Société française de cardiologie, décidément démangée du stylographe, assistée cette fois de la Fédération française de cardiologie, et d’autres organismes plus obscurs comme le Collège National des Cardiologues Français, la Nouvelle Société Française d’Athérosclérose (ex-Arcol et SFA), la Société Française d’Hypertension Artérielle, l’Association de Langue Française pour l'Etude du Diabète et des Maladies Métaboliques et la Société Française de Nutrition. Ouf !
    Ces « sociétés savantes expertes » autoproclamées, dont pas un des dirigeants n’a lu le livre de Michel de Lorgeril, y dénoncent avec certitude les propos « fantaisistes » et les « mauvais conseils » de l’auteur. Le président de la Société française de cardiologie, un certain Nicolas Danchin, ira même jusqu’à accuser Michel de Lorgeril de tenir des propos « criminels ». Sûrement un effet de la canicule.
    Au siège du Monde la pauvre Sandrine Blanchard doit repousser avec vaillance un assaut de courriers aigres et de mails haineux. Mais le plus éprouvant, c'est sans doute l’humour à trois sous, comme sur le site médical TheHeart.org, où le rédacteur en chef, un certain Gabriel Steg, s'essaie péniblement à ce registre : « On se rappelle, dit-il, que l'un des "Best sellers" de l'année 2003 était un ouvrage soutenant qu'aucun avion ne s'était écrasé sur le Pentagone le 11 septembre 2001. Il n'est donc somme toute pas surprenant qu'il se trouve des médecins pour penser de façon différente de la majorité et avoir une interprétation très "originale" de la littérature scientifique des dernières années. On est par contre plus surpris qu'un organe de presse réputé sérieux comme Le Monde consacre une page entière à ce point de vue sans jamais le confronter à un point de vue contradictoire. On peut du coup proposer à la Société des journalistes un nouveau nom de candidat pour la direction du journal, adapté à la qualité de ce traitement de l'information:...Thierry Meyssan ! »
    Thierry Meyssan, qui soutient qu’aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagone, à la tête du Monde ? Et pourquoi pas à la tête de TheHeart.org ? Un rédacteur en chef iconoclaste ce n’est pas forcément pire, pour traiter avec objectivité du cholestérol, qu’un professeur lié aux fabricants de ces médicaments.


    Comment Pfizer et les experts de la Nouvelle société française d'athérosclérose terrorisent la population pour promouvoir les statines. La grande classe...
    (Campagne de 2003 réalisée par l'Agence verte).

    Le lobby du cholestérol…

    La Société française de cardiologie (SFC), à l’origine de la campagne médiatique contre le livre de Michel de Lorgeril a partie liée avec des intérêts financiers colossaux, ceux des médicaments, au premier rang desquels les statines.
    Plusieurs des dirigeants de la SFC ont à titre personnel des liens financiers avec les laboratoires qui vendent des médicaments hypocholestérolémiants. C’est le cas de Nicolas Danchin, son président, qui, tout en étant expert auprès des autorités sanitaires, affiche une liste de « partenaires » et commanditaires à rendre verts de jalousie les organisateurs du Tour de France.
    La Fédération française de cardiologie (FFC) n’est pas en reste. La FFC a lancé ces dernières années des campagnes « de sensibilisation et de mobilisation du grand public. » Mais pas pour inciter à consommer moins de statines - comme le demande l’Assurance maladie. Au contraire, les campagnes de la FFC ont notamment servi de fusée porteuse à Pfizer qui commercialise… une statine, et pas n’importe laquelle, le best-seller de la statine. Et à la FFC, on n’est pas sectaire quand il s’agit des statines. Ainsi, l’actuel président et à ce titre parrain de la campagne Pfizer, est employé à titre personnel comme consultant par le concurrent de… Pfizer !
    La Nouvelle société française d’athérosclérose cautionne elle aussi des campagnes de presse labellisées Pfizer. Comme en 2003, où un message de terreur était adressé au public (Dire qu'un simple dosage de son cholestérol aurait pu lui éviter ça). La NFSA organise chaque année son congrès annuel dans un quatre étoiles de Biarritz. Et qui paye les chambres, les petits fours et le champagne ? Les notes sont réglées dans le plus grand désintéressement qui sied à l’avancement des idées par plusieurs laboratoires et sociétés de l’agrobusiness qui prospèrent sur le fabuleux marché du cholestérol.

    … au bord de la crise cardiaque

    La nervosité du lobby du cholestérol se comprend quand on considère la poule aux œufs d’or que représentent les statines : près d’un milliard et demi d’euros en France, dont une partie finance les « sociétés savantes » et une nuée d’experts, ceux-là même qui dans nos pays développés orientent les décisions de mise sur le marché des médicaments et les protocoles que suivront les médecins pour traiter leurs patients.
    Mais ce magot est menacé.
    Il y a d’abord eu le 10 août 2001 l’épisode traumatisant pour tout ce petit monde du retrait de la cerivastatine de Bayer. A cette occasion, la Fédération française de cardiologie s’inquiétait déjà par la voix de son président, le Dr Daniel Thomas, de l'impact de ce retrait sur l'ensemble des statines : « Arrêter de prendre ces médicaments, disait-il, serait un retour dix ans en arrière dans la prévention des maladies cardiaques. »
    En 2004, après avoir revu l’ensemble des études publiées sur les statines, plusieurs dizaines de chercheurs, cardiologues et médecins américains ont demandé officiellement aux Instituts nationaux de la santé des Etats-Unis que les études sur les statines soient réévaluées par un comité indépendant. Ces spécialistes estiment que la généralisation du traitement par les statines n’est pas « fondée sur des preuves scientifiques. »
    La même année, des journalistes américains révèlent que 9 des 10 « experts » à l’origine des recommandations américaines sur le cholestérol et les statines étaient liés aux laboratoires les fabriquant.
    En octobre 2006, Rodney A. Hayward, un chercheur de l’université du Michigan, , publie avec deux de ses collègues dans Annals of Internal Medicine une analyse de toutes les études ayant utilisé des doses « agressives » de statines pour faire baisser le cholestérol chez des patients à risque. Conclusion des auteurs : « les preuves cliniques actuelles ne soutiennent pas l’idée selon laquelle un tel traitement chez les personnes à risque est bénéfique et sans danger. »
    En janvier dernier, une analyse parue dans le Lancet a démontré que chez les personnes n’ayant aucun antécédent cardiovasculaire, les statines ne réduisent pas la mortalité. Donc ne devraient pas être prescrites. Pas mal, quand on sait que les trois-quarts des prescriptions de statines portent sur cette population !
    Dans son livre enfin, Michel de Lorgeril, conteste, études à l’appui, l’argument de la Société française de cardiologie et de ses petites copines selon lequel les statines prolongeraient la vie des patients les plus à risque.
    Bref, si les statines ne servent à rien en prévention primaire (chez les personnes n’ayant pas d’antécédent) comme le dit l’article du Lancet, si leur intérêt est douteux chez les patients les plus à risque, comme le suggèrent chacun à leur manière Rodney Hayward et Michel de Lorgeril, il y a de quoi s’inquiéter du côté du lobby du cholestérol. Tenez, si j’étais l’Assurance maladie, je trouverais très vite comment réduire de 10% d’un coup le déficit de 12 milliards d’euros prévu cette année.
    Ces perspectives douloureuses, ajoutées à l’impact médiatique d’un livre écrit par un chercheur de renommée internationale, expliquent les symptômes qui ont saisi le lobby du cholestérol : pouls élevé, hypertension, troubles du rythme, palpitations, fébrilité, tous les signes avant-coureur d’une attaque. Vite, une statine !

    P.S. : Le lobby du cholestérol et les recommandations en faveur des statines seront au centre du livre qui paraîtra au début de l'année 2008 sous le titre Cholestérol, mensonges et propagande. C'est Maître Isabelle Robard qui en assure la direction éditoriale. Ensemble, nous avons déjà écrit Santé, mensonges et propagande qui expose la collusion entre experts nutritionnistes et sociétés de l'agrobusiness.

    http://www.lanutrition.fr/Le-lobby-du-cholest%C3%A9rol-au-bord-de-la-crise-cardiaque-a-1708-90.html
    c.isme
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    Message  c.isme 31/8/2011, 11:43

    Selon une étude de Cochrane, réduire le sel ne réduit pas les maladies du cœur

    Heidi Stevenson

    La réduction de sel est actuellement un troisième rail [*] de la médecine. Il y a tout simplement trop de fric à gagner avec la chimiastrerie contre la pression artérielle, et il ne faut pas fâcher le gros business pharmaceutique.
    [* Ndt : Third rail est une métaphore anglaise servant à qualifier un sujet tellement sensible et intouchable, que celui qui oserait le contester y laisserait des plumes (comme une loi canonique imposée par l’Inquisition ), tout comme le zigoto qui tenterait de racler ses semelles sur le 3ème rail du métro parisien, celui qui amène le jus sous 5.000 volts.]

    Gaia Health, Heidi Stevenson, 7 juillet 2011
    Le sel ne cause pas de maladie cardiaque. Cette affirmation va à l’encontre d’une loi canonique de la médecine moderne. Même quand des études constatent sa justesse, les conclusions des auteurs essayent d’orienter en direction opposée. La révéler et dire la vérité tarirait vraisemblablement tout financement d’études futures. Toujours est-il, une autre étude a été incapable de trouver un lien entre la réduction de la consommation de sel et les maladies cardiaques.

    Publiée dans Cochrane Library, intitulée Reduced dietary salt for the prevention of cardiovascular disease [Le régime pauvre en sel pour prévenir les maladies cardio-vasculaires], l'étude a été infoutue de trouver un lien entre la consommation de sel et les maladies cardiaques. Les auteurs ont déclaré :

    Nous n'avons trouvé aucun indice solide prouvant que la réduction de sel réduit les causes de mort chez les normotendus... ou les hypertendus.

    Non, il n'y a pas de coquille. Bien qu'ils aient utilisé le terme « solide » pour atténuer leurs conclusions, les données montrent qu'ils n'ont trouvé aucune évidence prouvant que le sel est bon [ou mauvais] pour la santé cardiaque. La conclusion des auteurs continue en déclarant :

    De nombreux pays ont des recommandations nationales faisant autorité, souvent ratifiées par le gouvernement, qui exigent des régimes pauvres en sodium. Au Royaume-Uni, le National Institute of Health and Clinical Guidance (NICE) a récemment demandé d’accélérer la réduction du sel dans le grand public...

    Faisant autorité ? Je suppose que c'est vrai, si ça veut dire que tout ce que pondent les « autorités » doit, par définition, être vrai. Ils n'expliquent bien sûr pas en quoi être « ratifié par le gouvernement » constitue la vérité. Pas plus qu'ils n’expliquent pourquoi l'accélération de la réduction de sel demandée par le NICE est nécessairement appropriée.

    Réduire le sel est actuellement une loi canonique de la médecine. Tu ne dois pas douter de l'importance de la réduction du sel pour la santé cardiaque. Il y a tout simplement trop d'argent à gagner avec les médicaments contre la pression artérielle, et le gros business pharmaceutique ne doit pas être fâché.


    Logique ? Nous n'avons aucun besoin de logique pourrie !

    La logique typique pour continuer à presser le chaland à réduire sa consommation de sel a tendance à décrire ces circonvolutions :

    Réduire le sel abaisse la pression artérielle.

    La pression artérielle basse raréfie les crises cardiaques.

    D’où, réduire le sel doit raréfier les crises cardiaques.

    Le hic, c’est que la première affirmation, selon laquelle moins de sel équivaut à une pression sanguine basse, est la seule ayant quelque justesse – et même elle n'est qu’à peine vraie. Seulement, il n’y a pas corrélation entre pression artérielle basse et moins de maladies cardiaques. Et, comme cela devient évident, malgré les efforts pour démontrer le contraire, réduire le sel n'empêche pas les maladies cardiaques.

    La logique des auteurs était que, puisqu'ils sont arrivés à expliquer une très petite réduction de pression sanguine, il doit donc être vrai que la réduction de sel raréfie les crises cardiaques, puisque chacun sait que la pression artérielle basse prévient les crises cardiaques.


    Plaintes officielles à propos de l'étude

    Katharine Jenner, directrice de campagne chez Consensus Action on Salt and Health (CASH), a exprimé sa déception à propos de l'étude :

    Il est très décevant que le message de ce petit examen indique que la réduction du sel peut ne pas être bénéfique. C'est une conclusion qui ne convient absolument pas, étant donné les preuves solides et l’écrasant consensus de santé publique sur l’augmentation de la pression artérielle due au sel, qui entraîne des maladies cardio-vasculaires.

    Toujours ce sophisme. Apprendront-ils jamais que l’on ne peut créer quelque chose de cette manière, en la répétant encore et encore ? Et depuis quand un « consensus de santé publique » constitue-t-il la preuve de la véracité de quelque chose ? Si ça l'était, savez-vous que nous pourrions abroger la loi de la pesanteur ? Cela ne serait-il pas chouette ? Juste se réunir, décider qu'il n'y a plus consensus sur l'existence de la gravité – et nous pourrions tous commencer à voler !

    Au fait, qui est CASH ? C'est une organisation qui existe uniquement dans le but de promouvoir la réduction de la consommation de sel. Que diable vont-ils trafiquer si jamais le « consensus de santé publique » sur le sel avoue la vérité ?

    Francesco Cappuccio, le responsable du centre collaborant avec l'Organisation mondiale de la santé dans le domaine de la nutrition à l'université de Warwick, a qualifié l'étude de « travail remarquablement médiocre, » sans préciser ce qui clochait en elle, bien qu’il ait ensuite déclaré dans un courriel :

    Cette étude ne change pas les priorités annoncées dans le monde entier pour réduire la consommation de sel dans la population afin de prévenir les crises cardiaques et les accidents vasculaires cérébraux, les plus grands tueurs du monde.

    Dernièrement, l'OMS a paru fortement influencée par la grosse carambouille pharmaceutique, de sorte que sa réponse ne devrait guère surprendre.


    Le consensus de santé sur le sel est dénué de sens

    S'il y avait vraiment un consensus scientifique sur le sel, on pourrait s'attendre à voir des conseils de réduction du sel similaires donnés par divers pays. Or, c’est loin d'être le cas. En Zunie, la norme gouvernementale est de 2,3 grammes de sel par jour chez les gens exempts de risques connus de maladie cardiaque, et la restriction est encore plus grande pour ceux qui souffrent d'hypertension artérielle. Au Royaume-Uni, l'objectif est de réduire la consommation de sel à 6 grammes par jour, presque 3 fois plus ! Manifestement ces chiffres ne sont étayés par aucune étude. Ils sortent de nulle part.

    Les rapports sur cette étude semblent indiquer qu'il s'agit de la première démontrant que le sel ne nuit pas à la santé du cœur. Or, il y a juste deux mois, le Journal of the American Medical Association (JAMA) a présenté une étude, Heart Disease Deaths Four Times Higher With Low Salt Intake: JAMA Study [La mort par maladie cardiaque est quatre fois plus élevée avec une consommation pauvre en sel : étude de JAMA], qui montre une forte corrélation entre la mortalité par maladie cardiaque et l'usage modéré de sel.

    Tant l’étude de Cochrane que celle de JAMA démontrent que la médecine moderne ne repose sur rien de concret. Elle s’appuie en grande partie sur des convictions basées sur des croyances, et non sur des faits ou l'expérience – et sûrement pas sur la science.


    Original : www.gaia-health.com/articles451/000487-cochrane-salt-study-heart-disease.shtml
    Traduction copyleft de Pétrus Lombard


    Mardi 23 Août 2011

    source

    http://www.alterinfo.net/Selon-une-etude-de-Cochrane-reduire-le-sel-ne-reduit-pas-les-maladies-du-coeur_a62743.html?print=1

    Hira
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    Message  Hira 19/3/2013, 14:50

    A voir aussi le livre de Philippe Even : La verité sur le cholesterol où il dénonce la prescription massive de médicaments de la classe des statines contre le cholestérol.



    La vérité sur le cholestérol - Professeur Philippe Even


    La méthode

    Pour arriver à cette conclusion, Philippe Even a relu 46 essais cliniques sur le cholestérol et les statines, concernant 250.000 malades. "Sur les 46 essais cliniques, trois montrent un effet bénéfique des statines". "Le cholestérol n'a aucun rôle direct dans les maladie artérielles", conclut le médecin.

    "On s'est trompé, on l'a cru il y a très longtemps, c'est une histoire terminée. Il faudrait adapter la thérapeutique".

    Les soutiens

    Philippe Even n'est pas le premier à s'interroger sur la dangerosité réelle du cholestérol. Le Nouvel Observateur, qui publie des extraits de son livre, cite notamment Uffe Ravnskov, auteur des Mythes du cholestérol et initiateur d'un groupement de scientifiques, The International network of cholesterol skeptics

    Autre sceptique, Michel de Lorgeril, du CNRS de Grenoble, auteur de trois ouvrages sur le "cholestérol delirium".

    Le 16 janvier 2008, l'hebdomadaire américain Newsweek donnait la parole à James M. Wright, professeur à l'université de Colombie britannique de Vancouver, pour qui "la plupart des gens mis sous statines n’ont aucune chance d’en bénéficier mais un risque sérieux d’effets secondaires"

    Les détracteurs

    "Le Pr Even est dans une théorie du complot, seul contre tous. Mais un seul homme ne peut pas faire aussi bien que les équipes constituées du système académique", dénonce le Pr Stéphane Laurent, interrogé par 20minutes.fr. Pour ce cardiologue, chef du service du centre de pharmacovigilance de l'hôpital Georges-Pompidou, à Paris, l'efficacité des statines ne doit pas être remise en cause :

    "Les statines ont deux principaux effets indésirables : le risque de diabète, relativement faible, et des douleurs musculaires qui peuvent être réduites en modifiant les doses et en adaptant les traitements". "Le bénéfice des statines est supérieur aux risques, ajoute Stéphane Laurent, Ils empêchent que quelqu'un fasse un AVC ou un infarctus du myocarde, ce n'est pas rien !"

    http://www.lanouvellerepublique.fr/France-Monde/Actualite/Sante/n/Contenus/Articles/2013/02/14/Cholesterol-Philippe-Even-denonce-la-dangerosite-des-traitements-1335854

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