Ne vous êtes vous jamais demander, pourquoi, nos parents et grands parents avec un niveau d'étude ce limitant au certificat d'étude, ne faisait quasiment pas de fautes d'orthographe, alors que des bacheliers actuel font 3 fautes par lignes.
Posons le problème : le niveau a baissé avec le temps.
Les acteurs : le programmes, les profs, les parents, les médias, les élèves.
Donc les variables ont changé entre temps. Lesquelles ?
Les profs ? Ouais, il y en a de moins en moins.
Les parents ? Ils bossent de plus en plus.
Les médias ? Ils ne sont pas bien intelligents, mais ce que j’avais quand j’étais gamin n’était pas très brillant non plus. Par contre, leur omniprésence favorise la passivité intellectuelle des enfants. Jouer avec des LEGO favorise plus la créativité qu’un jeu vidéo, ce qui donne une différence dans la création de connexions neuronales.
Les changements dans l’environnement chimique avec un cocktail de polluants qui rendraient les enfants moins aptes ? Les nouveaux pesticides affectent le système nerveux des abeilles, même en très petite quantité. La qualité du sperme humain a largement décru ces dernières décennies. Les enfants sont forcéments influencés par ce genre de choses, mais à quel degré ?
Les changements culturels et démographiques ? Pourquoi pas, puisque les changements récents coïncident avec une baisse de niveau des élèves.
Pas de pudeur à avoir, un bon raisonnement nécessite d’inclure un maximum d’hypothèses possibles.
Le changement culturel lié à l’arrivée d’internet ? C’est sûr que si l’on va sur google pour réaliser les biographies, la traduction de l’anglais et y faire la plupart de ses devoirs, on n’apprend pas grand chose. Si en plus l’ordi corrige l’orthographe, et qu’un bon français n’est plus du tout nécessaire pour communiquer, l’effort intellectuel se réduit à sa plus simple expression, avec l’effet que j’ai cité pour les médias. Internet affecte également l’esprit critique, et également la remise en cause de sa personnalité et de ses actes : quand on rejoint le groupe "l ortograf c tro nul sa serre a ri1", personne ne va nous critiquer, et on se sentira encore plus conforté dans son opinion, et forcément, quand on va a l’école et qu’on rencontre des opinions contraires ça ne se passe pas forcément bien, et l’élève rejette alors une partie du système.
L’Education Nationale a depuis des décennies "oublié" ses nobles enjeux. Il ne s’agit plus pour elle que de "produire" industriellement des êtres décervelés , consommateurs passifs et ignorants.
Allons ! Il faut être à la page et vilipender "La Princesse de Clèves" !!!
Posons le problème : le niveau a baissé avec le temps.
Les acteurs : le programmes, les profs, les parents, les médias, les élèves.
Donc les variables ont changé entre temps. Lesquelles ?
Les profs ? Ouais, il y en a de moins en moins.
Les parents ? Ils bossent de plus en plus.
Les médias ? Ils ne sont pas bien intelligents, mais ce que j’avais quand j’étais gamin n’était pas très brillant non plus. Par contre, leur omniprésence favorise la passivité intellectuelle des enfants. Jouer avec des LEGO favorise plus la créativité qu’un jeu vidéo, ce qui donne une différence dans la création de connexions neuronales.
Les changements dans l’environnement chimique avec un cocktail de polluants qui rendraient les enfants moins aptes ? Les nouveaux pesticides affectent le système nerveux des abeilles, même en très petite quantité. La qualité du sperme humain a largement décru ces dernières décennies. Les enfants sont forcéments influencés par ce genre de choses, mais à quel degré ?
Les changements culturels et démographiques ? Pourquoi pas, puisque les changements récents coïncident avec une baisse de niveau des élèves.
Pas de pudeur à avoir, un bon raisonnement nécessite d’inclure un maximum d’hypothèses possibles.
Le changement culturel lié à l’arrivée d’internet ? C’est sûr que si l’on va sur google pour réaliser les biographies, la traduction de l’anglais et y faire la plupart de ses devoirs, on n’apprend pas grand chose. Si en plus l’ordi corrige l’orthographe, et qu’un bon français n’est plus du tout nécessaire pour communiquer, l’effort intellectuel se réduit à sa plus simple expression, avec l’effet que j’ai cité pour les médias. Internet affecte également l’esprit critique, et également la remise en cause de sa personnalité et de ses actes : quand on rejoint le groupe "l ortograf c tro nul sa serre a ri1", personne ne va nous critiquer, et on se sentira encore plus conforté dans son opinion, et forcément, quand on va a l’école et qu’on rencontre des opinions contraires ça ne se passe pas forcément bien, et l’élève rejette alors une partie du système.
L’Education Nationale a depuis des décennies "oublié" ses nobles enjeux. Il ne s’agit plus pour elle que de "produire" industriellement des êtres décervelés , consommateurs passifs et ignorants.
Allons ! Il faut être à la page et vilipender "La Princesse de Clèves" !!!