Si l’on réglait le problème du racket bancaire, et de l’intérêt de la dette cumulée qui n’a pas le lieu d’être, en revenant sur la loi de 1973, on devrait non seulement annuler la dette, mais en demander le remboursement rétroactif pour avoir non seulement fait passer une loi en douce, après éviction de De Gaulle, loi qui est un racket contraire à la constitution et au pouvoir régalien de l’état de battre sa monnaie.
En réalité ce sont les banques qui nous doivent de l’argent, parce qu’elles nous extorquent depuis 1973, si l’on récupère cet argent et si l’on arrête ce racket, que l’on annule cette dette virtuelle, on peut régler les retraites de tout le monde sans aucun problème.
Demander l’allongement du temps de travail dans une France, qui détruit les emplois tous les jours est une absurdité, c'est-à-dire que presque plus personne ne travaille, mais que ceux qui travail, travail à mort.
Le problème aujourd’hui est de stopper la désindustrialisation, recréer le pleine emploi, car tout le problème vient de la, et pourquoi a-t-on une désindustrualisation et un chômage de masse ? En partie, à cause de la logique bancaire du capitalisme spéculatif à court terme.
Logique insufflée par Wallsreet qui sont les mêmes racketteurs. C’est la même logique et le même groupe : les agences de notations, Wallstreet, la FED. La manière dont ces entités ont dépossédé les états du droit régalien de battre monnaie à taux zéro pour les investissements productifs générant de la valeur ajoutée, donc ne générant pas d’inflation et permettant l’état providence, tout cela en boucle, donc il faut régler ce problème global qui touche toujours au même nœud communautaire de la haute finance internationale. Tout cela ressemble aux années 1930, c’est un constat.
Cela correspondrait au servage de l’ancien régime, avec une aristocratie qui avait la terre et qui y faisait travailler le paysan, car Dieu lui avait donné la terre pour que le peuple la travaille, et que lui puisse chasser et en jouir.
Aujourd’hui nous sommes dans un pourvoir bancaire qui revient au même, le travailleur doit suer pour que les banquiers puissent jouir, sous prétexte qu’ils se sont accordé un pouvoir autoproclamé, le pouvoir du racket bancaire, l’usure.
Nous sommes sur une lecture parallèle. D’un côté, une aristocratie bancaire qui se croit presque de droit divin, rackettant les peuples et les nations de plus en plus brutalement, donc soit nous aurons une révolte populaire occidentale contre ce racket bancaire, c’est le populisme Orwellien dont parle très bien Jean-Claude Michéa et la reprise du pouvoir bancaire par les nations sur elles mêmes, soit c’est la dictature intégrale de la Banque (avec un grand B) qui saigne les peuples à blanc pour son seul intérêt dont le champion arrive directement du FMI : Dominique Strauss-Kahn.
Ce discour du mensonge est la soumission accrue des peuples à la Banque par un gouvernement mondial (le fameux Nouvel Ordre Mondial –NWO-) et du FMI. Son champion (DSK) sera déguisé en candidat de gauche, et c’est la ou cela devient diabolique, car le vrai candidat de gauche sera, lui, présenté par les médias à la botte du pouvoir comme le diable. Nous sommes en pleine inversion des valeurs réelles, qui avec l’élection de 2012 sera presque biblique, avec un antéchrist à l’œil unique imprimé sur le billet de un Dollar.
Le Marxisme-léninisme bien compris ainsi que la critique de la logique du libéralisme bancaire bien comprise ramènent à des choses qui ressemblent, de façon troublante, aux textes religieux traditionnels.
L’Apocalypse de St Jean rejoint une lecture marxiste de la dérive du capital.
Ce sont des moments que les grecs antiques appelaient moment de « KAIROS », Kairos est le dieu de l'occasion opportune, ou une lecture mystico-symbolique rejoint une lecture matérialiste et rationnelle, et nous sommes dans ce moment de KAIROS ou les niveaux de lectures coïncident, le mystique absolu est en phase avec le matérialisme absolu, il faut le bon travail d’analyse, ils peuvent tout les deux combattre pour le bien en appliquant le même logique et lutter contre le même ennemi.
source : moi même
En réalité ce sont les banques qui nous doivent de l’argent, parce qu’elles nous extorquent depuis 1973, si l’on récupère cet argent et si l’on arrête ce racket, que l’on annule cette dette virtuelle, on peut régler les retraites de tout le monde sans aucun problème.
Demander l’allongement du temps de travail dans une France, qui détruit les emplois tous les jours est une absurdité, c'est-à-dire que presque plus personne ne travaille, mais que ceux qui travail, travail à mort.
Le problème aujourd’hui est de stopper la désindustrialisation, recréer le pleine emploi, car tout le problème vient de la, et pourquoi a-t-on une désindustrualisation et un chômage de masse ? En partie, à cause de la logique bancaire du capitalisme spéculatif à court terme.
Logique insufflée par Wallsreet qui sont les mêmes racketteurs. C’est la même logique et le même groupe : les agences de notations, Wallstreet, la FED. La manière dont ces entités ont dépossédé les états du droit régalien de battre monnaie à taux zéro pour les investissements productifs générant de la valeur ajoutée, donc ne générant pas d’inflation et permettant l’état providence, tout cela en boucle, donc il faut régler ce problème global qui touche toujours au même nœud communautaire de la haute finance internationale. Tout cela ressemble aux années 1930, c’est un constat.
Cela correspondrait au servage de l’ancien régime, avec une aristocratie qui avait la terre et qui y faisait travailler le paysan, car Dieu lui avait donné la terre pour que le peuple la travaille, et que lui puisse chasser et en jouir.
Aujourd’hui nous sommes dans un pourvoir bancaire qui revient au même, le travailleur doit suer pour que les banquiers puissent jouir, sous prétexte qu’ils se sont accordé un pouvoir autoproclamé, le pouvoir du racket bancaire, l’usure.
Nous sommes sur une lecture parallèle. D’un côté, une aristocratie bancaire qui se croit presque de droit divin, rackettant les peuples et les nations de plus en plus brutalement, donc soit nous aurons une révolte populaire occidentale contre ce racket bancaire, c’est le populisme Orwellien dont parle très bien Jean-Claude Michéa et la reprise du pouvoir bancaire par les nations sur elles mêmes, soit c’est la dictature intégrale de la Banque (avec un grand B) qui saigne les peuples à blanc pour son seul intérêt dont le champion arrive directement du FMI : Dominique Strauss-Kahn.
Ce discour du mensonge est la soumission accrue des peuples à la Banque par un gouvernement mondial (le fameux Nouvel Ordre Mondial –NWO-) et du FMI. Son champion (DSK) sera déguisé en candidat de gauche, et c’est la ou cela devient diabolique, car le vrai candidat de gauche sera, lui, présenté par les médias à la botte du pouvoir comme le diable. Nous sommes en pleine inversion des valeurs réelles, qui avec l’élection de 2012 sera presque biblique, avec un antéchrist à l’œil unique imprimé sur le billet de un Dollar.
Le Marxisme-léninisme bien compris ainsi que la critique de la logique du libéralisme bancaire bien comprise ramènent à des choses qui ressemblent, de façon troublante, aux textes religieux traditionnels.
L’Apocalypse de St Jean rejoint une lecture marxiste de la dérive du capital.
Ce sont des moments que les grecs antiques appelaient moment de « KAIROS », Kairos est le dieu de l'occasion opportune, ou une lecture mystico-symbolique rejoint une lecture matérialiste et rationnelle, et nous sommes dans ce moment de KAIROS ou les niveaux de lectures coïncident, le mystique absolu est en phase avec le matérialisme absolu, il faut le bon travail d’analyse, ils peuvent tout les deux combattre pour le bien en appliquant le même logique et lutter contre le même ennemi.
source : moi même