Je m'était promis de ne pas parler de cette grosse daube, mais c'est un signe des temps actuels.
Logiquement, nous allons toujours plus loin dans la dictature et la culpabilisation : Roseline Bosch (!), réalisatrice du navet propagandiste « La Rafle » ( la rafle du Vel d’Hiv)comparé les spectateurs qui seraient insensibles à son film à Hitler des nazis.
N'oublions jamais que :
L'acronyme « nazisme » est la contraction de « national-socialisme » (Nationalsozialismus en allemand). En effet, le « national-socialisme » se veut distinct du « socialisme international », c'est-à-dire des mouvements socialistes internationalistes, d'inspiration marxiste ou non, tels que l'Internationale socialiste ou l'Internationale communiste, dont la vocation « antipatriotique » était à l'opposé du nationalisme pangermaniste hitlérien. L'idéologie nazie se distingue également d'autres doctrines nationalistes de l'époque comme, en France, le « socialisme national » de Maurice Barrès, qui disait combiner nationalisme et « socialisme ».
Je cite :
"Pour la réalisatrice de La Rafle, ceux qui ne pleurent pas devant son film sont des nazis
Rose Bosch provoque la polémique en comparant les spectateurs insensibles à son film à Hitler.
Rose Bosch est sans doute allée trop loin. En pleine promo du DVD de La Rafle , la réalisatrice a eu des mots très durs envers les spectateurs qui n'auraient pas pleuré devant son film : “Je me méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film explique-t-elle au magazine Les Années Laser. Il lui manque un gène : celui de la compassion”. En gros, pour Rose Bosch, ceux qui ne pleurent pas seraient donc des nazis.
Premier long de cette ancienne journaliste, La Rafle revenait sur la tristement célèbre “Rafle du Vel d’hiv". En prenant le point de vue des victimes et des bourreaux et en adoptant également la vision de quelques enfants, son film avait le mérite de mettre en lumière ces journées tragiques de juillet 1942 durant lesquelles la police et la gendarmerie française ont raflé plus de 13 000 juifs. Mais exhumer les pages sombres de notre histoire suffit-il à faire oeuvre de cinéma ? A la sortie, les critiques étaient partagées : toutes reconnaissaient au film son “ambition pédagogique”, sa nécessité, mais certains le jugeait maladroit (Marianne), “formaté, amidonné” (Le Parisien) et considérait qu’il s’agissait “d’une mauvaise leçon de cinéma” (Positif). Ces critiques ne refroidirent pas pour autant le public qui se déplaça massivement dans les salles (2,8 millions de spectateurs)
Interrogé par le mensuel Les Années Laser, Rose Bosch est revenue sur les critiques adressées à son film."
Comme tout le monde, je commence vraiment à saturer de cette histoire de shoa: quand est-ce qu'on va arrêter de nous culpabiliser sur ce qui s'est passé il y a plus de 60 ans??!!!
Personnellement je ne culpabilise de rien du tout, Bien au contraire ! Depuis que je me suis penché sérieusement sur le sujet et que j'ai découvert que tout cela était une grosse manipulation pour tiré un maximum de Fric.
C'est tout de même inouï de toujours tout ramener à son petit nombril alors que dans l'histoire et même encore aujourd'hui il se passe tellement de chose horrible dans le monde!
Mais non, ces gens la, se contrefichent du monde qui les entourent et préfèrent ne parler que d'eux, et maintenant si on ne pleurniche pas avec eux sur des films propagandistes merdiques en plus et bien ça y est le mot est lâché: antisémite.
On commence vraiment à en avoir marre de cette pensée unique, de ce terrorisme de la pensée qui fait que de plus en plus de personnes aujourd'hui ne se sentent plus concernée par tout ça et tant mieux parce que ras-le-bol de cette repentance!
A quand un film sur l'évictions des Roms de France ? (encore une histoire de sous et de propagande) ou si cela ne vous fait pas pleuré vous serait des UMPistes !
enfin dans le même style il y en a des tonnes ici :
http://www.contre-info.com/tag/juifs
je ne pense pas que ca durera autant que les impots ...
Logiquement, nous allons toujours plus loin dans la dictature et la culpabilisation : Roseline Bosch (!), réalisatrice du navet propagandiste « La Rafle » ( la rafle du Vel d’Hiv)comparé les spectateurs qui seraient insensibles à son film à Hitler des nazis.
N'oublions jamais que :
L'acronyme « nazisme » est la contraction de « national-socialisme » (Nationalsozialismus en allemand). En effet, le « national-socialisme » se veut distinct du « socialisme international », c'est-à-dire des mouvements socialistes internationalistes, d'inspiration marxiste ou non, tels que l'Internationale socialiste ou l'Internationale communiste, dont la vocation « antipatriotique » était à l'opposé du nationalisme pangermaniste hitlérien. L'idéologie nazie se distingue également d'autres doctrines nationalistes de l'époque comme, en France, le « socialisme national » de Maurice Barrès, qui disait combiner nationalisme et « socialisme ».
Je cite :
"Pour la réalisatrice de La Rafle, ceux qui ne pleurent pas devant son film sont des nazis
Rose Bosch provoque la polémique en comparant les spectateurs insensibles à son film à Hitler.
Rose Bosch est sans doute allée trop loin. En pleine promo du DVD de La Rafle , la réalisatrice a eu des mots très durs envers les spectateurs qui n'auraient pas pleuré devant son film : “Je me méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film explique-t-elle au magazine Les Années Laser. Il lui manque un gène : celui de la compassion”. En gros, pour Rose Bosch, ceux qui ne pleurent pas seraient donc des nazis.
Premier long de cette ancienne journaliste, La Rafle revenait sur la tristement célèbre “Rafle du Vel d’hiv". En prenant le point de vue des victimes et des bourreaux et en adoptant également la vision de quelques enfants, son film avait le mérite de mettre en lumière ces journées tragiques de juillet 1942 durant lesquelles la police et la gendarmerie française ont raflé plus de 13 000 juifs. Mais exhumer les pages sombres de notre histoire suffit-il à faire oeuvre de cinéma ? A la sortie, les critiques étaient partagées : toutes reconnaissaient au film son “ambition pédagogique”, sa nécessité, mais certains le jugeait maladroit (Marianne), “formaté, amidonné” (Le Parisien) et considérait qu’il s’agissait “d’une mauvaise leçon de cinéma” (Positif). Ces critiques ne refroidirent pas pour autant le public qui se déplaça massivement dans les salles (2,8 millions de spectateurs)
Interrogé par le mensuel Les Années Laser, Rose Bosch est revenue sur les critiques adressées à son film."
Comme tout le monde, je commence vraiment à saturer de cette histoire de shoa: quand est-ce qu'on va arrêter de nous culpabiliser sur ce qui s'est passé il y a plus de 60 ans??!!!
Personnellement je ne culpabilise de rien du tout, Bien au contraire ! Depuis que je me suis penché sérieusement sur le sujet et que j'ai découvert que tout cela était une grosse manipulation pour tiré un maximum de Fric.
C'est tout de même inouï de toujours tout ramener à son petit nombril alors que dans l'histoire et même encore aujourd'hui il se passe tellement de chose horrible dans le monde!
Mais non, ces gens la, se contrefichent du monde qui les entourent et préfèrent ne parler que d'eux, et maintenant si on ne pleurniche pas avec eux sur des films propagandistes merdiques en plus et bien ça y est le mot est lâché: antisémite.
On commence vraiment à en avoir marre de cette pensée unique, de ce terrorisme de la pensée qui fait que de plus en plus de personnes aujourd'hui ne se sentent plus concernée par tout ça et tant mieux parce que ras-le-bol de cette repentance!
A quand un film sur l'évictions des Roms de France ? (encore une histoire de sous et de propagande) ou si cela ne vous fait pas pleuré vous serait des UMPistes !
enfin dans le même style il y en a des tonnes ici :
http://www.contre-info.com/tag/juifs
je ne pense pas que ca durera autant que les impots ...