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Quand ce système hégémonique s'est-il imposé à l'Humanité ?
Toute personne lucide perçoit de nos jours plus qu'avant les dangers larvés d'un système axé sur la mainmise d'une minorité oligarque sur le produit du labeur de l’humanité et la spoliation des richesses de la planète.
Les suites ininterrompue de contestations et oppositions à ce régime clanique au travers de toute l'histoire répertoriée des peuples, ne reflètent que son rejet et l'éclatant témoignage de son inhérence à la nature profonde de l'essence humaine.
Cette hégémonie congénitale de domination pratiquée par une succession de groupes hermétiques à mis des millénaires à s'implanter sur tout les territoires et ne parvient à se maintenir que par l'usage de la force !
Mais a t-elle toujours prévalue sur terre ?
Quand et par qui ce système à t-il été érigé en modèle entre les hommes ?
Sans s’étendre en ce post sur les premiers foyer de départ de la civilisation, pour retrouver les traces significatives d'un vrai système répandu à un ensemble de populations différentes, considérons les premières organisations sortie de l'animosité des cités états pour englober des airs géographique pluraliste digne du concept de l’état nation.
En Mésopotamie vers la fin du XXVe siècle av J.C. naissait le pays d'AKKAD unifiant les anciennes cités antagonistes de Sumer sous sa seule férule en leurs garantissant par contrats le développement de leurs commerces avec les nouvelles entités politiques émergentes de l'époque.
En Akkadien, ÂKKAD : est celui qui contracte par (ÂKD) terme resté avec la même syllabe dans la plupart des langues ACT = ''acte'', nouer, sceller par consensus l'acte écrit d'une transaction, traité ou accord.
Simultanément à la même époque :
_ En Ya-Kha-Ptha (Égypte) pharaonique, après de très long effort de rétablissement d'une civilisation post-diluvienne, la deuxième dynastie parvenait à la réunification de la basse et haute Égypte sous le même royaume.
_ Sur les rives Méditerranéennes aux pieds de l'Europe encore engoncée dans le froid des inlandsis, près des berges de ce qui plus tard deviendra la Grèce antique, sur le fronton de mer représente par la Crète et sur les îles des archipels de la mer Égée s’établissait l'une des deux civilisations les plus avancées au monde en ce temps : la MINOENNE.
Formée par d'habile navigateurs marchands, l’énigmatique civilisation minoenne, alors que sur les cinq continents l'ensemble de l'humanité se balade encore en peau de bête et se terre la nuit dans les grottes, elle, mystérieusement cumule les plus grandes prouesses technologiques du monde, de la construction navale, d'architecture, métallurgie, agriculture, tissage, manufacture en tout genre, artisanat, commerce, organisation sociale en villes, villages, fermes délavages, champs de cultures agraires, construction d' entrepôts et de ports ou un arsenal impressionnant de flotte navale de Birèmes et trirèmes attendent l'affrètement pour appareiller tout azimute !!!
À consulter les archives ou voir les restes de Knosos, nous sommes plus de deux mille ans avant Jésus Christ et les Minoens habitent des cités mieux structurés que jamais ne le serra Rome deux mille ans plus tard. les immeubles aux appartements spacieux se composent de deux à quatre étages avec eau courante à tout les niveaux, salle de bain avec baignoire et toilette relier par canalisation au tout à l’égout. Un luxe certes, mais loin de tout faste, un style cossu et minimaliste. Aucune grande différence entre les locaux palatiaux de Knosos ou les habitations des citadins des autres villes de Théra tel Acrotiri ou Palaïkastro, Gournia, Malia, Phaistos et Zakros en Crète.
Les trois entités politiques si haut cités avaient réussi à juguler les velléités de domination des clans tourné vers l'exploitation et asservissement des populations de leurs petites cités en les conviant à l’adhésion à des réseaux économiques embrassant des territoires plus vaste régis par des régimes d'association égalitaires au pouvoir, fixés par une législations éthiques.
Ils y étaient parvenue parce qu’ils étaient mieux organisé que leurs adversaires moins nombreux et parce que l'esprit soucieux de civiliser et élever l'humanité était le plus répandu sur tout les continents. Ces entités politiques maintenaient ininterrompu les contacts entre leurs éléments en détenant les moyens de transport fluviaux et maritime pour assurer communication et transport des contenus de toutes transactions commerciales.
L'autre civilisation pareillement avancé qui leur était contemporaine et associée, était la civilisation de l'INDUS
longtemps méconnu des historiens, elle à régné durant plus de cinq mille ans sur un territoire deux fois plus grand que la France au Sud-Est d'ELAM, Iran actuel et au nord-ouest de l'actuel Inde.
Contrairement aux trois autres elle n’eut jamais à luter en son sein contre des clans d'oppresseurs.
La civilisations sophistiquée de l'Indus n'avait rien en commun avec le caractère pastoral et nomade gravitant au tour des cités des trois autres cultures.
Particulièrement urbaines ses populations s'établissaient autour des fleuves de l'Indus. Les restes de leurs plus grandes ville telle Mohenjo-Daro, Harappa, Lothal ou Dholavira témoignent encore d'une planification bien réfléchis des villes sur des aires de plus de quarante hectares élevé sur des tertres où les rues quadrillées sont disposées en damier, traversées du nord au sud par des boulevards de plus de cent mètres de large, que coupent à angle droit des ruelles orientées d’Est en Ouest, délimitant des blocs d’habitation eux-mêmes desservis par des voies plus étroites. Les rues de la ville étaient toutes bordées et avaient des systèmes de drainage reliés aux égouts sous la chaussé et disposaient, à intervalles réguliers, de bloc de composte en bric pour la dépose des restes ménager. Ces villes pouvait contenir jusqu'à 40 000 habitants chacune
Les archéologues restent frappés par le degré de standardisation des constructions. Le même modèle et taille des maisons d’habitation à l’exception des quelques édifices publics.
Les fouilles ont mis à jours des maisons conçues de manière à assurer un maximum de confort et de sécurité. Des cours intérieures distribuaient l’éclairage du jour avec les fenêtres tamisées par des treillages en terre cuite ou albâtre. Bon nombre de maisons disposaient d’un puits individuel. Les plus petites demeures découvertes comportaient deux pièces avec salle de bain et cuisine. Les excavations ont également révélé la présence de WC. Les eaux usées étaient collectées dans de petites fosses revêtues de briques situées au bas des murs des maisons et acheminés par des conduits vers un réseau de canalisations creusées sous le pavement des rues et recouvertes de briques cuites. Ces canalisations débouchaient sur un système plus vaste d’égouts, également couverts, qui évacuaient les eaux usées hors des secteurs habités vers des tertres artificiels hors des villes.
La caractéristiques de cette civilisation reste sa non-violence, sa société ignorait la division en classes sociales. Il n'a été trouvé sur son territoire aucun signe de royauté ou puissance théocratique: pas de plais ni temple prestigieux ni idoles, aucune représentation de scènes guerrières ou trace d'esclavage. Pas de stigmates de conflits sociaux non plus ni présence de prisons ni aucune représentation de torture ou mise à mort.
Très peux d'armes ont été découverts sur ces sites dénuées de toutes traces d'activités militaires. Les villes n’avaient pas de fortification, de même qu'il n'a été trouvé nul part d'ouvrage architectural servant de rôle défensif.
Ce peuple pacifique, lettré et égalitaire s'adonnait uniquement à l'industrie, tissage, artisanat, élevage, agriculture et au commerce.
Ses réseaux commerciaux maritimes s’étendaient jusqu’en Perse, Mésopotamie, Magan, Égypte et Minos au travers de la marine Minoenne.
Leurs minuscules statuettes découvertes désignent de lointaines souvenances Dravidiennes du culte de la déesse mère, la gestion des affaires sociale par un modeste prêtre, ainsi que des références à une divinité cornue à plusieurs têtes assise en position yogui de l’aspect d'un proto-Shiva.
Ces quatre premières grandes nations contemporaines et indépendante l'une par rapport à l'autre entretenaient de permanents contacts politiques et commerciaux malgré le fait d'être géographiquement éloignées, grâce à leur réseaux de navigation maritime.
La simultanéité de leurs apparitions et similarité du sens d'orientation de leurs Régime envers leur population, font d’emblée apparaître que le choix de leurs particulières implantations sur ces superficies du globe, obéissaient à la stratégie dûment voulu d'occuper chacune une position privilégier dans la répartition démographique des peuplades humaine du monde d'alors. Positionnement avantagé par l'adoption des grands bassins versants nourriciers que représente ces immenses plateaux parcourues de fleuves.
Ce qui étaie la lecture de cette manœuvre de rayonnement orchestré, est l'engagement et implication de concert de ces nations sur la même voie de la construction, développement et élévation de leurs populations à fin les sortir de l'obscure préhistoire vers les lumières du savoir et connaissances en ces début de l'histoire.
La preuve de leurs solides contacts nous est restituée par le témoignage du document gravé en Sumérien sur une tablette d'argile par le roi Sargon premier d'AKKAD, archivant ses réceptions en ses ports des bateaux commerciaux provenant de Magan, Égypte et de Meluha (Indus).
Ces nations prospérèrent ensemble du XXVe siècle av J.C jusqu'au XVIe siècle av J.C.
assiwan
à suivre...
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Quand ce système hégémonique s'est-il imposé à l'Humanité ?
Toute personne lucide perçoit de nos jours plus qu'avant les dangers larvés d'un système axé sur la mainmise d'une minorité oligarque sur le produit du labeur de l’humanité et la spoliation des richesses de la planète.
Les suites ininterrompue de contestations et oppositions à ce régime clanique au travers de toute l'histoire répertoriée des peuples, ne reflètent que son rejet et l'éclatant témoignage de son inhérence à la nature profonde de l'essence humaine.
Cette hégémonie congénitale de domination pratiquée par une succession de groupes hermétiques à mis des millénaires à s'implanter sur tout les territoires et ne parvient à se maintenir que par l'usage de la force !
Mais a t-elle toujours prévalue sur terre ?
Quand et par qui ce système à t-il été érigé en modèle entre les hommes ?
Sans s’étendre en ce post sur les premiers foyer de départ de la civilisation, pour retrouver les traces significatives d'un vrai système répandu à un ensemble de populations différentes, considérons les premières organisations sortie de l'animosité des cités états pour englober des airs géographique pluraliste digne du concept de l’état nation.
En Mésopotamie vers la fin du XXVe siècle av J.C. naissait le pays d'AKKAD unifiant les anciennes cités antagonistes de Sumer sous sa seule férule en leurs garantissant par contrats le développement de leurs commerces avec les nouvelles entités politiques émergentes de l'époque.
En Akkadien, ÂKKAD : est celui qui contracte par (ÂKD) terme resté avec la même syllabe dans la plupart des langues ACT = ''acte'', nouer, sceller par consensus l'acte écrit d'une transaction, traité ou accord.
Simultanément à la même époque :
_ En Ya-Kha-Ptha (Égypte) pharaonique, après de très long effort de rétablissement d'une civilisation post-diluvienne, la deuxième dynastie parvenait à la réunification de la basse et haute Égypte sous le même royaume.
_ Sur les rives Méditerranéennes aux pieds de l'Europe encore engoncée dans le froid des inlandsis, près des berges de ce qui plus tard deviendra la Grèce antique, sur le fronton de mer représente par la Crète et sur les îles des archipels de la mer Égée s’établissait l'une des deux civilisations les plus avancées au monde en ce temps : la MINOENNE.
Formée par d'habile navigateurs marchands, l’énigmatique civilisation minoenne, alors que sur les cinq continents l'ensemble de l'humanité se balade encore en peau de bête et se terre la nuit dans les grottes, elle, mystérieusement cumule les plus grandes prouesses technologiques du monde, de la construction navale, d'architecture, métallurgie, agriculture, tissage, manufacture en tout genre, artisanat, commerce, organisation sociale en villes, villages, fermes délavages, champs de cultures agraires, construction d' entrepôts et de ports ou un arsenal impressionnant de flotte navale de Birèmes et trirèmes attendent l'affrètement pour appareiller tout azimute !!!
Trirème Minoenne XVIIe siècle av J.C.
À consulter les archives ou voir les restes de Knosos, nous sommes plus de deux mille ans avant Jésus Christ et les Minoens habitent des cités mieux structurés que jamais ne le serra Rome deux mille ans plus tard. les immeubles aux appartements spacieux se composent de deux à quatre étages avec eau courante à tout les niveaux, salle de bain avec baignoire et toilette relier par canalisation au tout à l’égout. Un luxe certes, mais loin de tout faste, un style cossu et minimaliste. Aucune grande différence entre les locaux palatiaux de Knosos ou les habitations des citadins des autres villes de Théra tel Acrotiri ou Palaïkastro, Gournia, Malia, Phaistos et Zakros en Crète.
Les trois entités politiques si haut cités avaient réussi à juguler les velléités de domination des clans tourné vers l'exploitation et asservissement des populations de leurs petites cités en les conviant à l’adhésion à des réseaux économiques embrassant des territoires plus vaste régis par des régimes d'association égalitaires au pouvoir, fixés par une législations éthiques.
Ils y étaient parvenue parce qu’ils étaient mieux organisé que leurs adversaires moins nombreux et parce que l'esprit soucieux de civiliser et élever l'humanité était le plus répandu sur tout les continents. Ces entités politiques maintenaient ininterrompu les contacts entre leurs éléments en détenant les moyens de transport fluviaux et maritime pour assurer communication et transport des contenus de toutes transactions commerciales.
L'autre civilisation pareillement avancé qui leur était contemporaine et associée, était la civilisation de l'INDUS
longtemps méconnu des historiens, elle à régné durant plus de cinq mille ans sur un territoire deux fois plus grand que la France au Sud-Est d'ELAM, Iran actuel et au nord-ouest de l'actuel Inde.
Contrairement aux trois autres elle n’eut jamais à luter en son sein contre des clans d'oppresseurs.
La civilisations sophistiquée de l'Indus n'avait rien en commun avec le caractère pastoral et nomade gravitant au tour des cités des trois autres cultures.
Particulièrement urbaines ses populations s'établissaient autour des fleuves de l'Indus. Les restes de leurs plus grandes ville telle Mohenjo-Daro, Harappa, Lothal ou Dholavira témoignent encore d'une planification bien réfléchis des villes sur des aires de plus de quarante hectares élevé sur des tertres où les rues quadrillées sont disposées en damier, traversées du nord au sud par des boulevards de plus de cent mètres de large, que coupent à angle droit des ruelles orientées d’Est en Ouest, délimitant des blocs d’habitation eux-mêmes desservis par des voies plus étroites. Les rues de la ville étaient toutes bordées et avaient des systèmes de drainage reliés aux égouts sous la chaussé et disposaient, à intervalles réguliers, de bloc de composte en bric pour la dépose des restes ménager. Ces villes pouvait contenir jusqu'à 40 000 habitants chacune
Les archéologues restent frappés par le degré de standardisation des constructions. Le même modèle et taille des maisons d’habitation à l’exception des quelques édifices publics.
Les fouilles ont mis à jours des maisons conçues de manière à assurer un maximum de confort et de sécurité. Des cours intérieures distribuaient l’éclairage du jour avec les fenêtres tamisées par des treillages en terre cuite ou albâtre. Bon nombre de maisons disposaient d’un puits individuel. Les plus petites demeures découvertes comportaient deux pièces avec salle de bain et cuisine. Les excavations ont également révélé la présence de WC. Les eaux usées étaient collectées dans de petites fosses revêtues de briques situées au bas des murs des maisons et acheminés par des conduits vers un réseau de canalisations creusées sous le pavement des rues et recouvertes de briques cuites. Ces canalisations débouchaient sur un système plus vaste d’égouts, également couverts, qui évacuaient les eaux usées hors des secteurs habités vers des tertres artificiels hors des villes.
La caractéristiques de cette civilisation reste sa non-violence, sa société ignorait la division en classes sociales. Il n'a été trouvé sur son territoire aucun signe de royauté ou puissance théocratique: pas de plais ni temple prestigieux ni idoles, aucune représentation de scènes guerrières ou trace d'esclavage. Pas de stigmates de conflits sociaux non plus ni présence de prisons ni aucune représentation de torture ou mise à mort.
Très peux d'armes ont été découverts sur ces sites dénuées de toutes traces d'activités militaires. Les villes n’avaient pas de fortification, de même qu'il n'a été trouvé nul part d'ouvrage architectural servant de rôle défensif.
Ce peuple pacifique, lettré et égalitaire s'adonnait uniquement à l'industrie, tissage, artisanat, élevage, agriculture et au commerce.
Ses réseaux commerciaux maritimes s’étendaient jusqu’en Perse, Mésopotamie, Magan, Égypte et Minos au travers de la marine Minoenne.
Leurs minuscules statuettes découvertes désignent de lointaines souvenances Dravidiennes du culte de la déesse mère, la gestion des affaires sociale par un modeste prêtre, ainsi que des références à une divinité cornue à plusieurs têtes assise en position yogui de l’aspect d'un proto-Shiva.
proto-Shiva
Ces quatre premières grandes nations contemporaines et indépendante l'une par rapport à l'autre entretenaient de permanents contacts politiques et commerciaux malgré le fait d'être géographiquement éloignées, grâce à leur réseaux de navigation maritime.
La simultanéité de leurs apparitions et similarité du sens d'orientation de leurs Régime envers leur population, font d’emblée apparaître que le choix de leurs particulières implantations sur ces superficies du globe, obéissaient à la stratégie dûment voulu d'occuper chacune une position privilégier dans la répartition démographique des peuplades humaine du monde d'alors. Positionnement avantagé par l'adoption des grands bassins versants nourriciers que représente ces immenses plateaux parcourues de fleuves.
Ce qui étaie la lecture de cette manœuvre de rayonnement orchestré, est l'engagement et implication de concert de ces nations sur la même voie de la construction, développement et élévation de leurs populations à fin les sortir de l'obscure préhistoire vers les lumières du savoir et connaissances en ces début de l'histoire.
La preuve de leurs solides contacts nous est restituée par le témoignage du document gravé en Sumérien sur une tablette d'argile par le roi Sargon premier d'AKKAD, archivant ses réceptions en ses ports des bateaux commerciaux provenant de Magan, Égypte et de Meluha (Indus).
Ces nations prospérèrent ensemble du XXVe siècle av J.C jusqu'au XVIe siècle av J.C.
assiwan
à suivre...
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