Perso je refuse le
vaccin, je ne consulte pas et je n'enrichis plus les pharmacies..
Ce serait une erreur de conseiller à quiconque de faire comme moi..
Toutes les annonces d'épidémies de grippes qui poussent à la vaccination ont toujours joué avec la peur.
Les remèdes naturels pour soigner une grippe simple peuvent être listés, mais suffiront-ils pour une pandémie d'un nouveau virus ?
D'autant plus qu'il faut se préparer à un virus avec probablement des complications bactériennes sur nos immunités affaiblies par les poisons de l'eau, des aliments, des métaux lourds, etc..
Je refuse, de plus, de rechercher les super-remèdes naturels et donc fort chers de tout un commerce dit bio-éthique.
Sur le site : http://www.infovaccin.fr/ , j'ai trouvé un texte qui rappelle Hippocrate au bon souvenir des médecins, et un autre qui date de 1995, dans lequel remonte le souvenir de la grippe espagnole :
"Non assistance à personne en danger
Categories: Edito
Auteur: webmaster
Date: Vendredi 21 avril 2006
L’actualité nous avait fait oublier la grippe aviaire, mais le virus H5N1 n’est pas resté longtemps dans l’ombre. Il est signalé partout et la fièvre gagne la planète. Bien que la rumeur de l’épidémie – savamment entretenue – progresse plus rapidement que les oiseaux migrateurs censés transmettre le virus, il n’y a aucune raison de douter de la réalité de la menace.
Les virus influenza de type A qui infectent les oiseaux sauvages sont en effet imprévisibles et non sélectifs. N’ayant pas de mécanisme de correction, ils subissent constamment des petits remaniements génétiques. Cette stratégie du virus, connue sous le nom de glissement, ou dérive antigénique, lui permet d’échapper durablement aux défenses immunitaires. Celles des hommes comme celles des oiseaux. Ce serait aussi le cas de la souche responsable de la pandémie de grippe espagnole dont plusieurs études récentes laissent penser que le virus était d’origine aviaire.
Face à la menace, réelle, les autorités sanitaires, l’institution médicale et les industriels nous disent avoir les choses sous contrôle, mais de quels outils disposent-ils en fait ? Ils ont en main les données chiffrées concernant les grandes pandémies grippales du XXe siècle (« espagnole » en 1918, « asiatique » en 1957 et « de Hongkong » en 1968) et y appliquent frénétiquement différents modèles mathématiques. Mais ce n’est pas cette modélisation qui va nous protéger : elle permet au mieux d’optimiser la gestion des stocks de médicaments !
Il y a aussi les antiviraux (Tamiflu et Relenza) qui ont déjà assuré un pactole providentiel aux laboratoires, ils n’ont toutefois pas encore fait la preuve de leur efficacité. On parle également d’un
vaccin prometteur ! Prometteur pour qui ? Si quelques géants de la pharmacie mondiale se frottent les mains, ceux qui craignent la maladie, eux, n’ont pas de quoi être rassurés.
Tandis que des milliers de patients ont profité de l’action positive des huiles essentielles dans le traitement de l’ensemble des maladies virales (hépatites, sida, herpès), ce type de traitement demeure complètement ignoré par les pouvoirs publics, les universitaires, les médecins et les politiques. D’où vient cet ostracisme ridicule, voire meurtrier, face à ces molécules naturelles dont on reconnaît pourtant l’efficacité dans le domaine de l’infectiologie.
Les lobbies, les incrédules patentés et les lâches décideurs devraient toutefois prendre garde. Car d’ici peu, on peut parier, par exemple, que les 100 000 Réunionnais qui sont atteints par le virus du chikungunya leur demanderont des comptes dès qu’ils verront les premiers résultats, dans leur île, des traitements employant les huiles essentielles à phénols et monoterpénols.
Lors de sa thèse, chaque jeune médecin prononce le serment d’Hippocrate dans lequel il jure, main levée : « dans toute la mesure de mes connaissances, je conseillerai aux malades la thérapie la meilleure, capable de les guérir ou de les soulager ». Si la pandémie de grippe aviaire survient effectivement, combien de médecins et d’universitaires mériteront alors d’être condamnés pour non-assistance à personne en danger ?"
"Grippe aviaire : la vaccination est la seule solution ?
Depuis plusieurs jours, on entend parler de grippe aviaire H5N1 et de ses risques, de la prévention par le
vaccin, "la grippe espagnole" de 1918/1920 étant souvent prise en exemple. A l’époque, certains s’en sont sorti sans dommage. Voyons comment.
Le virus H1N1, qui a causé la grippe espagnole, a disparu de la population humaine vers 1957, étant toujours présent chez le porc. Il est réapparu chez l’homme en 1977. Ce sous-type étant toujours présent dans une population animale, si un animal infecté entre en contact avec un être humain, il pourrait le lui transmettre.
Dans d’autres cas, un nouveau sous-type peut très bien infecter quelques personnes mais s’avérer être très peu infectieux d’un homme à un autre. Ce fut le cas de la « grippe du poulet de HongKong » en 1997, de sous-type H5N1 présent dans la volaille, qui a pu infecter des humains. Ce virus s’est par la suite avéré non infectieux d’un homme à un autre.
L’épidémie de grippe espagnole : 20 millions de morts.
Que s’est-il donc passé entre 1918 et 1920, pour provoquer une telle catastrophe ? Deux facteurs ont joué un rôle, mais un seul des deux nous est réellement connu. Premièrement, le virus était d’un sous-type nouveau : les virus circulant chez l’homme jusqu’en 1918 étaient de sous-type H2N8 et H3N8, ce virus-là était un virus H1N1, très proche du virus de la grippe porcine. Deuxièmement, ce nouveau sous-type H1N1 était 10 fois plus mortel que tout autre virus documenté ces 150 dernières années, et était principalement mortel pour les 20-50 ans (la tranche d’âge subissant normalement le taux de mortalité le plus faible lors d’une infection à influenza). On ne sait pas exactement pourquoi, même si l’on soupçonne que cela provienne d’une mutation dans une de ses protéines. Afin de mieux comprendre les raisons de ce 2e facteur, les chercheurs sont actuellement en quête de corps de personnes mortes de cette infection, à partir desquels ils pourraient isoler le virus et l’étudier.
Les pandémies de grippe sont-elles un fait nouveau ?
On dénombre pas moins de 28 pandémies de grippe depuis 1173/1174 jusqu’à nos jours, plus ou moins décrites. Pour celle de 1889/1891, on connaît aujourd’hui le virus déclencheur de cette pandémie le H2N8 qui toucha le monde entier. Il avait une forte incidence, mais une mortalité faible.
Expérience originale aux Etats-Unis face à la grippe espagnole
Un article publié dans The Journal of the American Institute of Homœopathy de 1921 sur la grippe espagnole regroupe les constatations d’une cinquantaine de médecins homéopathes américains après l’épidémie grippale. La constatation de ces médecins est quasiment toujours la même, par exemple :
• Dean W. A. Pearson of Philadelphia a recensé 26 795 cas de grippe traités par des praticiens homéopathes avec une mortalité de 1,05 % alors que la mortalité moyenne était de 30 % chez les tenants de la vieille école.
• 1 500 cas ont été rapportés à la Société Médicale Homéopathique du District de Colombia avec seulement quinze décès. Les guérisons à l’Hôpital Homéopathique National étaient de 100 %. -E. F. Sappington, M. D., Philadelphia.
Je pourrais continuer comme cela avec plus de cinquante témoignages, qui ne convaincront pas ceux qui pensent que c’est impossible, mais qui sont superflus pour plus de 60 % des Français qui se soignent de cette manière et qui ont expérimenté sur eux-mêmes ou leur entourage l’efficacité de cette médecine, même dans des cas graves.
Un message d’espoir !
C’est donc par l’homéopathie, bien connue de la majorité des Français, qu’il faudra se soigner au cas où une pandémie surviendrait.
De toute façon, la majorité d’entre nous ne sera pas parmi les personnes prioritaires pour obtenir un
vaccin, si tant est que ce dernier soit efficace, ce à quoi je ne crois guère. Les résultats médiocres des vaccins contre la grippe des années précédentes ne m’incitent pas à l’optimisme pour ce mode de prévention.
Etude sur la vaccination contre la grippe, par la CPAM de Nantes
Une des rares études menées sur le sujet par la CPAM de Nantes aboutissait à un résultat surprenant. Cette étude a été menée sur 12 034 personnes
vaccinées et 31 757 personnes non
vaccinées. On dénombre parmi les personnes
vaccinées plus d’atteintes de grippe que parmi les personnes non
vaccinées. Même si ce pourcentage n’est pas statistiquement significatif (1 %) on aurait pu s’attendre à ce que le groupe des personnes non
vaccinées soit mieux protégé et c’est pourtant l’inverse qui s’est produit. Autant dire que
vacciné ou pas, le résultat est quasiment le même.
Et demain que faire, si .... ?
Commencez dès aujourd’hui à rechercher un homéopathe compétent pour que vous ne soyez pas démuni lorsque la grippe arrivera, si toutefois le scénario catastrophe se produit, ce qui n’est pas sûr du tout.
Etude de l’incidence de la vaccination antigrippale sur la consommation de soins ambulatoires des personnes âgées de 60 à 69 ans CPAM de Nantes Peter C. et Fremont C.. Communication au congrès de ADELF 3/6 juillet 1995 à Nancy"
Et pour finir cette introduction, infovaccin propose un lien que j'ai bien aimé parcourir : http://soignez-vous.com/