Anti Nouvel Ordre Mondial

Alliance spirituelle contre la subversion mondialiste. Forum d'éveil des consciences par le partage des connaissances et l'esprit de solidarité.


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    Message  ratman 9/3/2011, 09:24

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    Message  ziril 9/3/2011, 11:21

    Un grand merci pour se partage Ratman, cheers cheers


    Leur site officiel: http://www.allianceroyale.fr/


    Vive le Roi et vive la France!!! king sunny


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    ratman


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    Message  ratman 9/3/2011, 12:00



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    Message  ratman 9/3/2011, 12:15

    Qu’est-ce qu’un roi nous apportera de plus que la République ?

    Nous aurions beau jeu de vous dire que la république est à son crépuscule, et qu’elle a déserté les préoccupations des Français. Nous aurions beau jeu de vous dire que c’était fatal, que la République française est avant tout et depuis le début idéologique, et que ces idéologies ne veulent rien d’autre à terme que l’individu, l’humanité et l’Etat. Au contraire, nous voulons être positif.

    L’idée royale représente une chance inespérée. La royauté apportera alors l’unité à notre France si fracturée, et une politique de continuité qui préservera à long terme les intérêts de notre pays, sa culture, son patrimoine, ses métiers, son environnement. Une France affermie dans ses institutions est capable d’affronter les grands enjeux de ce siècle : l’Europe, la mondialisation, la poussée du tiers-monde. Son identité profonde assurée, ses forces vives renforcées (la famille, l’école, la justice, l’armée, etc.), elle ne cherchera plus à justifier ses orientations politiques par la conformité ou non à l’idéologie (l’ouverture des frontière seulement par libéralisme, la laïcité seulement par agnosticisme, l’assistanat seulement par individualisme, etc.) mais elle agira par pragmatisme.

    Mais c’est dépassé, on risque de revenir en arrière !

    Quand vous êtes malade, ne souhaitez-vous pas retrouver, à l’avenir, l’état dans lequel vous étiez avant de tomber malade, à savoir la bonne santé ? Vous appelez ça revenir en arrière ? Vouloir l’instauration d’une monarchie en France, ce n’est pas vivre dans le passé, c’est s’appuyer sur notre Histoire et sur notre identité pour aborder plus sereinement l’avenir.

    Au moins, en république, la loi est la même pour tous.

    Dites plutôt que la loi est faite pour un homme uniformisé, statistiquement moyen, ce qui est monstrueux. Cela conduit à exclure de la loi ceux qui ne sont pas comme tout le monde, ou les indésirables, les inutiles. La loi uniforme conduit à l’injustice. Elle doit au contraire tenir compte des situations de famille, des métiers, des particularismes locaux. Et pour cela, il faut que tous ces gens puissent être représentés sincèrement, et non pas au travers des idéologies et des partis. Voici ce que se propose de faire l’Alliance royale : redonner vie aux différences régionales (au sens non folklorique du terme), tout en conservant une identité Française, grâce à la personne du roi ; redonner vie à la famille, en la prenant réellement en compte, légalement, institutionnellement. Tout cela la république ne peut le faire, au nom de l’égalité des individus.


    Ce sera le retour des privilèges !

    Êtes-vous certain qu’aujourd’hui les privilèges n’existent pas ? Allez, chercher bien, il y en a tellement. Les privilèges n’étaient pas l’apanage des nobles. Chaque ville, chaque profession avait les siens. N’est-ce pas toujours le cas ? De plus, souvenez-vous que le roi a cherché à combattre le pouvoir des grands seigneurs féodaux et le pouvoir de l’argent. Au contraire, en république, les élus se mettent trop souvent au service des féodaux modernes que sont les lobbies et les groupes de pression, et pas du bien commun comme pourra le faire le roi !

    Mais la République a réussi à uniformiser les lois, les coutumes, même la langue !

    Il est vrai que sous l’Ancien Régime nos rois n’ont pas cherché à homogénéiser à tout prix la société française. Ils ont construit patiemment la France, sans avoir recours à la Terreur ou à l’extermination comme l’a fait la république, dont le résultat, en France comme dans ses colonies, est de s’être acharnée à détruire les particularismes et les différences régionales, enlevant à notre pays comme aux pays colonisés une partie de leur âme. Sous la royauté, ces différences seront par nature respectées, parce que l’unité autour de la personne du roi est plus forte que tout, comme c’est le cas au royaume de Belgique. Sans cela la France finira par se dissoudre, mais après tout ne serait-ce pas la finalité de la république ?
    La république a donné l’égalité à tous, l’oubliez-vous ?

    Qu’est-ce que l’égalité ? Et comment y arrive-t-on ? En coupant toutes les têtes qui dépassent ? Si c’est niveler pour que tout le monde n’ait plus rien, sauf les apparatchiks, comme en Union Soviétique, alors non merci. Et puis, une société où tout est uniforme est proprement inhumaine. Mais c’est vrai que ce fut le rêve de certains dirigeants politiques du 20è siècle, avec leurs États totalitaires.
    Certes mais pour ce qui est des femmes ?
    C’est la révolution et l’Empire, avec le Code civil, qui les ont rendues civilement mineures, en cherchant à imiter le droit romain. Sous les républiques du XIXème siècle, en particulier, les femmes n’avaient plus aucun droit. C’est d’ailleurs intéressant de voir la formidable misogynie des « philosophes des lumières » dont la République s’inspire si volontiers. Et par une espèce d’effet de balancier, on veut donner au femme aujourd’hui des droits supérieurs aux hommes, avec une espèce de discrimination positive imbécile. Les femmes ont un rôle particulier à jouer dans la société, et c’est bien la question que l’Alliance Royale entend poser.


    Mais le roi ne fera les lois qu’en fonction des ses intérêts !

    Est-ce que vous connaissez dans votre entourage ne serait-ce qu’une personne capable de croire que les hommes politiques actuels se préoccupent sincèrement de l’intérêt des citoyens ? Non. Ils ne font jamais de loi contre leur intérêt ou contre les intérêts de ceux qui les ont fait élire. Le roi, au contraire, a déjà le pouvoir. Il sait que ses enfants l’auront aussi. L’intérêt du roi est le même que celui du pays sur lequel il règne. Quel intérêt aurait-il de régner sur un pays appauvri ? Aucun. Certains diront qu’un roi de France peut faire ce qu’il veut. Qu’ils méditent ces paroles. Monsieur Chirac a actuellement plus de pouvoir que Louis XIV. Un roi de France est responsable, et s’il se montre parjure à un certain nombre de serments et de lois, ses sujets sont délivrés du serment de fidélité, alors qu’un président jouit de l’immunité. La république est un régime irresponsable.


    Mais si le roi est fou ?

    La président de la république Paul Deschanel n’était-il pas fou ? En mille ans de Monarchie, le cas c’est peut-être présenté avec Charles VI. En réalité, il était malade. De plus, un roi ne gouverne pas tout seul. Il a des conseillers, lesquels sont tenus par une institution. Même malade, la seule présence du roi assure la stabilité du pouvoir. C’est là un avantage de l’institution royale. Par contre, c’est sous la république de Weimar qu’Hitler a été élu. Et Danton, et Robespierre avec la Terreur et tous ses massacres.

    Mais le roi, c’est un tyran !

    Cela n’est jamais arrivé en 1300 ans de monarchie française, et il y a assez de barrières dans les institutions de la royauté pour rendre impossible un tel événement. Ce sont les républicains qui accusaient Louis XVI d’être un tyran, alors que celui-ci a même refusé de faire tirer sur les émeutiers qui enfonçaient ses portes ! Les révolutionnaires ont liquidé des centaines de milliers de personnes parce qu’elles n’étaient pas d’accord avec eux. Qui est le tyran ? De toute façon, il suffit de comparer :

    * Guillaume II est-ce la même chose qu’Hitler ?
    * Sihanouk est-ce même chose que Pol Pot ?
    * Le Shah, est-ce même chose que Khomeyni ? -Louis XVI est-ce même chose que Robespierre ?
    * Nicolas II, est-ce même chose que Staline ? La république, elle, est plus que tyrannique, elle est totalitaire, sur les corps ou les âmes. Depuis les années 1880, elle enseigne aux élèves une histoire tronquée, falsifiée, trompeuse. Elle a endoctriné des générations entières, montrant une vision purement négative de la monarchie, et de nos jours, une image négative de la France, dans une sorte de masochisme abjecte.
    Et si le roi est incompétent ?

    Même d’intelligence moyenne, le roi est élevé dès l’enfance pour son métier de roi. Aujourd’hui nous élisons les meilleurs... candidats, et les meilleurs candidats font rarement les meilleurs responsables politiques. Par exemple, si Henri III avait été élu, il aurait fini par être renversé par le duc de Guise, ultra populaire à un moment donné, anti-protestant acharné, et qui n’aurait pas manqué de rallumer la guerre civile. De plus, les rois peuvent s’entourer des meilleurs hommes : Suger, Sully, Colbert. Tandis que les hommes politiques miseront plutôt sur des médiocres car ils ont trop peur de la concurrence. Tenez, si Louis XIII avait été élu, jamais il n’aurait gardé Richelieu. Et ne pensez-vous pas que le système actuel est par nature incompétent avec des majorités qui font et défont ce que les autres ont fait et défait juste avant ?
    Et la liberté ? Devrons-nous toujours penser comme le roi ?

    Heureusement que non ! Mais c’est aujourd’hui, en France, que nous ne sommes pas libres de penser et d’écrire ! L’intérêt d’un politicien est d’être réélu, donc de plaire au grand nombre puis de faire entrer tout le monde dans une pensée la plus unique possible. Le moyen le plus facile est la démagogie et la propagande. Le roi n’a pas besoin de ça puisqu’il ne dépend pas de l’élection. Il a au contraire besoin, pour bien gouverner, que les citoyens s’expriment et délèguent leurs représentants.
    Justement, à propos de Liberté, la république nous l’a donnée.
    Mais cette liberté là, c’est encore de la démagogie ! C’est faire croire à chacun qu’il peut faire ce qu’il veut ! La Liberté, avec un grand « L », lorsqu’elle est unique, mène à l’absence de libertés concrètes et réelles. Un roi de France, au contraire, s’attachera aux vraies libertés. Il pourra les préserver en étant justement le garant de règles qui se placent au dessus de lui-même et des intérêts particuliers. La France a toujours été pleine de libertés dans ses métiers, ses régions, ses villes, ses universités, ses écoles. Elles ont disparu ! Tenez, justement, croyez-vous que dans les écoles, aujourd’hui, les professeurs qui veulent bien faire leur travail sont vraiment libres ?
    Et les droits de l’homme ?


    D’abord, l’histoire de nos rois est remplie de ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui des progrès des droits de l’homme, au sens le plus naturel. La disparition du servage, la création des jours fériés (que la république veut supprimer), la dignité des femmes et des enfants, etc. Ce n’est pas la monarchie qui a rendu la femme mineure, ce n’est pas la monarchie qui a envoyé des enfants dans les mines, ce n’est pas la monarchie qui a créé un esclavagisme industriel. Ensuite, on parle toujours des droits ou des devoirs de l’homme, mais jamais de ses BESOINS : la paix, la prospérité, la justice. Or le roi est pour la paix (il ne fait pas des guerres pour des raisons électorales ou idéologiques, comme la République française où la « communauté internationale »). Le roi est pour la prospérité ; ce n’est pas un idéologue socialiste ou ultra-libéral. Le roi est pour la justice ; son souci est l’unité de son pays, et il sait bien que cela passe par la justice, alors qu’un président de la république divise les Français par sa simple désignation, et donc favorisera toujours un bord par rapport à un autre.
    Une monarchie est-elle xénophobe ?


    Une des vertus de la monarchie est l’ancrage dans le pays réel ; il est donc plus facile de communiquer avec les étrangers sans se perdre soi-même. Si vous préférez, c’est parce que je suis patriote que je respecte les étrangers, comme c’est parce que je suis chef de famille que je respecte les autres familles. Alors que la République, complètement désincarnée, est passée d’un extrême à l’autre, d’une xénophobie forcenée à la négation totale de l’identité nationale.
    Certes mais pour ce qui est des Juifs ?
    Avant la révolution, il y avait énormément de Juifs dans les administrations de province. Aux Etats Généraux de 1789, les Juifs votèrent, et envoyèrent leurs cahiers de doléances. A Bordeaux, l’un d’eux faillit même être élu député du Tiers-état. Il y a bien eu des statuts particuliers des Juifs, en particulier au Moyen-Age, mais ce n’était pas le fait de la monarchie : les républiques italiennes à la même époque et, avant cela, les républiques antiques se comportaient de la même façon avec ces communautés. Quant à l’antisémitisme, ce sont des mots qui n’ont pas de sens sous la monarchie, et qui vont justement prendre toute leur force dans ce XIXè siècle si épris de Liberté théorique, et tellement républicain.
    Mais tout de même, la royauté, c’est un peu le pouvoir donné à l’Eglise ?


    Certainement pas. Les rois de France ont toujours combattu les empiétements du Pape, même Saint-Louis ! Pourquoi un roi aujourd’hui agirait-il différemment ?
    Alors quelle est votre position vis à vis de l’Eglise ?

    Excusez-moi, mais j’aimerais tout d’abord que vous parliez des églises. Et des membres de l’Alliance royale, juifs ou protestants par exemple, sans parler des agnostiques, n’ont pas du tout l’intention de se voir imposer une confession. En revanche, l’institution royale est chrétienne, parce que la France est naturellement chrétienne, et parce que le roi doit forcément se référer à une loi qui le dépasse. La loi civile. Celle-ci, livrée à elle-même, n’est que le reflet des modes, des passions et des pulsions du moment, dont notre XXème siècle a fait la malheureuse expérience.
    La république, c’est l’unité, parce que le vote exprime la volonté générale.


    Mais c’est tout le contraire. En France, la république, c’est la désunion. D’abord la volonté générale, ça n’existe pas. Le vote n’exprime que la somme mathématique de points de vue individuels. Ensuite, chaque élection présidentielle est une grande défaite pour la France, car c’est la victoire d’une partie de la population sur une autre, donc une division. La république fonde son existence sur la division.
    Mais tout de même, un roi, c’est un personnage inaccessible, entouré de nobles !

    Sous Louis XIV, n’importe qui pouvait voir le roi. On louait même une épée et un chapeau à ceux qui n’en avaient pas comme on prête une cravate pour entrer dans certains restaurants, car c’était l’usage. Vous imaginez les risques que le roi prenait pour ne pas se dérober ? Allez frapper à la porte de l’Elysée pour voir ! Et puis, tout le monde pouvait devenir ministre du roi. Le père de Colbert vendait des draps. Tous les rois avaient des gens du peuple parmi leurs conseillers. Aujourd’hui, tant de ministres sont énarques et fils d’énarques ! Et puis la noblesse, c’est de l’histoire ancienne. Elle provenait de la féodalité qui n’a été liée à la monarchie que par l’histoire. N’y a-t-il pas aujourd’hui des sortes de féodalités de l’argent beaucoup plus éloignées du peuple que ne l’étaient les petits nobles de province ?
    Admettons, mais au niveau national, vous ne voulez tout de même pas remettre en cause le suffrage universel ?

    Tel qu’il est pratiqué, le suffrage universel est un vote de masse qui fait le jeu des partis, favorise les idéologies et la démagogie, il évacue les vrais problèmes. De plus, le système s’en sert pour faire croire que le pouvoir vient exclusivement du peuple, et, avec un peu de propagande et beaucoup d’argent, il fait ce qu’il veut. Nous ne remettons pas en cause le suffrage universel pour représenter les Français, mais il ne doit pas être utilisé pour tout et n’importe quoi.
    La république nous a donné la prospérité.

    La France était avant la révolution la nation la plus prospère d’Europe, et la plus en avance scientifiquement et techniquement au monde, devant l’Angleterre. La Révolution a tout bouleversé. Aujourd’hui, la république a 1000 milliards d’euros de dette. C’est ça la prospérité ? La république développe de la pénurie de manière institutionnelle. Ce qui compte, ce sont les réélections. Tenez, une politique économique a besoin de nombreuses années pour porter des fruits, mais les mandats électoraux sont bien plus courts que cela. Alors, la croissance est essentiellement liée au sacro-saint principe de consommation. Ceci est moins vrai dans une monarchie, car le Roi, de part sa position, peut se permettre de regarder vraiment loin, et l’argent de l’Etat, il ne veut pas s’en servir pour assurer sa réélection, mais il veut transmettre à son successeur un pays prospère.
    Parlons un peu des apports de la république ; elle nous a appris à lire.

    Ce qui est faux ! Dès Louis XIV, des édits sont promulgués pour que chaque ville se dote d’écoles. Les écoles de la république, avec ses hussards noirs, a appris à des générations d’enfants une histoire tronquée, falsifiée. Les Philosophes, tant épris de Liberté, demandaient la fermeture des écoles populaires, c’est ironique, n’est-ce pas ? Et puis, regardez un peu le désastre : un nombre impressionnant d’enfants ne lisent pas couramment en 6ème. Ne croyez-vous qu’avec autant de moyen et moins de dogmatisme, la monarchie ne pourra pas faire mieux ?
    Ce qui me gêne, tout de même, c’est l’hérédité.
    Mais tout est héréditaire : les chanteurs, les acteurs, les énarques, les médecins, les artisans, et ça ne choque personne ! Dans une monarchie, l’hérédité apporte quelque chose de plus : la continuité, la préservation des vrais intérêts du pays, à long terme. Les querelles et les appétits de pouvoir existeront toujours, il ne faut pas se leurrer, mais ils seront limités par le roi lui-même : lui, son pouvoir, il l’a reçu, il le transmet, tout simplement.


    Edit ziril:
    source: http://www.alliance-royale.com/nos-propositions-politiques/questions-frequentes/article/pourquoi-un-roi-aujourd-hui
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    ratman


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    Message  ratman 9/3/2011, 12:32

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    Message  ratman 9/3/2011, 12:50

    DISCOURT TRÈS INTÉRESSANT



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    Message  Agent__001 21/3/2011, 22:39

    Bonjour tout le monde !

    2 choses rapidos :

    1 - J'ai fait un petit habillage vidéo (un tunning ;-) de la séquence où LLP aborde le sujet de son choix pour la Monarchie. Voici la vidéo :



    2 - Je suis à la recherche d'une info assez précise... je pense que si y'a des spécialistes, ça va être simple:
    - Quel était le niveau grosso-modo d'imposition du paysan Français à la veille de la Révolution?
    Parce qu'il me semble qu'une fois Pierre Jovanovic avait annoncé quelque chose comme 20% de son labeur annuel taxé en grain. Or, aujourd'hui d'après l'association Contribuables Associés, d'année en année, on n'arrêterait pas de monter pour arriver en 2010, en moyenne nationale, à un taux de 56% (record !!). Pour plus d'info sur ce triste record, écoutez ma vidéo où Benoîte Tassin (co-Présidente de l'asso.) explique tout ça dans "L'Origine des Persécutions fiscales & anti-catholiques" (écoutez surtout l'intro. de la partie 1/5 pour le carnage maçonnique, puis la suite pour le carnage fiscal):












    ... la playlist est ici:

    https://www.dailymotion.com/video/xe6jxf_l-origine-des-persecutions-fiscales_news

    a+


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    Message  Agent__001 21/3/2011, 22:45

    ... j'oubliais ça avant de partir. Vous devez absolument commencer par cette petite vidéo courte. Vous allez halluciner et comprendre la fourberie du Régime dans le quel nous pataugeons:

    - "les Lois Sociales avant la Gauche", par le mouvement social-royaliste SACR:
    (moi, quand j'ai vu cette vidéo j'ai pas pu m'empêcher de penser à des petits Mélenchons du XIXe siècle)





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    Message  ratman 23/3/2011, 06:59

    Assemblée générale 2011

    L’Assemblée Générale se tiendra le samedi 2 avril 2011 au centre St-Paul 12, rue Saint Joseph 75002 Paris

    Le BPO indique deux heures différentes. Vous devez retenir 14h30 accueil des militants, et 15h début de l’AG.

    L’AG sera suivie de 16h à 17h d’une conférence de notre Président Pierre Bernard « Conquérir une commune ».
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    Message  ratman 23/3/2011, 06:59

    Assemblée générale 2011

    L’Assemblée Générale se tiendra le samedi 2 avril 2011 au centre St-Paul 12, rue Saint Joseph 75002 Paris

    Le BPO indique deux heures différentes. Vous devez retenir 14h30 accueil des militants, et 15h début de l’AG.

    L’AG sera suivie de 16h à 17h d’une conférence de notre Président Pierre Bernard « Conquérir une commune ».
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    Message  ratman 23/3/2011, 16:55

    Dans une monarchie divine selon St Thomas d'Aquin ( lire la somme théologique), concernant la différence entre un État de droit et une dictature, la Réponse est simple: au delà de 20% de prélèvement fiscal on se trouve en face d'une dictature

    une fois la TVA payé on est presque quitte avec nos gouvernants.

    Adam Smith écrivait il au XVIIIe siècle dans ses Leçons sur la jurisprudence :

    «Il ne fait pas doute qu'un impôt exorbitant, équivalant par exemple, en temps de paix comme en temps de guerre, à la moitié ou même au cinquième de la richesse de la nation, justifierait, comme tout abus caractérisé de pouvoir, la résistance du peuple. »


    Malheureusement, les hommes se croyants libérés par la "déclaration des droits de l'homme", n'ont même pas compris que cette abstraction fumeuse est un non sens juste utile a ceux qui l'ont écrite..........Il ne leur reste qu'a payer la dim...e a la nouvelle aristocratie des droits de l'homme

    le problème c'est que cette dîme coute plus de 50% Saint Thomas d'Aquin
    admet que l'on peut, dans certaines conditions, passer outre la loi des hommes (donc se révolter contre elle) pour satisfaire d'abord à la loi de Dieu :

    « En effet rien de ce qui est de droit humain ne saurait déroger à ce qui est de droit naturel ou de droit divin. Or selon l'ordre naturel institué par la divine Providence, les réalités inférieures sont subordonnées à l'homme, afin qu'il les utilise pour subvenir à ses besoins. Il en résulte que le partage des biens et leur appropriation selon le droit humain ne supprime pas la nécessité pour les hommes d'user de ces biens en vue des besoins de tous. Dès lors, les biens que certains possèdent en surabondance sont destinés, par le droit naturel, à secourir les pauvres. C'est pourquoi saint Ambroise écrit :'« Le pain que tu gardes appartient à ceux qui ont faim, les vêtements que tu caches appartiennent à ceux qui sont nus et l'argent que tu enfouis est le rachat et la délivrance des malheureux. » Or le nombre de ceux qui sont dans le besoin est si grand qu'on ne peut pas les secourir tous avec les mêmes ressources, mais chacun a la libre disposition de ses biens pour secourir les malheureux. Et même, en cas de nécessité évidente et urgente, où il faut manifestement prendre ce qui est sous la main pour subvenir à un besoin vital, par exemple quand on se trouve en danger et qu'on ne peut pas faire autrement, il est légitime d'utiliser le bien d'autrui pour subvenir à ses propres besoins ; on peut le prendre, ouvertement ou en cachette, sans pour autant commettre réellement un vol ou un larcin. » (Somme Théologique).

    Le droit à la résistance, un droit de l'homme ?

    C'est dans cette perspective que la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 considère dans une certaine mesure la révolte comme un droit de l'homme. Son article 2 énonce en effet que « les droits de l'homme sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression ». Et la Déclaration de 1793 dira dans son article 35 que « quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».


    Mais de tels « droits » ont-il réellement un sens ? Car ces droits de « résistance à l'oppression » ou d'«insurrection » ne sont bien entendu valables au regard du droit positif qui les énonce (en l'occurrence celui de la République française) que contre un autre droit et un autre ordre politique : les citoyens français n'ont pas le droit de se révolter contre le droit de la République française, puisqu'elle se donne (comme le font tous les autres régimes, y compris le régime monarchique qu'elle a renversé), pour légitime et qu'elle considère son droit comme un droit juste, contre lequel il n'y a donc pas lieu de se révolter. Derrière des déclarations d'ordre en apparence universel, tout pou¬voir établi ne proclame en réalité le droit à la révolte (s'il le fait) que contre un autre pouvoir que lui-même.
    Le droit à la révolte, du point de vue du droit positif, paraît bien être un non-sens.

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    Message  ratman 5/4/2011, 17:47

    Actualité de l'Alliance Royale Louis-copie-1


    LOUIS XX AU JOURNAL DE 13 HEURES DE FRANCE 2

    L'Institut du Duc d'Anjou me communique l'information suivante :

    France 2 a diffusé jeudi 31 mars dans le journal télévisé de 13h un reportage sur Monseigneur le Duc d'Anjou (Louis XX), dans le cadre des 800 ans de la cathédrale de Reims.


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    Message  ratman 20/5/2011, 17:00

    Discours du Pape Pie VI

    prononcé au Consistoire secret du 11 juin 1793.



    ” Vénérables Frères, comment
    Notre voix n’est-elle point étouffée dans ce moment par Nos larmes et
    par Nos sanglots ? N’est-ce pas plutôt par Nos gémissements que par Nos
    paroles, qu’il convient d’exprimer cette douleur sans bornes que Nous
    sommes obligés de manifester devant vous en vous retraçant le spectacle
    que l’on vit à Paris le 21 du mois de janvier dernier.


    ” Le Roi très Chrétien Louis
    XVI a été condamné au dernier supplice par une conjuration impie et ce
    jugement s’est exécuté. Nous vous rappellerons en peu de mots les
    dispositions et les motifs de la sentence. La Convention Nationale
    n’avait ni droit ni autorité pour la prononcer.


    ” En effet, après avoir aboli
    la monarchie, le meilleur des gouvernements, elle avait transporté toute
    la puissance publique au peuple, qui ne se conduit ni par raison, ni
    par conseil, ne se forme sur aucun point des idées justes, apprécie peu
    de chose par la vérité et en évalue un grand nombre d’après l’opinion ;
    qui est toujours inconstant, facile à être trompé, entraîné à tous les
    excès, ingrat, arrogant, cruel… La portion la plus féroce de ce peuple,
    peu satisfaite d’avoir dégradé la majesté de son Roi, et déterminée à
    lui arracher la vie, voulut qu’il fût jugé par ses propres accusateurs
    qui s’étaient déclarés hautement ses plus implacables ennemis. Déjà, dès
    l’ouverture du procès, on avait appelé, tour à tour, parmi les juges
    quelques députés plus particulièrement connus par leurs mauvaises
    dispositions, pour mieux s’assurer de faire prévaloir l’avis de la
    condamnation par la pluralité des opinions.


    ” On ne put cependant pas assez
    augmenter le nombre pour obtenir que le Roi fût immolé en vertu d’une
    majorité légale. A quoi ne devait-on pas s’attendre et quel jugement
    exécrable à tous les siècles ne pouvait-on pas pressentir en voyant le
    concours de tant de juges pervers, et de tant de manœuvres employées
    pour capter les suffrages.


    ” Toutefois, plusieurs d’entre
    eux ayant reculé d’horreur au moment de consommer un si grand forfait,
    on imagina de revenir aux opinions, et les conjurés ayant ainsi voté de
    nouveau, prononcèrent que la condamnation était légitimement décrétée.
    Nous passerons ici sous silence une foule d’autres injustices, de
    nullités et d’invalidités que l’on peut lire dans les plaidoyers des
    avocats et dans les papiers publics. Nous ne relevons pas non plus tout
    ce que le Roi fut contraint d’endurer avant d’être conduit au supplice :
    sa longue détention dans diverses prisons d’où il ne sortait jamais que
    pour être conduit à la barre de la Convention, l’assassinat de son
    confesseur, sa séparation de la Famille Royale qu’il aimait si
    tendrement ; enfin cet amas de tribulations rassemblé sur lui pour
    multiplier ses humiliations et ses souffrances. Il est impossible de ne
    pas en être pénétré d’horreur quand on n’a point abjuré tout sentiment
    d’humanité. L’indignation redouble encore de ce que le caractère de ce
    Prince était naturellement doux et bienfaisant ; que sa clémence, sa
    patience, son amour pour son peuple furent toujours inaltérables…


    ” Mais ce que Nous ne saurions
    pas surtout passer sous silence, c’est l’opinion universelle qu’il a
    donnée de sa vertu par son testament, écrit de sa main, émané du fond de
    son âme, imprimé et répandu dans toute l’Europe. Quelle haute idée on y
    conçoit de sa vertu ! Quel zèle pour la religion catholique ! Quel
    caractère d’une piété véritable envers Dieu ! Quelle douleur, quel
    repentir d’avoir apposé son nom malgré lui à des Décrets si contraires à
    la discipline et à la Foi orthodoxe de l’Église. Prêt à succomber sous
    le poids de tant d’adversités qui s’aggravaient de jour en jour sur sa
    tête, il pouvait dire comme Jacques Ier, Roi d’Angleterre,
    qu’on le calomniait dans les Assemblées du peuple, non pour avoir commis
    un crime, mais parce qu’il était Roi, ce que l’on regardait comme le
    plus grand de tous les crimes…


    ” Et qui pourra jamais douter
    que ce monarque n’ait été principalement immolé en haine de la Foi et
    par un esprit de fureur contre les dogmes catholiques ? Déjà depuis
    longtemps les calvinistes avaient commencé à conjurer en France la ruine
    de la religion catholique.


    ” Mais pour y parvenir, il
    fallut préparer les esprits et abreuver les peuples de ces principes
    impies que les novateurs n’ont ensuite cessé de répandre dans les livres
    qui ne respiraient que la perfidie et la sédition. C’est dans cette vue
    qu’ils se sont ligués avec des philosophes pervers. L’Assemblée
    Générale du Clergé de France de 1755 avait découvert et dénoncé les
    abominables complots de ces artisans d’impiété. Et Nous-mêmes aussi, dès
    le commencement de Notre Pontificat, prévoyant les exécrables manœuvres
    d’un parti si perfide, Nous annoncions le péril imminent qui menaçait
    l’Europe dans Notre Lettre Encyclique adressée à tous les Évêques de
    l’Église Catholique…


    ” Si l’on avait écouté Nos
    représentations et Nos avis, Nous n’aurions pas à gémir maintenant de
    cette vaste conjuration tramée contre les rois et contre les empires.


    ” Ces hommes dépravés
    s’aperçurent bientôt qu’ils avançaient rapidement dans leurs projets ;
    ils reconnurent que le moment d’accomplir leurs desseins était enfin
    arrivé ; ils commencèrent à professer hautement, dans un livre imprimé
    en 1787, cette maxime d’Hugues Rosaire ou bien d’un autre auteur qui a
    pris ce nom, que c’était une action louable que d’assassiner un
    souverain qui refuserait d’embrasser la réforme ou de se charger de
    défendre les intérêts des Protestants en faveur de leur religion.


    ” Cette doctrine ayant été
    publiée peu de temps avant que Louis fût tombé dans le déplorable état
    auquel il a été réduit, tout le monde a pu voir clairement quelle était
    la première source de ses malheurs. Il doit donc passer pour constant
    qu’ils sont tous venus des mauvais livres qui paraissaient en France, et
    qu’il faut les regarder comme les fruits naturels de cet arbre
    empoisonné.


    ” Aussi a-t-on publié dans la
    vie imprimée de l’impie Voltaire, que le genre humain lui devait
    d’éternelles actions de grâces comme au premier auteur de la Révolution
    Française.


    ” C’est lui, dit-on, qui en
    excitant le peuple à sentir et à employer ses forces, a fait tomber la
    première barrière du despotisme : le pouvoir religieux et sacerdotal. Si
    l’on n’eût pas brisé ce joug, on n’aurait jamais brisé celui des
    tyrans. L’un et l’autre se tenaient si étroitement unis que le premier,
    une fois secoué, le second devait l’être bientôt après. En célébrant
    comme le triomphe de Voltaire la chute de l’Autel et du Trône, on exalte
    la renommée et la gloire de tous les écrivains impies comme autant de
    généraux d’une armée victorieuse. Après avoir ainsi entraîné, par toutes
    sortes d’artifices, une très grande portion du peuple dans leur parti
    pour mieux l’attirer encore par leurs œuvres et par leurs promesses, ou
    plutôt pour en faire leur jouet dans toutes les provinces de France, les
    factieux se sont servis du mot spécieux de liberté, ils en ont arboré
    les trophées et ils ont invité de tous côtés la multitude à se réunir
    sous ses drapeaux. C’est bien là, véritablement, cette liberté
    philosophique qui tend à corrompre les esprits, à dépraver les mœurs, à
    renverser toutes les lois et toutes les institutions reçues. Aussi
    fut-ce pour cette raison que l’Assemblée du Clergé de France témoigna
    tant d’horreur pour une pareille liberté, quand elle commençait à se
    glisser dans l’esprit du peuple par les maximes les plus fallacieuses.
    Ce fut encore pour les mêmes motifs que Nous avons cru, Nous-mêmes,
    devoir la dénoncer et la caractériser en ces termes :


    ” Les philosophes effrénés
    entreprennent de briser les liens qui unissent tous les hommes entre
    eux, qui les attachent aux Souverains et les contiennent dans le devoir.
    Ils disent et répètent jusqu’à satiété que l’homme naît libre et qu’il
    n’est soumis à l’autorité de personne. Ils représentent, en conséquence,
    la Société comme un amas d’idiots dont la stupidité se prosterne devant
    les prêtres et devant les rois qui les oppriment, de sorte que l’accord
    entre le Sacerdoce et l’Empire n’est autre chose qu’une barbare
    conjuration contre la liberté naturelle de l’homme. Ces avocats tant
    vantés du genre humain ont ajouté au mot fameux et trompeur de liberté
    cet autre nom d’égalité qui ne l’est pas moins. Comme si entre des
    hommes qui sont réunis en société et qui ont des dispositions
    intellectuelles si différentes, des goûts si opposés et une activité si
    déréglée, si dépendante de leur cupidité individuelle, il ne devait y
    avoir personne qui réunît la force et l’autorité nécessaires pour
    contraindre, réprimer, ramener au devoir ceux qui s’en écartent, afin
    que la Société, bouleversée par tant de passions diverses et
    désordonnées, ne soit précipitée dans l’anarchie et ne tombe pas en
    dissolution.


    ” … Après s’être établis, selon
    l’expression de Saint Hilaire de Poitiers, Réformateurs des Pouvoirs
    publics et arbitres de la religion, tandis que le principal objet est au
    contraire de propager partout un esprit de soumission et d’obéissance,
    ces novateurs ont entrepris de donner une constitution à l’Église
    elle-même par de nouveaux décrets inouïs jusqu’à ce jour.


    ” C’est de ce laboratoire
    qu’est sortie une constitution sacrilège que Nous avons réfutée dans
    Notre réponse du 10 mars 1791 à l’exposition des principes qui Nous
    avait été soumise par cent trente Évêques. On peut appliquer
    convenablement à ce sujet ces paroles de Saint Cyprien : “Comment se
    fait-il que les Chrétiens soient jugés par des hérétiques, les hommes
    sains par des malades … les juges par des coupables, les prêtres par des
    sacrilèges ?”.


    ” Que reste-t-il donc de plus
    que de soumettre l’Église au capitole ? Tous les Français qui se
    montraient encore fidèles dans les différents ordres de l’État et qui
    refusaient avec fermeté de se lier par un serment à cette nouvelle
    Constitution, étaient aussitôt accablés de revers et voués à la mort. On
    s’est hâté de les massacrer indistinctement ; on a fait subir les
    traitements les plus barbares à un grand nombre d’ecclésiastiques. On a
    égorgé des Évêques … ceux que l’on persécutait avec moins de rigueur se
    voyaient arrachés de leurs foyers et relégués dans des pays étrangers,
    sans aucune distinction d’âge, de sexe, de condition. On avait décrété
    que chacun était libre d’exercer la religion qu’il choisirait, comme si
    toutes les religions conduisaient au salut éternel ; et cependant la
    seule religion catholique était proscrite.


    ” Seule, elle voyait couler le
    sang de ses disciples dans les places publiques, sur les grands chemins
    et dans leurs propres maisons. On eût dit qu’elle était devenue un crime
    capital. Ils ne pouvaient trouver aucune sûreté dans les États voisins
    où ils étaient venus chercher asile … Tel est le caractère constant des
    hérésies. Tel a toujours été, dès les premiers siècles de l’Église,
    l’esprit des hérétiques, spécialement développé de notre temps par les
    manœuvres tyranniques des calvinistes qui ont cherché avec persévérance à
    multiplier leurs prosélytes par toutes sortes de menaces et de
    violences. D’après cette suite ininterrompue d’impiétés qui ont pris
    leur origine en France, aux yeux de qui n’est-il pas démontré qu’il faut
    imputer à la haine de la religion les premières trames de ces complots
    qui troublent et ébranlent toute l’Europe ? Personne ne peut nier que la
    même cause n’ait amené la mort funeste de Louis XVI. On s’est efforcé,
    il est vrai, de charger ce Prince de plusieurs délits d’un ordre
    purement politique. Mais, le principal reproche qu’on ait élevé contre
    lui, portait sur l’inaltérable fermeté avec laquelle il refusa
    d’approuver et de sanctionner le décret de déportation des prêtres, et
    la lettre qu’il écrivit à l’Évêque de Clermont pour lui annoncer qu’il
    était bien résolu de rétablir en France, dès qu’il le pourrait, le culte
    catholique. Tout cela ne suffit-il pas pour qu’on puisse croire et
    soutenir, sans témérité, que Louis fut un martyr ?


    ” … Mais, d’après ce que nous
    avons entendu, on opposera ici, peut-être, comme un obstacle péremptoire
    au martyre de Louis, la sanction qu’il a donnée à la Constitution, que
    Nous avons déjà réfutée dans Notre susdite réponse aux Évêques de
    France. Plusieurs personnes nient le fait et affirment que lorsqu’on
    présenta cette Constitution à la signature du Roi, il hésita, recueilli
    dans ses pensées, et refusa son seing de peur que l’apposition de son
    nom ne produisit tous les effets d’une approbation formelle. L’un de ses
    ministres que l’on nomme, et en qui le Roi avait alors une grande
    confiance, lui représenta que sa signature ne prouverait autre chose que
    l’exacte conformité de la copie avec l’original, de manière que Nous, à
    qui cette Constitution allait être adressée, Nous ne pouvions sans
    aucun prétexte élever le moindre soupçon sur son authenticité.


    ” Il paraît que ce fut cette
    simple observation qui le détermina aussitôt à donner sa signature.
    C’est aussi ce qu’il insinue lui-même dans son testament quand il dit
    que son seing lui fut arraché contre son propre vœu.


    ” Et, en effet, il n’aurait pas
    été conséquent et se serait mis en contradiction avec lui-même, si,
    après avoir approuvé volontairement la Constitution du Clergé de France,
    il l’eût rejetée ensuite avec la plus inébranlable fermeté, comme il
    fit lorsqu’il refusa de sanctionner le Décret de déportation des Prêtres
    non assermentés, et lorsqu’il écrivit à l’Évêque de Clermont qu’il
    était déterminé à rétablir en France le culte catholique.


    ” Mais quoiqu’il en soit de ce
    fait, car Nous n’en prenons pas sur Nous la responsabilité, et quand
    même Nous avouerions que Louis, séduit par défaut de réflexion ou par
    erreur, approuva réellement la Constitution au moment où il souscrivit,
    serions-Nous obligés pour cela de changer de sentiment au sujet de son
    martyre ? Non, sans doute. Si Nous avions eu pareil dessein, Nous en
    serions détournés par sa rétractation subséquente aussi certaine que
    solennelle et par sa mort même qui fut votée en haine de la religion
    catholique ; de sorte qu’il paraît difficile que l’on puisse rien
    contester de la gloire de son martyre.


    ” … Appuyé sur cette raison,
    celle du Pape Benoît XIV, et voyant que la rétractation de Louis XVI,
    écrite de sa propre main et constatée encore par l’effusion d’un sang si
    pur, est certaine et incontestable, Nous ne croyons pas Nous éloigner
    du principe de Benoît XIV, non pas, il est vrai, en prononçant dans ce
    moment un Décret pareil à celui que Nous venons de citer, mais en
    persistant dans l’opinion que Nous Nous sommes formée du martyre de ce
    Prince, nonobstant toute approbation qu’il avait donnée à la
    Constitution Civile du Clergé quelle qu’elle eût été.


    ” Ah ! France ! Ah ! France !
    toi que nos prédécesseurs appelaient le miroir de la chrétienté et
    l’inébranlable appui de la foi, toi qui, par ton zèle pour la croyance
    chrétienne et par ta piété filiale envers le siège apostolique, ne
    marche pas à la suite des autres nations, mais les précède toutes, que
    tu Nous es contraire aujourd’hui ! De quel esprit d’hostilité tu parais
    animée contre la véritable religion !


    ” Combien la fureur que tu lui
    témoignes surpasse déjà les excès de tous ceux qui se sont montrés
    jusqu’à présent ses persécuteurs les plus implacables ! Et cependant, tu
    ne peux pas ignorer, quand même tu le voudrais, que la religion est la
    gardienne la plus sûre et le plus solide fondement des empires,
    puisqu’elle réprime également les abus d’autorité dans les puissances
    qui gouvernent, et les écarts de la licence dans les sujets qui
    obéissent. Et c’est pour cela que les factieux adversaires des
    prérogatives royales cherchent à les anéantir et s’efforcent d’amener
    d’abord le renoncement à la foi catholique.


    ” Ah ! encore une fois, France !
    Tu demandais même auparavant un Roi catholique. Tu disais que les lois
    fondamentales du Royaume ne permettaient point de reconnaître un Roi qui
    ne fut pas catholique, et c’est précisément parce qu’il était
    catholique que tu viens de l’assassiner !


    ” Ta rage contre ce monarque
    s’est montrée telle que son supplice même n’a pu ni l’assouvir, ni
    l’apaiser. Tu as voulu encore la signaler après sa mort sur ses tristes
    dépouilles ; car tu as ordonné que son cadavre fut transporté et inhumé
    sans aucun appareil d’une honorable sépulture.


    ” Ô jour de triomphe pour Louis
    XVI à qui Dieu a donné et la patience dans les tribulations, et la
    victoire au milieu de son supplice !


    ” Nous avons la confiance qu’il
    a heureusement échangé une couronne royale toujours fragile et des lys
    qui se seraient flétris bientôt, contre cet autre diadème impérissable
    que les anges ont tissé de lys immortels.


    ” Saint Bernard nous apprend
    dans ses lettres au Pape Eugène, son disciple, ce qu’exige de Nous dans
    ces circonstances Notre ministère apostolique, lorsqu’il exhorte à
    multiplier ses soins afin que les incrédules se convertissent à la Foi,
    que ceux qui sont convertis ne s’égarent plus et que ceux qui sont
    égarés rentrent dans le droit chemin. Nous avons, Nous aussi, pour
    modèle la conduite de Clément VI, Notre prédécesseur, qui ne cessa de
    poursuivre la punition de l’assassinat d’André, Roi de Sicile, en
    infligeant les peines les plus fortes à ses meurtriers et à leurs
    complices, comme on peut le voir dans ses Lettres Apostoliques. Mais que
    pouvons-Nous tenter, que pouvons-Nous attendre, quand il s’agit d’un
    peuple qui, non seulement n’a eu aucun égard pour Nos monitions, mais
    qui s’est encore permis, envers Nous, les offenses, les usurpations, les
    outrages et les calomnies les plus révoltantes ; et qui est enfin
    parvenu à cet excès d’audace et de délire, de composer sous Notre Nom
    des lettres supposées et parfaitement assorties à toutes les nouvelles
    erreurs.


    ” Laissons-le donc s’endurcir
    dans sa dépravation puisqu’elle a pour lui tant d’attraits, et espérons
    que le sang innocent de Louis crie en quelque sorte et intercède pour
    que la France reconnaisse et déteste son obstination à accumuler sur
    elle tant de crimes, et qu’elle se souvienne des châtiments effroyables
    qu’un Dieu juste, Vengeur des forfaits, a souvent infligés à des Peuples
    qui avaient commis des attentats beaucoup moins énormes.


    ” Telles sont les réflexions
    que Nous avons jugées les plus propres à vous offrir quelques
    consolations dans un si horrible désastre.


    ” C’est pourquoi pour achever
    ce qui Nous reste à dire, Nous vous invitons au Service solennel que
    Nous célébrerons avec vous pour le repos de l’âme du Roi Louis XVI,
    quoique les prières funèbres puissent paraître superflues quand il
    s’agit d’un chrétien qu’on croit avoir mérité la palme du martyre,
    puisque Saint Augustin dit que l’Église ne prie pas pour les martyrs,
    mais qu’elle se recommande plutôt à leurs prières… “

    http://leblogdumesnil.unblog.fr/2008/01/21/85du-martyre-de-louis-xvi/
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    Message  ratman 9/6/2011, 16:06

    Lorsqu'un ouvrier carrier veut briser un bloc de
    pierre, dit M. Copin-Albancelli, il commence par le
    séparer en deux morceaux. 11 s'attaque ensuite et
    successivement à l'un et à l'autre de ceux-ci, qu'il
    subdivise à leur tour. il continue ainsi, en faisant
    des morceaux de plus en plus petits, jusqu'à ce
    qu'ils soient réduits à la dimension qui lui convient.
    Tel est le procédé qui a servi à réduire la France à
    l'état où nous la voyons.
    Son adversaire commença par la briser en deux
    grands fragments. Ce fut le jour où il réussit à y
    introduire le protestantisme.

    Le bloc catholique et monarchiste français, après
    qu'il eut été réduit par la brisure résultant de rétablissement
    du protestantisme, fut brisé à nouveau
    par la philosophie du XVIII ' siècle. L'éclatement fut
    même alors double : il se produisit dans le sens
    religieux et dans le sens politique. La Révolution
    en fut la conséquence et après elle, à la place de
    ce bloc catholique et monarchiste déjà réduit, il y
    eut, dune part, des catholiques et des « philosophes »
    et, d'autre part, des monarchistes et des républicains.

    Survint l'Empire qui fut une tentative de réagglutination
    due à l'ambition et au génie d'un homme
    appuyés sur l'instinct de conservation de la nation.
    Lorsque cet homme tomba, la tache de la Restauration
    était devenue bien difficile; car, au lieu du bloc
    national d'autrefois, il y avait alors en France des
    catholiques, des protestants, des déistes, des athées,
    des royalistes, des impérialistes et des républicains.
    Un nouveau morcellement, fut opéré lorsque la branche
    cadette succéda à la branche aînée : un parti
    orléaniste exista dès lors à côté des autres déjà si
    nombreux.
    Depuis lors, le mystérieux ennemi n'a cessé de
    travailler dans le même sens. Il a frappé sans relâche
    et sans que personne le vît agir sur las fragments
    produits par les éclatements successifs de l'ancien
    bloc français. Si bien que maintenant non seulement
    il y a en France des catholiques, des protestants,
    des déistes, des athées, des royalistes, des
    impérialistes et des républicains, mais encore chacun
    de ces groupements se trouve subdivisé en un
    nombre sans cesse grandissant de sous groupements.

    Regardez partout, à droite, à gauche, chez les
    croyants et chez les incroyants, chez les patriotes et criez ceux qui ne le sont plus, chez les autoritaires
    et chez les libéraux, dans tous les milieux, dans
    tous les camps, à tous les degrés de l'échelle sociale,
    c'est la guerre incessante, sans cesse renouvelée
    sous un prétexte ou sous un autre.
    Les germes en ont été inoculés aux générations
    qui ont précédé la nôtre par l'ennemi masqué auquel
    nous avons affaire et ils nous ont été transmis
    comme une conséquence inéluctable d'états de choses
    antérieurs.
    A ce déplorable état il n'y a qu'une seule chose
    à opposer : les doctrines vraies aux doctrines fausses;
    une contre-propagande tendant à remettre en honneur,
    avec une constance inlassable, les principes
    de notre race, à créer un esprit opposé à celui que
    la secte n'a que trop fait prévaloir.
    « L'Ancienne France, dit M. Gustave Bord, avait
    comme idéal la religion catholique et la royauté
    traditionnelle. C'est de ces deux croyances qu'est
    née la Patrie française; des doctrines maçonniques
    ont pu nous la faire oublier momentanément, mais
    je reste convaincu que la France de demain reprendra
    ses anciennes traditions ; que celles-ci seront d'accord
    avec les nécessités du monde moderne et que
    notre pays redeviendra la nation énergique et généreuse
    qu'elle fut sous ses rois. »


    Edit ziril:
    Source: http://www.catholicapedia.net/Documents/cahier-saint-charlemagne/documents/C318_MGR-HENRI-DELASSUS_La-Conjuration.pdf
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    Message  ratman 16/6/2011, 11:02

    attali disait
    "on est a 1 an de 1789"
    "la france est une étape importante "


    car selon Dequaire : «
    La grande mission de la France est de présider à l'oeuvre de
    l'organisation de la démocratie, en un mot, à l'organisation de la
    République universelle. »
    Et il renvoie au Compte rendu des travaux du Grand-Orient du 16 janvier au 28 février 1897, p. 10.

    En lisant la mission divine de la France on comprend alors pourquoi

    L'auteur du livre La République universelle livre de chevet des révolutionnaire comme Robespierre .

    Mr Anacharsis Kloost qui était le baron J.-B. Hermann, Marie de Kloosl, né à Guardenthal, au duché de Clèves., dont Les sociétés secrètes n'eurent pas de membre plus zélé.

    témoigna de bonne heure une grande sympathie aux Juifs.

    Il dit dans son livre : « Nous trouverons de puissants auxiliaires, de fervents apôtres dans les tribus judaïques qui regardent la France comme une seconde Palestine. Nos concitoyens circoncis nous bénissent dans toutes les synagogues de la captivité. Le Juif avili dans le reste du monde est devenu citoyen français, citoyen du monde par nos décrets philosophiques » (pages 186-187).
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    Message  ratman 30/6/2011, 09:08



    La répute-blique à pratiquée la tannerie de peau humaines et autres atrocité
    http://gaelle.hautetfort.com/archive/2008/04/24/vendee-les-abominations-de-la-republique.html

    Les procédés les plus barbares d'extermination ont été mis
    en oeuvre par la république française lors du génocide des chouans en
    vendée et en Bretagne. Cette peau de chouan tannée était exposée au
    muséum d'histoire d'histoire naturelle de Nantes.
    Le
    samedi 11 janvier 2003, les militants bretons d'Adsav ont investi le
    Muséum des Sciences Naturelles de Nantes afin afin de dénoncer le
    spectacle affligeant de cette peau humaine de chouan tannée exposée au
    public, et d'exiger que celle-ci soit rendue à la terre de ses ancêtres.
    Après avoir recouvert la vitrine, où est exposée l’enveloppe humaine,
    d’un linceul noir brodé d’une hermine blanche, les militants ont
    rencontré la presse et expliqué leur action symbolique. Ils ont
    insisté sur cette époque horrible, sanguinaire et inhumaine, cette
    stratégie politique dans laquelle des utopistes ont tenté d’imposer
    leurs rêves en éliminant toute opposition. Ce génocide des
    Bretons et des Vendéens, (suivi quelques années plus tard de celui du
    Camp de Conlie), la France ne l’a jamais reconnu, ni fait acte de
    repentance, cette France des droits de l’homme et donneuse de leçons
    .
    Ils ont également insisté sur cette France révolutionnaire et son
    régime issu de 1789 qui a inspiré tous les régimes totalitaires et
    sanguinaires du monde. On peut affirmer sans erreur que la révolution
    française et sa dérive totalitaire, accolent logiquement la France de 1793 à l'URSS stalinienne. Lénine,
    bien avant le nazisme, avait inauguré le génocide de masse et
    instrumentalisé les moyens pour y parvenir. En lui succédant en 1924,
    Staline a poursuivi la politique de transformation radicale de la
    société !.Les crimes monstrueux commis lors de ce génocide
    volontairement perpétré, calculé, cette volonté totale d’extermination,
    ont été très naturellement justifiés par des hommes comme Saint Just, qui écrivait dans son rapport du 14 août 1793 à la commission des moyens extraordinaires « on tanne à Meudon
    la peau humaine, la peau qui provient d’hommes est d’une consistance et
    d’une beauté supérieure à celle des chamois. Celle des sujets féminins
    est plus souple mais présente moins de solidité». Et dire qu’il y a
    encore aujourd’hui de nombreux hommes politiques français qui se
    réfèrent â un tel monstre sanguinaire.


    Si nous citons ici le cas des peau humaines tannées, n'oublions
    pas toutes les autres atrocités, les exterminations dans les fours
    crématoires, ici aussi les précurseurs dans ce domaine de la barbarie
    furent également les défenseurs de la république française tel que
    Robespierre qui mena l'exemple génocidaire en Vendée, les
    expérimentation d'éradication par le gaz, par empoisonnement de l'eau,
    ou encore la récupération de graisse humaine en faisant cuire les
    cadavres.
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    Message  Bardamu 30/6/2011, 10:49

    ratman a écrit:


    Si nous citons ici le cas des peau humaines tannées, n'oublions
    pas toutes les autres atrocités, les exterminations dans les fours
    crématoires, ici aussi les précurseurs dans ce domaine de la barbarie
    furent également les défenseurs de la république française tel que
    Robespierre qui mena l'exemple génocidaire en Vendée, les
    expérimentation d'éradication par le gaz, par empoisonnement de l'eau,
    ou encore la récupération de graisse humaine en faisant cuire les
    cadavres.

    Magnifique amalgame d'une justesse et d'une clarté quasi Divine ! Et qui prend tout son sens grâce à la petite phrase de conclusion que tu as oublié de retranscrire : "N'oublions pas toutes les heures les plus sombres de l'histoire..." (ça me rappelle un passage d'un spectacle de Dieudo !)

    Je trouve d'une intelligence rare qui confine au génie de la part de ce site que de se plaindre d'un mensonge historique (par omission) en appuyant son propos sur la reconnaissance d'un autre.

    C'est la caution morale que cette prise de position acrobatique est censée lui apporter qui justifie ce tripatouillage extermina-sioniste ? .

    A quand un Conseil Représentatif des Institutions Vendéennes de France ?


    _________________
    Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
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    Message  Invité 7/7/2011, 10:45

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    http://www.democratie-royale.org/

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    Message  ratman 21/7/2011, 09:54






    dire qu'il y a des lois qui ont autorisé ça et ne sont toujours pas abrogées ....et les gens ne savent pas... c'est pas un hasard...

    elles ont du reste servi lors de la seconde mondiale pour persécuter les juifs et elle reserviront si on ne les abroge pas ce qui semble peu probable


    http://www.genocide-vendeen.com/genocide/index.php?option=com_content&view=article&id=95:des-charniers-relancent-le-debat-sur-le-qgenocide-vendeenq-par-guillaume-frouin
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    Message  lorelianeGTQ 6/8/2011, 12:59

    Tu as raison de ce que tu écris Bardamu, et il faut dirait-ont sans cesse le souligner, c'est pénible de toujours retomber dans cette architecture d'association à un mensonge.. des gens, nos frères, ont vraiment soufferts, il suffit de toujours les déshonoré en les comparant à d'ignobles menteurs... leurs bourreaux..
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    Message  ratman 17/8/2011, 12:35

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    Actualité de l'Alliance Royale Empty Actualités Louis XX

    Message  Invité 29/5/2012, 19:22

    Louis XX


    Louis de Bourbon (de son nom de naissance Luis Alfonso Gonzalo Víctor Manuel Marco de Borbón y Martínez-Bordiú, en français Louis Alphonse Gonzalve Victor Emmanuel Marc de Bourbon) né à Madrid le 25 avril 1974 est connu, à la suite de son père et de son grand-père, sous le titre de « duc d'Anjou », porté par leur ancêtre Philippe de France (1683-1746) avant de devenir Philippe V d'Espagne.
    Depuis le 30 janvier 1989, il est le chef de la branche aînée de la Maison de Bourbon et est considéré par ses partisans, les légitimistes, comme l'héritier « naturel » de la Couronne de France sous le nom de « Louis XX ».

    Prétendant légitimiste au trône de France :
    Il déclare le 19 avril 2000, être « le successeur des rois de France », après la mort de son père dans un accident de ski (il est blessé au cou par un câble métallique tendu au travers de la piste) aux États-Unis le 30 janvier 1989. Il prend désormais comme nom usuel « Louis » tout court et reprend le titre de « duc d'Anjou » de son père et de son grand-père.
    La querelle qui oppose légitimistes et orléanistes se poursuit puisque ces derniers invoquent le Traité d'Utrecht de 1713 comme acte de renonciation de Philippe de France, ancêtre direct d’Alphonse de Bourbon, à ses droits sur le trône de France. Les légitimistes maintiennent que le droit de la couronne est indisponible, ainsi aucun traité ne peut interférer sur l'ordre de succession de France.
    Louis de Bourbon est depuis le 16 juin 1994 membre titulaire de la Société des Cincinnati de France, où il représente Louis XVI qui par son aide militaire avait permis l'indépendance des États-Unis d'Amérique ; il est en effet, conformément aux statuts de cette société, l'aîné des collatéraux en ligne masculine du roi, à défaut de descendance mâle subsistante.

    Titres :

    2000 : Bailli Grand-Croix d'Honneur et Dévotion de l'Ordre de Malte.

    ps : arrière-petit fils de Francisco Franco.

    Actualité de l'Alliance Royale Ascendancelouisxx

    Actualité de l'Alliance Royale 223083_10150169691637947_14247182946_7098559_1558177_n

    http://www.democratie-royale.org/

    Plus d'informations : http://fr.wikipedia.org/wiki/Louis_de_Bourbon_(1974-)


    Dernière édition par Bardamu le 29/5/2012, 20:21, édité 2 fois
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    Message  Invité 20/11/2012, 08:54

    Le mythe de la « bonne république » chez les catholiques

    Actualité de l'Alliance Royale Arton112

    Source : http://www.viveleroy.fr/

    http://www.democratie-royale.org/article-le-mythe-de-la-bonne-republique-chez-les-catholiques-112503938.html

    Le mythe de la « bonne république » chez les catholiques

    La monarchie, impossible ?

    Mais pourquoi déclarer la monarchie impossible ? Parce que le peuple n’en veut pas ? C’est encore une fois se placer sur le terrain de l’ennemi, celui de la souveraineté populaire, qui ne correspond à aucune réalité.
    Depuis 200 ans, combien compte-t-on de changements de régime ? Pourtant, aucun n’est dû à un processus parlementaire ni à une volonté populaire. Ce ne sont donc ni la volonté populaire ni le jeu parlementaire qui rendent possibles ou impossibles les changements de régimes.

    Cicéron disait que l’homme politique doit savoir utiliser le « junctura rerum » pour agir, le joint des choses. On pourrait traduire par « concours de circonstances ». Mais la traduction est trop faible. Le joint des choses est plus précis : s’il y a bien des éléments qui dépassent la volonté humaine dans un concours de circonstances, c’est à l’homme néanmoins de trouver ce joint et d’y insérer son action. Le junctura rerum n’ignore pas le concours de circonstances mais rappelle la nécessité du travail de l’homme, de son intelligence. Ceux qui ont pris le pouvoir depuis Napoléon jusqu’à Léon Gambetta ont bien su utiliser ce « joint des choses ». Il faut donc commencer par ne pas croire aux vertus de la démocratie.

    La seule solution : l’institution politique Très Chrétienne

    Il faut bien s’y résoudre car les faits sont têtus : toute société qui abandonne le principe d’autorité (gouvernement d’un chef légitime aidé de son conseil) pour celui du parlementarisme (gouvernement de la volonté générale par le biais d’une assemblée délibérante) hypothèque gravement sa survie même. Combien de bons catholiques, sincèrement antilibéraux, s’adonnent en réalité à un libéralisme pratique en prétendant user impunément de la forme de la société révolutionnaire sans vouloir considérer la fin pour laquelle cette forme a été conçue ? La conviction que la vérité se trouve dans la majorité conduit immanquablement à la libéralisation maximale, à l’autonomie de l’homme par rapport à Dieu, la volonté de l’homme devient toute puissante.

    Il est vrai que la hiérarchie religieuse donne elle-même le mauvais exemple en troquant les principes traditionnels pour ceux de la Révolution :

    la référence aux droits de l’homme a remplacé le droit naturel et divin.
    la dignité de l’homme a remplacé la dignité de l’homme qui agit bien (celle de l’homme vertueux) ; désormais, l’homme est digne par nature, indépendamment de son agir, il est bon par soi — comme un Dieu en quelque sorte.
    l’autorité de l’évêque est remplacée par le pouvoir décisionnaire de l’assemblée délibérante, c’est la collégialité.
    On ne comprend pas une telle capitulation devant l’ennemi, surtout quand on en observe les fruits : la déchristianisation des sociétés occidentales. Le ministre socialiste Vincent Peillon se rie d’eux, lui qui, parfaitement conscient de l’enjeu, cite Bonald :

    la Révolution a commencé par la déclaration des droits de l’homme, [...] elle ne finira que par la déclaration des droits de Dieu. [42]

    Oui ! il rie avec Léon Gambetta de ces « adversaires les plus avérés » dont « l’esprit démocratique a envahi la cervelle », de ces catholiques qui ne comprennent pas que « l’empreinte catholique [...] ne s’accommode pas de la République » ; ils rient parce qu’ils savent qu’ils ont déjà gagné, ce n’est qu’une question de temps, la forme menant toujours à la fin pour laquelle elle a été conçue.

    La « bonne république » tant rêvée n’est et ne restera donc qu’une utopie, elle n’a jamais existé nulle part. Pourquoi réussirait-on aujourd’hui ce que des assemblées catholiques, dans des conditions autrement plus favorables, n’ont pas réussi ? Non, il n’y a aucun espoir : il faut désespérer de la bonne république ; désespoir nécessaire qui a pour corollaire un immense espoir dans la restauration des institutions Très Chrétiennes.
    Si cela nous semble si difficile aujourd’hui, c’est parce que nous sommes des êtres sociaux et qu’il n’est pas naturel de penser contre ceux qui nous entourent.

    Développer la pensée naturelle conforme aux faits, libérer la pensée réaliste du joug de l’opinion, répond pourtant à un impératif de survie. Nous sommes donc invités à un véritable héroïsme comme le souligne Gonzague de Reynold :

    Il y a un autre héroïsme que celui de la mort : l’héroïsme, plus difficile et rare, de l’intelligence. Cet héroïsme là ne se cultive ni dans les parlements ni dans les conseils. S’il avait velléité d’y croître, on l’étoufferait dans l’urne électorale. Le problème qui se pose est donc un problème d’intelligence et d’intelligence politique [...] Ceux qui n’ont pas d’idées [...] seront nécessairement victimes d’idées fausses. [43]

    En 1796 Joseph de Maistre mettait déjà en garde contre ces idées fausses :
    Sujets fidèles de toutes les classes, sâchez être royalistes, autrefois c’était un instinct, aujourd’hui ce doit être une science. [44]

    Mais la science exige le travail, l’effort, la peine et c’est dans la mesure où nous saurons nous y résoudre que nous pourrons agir, là où nous sommes compétents, là où la Providence nous a placés. Avec une grande lucidité Paul del Perugia déclarait dans son livre sur Céline :

    La victoire du matérialisme n’est pas que nous vivions dans un athéisme pratique, mais que les points d’appui que la Grâce trouvait dans notre nature aient été ruinés. [45]

    Si nous voulons vaincre le matérialisme politique et restaurer ce magnifique point d’appui de la Grâce qu’était la monarchie Très Chrétienne, il faut lutter. La seule cause qui soit désespérée est celle de la bonne république.

    Ceux qui douteraient de l’opportunité du combat ou des chances de réussite, peuvent méditer ces paroles que sainte Jeanne d’Arc adressait à ceux qui doutaient déjà de la légitimité :

    Les hommes d’armes batailleront et Dieu donnera la victoire.

    nd Tonino : la phrase exacte de Sainte Jeanne d’Arc est : « En nom Dieu, les hommes d’armes combattront et Dieu donnera la victoire ! ». C’est donc « en nom Dieu » que les « hommes d’armes » doivent combattre, ce qui exclut les clercs, les femmes et les enfants.

    « Batailleront » : ce n’est pas du passé, c’est du futur, ce n’est pas un conseil, c’est un ordre.

    Source : http://www.viveleroy.fr/Le-mythe-de-la-bonne-republique.html

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