Bonsoir Bardamu et autre...
merci de vos avertissements... de censeurs...
Une fois de plus, il est trop facile de prendre un seul élément et de rejeter tout le reste sans y avoir pris connaissance... en ne prenant que 7 lignes...
Des censeurs ! oui ! comme nous l'avons appris à l'école, ou l'on est noté sur nos échecs... vous avez bien appris la leçon, je vois...
Je trouve que vous dénoncez très bien la manipulation dans ce forum... exactement la même qui se trouve dans ce livre (les mêmes personnages et leurs horreurs...)... sauf que derrière il y a une proposition d'action, de réflexion, des années de recherches... des expériences... et vous rejetez tout en bloc... et c'est vous qui parlez d'occultisme...
“ Si c’était vrai, ça se saurait ”Comment se “ré-informer” dans une société
qui fonctionne grâce à l’ignorance qu’elle maintient
en désinformant les gens ;
désinformation qui s’opère par accumulation et surcharge d’informations superficielles et contradictoires
pour cacher le volume impressionnant
de censures qui sont effectuées.
La surinformation, soit l’apparente circulation libre des informations
se trouve être la facette d’une réalité
qui obligatoirement se développe avec son autre facette occulte :
le contrôle et la destruction des informations
qui annuleraient toute spéculation.Aussi comment mesurer la validité d’une donnée ?Comment reconnaître celle qui est dotée de qualités réellement nutritives, source de l’instruction qui nous est nécessaire pour ensuite pouvoir perfectionner notre action ?
La confusion que nous pouvons ressentir face à la jungle informative que nous connaissons aujourd’hui, devrait nous questionner sur notre discernement.
Comment puis-je acquérir le discernement ?
Peut-être alors se demanderait-on
qu’est ce qui permet véritablement de penser par soi-même.
Le conditionnement est tellement uniformisé aujourd’hui, tellement mondialisé, que la plupart des réponses données se pensent toujours par rapport à lui. Il apparaît comme quasi impossible de penser sans s’appuyer, sans compter sur, sans s’adapter à un système anthropophage qui montre chaque jour ses extrêmes limitations et sa décadence.
Il pourrait être intéressant dans un premier temps, avant de savoir si “ c’est vrai ” ou pas, de repérer comment et combien nous sommes conditionnés. A priori cela parait difficile…
Que reste-il de soi-même quand on enlève
jusqu’au conditionnement que représente le terrain parental ?
La réponse faite en général (c'est-à-dire sortie de la pensée unique de notre société mondiale), est qu’il n’y a rien à chercher au-delà. Un être est un produit, fait avec de la matière première parentale, et rien de lui n’existe sans ses géniteurs. Son unicité vient d’un hasardeux mélange génétique et de la succession de hasards circonstanciels qui auront été différents pour ses frères et sœurs et ainsi l’auront façonné spécifiquement.
Toute question à propos de sa propre nature se trouve par conséquent impossible, puisque limitée à une vue seulement orientée sur un passé existentiel ou généalogique… caractérisant très peu ce qui appartient véritablement à un individu…
La psychologie agrée par l’institution publique aurait alors une plus franche réussite, en allant chercher plus loin que existentiel, mais comme le commerce médical et pharmaceutique, elle finirait par disparaître… faute de client !
Il est étonnant que ceux qui usent de l’idée de hasard pour s’expliquer, puissent bénéficier d’une quelconque crédibilité... alors qu’ils signent leur carence en connaissance de Vie et en humilité… Mais ce serait oublier qu’éviter d’avouer son ignorance et préférer répondre par une pirouette qui ne signifie pas grand-chose, est une des activités principales d’un monde en train de se vider de lui-même.
Qui est prêt à se dépecer de ses habitudes (clefs de dépistage des nombreux conditionnements qui nous agissent) pour partir à la recherche de ce qui s’avèrera peut-être déconcertant… car que découvrirons-nous sous le lourd habit des habitudes qui nous masque à nous même ?
Pris dans notre illusion sur notre capacité de libre arbitrage, nous choisissons inconsciemment ce qui nous rassure, ce qui correspond à nos croyances. Nous adoptons ainsi nombres d’idées qui entrent en résonance avec notre déguisement de survie confectionné à notre insu… sans vérifier la justesse de celles-ci…
Ainsi la croyance qui devrait évoluer en certitude,
reste théorique et revendiquée
sans pouvoir devenir une connaissance réelle.Les processus compensatoires se renforcent alors
au lieu de nous permettre de les ôter
grâce au déconditionnement par dépassement de soi.
Là aussi, bravo la maladie de l’Humanité d’avoir vu que le confort allait lui permettre de se développer tranquillement. Les humains emprisonnés dans cette quête, en ont oublié d’accomplir ce pour lequel ils sont faits…
Et qu’est ce qu’un humain quand il déroge
à sa responsabilité de chercheur en Humanité ?...
Il se déshumanise, tout simplement. Par conséquent il se désintègre et désintègre toute la planète avec lui. Le cancer a beau toujours s’enraciner à l’endroit limité d’un organe, il finit par prendre tout le corps et tuer le support dont il dépend. Le problème c’est que plus l’être est moribond moins il se ressent comme tel… Alors que son obsession au “bien-être” (créant des épidémies de thérapeutes), qu’il passe par des moyens matériels ou spirituels montre sa “mortitude”. Mais lui s’en défend, aveugle et sourd à toute question d’implication, d’action pour un changement (nécessairement radical) qui lui redonnerait la Vie. Il préfère ménager ses peurs, plutôt que de les surpasser. La maladie de l’Humanité est pour l’instant tranquille, les humains demandent toujours plus de sécurité et de prétextes pour justifier leur paralysie. Les masques de plus en plus profonds rendent les contacts entre humains de plus en plus difficiles, la nature de chacun de plus en plus ensevelie et de moins en moins reconnaissable.
Facile de perpétuer dans ces conditions des systèmes anti-vie au niveau national (ce qui veut dire maintenant international) et d’en faire des normalités, ensuite défendues par ceux qui en subissent pourtant les puissantes contraintes.
Quelle institution nationale pourtant imposée à tout individu parle de la Vie ou mieux, l’enseigne ? Même ceux faisant partie de l’institution s’étant octroyé la charge de l’éducation (ce qui signifie qu’elle estime les parents incapables de le faire !), ne s’en préoccupent pas… N’étant jamais sortis de la plus grosse usine à conditionnement, passant de l’état d’élève à celui d’enseignant, comment peuvent-ils se poser ces questions-là ? Par contre si un individu décide de ne pas souscrire à cette aberration institutionnelle, et en toute légalité (seule l’instruction est obligatoire) décide d’assumer l’éducation de ses enfants, bonne chance à lui, car le chemin est plus que difficile… les embûches semées par les services nationaux se feront un plaisir de tout faire pour mettre en échec le parent… et ainsi “gagner” leur légitimité.
Aussi comment savoir ce qui est “vrai” et prétendre que si c’était important, vital cela nous serait tombé spontanément dans l’oreille… alors que tout est fait pour noyer ce qui devrait être le seul intérêt d’un humain : rien que ce qui se rapporte, génère, et amplifie le vivant.
Est-ce que gaver des individus depuis l’enfance de théories,
fait partie du vivant ?
Est-ce que enseigner des règles de langue ou de calcul
suivant un programme unique préétabli
pour toute une “classe” d’âge est vivant ?
L’absence totale d’adaptation aux besoins de chaque individu,
signe-t-il une façon de faire qui relève du vivant ?Cette école bien loin d’être celle de la Vie, se fiche au fond de savoir ce dont nécessite chaque être qu’elle a pourtant obligée à venir. Telle qu’elle est faite, elle rend impossible le véritable apprentissage et l’acquisition d’une force d’autonomie et d’action ...
De quelle laïcité s’agit-il quand tout se pense uniformément ?
Quel droit à la différence pour ceux qui ne s’adaptent pas à ce système ?
Ils sont pourtant nombreux ceux qui ont soufferts de ces longues années passées assis sur une chaise, à régurgiter des abstractions pour ne pas être exclus… Voilà ce qui assure l’autorité des professeurs : la peur d’être rejeté de la part de leurs élèves, et non la joie d’être nourris et de se voir grandir en force et en créativité !... sans parler de la compétition qui va, là aussi de paire avec l’angoisse d’être laissé pour compte. N’est-ce pas un formidable conditionnement pour devenir un esclave docile par la suite ? Qu’il soit plus tard un “requin” ayant besoin de sous-fifres pour se rassurer d’exister ou un “discret” qui s’excuse de passer dans ce chaos devant lequel il se sent démuni, ceux-là aussi sont les deux facettes d’une même réalité. Ces deux attitudes expriment leur carence en substances nutritives vitales et correspondant à leur nature… ce qui les rend ennemis au lieu d’être complémentaires. Mais alors il ne s’agirait plus de gagner contre un autre, ni de fuir… il ne s’agirait plus d’être soumis à rentrer dans des cases préfabriquées par une industrie du commerce qui fait la loi, et que les institutions d’états suivent sans aucune remise en cause fondamentale de la conséquence de leurs actes.
Ahhh ! “Si c’était vrai, ça se saurait”…Combien de temps a-t-il fallu pour reconnaître la justesse des propos de Galilée quand il a osé affirmer que la terre était ronde ? Des exemples de ce genre, nous en connaissons des centaines… et pourtant notre indolence, notre satisfaction repue de confort, ne supportant pas ce qui la dépasse, nous immobilise, nous cantonne à un milieu qui tourne sur lui-même vicieusement… Tout est bon pour trouver de quoi rester tranquille.
“Mais le progrès n’a pas que du mauvais !”… “rien n’est jamais tout noir ou tout blanc“ : La confusion entre justesse et tiédeur, entre reconnaissance et tolérance, entre affirmation et revendication… grandit et les leçons que nous devrions tirer des exemples passés… passent à la trappe.
La lâcheté sait se donner des excuses.
Cela aussi nous en avons eu des exemples.
Mais la lâcheté ne peut cohabiter avec la possibilité
d’apprendre à penser par soi-même, par contre
elle fait très bon ménage avec le “si c’était vrai, ça se saurait”.Etes-vous prêt par exemple, à croire que notre corps peut créer l’eau dont nous avons besoin, et que le fait d’en boire empêche de mettre en place cette créativité ?
Etes-vous prêt à concevoir qu’il s’agit pour le corps d’une créativité ?...
et que ce qui est vrai pour l’eau concerne aussi d’autres bases de vie ?
Quand nous prenons du magnésium pour répondre à un manque de magnésium, au lieu de donner au corps ce qui lui permettrait de le créer, nous assistons notre corps en le maintenant en état de survie. Il ne peut grandir, faire passer son système immunitaire à d’autres niveaux d’actions. Son évolution est alors condamnée, et vous est garanti ainsi ce que tout bon médecin prescrit : l’obligation de vous désintégrer (ce qui signifie “non respect de l’intégrité”), un jour ou l’autre, au mieux par vieillissement, sinon par une des nombreuses dites maladies répertoriées par les institutions qui se prétendent de santé !
Mais cela aussi est une réalité engendrée
par une vision de la vie falsifiée, sacrifiée
au profit du commerce de la soi-disant santé.
Cela vous semble-il difficile à entendre que les maladies n’existent pas en tant que telles ?… Seule la déficience de notre terrain permet de se rendre atteignable par des organismes qui amplifient ce qui est déjà. Il ne s’agit jamais, d’un point de vue du “vivant”, d’avoir à combattre contre quoi que ce soit, mais de renforcer sa propre immunité, le terrain dont nous avons la responsabilité : notre corps et notre esprit.
Est-ce compliqué à saisir ? Pourtant qui le sait, qui le pratique ? N’y aurait-il pas là quelques enseignements à tirer au sujet de la Paix ? Ne serait-ce pas plus efficace que de s’assommer des dates relatives aux conquêtes, guerres et autres monstruosités sous prétexte de “culture”, qui en l’occurrence, désertifie plutôt qu’autre chose, comme toute culture industrielle et concentrationnaire ?
La moindre désintégration dans un corps se met en résonance
avec ce qui lui ressemble.
Au contraire, l’intégrité d’une personne lui garantie
de se mettre en résonance avec ce qui renforce son état.Une fleur par son rayonnement, sa force d’épanouissement et d’affirmation repousse ce qui ne lui correspond pas. Toute la nature se vit ainsi, et cela permet la cohabitation de milliers d’espèces… ce dont nous sommes aujourd’hui les seuls incapables.
Apprend-on cela à l’école ? Est-ce compliqué à transmettre à un enfant ? Ce genre d’exemple ne permettrait-il pas de donner à l’individu des outils de santé et en même temps de relation, de créativité sur des domaines très différents ?
La connaissance profonde du corps humain, en s’appuyant sur d’autres formes de Vie données par une nature qui nous permet une diversité d’exemples quasi infinis, suffit à donner TOUS les outils nécessaires à tout humain pour qu’il puisse concevoir, créer et mettre efficacement en œuvre sa Vie, quelques soient ses aspirations.
La construction d’une maison bien différente de celles conçues généralement, comme la capacité à élaborer une dynamisation immunitaire personnalisée, ou fonder un mouvement en connaissance des différentes natures humaines qui le composent et ayant une nécessité réelle pour l’humanité, deviennent possibles d’édification par l’individu lui-même, bénéficiant de ces bases de Vie.
Une vérité met longtemps à être adoptée par l’humain…
parce qu’il attend qu’elle s’impose à lui,
voir qu’on lui impose... et de là, à ce qu’il la vérifie par lui-même…
la tranquillité des “responsables” irresponsables se déploiera
jusqu’à ce que le support planétaire qu’ils pompent… meurt.
Aussi que choisissons-nous ?La connaissance ne peut se consommer,
elle se vit ou elle reste à l’état de principe
et ne peut se nommer connaissance.
Elle se cherche, et c’est cette recherche qui contribue
à la dignité d’un individu,
car d’humain passif il devient ce vers quoi il tend :
chercheur… en humanité. Il grandit alors en humanité et fait grandir l’Humanité.
Il redevient responsable et contribue à l’assainissement du chaos,
par le seul pouvoir qu’il reprend en redevenant vivant !
Apprendre à penser par soi même, c’est oser poser les questions auxquelles a priori ; il n’y a pas de réponse… parce que la science monopolise cet espace de liberté et s’octroie le pouvoir d’être la seule capable.
Pourtant elle ne répond à aucune question fondamentale, concernant la Vie, nos vies…
Pourquoi je me retrouve humain ?
Pourquoi suis-je femme, homme ?
Quelle est mon origine ?
Pourquoi suis-je né dans tel pays, dans telle famille ?
Quel est le rôle d’une mère, d’un père
et quelle différence entre l’état de femme, d’homme ?
Comment savoir ce qui est véritablement la nature humaine ?
Quelle est ma nature propre,
celle unique appartenant pourtant à une espèce ?
Quelle est ma responsabilité vis-à-vis de cette appartenance ?
Comment être sûr que mes aspirations
correspondent à ma voie de nature ?
Toutes ces questions sont éludées car elles mènent directement au plus gros tabou de notre société… les autres dimensions que porte la vie au delà de son aspect matériel. Or, la vie est multidimensionnelle. Quand elle est réduite, coupée de ses autres dimensions, elle n’est plus la vie et il ne s’agit plus du Réel, mais d’une réalité bancale.
Le Réel contient toutes les dimensions d’un phénomène, et les réalités en découlent plus ou moins distordues…
“Si c’était vrai ça se saurait…”
Non ! On le sait mais on ne veut pas le savoir !