Qu’importe que les élèves d’aujourd’hui soient illettrés et ignares. L’important est que les « valeurs de la République » (franc-maçonne)
soient bien inscrites dans leur esprit : immoralité, démocratisme,
shoatisme, ethno-masochisme, mondialisme, individualisme, négation de
tout ordre naturel, etc.
Toujours dans cette optique, alors que l’UMP vient de porter un terrible coup à la normalité, via les manuels scolaires, le PS n’est pas en reste, comme vous le voyez ci-dessous.
La large fraction pro-maçonnique du Parti socialiste, Jean Glavany et
Jean-Marc Ayrault en tête, repart au combat contre l’enseignement privé
sous et hors contrat.
Avec une soixantaine de députés, ils viennent de déposer une proposition de création d’une « commission
d’enquête sur les pratiques intégristes, fondamentalistes et sectaires
portant atteinte aux lois, aux principes et aux valeurs de la République
dans des établissements privés d’enseignement qu’ils soient sous ou
hors contrat, et sur les moyens de contrôle qu’exerce l’Education
nationale sur ces pratiques ». Ce, alors même que tous ces
établissements, aux résultats en général excellents, sont soigneusement
inspectés au moins une fois par an.
Faits & Documents n°316.
Source: contre-info
http://infoguerilla.fr/?p=10381
Attention dans cette optique de contrôle total de l'esprit de la jeunesse et de
l'humanité à ses dogmes sataniques la Franc-maçonnerie nous prépare un
nouveau coup de poignard,le "gender".
Aux fous ! La théorie du « gender » dans les manuels scolaires !
La « théorie du gender [genre, en français] » est une élucubration
idéologique née il y a quelques décennies, et qui prétend que
masculinité et féminité ne sont que des constructions sociales,
auxquelles il faut donc s’attaquer, en niant les spécifités et
différences sexuelles qui permettent une nécessaire complémentarité
(plus de détails sur cette « théorie » dans cette émission).
Ce délire idéologique et ses corollaires font désormais partie des manuels scolaires destinés aux lycéens !
Le Système, actuellement représenté par l’UMP, nous prépare une société de gens très mal dans leur peau…
Plus d’informations dans ce texte de Pierre-Olivier Arduin.
Inscrite officiellement dans les nouveaux programmes de SVT de
Première (S, L et ES), la doctrine du gender fera désormais partie de
l’enseignement obligatoire des lycées français à partir de la rentrée
2011
Le gender nie la complémentarité naturelle entre les sexes
S’il fallait désigner un seul nom pour illustrer la doctrine du
gender, ce serait assurément celui de la philosophe américaine Judith
Butler qui viendrait immédiatement à l’esprit. L’ouvrage qu’elle a
publié aux Etats-Unis en 1990 – Gender Trouble : Feminism and the
subversion of Identity – demeure le modèle incontournable des programmes
universitaires anglo-saxons sur la question . De l’autre côté de
l’Atlantique, aucun campus digne de ce nom n’est dépourvu de son
département de gender studies. Toutefois, cette théorie n’aurait pu
acquérir l’influence qu’elle exerce aujourd’hui sur la scène
internationale sans la tenue en 1995 de la Conférence des Nations-Unies
de Pékin sur la femme qui en a fait le cadre porteur d’une société
nouvelle où les comportements sexuels seraient enfin débarrassés de
leurs « archaïsmes moraux et religieux », comprenez chrétiens.
Derrière le concept de gender se cache en effet une idéologie qui
nie la différence sexuelle et la complémentarité naturelle entre
l’homme et la femme. Le mot sexe qui renvoie trop à une détermination
objective et naturelle est remplacé par celui de genre où féminin et
masculin sont des constructions socioculturelles purement arbitraires
qu’il est possible de défaire.
Le gender qui fait déjà l’objet d’un enseignement obligatoire à
Science-Po sera également au menu des cours de Sciences de la Vie et de
la Terre (SVT) dans toutes les classes de première à partir de la
prochaine rentrée. Le ministère de l’Education l’a en effet inclus dans
le module « Féminin/Masculin » au programme de cette matière et plus
particulièrement dans les nouveaux chapitres « Devenir homme ou femme »
et « Vivre sa sexualité », qui prendront place après la partie consacrée
à la « Maîtrise de la procréation » (Bulletin officiel spécial n. 9 du
30 septembre 2010, Thème 3-A).
Avertie la semaine dernière par le lycée saint Joseph de
Draguignan (Dominicaines du Saint-Esprit) qui venait de recevoir les
tout nouveaux manuels de SVT des classes de 1ere L et ES issus de cette
réforme (Nathan, Bordas et Belin), la commission bioéthique en lien avec
l’Observatoire sociopolitique du diocèse de Fréjus-Toulon a pu mesurer
la gravité des changements opérés par le ministère de l’Education
nationale par rapport aux précédents programmes. De même, la direction
diocésaine de l’enseignement catholique a été immédiatement alertée.
Défaire la « matrice hétérosexuelle » de la société
D’une manière générale, les chapitres en question sont une
attaque en règle contre la loi morale naturelle, rejetant toute
signification anthropologique et éthique à la différence naturelle des
sexes. « Dans ce nivelage, la différence corporelle, appelée sexe, est
minimisée, tandis que la dimension purement culturelle, appelée genre,
est soulignée au maximum et considérée comme primordiale (…) Selon cette
perspective anthropologique, la nature humaine n’aurait pas en
elle-même des caractéristiques qui s’imposeraient de manière absolue :
chaque personne pourrait se déterminer selon son bon vouloir, dès lors
qu’elle serait libre de toute prédétermination liée à sa constitution
essentielle » .
Pour le gender en effet, l’homme et la femme n’ont pas de
dynamisme naturel qui les pousserait l’un vers l’autre, seuls les
conditionnements sociaux rendraient compte de cette soi-disant
inclination. A l’appui de cette thèse, Nathan cite ce texte hautement
contestable : « Les sociétés forgent des modèles et des normes associés
au féminin et au masculin. Dès le plus jeune âge, chacun va
inconsciemment être imprégné par un schéma identitaire auquel il doit se
conformer pour être accepté et reconnu par le groupe social. Ces
attitudes sont tellement intériorisées que nous reproduisons les
stéréotypes sans nous en rendre compte » (p.190). Le gender promeut une
anthropologie alternative refusant que la différence sexuelle inscrite
dans le corps possède naturellement un caractère identifiant pour la
personne.
Bordas fait lui aussi découler la prédominance de
l’hétérosexualité du contexte culturel et social dans lequel nous
baignons : « « Si dans un groupe social il existe une très forte
valorisation du couple hétérosexuel et une forte homophobie, la
probabilité est grande que la majorité des jeunes apprennent des
scénarios hétérosexuels » (p. 182).
Pour illustrer leur démonstration, les manuels citent l’existence
dans d’autres espaces culturels de « troisièmes genres », « ni homme ni
femme », comme les Hijras en Inde (Belin, p. 145) ou les Mahu en
Polynésie (Bordas, p. 176).
Une fois inculqué aux élèves que la différence des rôles assignés
à l’homme et à la femme dans une société donnée est produite par la
culture, il est loisible de s’affranchir du modèle hétérosexuel et de
relativiser l’inclination naturelle vers l’autre sexe. Ne s’agit-il pas
de dissocier la société de sa matrice hétérosexuelle comme le préconise
Judith Butler ?
Le gender dissocie identité sexuelle et orientation sexuelle
Conséquence logique du raisonnement, l’orientation sexuelle est
clairement déconnectée de l’identité sexuelle, l’homosexualité ou la
transsexualité relevant de la liberté souveraine des individus.
L’hétérosexualité n’a en aucun cas le privilège de l’universalité : « Je
peux être un homme et être attiré par les femmes. Mais je peux aussi me
sentir 100% homme viril et être attiré par les hommes. Et je peux être
une femme attirée par les hommes ou une femme attirée par les femmes »
(Belin, p. 133).
Bordas fait état d’« une étude récente qui montre bien
l’influence du contexte culturel et social : à Hambourg en 1970, dans
les années de la révolution sexuelle, 18% des adolescents avaient des
activités homosexuelles alors qu’en 1990, avec le SIDA et les
changements culturels, ils n’étaient plus que 2% » (p. 182).
L’homosexualité serait donc élue d’autant plus facilement que la société
l’accueillera « sans discrimination » (Nathan, p. 181).
Les bases biologiques du plaisir sexuel
D’une manière générale, c’est la sexualité humaine qui est
totalement « désacralisée » au fil des pages. La masturbation, martèle
Belin, jadis encouragée dans l’Antiquité, n’est devenue un « péché »
qu’avec « l’avènement du monothéisme en Occident ». Heureusement, depuis
les années 70 elle est à nouveau considérée « comme une activité
sexuelle normale » (p. 139). Le même éditeur fait d’ailleurs de cette
pratique un critère de puberté ou indicateur de maturité sexuelle (p.
132).
Mais surtout, les nouveaux programmes font dépendre l’activité
sexuelle de l’activation du « système de récompense » présent dans le
cortex cérébral des primates hominoïdes (chimpanzé, bonobo, homme).
Contrairement aux autres mammifères (mouton, rat,…) dont le comportement
sexuel est contrôlé essentiellement par les hormones, la sexualité
humaine est la résultante d’un circuit de récompense commandé par des
aires cérébrales selon le schéma suivant : désir – action –
satisfaction.
L’évolution chez l’animal a abouti à une diminution de la
dépendance hormonale au profit d’un contrôle cérébral devenu
prépondérant chez l’homme. Pour Nathan, « le système de récompense
fournit la motivation à notre comportement dans l’attente d’une
gratification. Le comportement sexuel est ainsi guidé par la recherche
du plaisir attendu » (p. 195). Son collègue Belin cite les propos d’un
chercheur en neurosciences et sexologie : « Au cours de l’évolution,
l’influence des hormones et des phéromones diminue tandis que
l’influence de la cognition et du système de récompense cérébral
augmente. Libérées des contraintes hormonales, les activités sexuelles
peuvent exister dans de nombreuses situations qui n’ont plus aucun
rapport avec la reproduction. Les récompenses cérébrales, perçues comme
sensations érotiques intenses, deviendraient le principal facteur à
l’origine des activités sexuelles » (p. 137). Pour ce chercheur, le
système de récompense présent dans notre cerveau permet un comportement
érotique essentiellement fondé sur « la maximalisation du plaisir ».
Dissocier sexualité et procréation
Ce modèle d’explication induit deux conséquences majeures sur le plan anthropologique.
Premièrement, le cortex cérébral étant le support des fonctions
cognitives de l’être humain (Nathan, p. 197), elles-mêmes modelées par
le contexte culturel et éducatif de la société, l’idéologie du gender
est « validée » sur le plan scientifique dans un raccourci saisissant.
Nous adoptons certains comportements stéréotypés parce que notre cerveau
a été stimulé depuis la plus petite enfance par des messages véhiculés
par la société. Scientifiquement, l’hétérosexualité n’est pas une
réalité fondatrice des relations humaines mais la conséquence de
l’imprégnation du milieu social sur la composante cognitive de notre
cortex.
Les primates hominoïdes et singulièrement l’homme ayant dissocié
leur comportement sexuel de la fonction de reproduction, la « maitrise
technique de la procréation » est en quelque sorte un « produit culturel
» qui s’inscrit nécessairement dans le cadre explicatif de la théorie
de l’évolution. La procréation doit être radicalement désolidarisée de
la sexualité. Les droits à la contraception, à l’avortement et à la
procréation artificielle sont bien les nouveaux impératifs catégoriques
de la (r)évolution culturelle en cours, ceux qui permettront aux
individus d’exercer un pouvoir effectif sur leurs corps sans lequel il
n’y a pas de remise en cause possible des « valeurs traditionnelles ».
N’est-ce pas les « féministes du gender » qui ont forgé dans les années
90 le concept de « santé reproductive » ? Aussi les trois manuels que
nous avons pu étudier insistent-ils tous sur l’IVG médicamenteuse et la
contraception d’urgence – dont la nouvelle pilule du lendemain EllaOne
occupe déjà une place de choix –, qui sont autant de moyens de contrôler
chimiquement la fonction de reproduction (cf. Nathan, p. 178).
On l’a compris, le gender est particulièrement difficile à
contrer intellectuellement. Vous aurez beau accumuler des arguments
fondés sur la nature et la raison, vos adversaires vous rétorqueront
qu’ils ne sont que la résultante de facteurs culturels, et qu’ils vous
semblent d’autant plus évidents qu’ils ont une position hégémonique dans
la société.
Le langage de l’amour vrai
Experte en humanité, l’Eglise a pris la mesure depuis la
Conférence de Pékin de la désintégration de l’ordre éthique et politique
véhiculé par cette doctrine. Dans un document remarquable signé par
celui qui n’était encore que le cardinal Ratzinger, elle nous rappelle
que « le masculin et le féminin se révèlent comme faisant
ontologiquement partie de la création », qu’il existe des « valeurs
masculines » et un « génie féminin » sur lesquels s’appuyer pour bâtir
la civilisation de l’amour.
Au cours de magnifique allocution du 13 mai devant les membres de
l’Institut Jean-Paul II pour les études sur le mariage et la famille,
Benoît XVI a proposé de « conjuguer la théologie du corps avec celle de
l’amour » pour redécouvrir la beauté, la bonté et la vérité de la
sexualité conjugale. Le Pape a en effet rappelé qu’il y a dans le corps
de l’homme et de la femme « un langage qu’ils n’ont pas créé, un eros
enraciné dans leur nature, qui les invite à se recevoir mutuellement par
le Créateur, pour pouvoir ainsi se donner. (…).La véritable fascination
de la sexualité naît de la grandeur de cet horizon qui s’ouvre : la
beauté intégrale, l’univers de l’autre personne et du « nous » qui naît
dans l’union, la promesse de communion qui se cache, la fécondité
nouvelle, le chemin que l’amour ouvre vers Dieu, source de l’amour.
L’union en une seule chair se fait alors union de toute la vie, jusqu’à
ce que l’homme et la femme deviennent également un seul esprit (…). Dans
cette lumière, la vertu de la chasteté reçoit un nouveau sens. Ce n’est
pas un « non » aux plaisirs et à la joie de la vie, mais le grand « oui
» à l’amour comme communication profonde entre les personnes, qui exige
temps et respect, comme chemin parcouru ensemble vers la plénitude et
comme amour qui devient capable d’engendrer la vie et d’accueillir
généreusement la vie nouvelle naissante ». Un discours à dix mille
lieues de l’idéologie du gender, mais surtout capable de reproposer de
manière convaincante aux jeunes qui nous sont confiés le dessein
originel de Dieu et la vocation à laquelle ils sont appelés à répondre
pour réaliser leur vraie nature d’homme ou de femme.
Vers une objection de conscience ?
Les promoteurs du gender n’ont jamais caché vouloir faire de la
subversion de l’éducation un axe essentiel de leur combat. Rien de tel
pour formater les consciences des jeunes de tout un pays que de
contrôler les programmes et les manuels scolaires. L’importance des
changements opérés dans les classes de 1ère est telle qu’on peut parler
sans exagérer d’une « zapatérisation » des programmes de l’Education
nationale. Or, si l’on regarde de l’autre côté des Pyrénées, on
s’aperçoit que des dizaines de milliers de familles catholiques avec le
soutien appuyé de la Conférence épiscopale espagnole et le concours de
juristes compétents se sont d’ores et déjà organisées pour contester les
cours obligatoires sur le gender du gouvernement Zapatero, voire
retirer leurs enfants en posant un acte d’objection de conscience.
Allons-nous devoir en arriver là en France ?
——————————————
1 – Judith Butler, Trouble dans le genre. Pour un féminisme de la
subversion, La Découverte, Paris, 2005. Cf. aussi du même auteur,
Défaire le genre, Editions Amsterdam, Paris, 2006.
2 – Congrégation pour la doctrine de la foi, Lettre aux évêques de
l’Eglise catholique sur la collaboration de l’homme et de la femme dans
l’Eglise et dans le monde, 31 mai 2004.
3 – Congrégation pour la doctrine de la foi, Lettre aux évêques de
l’Eglise catholique sur la collaboration de l’homme et de la femme dans
l’Eglise et dans le monde, 31 mai 2004. Citons également le discours de
Benoît XVI aux participants du congrès international « Femme et homme,
l’humanum dans son intégralité », 9 février 2008.
http://www.contre-info.com/la-theorie-du-gender-dans-les-manuels-scolaires
PS : voilà l'humain nouveau voulu par la Franc-maçonnerie,moitié homme
moitié femme,un peu des deux et ni l'un ni l'autre au final !!!
Une sorte d'être biforme sans caractère propre,combinant toute les
caractéristiques du travelo en puissance,et ravalé au rang de la plus
vile bête qui n'a qu'un seul but,assouvir tout ses instincts les plus
bestiaux pour le seul plaisir que cela peut lui procurer.
Et cela,c'est l'enseignement de vos enfants que l'ont va donner à l'école aujourd'hui !
A l'école !!!
Est-ce que vous avez encore des oreilles pour entendre et des yeux pour voir ce qu'il est en train de se passer ?
Faut pas s'étonner que la dépravation totale,le
lesbianisme,l'homosexualité,les suggestions pédophiles de plus en plus
répétées dans les médias,divertissements,modes,etc,pour la normalisation
de celle-ci,la prostitution absolue du corps et de l'esprit de tous
sans exception soit devenu la norme et l'idéal dans la société.
Je crois qu'on est arrivé au bout du chemin là,ça y est c'est la fin,et il était temps,car il faut que ça en finisse.
Admirer le "Grand Œuvre maçonnique" s'accomplir enfin pour ce qu'il est
vraiment,lui qui sort définitivement en pleine lumière
aujourd'hui,maintenant qu'il est tout puissant ici-bas,et ses dogmes
(car il s'agit bien sûr de dogmes,la maçonnerie est une religion,la
religion universelle de Satan,ceux qui ne l'ont pas encore compris n'ont
plus qu'à se pendre tout de suite) avilir l'homme au point de retirer
en lui tout ce qui fait de lui un être humain.
On y arrive,le temps de l'antéchrist est à nos portes,il est à deux pas là c'est
clair,et ses temples maçonniques répandus au quatre coins de la Terre lui
ont ouvert la voie royale pour régner.
Ceux qui auront gardé une foi véritable vont être mis à l'épreuve,et l'épreuve va être
terrible,rien ne va nous être épargné dans ce qui s'en vient.
Que la paix de Dieu soit sur vous tous.