http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/06/23/georges-tron-mis-en-examen-pour-viols-et-laisse-en-liberte-sous-controle-judiciaire_1539556_3224.html
Georges Tron, le maire de Draveil et ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique, a été mis en examen, mercredi 22 juin, pour viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité. Il a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire, a annoncé son avocat, Me Olivier Schnerb. Ces faits sont passibles de la cour d'assises, la peine encourue allant jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle. Georges Tron a également été placé sous le statut de témoin assisté pour d'autres faits allégués, a précisé son défenseur.
Deux victimes présumées de Georges Tron ont protesté jeudi contre la mise en liberté sous contrôle judiciaire de l'ex-ministre, se disant victimes de "menaces". Sur RTL, l'une des deux plaignantes a affirmé qu'"aujourd'hui nous avons des pressions, nous avons des menaces, il va falloir qu'on les vive". Sur BFM TV Marie L., ex-attachée parlementaire de Georges Tron, qui a témoigné dans cette affaire, a affirmé avoir "été victime moi-même avant-hier soir, lors de la Fête de la musique, de menace de mort par le compagnon d'une des maires adjointes de M. Georges Tron, qui a mis son doigt sur sa gorge comme s'il me disait que j'allais avoir la gorge coupée."
Georges Tron, le maire de Draveil et ancien secrétaire d'Etat à la fonction publique, a été mis en examen, mercredi 22 juin, pour viols et agressions sexuelles en réunion et par personne ayant autorité. Il a été laissé en liberté sous contrôle judiciaire, a annoncé son avocat, Me Olivier Schnerb. Ces faits sont passibles de la cour d'assises, la peine encourue allant jusqu'à 20 ans de réclusion criminelle. Georges Tron a également été placé sous le statut de témoin assisté pour d'autres faits allégués, a précisé son défenseur.
Deux victimes présumées de Georges Tron ont protesté jeudi contre la mise en liberté sous contrôle judiciaire de l'ex-ministre, se disant victimes de "menaces". Sur RTL, l'une des deux plaignantes a affirmé qu'"aujourd'hui nous avons des pressions, nous avons des menaces, il va falloir qu'on les vive". Sur BFM TV Marie L., ex-attachée parlementaire de Georges Tron, qui a témoigné dans cette affaire, a affirmé avoir "été victime moi-même avant-hier soir, lors de la Fête de la musique, de menace de mort par le compagnon d'une des maires adjointes de M. Georges Tron, qui a mis son doigt sur sa gorge comme s'il me disait que j'allais avoir la gorge coupée."