Jean-Charles. 25/9/2008, 13:42
Selon le médecin légal, les coups d’arme à feu ont été successif à leur mort. En effet, ils ont d’abord été tappés, séviciés, malmenés et étouffés ! Ce n’est qu’après leur mort qu’il leur a été infligé leur premières balles. Le médecin continue : « Je déduis que Mussolini et Petacci étaient nuds au moment du décès parce que les blessures provoquées sur la peau nue sont bien diverses de celles provoquées sur des corps habillés. Cela peut être confirmé par n’importe quel médecin légal. Puis, on ajoute la vaste zone d’hématome à la base du cou de chacun.
La Petacci présentait des blessures ano-vaginales ; on pense qu’on lui a introduit dans les orifices un bâton ou un manche à balais assez violemment pour provoquer des hémorragies internes très graves.
A l’intérieur de la zone vaginale et anale, on trouve des traces de liquide séminal, laissant supposer que c’était un viol de groupe.
Le Duce à son tour, n’a pas été épargné, en effet, avant d’être tué, il a été soumis à un vrai supplice dans la mesure où il a été lui aussi violé et malmené à l’aide d’un bâton, puis, présumément alors qu’il était encore en vie, a été couvert d’urine ».
Du fait qu’ils étaient nus à ce moment il n’y a pas de doutes, comme il l’a déjà dit, les blessures sur un corps nu sont reconnaissables, puis, les trous des projectiles sur les corps ne correspondaient pas aux trous laissés sur les habits.
Enfin, aussi parce qu’on savait que Mussolini avait la jambe gauche plus courte que l’autre, et que dans ses bottes, à le moment de l’autopsie il n’y avait pas la talonnette de 2cm qu’il utilisait habituellement, en plus du fait que ses bottes n’étaient même pas à sa taille.
Il n’y a aucun dout possible non plus sur la mort par étouffement même si les nombreuses hémorragies internes causées par les violences ont été déterminantes.