Un retour à la philosophie naturelle est urgent en astronomie
Wal Thornhill Dimanche 4 Septembre 2011
holoscience.com , Wal Thornhill, 29 août 2011
http://www.alterinfo.net/Un-retour-a-la-philosophie-naturelle-est-urgent-en-astronomie_a63208.html?print=1
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http://www.holoscience.com/news.php?article=gzhqr188
Toujours les mêmes excuses bidons des scientifiques.
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La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau
http://www.alterinfo.net/La-theorie-du-Big-Bang-demontee-par-33-scientifiques-de-haut-niveau_a61883.html?print=1
Wal Thornhill Dimanche 4 Septembre 2011
holoscience.com , Wal Thornhill, 29 août 2011
source« Ceux qui considèrent la philosophie comme une discipline "molle" et non scientifique, à l’opposé des domaines "durs" et scientifiques des maths et de la physique, admettent un gros mensonge. Les idées des mathématiciens et des physiciens ne peuvent pas être plus objectives ou avérées que les idées philosophiques dont elles dépendent. La philosophie est la discipline qui nous indique comment être objectif et parvenir à la certitude. Sans théorie de la connaissance, comment les mathématiciens et les physiciens connaîtraient-ils le rapport entre leurs concepts et généralisations et la réalité ? C'est la science inductive de la philosophie qui apprend aux scientifiques "durs" la façon d'être scientifiques. »
Leonard Peikoff
Malheureusement, le principe inductif [*] de la philosophie naturelle a été relégué aujourd'hui dans le domaine de la culture scientifique populaire. Et la philosophie moderne pourrait bien en être coupable. La corruption semble s'être propagée dans la philosophie au 18ème siècle, à partir de l’idée idiote d'Emmanuel Kant, pour qui la réalité est dans l'esprit de l'observateur, « Jusqu'à présent il a été supposé que toutes nos cognitions doivent être conformes aux objets ; mais... laissez-nous une fois tenter de voir si nous n'allons pas plus loin dans les problèmes de métaphysique en supposant que les objets doivent être conformes à notre cognition. » Cela a permis à Stephen Hawking de déclarer (avec raison pour une fois) dans son dernier livre, « La philosophie est morte. » L’idée absurde de Kant s'est muée en la contradictoire « expérimentation imaginée. » La science est devenue surréaliste et illogique, avec Saint Einstein comme modèle et relique sacrée. Un retour à la philosophie naturelle est urgent pour rétablir la santé mentale.
[* Ndt : C’est-à-dire, l’utilisation de l’analogie pour comprendre les choses.]
image trop grande et inutile.
http://www.holoscience.com/news/img/NPA%20title%20slide.jpg
Wal Thornhill. Michael Steinbacher.
Le mois dernier, j'ai eu l'honneur de développer mon document, Stars in an Electric Universe [Les étoiles dans un univers électrique], pendant la conférence John Chappell Memorial de 2011, lors de la 18ème Conférence annuelle de Natural Philosophy Alliance (NPA)* à l'université du Maryland. Le soir même, plusieurs scientifiques que je tiens en haute estime, dont le Dr Halton Arp et le Dr Harold Aspden, ont été proposés (en leur absence) au Grand Prix Sagnac** pour « un engagement à vie envers l'excellence dans la quête scientifique. » Arp a été qualifié de « Galilée moderne » pour ses observations qui révèlent que la cosmologie admise du « big bang » est fausse : « Après tout, obtenir un univers superbement bancal face à des indices évidents depuis plus de 75 ans, mérite une confusion monumentale et devrait provoquer un minimum d'humilité. » Aspden utilise des observations simples pour montrer que le Soleil n'est pas alimenté de l’intérieur : « Nous pouvons être sûrs que l'énergie trouve son chemin dans les ions lourds d’un plasma, contrairement aux principes scientifiques admis, et ceux au pouvoir qui s’inquiètent pour notre avenir énergétique devraient tenir compte du message. »
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* Extrait du site Internet du NPA : « Philosophie naturelle » est le nom sous lequel était connue la « physique » à l'époque d'Isaac Newton, et aussi au 19ème siècle. Nous revenons principalement sur cela pour souligner qu’une approche plus profonde et avisée de la nature au cours de ces années est une fois de plus nécessaire. Nous cherchons un renouveau de considération pour la philosophie, en particulier pour la logique, et aussi pour l'application quotidienne de la raison et de la considération envers l’authenticité, connue sous le nom de bon sens – qui devrait être considéré comme une base de la vraie science, plutôt qu'en discordance avec elle.
** Le physicien français Georges Sagnac (1869-1926), dont le prix porte le nom, était un associé des Nobel Pierre et Marie Curie, Jean Perrin et Paul Langevin à la Sorbonne, à Paris. En 1913, Sagnac a réalisé des expériences montrant une nette différence entre les chemins de la lumière se déplaçant dans des directions opposées sur une plate-forme tournante. De nombreux scientifiques pensent que l’« effet Sagnac » met en question les théories d’un contemporain de Sagnac, Albert Einstein. Pourtant, en dépit de sa répétitivité et du problème qu’elle pose, l’expérience de Sagnac n’est que vaguement mentionnée, à condition qu’elle le soit, dans les manuels de physique, et on ne sait pas grand chose sur Sagnac lui-même. C’est pourquoi, précisément parce que Sagnac n'a pas été reconnu pour ses contributions majeures, le Grand Prix Sagnac est destiné à honorer les héros ignorés qui ont fait des contributions largement méconnues, mais importantes, à la science d'aujourd'hui.
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Le NPA compte plus de deux mille membres et le nombre record de plus de 200 inscrits à la 18ème conférence. C'est excellent pour une organisation autofinancée. De nombreux documents ont été soumis en absence de leurs auteurs, avec pour résultat que les débats de cette année comptent 123 auteurs, couvrent 731 pages et pèsent 1,7 kg ! Étonnamment, l'énorme volume était disponible à la conférence à titre de précieuse référence.
Un moment de discussion détendue avec les membres de l'équipe de Thunderbolts, Jim Johnson et Michael Gmirkin, qui ont tous deux pris la parole lors de la conférence.
Michael Steinbacher.
L'ambiance à la conférence de trois jours du NPA était vivifiante, car il était communément reconnu que la science s’est égarée au début du 20ème siècle, donnant ainsi un avenir brillant aux iconoclastes. Ce n’est pas qu'il y avait consensus sur la voie à suivre, à part l'enterrement depuis longtemps en souffrance de la théorie de la relativité. Les idées controversées ont été poliment reçues et discutées. Cela m'a rappelé le dialogue libre dans les revues scientifiques à la fin du 19ème siècle. Le contraste avec les conférences modernes du courant principal, où il est imprudent de s’élever contre l'opinion de la majorité, n'aurait pu être plus grand. Et l’assistance n'a pas diminué chaque jour comme c’est le cas souvent aux réunions scientifiques conventionnelles, où l'ordre du jour tacite est de prendre des vacances dans quelque lieu exotique avec les deniers publics. Les conférences internationales étaient un événement rare dans la première moitié du 20ème siècle. À l'ère de l'Internet, elles sont devenues des voyages d’agrément piètrement justifiés.
Avec onze conférenciers et une « soirée spéciale avec l'Univers électrique, » le paradigme de l'Univers électrique était bien représenté à la conférence du NPA. Du point de vue de l'Univers électrique, il était rafraîchissant de constater en accord avec d'autres savants que nos croyances actuelles en science ont besoin d’une révision complète. Parmi les victimes, la principale est Einstein et ses théories chimériques sur la relativité. Cette conclusion avait été clairement prédite en 1933 par l'australien, Arthur Lynch, qui écrivit dans The Case Against Einstein [L'affaire contre Einstein] : « Je ne doute pas qu’apparaîtra une nouvelle génération qui regardera avec un étonnement et une stupéfaction plus profonds qu’aujourd’hui les accompagnateurs d’Einstein, cette galaxie de penseurs, d’hommes de science, de critiques populaires, de professeurs faisant autorité, et de dramaturges pleins d'esprit, qui se sont satisfaits de renoncer à leur bon sens face aux absurdités d'Einstein. Ensuite leur succédera une autre génération, dont l'intérêt sera une contemplation détachée et mi-amusée ; et dans les limbes de l'oubli des philosophies, ils pourront rechercher le cénotaphe de la relativité. »
Que cela ait pris si longtemps avant que les œillères ne commencent à tomber, en dit long sur la difficulté d’ébranler les croyances. Semblant incapables d'apprendre de l'histoire, nous en sommes à répéter au 21ème siècle l'histoire de Galilée. Cette fois, c'est le credo du scientisme et de la pseudo-religion du big bang qui se dresse sur la voie du progrès. En vérité, nous ne comprenons pas réellement la matière, la lumière, le magnétisme, la gravité, le comportement quantique, les particules subatomiques, les étoiles, les galaxies... dois-je continuer ? Les histoires de création et de ce qui c’est passé ou pas dans l'Univers il y a plus des 13,7 milliards d'années sont de l’affabulation dingue de la part de célébrités moins talentueuses que bien des gens au NPA, mais dotées d’un plus grand prestige. Nous avons trop d'informations et trop peu de compréhension réelle. On nous enseigne beaucoup de choses qui ne sont pas vraies. Cette prise de conscience libère l'esprit pour tout réexaminer. C’est l'étincelle obligée pour raviver l'enthousiasme envers la science et conduire le progrès. Il y a tant à découvrir.
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Dans Nature, plus tôt ce mois-ci, est paru un éditorial du Dr Michael Turner, intitulé « The dark clouds over US astronomy » [Nuages sombres sur l’astronomie zunienne]. Il déplore la réduction du financement de l'astronomie et de la NASA. Il écrit : « Il y a à peine 12 mois, l'astronomie zunienne a montré l'avenir, avec la sortie de New Worlds, New Horizons in Astronomy and Astrophysics [Nouveaux mondes, nouveaux horizons en astronomie et en astrophysique], la dernière étude décennale de la National Academy of Sciences (NAS). L’étude proposait une stratégie – basée sur des budgets réalistes et mobilisés par des partenariats internationaux et privés – pour réaliser des opportunités éblouissantes, incluant la recherche de la vie sur d'autres planètes, identifier la matière sombre et comprendre l’énergie sombre. Elle promettait aussi de révéler l'évolution des premières étoiles et galaxies et de rechercher si les trous noirs supermassifs sont précisément décrits par la Relativité générale. »
Ces projets ne font qu'ajouter au gaspillage phénoménal de temps, de personnel et de fonds publics, fait aujourd’hui par de nombreux scientifiques de haut niveau. Il me suffit de citer la recherche du mythique boson de Higgs avec le Large Hadron Collider, l'International Thermonuclear Experimental Reactor (ITER), qui est censé produire de l'énergie de fusion « comme le soleil, » et le Laser Interferometer Gravitational Wave Observatory, servant à détecter une chose que nous ne comprenons pas. Le projet ITER a débuté en 2007, et le premier plasma n'est pas attendu avant 2019 ! Pas un seul des projets proposés mentionnés par la NAS ne s’appuie sur une compréhension physique réelle. Turner dit, « La NASA va avoir besoin d'un flux régulier de résultats scientifiques passionnants pour capter l'imagination du public. » Ce que reçoit la NASA est un flux régulier de surprises, qui prouve mon point de vue. La NASA a gaspillé d’innombrables milliards en recherche spatiale mal avisée. Turner expose l'importance du « showbiz » pour financer cette activité égarée. Mais, sans réelle compréhension, les « résultats scientifiques » deviennent dans les médias de la fiction de réalité virtuelle. Si seulement l'éducation enseignait l'esprit critique au lieu de la fiction envoûtante, le vide du langage et l’illogisme des programmes scientifiques seraient évidents. Par exemple, j'ai subi hier soir une émission de la BBC, « Qui a peur d'un gros trou noir ?, » dans laquelle le professeur Douglas Leonard pontifiait que les trous noirs se forment en moins d'une seconde, au moment où les étoiles implosent « ...et les étoiles continuent à imploser totalement, jusqu'à se réduire à un point. » Un « point » est une adresse dans un système de coordonnées : Il ne s’agit pas d’un objet, encore moins un « trou noir » vide de sens. Ce genre de charabia ne pourrait pas survivre si la philosophie naturelle réintégrait sa position originelle en science.
Comment la science censée être autocorrectrice peut-elle « dérailler » autant ? L'erreur provient de croire que, contrairement à toute autre, la science est une quête humaine parfaitement rationnelle. Immanuel Velikovsky, esprit universel et psychiatre, était peut-être le mieux qualifié pour déclarer lors d’une interview, « L'homme est irrationnel dans tout ce qu'il fait. » Restaurer la rationalité exige avant tout que nous nous comprenions. Dans une extraordinaire enquête multidisciplinaire appliquée, que Velikovsky a publiée dans son best-seller de 1950, Mondes en collision, il a découvert une expérience apocalyptique oubliée de l'humanité – une fin du monde – et notre (compréhensible) réponse irrationnelle au traumatisme. « L'homme est un animal blessé. Sa survie est étonnante. Mais son incapacité à guérir ses blessures est tragique, » écrit le Dr Roger Wescott.
La couverture rouge éclatant de l’édition de Macmillan du livre de Velikovsky était pour les astronomes comme un chiffon rouge pour un taureau. Du fait de menaces sans précédent des universitaires, les éditeurs furent obligés de transférer le best-seller chez Doubleday.
Du fait que la découverte de Velikovsky était un drame cosmique impliquant la Terre et d’autres planètes à l’époque préhistorique, certains de nos comportements collectifs les plus fous entourent l'astronomie et les religions astrales originelles. Il a écrit : « J'ai été très surpris de voir que l'astronomie, la reine des sciences, vit encore à l’âge d’avant Faraday, pas même à l’époque des lampes à pétrole, mais des bougies et de l’huile. » Cela faisait allusion à l'étude de l'électricité par Faraday et au fait que la foudre cosmique est célébrée par toutes les cultures anciennes comme la principale « arme » lors des rencontres planétaires. C’est pourquoi, l'électricité doit jouer un rôle dans le cosmos, en particulier dans les moments de chaos orbital. Mais nos grands prêtres de l'astronomie le nient. Pendant ce temps-là, des sondes et des radiotélescopes révèlent systématiquement dans l'espace des champs magnétiques, qui sont la signature des « courants électriques sombres » circulant dans le plasma ténu. Ce fut mon point de départ dans le paradigme de l'Univers électrique.
À cause de leur impact généralisé, non seulement en science, mais aussi dans la culture humaine, les conséquences des fausses croyances du troupeau borné sont immenses. Il ne doit pas être nécessaire de citer des exemples du comportement irrationnel de l'humanité. Ils sont clairement évidents dans nos guerres, religions, politiques, affaires, économie, etc. La guerre est un substitut à l’apocalypse, que nous sommes poussés à répéter dans une atroce pulsion sous l'égide de nos divers dieux. Face au cataclysme, notre réaction peut être de mal l’interpréter ou de le nier. Humanisant le comportement des dieux planétaires capricieux, et supposant que les références catastrophiques sont des métaphores, nos religions sont mal interprétées. Nos sciences nient cela en se cramponnant à l’immuabilité éternelle du « mouvement d’horloge » newtonien du Système planétaire, malgré des témoignages évidents de paysages dévastés sur les planètes rocheuses et les lunes, Terre incluse. Pendant ce temps-là, nous nous comportons comme « Chicken Little » [*] à l'apparition d'une comète, et trouvons inconsciemment une libération émotionnelle fugace dans une profusion de catastrophes, de guerres et de chaos, à la télévision et au cinéma.
[* Ndt : Chicken Little est un poulet de fable qui crie que le ciel lui tombe sur la crête.]
Le paradigme de l'Univers électrique est une philosophie naturelle étayée par des expériences humaines s’étendant sur des millénaires. Comprendre notre passé, voilà la voie vers l'avenir. Si nous sommes incapables d’apprendre cette leçon, nous n’aurons pas d’avenir.
Original : www.holoscience.com/news.php?article=n6yue95j
Traduction copyleft de Pétrus Lombard
Dernier article apparenté
La sieste du Soleil : Le Soleil est prédit « hiberner » lors de son prochain cycle en 2020.
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http://www.alterinfo.net/Un-retour-a-la-philosophie-naturelle-est-urgent-en-astronomie_a63208.html?print=1
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http://www.holoscience.com/news.php?article=gzhqr188
Toujours les mêmes excuses bidons des scientifiques.
http://www.alterinfo.net/Boson-l-insaisissable_a63164.html?print=1
ll y a encore trop peu de données qui plaident en faveur de l’inexistence du boson
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La théorie du Big Bang démontée par 33 scientifiques de haut niveau
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