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    Comment condamner un innocent à la place du coupable en 10 leçons

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    Message  nex 29/9/2011, 04:04

    COMMENT CONDAMNER UN INNOCENT A LA PLACE DU COUPABLE EN 10 LECONS


    ☛1. Oter la garde des enfants à la victime de violences conjugales et les remettre à l’agresseur condamné pour violences.
    Ceci constituera un premier traumatisme qui affaiblira les victimes.


    ☛2. ATTENDRE


    ☛3. Nier toutes preuves de violences et maltraitances sur enfant, et ce dans tous les dossiers et toutes les juridictions.
    Refuser toute audition de l’enfant, ou en détourner les termes, supprimer les dénonciations compromettantes.
    Faire disparaître les dossiers délocalisés qui arrivent avec auditions filmées.
    La souffrance d’un enfant est très jouissive.


    ☛4. Classer les plaintes de la victime pour violences, récidives de violences, non-représentations d’enfant de la part de l’agresseur, etc... ou ne donner aucune réponse (si possible faire disparaître le dossier). Cela en collaboration avec l’agresseur qui travaille directement avec le Parquet.
    Transformer les plaintes pour récidives de violences conjugales en “dénonciation calomnieuse”. C’est une manipulation de procédure très efficace sur un temps plus ou moins long.
    Refuser tout dépôt de plainte dans les services de police, ou les transformer en mains-courantes.
    Refuser à la victime toute copie de déposition.
    Nier toutes ses demandes de mesures d’urgence de protection de l’enfant et ne surtout pas joindre ces preuves au dossier.
    Tout doit apparaître comme des carences de sa part pour qu’un délit soit constitué.


    ☛5. Accepter toute déposition de l’agresseur, en particulier plaintes pour “non-représentation d’enfant” et collaborer entièrement à ses objectifs.
    C’est un délit que nous affectionnons particulièrement et qui a fort bien fonctionné dans d’autres cas d’emprisonnement.
    Transférer à toutes autres juridictions ses courriers, déclarations, et autres documents qu’il apporte. Surtout n’effectuer aucune vérification de ses dires. Ceci pourrait faire échouer le plan.
    Le soutenir dans ses allégations de dangerosité de la mère envers l’enfant, même si nous savons que c’est lui l’agresseur.
    Accepter ses faux témoignages écrits de sa main ou de celle de son avocate, par exemple écrits à la place d’une ancienne connaissance de la victime. Personne n’aura l’idée de vérifier l’écriture.
    Et si la victime veut déposer plainte pour faux et usage de faux : refuser catégoriquement ses plaintes.
    Une tierce personne avide de vengeance est une aubaine qui aide à l’aboutissement de notre plan. Ne pas vérifier si cet ustensile a été interné plusieurs années pour schizophrénie, ou s’il est alcoolique. Ne faire aucune enquête.
    Monter avec son aide des dossiers pour “abus de confiance”, “projet de fuite à l’étranger avec l’enfant”, “obtention indue de titre administratif” “projet d’homicide de l’agresseur”, etc... Tous les délits sont bons à prendre, et submergeront la victime qui finira bien par se suicider un jour ou abandonner la partie...
    Et si par hasard la victime arrive à retrouver un emploi, saisir son salaire par nos huissiers amis toujours prêts à agir sans titre exécutoire. Ceci est très amusant.
    Faire traîner toutes les procédures qu’elle demande... jusqu’à radiation et/ou caducité.


    ☛6. Harceler la victime de convocations, au commissariat et au tribunal.
    Choisir la période des vacances scolaires lorsqu’elle est partie. Il sera ensuite fait mention, dans tous les dossiers et PV, de ses carences et ses refus de répondre aux convocations.
    Surtout ne jamais prévenir la victime de l’objet de la convocation, pour l’empêcher de préparer sa défense.
    Inscrire simplement sur les convocations “affaire vous concernant”.
    Ou lui faire croire qu’il s’agit d’une audition de l’enfant pour qu’elle vienne avec.
    Si nécessaire lui arracher l’enfant des bras. Ceci est très jouissif, surtout s’il pleure. Un enfant n’est qu’un objet, une marchandise, très utile pour l’agresseur.

    Multiplier les “enquêtes de voisinage” afin de diffamer la victime et l’isoler du monde extérieur. Surveiller constamment sa maison, vérifier au moyen d’une lampe sous la porte de garage si la voiture est présente ou non. Parcourir les rues et centres commerciaux afin de pister la victime pour qu’elle se sente traquée.
    Mettre son téléphone sur écoutes pour la priver de toute liberté et violer sa vie privée. Cela nous permettra en même temps d’extraire des éléments de leur contexte pour lui trouver des griefs, méthode qui a déjà fait ses preuves.
    Contacter de préférence les nouveaux substituts, qui n’ont pas connaissance des antécédents de violences conjugales ni des dossiers en général.
    Pour plus d’efficacité, leur faire croire à une dangerosité de la mère. Le temps qu’ils comprennent la réalité, la procédure sera déjà lancée.

    Obtenir absolument un Art. 78 CPP de ces substituts à manipuler, ce qui nous donne la possibilité d’enfoncer la porte du domicile, d’enfermer et torturer la victime sous couvert de légalité, puis obtenir une autorisation de prolongation de garde-à-vue sous divers prétextes qui peuvent facilement être évoqués par téléphone auprès de ces substituts.
    Interdire que l’entourage de la victime soit averti de son enfermement, cela risquerait d’alerter les plus hautes autorités - comme cet incident regrettable du 12 mai 2007 lorsque le Président du Sénat a voulu se renseigner sur la victime -,
    et faire échouer le plan.
    Ne prévenir aucun avocat, dans la mesure du possible.
    Interdire naturellement eau, médicaments, et toute nourriture. Il sera mentionné dans le PV de sortie qu’elle a “refusé la nourriture”. L’objectif est d’attaquer sa santé. Ne pas oublier de la brutaliser et la menacer, ce qui l’affaiblira davantage.
    Obtenir autorisation de “perquisition” à domicile pour permettre de lui voler ses dossiers et affaires diverses sous couvert de légalité, puis remettre à l’agresseur ce qu’il a réclamé. Personne ne pourra vérifier nos actes dans ces conditions.
    Ne pas oublier d’attacher la victime à son domicile pendant le saccage sous ses yeux. Lui interdire encore eau et médicaments à sa portée.
    Serrer les menottes à outrance puisque nous avons le feu vert pour nous défouler dans les tortures.
    En cas de plaintes ultérieures nous pourrons toujours arguer que nous agissions sur ordre de nos supérieurs et du Parquet.
    Monter des faux dossiers d’accusations en vue de transmission aux magistrats correctionnels, procureurs et juges d’instruction, pour condamnation.
    Obtenir en même temps un ordre de transport auprès du service de psychiatrie du C.H. Tenter par ce biais d’obtenir un certificat médical de dangerosité ou de problèmes mentaux, ce qui pourrait faciliter un internement et nous donner moins de travail. Nous n’y sommes pas parvenus jusqu’à présent dans cette affaire.
    A la fin, si la victime refuse de signer les procès-verbaux mensongers, la menacer de coups.
    Déférer la victime de violences en réunion au Parquet avec menottes et girophare. La mettre en cellule pour la traumatiser davantage. Ceci est très jouissif.
    Si elle se plaint et dénonce, l’accuser de “délire de persécution”.


    ☛7. Faire pression sur ses avocats pour qu’ils se désistent dans ses dossiers, ou de préférence les amener à collaborer pour sabotage.
    Il existe pour cela de nombreux moyens à notre disposition, qui ont parfaitement fonctionné depuis 2001.
    Cependant la victime dans la présente affaire apparaît comme particulièrement coriace, une centaine de dossiers d’AJ ayant été répertoriés au BAJ ainsi que dans d’autres tribunaux, pour sa défense en général.
    Nous constatons aussi qu’elle n’hésite pas à se retourner contre nos avocats collabos et à soulever les anomalies de procédures, ce qui nous entrave quelque peu dans l’aboutissement du plan.


    ☛8. Attention aux communications ultérieures de pièces de la part de la victime, qui pourraient faire échouer le plan. Les refuser ou les jeter si elles arrivent à être interceptées avant que les magistrats ne les voient.


    ☛9. Ne pas avertir la victime de la date d’audience ou de report d’audience.
    Bloquer toute désignation d’avocat au BAJ.
    Avertir seulement l’agresseur, ce qui lui évitera également de payer un avocat, et lui permettra d’avoir toute liberté pour manipuler le(s) magistrat(s) durant l’audience.
    N’oublions pas qu’il est fait droit aux demandes de la seule partie présente.


    ☛10. CONDAMNATION en audience en l’absence de la victime. Objectif atteint.
    Si la victime envoie une opposition à condamnation par défaut,
    rejeter cette procédure en prétextant un “contradictoire à signifier”.
    Salir son casier judiciaire : ainsi la victime ne pourra plus retrouver de travail et sera tuée socialement et professionnellement.
    Poursuivre les faux dossiers d’accusations avec harcèlement pour obtenir l’emprisonnement ferme de la victime pour “récidive”... si elle n’a pas craqué avant.


    http://enfantchristelle.sosblog.fr/index.htm


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    Si le scandale vient de la vérité, il faut supporter le scandale plutôt qu'abandonner la vérité
    Saint Grégoire le Grand

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