Il nie avoir tout rapport, mais les journalistes de Reuters, après enquête, ont trouvé la main du machiavélique homme d’affaire derrière le mouvement. Une organisation anticapitaliste Canadienne, Adbusters, avait préparé un vrai lancement publicitaire du mouvement, une campagne marketing extrêmement sophistiquée, avec pour objectif de décalquer le printemps arabe à New York. Adbusters est financé par Soros par l’intermédiaire de sociétés écrans, destinées à brouiller les cartes et empêcher de remonter jusqu’à lui. Entre 2007 et 2009, Soros a versé 3,5 millions $US au Centre Tides, une organisation basée à St Francisco, et qui sert de plaque tournante pour distribuer les fonds. Parmi les destinataires, on trouve la Fondation Ford, et… Adbusters, qui a reçu 185.000 dollars entre 2001 et 2010, et dont la raison d’être est la destruction du capitalisme, l’arrêt de la consommation, dans la logique communiste. L’un des fondateurs d’Adbusters, Kalle Lasn, 69 ans, a déclaré à Reuters que l’idée de l’opération contre Wall Street lui est venue avec le Printemps Arabe, et qu’il travaille dessus depuis le 13 juillet. Belle spontanéité, pour un mouvement qui a été lancé le 17 septembre : nos journalistes auraient besoin de cours de recyclage, eux qui continuent à soutenir que le mouvement est sorti « tout seul » du mécontentement des consommateurs.
L’hypocrite agitateur (c'est avec l'argent des riches qu'il invente des slogans qui dénoncent les riches qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ». Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années 2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall-Street.
Sans surprise
Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les journalistes de l'AFP ne lisent pas l'anglais et ils ne connaissent pas Reuters. Le résultat est que les médias mentent sur le mouvement d'occupation de Wall Street, et mentent lorsqu'ils écrivent qu'il s'agit d'un mouvement sans leader. Le scénario du financement de l'opération Wall Street en rappelle un autre, celui du puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là, nous le verrons plus loin.
J-Street
J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions farouchement antisionistes, et étrangement très en phase avec les demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il s'est avéré que J-Street, dont le batard français s'appelait J-Call, et qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.
De Wall Street à Tel Aviv…
En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire, totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information reprise telle quelle par les médias européens. Sauf qu’en regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près, quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l'Organisation Non Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ». Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée. Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de dollars par an.
Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010, sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des fonds qui les alimentent ». Elle ajouta que selon elle « dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de l’État Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le pays sera devenu beaucoup plus démocratique ». Les enquêtes menées entre autres par l'organisation Im Tirzu ont révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.
En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu. Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient. Là encore, aucun média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche. Le NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.
Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides. Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open Society Institute. Comme pour Wall Street, le plan développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées, voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street, vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.
…et de Tel Aviv à la place Tahrir
Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière « désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents » « sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.
1.http://www.reuters.com/article/2011/10/13/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111013
2.http://www.washingtontimes.com/news/2010/sep/24/soros-funder-liberal-jewish-american-lobby/?page=all
3.http://frontpagemag.com/2011/09/22/the-soros-plot-to-topple-netanyahu/
4.http://www.cablegatesearch.net/search.php?q=Hedva+Radovanitz&qo=0&qc=0&qto=2010-02-28
http://www.drzz.fr/reuters-derriere-les-protestataires-de-wall-street-le-multi-milliardaire-soros/
L’hypocrite agitateur (c'est avec l'argent des riches qu'il invente des slogans qui dénoncent les riches qui volent aux pauvres, et il a construit une solide campagne publicitaire, lui qui réclame la disparition de la publicité) a également déclaré « que les idées de Soros sont excellentes », que l’argent dont dispose l’organisation vient de la vente des magazines, et qu’il « aimerait bien que George Soros l’aide financièrement », mais « il ne nous a jamais donné un centime ». Adbusters a reçu 26.000 dollars de Soros pour les seules années 2007-2009. Et Gorges Soros a nié être au courant des liens entre l’argent qu’il a versé à Adbusters et Wall-Street.
Sans surprise
Le fait que les médias Français n’en parlent pas est naturel : les journalistes de l'AFP ne lisent pas l'anglais et ils ne connaissent pas Reuters. Le résultat est que les médias mentent sur le mouvement d'occupation de Wall Street, et mentent lorsqu'ils écrivent qu'il s'agit d'un mouvement sans leader. Le scénario du financement de l'opération Wall Street en rappelle un autre, celui du puissant lobby américain J-Street, mais la surprise ne s’arrête pas là, nous le verrons plus loin.
J-Street
J-Street, bien déguisé en lobby pro-israélien afin d’attirer des riches et crédules Juifs américains, a ses entrées chez Obama, et il est dirigé par des alter-Juifs. Il affiche des prises de positions farouchement antisionistes, et étrangement très en phase avec les demandes des Palestiniens. Suite aux révélations du Washington Times, il s'est avéré que J-Street, dont le batard français s'appelait J-Call, et qui niait tout rapport avec Soros, avait reçu 750.000 dollars du milliardaire, lequel est un ennemi acharné d’Israël.
De Wall Street à Tel Aviv…
En plein mois d’août, un mouvement démarrait, à Tel Aviv, pour protester contre la vie chère et les prix de l’immobilier, avec installation de tentes sur le boulevard Rothschild et dans plusieurs villes israéliennes. Là encore, le mouvement fut qualifié de populaire, totalement apolitique et spontané par les médias locaux, information reprise telle quelle par les médias européens. Sauf qu’en regardant ce mouvement « populaire et apolitique » de plus près, quelques observateurs attentifs s’aperçurent que la porte parole du mouvement, Daphni Leef, était – mais ce devait être un hasard – une activiste radicale d’extrême gauche, qui travaille – par un hasard tout aussi fortuit – comme éditrice Vidéo pour l'Organisation Non Gouvernementale de George Soros, du nom de « New Israel Fund ». Une explication sur le « New Israel Fund », et la boucle est bouclée. Le NIF est le navire amiral d’une nébuleuses de petites associations israéliennes d’extrême gauche, qui vit sur un budget de 25 millions de dollars par an.
Dans un Wikileaks (4) du 25 février 2010, sa présidente, Hedva Radovanitz, expliquait au responsable politique de l’Ambassade des Etats Unis à Tel Aviv, que « le NIF travaillait en coulisses au travers d’une multitude d’associations pour empêcher le vote de la loi israélienne qui oblige les ONG à révéler l’origine des fonds qui les alimentent ». Elle ajouta que selon elle « dans cent ans, Israël sera à majorité arabe, et la disparition de l’État Juif ne sera pas la tragédie que craignent les Israéliens, car le pays sera devenu beaucoup plus démocratique ». Les enquêtes menées entre autres par l'organisation Im Tirzu ont révélé que le NIF reçoit ses fonds d’un institut, l’« Open Society Institute » qui appartient à, vous avez deviné, George Soros.
En avril 2011, soit trois mois avant le mouvement de protestation du mois d’août à Tel Aviv, Stanley Greenberg, qui a travaillé pour l’OSI, présentait un plan qui faisait appel à des relais sociaux et des réseaux de protestations de l’ultra gauche, afin de créer une nouvelle majorité contre le gouvernement et renverser Benjamin Netanyahu. Une partie du financement venait d’une organisation philanthropique appartenant au millionnaire Daniel Abraham, ancien membre du « Groupe de Crise » de George Soros. Le directeur de son organisation s’appelle Robert Wexler, ancien membre du Congrès, membre de J-Street, et… ancien conseiller d’Obama pour le Moyen-Orient. Là encore, aucun média n’avait intérêt à dévoiler le pot aux roses, car l’objectif de cette nébuleuse est de renverser Netanyahu, et les journalistes israélien, comme ailleurs, sont très ancrés à gauche. Le NIF mobilisa donc les protestataires, acheta des tentes, réalisa un manuel d’activisme, et finança l’opération – comme à Wall Street.
Il fit également appel au mouvement des Rabbins pour les droits de l’homme, lesquels reçoivent des fonds de l’OSI et de la fondation Tides. Lors d’une soirée évènement, les Rabbins ont même décerné des récompenses au Président du New Israeli Fund et à celui de l’Open Society Institute. Comme pour Wall Street, le plan développé par Greenberg à Tel Aviv consistait à éclater le mouvement en une infinité de tous petits groupes et organisations afin de faire croire à l’existence d’une multitude de revendications, venant de gens très différents, apolitiques, populaires, spontanées, désordonnées, voire difficiles à concilier sous une seule bannière. Pour Wall Street, vous noterez combien les médias insistent sur ces aspects.
…et de Tel Aviv à la place Tahrir
Les plus perspicaces retrouveront ici l’empreinte d’un autre mouvement « spontané », « populaire », qui a démarré de manière « désordonnée » par les plaintes « d’une multitude de gens différents » « sans leader », au sujet du prix du pain, et qui s’est terminé par la chute de Mubarak, aidé au bon moment par Obama.
1.http://www.reuters.com/article/2011/10/13/us-wallstreet-protests-origins-idUSTRE79C1YN20111013
2.http://www.washingtontimes.com/news/2010/sep/24/soros-funder-liberal-jewish-american-lobby/?page=all
3.http://frontpagemag.com/2011/09/22/the-soros-plot-to-topple-netanyahu/
4.http://www.cablegatesearch.net/search.php?q=Hedva+Radovanitz&qo=0&qc=0&qto=2010-02-28
http://www.drzz.fr/reuters-derriere-les-protestataires-de-wall-street-le-multi-milliardaire-soros/