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    Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"

    Makoto
    Makoto


    Nombre de messages : 57
    Date d'inscription : 03/04/2010

    Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"  Empty Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"

    Message  Makoto 15/11/2011, 04:12

    Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"  Arton9022-1bf2c

    besoin de développer d'avantage ? (il manque plus que Bernard sur la photo) Laughing

    Etant donné que nous ignorons tout des pratiques sexuelles, tarifées ou non, des personnes citées, les registres de prostitution et soumission sont appliqués ici et dans la deuxième partie d’article, aux fonctions et non aux individus.

    L’appellation d’origine contrôlée Ni putes, ni soumises sous-entend le pendant immédiat ni maquereaux, ni maîtres. La revendication serait donc celle de l’affranchissement de femmes, musulmanes pour la plupart, défaites de l’emprise des sarrasins d’extra périph’ qui, comme chacun sait, sont tous adeptes de la tournante et du fouet polygame. En même temps, cette aspiration de NPNS se double d’une préoccupation constante en faveur du principe de laïcité dont elle a organisé les états généraux le 30 octobre dernier à l’Espace Citoyen de la mairie du 8éme arrondissement de Lyon. L’insoumise aux lascars et mollahs de banlieue s’affirme donc aussi en défenseur de l’essence républicaine démontrant ainsi la possibilité du parfait équilibre entre émancipation conquise et assimilation réussie. Bien, ça, selon l’expression consacrée, « c’est d’la merde », du pipeau pour la galerie.

    Désormais, personne n’ignore que l’association fut montée de toutes pièces par la filière trotskarde du PS via le réseau à Juju à des fins de stratégie politique et grâce à une surmédiatisation sponsorisée et artificielle. Ni putes, ni soumises est un pur appareil idéologique, sans base militante sérieuse, complètement déconnecté du terrain qu’il prétend occuper et qui n’existe que par l’utilisation que le système politicard en fait. La population sensée être représentée ne lui reconnaît aucune légitimité et sa crédibilité a depuis longtemps été vérolée par des fraudes et mensonges à répétition [1]. Rien de mieux pour apprécier la tartuferie que de mettre en lien l’intitulé et la réalité des faits.

    Tapin

    Grues de trottoir

    La rue, là où tout commence et s’apprend. Le risque du contact, l’angoisse du mac insatisfait et la sueur des corps imprègnent le destin d’une odeur de pute qui ne partira plus. Attirer, provoquer et empocher, la recette est vieille comme le monde et NPNS la maîtrise parfaitement. Alors, lorsque le client musulman est là et interroge sur la nature de la passe pratiquée, la récemment contestée Sihem Labchi porte à ébullition et affiche le sourire silencieux et méprisant de celle qui, sans devoir ni savoir aligner deux mots, a déjà gagné. Couvrez, maintenez à température ambiante pendant quelques minutes puis ajouter votre grain de sel. Un « nique ta race » à la femme voilée et le bordel escompté est une totale réussite qui ravira les convives (voir en image). Histoire de tenir l’affaire bien verrouillée et stigmatiser davantage, ce seront les offusqués qui feront l’objet d’une plainte pour injure. A Romans, dans une version plus blédarde, Fadela Amara s’illustre en tactique d’irrévérence programmée et insulte, dos tourné, le religieux venu pour discuter (voir la vidéo). Ces petits mots ont l’effet d’une boule de bowling au milieu des quilles de la foule, le succès est total, un vrai strike.


    Mais, de passes en passes, le jeu devient vite collectif et se dévoile en équipe quand il s’agit de diaboliser en manifestant. Ainsi, le 2 mars 2005, à l’occasion d’une conférence de presse, Amara invite-t-elle à une réunion en bonnet phrygien autour d’une statue de Marianne emburquannée. Le jour de cet appel, elle compte sur le soutien de Laguiller, alors dirigeante d’un mouvement dont les dérives sectaires et sexistes ont été largement évoquées, d’Hamida Labidi, avocate proche du clan Ben Ali et apôtre du modèle tunisien ainsi que de Fatima Lalem, du Planning familial, pour qui les banlieues sont « des quartiers où des petites filles sont violées tous les soirs ». Bref, cohérence, fiabilité et finesse sont les mots d’ordre de l’appel et on entendra sous les banderoles de la manifestation en question : « ni burqa, ni charia, l’islam ne passera pas ! ». L’ad hitlerum est plus que grossière mais a au moins le mérite de préciser l’intention. Maison close à ciel ouvert, la rue devient scène d’un tapin grotesque où la bande racoleuse fait trottoir commun pour dénoncer le « fascisme vert » [2] qui domine l’autre camp du conflit qui nous attend. Fin de la réduction, le mot est lâché, le facho c’est l’islamo. Comme disait Clara à Rocco, plus c’est gros, plus ça passe, le client est ravi, la demande assurée, le mac peut être satisfait, ce n’est pas demain que le marché du communautarisme et de la division populaire va s’effondrer.

    Courtisane de salon

    Mais la mécanique même bien lubrifiée manque de brillant et la gueuse qui aspire à la reconnaissance en société ne peut s’en satisfaire, elle se veut favorite et bien introduite. Finis les kéfiés et les verres en plastique, c’est désormais de cristal et taffetas dont il s’agit. La grue a gagné ses galons et laissent aux suivantes la crasse de l’asphalte. Le prox se diversifie et pour plus d’efficacité place les filles en salons.

    Fadela Amara excelle dans l’initiation aux mondanités et mène NPNS à la légitimation par la voie du relai médiatique et du placement en institution. Côté jardin, TF1 et RTL la sollicitent, elle pose pour Gala et Canal Plus, chaîne du porno, invite la représentante de la start-up féministe à venir dénoncer l’emprise du mâle musulman sur la femme objet. Côté cour, elle devient, entre autres, membre de la Commission consultative des droits de l’homme, membre de la HALDE, docteur honoris causa de l’Université de Bruxelles, membre du comité de la Coordination française pour la décennie de la culture de paix …Bref, la liste pourrait être allongée mais on a compris. Son invitation au dîner du CRIF apparaîtt finalement comme le sceau à cette double validation, médiatique et institutionnelle, qui officialise l’utilisation de NPNS dans la sphère du pouvoir.

    Habchi s’essaie elle aussi aux pratiques de collaboration et s’affiche aux côtés de Finkielkraut à l’occasion d’un séminaire organisé par La règle du jeu, revue fondée et dirigée par BHL. L’un des objets de réunion est le soutien sans restriction à l’agresseur de Nafissatou Diallo qui a beau être femme et violentée, n’en demeure pas moins du mauvais côté. Elle est également nommée à la HALDE, désignée comme membre du Comité diversité de France Télévision et invitée par le Grand Orient à offrir ses prestations en loge.

    Il serait juste d’être taxés de sexisme si nous n’abordions pas le problème de la prostitution masculine et éludions l’influence discrète mais décisive de Mohammed Abdi. Homme de l’ombre de l’association, élevé au biberon des potes et fourré partout où quelque chose est à gratter, le compagnon d’Amara est membre du Cercle de l’oratoire, think tank judéo-protestant pro-atlantiste fondé à la suite des attentats du 11 septembre en soutien au gouvernement américain dans sa lutte guerrière contre l’islamisme radical. Tout un programme, ça impose le respect. Il fait également partie du comité éditorial du journal du Cercle, Le meilleur des mondes, où s’associe la plume d’autres membres et invités tels Bruckner, Glucksmann ou BHL . Pour l’histoire, Abdi, ancien secrétaire général de l’association se vantant lui même d’être « un roi de la magouille » [3], a été condamné à 18 mois de prison dont 6 fermes pour détournement de fond public et escroquerie à la formation professionnelle. Pour de troubles raisons, le juge d’application considérant que « la peine est disproportionnée » et que le coupable « offre des garanties », il n’est cependant pas allé à l’ombre [4] .

    La rue est bien loin et c’est désormais en couloirs et salons galants que la transaction s’effectue. Le réseau tissé entre habitués de bonne compagnie fait de la relation mondaine la plus sûre des garanties et la courtisane s’emploie maintenant à vendre ses charmes anti-maures dans les maisons réputées et bien fréquentées. Protégé par un milieu dont on ne saurait ternir la réputation et après moult passes sur la chaussée, la grue peut enfin jouir de la notoriété tant convoitée, la raccrocheuse devient Madame, vient alors le temps de …

    L’escort

    Le succès nourri d’une surmédiatisation de tous les instants et de subventions hallucinantes (485000 euros en 2004, soit un an après la fondation de l’association), il est désormais de bon ton d’avoir une ni pute ni soumise sous la main [5]. Apparaître avec elle et affirmer sa solidarité envers les victimes de la racaille et du Coran est devenu le passage obligé pour tout politicard voulant cultiver sa bonne image relationnelle. La difficulté pour le mac est alors de contrôler sa poule dont les charmes sans cesse exposés font monter les tarifs et exigences. Vexée de la petite somme de 40 000 euros concédée à NPNS par Matignon, Amara fait un caprice, exige 500 000 et indique qu’elle ne parlera désormais plus qu’au Premier ministre. Raffarin la recevra trois fois, rallonge de 20 000. Les petits cadeaux aussi sont les bienvenus : lorsque son frère Hassein, de nationalité algérienne, écope de 16 ans de prison pour meurtre, c’est Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’intérieur, qui obtient la régularisation du meurtrier en attendant patiemment le retour d’ascenseur. Amara n’aura alors de cesse de relativiser sans cesse les critiques adressées au futur président dont elle louera plus tard « le vrai courage politique » [6]. Billets SNCF gratuits, nuits d’hôtel offertes par le groupe Accor, obtention d’un local parisien en temps record grâce à l’intervention du ministre de la Cohésion Sociale, Jean-Louis Borloo, proposition de financement de bureaux par Anne Hidalgo, procédures d’urgences dans l’accès au logement social pour des cadres de l’association … rien n’est trop beau pour favoriser le privilège de celles qui se réclament des valeurs égalitaires de la république.

    Peu importe le paradoxe, il faut se montrer avec elles en société, la musulmane laïcisée qui pourfend l’islam des cités est un secteur de marché porteur et rapporteur, en terme d’image l’impact est garanti. Plus besoin d’oser une déclaration qu’on risquerait de juger raciste, l’ancienne mouquère devenue escort est là pour faire le sale boulot et taper sur le bicot. Il suffit d’apparaître à ses côtés pour signifier son accord tout en se dégageant de la responsabilité du propos. L’opportunité est belle pour tous ceux qui misent sur le peuple divisé mais la caution de l’arabe a un prix qui monte au fur et à mesure que la demande augmente. Car c’est bien de commerce dont il s’agit. Fondée à ses débuts pour pallier la déliquescence d’un SOS démasqué et corrompu, Juju flaira le filon et paria sur le segment de la femme sans tchador. L’affaire échappa cependant aux socialo-trotskards car il est connu (et l’erreur est naïve) que la pute se donne aux plus offrants, qu’ils soient macs ou clients. Aujourd’hui, l’escort organise son agenda en fonction de celui qui paye le tarif augmenté et propose une prestation en société à qui veut bien louer le service de sa présence valorisante.

    Totalement coupée du réel banlieusard, NPNS n’existe aujourd’hui plus que par la vente de sa propre image. Le 14 juillet 2003, alors que l’association ne peut plus mettre un pied dans les cités, Jean-Louis Debré, président de l’Assemblée nationale, inaugure l’exposition d’affiches géantes représentant les portraits d’Habchi et autres collabeurettes travesties en Marianne sur les murs du quai d’Orsay. L’exemple résume à lui seul la collusion d’intérêts entre la tapineuse prête à tout pour grimper un peu et le monde politicien calculateur qui n’aspire qu’au maintien des tensions communautaires pour conserver la main mise sur le peuple divisé.

    Du trottoir au palais Bourbon en passant par le salon, la grue a servi le mac en tous lieux et circonstances imprégnée à jamais de l’odeur de celle qui, sans scrupules, a couché par profit.

    Bref, en résumé : pute.

    Le martinet


    Chienne
    La notoriété et la vie mondaine n’empêchent cependant que l’émancipation de la pute reste un mythe et si la pierreuse s’est affranchie du souteneur, c’est pour mieux se maquer au système tout entier. Freelance n’est pas indépendance et elle obéit aujourd’hui à ceux qui tour à tour commandent au même dessein. Bien installé dans l’évidence politique du conflit civilisationnel, l’anti-islamisme dépasse les clivages d’appartenance et n’est même pas l’objet d’un pseudo débat. L’alibi de la collabeurette est désormais exigence commune dans le projet de choc et la fille soulage successivement les besoins des participants au gang bang politicard.

    Le système étant devenu le nouveau maître, elle s’emploie à lui offrir dispositions et obéissance à la cadence du défilé de ses représentants. Adaptant son discours aux ordres de chacun, elle s’assujettit aux volontés diverses et livre sa personne aux appétits du moment. Dans sa biographie publiée en 2003, Fadela Amara explique sa position claire quant à l’éventualité d’une loi relative au foulard sarrasin et se dit opposée à ce qu’on « légifère à nouveau sur un thème si sensible » car « le port du voile est devenu pour certains un nouvel argument politique permettant de stigmatiser les musulmans et les banlieues » [7]. Petit coup de laisse sur collier étrangleur et toutoune revient au pied.

    Elle enchaîne alors allusions puis retournements pour finalement se plier et refuser tous cheveux sous tissus : « Grâce à la loi de 2004 sur la laïcité interdisant les signes religieux à l’école, on a sauvé des centaines de filles… Je ne suis pas favorable au port du voile. » [8]. Habchi finit le boulot en organisant une meute rue Solférino où le gros des militantes actives de l‘association, c’est à dire une petite quinzaine, aboie au PS l’obligation à se prononcer en faveur d’une nouvelle réglementation sur le sujet. La chienne ingrate mord la main qui l’a nourrie, la truffe en quête d’odeurs dominantes pour offrir la saillie.

    Les maîtres se succèdent alors, après le chenil des potes à Juju, Amara trouve panier au PS de Clermont-Ferrand avant d’être invitée par Borloo à siéger à l’ANRU où elle est déclarée fugueuse pour ne jamais avoir émargé. Qu’importe, Madame Banlieue poursuit la droitisation et intègre le gouvernement Fillon en 2007 où elle évoluera successivement sous la tutelle de Boutin, Hortefeux et Darcos. La rose bien fanée et en guise de remerciements pour services rendus, elle devient taulière parmi les énarques et finit inspectrice générale des affaires sociales. Y’a des miroirs qui doivent se fendre au simple regard.

    Abdi, taulard exempté, est éduqué au même parcours d’agility et après avoir servi la main jaune, trouve protection dans la niche de Charasse à Clermont. La réputation ternie, il entame une rédemption collassionarde qui déverrouille la cage des magouilles à pognon. Le nouveau dressage l’installe à la laisse de Ségolène Royal pour qui il rédigera, en tant que conseiller sur le péril musulman, quelques pamphlets en spéciale dédicace au Mahmoud nucléaire. L’odorat sensible au vent, il suivra la Fadela dans l’ombre des recoins ministériels sous les tutelles susdites et donne son vote à Sarkozy en cas de représentation en 2012 [9] sous condition de poursuite d’une karchérisation qui n’en reste pas à l’effet d’annonce.

    Quant à la dernière de portée qui, comme l’indique ses derniers frais de gueule déclarés, a aussi grand appétit, elle portait encore récemment parole et nonos de Montebourg dans le spectacle des primaires. Ce dernier ayant été recalé dans son entreprise de reconquête d’une gauche sans base populaire, il y a fort à parier, si la tendance se confirme, qu’elle terminera au sifflet de la droite de demain. Gamellera bien qui gamellera le dernier, la Belle conchie les Clochards et l’avenir se prépare. A cette fin, la chienne est prête à tout et, bien loin des motifs originaux de création d’assoce, concède définitivement le renoncement à sa dignité pour devenir …

    Esclave

    Il fallait bien trouver une solution. Démasquée par la population de banlieue, sans aucun soutien populaire et régulièrement surprise dans des traficotages de bas-étage, NPNS n’est très vite plus crédible et doit rapidement s’inventer un prétexte d’activité pour continuer à faire semblant d’exister. Ce ne sont pas deux immolations et demie annuelles et un vieux navet libanais qui vont compenser les démissions en cascades [10] et redonner un peu de vraisemblance à un projet qui fait désormais plus rire que pleurer. Malgré le gonflement chronique des effectifs dont personne n’est dupe, il faut donc rebondir.

    Après avoir tenté de redorer le blason en se lançant vainement dans l’organisation catastrophique d’évènements médiatiques [11], NPNS va s’immiscer dans une entreprise intellectuelle bien trop ambitieuse au regard de ses propres capacités : la défense du concept de laïcité. D’une, l’aptitude à intellectualiser et argumenter est bien trop faiblarde, voire inexistante, chez ses représentants, de deux, la place est déjà prise. Il va donc falloir combiner avec ça. En échange d’une protection synonyme d’existence, l’association s’agenouille et se fait adoubée par les seigneurs de céans, elle sera désormais l’esclave des grands maîtres maçons.

    La loge ayant monopole sur le créneau afin de garantir ses propres privilèges tout en doigtant Marianne, elle a néanmoins besoin d’exécutants pour faire le sale boulot. Bien éloignée d’une conception authentique qui garantie la liberté d’obédience en accord avec les exigences républicaines, la laïcité est devenue une sorte de laïcisme d’intérêt particulier qui, entre autres desseins, collabore dans l’ombre à la division sociale et la prospérité libérale en réduisant le sacré et la morale religieuse, musulmane surtout, à un conglomérat de comportements nuisibles au bon fonctionnement de notre système politique. Cette perversion de concept au bénéfice d’une élite qui entend conserver sa domination par la coalition cooptés-collabos-dirigeants ne pouvait que séduire NPNS qui présente toutes les qualités requises au service demandé. Déjà habituée à l’enrichissement personnel aux dépens du bien commun, à la coalition d’intérêts et aux manigances obscures sur fond de stigmatisation, elle présente tous les prérequis nécessaires à la participation de la nouvelle croisade. Le compas et l’équerre se tendent comme bras ouverts en invitation, la beurette rampante finira les restes du seigneur aux pieds de la table triangle des traîtres à la Nation.

    Mais le tablier doit rester propre. Le Grand-Maître ne saurait se plier aux tâches indignes de son rang et, pour ne pas apparaître en public occupé à de viles besognes, l’homme libre jette l’esclave en fange sociale avec ordre de s’y vautrer jusqu’à nouveau commandement. Rejoignant Tasin et Cassen sous le fouet, NPNS s’unit à la riposte organisée en haut-lieu pour mater les barbus sur tapis qui « prient en montrant leur derrière » [12]. Le peu d’honneur restant s’en va comme on tire la chasse d’eau et chaque claquement du cuir est un pas de plus dans la dissolution de soi. Très nettement inspirée par la Grande Loge féminine, la loi sur la burqa n’aura de meilleur relai en janvier 2010 que le défilé tapageur d’ilotes obéissantes en habits incriminés. La voix du maître commande à l’exhibition sous les injures et moqueries du public désormais averti. Humiliation.

    Ainsi Habchi est-elle régulièrement convoquée à des interventions pour le compte et les intérêts de la loge. Le 09 décembre elle apparaît à Toulouse aux côtés de Pierre Lambicchi, président du conseil du GODF, au cours d’une conférence sur la laïcité, le 20 janvier de la même année elle fait une allocution au Grand Orient à l’occasion du 60éme anniversaire de la déclaration des droits de l’Homme puis remet ça le 13 décembre 2010 à propos de l’éventualité d’un islam français. Discours poussifs, syntaxe maladroite, ton pleurnichard, effets de charmes à deux balles et conviction de tortue, l’image affichée ne supporte aucun crédit. « Puisque c’est ce qu’on demande », elle parle des femmes opprimées en enfilant des perles de stéréotypes qui vont de la pédophile yéménite à la petite maman cloîtrée et interdite de commissions [13]. Snif. Petite récompense à l’esclave exhibée, le grand officier Roger Cordier, représentant Guy Arcizet, big master du GODF lui aussi, aurait fait acte de présence à Lyon aux fameux états généraux dont l’absence de compte-rendu, vidéo et liens valides pousse quand même à se demander s’ils se sont réellement déroulés.

    De façon beaucoup plus certaine, l’existence de l’association, décrédibilisée en tout point, dépend en grande partie de la condition de son assujettissement à la maçonnerie. Femme objet dressée à l’exhib grossière, la NPNS lèche sagement le privilège de son maître et obtempère à l’ordre architecte de la trahison au peuple républicain. Le problème dans ce genre de déviance est de ne jamais être satisfait du davantage périlleux …

    Paillassioniste

    Drôle de gradation qui emmène la chienne en quête d’odeurs dominantes à devenir esclave encore moins libre qu’animal. De tant monter la barre du troc de l’acceptation, on s’oublie, on se perd, on se chosifie. A force d’errer la vulve gonflée dans les ruelles du pouvoir en espérant se faire attraper par le plus fort, il était plus qu’évident que la tête de meute allait se pointer. A la croisée du sponsoring médiatique et du tapinage politique anti-babouches, maître sionard par l’odeur alléchée lui tient à peu près le langage. Et bonjour Madame de banlieue, que vous êtes docile, que vous me semblez fausse, sans mentir si votre servage se rapporte à votre copinage, vous êtes le Phénix des bottes de nos lois. Ni une ni deux, on connaît la suite, l’autre ne se sent plus pisser, ouvre de larges fesses et laisse tomber Gaza.

    Pas question pour le suppôt de Sharon d’aller de congrès en dîners avec la pompe dégeu’, tâchée d’un sang qui éclabousse le monde, faut un paillasson qui laisse semelle propre et un cirage qui redonne luisant. Astique, astique, l’arabique c’est fantastique. Pendant que Momo la débrouille se rachète une conduite au kibboutz de l’Oratoire, Fadelita fait allégeance au CRIF à l’occasion du dîner annuel du conseil. Soucieuse de la montée antisémite qui se révèle à travers monde, elle y rappelle sa « solidarité » et son « amitié envers la communauté juive » tout en se félicitant de la présence de nombreux soutiens à l’initiative des ni-nis (voir la vidéo). Afin d’assurer qu’il ne s’agit pas là d’une courbette de circonstances, elle visite Tel Aviv et Jérusalem au bras d’Anne Hidalgo, membre du comité France-Israël cher à Goasguen et à l’humoriste Eric Raoult. Elle livre les impressions de ce voyage au journal Haaretz et confie en ses lignes qu’il est bien facile pour elle de se sentir « très à l’aise » en terre sainte, loin d’une France raciste qui n’a de cesse de la « scruter ». Elle ajoute pêle-mêle à son rapport touristique que l’Holocauste est la référence suprême en matière de souffrance humaine, « qu’on ne peut le comparer à rien d’autre » et que « que le point de vue des habitants de banlieues » françaises sur le conflit en question est « trop étroit » (entendez connard) pour comprendre les rouages du souci [14]. L’interview déborde de saillies judaïques, nul besoin d’en dire plus.


    Abdi lui aussi tombe sous la grâce du tour operator et offre son froc en serpillère dans les colonnes du monde des meilleurs : « J’ai découvert Israël, ce pays que j’avais haï. A Tel-Aviv, j’ai su ce qu’était la diversité. J’en avais les larmes aux yeux. Pas la moindre pression raciste. » Ça brille pas assez, vas-y Momo frotte : « Israël, au lieu d’être haï dans le monde arabe, devrait être une sorte de modèle, en tout cas la démonstration que l’on peut dans cette région du monde, même sans pétrole, créer une société prospère, démocratique et multiconfessionnelle. ». Ben voilà, là c’est propre [15].

    En septembre 2006, Abdi sort boîte à cirage et peau de chamois à l’occasion de l’affaire Redeker. Dans un scud médiatique paru dans Le Figaro, le professeur de philosophie, discipline que l’on définit étymologiquement par amour de la sagesse, entreprend une condamnation enragée de l’islam et du prophète : « Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. ». Trop classe, tout en finesse. Evidemment en face ça s’agite, Redeker est menacé de morts par des pseudo-terroristes, la pagaille escomptée a vite fait de secouer les médias et une gigantesque organisation de soutien est mise en œuvre pour condamner ses bicots qui non seulement n’acceptent pas la critique mais appellent de surcroît au crime de l’auteur. L’opération a réussi, musulman équivaut à haine, désordre et danger. Du côté du bien, tout le monde s’y colle. Finkielkraut, BHL, Bruckner, Glucksmann, Val, Fourest, le MRAP, SOS Racisme, Momo et bien d’autres encore s’activent pour changer islamophobie primaire en lutte pour le droit de parler. Pour l’occasion, Arié Bensemhoun, représentant du CRIF à Toulouse sort une vanne d’anthologie à la hauteur de la tolérance de sa communauté quant à la controverse religieuse et l’histoire sacralisée, attention la voici la voilà, elle est courte mais elle bonne : « Tout individu doit avoir le droit de blasphémer. La liberté d’expression ne se négocie pas ». Celle-là, même avec de la vaseline Gayssot, on est pas sûr qu’elle passe. Peu importe, Abdi est déjà à quatre pattes en train de briquer la carpette de son collassionisme et s’affiche sans restriction aux côtés de toute la clique participant à cette farce politico-médiatique dont le musulman reste le dindon.

    De la chienne offerte à tous au paillasson sioniste en passant par l’esclave du compas, NPNS n’a eu de cesse de s’abaisser et d’obtempérer au commandement des forces dominantes en échange de protection et récompense. Sans jamais se soucier des conséquences sociales de sa prostitution ni obéir à d’autres volontés propres que celle de continuer à exister pour ramasser les miettes tombées, elle n’est, à l’inverse du sens de l’intitulé, que servitude, appareil et obéissance éhontée.

    Bref, en résumé, soumise.

    Pour Egalité et Réconciliation

    Ruben Azahar


    Notes et source: http://egaliteetreconciliationrhonealpes.com/2011/10/14/pute-et-soumise/

    Le lien entre Soral ,Bernays et "Ni putes ni soumises" ?
    Bardamu
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    Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"  Empty Re: Chronique sur l'association "ni putes ni soumises"

    Message  Bardamu 21/11/2011, 14:03

    Très intéressant cet article, merci Makoto Bien

    Datant du 1er novembre dernier, celui ci mentionne le fait que NPNS serait financé en partie par un régime arabe Sidéré

    Ni putes ni soumises ?

    À voir (pour le second des termes)




    Sans que les médiats audiovisuels – ceux qui servent, réellement, à informer le peuple, vu le maigre lectorat qu’ont les journaux, en France – n’y accordent plus d’attention que cela, l’association de gauche systémique Ni putes ni soumises (NPNS) serait « sortie de crise », nous apprend le site UAM93. Merci à l’UAM93, en tout cas. Parce que, à tout vous dire franchement, les filles, j’ignorais que vous fussiez en « crise ». Mais, comme on dit : on en apprend tous les jours…

    En effet, par voix de communiqué, NPNS a fait savoir, je cite, que « La présidente de NPNS, Sihem Habchi, s’est engagée à démissionner de ses fonctions le 19 novembre », a indiqué Rachida Benahmed, présidente du Comité de Meaux. « L’association élira alors une nouvelle présidente en décembre prochain. Cette issue fait suite à une grève des salariés qui aura duré deux semaines. Le mouvement réclamait le départ de Mme Habchi dont « il dénonçait la gestion » et la « tyrannie » ».

    Apparemment, en dépit de son nom emblématique, NPNS subissait donc une certaine soumission. À Mme Habchi, en tout cas ! Gênant, que nous ne l’apprenions que maintenant, à l’occasion ce qui s’apparente à un sordide règlement de comptes, non ?

    Mais, il y a pire. Dan un « mail des salariés de NPNS adressé aux membres du Conseil d’Administration », en date du 25 octobre 2011, 16h22:02, a filtré une info encore plus édifiante. Que nous dit ce courriel ? Que NPNS serait « financé par un régime arabe ? Qui l’eut cru… »

    Lequel ?

    Selon les contestataires de l’autoritarisme – pardon la « tyrannie – de Sihem Habchi, outre le « problème de leadership » est évoqué un « éventuel financement par le Qatar » d’un « projet de mise en mouvement des filles des quartiers n’ayant pas accès aux formations d’excellence ».

    Éventualité « qui a soulevé des questions au sein des personnes destinataires de cette information, notamment en termes éthiques, d’image de l’association et de cohérence avec le combat universaliste ».

    Sûr, les filles, ça craint !

    Car, comme vous avez l’ingénuité troublante de le rappeler le Qatar :

    1.« est un régime autoritaire dans lequel il n’y a pas de liberté de la presse » ;
    2.« dont le classement international de l’Onu sur les droits humains (137ème, après la Chine et Haïti) est plus qu’éloquent »;
    3.« dont la situation des femmes reste alarmante (le Comité contre la Torture des Nations-unies a noté l’absence de toute loi visant spécifiquement à protéger les femmes contre la violence au foyer) ».
    4.« Le Comité contre la Torture a également constaté que les autorités judiciaires et administratives pouvaient infliger des peines telles la lapidation et la flagellation ».

    Sans doute, suis-je un peu cruche, mais si des Qataris tenaient vraiment à financer votre projet, comme dit l’adage populaire: « à cheval donné, on ne regarde pas la bouche ! »… Mais, Bon vous avez décidé de faire ménage chez vous ! Après, tout, pourquoi pas ? « Charbonnier maître chez soi », non ?

    J’avoue, cependant, que votre indignation pro domo me laisse une curieuse impression. Un arrière-goût d’inachevé, pour tout vous dire. En effet, qui me dit que vous auriez autant rué dans les brancards, si vos bisbilles internes avec Sihem Habchi ne vous avaient pas titillé les méninges ?

    Car votre courroux – pour justifié qu’il puisse paraître, ce qui mérite, selon moi, examen et débat – me semble pour le moins sélectif, pour ne pas dire, suspect.

    En effet,

    1.Pourquoi, dans votre description apocalyptique du Qatar, omettez-vous de dire cette féodalité pétrolière est l’un des deux agresseurs arabes de la Libye laïque et, constitutionnellement parlant, sexuellement égalitaire ?

    2.Pourquoi n’a-t-on si peu (pour ne pas dire du tout) entendu NPNS lors des sept mois de cette guerre génocidaire, conduite avec « Choc & Effroi », pour reprendre, mot pour mot, la terminologie de Harlan Ullman et James Wade, et la doctrine des des Cinq Cercles de John A. Warden III, qui considère comme légitime de cibler les populations civiles (4ème Cercle), en clair, des femmes et des enfants ?

    3.Pourquoi aussi peu de mots de votre part pour dénoncer les vagues d’épuration sectaire et ethnique des insurgés pro-occidentaux et pro-qataris ?

    4.Pourquoi aussi peu de mots de votre part pour dénoncer les viols systématiques commis e, réunion par des insurgés pro-occidentaux et pro-qataris ?

    5.Depuis quand le gang-bang est-il cool parce que pratiqué par des soudards équipés, armés et protégés par l’Occident et ses multinationales ?

    6.Pourquoi avoir été si discrètes sur cette guerre qui, à l’évidence, a pavé la voix à des djihâdistes de marché liés à Aqmi et à Al-Qaïda, autres grands défenseurs des droits de femmes devant l’éternel ?

    7.Pourquoi aussi peu de mots de votre part pour dénoncer les menaces, à peine voilées, visant les deux pays laïques et égalitaires que sont la République arabe syrienne et le République du Liban, où vivent sur un pied d’égalité hommes et femmes, musulmans et chrétiens, croyants et laïques ?

    Serait-ce parce que que parmi les soutiens à ces confrontations d’un autre âge, figurent la plupart des ténors de la gauche systémique et coloniale-socialiste ?

    Tant que nous y sommes, pourquoi avoir si peu et si lentement réagi aux affaires de dérapage sexuels de l’été, puis à celle du Carlton ?

    Serait-ce, une fois encore, parce que des ténors de la gauche systémique et coloniale-socialiste – dont, semble-t-il, l’ex-directeur-général du FMI, Dominique Strauss-Khan – y sont intimement mêlés ?

    Alors, les filles, un petite suggestion, quitte à élire, le 19 novembre prochain, une nouvelle patronne, pourquoi ne raccourciriez vous pas le nom de votre assoc ? Ça économiserait de l’encre et serait plus environment friendly ! Parce que, franchement, le Ni Soumise, m’y paraît plus que déplacé ! Ne serait que parce que ça fait quant même désordre d’avoir été – combien de temps, au fait, avant que vous réagissiez ? – sous la tutelle d’une « tyrannie », fut-elle celle de Sihem Habchi !

    Sinon, bonne manif samedi, mes chéries !

    http://www.geostrategie.com/4229/ni-putes-ni-soumises%C2%A0-a-voir-pour-le-second-des-termes%C2%A0/



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