Anti Nouvel Ordre Mondial

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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Solstice 2/8/2009, 17:16

    Grippe Porcine: L’ombre de la loi martiale plane au-dessus des Etats-Unis

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    Jusqu´à présent, les confidences que je suis sur le point de vous faire auraient été facilement rejetées sous prétexte qu´il s´agit de la théorie du complot. C´est le genre d´histoire à laquelle on peut s´attendre de la part d´un blogueur extrémiste… le genre d´histoire qui ne figure jamais dans les principaux media. Seulement aujourd´hui, elle y a figuré. Et il ne s´agit pas non plus de la théorie du complot.

    Hier soir, CNN a annoncé que l´armée des Etats-Unis se prépare à s´impliquer dans la lutte contre l´épidémie de la grippe, très attendue cet automne aux Etats-Unis. Selon les informations fournies diffusées par la chaîne de télévision CNN « les responsables du Département de la Défense, l´armée des Etats-Unis s´apprête à installer des équipes régionales de personnels militaires pour assister les autorités civiles en cas de déclaration, cet automne, d´une épidémie de grande ampleur du virus H1N1. »

    Voir notre article (cliquez ici)

    (Selon la terminologie de l´armée des Etats-Unis, le mot « assister » peut, bien sûr signifier presque tout. Comme d´habitude, l´armée des Etats-Unis apporte son assistance au bout du fusil. Cette “assistance” pourrait signifier aider à organiser les mises en quarantaine, à isoler les personnes infectées ou à interpeller et à emprisonner ceux qui refusent de se faire vacciner.

    Pour que cette opération paraisse plus intéressante, il faudra inclure « les personnels de toutes les sections de l´armée » et elle se fera en collaboration avec la FEMA, la Federal Emergency Management Agency. La FEMA est un groupe de génies qui se sont chargés de la gestion de l´après Katrina. Ce sont eux qui ont confisqué les armes à feu aux citoyens aux honnêtes citoyens qui défendaient leurs propriétés, et les ont installés de force dans des logements toxiques temporaires. Ces derniers ont provoqué des symptômes neurologiques et des problèmes respiratoires.

    Sur le plan international, la FEMA est appelée la Federal Emergency Laughing Stock Administration. Mais désormais, à cause de la grippe porcine, la FEMA obtiendra le soutien des personnels militaires extrêmement bien formé et lourdement armés. Imaginez un futur possible en Amérique…

    On frappe à votre porte. En guettant par la fenêtre, vous voyez deux jeunes soldats en tenue de camouflage portant leur fusil M16 en diagonal. Ils sont précédés par une personne qui ressemble à un médecin arborant un masque N95 et muni d´un porte bloc à pince pleins de feuilles de papier.

    On frappe. « Y a-t-il quelqu´un ?

    Alors un des soldats vous aperçoit en train de guetter à travers le rideau qui couvre la fenêtre du salon. « Je perçois un mouvement. » Il ajuste son emprise sur le fusil et donne un léger coup de coude à son collègue tout près de lui. « Y a-t-il quelqu´un à la maison ? On frappe encore. »

    On frappe. « Nous sommes envoyés par la brigade de lute contre l´épidémie, » insiste le docteur. « Nous sommes ici pour vous aider. Ouvrez ou nous serons obligé d´enfoncer la porte. Votre coeur bat à se rompre alors que vous ouvrez la porte. »

    Mais le médecin n´est plus devant votre porte. C´est l´un des soldats, le plus robuste. Il cale votre porte à l´aide de son pied et s´introduit de force en vous lançant un regard intimidant. « Nous travaillons en collaboration avec la FEMA. Veuillez vous éloigner de la porte. »

    « Nos registres indiquent que vous n´avez pas encore reçu votre dose de vaccin contre la grippe porcine, » glapit le médecin derrière le soldat, maintenant placé carrément devant vous. « Nous sommes ici pour vous administrer le vaccin. »

    « Je ne veux pas de vaccin », vous protestez. « Ils ne sont pas sans risque. »

    Le soldat glousse, et déclare, « ils sont sans danger, comme l´affirme le gouvernement des Etats-Unis »

    Le médecin, placé derrière son compagnon militaire, jette un coup d´œil et établit un contact visuel. « Monsieur, comme vous le savez, il est exigé de tous les habitants des Etats-Unis qu´ils se fassent vacciner depuis que le président Obama a déclaré la situation d´urgence le mois dernier. Veuillez tendre votre bras et nous en aurons fini. »

    Il sort une seringue qu´il charge en l´introduisant dans un flacon de vaccin rempli à moitié. Pendant qu´il aspire le produit dans la seringue, vous vous rendez compte que vous n’avez que quelques secondes pour prendre une décision. Allez-vous acceptez volontairement de recevoir le vaccin et éviter une bastonnade, une arrestation ou même d´être fusillé par ces deux hommes de loi armés qui sont là devant votre porte, allez-vous résister et en subir les conséquences ?

    « Veuillez tendre votre bras » déclare le médecin. Le soldat pousse un grognement en serrant ses joues. Regardant votre hésitation d´un air amusé. Il ajuste de ses doigts la sécurité de son fusil et racle sa gorge….

    … Quel sera votre choix?

    …Nous sommes là seulement pour aider disent les militaires….

    Maintenant ce scénario apparaît comme une fiction, mais il pourrait se réaliser en Amérique dans les tous prochains mois. Ce qui semble bizarre aujourd´hui pourrait devenir une réalité de l´Etat policier avant Noel.

    Mais, il ne s´agit pas d´une blague. Les gens sont sérieux. Même les mots en disent long: L´approbation de tout ce scénario est sur le point d´être signé par le Secrétaire à la Défense, Robert Gates, C´est un « ordre d´exécution. »

    Ainsi, quel sera exactement le rôle du personnel militaire dans votre quartier en cas d´épidémie de la grippe ? Le reportage de CNN indique qu´il pourrait aider à « …l´essai d´un grand nombre d´échantillons de virus prélevés sur les patients infectés. » Ce reportage ne fait pas mention de l´isolement des gens, de la mise en quarantaine, du blocage des routes ou de l´incinération des corps des victimes. Il vaut mieux que ces réalités concernant l´épidémie vous soient cachées à ceux qui font partie de l´armée des Etats-Unis (ou des principaux media).

    C´est pourquoi l´armée des Etats-Unis ne peut jamais révéler aux masses ce qu´elle prépare. C´est trop inquiétant. Mais ne vous y trompez pas : L´armée se prépare pour le pire des scénarios et le pire des scénarios concernant l´épidémie de la grippe implique l´isolation, la mise en quarantaine et très probablement la vaccination forcée pour tous, sous la menace d´une arme. Ceux qui résistent seront arrêtés (ou détenus) et vaccinés sous la menace d´une arme avant d´être relâché.

    A Hollywood, l´on a déjà imaginé ce qui pourrait se passer dans ce cas. Regardez le film The Siege de (Bruce Willis et Denzel Washington) pour imaginer à peu près comment l´armée des Etats-Unis agirait dans une « situation d´urgence.» Ce n´est pas un documentaire, bien sûr, la grande partie de son intrigue semble correspondre étrangement à ce qui se prépare en prévision de l´épidémie.

    Le fait que l´armée ait divulgué cette histoire à CNN a une signification en soi: l´armée des Etats-Unis se prépare à stationner ses troupes sur le sol américain, toutes les libertés, quelles qu´elles soient, que vous croyez garanties par la Constitution des Etats-Unis seront suspendues avant que les soldats n´arrivent devant votre porte.

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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty La guerre en Irak - est-elle finie ?

    Message  caius 1/9/2009, 11:32

    La guerre en Irak - est-elle finie ?
    essai de Denis Gorteau
    Préface de Gilles Munier

    Interview de Denis Gorteau à propos de son livre La guerre en Irak est-elle finie ?
    Denis Gorteau. Auteur d’analyses géopolitiques depuis longtemps, et, ayant déjà publié un roman racontant l’invasion de l’Irak en 2003. Il publie en mai un livre universitaire sur les tenants et les aboutissants de la guerre en Irak. Une première ébauche d’une histoire complète de ce conflit qui, selon D. Gorteau, a préfiguré le déclin des Etats-Unis comme puissance mondiale.

    QUE FAIRE : Commençons par la fin ! La guerre en Irak est-elle finie ?

    Denis Gorteau : Poser la question c’est y répondre : même si la situation a cessé de se dégrader, l’invasion de 2003 n’a pas fini de bouleverser le pays et de meurtrir ses habitants, après les pires années de l’occupation en 2005-2007, la relative amélioration de 2008 marque une sorte de » pause « , mais rien, absolument rien n’est réglé.

    QUE FAIRE : A qui s’adresse votre livre ?

    Denis Gorteau : C’est un livre généraliste, toutes les personnes intéressées par le Proche-Orient peut y trouver intérêt.

    J’explique l’histoire du Moyen-Orient et les sources de conflits. C’est donc un livre historique à la fois chronologique et thématique qui traite de questions aussi diverses que l’islamisme, le clanisme, le nationalisme arabe, etc.

    QUE FAIRE : Le contrôle du pétrole fut-il la seule cause de l’invasion américaine ?

    Denis Gorteau : Non, loin de là. Pour Bush lui-même il s’agissait de renverser un dictateur et d’apparaître positivement alors même que sa » guerre contre le terrorisme » était en échec. Pour le vice-président Cheney et Rumsfeld, icônes du néo-conservatisme, il s’agissait plutôt de moderniser par la force le monde arabe ; pour les libéraux la guerre devait ouvrir les marchés protégés des pays du Proche-Orient ; pour le lobby pro israélien le but était de renverser S. Hussein, figure du nationalisme arabe, etc. Au sein de l’oligarchie us les raisons ne manquaient pas, y compris du côté des Démocrates qui furent favorables à la guerre.

    QUE FAIRE : B. Obama s’y opposa tout de même, non ?

    Denis Gorteau : C’est juste, mais en 2003, c’était un élu local parmi d’autres. Un inconnu, courageux, mais isolé même si en 2008 il fit campagne sur la question du retrait.

    QUE FAIRE : Tiendra-t-il parole ?

    Denis Gorteau : A dire vrai, dès 2007, les Américains pensent à se retirer partiellement tout en négociant des traités très avantageux avec leurs hommes à Bagdad. C’est le sens de » l’accord de sécurité » signé en décembre 2008 : alors que l’occupation pure et simple a été un désastre politique et militaire, il est plus simple d’acheter des complicités et de sous-traiter le maintien d’un ordre favorable à l’installation de bases américaines permanentes. C’est ainsi que les tribus sunnites ont été » retournées « .

    Nous allons vers un cantonnement de gros contingents de soldats us qui resteront en Irak au cas où. Dans le pays, leurs supplétifs feront ce qu’en leur dira de faire contre arguments sonnants et trébuchants… Cela rappelle la Corée du Sud des années 70.

    QUE FAIRE : qui a gagné la guerre de 2003 ?

    Denis Gorteau : Pour le moment personne, comme la guerre Iran / Irak des années 80, il n’y a que des vaincus : les occupants se sont fourvoyés et sont haïs à un degrés inimaginable. Bush a nourri pour plusieurs décennies le terrorisme et l’islamisme le plus terrible. Les Chiites pro iraniens ont gagnés en influence, mais au prix d’une guerre civile avec les Sunnites qui a fait des milliers de morts en 2005-2006. Et le » gouvernement » actuel de Maliki ne tient qu’en jouant subtilement entre des forces contraires (Washington, Téhéran, etc.) et au prix d’une militarisation de la vie politique.

    QUE FAIRE : Le pays survivra-t-il à cette guerre ?

    Denis Gorteau : Si l’Irak avait dû disparaître cela aurait déjà été le cas, mais comme en Bosnie le territoire est très durablement divisé en communautés, régions et réseaux concurrents et violents. La question du Kurdistan n’a, par exemple, pas finit de se poser.

    QUE FAIRE : C’est à dire ?

    Denis Gorteau : Redoutant les Chiites pro iraniens et en bute aux Sunnites chassés du pouvoir en 2003, les Américains se sont appuyés sur les chefs kurdes, qui, depuis la chute de S. Hussein sont complètement libres dans le nord de l’Irak, périodiquement ils agitent la menace d’une indépendance du Kurdistan et revendiquent des territoires mixtes où les Kurdes ne sont pas les seuls habitants (à Kirkouk notamment). Indépendants de fait et tolérés par les Occidentaux les Kurdes sont dans le viseur de la Turquie qui a, plusieurs fois, bombardé et envahi les zones où se cachent les Kurdes séparatistes… de Turquie ! C’est là une zone de tension vive et durable.

    QUE FAIRE : votre livre parle aussi du reste du Proche-Orient. Pourquoi ?

    Denis Gorteau : La guerre en Irak ne se limite pas à la seule Mésopotamie, les pays frontaliers ont été concernés, ne serait-ce qu’avec la question des réfugiés : plus de 4 millions d’Irakiens ont fuient leur pays. C’est l’une des plus grande migration humanitaire des dernières décennies : la Jordanie et la Syrie, pays pauvres, ont été obligés de gérer cet exode.

    Mais la guerre de 2003 a aussi redistribué les cartes politiques : l’Iran est devenu un pays incontournable dans la région, avant, S. Hussein servait de contre poids. Nous n’en sommes plus là. Et que dire d’Israël, acteur indirect de cette guerre puisqu’il s’agissait aussi de briser toute velléité de créer un Etat capable de rivaliser avec Tel-Aviv.

    QUE FAIRE : quel est le bilan de la guerre ?

    Denis Gorteau : Le bilan est lourd, triste et malheureusement incomplet : on estime à plus de 500.000 le nombre de morts (directs ou indirects) dus à cette invasion, mais la société irakienne a aussi éclaté en communautés rivales, dont les minorités comme les Chrétiens, les Yésidis ou les Turcomans font les frais. Il y a aussi les millions de réfugiés ou les millions de jeunes sans écoles ou les Femmes qui ont perdu leur statut relativement moderne des années 50-60, etc.

    Côté us c’est sinistre : plus de 4.000 soldats morts en Irak, des dizaines de milliers de blessés définitifs et des centaines de milliers d’ex soldats perturbés mentalement.

    Et que dire des crimes de guerre assez nombreux dont on parle peu mais qui reviendront, tôt ou tard, dans la conscience américaine.

    B. Obama fera peut-être aussi le ménage dans les affaires de corruption qui ont enrichi des multinationales américaines, il s’agit de plusieurs milliards de dollars ! Rien de moins. La guerre de 2003 c’est aussi ça : le » casse du siècle » au détriment des civils irakiens et des citoyens états-uniens.

    QUE FAIRE : les Irakiens ne sont-ils pas soulagés d’être débarrassé de S. Hussein ?

    Denis Gorteau : Drôle de question car si les Irakiens ne subissent plus la tyrannie de S. Hussein, ils subissent bien pire ! Jamais le pays n’a autant souffert que de 2003 à aujourd’hui. Sans compter l’embargo de l’ONU qui a laminé le pays à partir de 1990.

    De plus, sa liquidation en décembre 2006 a été si scandaleuse qu’elle a éclipsé ses crimes. Crimes à remettre dans le contexte du pays alors soumis à toutes les pressions (kurdes, iraniennes, etc.). N’oublions pas non plus que S. Hussein avait hissé son pays au niveau de développement du Portugal dans les années 80.

    QUE FAIRE : En février 2009 Sarkozy a fait un voyage en Irak, pourquoi ?

    Denis Gorteau : Son ministre Kouchner l’avait précédé, c’était un partisan de la guerre américaine, Sarkozy a toujours été lié aux réseaux Bush, même s’il a été élu trop tard par rapport à l’invasion, c’est un soutien peu subtile de Washington : renforts français en Afghanistan, retour total de la France dans l’OTAN, etc. Les signes ne trompent pas. Le voyage à Bagdad s’inscrit dans cette politique atlantiste aux antipodes de celle du général de Gaulle. C’est plus inquiétant qu’autre chose car la France a bien peu à gagner, surtout pas de contrats tous monopolisés par les USA. Alors que les Français d’origine maghrébine sont globalement intégrés, il est maladroit et dangereux de jouer les caniches des Etats-Unis, même dirigés par B. Obama.
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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Solstice 8/1/2010, 14:45

    A la lecture de ce billet j'ai modifié le titre de ce fil parce l'administration américaine à formalisé juridiquement une très grave atteinte au droit fondamental des citoyens de ce monde.

    Ils n’auront pas de droits, pas même de droits de l’homme, aucune valeur juridique quelle qu’elle soit

    Dans le monde du 05 janvier 2010, cette dépêche AFP qui n’aura pas fait plus d’écho que cela dans la presse.

    « Une cour d’appel américaine a élargi mardi les critères justifiant la détention illimitée d’hommes arrêtés dans le cadre de la guerre contre le terrorisme, dont les détenus de Guantanamo, offrant de larges pouvoirs à l’administration américaine. [...]

    Dans sa décision mardi, la cour d’appel de Washington observe que "les lois internationales de la guerre n’ont pas été mises en place par le Congrès à l’intérieur de nos frontières et ne sont donc pas une référence faisant autorité devant les tribunaux fédéraux". »

    En creusant un peu sur le sujet, on découvre que ces fêtes de fin d’année ont été l’occasion pour la justice Américaine de faire passer quelques idées forte en même temps que des cas de jurisprudence bien particulier, qui n’ont pas eu l’air de gêner le dernier prix Nobel de la paix, bien au contraire.

    Ci dessous une traduction légèrement éditée d’un article qui m’a semblé éloquent et synthétique, sur le sujet.

    Par Chris Floyd / 19 Décembre 2009

    "C’est arrivé ce 14 décembre dernier, dans un arrêt bref et discrète, pris à l’abri des regards et dans l’urgence.

    Nos « défenseurs de la Constitution » ont froidement assassiné 220 années de jurisprudence constitutionnelle...

    Pour faire cela, ils n’auront eu qu’à écrire une phrase.

    Dans l’affaire Rasul Vs Rumsfeld, après avoir entendu les vibrants arguments de l’administration du ministère de la Justice d’Obama, la Cour suprême des Etats Unis a finalement accédé à la demande direct du Président de conserver en l’état une décision de la court inférieure qui précise que la torture est une conséquence ordinaire et attendu de la détention militaire, tout en introduisant un précédent choquante pour tous les tribunaux à venir : toute personne suspectée d’être « combattant ennemi » par le président ou son administration ne sera plus considérée comme une « personne ».

    Ils cesseront donc d’exister en tant qu’entité juridique.

    Ils n’auront pas de droits, pas même de droits de l’homme, aucune valeur juridique quelle qu’elle soit – en dehors des quelques miettes de procédures que le gouvernement daignera leur accorder de temps à autre, au sein de tribunaux de foire et autres procès-spectacle.

    Cette décision extraordinaire n’a occasionné aucun commentaire dans la presse.

    De toute évidence, le fait que gouvernement s’arroge le pouvoir de transformer des classes entières de personnes en "non-personnes » n’est pas un sujet si intéressant pour nos médias, ni même pour nos si nombreux défenseurs acharnés des libertés individuelle.

    William Fisher l’a remarqué, et en a donné ce compte rendu sur Antiwar.com :

    « À la suite du refus de la Cour suprême américaine, lundi d’examiner l’appel concernant le jugement d’une court inférieur dans le cadre d’une affaire portée par quatre anciens prisonniers britanniques de Guantanamo contre l’ancien secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, les avocats des détenus ont affirmé mardi que le plus haut tribunal du pays valide le fait que « la torture et l’humiliation religieuse soient des outils acceptables, et utilisables par un gouvernement. " [....] Dans la ligne droite de leurs prédécesseurs de l’administration Bush, les avocats du ministère de la Justice d’Obama ont fait valoir qu’en l’espèce, il n’existe aucun droit constitutionnel de ne pas être torturée ou maltraitée dans une prison américaine à l’étranger.

    L’administration Obama avait demandé au tribunal de ne pas donner suite à l’appel demandé par les plaignants. En acceptant, le tribunal laisse donc en l’état une opinion émise précédemment par la Cour de Washington DC, lors du dernier jugement qui stipule que la « Religious Freedom Restoration Act » - une loi qui s’applique dans ses termes à l’ensemble des « personnes » - ne s’applique pas aux personnes détenues à Guantanamo, au pretexte que les détenus ne sont pas des personnes dans le cadre du droit américain.

    La court inférieure a également rejeté les demandes de réparation des anciens détenus en vertu du Alien Tort Statut et de la Conventions de Genève. Les défendants ont une immunité de facto sur la base que « la torture est une conséquence prévisible de la détention des combattants ennemis présumés par l’armée."

    La Constitution américaine est pourtant claire : aucune personne ne peut être détenue hors des procédures pénales, et surtout aucune personne ne peut être soumise à des châtiments cruels et exceptionnels.

    Et la loi américaine est très claire sur la torture : elle est interdite, catégoriquement, même en temps d’« Alerte Nationale ».

    La culpabilité d’actes de torture est, en vertu des lois américaines, un crime majeure. Nul ne peut être torturé, à n’importe quel moment, sous aucun motif, et il n’y a pas d’immunités permise dans la loi vis-à-vis de la torture.

    Et pourtant, c’est ce que Barack Obama (A l’origine, un avocat de droit constitutionnel) a finalement plaidé, via son ministère, cas après cas depuis qu’il est devenu Président : Les tortionnaires et ceux qui ont ordonné la torture sont et resteront à l’abri de poursuites judiciaires ;

    La torture est une, « conséquence prévisible et ordinaire » de la détention militaire de tous ceux qui sont arbitrairement déclarés « combattants ennemis présumés."

    Plus grave encore : Barack Obama a désormais ouvertement accepté et admis qu’il ne considère pas ces prisonniers comme des « personnes ». Ils sont, littéralement, des sous êtres humains.

    Qu’est-ce qui en fait des sous-hommes ? Le fait que quelqu’un dans le gouvernement américain a déclaré qu’ils étaient des « combattants ennemis présumés."

    Un conseiller sur l’affaire, Shayana Kadidal du Center for Constitutional Rights, affligé tant par la position soutenue par la Cour que par celle du premier président d’origine Afro-Américaine, souligne la ressemblance de cet arrêt avec l’arrêt Dred Scott qui en 1857, a légalement affirmé le principe de l’esclavage.

    L’affaire Dred Scott fut une décision de la Cour suprême des États-Unis, qui avait à l’époque statué que les personnes d’ascendance africaine « importées » aux États-Unis et détenues comme esclaves, ainsi que leurs descendants n’étaient pas protégées par la Constitution et ne pouvaient pas être considérées comme des citoyens des États-Unis. 144 ans après la guerre civile, l’Histoire se répète...

    Le gouvernement des États-Unis admet désormais que des catégories entières de personnes puissent être déclarées « non-personnes", puissent être dépouillées leur liberté à tout moment, sans accusation, sans défense, sans réhabilitation possible, sur la base de la simple suspicion qu’ils puissent être des « combattants ennemis », selon la définition arbitraire de l’Etat...

    Immunité pour leurs tortionnaires et bourreaux, bien évidemment

    Barack Obama a eu l’audace de se déclarer l’héritier et l’instrument de la pensée de Martin Luther King.

    Sa reconnaissance d’un nouveau modèle d’esclavage ressemble-t-elle vraiment à ce que le King avait imaginé, dans son rêve ? »

    NB : Suite à cet article, 2 commentaires assez ironique soulignaient l’absurdité du jugement en rappelant, pour l’un que le concept de « non personne » avait déjà été abordé dans le roman 1984 – Quiconque y était déclaré « non-personne » pouvait être retiré de la société, emprisonné indéfiniment sans raison. Orwell était donc si visionnaire ??!!

    Pour l’autre, il était intéressant de souligner qu’alors que certains humains ne seraient plus considérés comme des personnes, des corporations peuvent être juridiquement considérées comme une personne !!

    http://newsoftomorrow.org/index.php/IMG/jpg/dist/javascript/IMG/jpg/spip.php?article7182
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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 2/12/2011, 16:15

    SENATE BILL 1867

    La dictature programmée aux USA



    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Contdees


    Le Sénat américain serait en train d'étudier une loi, qui répond au doux nom de "Senate Bill 1867", projet de loi défendu par une soixantaine de parlementaires étazuniens.

    Cette loi permettrait à l'Armée US d'arrêter sans mandat voire même de tuer tout citoyen américain opposé ouvertement au gouvernement.



    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Lapd300x298


    Assez curieusement, pas de source en français pour l'instant, à part un post sur le site de Dana Goldstein drunken :
    http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.com/2011/12/meurtres-de-masse-pour-2012-au-pays-de.html
    http://laveritablenaturedujudaisme.blogspot.com/2011/12/occupied-america-senate-bill-1867-would.html


    Meurtres de masse pour 2012

    au pays de l'ex-rêve américain



    Une loi américaine, la SENATE BILL 1867 est à la veille d'être votée.

    Elle donne tout pouvoir au gouvernement américain pour emprisonner et tuer quiconque émet la moindre critique sur le gouvernement.


    C'est à une guerre déclarée contre son peuple que le gouvernement américain va se livrer officiellement.


    Ne rêvons pas !! c'est exactement la même chose qui nous attend en Europe et en France, pays particulièrement visé.


    Vous avez intérêt à bouger et à bouger tous ceux qui autour de vous dorment encore les yeux grands ouverts.

    Dans quelques mois, il ne sera plus question de perdre de l'argent mais de perdre la vie, et de la manière la plus cruelle qui soit.


    Je le dis et le répète encore : le but déclaré du Nouvel Ordre Mondial est désormais de massacrer le plus d'humains possible et très vite.


    Ils vont tuer et le plus ouvertement du monde.


    Personne ne devrait prendre part à ces élections truquées de 2012, ici ou ailleurs, qui signeront juridiquement votre acceptation à votre propre mise à mort.




    Quelques liens en anglais :

    http://www.truthistreason.net/sb-1867-worldwide-indefinite-detention-and-the-senators-who-betrayed-you

    http://www.naturalnews.com/034291_SB_1867_war_on_terror.html

    http://www.aclu.org/blog/national-security/senators-demand-military-lock-american-citizens-battlefield-they-define-being


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Ndaa

    A suivre cyclops




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    Message  Shavo 2/12/2011, 20:19

    Voila un article en langue française. Je sais pas trop quoi en penser, car certains points diffèrent. Ici, le projet de loi s'appelle "National Defense Authorization Act (NDAA)" . Et v'là l'projet d'loi ! study .... scratch




    Un projet de loi américain réduit les Etats Unis à un vaste champ de bataille

    Ce lundi ou mardi, le Sénat américain va passer au vote un projet de loi qui permettra à l’armée américaine d’emprisonner pour une durée indéterminée tout citoyen du monde, où qu’il se trouve, même à son propre domicile, sans passer par une inculpation et sans qu’un procès ait nécessairement eu lieu.

    Le site de l’ACLU affirme que même les citoyens américains ne seraient pas exempts, puisque la nouvelle législation déclarerait les Etats Unis comme faisant partie du champ de bataille de la Guerre de la Terreur. Le projet de loi, appelé National Defense Authorization Act (NDAA) a été rédigé en secret par le Sénateur démocrate du Michigan, Carl Levin, et le Sénateur républicain de l’Arizona, John McCain.

    « Le Sénat s’apprête à voter pour décider si oui ou non le Congrès va donner à ce président , et à chaque futur président, le pouvoir de donner l’ordre à l’armée de capturer et emprisonner des civils sans accusation ni procès civil partout dans le monde, écrit Chris Anders, du Washington Legislative Office sur le site de l’ACLU.

    La Maison-Blanche et le Secrétariat à la Défense ont émis des réserves en ce qui concerne la détention à durée indéterminée. La Maison Blanche menace de mettre son veto.


    Source : http://www.express.be/joker/fr/world/un-projet-de-loi-americain-reduit-les-etats-unis-a-un-vaste-champ-de-bataille/157031.htm

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    Message  Bardamu 3/12/2011, 02:24

    Merci Shavo Bien Ton lien me semble beaucoup plus sérieux que celui que j'évoquais au conditionnel, la source à laquelle je me référais étant pour le moins suspecte (Dana Goldstein).

    En faisant une recherche avec les termes "National Defense Authorization Act (NDAA)" sur Gogole, on trouve quantité de pistes à suivre, la plupart en anglais. La plus récente fait état d'une clause du NDAA qui est exactement ce que l'article que tu cites signale : transformer le territoire américain en champ de bataille dans lequel chaque citoyen devient un ennemi potentiel perdant de fait ses droits civiques !!!

    http://www.aclu.org/blog/national-security/senators-demand-military-lock-american-citizens-battlefield-they-define-being



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    Message  Bardamu 7/12/2011, 11:10

    Pays du Goulag Levant (USA): Aucuns scrupules constitutionnels dans l’opposition du régime Obama à la loi de détention indéfinie

    Mauvaise lecture de la loi sur la détention militaire: Le régime Obama n’a aucuns scrupules constitutionnels

    L’amendement permet la détention indéfinie de citoyens américains par l’armée américaine
    Par Paul Craig Roberts

    Le 5 Décembre 2011,

    Url de l’article original:

    http://www.globalresearch.ca/index.php?context=va&aid=28030

    Durant une interview avec RT le 1er Décembre, j’ai dit que la constitution des Etats-Unis avait été détruite par l’échec du sénat américain de protéger les citoyens américains de l’amendement de détention soutenu par le républicain John McCain et le démocrate Carl Levin sur la loi d’autorisation de défense.

    L’amendement permet la détention indéfinie de citoyens américains par l’armée américaine. J’ai aussi donné mon opinion sur le fait que tous les républicans membres du sénat sauf deux, ont voté pour dépouiller les citoyens américains de leurs protections constitutionnelles et de la protection de la loi Posse Comitatus (NdT: loi qui interdit à l’armée américaine de réprimer domestiquement les citoyens américains) et donc que le parti républicain (NdT: l’auteur a été membre du gouvernement Reagan, républicain, dans les années 1980) a dégénéré en un parti de la Gestapo.

    Ces conclusions parlent d’elles-mêmes et je ne les renie pas.

    Néanmoins, j’ai sauté un peu vite sur les conclusions quand j’ai supputé que le régime Obama s’oppose à la détention militaire sur des bases constitutionnelles.

    Ray McGovern et Glenn Greenwald ont sûrement été trop vite là-dessus.

    Un article de Dahlia Lithwick de Slate a rapporté que le régime Obama en entier était opposé à la détention militaire faite par l’amendement McCain/Levin. Lithwick a écrit: “Le secrétaire à la défense, le directeur du renseignement national, le directeur du FBI, le directeur de la CIA et le chef de la division de la sécurité du ministère de la justice ont tous dit que les provisions de l’amendement sur la détention militaire indéfinie, étaient une mauvaise idée. La Maison Blanche continue de dire que le président posera son veto sur la loi si les ajouts sur la détention ne sont pas retirés.”

    J’ai vérifié les lien internet que Lithwick a donné. Il est très clair que le régime Obama objecte à la détention militaire et j’ai confondu cette objection avec des scrupules constitutionnels.

    Quoi qu’il en soit, après mûre réflexion, je conclus que l’objection du régime Obama sur la détention militaire n’a pas ses racines dans une préoccupation quelconque pour les droits constitutionnels des citoyens américains. Le régime objecte à la détention militaire à cause de l’implication que cela a pour les détenus, en effet, ceux-ci sont des prisonniers de guerre. Comme le président du comité des services armés du sénat, Carl Levin, le dit: “être un membre d’une force ennemie qui est venu dans cette nation ou est dans cette nation pour nous attaquer en tant que membre d’une force ennemie étrangère, cette personne devrait-elle être traitée en accord avec les lois de la guerre ? La réponse est oui.”

    Les détenus traités en accord avec les lois de la guerre sont couverts par les conventions de Genève. Ils ne peuvent pas être torturés. Le régime Obama s’oppose à la détention militaire, parce que les détenus auraient des droits. Ces droits seraient en interférence avec la capacité du régime d’envoyer les détenus dans les prisons de la CIA à l’étranger pour y être torturés. Voilà ce que veut dire le régime Obama quand il dit que le requis de détention militaire renie la “flexibilité” du régime.

    Les régimes Bush/Obama ont échappé aux conventions de Genève en déclarant que les détenus n’étaient pas des prisonniers de guerre, mais des “ennemis combattants”, des “terroristes”, ou quelqu’autre vocable qui enlève toute responsabilité au gouvernement américain quant à leur traitement.

    En rendant obligatoire la détention militaire de ceux qui sont capturés, le Congrès défait toute la manœuvre que deux régimes ont accompli en parvenant à retirer le statut de prisonnier de guerre des détenus.

    Une lecture attentive des objections du régime Obama à la détention militaire supporte ces conclusions:

    (voir http://www.whitehouse.gov/sites/default/files/omb/legislative/sap/112/saps1867s_20111117.pdf )

    Le 17 Novembre, une lettre au sénat provenant du bureau exécutif du président a dit que le régime Obama ne veut pas que l’autorité qu’il possède au vu de la loi publique “Authorization for Use of Military Force” ou AUMF 107-40, soit codifiée. La codification est risquée dit le régime. “Après une décennie de jurisprudence établie sur l’autorité de détention, le Congrès doit être vigilant de ne pas ouvrir toute une nouvelle série de questions légales qui ne ferait que divertir de nos efforts de protéger le pays.”

    Autrement dit, le régime explique que sous la loi AUMF, la branche exécutive fait ce qu’elle veut quant à qui est détenu et de la façon dont elle traite les détenus. De plus, comme la branche exécutive a totale discrétion sur la question, personne ne peut savoir ce que la branche exécutive fait, qui sont ces détenus, ou ce qu’on leur fait. La codification amène la responsabilité légale et la branche exécutive ne veut pas être tenue pour responsable.

    Ceux qui voit un espoir en la menace de vete d’Obama ont sauté sur des conclusions faciles s’ils pensent que le veto est basé sur des scrupules constitutionnels.

    http://resistance71.wordpress.com/2011/12/05/pays-du-goulag-levant-usa-aucuns-scrupules-constitutionnels-dans-lopposition-du-regime-obama-a-la-loi-de-detention-indefinie/


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    Message  Bardamu 7/12/2011, 20:06

    Le projet de loi HR645

    A study sur le site :

    http://www.blueman.name/YG_LeProjetdeLoiHR645.php


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    Message  Bardamu 10/12/2011, 14:40

    USA: Les Camps de Détention officialisés !!!

    Cdlabomb

    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Chippedamericans



    Tout de suite après avoir passé la loi "National Defense Authorization Act" au sénat, KBR, une filiale de Halliburton, fait appel à des sous-traitants pour procurer des services comme l'énergie, le lavage, l'eau, la nourriture, les clôture, etc, dans les camps de détention de la FEMA. Précisons que cette nouvelle loi autorise l'armée de détenir arbitrairement une personne, pour une durée illimitée, tant que le gouvernement lui donne l'étiquette de terroriste. Vous êtes présumé coupable d'office. Le gouvernement vous soupçonne, vous allez dans un camp de détention. Évidemment, ces camps sont équipés pour faire travailler les gens, comme dans une prison.

    Comme montré dans la 1ère page du document de KBR ici, en cas de crise, les USA seront divisés en cinq secteurs. Chaque secteur aura son propre gouvernement de crise. Ainsi, ce ne sont plus des élus qui dirigeront le pays en tant de crise. Vous voyez où ça s'en va... une main mise sur le pays par les bansters et l'armée. Un pays où la main d'oeuvre sera moins chère qu'en Chine. Vous pensiez que c'était des lubies de conspirationnistes en manque de sensations fortes, et bien maintenant c'est officiel !


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Capturetjx


    Jesse Ventura a fait une émission sur ces camps de concentration

    (Très révélateur, voyez comment tout cela se manifeste en réalité):


    Les camps F.E.M.A par Jesse Ventura



    http://spread-the-truth777.blogspot.com/2011/12/usa-les-camps-de-detention-officialises.html


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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 12/12/2011, 12:00

    Carte et liste des camps de la FEMA opérationnels depuis le 6 décembre dernier


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 128966611895


    800 camps de la FEMA ont ouvert le 6 décembre 2011 qui recevront nul doute des prisonniers en grand nombre pour faire face aux révoltes sociales à venir. La Loi martiale a été passé en cachette, c'est la révélation de Mikael Burgess, député Républicain du Texas qui l'a révélé fin juillet.

    Video en anglais, désolé, mentionne l'ouverture d'appels d'offres pour l'équipement des camps en fournitures (électricité, eau, barrières mobiles, ...)




    Les camps de détention officialisés

    Tout de suite après avoir passé la loi "National Defense Authorization Act " au sénat http://www.forbes.com/sites/erikkain/2011/12/05/the-national-defense-authorization-act-is-the-greatest-threat-to-civil-liberties-americans-face/ , KBR, une filiale de Halliburton, fait appel à des sous-traitants pour procurer des services comme l'énergie, le lavage, l'eau, la nourriture, les clôture, etc, dans les camps de détention de la FEMA. Précisons que cette nouvelle loi autorise l'armée de détenir arbitrairement une personne, pour une durée illimitée, tant que le gouvernement lui donne l'étiquette de terroriste. Vous êtes présumé coupable d'office. Le gouvernement vous soupçonne, vous allez dans un camp de détention. Évidemment, ces camps sont équipés pour faire travailler les gens, comme dans une prison. http://armypubs.army.mil/epubs/pdf/R210_35.PDF

    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Capturedma

    Comme montré dans la 1ère page du document de KBR, en cas de crise, les USA seront divisés en cinq secteurs. Chaque secteur aura son propre gouvernement de crise. Ainsi, ce ne sont plus des élus qui dirigeront le pays en tant de crise. Vous voyez où ça s'en va... une main mise sur le pays par les bansters et l'armée. Un pays où la main d'oeuvre sera moins chère qu'en Chine. Vous pensiez que c'était des lubies de conspirationnistes en manque de sensations fortes, et bien maintenant c'est officiel ! (Aletr-Info)

    http://www.brujitafr.fr/article-usa-carte-et-liste-des-camps-de-la-fema-actifs-depuis-le-6-decembre-2011-92120753.html


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    Message  Shavo 12/12/2011, 12:43

    Je croyais que c'était entre 300 et 600 camps... On a une source officielle concernant leur nombre ?
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    Message  Bardamu 12/12/2011, 13:54

    C'est vrai que le chiffre avancé dans cet article surprend !

    La seule liste de camps est celle figurant dans la page signalée : http://www.brujitafr.fr/article-usa-carte-et-liste-des-camps-de-la-fema-actifs-depuis-le-6-decembre-2011-92120753.html

    On peut y lire :

    En dehors des camps à proprements parler, il existe d'autres emplacements qui sont des camps potentiels (sans doute plus de 800 en fait) mais qui ne peuvent être listés par manque de temps et de moyens car trop nombreux.

    On peut considérer comme camps potentiels toutes les bases militaires, les dépôts des services des postes, des stations et des dépôts fortement suspects parce qu'ils sont en terre "fédérale", c'est le cas des Aéroports Régionaux et des Aéroports Internationaux qui tombent sous la juridiction fédérale .

    Des cliniques psychiatriques et des hôpitaux fermés et des maisons de repos, des bases militaires fermées, des refuges de faune et flore, des prisons d'état, des décharges de déchets toxiques, des hôtels et d'autres domaines qui possèdent tous le potentiel pour devenir des camps de détention.

    La probabilité qu'un site soit suspect augmente avec l'accès au transports (proximité des aéroports/pistes d'atterrissage, des têtes de ligne de voies ferrées, des voies navigables et des ports, des routes et autoroutes.

    Quelques installations sont "déguisées" comme des propriétés industrielles ou commerciales, camouflées ou même contenues complètement à l'intérieur de grandes constructions(bâtiments) (Indianapolis) ou des usines. Beaucoup de constructions de quartiers déshérités ont été abandonnées pendant la désindustrialisation de l'Amérique et ont été tranquillement acquises et entretenues, parfois retrocédées pour leurs nouvelles utilisations.



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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 16/12/2011, 09:09

    Pays du goulag levant (USA): Obama en passe de signer la loi sur la “détention indéfinie et la torture”… Pas de veto en vue, les USA sombrent dans le totalitarisme total…


    La loi sur la “détention indéfinie” se dirige vers le bureau d’Obama alors que la maison blanche abandonne sa menace de veto.


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Worship2deesy

    On pensait qu’il ne pourrait pas y avoir pire que debeuliou bush… Le monde (et accessoirement les Etats-Unis…) a Obama pour sombrer plus avant dans la tyrannie oligarchique. La marionnette de Wall Street et de Goldman Sachs continue son œuvre de mort et de destruction. Où se situe le point de rupture du peuple ? Quand assez est-il assez ?

    Ne nous leurrons pas… L’équivalent se prépare pour l’Europe et la France, le fascisme néolibéral ne reculera devant rien pour nous asservir plus avant dans leur concept de nouvelle société néo-féodale post-industrielle.

    Les médias de l’establishment et les néo-conservateurs continuent de prétendre que la NDAA ne s’applique pas aux citoyens américains.

    Url de l’article original (avec vidéos):

    http://www.infowars.com/indefinite-detention-bill-heads-to-obamas-desk/


    Mise à jour: Obama a abandonné sa menace de mettre son veto sur la proposition de loi et est maintenant attendu de la signer comme loi. Rappelez-vous: c’est la maison blanche d’Obama qui a demandé que la loi s’applique aux citoyens américains en première instance.

    Ce projet qui codifiera sous forme de loi la détention indéfinie de citoyens américains sans autre forme de procès est en phase d’être passée et envoyée sur le bureau d’Obama pour qu’il la signe en tant que loi, alors même que quelques médias reportent toujours de manière erronée que cette législation ne s’appliquera pas aux citoyens américains.

    “Le parlement a approuvé Mercredi la règle pour le National Defense Authorization Act (NDAA), déclenchant une heure de débat et un vote de la chambre cette après-midi”, rapporte the Hill.

    Les entités de presse de masse comme The Hill, ainsi que les blogs néo-conservateurs comme Red State, prétendent toujours que la provision de détention indéfinie ne s’applique pas aux citoyens américains alors même que les sponsors les plus prominents du projet de loi comme le sénateur Carl Levin, le sénateur John McCain et le sénateur Lindsey Graham ont dit qu’elle s’appliquerait aux citoyens américains lors de discours au Sénat.

    “Ce n’est pas injuste de rendre responsable un citoyen américain pour le fait qu’il ait décidé d’aider Al Qaïda pour nous tuer et de le détenir aussi longtemps que nécessaire pour avoir des renseignements sur ce qu’il va se passer ensuite”, remarqua Graham. “Et quand ils diront: je veux mon avocat, vous leur répondez: fermes ta gueule, tu n’as pas d’avocat.”

    Comme l’a dit Levin la semaine dernière, ce fut la maison blanche elle-même qui a demandé que la section 1031 du projet s’applique aux citoyens américains.

    “Les mots qui prennent en considération la non-application de la section 1031 aux citoyens américains étaient dans le projet de loi qui fut approuvé originellement… et les administrations nous ont demandé d’enlever les mots qui disaient que les citoyens américains et les résidents légaux aux Etats-Unis ne seraient pas sujets à cette section”, a dit Levin, chairman du comité des services armés.

    Le sénateur McCain a aussi dit à Rand Paul lors d’une audition sur le projet de loi que les citoyens américains pourraient être déclarés ennemis combattants, envoyés à Guantanamo Bay et détenus indéfiniment, “qui qu’ils soient”.

    Comment ceux qui sont toujours en état de déni puissent même imaginer la notion que cette loi ne s’appliquera pas aux citoyens américains alors même que le gouvernement Obama est déjà en train de procéder à des assassinats commandités par l’état et d’assassiner des citoyens américains qu’il déclare “terroristes” sans présenter de preuve et sans processus légal, est bien au-delà de toute forme de naïveté.

    La maison blanche ayant résolu largement ses problèmes avec la future loi, qui n’avaient rien à voir avec la provision de “détention indéfinie”, Obama peut maintenant valider tout cela sur papier dès demain et signer cette loi qui si reconnue comme telle annulera la charte des droits (NdT: “bill of rights”) alors que demain de manière ironique est le “jour de la charte des droits”.

    http://resistance71.wordpress.com/2011/12/15/pays-du-goulag-levant-usa-obama-en-passe-de-signer-la-loi-sur-la-detention-indefinie-et-la-torture-pas-de-veto-en-vue-les-usa-sombrent-dans-le-totalitarisme-total/


    Histoire d'illustrer le sujet :


    RT: les USA: phare hypocrite des droits de l'homme S/T par hussardelamort

    Belle qquenelle2 de la part de Russia Today Razz


    Voir la vidéo postée par Solstice dans le post suivant

    cyclops


    Dernière édition par Bardamu le 20/12/2011, 00:30, édité 2 fois


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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Solstice 19/12/2011, 22:16

    belle quenelle de Russia Today

    L'hypocrisie des états Unis: Ils veulent que les gens aient la liberté d’expression, mais ils ne veulent pas que cette liberté interfère avec eux de quelque façon que ce soit.

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    Message  Bardamu 24/12/2011, 08:36

    Le Gouvernement américain promulgue la Loi martiale




    Le projet de Loi NDAA :
    https://www.dailymotion.com/video/xn22wk_ndaa-la-loi-instaurant-le-fascisme-aux-etats-unis_news
    http://fr.wikipedia.org/wiki/National_Defense_Authorization_Act
    http://www.aclu.org/blog/tag/NDAA


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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 6/1/2012, 12:53

    Stallman avait malheureusement raison depuis le début

    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Nurhusseinccbysas

    Important Je conseille la lecture de cet article sur le site source pour pouvoir bénéficier des liens qui l'accompagnent
    http://www.framablog.org/index.php/post/2012/01/04/stallman-avait-raison




    Le cauchemar paranoïaque et apocalyptique d’un geek psychorigide est en passe de devenir réalité.

    Trente ans, trente ans que Stallman et la Free Software Foundation répètent inlassablement qu’il est fondamental que ce soit l’homme qui contrôle le logiciel, et donc la machine, et non l’inverse.

    Le discours est peut-être radical sur le fond (car il ne souffre d’aucune compromission) et parfois excentrique dans la forme (le personnage Richard Stallman[1]), mais, comme Thom Holwerda ci-dessous, nous sommes de plus en plus nombreux à réaliser sa justesse et sa pertinence au fur et à mesure que le temps passe et les libertés s’amenuisent.

    C’est d’ailleurs aussi voire surtout pour cela que nous avions traduit et enrichi avec lui sa biographie http://framabook.org/richard-stallman-et-la-revolution-du-logiciel-libre où figure en exergue cette citation de Lessig qui, cela dépend de nous, peut tout aussi bien être prémonitoire que tomber dans l’oubli :

    « Chaque génération a son philosophe, écrivain ou artiste qui saisit et incarne l’imaginaire du moment. Il arrive que ces philosophes soient reconnus de leur vivant, mais le plus souvent il faut attendre que la patine du temps fasse son effet. Que cette reconnaissance soit immédiate ou différée, une époque est marquée par ces hommes qui expriment leurs idéaux, dans les murmures d’un poème ou dans le grondement d’un mouvement politique. Notre génération a un philosophe. Ce n’est ni un artiste ni un écrivain. C’est un informaticien. »

    Remarque : On notera que l’auteur fait référence à une récente et marquante conférence de Cory Doctorow qui affirme l’importance de gagner la guerre actuelle contre le copyright, prélude, ni plus ni moins selon lui, à une future éventuelle guerre totale contre le Net et donc les citoyens. Nous aurons l’occasion d’en reparler car notre fine équipe Framalang a prévu son sous-titrage.



    Richard Stallman avait raison depuis le début


    Trente ans, trente ans que Stallman et la Free Software Foundation répètent inlassablement qu’il est fondamental que ce soit l’homme qui contrôle le logiciel, et donc la machine, et non l’inverse.

    Le discours est peut-être radical sur le fond (car il ne souffre d’aucune compromission) et parfois excentrique dans la forme (le personnage Richard Stallman[1]), mais, comme Thom Holwerda ci-dessous, nous sommes de plus en plus nombreux à réaliser sa justesse et sa pertinence au fur et à mesure que le temps passe et les libertés s’amenuisent.

    C’est d’ailleurs aussi voire surtout pour cela que nous avions traduit et enrichi avec lui sa biographie où figure en exergue cette citation de Lessig qui, cela dépend de nous, peut tout aussi bien être prémonitoire que tomber dans l’oubli :

    « Chaque génération a son philosophe, écrivain ou artiste qui saisit et incarne l’imaginaire du moment. Il arrive que ces philosophes soient reconnus de leur vivant, mais le plus souvent il faut attendre que la patine du temps fasse son effet. Que cette reconnaissance soit immédiate ou différée, une époque est marquée par ces hommes qui expriment leurs idéaux, dans les murmures d’un poème ou dans le grondement d’un mouvement politique. Notre génération a un philosophe. Ce n’est ni un artiste ni un écrivain. C’est un informaticien. »

    Remarque : On notera que l’auteur fait référence à une récente et marquante conférence de Cory Doctorow qui affirme l’importance de gagner la guerre actuelle contre le copyright, prélude, ni plus ni moins selon lui, à une future éventuelle guerre totale contre le Net et donc les citoyens. Nous aurons l’occasion d’en reparler car notre fine équipe Framalang a prévu son sous-titrage.
    Richard Stallman avait raison depuis le début

    Richard Stallman Was Right All Along

    Thom Holwerda - 2 janvier 2012 - OSNews.com
    (Traduction Framalang : Lolo le 13, Goofy, Slystone, e-Jim, Pandark et Clochix)

    À la fin de l’année dernière, le président Obama a signé une loi qui permet de maintenir indéfiniment en détention des gens soupçonnés de terrorisme sans la moindre forme de procès ou de jugement en bonne et due forme. Les manifestants pacifiques des mouvements Occupy du monde entier ont été qualifiés de terroristes par les autorités. Des initiatives comme SOPA promeuvent une surveillance constante de tous les canaux de communication.

    Il y a trente ans, lorsque Richard Stallman a lancé le projet GNU, et pendant les trois décennie qui ont suivi, ses vues radicales et parfois extrêmes ont été raillées et méprisées comme étant de la paranoïa — mais nous y voici, en 2012, et ses suppositions paranoïaques sont devenues réalité.

    Jusqu’à récemment, il était facile d’écarter Richard Stallman en le qualifiant de fanatique paranoïaque, quelqu’un qui avait depuis longtemps perdu le contact avec la réalité. Une sorte d’éternel hippie des ordinateurs, la personnification parfaite de l’archétype du nerd vivant retiré du monde dans le garage d’une maison. Sa barbe, ses cheveux, sa tenue — dans notre monde d’apparences, il était très facile de l’écarter.

    Ses positions ont toujours été extrêmes. Son unique ordinateur est un netbook Lemote Yeelong, car c’est le seul ordinateur qui n’utilise que des logiciels libres — pas de binaires dans le firmware, pas de BIOS propriétaire; il est complètement libre. Il refuse également de posséder un téléphone portable, car ils sont trop simples à pister. En attendant qu’il existe un téléphone mobile équivalent au Yeelong, Stallman ne veut pas en posséder.

    En règle générale, tous les logiciels devraient être libres. Ou, comme le dit la Free Software Foundation :

    À mesure que notre société devient plus dépendantes des ordinateurs, les logiciels que nous utilisons sont d’une importance critique pour sécuriser l’avenir d’une société libre. Le logiciel libre permet d’avoir le contrôle de la technologie que nous utilisons dans nos maisons, nos écoles, nos entreprises, là où les ordinateurs travaillent à notre service et au service du bien commun, et non pour des entreprises de logiciels propriétaires ou des gouvernements qui pourraient essayer de restreindre nos libertés et de nous surveiller.

    J’ai, moi aussi, ignoré Richard Stallman que je jugeais trop extrême. Le logiciel libre pour combattre les gouvernements qui contrôlent et espionnent ? Des entreprises démoniaques prêtes à prendre le contrôle du monde ? Le logiciel comme outil pour surveiller les canaux de communication privés ? Ok, je suis d’accord, le logiciel libre est important, et je le choisis à chaque fois qu’il implémente les mêmes fonctionnalités que les solutions propriétaires, mais de là à croire et adhérer aux sornettes de Stallman et de la FSF…

    Or nous y voici.


    Nous sommes au début de 2012 et Obama a signé le NDAA, qui autorise la rétention indéfinie de citoyens américains sans aucune forme de jugement ou de procès, simplement parce qu’ils sont suspectés de terrorisme. Au même moment, nous avons la loi SOPA, qui, si elle passe, mettrait en place un système dans lequel les sites peuvent être débranchés du Web, une fois encore sans la moindre forme de jugement ou de procès, tout en autorisant également la surveillance du traffic Internet. Combinez cela avec la façon dont les autorités ont qualifié de terroristes les mouvements Occupy et vous pouvez voir où cela nous amène.

    Au cas où ça vous rappelle la Chine et des régimes totalitaires similaires, vous n’êtes pas le seul. Même l’Association du Cinéma d’Amérique, la MPAA, clame fièrement que ce qui fonctionne en Chine, Syrie, Iran et dans d’autres pays devrait fonctionner aux États-Unis. La Grande Muraille pare-feu de Chine et les systèmes de filtrage similaires sont glorifiés et cités en exemple dans ce qui est supposé être le monde libre.

    Le nœud du problème ici est qu’à la différence de jadis, à l’époque où les régimes répressifs avaient besoin de réseaux compliqués de police secrète et d’informateurs pour surveiller les communications, tout ce dont ils ont besoin à présent est de contrôle sur le logiciel et le matériel que nous utilisons. Nos ordinateurs de bureau, nos portables, nos tablettes, nos smartphones, et toute sortes de terminaux jouent un rôle dans pratiquement toutes nos communications. Vous pensez être à l’abri lorsque vous communiquez en face-à-face ? Réfléchissez-y à deux fois. Comment avez-vous préparé la rencontre ? Au téléphone ? Via le Web ? Et qu’est-ce que vous avez dans votre poche ou votre sac, toujours connecté au réseau ?


    C’est contre cela que Stallman nous a mis en garde pendant toutes ces années — et la plupart d’entre nous, moi compris, ne l’ont jamais réellement pris au sérieux. Cependant, à mesure que le monde change, l’importance de la possibilité de vérifier ce que fait le code dans vos terminaux — ou de le faire faire par quelqu’un d’autre si vous n’en avez pas les compétences — devient de plus en plus évidente. Si nous perdons la possibilité de vérifier ce que font nos ordinateurs, nous sommes foutus.

    C’est au cœur de ce que croient la Free Software Foundation et Stallman : que le logiciel propriétaire enlève à l’utilisateur le contrôle sur la machine, ce qui peut avoir des conséquences désastreuses, en particulier à présent que nous dépendons des ordinateurs pour à peu près tout ce que nous faisons. Le fait que Stallman l’ait prévu il y a près de trois décennies est remarquable, et donne raison à son activisme.

    Et en 2012, nous allons avoir plus que jamais besoin de logiciels libres. Au récent Chaos Computer Congress de Berlin, Cory Doctorow a donné une conférence intitulée La guerre à venir sur la computation à but général (NdT : The Coming War on General Purpose Computation). À cette occasion, Doctorow nous informa que l’ordinateur dont le contrôle complet est accessible à l’utilisateur est perçu comme une menace pour l’ordre établi actuel. La guerre du copyright ? Rien de plus qu’un prélude à la vraie guerre.

    « En tant que membre de la génération Walkman, j’ai accepté le fait que j’aurai sûrement bientôt besoin d’implants auditifs, et, bien sûr, il ne s’agira pas de prothèses au sens classique, mais bien d’un ordinateur implanté dans mon corps », explique Doctorow. « Donc, lorsque je rentre dans ma voiture (un ordinateur dans lequel j’insère mon corps) avec mes audioprothèses (un ordinateur que j’insère dans mon corps), je veux être certain que ces technologies n’ont pas été conçues de manière à me cacher des choses, ni à m’empêcher de mettre fin à des processus qu’elles exécutent et qui nuiraient à mes intérêts ».

    Et ceci est vraiment le coeur de la problématique. À partir du moment où les ordinateurs s’occupent de choses comme l’audition, la conduite automobile, et bien d’autres choses encore, nous ne pouvons plus nous permettre d’être privés d’accès à leur code. Nous devons avoir un droit de regard sur leur fonctionnement interne et pouvoir comprendre ce qu’ils font, afin de nous assurer que nous ne sommes pas surveillés, filtrés ou manipulés. Il y a peu, j’aurais encore affirmé que tout ceci n’est que pure paranoïa, mais avec tout ce qui se passe ces derniers temps, ce n’est plus de la paranoïa. C’est la réalité.

    « À l’avenir, la liberté exigera de nous que nous ayons la capacité de surveiller nos appareils, de leur imposer ce que nous voulons qu’ils fassent, de définir une politique éthique et sensée pour leur utilisation, d’examiner et de pouvoir choisir et mettre fin aux processus qu’ils exécutent, afin qu’ils restent nos fidèles serviteurs, et non des traîtres et des espions à la solde de criminels, de voyous et d’obsédés du contrôle, qu’ils soient individus, États ou multinationales », nous avertit Doctorow, « Nous n’avons pas encore perdu, mais il nous faut gagner la guerre du Copyright afin de garder Internet et nos ordinateurs libres et ouverts.Parce que ces derniers sont les armes des guerres à venir, nous serons incapables de nous battre sans eux. »

    Voilà pourquoi vous devriez soutenir Android (pas Google, mais Android), même si vous préférez l’iPhone. Voilà pourquoi vous devriez soutenir Linux, même si vous utilisez Windows. Voilà pourquoi vous devriez soutenir le serveur Web Apache, même si vous utilisez Microsoft IIS. Il va arriver un moment où être libre et ouvert ne sera plus seulement un avantage amusant, mais une nécessité.

    Et ce moment approche beaucoup plus rapidement que vous ne le pensez.




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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Loi martiale aux USA

    Message  Matrix 10/2/2012, 00:46

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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 16/3/2012, 09:06

    Usa : Un barreau de plus à la cage


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Amazingphotomanipulatio


    Une nouvelle loi, HR 347, loi sur Federal Restricted Building and Grounds Improvement Act de 2011, connue également sous le nom de “loi sur l’empiètement”, doit bientôt être signée par le président Obama. Cette loi va effectivement criminaliser la protestation et va toucher très durement les groupes et les mouvements de protestation tel le mouvement d’occupation de Wall Street.



    La loi stipule que “quiconque entre ou demeure volontairement dans un bâtiment ou une zone sans autorisation légale avec pour intention de déranger la marche normale des activités du gouvernement ou des fonctions officielles, s’engage dans un type de conduite altérant l’ordre public dans ou à proximité de tels bâtiments ou zones restreintes” ou “empèche et dérange la conduite des affaires gouvernementales et des fonctions officielles” sera puni d’une amende ou “d’un emprisonnement de moins de 10 ans, ou des deux”.

    Il y a déjà pas mal de problèmes impliquant cette loi, car elle ne fait aucune provision de ce que serait un “empêchement” ou un “dérangement de la conduite des affaires du gouvernement ou des fonctions officielles”, elle ne définit pas non plus ce que sont “les affaires du gouvernement”, ni les “fonctions officielles”.

    Cette vague description va permettre au gouvernement américain de museler effectivement les manifestations et la liberté de parole, et pouvoir criminaliser des actions comme les manifestations à venir anti-OTAN et G8 à Chicago.

    De plus, une telle loi rendra impossible pour les citoyens Américains d’exercer leurs droits stipulés dans le 1er amendement de la constitution (droit de parole et liberté d’expression), quand des “affaires gouvernementales” ou des “fonctions officielles” seront en cours.
    De manière non surprenante, seulement trois élus ont voté contre cette mesure: Paul Broun (Républicain, Géorgie, 10ème circonscription), Justin Amash (Républicain, Michigan, 3ème circonscription) et Ron Paul (Républicain, Texas, 14ème circonscription).

    Cette loi va permettre aux forces de l’ordre fédérales “d’arrêter et de faire déférer devant la justice les manifestants engagés dans des manifestations où que ce soit sur le territoire national et les perpétrateurs feront face à des conséquences légales qui pourront aller jusqu’à 10 ans d’emprisonnement.”

    Cette loi HR 347 est parfaite pour l’abus de pouvoir, tout comme la police de New York a récemment pris la décision que prende en photo ou filmer les policiers en action constitue une “atteinte à l’ordre public”. Le fait que seulement trois élus de la chambre, tous républicains, se soient opposés à cette loi, alors qu’aucun démocrate ne l’a fait, ne fait que confirmer que les deux partis politiques ne sont que les deux faces de la même pièce.

    Cette loi arrive juste après celle du gouvernement américain ayant débattu pour savoir si oui ou non il fallait détenir indéfiniment les citoyens américains (NdT: référence à la loi du NDAA signée par Obama à la St Sylvestre) et le ministre de la justice Eric Holder, l’équivalent pour le gouvernement Obama de John Yoo pour Bush, argumentant que le président peut faire assassiner des citoyens américains sans preuves et sans autre forme de procès. La liberté de parole aux Etats-Unis ne va bientôt plus être qu’une relique d’un passé lointain.

    http://au-bout-de-la-route.blogspot.com/2012/03/un-barreau-de-plus-la-cage.html#more


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    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Empty Re: SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA

    Message  Bardamu 19/5/2012, 10:45


    Ce pays qui dérape en silence


    SENATE BILL 1867 : la dictature programmée aux USA - Page 2 Arton166093bdfb


    L’annonce que le Pentagone a prévu un plan pour interner des militants dans des camps de rééducation a soulevé des questions. Le manuel de l’armée étasunienne qui décrirait, selon les rapports, la façon dont doit être organisée la rééducation des citoyens étasuniens concerne-t-il les Etasuniens ? Les citoyens étasuniens peuvent-ils être envoyés dans ces camps ?


    Au fur et à mesure que de nouvelles organisations étudient le manuel d’instructions militaire récemment découvert : FM 3-39.40Internment and Resettlement Operations (opération d’internement et de rééducation), on se rend compte que le projet inhumain de créer des camps de rééducation militaires aux Etats-Unis et à l’étranger n’est pas seulement bien réel mais qu’il concerne aussi les citoyens du pays qui pourront être mis dans des centres de détention sous contrôle de l’armée.


    “Ils disent toujours aux médias que c’est seulement en cas de catastrophe naturelle dans le pays ou de guerre à l’étranger et pour des camps comme celui d’Abu Ghraib en Irak ou de Camp X-Ray à Cuba, mais de plus en plus de documents confirment ce que je savais déjà grâce à mes sources et mes recherches“, confie l’animateur de radio Alex Jones à RT. Jones affirme avoir vu le Pentagone réorganiser de vieilles bases militaires pour en faire des camps au titre du Emergency Centers Establishment Act (Acte d’établissement de centres d’urgence) “pour qu’ils soient opérationnels je cite, ’en cas d’urgence’ “, mais c’est seulement une toute petite partie de la vérité.

    “J’ai été aux entraînements et je me suis rendu compte qu’ils faisaient des simulations d’internement de dissidents politiques étasuniens” dit Jones à propos de l’envoi de civils étasuniens dans les camps. “J’ai vu des Marines s’entraîner à confisquer des armes à feu sur la Côte Ouest et à mettre des Etasuniens de droite comme de gauche dans des camps et même à les séparer en fonction de leurs convictions politiques” a ajouté Jones.
    Jones dit encore que des officiels du Pentagone l’ont informé dans le passé de la mise au point par l’armée de programmes de rééducation forcée pour les militants politiques et la fuite du document secret confirme ce qu’on lui avait dit.

    “Nous avons maintenant un document de l’armée qui implique une énorme augmentation des dépenses militaires car il est prévu de recruter des dizaines de milliers de personnel militaire spécifiquement pour ces camps d’internement militaires.”

    Après avoir parcouru les 300 pages de 3-39.40, le site web Infowars (1) aussi se pose la question de savoir si le manuel permet ou non au gouvernement étasunien d’envoyer ses propres citoyens dans des camps de rééducation. Dans son analyse, le site a sélectionné certaines sections du manuel qui ne portent pas seulement sur “L’autorité d’approuver la mise en place de telles opérations sur le territoire étasunien,” mais aussi sur la manière dont “les citoyens étasuniens seront séparés des autres détenus” en les enregistrant et les répartissant en fonction de leur numéro de sécurité sociale.

    “La dernière fois que j’ai vérifié, ce n’était pas l’administration de la Sécurité Sociale des Etats-Unis qui donnait des numéros de Sécurité Sociale aux gens en Afghanistan ou en Irak,” explique Paul Joseph Watson de Infowar.

    Comme si le texte du document ne suffisait pas, Watson met les points sur les i pour ceux qui ne croient toujours pas que l’armée étasunienne soit capable d’emprisonner ses propres citoyens et leur instiller de ” l’estime pour les politiques et les actions des Etats-Unis.”

    “Il est temps de voir les choses en face. Le public a passé des semaines à discuter des mesures de “détention à durée indéterminée” du National Defense Authorization Act, en refusant d’écouter les meilleurs universitaires et experts juridiques qui affirmaient que les mesures de kidnapping s’appliquaient bien aux citoyens étasuniens.” écrit Watson. Pourtant lorsque le président des Etats-Unis, Barack Obama a signé le décret d’application du NDAA le 31 décembre, il a lui-même exprimé des réserves sur les mesures qui permettaient d’emprisonner indéfiniment et sans charges ses propres concitoyens.

    Maintenant qu’on a pris connaissance, grâce à une fuite, d’un exemplaire du guide pour les Opérations d’Internement et de Rééducation, il semble que non seulement le gouvernement des Etats-Unis puisse arrêter ses propres citoyens quand ils ne sont pas d’accord avec lui, mais qu’il a déjà établi la procédure pour le faire.

    “Ce n’est pas juste un plan d’urgence” affirme Alex Jones à RT. “C’est un manuel d’instructions.”

    Pour consulter l’original : http://rt.com/usa/news/army-manual-camps-citizens-593/

    http://www.legrandsoir.info/le-manuel-d-instructions-de-l-armee-sur-les-camps-de-reeducation-concerne-les-citoyens-etasuniens.html

    1. Cet article est commenté avec brio sur le site Dedefensa dans un article intitulé : L’U.S. Army prête à “rééduquer” le dissident US en citoyen-système :

    http://www.dedefensa.org/article-l_us_army_pr_te_r_duquer_le_dissident_us_en_citoyen-syst_me_05_05_2012.html


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