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la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
M0mo-X- Nombre de messages : 638
Date d'inscription : 30/06/2009
- Message n°1
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
captaincourage- Nombre de messages : 7
Date d'inscription : 20/05/2009
- Message n°2
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
j'ai eu une petite idée en regardant la video d alex jones :
Nous devrions envoyé un mail a nos journaux locaux regionaux et meme nationaux pour les informé de ce Climagate!!!
Je m explique, le top serait d'avoir directement les adresse mail des journaliste pour eviter que le chef de redac ne transmettent pas le mail (meme si il verifira les publication) en leur demande d'informer la population sur cette histoire.
Lui laissé quelque liens vers des article, des video et meme on peut rajouter les mail piratés pour qu'il puisse verifier l info.
On leur explique que leur journal n'aurait qu'a y gagner en image aupres des francais bla bla bla ..en publiant cette article.
Qu'en pensé vous?
Nous devrions envoyé un mail a nos journaux locaux regionaux et meme nationaux pour les informé de ce Climagate!!!
Je m explique, le top serait d'avoir directement les adresse mail des journaliste pour eviter que le chef de redac ne transmettent pas le mail (meme si il verifira les publication) en leur demande d'informer la population sur cette histoire.
Lui laissé quelque liens vers des article, des video et meme on peut rajouter les mail piratés pour qu'il puisse verifier l info.
On leur explique que leur journal n'aurait qu'a y gagner en image aupres des francais bla bla bla ..en publiant cette article.
Qu'en pensé vous?
mightyone- Nombre de messages : 4
Age : 44
Localisation : montreal
Date d'inscription : 27/11/2009
- Message n°3
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
de très bonne vidéo je peut diffuser sur mon site?
tagada- Nombre de messages : 1073
Date d'inscription : 12/05/2009
- Message n°4
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
.
Dernière édition par tagada le 19/5/2011, 22:17, édité 1 fois
mightyone- Nombre de messages : 4
Age : 44
Localisation : montreal
Date d'inscription : 27/11/2009
- Message n°5
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
oui merci j'aimais mieux avertir...
Et puisque je suis nouveau sur le forum je prend rien s'en avertir, j'en est pris l'habitude...
Bien a vous.
Et puisque je suis nouveau sur le forum je prend rien s'en avertir, j'en est pris l'habitude...
Bien a vous.
revedeve- Nombre de messages : 79
Date d'inscription : 20/07/2009
conférence a voir sur le sujet
Mech- Nombre de messages : 695
Age : 42
Localisation : Bourgogne
Date d'inscription : 05/08/2009
- Message n°7
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Salut "Mightyone" tu peux tester mais c'est super dur d'obtenir des reponses qui sont bien souvent les mauvaises ou "nous avons bien recu votre demande ....".
Là pour le coup le sujet est aussi délicat que les autres car il s'agit de dénoncer un fondement frauduleux comme à chaque fois .
Apres les preuves sont à l'appuis mais dur à décortiquer pour les médias .
Mais essaye, te décourrage pas; C'est en faisant que l'on devient .
Là pour le coup le sujet est aussi délicat que les autres car il s'agit de dénoncer un fondement frauduleux comme à chaque fois .
Apres les preuves sont à l'appuis mais dur à décortiquer pour les médias .
Mais essaye, te décourrage pas; C'est en faisant que l'on devient .
M0mo-X- Nombre de messages : 638
Date d'inscription : 30/06/2009
- Message n°8
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Changement climatique: voila le pire scandale scientifique de notre ére
Cet article s'est très vite affirmé comme le plus populaire sur Internet. Populaire et véridique à un tel point qu'il a un moment disparu des moteurs de recherches. Une analyse rapide semble indiqué qu'un source interne au London Telegraph, a décoché l'option d'indexation de cet article par les moteurs de recherches, d'ou sa disparition provisoire.
Pourquoi cet article dérange autant? pourquoi le scandale du "Climategate" passe pour lettre morte sur les médias grand public?
Lisez donc cet article et tirez en les conclusion adéquates concernant la réalité du réchauffement climatique et vous comprendrez le silence des médias corporatistes, servant les intérêts des élites globalistes.
Une semaine après que mon collègue James Delingpole, sur son blog du Telegraph, ait inventé le terme de « Climategate » pour décrire le scandale révélé par les emails piratés de l'Université East Anglia de l'Unité de Recherches Climatiques (CRU), une recherche Google montre que ce mot apparait maintenant sur Internet plus de neuf millions de fois. Mais à travers toute cette couverture internet, quasiment tous sont passé à côté d’un point extrêmement important dans ces milliers de documents.
La raison pour laquelle même George Monbiot du Guardian a exprimé son choc total et sa consternation, concernant la réalité soulevée par ces documents, est que leurs auteurs ne sont pas simplement une vieille bande d'universitaires. Leur importance n’a pas pu être surestimé, ce que nous voyons la c’est un petit groupe de scientifiques, qui depuis des années, ont été plus influents que tous les autres dans la conduite de l'alerte mondiale concernant le réchauffement global, et pas seulement grâce au rôle qu'ils jouent au sein du Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique (IPCC) de l'ONU.
Le Professeur Philip Jones, directeur du CRU, est responsable des deux principaux sets de données utilisées par l'IPCC pour élaborer ses rapports.
A travers ses liens avec le Hadley Center, partie intégrante du Met Office Britannique (bureau météorologique), qui sélectionne la plupart des principaux contributeurs scientifiques de l'IPCC, ses mesures de températures globales sont les plus importants des quatre sets de données des températures sur lesquelles l’IPCC et les gouvernements se reposent - pas seulement parce qu’ils prévoient que le monde se réchauffera à des niveaux catastrophiques, à moins que des milliers de milliards de dollars soient dépensés pour éviter cela.
Le Dr. Jones est également un acteur clé du groupe étroitement lié de scientifiques Américains et Britanniques, qui font la promotion de l’image du « hockey stick » (crosse de hockey), élaboré par Michael Mann, pour illustrer l’évolution des températures mondiales, qui il y a 10 ans a mis sens dessus sens dessous l’histoire du climat en prouvant que, après 1.000 ans de déclin, les températures globales ont récemment grimpé à leur de plus haut niveau.
Repris (l’image parlant du hockey stick) par l'IPCC, pas seulement sur la manière avec laquelle elle tend à occulter la période de réchauffement médiévale admise de longue date, quand les températures étaient supérieures à celles d’aujourd'hui, cette image du « hockey stick » (crosse de hockey) est devenue le principal emblème de l’ensemble du mouvement pour un réchauffement global induit par l’homme.
Cependant, depuis 2003, quand les méthodes statistiques utilisées pour arriver au graphique « hockey stick » ont été exposées pour la première fois comme étant fondamentalement défaillantes par l’expert statisticien Canadien, Steve McIntyre, une bataille de plus en plus acharnée avait fait rage entre les partisans de Mann, surnommé « The Hockey Team», et McIntyre et ses propres alliés, étant donné qu’ils (McIntyre & Co) sont même allé plus loin, remettant en question l’ensemble de la base statistique sur laquelle l’IPCC et le CRU ont construit leur théorie.
Les expéditeurs et les destinataires des emails du CRU piratés, ont permis de constituer une liste des gens impliqués, parmi eux les élites scientifiques de l'IPCC, ne comprenant pas seulement la « Hockey Team », comme le Dr. Mann en personne, le Dr. Jones et son collègue du CRU, Keith Briffa, mais aussi Ben Santer, responsable de la réécriture fortement controversée des principaux passages du rapport de l'IPCC de 1995 ; Kevin Trenberth, qui de façon tout aussi controversée, a poussé l'IPCC dans une tactique alarmiste concernant les ouragans; et Gavin Schmidt, bras droit du Dr. James Hansen, l'allié d'Al Gore, dont la base de donnée GISS des mesures de température de surface arrivent en seconde position par ordre d'importance en dehors de ceux du CRU.
Parmi les documents piratés, Il y a trois informations principales qui sont ressorties et qui se sont propagées en onde de choc auprès des observateurs avertis à travers le monde. Sans doute la plus flagrante, remontée avec lucidité par Willis Eschenbach (voir le blog « Climate Audit » de McIntyre d'audit et le blog « Watts Up With That » de Anthony Watt), est la série d'emails fortement inquiétante qui montrent comment, des années durant, le Dr. Jones et ses collègues avaient discuté de la tactique de détournement par laquelle ils ont pu éviter de publier leurs données aux concurrents, comme le stipule la loi sur la liberté l'information.
Ils ont avancé tous les prétextes possibles pour cacher les données de terrain sur lesquelles ils ont basé leurs résultats et leurs mesures de température.
Ceci est en soi devenu un scandale important, pas seulement à cause du refus du Dr. Jones de publier les données de base à partir desquelles dérivent la base de donnée du CRU, ô combien influente, de mesure des températures, qui a abouti l'été dernier à son annonce effrayante, qu’une grande partie des données mesurées à travers le monde ont tout simplement été « perdues ».
Parmi les faits les plus incriminant, les emails dans lesquels on conseille aux scientifiques de supprimer d’énormes blocs de données, ce qui représente un délit criminel quand ce genre d’action est réalisé suite à une demande d’informations selon les termes des lois sur la liberté d’information.
Mais la question qui revient inévitablement après ces refus systématiques de publier leurs données est : Que peuvent bien cacher ses scientifiques avant tant d’acharnement? La deuxième révélation émanant des documents piratés et la plus choquante, est la manière dont les scientifiques essayent de manipuler les données par des programmes informatiques tortueux, toujours pour diriger leurs conclusion vers une même et unique direction - cad pour abaisser les températures dans le passé et pour « ajuster » les températures récentes vers le haut, afin de donner l'impression d'un réchauffement accélérée. Ceci revient tellement souvent (pas seulement dans les documents concernant les données informatiques dans le dossier « Read Me » de Harry) que cela suffit à en devenir le seul élément vraiment dérangeant de tout le dossier. L'an dernier, M. McIntyre a surpris le Dr. Hansen appliquant ce genre de pratique avec ses mesures de température du GISS (après quoi Hansen a été obligé de revoir ses mesures), et deux nouveaux exemples choquants ont maintenant vus le jour en Australie et en Nouvelle Zélande.
Dans chacun de ces pays, il a été possible pour les scientifiques locaux de comparer les mesures officielles de température aux données originales sur lesquelles elles sont censées être basées. Dans chaque cas il est clair que le même tour a été joué – cad de transformer un diagramme de température essentiellement plat en un graphique qui montre les températures grimper de façon uniforme. Et dans chaque cas, cette manipulation a été effectuée sous l'influence du CRU.
Ce qui ressort tragiquement du dossier « Read Me » de Harry est l'image que cela donne des scientifiques du CRU, désespérément en proie avec les programmes informatiques complexes qu’ils ont conçu pour distordre leurs données dans la direction souhaitée, exprimant plus d'une fois leur propre désespoir, tellement il était difficile d'obtenir les effets désirés.
La troisième révélation choquante de ces documents est la manière impitoyable dont ces universitaires se sont acharnés à faire taire toute interrogation experte sur les résultats auxquels ils sont arrivés, par des méthodes ô combien douteuses - pas uniquement en refusant de révéler les données sur lesquelles ils se basent, mais en discréditant et en court-circuitant tout journaliste scientifique qui ose publier une critique sur leur travail. Il semble qu'ils ne laissent rien passer pour étouffer toute discussion scientifique, en se servant de méthodes douteuses, et pas seulement en s'assurant qu'aucune recherche dissidente ne parvienne dans les pages des rapports de l'IPCC.
En 2006, quand l’éminent statisticien Américain, le Professeur Edouard Wegman a produit un rapport d’expertise pour le congrès Américain approuvant le démontage par Steve McIntyre du graphique du « hockey stick», il a montré la manière dont ce même « groupe étroitement lié » d'universitaires peuvent sembler que trop enclin à collaborer les uns avec les autres et de « peer reviewer » les articles des uns et des autres, afin d’avoir un contrôle total sur les rapports de l'IPCC, sur lesquels se basent une grande partie du futur des USA et de l'économie mondiale. À la lumière de ces dernières révélations, il semble maintenant encore plus évident que ces hommes ont été incapables de respecter les principes qui sont au coeur de toute authentique enquête et débat scientifique. Déjà par le passé, un très respecté climatologue Américain, le Dr. Eduardo Zorita, a appelé à ce que le Dr. Mann et le Dr. Jones soit banni de toute autre participation à l'IPCC.
Même notre propre George Monbiot, horrifié de découvrir comment il a été trahi par ces soi-disant experts qu'il a très longtemps vénéré et repris, a appelé à ce que le Dr. Jones soit limogé de la direction du CRU.
L'ancien Chancelier et Lord (Nigel) Lawson, a lancé la semaine dernière son nouveau « Think Tank » (groupe de réflexion), le « Global Warming Policy Foundation » (Fondation pour la Politique du Réchauffement Global), appelant à une enquête indépendante à proprement parlé, pour tirer les conclusions des implications qu’on pu tiré de ces documents piratés du CRU, concernant la véracité du réchauffement climatique. Mais l'enquête ouverte Vendredi, présidé probablement par Lord Rees, Président de Royal Society - lui-même longtemps propagandiste sans scrupule pour la cause du réchauffement climatique – est loin de correspondre à ce que Lord Lawson avait en tête. On ne peut pas permettre à l’Establishment scientifique désespérément compromis d’être blanchi de ce qui est devenu le plus grand scandale scientifique de notre ère.
http://www.alterinfo.net/Changement-climatique-voila-le-pire-scandale-scientifique-de-notre-ere_a39904.html
Cet article s'est très vite affirmé comme le plus populaire sur Internet. Populaire et véridique à un tel point qu'il a un moment disparu des moteurs de recherches. Une analyse rapide semble indiqué qu'un source interne au London Telegraph, a décoché l'option d'indexation de cet article par les moteurs de recherches, d'ou sa disparition provisoire.
Pourquoi cet article dérange autant? pourquoi le scandale du "Climategate" passe pour lettre morte sur les médias grand public?
Lisez donc cet article et tirez en les conclusion adéquates concernant la réalité du réchauffement climatique et vous comprendrez le silence des médias corporatistes, servant les intérêts des élites globalistes.
Une semaine après que mon collègue James Delingpole, sur son blog du Telegraph, ait inventé le terme de « Climategate » pour décrire le scandale révélé par les emails piratés de l'Université East Anglia de l'Unité de Recherches Climatiques (CRU), une recherche Google montre que ce mot apparait maintenant sur Internet plus de neuf millions de fois. Mais à travers toute cette couverture internet, quasiment tous sont passé à côté d’un point extrêmement important dans ces milliers de documents.
La raison pour laquelle même George Monbiot du Guardian a exprimé son choc total et sa consternation, concernant la réalité soulevée par ces documents, est que leurs auteurs ne sont pas simplement une vieille bande d'universitaires. Leur importance n’a pas pu être surestimé, ce que nous voyons la c’est un petit groupe de scientifiques, qui depuis des années, ont été plus influents que tous les autres dans la conduite de l'alerte mondiale concernant le réchauffement global, et pas seulement grâce au rôle qu'ils jouent au sein du Panel Intergouvernemental sur le Changement Climatique (IPCC) de l'ONU.
Le Professeur Philip Jones, directeur du CRU, est responsable des deux principaux sets de données utilisées par l'IPCC pour élaborer ses rapports.
A travers ses liens avec le Hadley Center, partie intégrante du Met Office Britannique (bureau météorologique), qui sélectionne la plupart des principaux contributeurs scientifiques de l'IPCC, ses mesures de températures globales sont les plus importants des quatre sets de données des températures sur lesquelles l’IPCC et les gouvernements se reposent - pas seulement parce qu’ils prévoient que le monde se réchauffera à des niveaux catastrophiques, à moins que des milliers de milliards de dollars soient dépensés pour éviter cela.
Le Dr. Jones est également un acteur clé du groupe étroitement lié de scientifiques Américains et Britanniques, qui font la promotion de l’image du « hockey stick » (crosse de hockey), élaboré par Michael Mann, pour illustrer l’évolution des températures mondiales, qui il y a 10 ans a mis sens dessus sens dessous l’histoire du climat en prouvant que, après 1.000 ans de déclin, les températures globales ont récemment grimpé à leur de plus haut niveau.
Repris (l’image parlant du hockey stick) par l'IPCC, pas seulement sur la manière avec laquelle elle tend à occulter la période de réchauffement médiévale admise de longue date, quand les températures étaient supérieures à celles d’aujourd'hui, cette image du « hockey stick » (crosse de hockey) est devenue le principal emblème de l’ensemble du mouvement pour un réchauffement global induit par l’homme.
Cependant, depuis 2003, quand les méthodes statistiques utilisées pour arriver au graphique « hockey stick » ont été exposées pour la première fois comme étant fondamentalement défaillantes par l’expert statisticien Canadien, Steve McIntyre, une bataille de plus en plus acharnée avait fait rage entre les partisans de Mann, surnommé « The Hockey Team», et McIntyre et ses propres alliés, étant donné qu’ils (McIntyre & Co) sont même allé plus loin, remettant en question l’ensemble de la base statistique sur laquelle l’IPCC et le CRU ont construit leur théorie.
Les expéditeurs et les destinataires des emails du CRU piratés, ont permis de constituer une liste des gens impliqués, parmi eux les élites scientifiques de l'IPCC, ne comprenant pas seulement la « Hockey Team », comme le Dr. Mann en personne, le Dr. Jones et son collègue du CRU, Keith Briffa, mais aussi Ben Santer, responsable de la réécriture fortement controversée des principaux passages du rapport de l'IPCC de 1995 ; Kevin Trenberth, qui de façon tout aussi controversée, a poussé l'IPCC dans une tactique alarmiste concernant les ouragans; et Gavin Schmidt, bras droit du Dr. James Hansen, l'allié d'Al Gore, dont la base de donnée GISS des mesures de température de surface arrivent en seconde position par ordre d'importance en dehors de ceux du CRU.
Parmi les documents piratés, Il y a trois informations principales qui sont ressorties et qui se sont propagées en onde de choc auprès des observateurs avertis à travers le monde. Sans doute la plus flagrante, remontée avec lucidité par Willis Eschenbach (voir le blog « Climate Audit » de McIntyre d'audit et le blog « Watts Up With That » de Anthony Watt), est la série d'emails fortement inquiétante qui montrent comment, des années durant, le Dr. Jones et ses collègues avaient discuté de la tactique de détournement par laquelle ils ont pu éviter de publier leurs données aux concurrents, comme le stipule la loi sur la liberté l'information.
Ils ont avancé tous les prétextes possibles pour cacher les données de terrain sur lesquelles ils ont basé leurs résultats et leurs mesures de température.
Ceci est en soi devenu un scandale important, pas seulement à cause du refus du Dr. Jones de publier les données de base à partir desquelles dérivent la base de donnée du CRU, ô combien influente, de mesure des températures, qui a abouti l'été dernier à son annonce effrayante, qu’une grande partie des données mesurées à travers le monde ont tout simplement été « perdues ».
Parmi les faits les plus incriminant, les emails dans lesquels on conseille aux scientifiques de supprimer d’énormes blocs de données, ce qui représente un délit criminel quand ce genre d’action est réalisé suite à une demande d’informations selon les termes des lois sur la liberté d’information.
Mais la question qui revient inévitablement après ces refus systématiques de publier leurs données est : Que peuvent bien cacher ses scientifiques avant tant d’acharnement? La deuxième révélation émanant des documents piratés et la plus choquante, est la manière dont les scientifiques essayent de manipuler les données par des programmes informatiques tortueux, toujours pour diriger leurs conclusion vers une même et unique direction - cad pour abaisser les températures dans le passé et pour « ajuster » les températures récentes vers le haut, afin de donner l'impression d'un réchauffement accélérée. Ceci revient tellement souvent (pas seulement dans les documents concernant les données informatiques dans le dossier « Read Me » de Harry) que cela suffit à en devenir le seul élément vraiment dérangeant de tout le dossier. L'an dernier, M. McIntyre a surpris le Dr. Hansen appliquant ce genre de pratique avec ses mesures de température du GISS (après quoi Hansen a été obligé de revoir ses mesures), et deux nouveaux exemples choquants ont maintenant vus le jour en Australie et en Nouvelle Zélande.
Dans chacun de ces pays, il a été possible pour les scientifiques locaux de comparer les mesures officielles de température aux données originales sur lesquelles elles sont censées être basées. Dans chaque cas il est clair que le même tour a été joué – cad de transformer un diagramme de température essentiellement plat en un graphique qui montre les températures grimper de façon uniforme. Et dans chaque cas, cette manipulation a été effectuée sous l'influence du CRU.
Ce qui ressort tragiquement du dossier « Read Me » de Harry est l'image que cela donne des scientifiques du CRU, désespérément en proie avec les programmes informatiques complexes qu’ils ont conçu pour distordre leurs données dans la direction souhaitée, exprimant plus d'une fois leur propre désespoir, tellement il était difficile d'obtenir les effets désirés.
La troisième révélation choquante de ces documents est la manière impitoyable dont ces universitaires se sont acharnés à faire taire toute interrogation experte sur les résultats auxquels ils sont arrivés, par des méthodes ô combien douteuses - pas uniquement en refusant de révéler les données sur lesquelles ils se basent, mais en discréditant et en court-circuitant tout journaliste scientifique qui ose publier une critique sur leur travail. Il semble qu'ils ne laissent rien passer pour étouffer toute discussion scientifique, en se servant de méthodes douteuses, et pas seulement en s'assurant qu'aucune recherche dissidente ne parvienne dans les pages des rapports de l'IPCC.
En 2006, quand l’éminent statisticien Américain, le Professeur Edouard Wegman a produit un rapport d’expertise pour le congrès Américain approuvant le démontage par Steve McIntyre du graphique du « hockey stick», il a montré la manière dont ce même « groupe étroitement lié » d'universitaires peuvent sembler que trop enclin à collaborer les uns avec les autres et de « peer reviewer » les articles des uns et des autres, afin d’avoir un contrôle total sur les rapports de l'IPCC, sur lesquels se basent une grande partie du futur des USA et de l'économie mondiale. À la lumière de ces dernières révélations, il semble maintenant encore plus évident que ces hommes ont été incapables de respecter les principes qui sont au coeur de toute authentique enquête et débat scientifique. Déjà par le passé, un très respecté climatologue Américain, le Dr. Eduardo Zorita, a appelé à ce que le Dr. Mann et le Dr. Jones soit banni de toute autre participation à l'IPCC.
Même notre propre George Monbiot, horrifié de découvrir comment il a été trahi par ces soi-disant experts qu'il a très longtemps vénéré et repris, a appelé à ce que le Dr. Jones soit limogé de la direction du CRU.
L'ancien Chancelier et Lord (Nigel) Lawson, a lancé la semaine dernière son nouveau « Think Tank » (groupe de réflexion), le « Global Warming Policy Foundation » (Fondation pour la Politique du Réchauffement Global), appelant à une enquête indépendante à proprement parlé, pour tirer les conclusions des implications qu’on pu tiré de ces documents piratés du CRU, concernant la véracité du réchauffement climatique. Mais l'enquête ouverte Vendredi, présidé probablement par Lord Rees, Président de Royal Society - lui-même longtemps propagandiste sans scrupule pour la cause du réchauffement climatique – est loin de correspondre à ce que Lord Lawson avait en tête. On ne peut pas permettre à l’Establishment scientifique désespérément compromis d’être blanchi de ce qui est devenu le plus grand scandale scientifique de notre ère.
http://www.alterinfo.net/Changement-climatique-voila-le-pire-scandale-scientifique-de-notre-ere_a39904.html
newbraves- Nombre de messages : 551
Date d'inscription : 06/08/2008
- Message n°9
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
captaincourage a écrit:j'ai eu une petite idée en regardant la video d alex jones :
Nous devrions envoyé un mail a nos journaux locaux regionaux et meme nationaux pour les informé de ce Climagate!!!
Je m explique, le top serait d'avoir directement les adresse mail des journaliste pour eviter que le chef de redac ne transmettent pas le mail (meme si il verifira les publication) en leur demande d'informer la population sur cette histoire.
Lui laissé quelque liens vers des article, des video et meme on peut rajouter les mail piratés pour qu'il puisse verifier l info.
On leur explique que leur journal n'aurait qu'a y gagner en image aupres des francais bla bla bla ..en publiant cette article.
Qu'en pensé vous?
BBC news en parle sur leur site...
Invité- Invité
- Message n°10
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
"Climategate" : le directeur du centre de recherche démissionne temporairement
http://www.lemonde.fr/le-rechauffement-climatique/article/2009/12/02/climategate-le-directeur-du-centre-de-recherche-demissionne-temporairement_1275245_1270066.html
----------------------------------------------------------------------
"Climatologues piratés : Jones suspend ses fonctions"
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2009/12/climatologues-pirat%C3%A9s-jones-suspend-ses-fonctions.html
-------------------------------------------------------------------------
"Un climatologue britannique quitte provisoirement ses fonctions sur fond de polémique"
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/20091202.FAP6060/international/
--------------------------------------------------------------
Article du "Daily Telegraph".
"Climate change: this is the worst scientific scandal of our generation"
http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/Climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html
http://www.lemonde.fr/le-rechauffement-climatique/article/2009/12/02/climategate-le-directeur-du-centre-de-recherche-demissionne-temporairement_1275245_1270066.html
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"Climatologues piratés : Jones suspend ses fonctions"
http://sciences.blogs.liberation.fr/home/2009/12/climatologues-pirat%C3%A9s-jones-suspend-ses-fonctions.html
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"Un climatologue britannique quitte provisoirement ses fonctions sur fond de polémique"
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/20091202.FAP6060/international/
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Article du "Daily Telegraph".
"Climate change: this is the worst scientific scandal of our generation"
http://www.telegraph.co.uk/comment/columnists/christopherbooker/6679082/Climate-change-this-is-the-worst-scientific-scandal-of-our-generation.html
GarfieldLove- Nombre de messages : 2641
Date d'inscription : 27/03/2008
Marc Mayor
Tribune libre
La taxe carbone engraisse les milliardaires et les mafieux
En marge de la conférence de Copenhague s'est tenu un minisommet permettant à des scientifiques de confronter leurs données à celles, du moins en partie manipulées, sur lesquelles reposent les décisions de nos dirigeants. Le professeur Henrik Svensmark, physicien du Centre national spatial danois à Copenhague, a expliqué que le réchauffement
récent est causé par l'activité solaire.
Pour Nils-Axel Mörner, géologue à l'université de Stockholm, la montée du niveau des eaux a été grandement exagérée par des pseudoscientifiques alarmistes ; l'observation des sédiments, des côtes et des arbres le démontrerait. Pour le professeur Cliff Ollier,
géologue à l'université d'Australie-Occidentale, la fonte de la calotte glaciaire est liée à la géothermie, non à la température de l'air. Enfin, le professeur Ian Plimer, de l'université d'Adélaïde, estime que le dioxyde de carbone rejeté par les volcans a plus
d'impact que celui généré par l'activité humaine. Malheureusement, l'un des organisateurs de la contre-conférence admet que son lobby a accepté de l'argent d'Exxon Mobil dans le passé, ce qui entame la crédibilité de l'entreprise.
Loin de ces considérations, le rendez-vous officiel avait pour but d'étendre le système communautaire d'échange de quotas d'émission à la planète tout entière, vous y compris. En effet, le député travailliste britannique Collin Challen a imaginé taxer chaque individu en fonction du carbone qu'il est censé émettre. En pratique, il se pourrait que,
d'ici quelques années, nous obtenions tous une carte de "crédit personnel de carbone", sorte de permis à points version CO2. Vous faites le plein : un point passe à la trappe. Votre facture d'électricité augmente ? Deux points de moins. Vous prenez l'avion pour Nice pour aller bronzer sur la Côte ? Cela vous fera trois points.
Tout comme les autorités peuvent aujourd'hui ponctionner tout détenteur de véhicule plus ou moins à volonté en réduisant le nombre de places de parking tout en augmentant le montant des amendes, ce nouveau permis pseudo-écolo donnera à nos dirigeants un chèque en
blanc pour nous taxer jusqu'à l'os.
Dans le système communautaire d'échange de quotas d'émission, chaque Etat veille à ce que les installations visées obtiennent un quota, puis mesurent et déclarent leurs émissions : il y a donc des gagnants et des perdants. Pourtant, à moins d'être milliardaire, pas la peine de chercher votre nom dans la liste des lauréats. En revanche, Lakshmi Mittal, l'homme le plus riche de Grande-Bretagne et le numéro quatre
des plus fortunés du monde, avec un pactole de 32 milliards de dollars, devrait pouvoir empocher 2 milliards de dollars de plus grâce au système communautaire d'échange de quotas d'émission : c'est Anna Pearson, de l'organisation Sandbag, qui l'affirme.
Sandbag, spécialiste des quotas d'émission, a calculé qu'entre "2008 et 2012, ArcelorMittal devrait gagner 1 Mds£ sans faire le moindre effort", grâce au système communautaire, et en toute légalité. "Pour ArcelorMittal, les quotas d'émission ont été transformés en un système pour générer des subsides gratuits", écrit Anna Pearson. Basé au Luxembourg, le sidérurgiste a confirmé ces chiffres.
Peut-être en guise de remerciement, le numéro un mondial de l'acier envisagerait, selon Les Echos, de réduire ses effectifs d'environ 10 000 salariés. Manque de chance : au même moment, Rob Wainwright, directeur du département des crimes à grande échelle, a affirmé que des activités criminelles organisées sur le plan international avaient
"mis en danger la crédibilité" du système d'échange de carbone européen.
Apparemment, le système mis en place par les profiteurs ressemble à s'y méprendre à un investissement neutre au marché : il suffit d'acheter des crédits carbone dans un pays européen à faible taxe sur la valeur ajoutée, puis de les revendre au Royaume-Uni, au tarif national, pour empocher la différence. Jusqu'ici, l'affaire aurait entraîné des profits de 5 milliards d'euros pour les escrocs, principalement au Royaume-Uni, en France, en Espagne, au Danemark et aux Pays-Bas ; dans certains pays, jusqu'à 90% du marché des quotas seraient sous la coupe des criminels, selon un porte-parole d'Europol.
Résumons-nous donc : les scientifiques qui servent de référence à nos dirigeants concernant le réchauffement de la planète causé par l'homme ont triché sur les chiffres, puis l'ont admis. Certains de leurs détracteurs les plus sérieux sont financés par l'industrie pétrolière. Les politiciens, qui ont pour seul but de taxer le contribuable
jusqu'à ce que mort s'ensuive, passent outre la science et mettent en place un système d'impôt.
En fin de compte, 2 milliards de dollars atterrissent dans la poche de l'un des hommes les plus riches de la planète, qui en profite pour licencier du monde, et neuf contrats carbone sur dix sont achetés ou vendus par la mafia. Encouragées par ce début de succès à l'échelon européen, les autorités décident d'abord d'appliquer le principe à toutes les entreprises de la planète, puis à l'ensemble des individus en âge d'être taxés.
Jusqu'ici les écolos bobos, ceux qui roulent en Prius et se lavent les cheveux avec du shampooing Ushuaïa, passaient à mes yeux pour de doux dingues gâtés par la vie, une version 2.0 des soixante-huitards d'origine bourgeoise ; mais vous allez voir que ces crétins vont nous concocter un véritable système totalitaire qui consacrera la gloire
des gens bien nés d'un côté, et du crime organisé de l'autre.
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EkyFAyAZAAayIvudPp.shtml
Tribune libre
La taxe carbone engraisse les milliardaires et les mafieux
En marge de la conférence de Copenhague s'est tenu un minisommet permettant à des scientifiques de confronter leurs données à celles, du moins en partie manipulées, sur lesquelles reposent les décisions de nos dirigeants. Le professeur Henrik Svensmark, physicien du Centre national spatial danois à Copenhague, a expliqué que le réchauffement
récent est causé par l'activité solaire.
Pour Nils-Axel Mörner, géologue à l'université de Stockholm, la montée du niveau des eaux a été grandement exagérée par des pseudoscientifiques alarmistes ; l'observation des sédiments, des côtes et des arbres le démontrerait. Pour le professeur Cliff Ollier,
géologue à l'université d'Australie-Occidentale, la fonte de la calotte glaciaire est liée à la géothermie, non à la température de l'air. Enfin, le professeur Ian Plimer, de l'université d'Adélaïde, estime que le dioxyde de carbone rejeté par les volcans a plus
d'impact que celui généré par l'activité humaine. Malheureusement, l'un des organisateurs de la contre-conférence admet que son lobby a accepté de l'argent d'Exxon Mobil dans le passé, ce qui entame la crédibilité de l'entreprise.
Loin de ces considérations, le rendez-vous officiel avait pour but d'étendre le système communautaire d'échange de quotas d'émission à la planète tout entière, vous y compris. En effet, le député travailliste britannique Collin Challen a imaginé taxer chaque individu en fonction du carbone qu'il est censé émettre. En pratique, il se pourrait que,
d'ici quelques années, nous obtenions tous une carte de "crédit personnel de carbone", sorte de permis à points version CO2. Vous faites le plein : un point passe à la trappe. Votre facture d'électricité augmente ? Deux points de moins. Vous prenez l'avion pour Nice pour aller bronzer sur la Côte ? Cela vous fera trois points.
Tout comme les autorités peuvent aujourd'hui ponctionner tout détenteur de véhicule plus ou moins à volonté en réduisant le nombre de places de parking tout en augmentant le montant des amendes, ce nouveau permis pseudo-écolo donnera à nos dirigeants un chèque en
blanc pour nous taxer jusqu'à l'os.
Dans le système communautaire d'échange de quotas d'émission, chaque Etat veille à ce que les installations visées obtiennent un quota, puis mesurent et déclarent leurs émissions : il y a donc des gagnants et des perdants. Pourtant, à moins d'être milliardaire, pas la peine de chercher votre nom dans la liste des lauréats. En revanche, Lakshmi Mittal, l'homme le plus riche de Grande-Bretagne et le numéro quatre
des plus fortunés du monde, avec un pactole de 32 milliards de dollars, devrait pouvoir empocher 2 milliards de dollars de plus grâce au système communautaire d'échange de quotas d'émission : c'est Anna Pearson, de l'organisation Sandbag, qui l'affirme.
Sandbag, spécialiste des quotas d'émission, a calculé qu'entre "2008 et 2012, ArcelorMittal devrait gagner 1 Mds£ sans faire le moindre effort", grâce au système communautaire, et en toute légalité. "Pour ArcelorMittal, les quotas d'émission ont été transformés en un système pour générer des subsides gratuits", écrit Anna Pearson. Basé au Luxembourg, le sidérurgiste a confirmé ces chiffres.
Peut-être en guise de remerciement, le numéro un mondial de l'acier envisagerait, selon Les Echos, de réduire ses effectifs d'environ 10 000 salariés. Manque de chance : au même moment, Rob Wainwright, directeur du département des crimes à grande échelle, a affirmé que des activités criminelles organisées sur le plan international avaient
"mis en danger la crédibilité" du système d'échange de carbone européen.
Apparemment, le système mis en place par les profiteurs ressemble à s'y méprendre à un investissement neutre au marché : il suffit d'acheter des crédits carbone dans un pays européen à faible taxe sur la valeur ajoutée, puis de les revendre au Royaume-Uni, au tarif national, pour empocher la différence. Jusqu'ici, l'affaire aurait entraîné des profits de 5 milliards d'euros pour les escrocs, principalement au Royaume-Uni, en France, en Espagne, au Danemark et aux Pays-Bas ; dans certains pays, jusqu'à 90% du marché des quotas seraient sous la coupe des criminels, selon un porte-parole d'Europol.
Résumons-nous donc : les scientifiques qui servent de référence à nos dirigeants concernant le réchauffement de la planète causé par l'homme ont triché sur les chiffres, puis l'ont admis. Certains de leurs détracteurs les plus sérieux sont financés par l'industrie pétrolière. Les politiciens, qui ont pour seul but de taxer le contribuable
jusqu'à ce que mort s'ensuive, passent outre la science et mettent en place un système d'impôt.
En fin de compte, 2 milliards de dollars atterrissent dans la poche de l'un des hommes les plus riches de la planète, qui en profite pour licencier du monde, et neuf contrats carbone sur dix sont achetés ou vendus par la mafia. Encouragées par ce début de succès à l'échelon européen, les autorités décident d'abord d'appliquer le principe à toutes les entreprises de la planète, puis à l'ensemble des individus en âge d'être taxés.
Jusqu'ici les écolos bobos, ceux qui roulent en Prius et se lavent les cheveux avec du shampooing Ushuaïa, passaient à mes yeux pour de doux dingues gâtés par la vie, une version 2.0 des soixante-huitards d'origine bourgeoise ; mais vous allez voir que ces crétins vont nous concocter un véritable système totalitaire qui consacrera la gloire
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la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Bonjour.
Je vais faire ici comme si tout le monde était au courant du fait que le réchauffement climatique via le CO2 anthropique est une arnaque. (tout comme le principe de "l'effet de serre" d'ailleurs. Qui est au moins largement surestimé.)
Il y a déjà pas mal informations et de billets à ce sujet sur le site, il suffit de taper arnaque ou climat dans le moteur de recherche.
Petit billet spécial sur les faits, preuves, conflits d'intérêts, ou toutes sortes de magouilles impliquant la finance liée au marcher du CO2.
Je vais faire ici comme si tout le monde était au courant du fait que le réchauffement climatique via le CO2 anthropique est une arnaque. (tout comme le principe de "l'effet de serre" d'ailleurs. Qui est au moins largement surestimé.)
Il y a déjà pas mal informations et de billets à ce sujet sur le site, il suffit de taper arnaque ou climat dans le moteur de recherche.
Petit billet spécial sur les faits, preuves, conflits d'intérêts, ou toutes sortes de magouilles impliquant la finance liée au marcher du CO2.
Arnaque au CO2, la vie dorée des Marseillais réfugiés en Israël
Publié le mercredi 04 janvier 2012 à 19H52
Publié le mercredi 04 janvier 2012 à 19H52
Installés près de Tel-Aviv, ils sont suspectés d'avoir détourné des millions d'euros sur le marché des droits à polluer
Dans le grand banditisme, on les appelle "les mecs du CO2". Avec un mélange d'envie et de colère. Envie parce qu'ils ont monté une arnaque d'une ampleur inégalée, qui leur a permis de détourner des centaines de millions d'euros.
Colère parce qu'ils ont grugé au passage quelques petits voyous, qui ont pris tous les risques en jouant les hommes de paille dans des sociétés et ont vu leur passer sous le nez de colossaux profits.
Conséquence, "les mecs du CO2" ont le Milieu aux trousses, qui réclame sa part du gâteau. Il n'est pas le seul à les rechercher : depuis une alerte Europol, des instructions judiciaires ont été ouvertes dans plusieurs pays. À Paris, on compte une dizaine d'enquêtes préliminaires et autant d'instructions, réparties entre les juges du pôle financier et ceux du pôle de lutte contre la délinquance astucieuse. À Marseille, l'une d'elles a récemment permis la mise en examen des gérants de deux sociétés.
Les débuts de l'affaire
L'embrouille remonte au 1er janvier 2008, lorsque le protocole de Kyoto a instauré pour les sociétés un système de droit à émettre des quantités limitées de dioxyde de carbone (CO²). Des "droits à polluer" que les meilleurs élèves peuvent revendre aux cancres. Problème, des escrocs ont compris qu'ils pouvaient s'enrichir en intervenant sur ce marché... et en facturant une TVA qu'ils ne remboursaient pas (voir infographie page 2 de l'édition La Provence du 4 janvier 2012). À la clef, d'incroyables profits réalisés sur le dos des États : une note d'Europol parle de 5 milliards d'euros partis en fumée...
Qui sont "les mecs du CO2", ces as de la carambouille écolo qui ont remis au goût du jour une technique inventée dans les années 70 ? Les enquêtes en cours renvoient vers la "jewish connection", lointains descendants des frères Zemmour, ces pieds-noirs qui "tenaient" Paris dans les années 70 et ont été portés à l'écran dans "Le Grand Pardon". Depuis les affaires du "Sentier", dans les années 90, ils avaient plus ou moins disparu des radars, en dehors d'escroqueries à la téléphonie mobile. "Tout a changé avec le carbone, confie un enquêteur. En quelques mois, ils ont amassé une fortune considérable. Le temps qu'on s'en rende compte, ils avaient disparu".
Aller-retour à Miami
En première ligne de l'arnaque se trouvaient plusieurs familles marseillaises, des frères et des soeurs aujourd'hui installés en Israël. Début 2008, elles se sont jetées sur le CO2. "Il fallait aux fraudeurs à peine 15 secondes et quelques clics pour toucher le jackpot", explique un cadre de Sagacarbon, une société toujours active dans la vente des droits à polluer. Seule condition, avoir la mise de départ, les échanges se payant cash.
Pour se mettre à l'abri, ces familles ont utilisé "la loi du retour" : votée en 1950 par la Knesset, elle garantit à tout juif le droit d'immigrer en Israël et évite les extraditions. Selon nos informations, elles se sont alors implantées à Herzliya, une station balnéaire huppée proche de Tel-Aviv. Particulièrement dans le quartier de Pituach, considéré comme le "Neuilly" israélien.
Une vie de rois .. qui a ses limites
Aurait alors débuté une folle existence, avec yachts, déplacements en hélicoptères, villas à 20 millions de shekels (5 millions de dollars), escapades en jet en Floride... Il se dit même que les Black Eyed Peas auraient participé à une fête privée. "Pour contourner le système bancaire israélien, l'argent était caché dans des sociétés avec des porteurs, décrypte un financier de Tel-Aviv. Ce sont ces sociétés qui réglaient les dépenses...".
La roue a toutefois fini par tourner. Mi-2009, la France a pris des mesures pour sécuriser le marché du carbone. Un an plus tard, ses enquêteurs débarquaient à Tel-Aviv, comme le révélait alors la Chambre de commerce France-Israël. Dans le même temps, les Marseillais d'Herzliya ont connu une double attaque du Milieu : d'un côté, leurs anciens comparses français les ont retrouvés pour les faire chanter; de l'autre, la mafia russe qui est puissante en Israël a tenté de les racketter.
Fin 2010, l'assassinat en France d'un homme considéré comme le chef du gang parisien du CO2 a montré que la fête était finie. La veille, il était encore en Israël... "Ils ont alors pris des mesures de sécurité extraordinaires", assure Jérôme Pierrat, auteur de "La criminalité internationale en France" (Denoël). À Herzliya, on a vu d'anciens militaires recrutés comme gardes du corps accompagner les enfants à l'école. Soudainement, la petite communauté s'est faite très discrète et les autres Français installés là s'en sont éloignés. Ce qui ne les aurait pas dissuadés pour autant de poursuivre leurs combines internationales : selon Europol, les escrocs à la TVA interviendraient désormais sur les marchés du gaz et de l'électricité.
Fred GUILLEDOUX
Source
http://www.laprovence.com/article/marseille/arnaque-au-co2-la-vie-doree-des-marseillais-refugies-en-israel
Je remercie le site
http://www.propagandes.info/product_info.php/arnaque-au-co2-la-vie-dore-des-marseillais-rfugis-en-isral-p-1306
Et reproduit aussi le texte qui est écrit en présentation.
http://www.laprovence.com/article/marseille/arnaque-au-co2-la-vie-doree-des-marseillais-refugies-en-israel
Je remercie le site
http://www.propagandes.info/product_info.php/arnaque-au-co2-la-vie-dore-des-marseillais-rfugis-en-isral-p-1306
Et reproduit aussi le texte qui est écrit en présentation.
Nous reprenons rarement en entier les longs textes provenant d'autres sites, il est plus juste de n'en présenter qu'une partie et envoyer le lecteur sur le site de l'auteur. Sauf quand l'article en question risque de disparaitre.
C'est le cas de celui ci-dessous, du journal "La Provence", dans la ligne de mire des escrocs juifs du CRIF pour avoir osé dénoncer les escrocs juifs du CO2 et avoir fait un petit rappel sur la "Mafia juive".
Pour ceux qui ont du temps à perdre à savoir exactement ce que reproche le CRIF, c'est ici : "Des responsables juifs accusent La Provence d’antisémitisme". Sans surprise, pour eux, il est "antisémite" de vouloir identifier leurs congènères escrocs car "Toute stigmatisation d'un groupe serait un appel à la haine". En clair, il veulent interdire qu'on parle de "Mafia juive". Par contre, quand leurs coreligionnaires d'Hollywood stigmatisent les italiens ou les siciliens avec la "Mafia italienne", ça ne les dérange pas du tout.
En réponse, le chef de rédaction La Provence a rappelé très justement "Nous avons évoqué le « milieu juif », comme nous aurions évoqué le « milieu corse », le « milieu parisien », le » milieu russe »". Il aurait même pu ajouter que le milieu Russe est en fait juif.
Mais plutôt que nous concentrer sur les jérémiades et tromperies interminables des juifs du CRIF, concentrons nous plutôt sur l'article de La Provence qui vaut son pesant de cacahuètes car il ne se limite pas à dénoncer simplement le trafic du CO2.
Dernière édition par c.isme le 23/3/2012, 21:06, édité 2 fois
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- Message n°13
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Procès de la taxe carbone : 43 millions d'euros détournés
Par Emmanuelle Sautot Posté le 13/10/2011
Par Emmanuelle Sautot Posté le 13/10/2011
A Paris, un procès exceptionnel sur une escroquerie à la taxe carbone s'achevait hier après cinq semaines d'audiences. Fabrice Sakoun, le cerveau de l'affaire, a été interpellé sur le yacht de Stéphane Alzraa, un truand lyonnais « ami » de Michel Neyret, l'ex n°2 de la police judiciaire lyonnaise (cf.article).
C'était une première au tribunal correctionnel de Paris. Jamais la justice française n'avait eu à juger d'une escroquerie de cette ampleur sur le marché du dioxyde de carbone. De mars à juin 2009, les six accusés ont touché le jackpot. 43 millions d'euros ont été soustraits aux caisses de l'Etat via un système de fraude à la TVA sur le marché du dioxyde de carbone. 17 prévenus, tous proches du milieu des grossistes en textile, se sont succédés à la barre de la 11e chambre du tribunal correctionnel de Paris.
Fabrice Sakoun, le cerveau de l'affaire parisienne et Stéphane Alzraa, l'escroc lyonnais mis en examen pour corruption et trafic d'influence et écroué à la maison d'arrêt de Fresnes, avaient les mêmes méthodes. D'après nos informations, les deux hommes se connaissaient et montaient des « affaires » ensemble. Fabrice Sakoun a d'ailleurs été interpellé à Cannes sur le yacht de Stéphane Alzraa.
25 millions d'euros sur un compte en Israël
L'arnaque consistait à acheter des quotas de CO2 hors taxe en Hollande et de les revendre en France TTC. Les « faux » traders empochaient les 19,6% de TVA sans les reverser à l'Etat français. Ils les faisaient transiter sur des comptes à l'étranger : entre l'Ecosse, Hong-Kong et Israël. Les enquêteurs de la PJ ont bloqué 25 millions d'euros dans une banque à Tel-Aviv.
Une absence de réglementation du marché
Lors du dernier jour d'audience, les avocats assuraient la défense de quatre prévenus, accusés pour certains d'escroquerie et de fraude fiscale, pour les autres de blanchiment. Complice de M.Sakoun, David I. était considéré comme le « trader » de la bande. En trois mois, il a réalisé plus de 360 transactions sur le marché du CO2 et a empoché la coquette somme de 300 000 euros pour sa participation. Son conseil met en avant l'absence de réglementation du marché à l'époque et demande une relaxe de l'accusation d'escroquerie. « La cellule Tracfin a alerté le gouvernement plus de 50 fois fin 2008 et le gouvernement n'a pas bougé », explique l'avocat. « Mon client avait l'intention de détourner de la TVA mais derrière cela, il n'y avait pas de manœuvres frauduleuses. »
Une partie de la défense s'appuie sur la lenteur de l'Etat à exercer un contrôle sur le marché du dioxyde de carbone. Alerté à plusieurs reprises fin 2008, le cabinet de Christine Lagarde, alors ministre de l'économie et des finances, n'a décidé de supprimer la TVA qu'en juin 2009. Soit près de six mois après les premières alertes. Aujourd'hui, l'ensemble des transactions frauduleuses sur les droits d'émission de CO2 dans l'Union européenne aurait fait perdre 1,5 milliard d'euros au trésor public français. Une quinzaine d'instructions sont d'ailleurs en cours à Paris. Quant à Europol, l'institution estime ce préjudice à 5 milliards d'euros au niveau européen.
Bruno Nataf, le procureur, a requis des peines allant de 1 an de prison avec sursis à 7 ans ferme, assorties d'amendes, dont 1 million d'euros pour Fabrice Sakoun. Le délibéré est prévu pour le 11 janvier 2012
http://www.lyoncapitale.fr/Journal/univers/Actualite/Justice/Proces-de-la-taxe-carbone-43-millions-d-euros-detournes
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Taxe carbone : Stéphane Alzraa devant les juges
Par Emmanuelle Sautot , Slim Mazni Posté le 06/03/2012
Taxe carbone : Stéphane Alzraa devant les juges
Par Emmanuelle Sautot , Slim Mazni Posté le 06/03/2012
EXCLUSIF – Stéphane Alzraa, mis en examen le 13 janvier dernier pour escroquerie en bande organisée, association de malfaiteurs et blanchiment, dans le volet lyonnais de l’affaire de la taxe carbone, aurait été auditionné mardi par les magistrats de la juridiction interrégionale spécialisée (JIRS), apprend-on de source judiciaire. Une confrontation aurait été organisée entre Stéphane Alzraa et deux femmes qui auraient joué le rôle de prête-noms à la tête de sociétés incriminées dans le dossier. Interrogé, le parquet de Lyon n’a souhaité “ni infirmer ni confirmer” cette information.
Pour comprendre les tenants et les aboutissants de cette affaire – mécanisme de l’escroquerie, absence de réaction de l’Administration, circonstances des interpellations… et imbrication avec l’affaire Neyret – lire l’enquête de Lyon Capitale le mensuel de mars, dont nous publions ci-dessous des extraits.
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Taxe carbone : un Lyonnais au cœur de l’arnaque du siècle
Entre septembre 2008 et juin 2009, des escrocs ont monté l’arnaque la plus lucrative jamais enregistrée par l’administration fiscale. En quelques clics, 1,6 milliard d’euros ont été détournés en France (5 milliards en Europe). La cible ? Le marché des quotas de CO2.
“C’est l’une des fraudes parmi les plus élevées jamais identifiées par l’administration fiscale dans un temps aussi bref”, selon la Cour des comptes, qui a rendu un rapport sur le sujet le 8 février dernier. Une “fraude [qui] portait sur des échanges de quotas, sur des flux dématérialisés quasi instantanés”, explique le président de la Cour, Didier Migaud, dans l’entretien qu’il a accordé à Lyon Capitale, où il pointe “une faille dans le système [dans laquelle] les fraudeurs [se] sont engouffrés”.
Le mécanisme
Infographies à l’appui, le dossier de Lyon Capitale décortique le mécanisme utilisé par les fraudeurs.
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Des prévenus “à la fois fiers et amusés” ou… maladroits ?
À ce jour, 18 procédures judiciaires ont été engagées (…) et un procès a eu lieu à Paris en octobre. À Lyon, deux enquêtes sont engagées, dont celle qui vise un certain Stéphane Alzraa. Le jeune homme aurait soustrait 50 millions d’euros au fisc français via plusieurs sociétés dont les sièges sociaux étaient situés dans le 6e arrondissement de Lyon. Lyon Capitale retrace son parcours judiciaire depuis qu’il s’est fait connaître des autorités françaises – maladresse fatale ? – en revendiquant la propriété d’un yacht d’une valeur de 600 000 euros saisi par la justice, jusqu’à sa mise en examen pour escroquerie en bande organisée, blanchiment et association de malfaiteurs, en passant par son interpellation dans le cadre de l’affaire Neyret.
La question que pose cette imbrication est la suivante : l’argent de la taxe carbone a-t-il servi à corrompre le commissaire Neyret ?
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Retrouvez l'intégralité de cette enquête dans Lyon Capitale le mensuel de mars, en vente en kiosques et dans notre boutique en ligne.
http://www.lyoncapitale.fr/boutiquelc/71
http://www.lyoncapitale.fr/Journal/univers/Actualite/Justice/Taxe-carbone-Stephane-Alzraa-devant-les-juges
_________________________
Toujours climatoceptique "moi non plus je n'est pas changé.."
http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html#2011
http://www.pensee-unique.fr/paroles.html#vahre
http://www.pensee-unique.fr/oceans.html#helheim
http://www.pensee-unique.fr/bonnetdane.html#liao
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Bardamu- Admin
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- Message n°14
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
L'Inde interdit à ses compagnie aériennes de payer la taxe carbone
NEW DELHI - L'Inde a interdit à ses compagnies aériennes de payer la taxe européenne sur la pollution aérienne, le gouvernement affirmant qu'aucun transporteur indien ne partagerait ses données sur ses émissions de CO2 avec l'Union européenne.
«Même si l'Union européenne a demandé aux transporteurs indiens de fournir leurs données sur les émissions (de CO2) de leur flotte d'ici au 31 mars 2012, aucun transporteur indien ne s'y pliera, conformément à la position du gouvernement», a déclaré jeudi devant le parlement le ministre de l'Aviation civile, Ajit Singh.
«L'imposition de la taxe carbone ne s'applique donc pas», a-t-il conclu.
La législation européenne, entrée en vigueur le 1er janvier 2012, oblige les compagnies opérant dans l'UE, quelle que soit leur nationalité, à payer pour l'équivalent de 15% de leurs émissions de CO2, soit 32 millions de tonnes, pour lutter contre le réchauffement climatique. Elles devront s'acquitter de cette obligation au printemps 2013.
Cette législation suscite de nombreuses protestations: 26 des 36 membres de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI) y sont opposés.
Début février, la Chine a interdit à ses compagnies aériennes de payer la taxe, emboîtant le pas à une mesure similaire prise par la Chambre des représentants américaine.
La semaine dernière, la Russie a également dit envisager d'interdire à ses compagnies aériennes de payer cette taxe européenne.
http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2012/03/20120323-091921.html
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Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
c.isme- Nombre de messages : 2501
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- Message n°15
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
ça fait un moment que les Indiens sont sceptiques concernant le GIEC
http://www.alterinfo.net/L-Inde-fonde-son-propre-GIEC_a42354.html?print=1
de plus j'imagine qu'ils ont un bon dossier sur Rajendra Kumar Pachauri.
Si tu veux Bardamu ou Ziril fussionnez avec ce lien car je n'avais pas vu que le sujet avait déjà été ouvert ici. Merci bien.
https://novusordoseclorum.1fr1.net/t7468-la-mafia-du-co2-taxe-arnaque-carbone
Bardamu- Admin
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- Message n°16
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Merci pour le regroupement c.isme
L'Inde La Chine et la Russie qui se rebiffent de concert ? On assiste là aux premières passes d'armes du conflit qui s'annonce non ?
En tout cas les alliances possibles se confirment pour l'instant dans de simples mesures de résistance aux menées mafieuses de l'Empire mais ça entre douloureusement en résonance avec le schéma défendu par de nombreux analystes qui anticipent une troisième guerre mondiale (Liesi, Denissto et bien d'autres..). A surveiller de près c'est un bon indicateur je trouve, au moins de la perte de puissance des USA.
L'Inde La Chine et la Russie qui se rebiffent de concert ? On assiste là aux premières passes d'armes du conflit qui s'annonce non ?
En tout cas les alliances possibles se confirment pour l'instant dans de simples mesures de résistance aux menées mafieuses de l'Empire mais ça entre douloureusement en résonance avec le schéma défendu par de nombreux analystes qui anticipent une troisième guerre mondiale (Liesi, Denissto et bien d'autres..). A surveiller de près c'est un bon indicateur je trouve, au moins de la perte de puissance des USA.
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Info importante : Je n'ai rien à voir avec le Bardamu qui officie sur le site llp.org et encore moins celui qui officiait sur Quenel+.
c.isme- Nombre de messages : 2501
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- Message n°17
Re: la mafia du CO2 - taxe arnaque carbone
Special Investigation Co2 Le Casse Du Siecle
Par chat21590
CO2 : LE CASSE DU SIECLE
Une enquête de Gadh Charbit et Jean-Louis Pérez
Production : Checkpoint Production
Durée : 52 min
DIFFUSION : LUNDI 1ER AVRIL 2013 A 22H50
Le 3 avril prochain, devrait commencer à Paris le procès en appel d'une escroquerie monumentale. Cinq prévenus vont répondre du détournement de 43 millions d'euros en quelques mois. Ils risquent jusqu'à sept années de prison. Ils sont impliqués dans ce que les enquêteurs ont baptisé « l'escroquerie à la taxe carbone » : une fraude à la TVA comme il en existe beaucoup mais qui, cette fois, a permis de réaliser « le casse du siècle ».
Des dizaines d'escrocs ont détourné au total 2 milliards d'euros en France et plus de 5 milliards à l'échelle européenne (certains experts parlent même d'une addition globale de... 20 milliards d'euros !). Un pactole volé en quelques mois seulement, de l'été 2008 au mois de juin 2009.
Pour la première fois, certains acteurs de cette gigantesque arnaque témoignent devant une caméra. Ils racontent comment ils sont parvenus à mystifier les autorités et à empocher des sommes colossales en un temps record. Ils racontent aussi comment le grand banditisme a fini par rentrer dans le jeu, transformant cette délinquance en col blanc en business meurtrier (la police française a identifié au moins trois règlements de compte qui pourraient être liés à l'escroquerie).
Affaire tentaculaire, l'arnaque au CO2 a aussi précipité la chute de Michel Neyret, l'ancien numéro 2 de la PJ lyonnaise et éclaboussé de prestigieuses institutions françaises qui ont tardé à tirer la sonnette d'alarme.
Pour SPECIAL INVESTIGATION, Gadh Charbit et Jean-Louis Pérez font parler pour la première fois tous les acteurs (voyous, enquêteurs, banquiers) en France, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Danemark et en Israël