Merah voyageait sous couverture des services secrets français…
C’est une information explosive que l’étude des évènement étranges de Toulouse suggérait dès le départ :
Voilà qu’un journal important en Italie, Il Foglio, publie une information étayée selon laquelle Mohammed Merah aurait voyagé sous couverture des service secrets français (DGSE / DCRI) en Israël et au Pakistan notamment, quelques temps avant de commettre les attaques terribles de Toulouse !!
Info ou Intox ?
Le quotidien Il Foglio (« La Feuille »), que l’on ne saurait qualifier d’islamo-gauchiste pas plus que de « conspirationniste », est un journal présenté comme proche de l’ex-Gouvernement de Berlusconi et généralement classé dans la Droite conservatrice.
Ses sources et ses informations sont-elles fiables pour autant ?
Difficile à dire, mais ce journal qui est important, en tout cas influent, en Italie où il a pignon sur rue, aurait-il pris le risque de titrer sur des informations non vérifiées ou sans aucun fondement ?
Logo officiel des services secrets français (DCRI).
Merah voyageait-il sous la couverture des Services
secrets français comme l’affirme le quotidien italien Il Foglio ?
Évidemment, si cette information (qui sera n’en doutons pas démentie officiellement par la piscine et les grandes muettes se confirme dans l’étude des faits, cela poserait alors énormément de questions sur les motivations de ce mini-11 Septembre, et jetterait un trouble important dans le pays…
Dans le même temps, on apprend que les vidéos des crimes commis par Merah et envoyées à Al Jazira (en tout cas selon la version officielle) n’ont pas été postées par lui mais par une tierce-personne… ce qui met à mal une fois encore la théorie du loup solitaire développée par les Services de l’Etat et la presse alignée !
Un affaire « d’Indic » qui décidément sent le souffre, comme celle des attentats du 11 Septembre 2001, à une plus faible échelle fort heureusement, et qui n’a pas fini de rebondir !
Une affaire à suivre…
http://911nwo.info/2012/03/27/urgent-selon-le-journal-italien-il-foglio-merah-voyageait-sous-couverture-des-services-secrets-francais/
Plutôt que cette piste franco française, je pense qu'il faut creuser davantage du coté d'une autre puissance étrangère comme le suggèrent certains commentaires postés sur la page source de cet article.
Commentaire no 1 :
Le ministère israélien des Affaires étrangères a annoncé lundi avoir décidé de rompre tout contact avec le Conseil des droits de l’Homme de l’ONU, à la suite de l’annonce par cette instance d’une enquête sur les conséquences de la colonisation.
http://fr.sott.net/articles/show/7456-Israel-rompt-tout-contact-avec-le-Conseil-des-droits-de-l-homme-de-l-ONU
Comme quoi l’affaire Mohamed y est peut être lié !
Edit Bardamu (voir à ce propos les allégations à vérifier du commentaire no 2 !!!)
Le souverainement français de BH Lévy prend du plomb dans l’aile ! Certains ne servent manifestement pas la France mais sont du deuxième bureau d’un pays étranger !
Ils ont un nom ! Ces juifs de la diaspora, se nomment les « Sayanim » , c’est-à-dire les informateurs en hébreu. D’après Jacob Cohen, ils seraient dans les 3.000 dans notre pays et se recruteraient au sein du Bnaï Brit (une franc-maçonnerie juive internationale) et autres organisations juives nationales comme le CRIF.
Un livre est paru sur ce sujet : « Le printemps des Sayanim » aux éditions l’Harmattan.
http://jacobdemeknes.blogspot.com/
http://lecaennaisdechaine.over-blog.com/article-le-printemps-des-sayanim-recit-de-jacob-cohen-50005415.html
C’est ainsi que de nombreux attentats ont pour origine le Mossad, mais aidé par ces Sayanim, ils passent pour être d’une autre origine.
Ainsi les attentats de Buenos-Aires :
http://www.voltairenet.org/article141896.html
Les États-Unis voudraient utiliser le souvenir des attentats de Buenos Aires de 1992 et 1994 pour étoffer leur dossier contre les musulmans chiites. La plupart des encyclopédies continuent en effet à attribuer ces massacres au Hezbollah ou à l’Iran. Mais ces accusations ont fait long feu, la Justice argentine s’est orientée entre temps vers une piste israélienne. Du coup, Washington fait pression pour geler une enquête qui devient gênante.
Pour étoffer ses accusations contre le « croissant chiite » (Iran, Syrie, Hezbollah libanais), Washington a décidé de verser au dossier les attentats commis à Buenos-Aires au début des années 90. Il est en effet communément admis dans les pays atlantistes qu’ils furent l’œuvre de terroristes musulmans.
Or, cette version des faits a été entre temps démentie par la Cour suprême argentine qui s’est, au contraire, orientée vers une piste israélienne. Une opération a donc été montée par les néo-conservateurs pour renverser le cours des choses. À la suite d’une réunion qui s’est tenue à Washington en mai 2006 et à laquelle ont participé deux hauts magistrats de Buenos-Aires, de fortes pressions ont été exercées à la fois sur le gouvernement et sur la justice argentine. En réplique, un groupe de citoyens argentins conduit par le docteur Oscar Abdura Bini [1] vient de porter plainte devant le Tribunal de Grande Instance de Buenos-Aires nommément contre l’American Jewish Committee [2] et les procureurs Nissman et Martinez Burgos pour entrave à la Justice.
Pour comprendre les enjeux de cette polémique, souvenons-nous de ces attentats.
Le 17 mars 1992 une violente explosion détruisait l’ambassade d’Israël à Buenos-Aires et endommageait gravement une église catholique et une école adjacentes. 29 personnes furent tuées et 242 autres furent blessées.
Dans un premier temps, l’enquête s’orienta sur la piste islamique. L’attentat avait été commis par un kamikaze palestinien utilisant une camionnette bourrée d’explosifs. Il aurait appartenu au Jihad islamique et aurait voulu venger l’assassinat par Israël du leader du Hezbollah libanais cheikh Abbas al-Musawi et de sa famille. L’opération aurait été préparée par un groupe de Pakistanais et coordonnée par Moshen Rabbani, l’attaché culturel de l’ambassade d’Iran. Ce dernier fut d’ailleurs interpellé, quelques années plus tard, en Allemagne avant d’être relâché faute de preuves.
Le 18 juillet 1994, une seconde explosion dévastait l’immeuble de l’Association mutelle israélite argentine (AMIA) faisant 85 morts et plus de 300 blessés.
L’enquête initiale s’orienta également sur la piste islamique. L’attentat aurait été commis par un kamikaze de 29 ans, Ibrahim Hussein Berro, conduisant un véhicule piégé. Quelques années plus tard, un mandat d’arrêt fut lancé contre Imad Mugniyah, un membre du Hezbollah libanais ; puis l’ancien ambassadeur d’Iran en Argentine, Hade Soleimanpour fut interpellé au Royaume-Uni et relâché faute de preuves.
Tous ces éléments, qui paraissent être des conclusions définitives, sont reproduits depuis des années dans toutes sortes d’encyclopédies. Pourtant, aucun jugement n’est venu les confirmer.
Pis, les enquêteurs ont progressivement déconstruit des versions qu’Israéliens et États-uniens leur avaient glissées à l’oreille pour en arriver à une hypothèse radicalement contraire : les deux attentats auraient été commis par des agents israéliens pour casser l’antisionisme de la communauté juive argentine.
Les valses-hésitations des enquêteurs doivent être replacées dans le contexte politique mouvementé de leur pays, où les gouvernements et les insurrections se sont rapidement succédés. À ce jour aucun jugement définitif n’ayant été rendu dans aucune des deux affaires, chacun peut donc tirer les conclusions qui l’arrangent en se référant à des actes contradictoires de procédure.
Quoi qu’il en soit, le moins que l’on puisse dire est que la piste du terrorisme musulman ne tient plus la route et que les néo-conservateurs font tout ce qu’ils peuvent non pas pour débloquer les enquêtes, mais pour les enterrer définitivement.
Le juge d’instruction Alfredo Horacio Bisordi a témoigné sous serment à huis clos, le 5 mars 2002, à propos du premier attentat devant une commission d’enquête parlementaire. Le Réseau Voltaire a pu se procurer le script de cette audition.
Selon le juge Bisordi, le commissaire Meni Battaglia dirigea l’enquête sur l’attentat contre l’ambassade. Il était secondé, à titre non-officiel, par un béret vert de l’ambassade des États-Unis (non identifié) et par le chef de la sécurité de l’ambassade d’Israël, Ronie Gornie, tous deux disposant prétendument d’une longue expérience de ce type d’attentat au Proche-Orient. Sur les conseils de ces « experts », le commissaire adopta immédiatement l’hypothèse de la voiture piégée et consigna avoir retrouvé des morceaux épars du moteur d’une camionnette Ford 100.
Il ne fut pas possible d’établir la liste exacte des victimes car il s’avéra que la liste des diplomates israéliens accrédités ne correspondait pas à la réalité du personnel de l’ambassade sans que cette différence puisse être expliquée. Le commissaire Battaglia s’opposa au juge Bisordi, qui souhaitait faire autopsier les victimes, au motif que cela n’apporterait pas d’éléments nouveaux. Le juge insistant, le Grand rabbin d’Argentine s’y opposa à son tour au motif que, dans le cas des victimes juives, il s’agirait d’une profanation. Il ne fut en définitive procédé à aucune autopsie.
Le magistrat s’interrogeait sur deux points : pourquoi avoir attendu que l’ambassade soit vide pour l’attaquer alors que, quelques heures plus tôt, on y recevait en grande pompe une centaine de personnalités juives ? Et pourquoi recourir à un kamikaze alors que cela n’était pas nécessaire pour jeter la camionnette sur l’ambassade ?
Manifestant de plus en plus de scepticisme sur la version que l’on essayait de lui imposer, il reçut la visite du directeur adjoint des services secrets (SIDE), le docteur Gerardo Conte Grand. Chargé de lui faire entendre raison.
De plus en plus soupçonneux, le magistrat fit irruption à l’improviste au commissariat lors de l’interrogatoire d’un témoin-clé : un chauffeur de taxi qui attestait avoir raccompagné un groupe de musulmans à l’aéroport juste avant l’attentat. Ceux-ci lui auraient dit qu’il fallait quitter rapidement le quartier avant qu’il ne se transforme en enfer. Le juge Bisordi interrogea lui-même le témoin qui croyait avoir à faire à une personne aussi complaisante que les policiers. Le chauffeur de taxi refusa de décliner son identité et se présenta comme « l’homme d’Israël ». Il revendiqua être colonel de Tsahal et avoir combattu durant la Guerre des Six jours.
Les éléments relatifs à la seconde enquête sont tout aussi édifiants avec notamment un vrai-faux policier israélien qui se promène comme chez lui dans les commissariats et les prisons argentines, et procède à des interrogatoires hors procédure et à des pressions sur les témoins. Prié de s’expliquer devant la justice argentine, l’homme a disparu. Le gouvernement israélien, après avoir nié son existence, a finalement reconnu l’employer, mais s’est opposé à son audition.
La Cour suprême s’est réunie à huis clos pour examiner diverses pièces de procédures. Elle a validé des investigations scientifiques établissant de manière formelle que, contrairement à ce qui avait été admis au départ, il n’y avait pas de véhicules piégés conduits par des kamikazes, mais que les explosifs avaient été installés dans les bâtiments, aussi bien à l’ambassade qu’à l’AMIA.
Tout ce qui a été dit sur l’origine des véhicules et leurs conducteurs est donc invalidé.
Au lendemain de cette audience, le porte-parole de l’ambassade d’Israël à Buenos-Aires a déploré ces conclusions et accusé les juges de la Cour suprême d’antisémitisme.
Il faudra certainement encore beaucoup d’indépendance et de persévérance à la justice argentine pour élucider complétement ces affaires. Au demeurant ceci suscite quelques commentaires.
Il est étrange qu’il faille une dizaine d’années pour se rendre compte qu’un attentat a été réalisé en plaçant un explosif dans un bâtiment et non avec un véhicule kamikaze. J’observe au passage que dans l’enquête actuelle sur l’assassinat du Premier ministre libanais Rafic Hariri, la thèse de la camionnette piégée qui était considérée comme certaine par l’envoyé spécial de l’ONU Detlev Mehlis, n’est plus qu’une hypothèse de travail pour son successeur.
En quatorze ans, de nombreux experts occidentaux ont rédigé des ouvrages sur le terrorisme en raisonnant sur une interprétation erronée des attentats de Buenos-Aires. Ils ignorent ou feignent d’ignorer les progrès de l’enquête argentine, ce qui est soit un signe d’incompétence, soit de mauvaise foi. Ils s’accrochent aux conclusions de leurs raisonnements alors que les prémisses en sont fausses.
Il est pénible de constater que les enquêtes judicaires sur les grands attentats terroristes imputés aux musulmans sont inachevées, qu’il s’agisse de Buenos-Aires, de New York, de Bali, de Casablanca, de Madrid ou de Londres. D’autant que cela n’empêche guère les gouvernements néo-conservateurs et leurs « experts » d’en tirer des conclusions générales.
Les États-Unis ont l’habitude de modifier rétrospectivement l’attribution d’attentats dont ils furent victimes, de manière à accuser leur adversaire réel ou fabriqué du moment. Ils envisagent maintenant de réécrire l’Histoire jusque chez les autres.
Enfin, il convient de se montrer vigilant face aux va-t-en-guerre qui évoquent mensongèrement les attentats de Buenos Aires pour qualifier tel parti ou tel gouvernement de « terroristes » et appeler à son éradication.
Thierry Meyssan
[1] Le docteur Oscar Abdura Bini est bien connu du public argentin. Il avait été sollicité par le président Carlos Menem pour empoisonner son épouse, dont il était le psychiatre attitré, en lui prescrivant des doses excessives de médicaments. Il avait alors protégé sa patiente contre les sbires présidentiels.
[2] Créée au lendemain de la Révolution russe, l’American Jewish Committee était initialement une association anti-communiste. Elle est devenue aujourd’hui néo-conservatrice. Il s’agit avant tout d’une organisation politique interne à la communauté juive états-unienne et non pas d’une organisation communautaire.
Thierry Meyssan
Commentaire no 2
Mohamed Merah était-il un indic ?
http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/toulouse-mohamed-merah-etait-il-un-indic-27-03-2012-1647625.php
http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/27/1316372-les-considerations-mediatiques-l-ont-emporte-sur-tout-le-reste.html
http://www.alterinfo.net/Merah-un-informateur-de-la-DCRI_a73515.html
On pourrait le croire. On pourrait même ajouter un tueur à gage.
La mort de Jonathan Sandler (30 ans) et de ses deux fils Arieh (5 ans) et Gabriel (4 ans) ne semble pas être un hasard !
Le 24 février, le Qatar et d’autres nations arabes demandent à l’ONU de porter une résolution bien embêtante pour Israël. Elle sera votée le 22 mars. But : Vérifier le respect des droits de l’homme dans Jérusalem-est et dans les territoires palestiniens (en fait, enquêter sur la judaïsation de ces territoires).
Quel rapport entre les Sandler et l’ONU ?
La mère de Jonathan, Johanne, travaille comme directrice executive aux Nations Unies à l’UNIFEM (droits des femmes). De plus, le tueur Mohamed eut un curieux comportement. Il tenait aussi à tuer, en même temps que le père, ses deux garçons. Pour le commanditaire du meurtre, cela permettait de supprimer les descendants Sandler.
Cette famille ultra-orthodoxe n’est pas politiquement sioniste, de plus un symbole à l’ONU ! Le dernier président de la société des Nations (celle que l’ONU remplaça) n’était-il pas un Sandler ?
Cet assassinat est un avertissement du camp des mondialistes sionistes ! De ceux qui veulent un gouvernement mondial avec comme capitale Jérusalem (voir déclaration d’Attali). Et des Français sionistes, on en a pas mal. Ils se serrent les coudes !
La vidéo envoyée par on ne sait qui, au bureau parisien d’Al Jazeera, risque de ne pas plaire à Sarkozy ! De plus, le père du tueur, n’a-t-il pas annoncé lundi en Algérie, vouloir porter plainte contre la France pour “avoir tué” son fils ? Que sait-il ce père ?
Edit
Joanne Sandler is the Ad Interim Executive Director of the United Nations Development Fund for Women
http://www.sourcewatch.org/index.php?title=United_Nations_Development_Fund_for_Women
Rickard Johannes Sandler, né le 29 janvier 1884 à Torsåker, Ångermanland, Suède, mort le 12 septembre 1964 à Solna, est un homme politique socialiste réformiste suédois. Il est successivement Ministre d'État (chef du gouvernement) de 1925 à 1926 et ministre des Affaires étrangères de 1932 à 1936 puis de 1936 à 1939.
Il est également président de l'Assemblée générale de la Société des Nations en 1934
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rickard_Sandler
(ça ne prouve pas qu'ils soient parents et que les infos en question ne sont pas une grosse manipulation, mais c'est troublant ! Remarque motivée par le fait que ces liens familiaux supposés sont une exclusivité de ................ wikistrike !! Voir ce lien : http://www.wikistrike.com/article-toulouse-l-assassinat-du-nom-de-famille-sandler-par-israel-pour-montrer-sa-puissance-a-l-onu-102343861.html )