EDIT : j'ai essayé de regrouper un peu plus d 'éléments sur cette pratique du sacrifice humain par les talmudistes, n’hésitez à poster d'autre sources et liens si vous en avez : http://oyagaelewee.wordpress.com/2013/06/27/les-affaires-de-meurtres-rituels-par-les-juifs-talmudiste/
Voici un livre qui traite de la tradition talmudique du sacrifice humain .
Les juifs depuis les premiers siècles ont pris coutume à pâques, de kidnapper des enfants chrétiens afin de les torturer et recueillir leur sang.
Ce sang est conservé précieusement afin de l'incorporer des les pains azymes, de l'utiliser lors de la circoncision ou encore lors de mariage.
Sur le motif, nul doute possible au regard des horribles cérémonies accompagnants ce rituel
Le motif est la haine du chrétien et à travers lui de la haine de Jésus-Christ, haine qui leur permettra d’obtenir de salut éternel voici ce qu'écrit Henri Desportes à ce sujet ,p315 du pdf :
Plus loin, page 339 sur l’emploi du sang :
Mais ce n'est pas tout, on lit page 80:
Il y a eu de nombreux procès et de nombreuses affaires impliquant des juifs tortionnaires et sacrificateurs , on peut citer notamment : Le martyr de Saint Richard de Paris en 1179, le martyr de Saint-Hugues de Lincoln en 1225, Le martyr de Saint-Wernher en 1287 ,Le retentissant procès de Trente en 1475 avec le martyr de saint-simon de trente , le crime de Metz en 1669, le procès de Damas en 1840, l'affaire de tisza-Eszlar en 1882-1883, la saignée de Breslau en 1888.
Les récits des rituels et tortures exposés dans ce livre proviennent des témoignages des différents procès.
La cruauté des juifs lors de ces rituels est réellement satanique et ne différe en rien par cela des rituels sanglants de magie noire perpétré par l'élite dégénérée.
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/07/31/Desportes-Henri-Le-mystere-du-sang-chez-les-Juifs-de-tous-les-temps
Voici un livre qui traite de la tradition talmudique du sacrifice humain .
Les juifs depuis les premiers siècles ont pris coutume à pâques, de kidnapper des enfants chrétiens afin de les torturer et recueillir leur sang.
Ce sang est conservé précieusement afin de l'incorporer des les pains azymes, de l'utiliser lors de la circoncision ou encore lors de mariage.
Sur le motif, nul doute possible au regard des horribles cérémonies accompagnants ce rituel
Le motif est la haine du chrétien et à travers lui de la haine de Jésus-Christ, haine qui leur permettra d’obtenir de salut éternel voici ce qu'écrit Henri Desportes à ce sujet ,p315 du pdf :
"Mais raisonnons du premier motif, c'est-à-dire de la haine mortelle que tous les Juifs nourrissent contre les chrétiens. Il est écrit dans la seconde partie du Pentateuque de Moïse que Pharaon conduisit avec lui six cents chariots contre les Juifs fugitifs. Sur ce passage historique, le kakam Salomon — dont le commentaire a précipité les Juifs au plus profond abîme de l'enfer — fait cette question : Où Pharaon trouva-t-il assez de chevaux pour tirer les 600 chars, si peu auparavant la grêle avait tué tous les animaux d’Égypte ? — A cette question, le même kakam répond en disant qu'il est aussi écrit que quelques Égyptiens, ayant cru à la menace de Moïse, avaient ramené leurs bestiaux à l'abri et qu'ainsi ils avaient été sauvés de la grêle. Il continue en disant que nous devons apprendre de ce fait qu'il est nécessaire d'écraser la tête du plus humble serpent. Donc il faut tuer les chrétiens, même les meilleurs, puisque tous
sont des serpents 1. Et c'est ainsi qu'on a porté une loi essentielle d'après laquelle tout Juif doit tuer un chrétien dans sa vie , s'il veut conquérir le salut éternel. Et, bien qu'extérieurement, les Juifs puissent lier amitié avec les chrétiens, ils doivent au fond et intérieurement, les haïr avec la plus grande férocité et s'exciter à les détester de toutes leurs forces."
1-On a là un exemple de la fausseté, de la duplicité avec
laquelle la synagogue moderne interprète les livres saints et en
tire des conclusions conformes à ses haines.
Plus loin, page 339 sur l’emploi du sang :
A proprement parler, il n'y a pas qu'à la pâque et la circoncision que les Juifs se servent du sang chrétien,
bien que ce soient les deux principales circonstances où se fait cet emploi. Ils s'en servent toutes les fois qu'ils
peuvent parodier une cérémonie sainte de l’Église. Le rabbin moldave fait aussi sur ce point d'importantes
observations.
« Quand on célèbre un mariage chez les Juifs, dit-il, les contractants s'y préparent par un jeûne rigoureux
de vingt-quatre heures, jeûne où l'on s'abstient même d'eau jusqu'au coucher du soleil. Alors arrive le rabbin :
il prend un œuf cuit et dur, le pèle et le divise en deux ; puis il l'assaisonne non avec du sel, mais avec une
cendre dont nous dirons quelques mots, et lorsqu'il est ainsi assaisonné, il en remet une moitié à chacun des
contractants. Pendant qu'ils mangent cet œuf, le rabbin récite une prière dont le sens est celui-ci : Que ces deux
époux puissent acquérir la vertu de tuer les chrétiens
ou au moins le pouvoir de toujours les tromper et de s'enrichir de leurs richesses et de leurs sueurs.
« Quant à la cendre dont nous avons parlé, chacun s'étonnera qu'on en use au lieu de sel. Mais l'étonnement
cessera et le mystère sera expliqué ; car la cendre n'est pas mise au lieu de sel, mais au lieu de sang chrétien
frais. Et c'est réellement du sang chrétien modifié, déguisé. Le sang qui reste aux fêtes des azymes, sang
extrait par un horrible martyre des enfants les plus jeunes possible, sert à imbiber une quantité plus ou
moins grande de lin ou de coton, selon qu'il y a plus ou moins de sang. Puis on coupe ce linge et on le
brûle ; la cendre est recueillie avec soin et conservée dans des bouteilles bien scellées que l'on dépose à la
trésorerie de la synagogue. Ces bouteilles sont par la suite remises aux rabbins qui en demandent, soit pour
s'en servir eux-mêmes, soit pour l'expédier dans les pays où on n'a pu avoir de sang ; et cela, parce qu'il
n'y a point de chrétiens, ou, s'il y en a, parce qu'on n'a pu se procurer de leur sang, — à cause de la vigilance
de la police, ou parce que les chrétiens se tiennent sur leurs gardes et ne se laissent point tromper comme
autrefois. Enfin il est à noter que le sang frais n'est nécessaire que dans les azymes. Même en cas de nécessité,
quand on ne peut avoir de sang frais, il suffit de la cendre dont nous avons parlé. Le sang frais est néanmoins
toujours meilleur.
Mais ce n'est pas tout, on lit page 80:
"Ben-Noud, écrit le célèbre explorateur, vint habiter à Lattakieh, où il n'y a que trois ou quatre familles
juives. Durant ces trois années, on leur a envoyé régulièrement d'Alep le pain azyme nécessaire pour les
Pâques. Ben-Noud dit qu'il y a deux espèces de pains azymes, que les uns se nomment mossa et les autres
mossa guésira (en syriaque guésira signifie égorger). Le mossa guésira, semblable du reste au mossa, contient
de plus un mélange de sang humain, mais en assez petite quantité pour ne communiquer aucun goût particulier.
Le sang n'est pas pétri avec la farine ; on en met une couche, un enduit sur le pain quand il est fait.
Les Juifs mangent de ces pains azymes durant les sept jours de leur pâque. Il ne se servent du mossa que quand
le mossa guésira vient à leur manquer. Durant la nuit qui précède leur pâque, il y a très peu de familles juives
qui ne crucifient un coq. On lui cloue les ailes à la muraille, et on le tourmente de toutes les manières ;
chacun des assistants vient le percer avec une pointe de fer, pour tourner en dérision la passion de Jésus-Christ,
et tout cela se fait avec de grandes explosions de rires. Un rabbin se trouvant l'année dernière de passage à
Lattakieh, à l'époque de la pâque, cette cérémonie barbare se fit dans la maison de M. Bélier, où il logeait, par
charité, la famille de Châloun. Si au lieu d'un coq, les Juifs pouvaient crucifier un chrétien, Ben-Noud dit que
ce serait beaucoup plus conforme à leurs désirs. Ils ont deux fêtes dans lesquelles ils chargent les chrétiens
d'imprécations ; les Juifs qui paraissent les plus craintifs sont ceux qui montrent dans toutes ces horreurs le plus
d'acharnement et de cruauté. »
Il y a eu de nombreux procès et de nombreuses affaires impliquant des juifs tortionnaires et sacrificateurs , on peut citer notamment : Le martyr de Saint Richard de Paris en 1179, le martyr de Saint-Hugues de Lincoln en 1225, Le martyr de Saint-Wernher en 1287 ,Le retentissant procès de Trente en 1475 avec le martyr de saint-simon de trente , le crime de Metz en 1669, le procès de Damas en 1840, l'affaire de tisza-Eszlar en 1882-1883, la saignée de Breslau en 1888.
Les récits des rituels et tortures exposés dans ce livre proviennent des témoignages des différents procès.
La cruauté des juifs lors de ces rituels est réellement satanique et ne différe en rien par cela des rituels sanglants de magie noire perpétré par l'élite dégénérée.
http://www.histoireebook.com/index.php?post/2012/07/31/Desportes-Henri-Le-mystere-du-sang-chez-les-Juifs-de-tous-les-temps